En sa double qualité de Professionnel de la craie à l'Université de Kinshasa et de mandataire public, le Professeur Jeanneau Kikangala Ngoy, Directeur Général à l’Office des Routes, a pris part, ce jeudi 12 octobre 2023, à la cérémonie qui a consacré l'élévation du président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, au rang de Docteur honoris causa, à l'université de Kinshasa. Le Directeur général de l'Office des routes a vivement félicité cette élévation du Premier Citoyen de la République en raison de ses nobles réalisations au sommet des institutions congolaises.
Parmi les professionnels de la craie venus prendre part à cette activité, le Professeur Jeanneau Kikangala, Directeur général de l'Office des routes était personnellement présent.
Le premier génie civil de l'Office des Routes juge opportun la décision du rectorat à travers un jury composé d'éminents professeurs de l'université de Kinshasa, d'autant plus que le Président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo a mérité bel et bien cette élévation qui tombe à point nommé, à quelques encablures du lancement de la campagne électorale.
Une raison de plus que le chef de l'Etat Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo a fait des exploits importants durant son premier mandat sur le plan de la bonne gouvernance en faveur du peuple congolais. Qu'il s'agisse des infrastructures routières d'intérêt général, tout comme, d'autres signaux explicatifs du changement tant attendu, le fils du sphinx de Limete.
Le Diplôme Honoris Causa est une distinction prestigieuse accordée par une institution universitaire à des personnalités éminentes qui ont apporté une contribution significative dans leur domaine respectif ou à la société dans son ensemble. Il s'agit d'une reconnaissance de l'excellence et du dévouement de l'individu honoré. Dans le cas échéant le président congolais Félix Tshisekedi.
Le Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo s'est vu décerner un Doctorat Honoris Causa de l’Université de Kinshasa, pour sa contribution exceptionnelle à la gouvernance de son pays en faveur de son peuple, et ce, tant sur le plan socio-économique, politique, diplomatique, etc.
L’université de Kinshasa est une des bénéficiaires de cette gouvernance efficace et efficiente. En effet, il est vrai que depuis sa fondation, l’Université de Kinshasa n’a jamais eu autant d’investissements qu’à l’époque du Président Tshisekedi.
Aujourd’hui les étudiants de l’Université de Kinshasa bénéficient des Résidences universitaires réhabilitées à neuf grâce au Président Félix-Antoine TSHISEKEDI.
*‘’J'appelle donc le Président Félix Tshisekedi à s’impliquer, non pas en sa qualité actuelle de candidat à la réélection mais, en tant que garant du bon fonctionnement des institutions, pour que le Conseil d'Etat tranche avant l'échéance de validation des candidatures présidentielles expire. Et le Conseil d'Etat doit être tenu responsable et reconnaître les erreurs commises en laissant passer le temps et faire le nécessaire pour que je puisse jouir de mes droits de candidat à la présidentielle cette année’’, déclare, dans une Tribune, Sekimonyo Jo M. au sujet de sa candidature dont l’affaire est encore pendante devant le Conseil d’Etat.
‘’On dit que la justice élève la nation. J'ai dit que la justice est ce qui justifie l'existence d'une nation en tant que ciment social et politique chargé de créer une notion de certitude pour le commerce. Ce faisant, la citoyenneté devient une expérience agréable pour tous. Concernant la bataille nant le Conseil d'Etat, il n'y a aucune raison de paniquer. Toute âme saine qui pourrait digérer et comprendre la manœuvre de mon équipe, je suis dans le bon. Même si la CENI crie à la fin du match et à la victoire, elle devra se plier à l’arrêt de la Cour. Pis encore pour le Conseil d’Etat, le nœud est devenu encore plus complexe et plus serré au niveau du cou. Si le Conseil d’Etat s’était prononcé dans le délai de 48 heures, que ce soit mercredi ou jeudi, et s’était rangée pour un mauvais motif du côté de la CENI, mon équipe aurait eu suffisamment de temps pour s'ajuster et mettre en œuvre rapidement le plan B. Là encore, je ne nierais pas avoir vécu à plusieurs reprises certaines bévues de la part des acteurs paranoïaques dans leur quête de protection du système ou du pouvoir en place par tous les moyens nécessaires. Au-delà de son héritage et de la crédibilité qu’il recherche pour le cycle électoral actuel, c’est une question de pertinence.
’’, Explique-t-il, dans sa tribune reprise, ci-dessous.
Tribune
Plaidoyer pour un Etat de Droit, l’implication de Félix Tshisekedi sollicitée…
*On me reproche souvent de faire de la politique à l’américaine en RDC. Cela pourrait être vu ainsi parce que ma démarche et mes stratégies pour faire de la démocratie congolaise, une démocratie sont étroitement liées à des positions idéologiques au lieu d'être ancrées sur ce qui est établi comme une réalité humiliante ou pour plaire à une soi-disant autorité morale.
Il n’est donc pas surprenant que j’aie choisi pour rester cohérent avec ma position idéologique qui met en avant, mon combat pour le droit des citoyens ordinaires à participer à notre démocratie, non seulement en tant qu’électeurs mais, surtout, en tant que candidats.
Sur la base de ce principe, il y a une bataille au Conseil d'Etat avec l'Etat et la CENI au sujet de ma candidature à l'élection présidentielle de cette année.
En raison d'un « trébuchement » administratif imprévu au Conseil d'Etat, au lieu du vendredi 29 septembre 2023, l'audience sur la requête en référé-liberté ROR 697 s'est tenue le lundi 2 octobre 2023. Le juge a insisté pour que nous déposions la note de plaidoirie dans les 24 heures afin qu'il puisse à son tour statuer 48 heures plus tard, le mercredi ou jeudi, le délai requis pour une requête en référé-liberté.
Ce qui a été fait. Je l'ai déposé le mardi 3 octobre 2023.
Cela a laissé une large marge de manœuvre au Conseil d'Etat avant que la CENI ne clôture l'accueil des candidats à l'élection présidentielle, le dimanche 8 octobre 2023 à 15 heures.
Malheureusement, pour une raison que je ne peux ni expliquer, ni justifier, le même juge qui semblait soucieux de rendre son jugement dans les 48 heures, a laissé le temps s'écouler.
Pendant ce temps !
Il n’y a pas longtemps que j'ai été approché par un homme frêle qui m'a avoué qu'il mourait de faim. Comme je n'ai pas d'habitude d'argent liquide sur moi, j'ai demandé à un des mes collègues de lui donner ce qu'il avait. Ensuite, j'ai curieusement demandé à l'homme pour qui il voterait à la prochaine élection présidentielle, il m'a répondu, le président Tshisekedi. J'ai alors demandé pourquoi, il a répondu à cause de son « social », programme social ce que je suppose. Et cette ironie peut démontrer, à la fois, la naïveté ou le désarroi du peuple congolais, pour la plupart pauvre et quotidiennement humilié socialement et économiquement mais, beaucoup plus combien les accrochages entre acteurs politiques sont hors de propos.
Nous subissons aujourd'hui les conséquences du débat que j'ai initié l'année dernière à la Cour constitutionnelle sur les lois électorales, sur lesquelles cette Cour refuse de se prononcer et a été largement ignorée par l'opinion publique.
D'une part, parce que le recours à la caution au lieu des pétitions comme je le préconisais, au niveau des élections législatives, les Congolais sont appelés à trier des grosses poubelles.
Et, il ne devrait être surprenant que des personnes, soi-disant autorités morales, qui ont pu aligner et payer la caution pour leurs candidats et qui ont rempli les conditions de recevabilité de leurs listes soient à la tête des institutions publiques et des ministres.
On peut aussi se pleurnicher qu'il n'y ait qu'une seule femme sur la liste actuelle de 24 candidats à la présidentielle. C’est également à cause de la notion de caution. Je suis plus que certain qu'en utilisant les pétitions, le nombre et la qualité des femmes à l'élection présidentielle seraient bien meilleurs.
Malgré cela, ce qui est plus inquiétant, c'est que les candidats commencent déjà à aboyer les uns contre les autres au lieu de présenter leur menu et de s'affronter sur les questions qui tiennent à cœur au peuple congolais.
Comment briser l’humiliation sociale, politique et surtout économique que subit les congolais depuis plus d’un siècle ?
Je crois sincèrement que c’est parce que sur le plan idéologique, qu’il soit social, politique ou économique, il n’y a aucune différence entre eux.
Ils proposent tous aux Congolais de faire mieux ce qui s'est avéré faux depuis l'indépendance de notre nation.
Etat de droit
On dit que la justice élève la nation. J'ai dit que la justice est ce qui justifie l'existence d'une nation en tant que ciment social et politique chargé de créer une notion de certitude pour le commerce. Ce faisant, la citoyenneté devient une expérience agréable pour tous.
Concernant la bataille nant le Conseil d'Etat, il n'y a aucune raison de paniquer. Toute âme saine qui pourrait digérer et comprendre la manœuvre de mon équipe, je suis dans le bon. Même si la CENI crie fin du match et victoire, elle devra se plier à l’arrêt de la Cour.
Pis encore pour le Conseil d’Etat, le nœud est devenu encore plus complexe et plus serré au niveau du cou.
Si le Conseil d’Etat s’était prononcé dans le délai de 48 heures, que ce soit mercredi ou jeudi, et s’était rangée pour un mauvais motif du côté de la CENI, mon équipe aurait eu suffisamment de temps pour s'ajuster et mettre en œuvre rapidement le plan B.
Là encore, je ne nierais pas avoir vécu à plusieurs reprises certaines bévues de la part d’acteurs paranoïaques dans leur quête de protection du système ou du pouvoir en place par tous les moyens nécessaires.
J'appelle donc le président Félix Tshisekedi à s’impliquer, non pas en sa qualité actuelle de candidat à la réélection mais, en tant que garant du bon fonctionnement des institutions, pour que le Conseil d'Etat tranche avant l'échéance de validation des candidatures présidentielles expire. Et le Conseil d'Etat doit être tenu responsable et reconnaître les erreurs commises en laissant passer le temps et faire le nécessaire pour que je puisse jouir de mes droits de candidat à la présidentielle cette année.
Au-delà de son héritage et de la crédibilité qu’il recherche pour le cycle électoral actuel, c’est une question de pertinence.
Des grandes actions à impactes visibles et rénovatrices ont été posées durant son mandat à la tête du ministère de la Culture. Au cours du briefing presse animé d’hier, jeudi 12 octobre 2023 avec son collègue de la communication et médias, porte-parole du Gouvernement Patrick Muyaya, la ministre de la culture, arts et patrimoines, Catherine Katungu, a dévoilé sa politique culturelle circonscrite en quatre grands axes phares qui résument son action.
La ministre de la culture est revenue sur des réalisations faites en faveur de son ministère et celle en cours d’action. Elle a cité, entre autres, la promotion Artistique et culturelle ; la question relative aux droits d’auteurs et droits voisins ; les infrastructures culturelles, faisant allusion ici au centre culturel et artistique de l’Afrique centrale sur le Boulevard Triomphal ‘’dont l’ouvrage sera livré incessamment’’.
Hormis les centres culturels de Mwenga et Butembo qui sont en instance d’exécution, la ministre a mentionné la construction de 12 autres infrastructures culturelles dans le cadre du programme de développement de 145 Territoires.
Dans le cadre de son action, Catherine Furaha a évoqué la question relative à la promotion des valeurs citoyennes et républicaines à travers son ministère, des sites historiques et archéologiques avec la valorisation des lieux de mémoire, des sites historiques et archéologiques, donnant l’exemple de Nsiamfumu, qui est déclaré et reconnu premier site des esclaves. Elle a également fait mention du projet d’érection du mémorial ‘’Papa SIMON KIMBANGU’’, dont des fouilles archéologiques ont été menées à Kasongo, Kabambare et Nyangwe en vue de documenter pour un classement au patrimoine mondial.
«Une formation appropriée sur les inventaires du patrimoine a été initié par mon ministère du 14 mars au 04 avril 2022 et a produit 30 stagiaires en collaboration avec ICOMOS pour explorer d’autres sites tels que le complexe culturel WAGENIA, Massif de Lovo et la protection de différents sites notamment ISHANGO, la Ville sainte Nkamba au Kongo Central. Dans le cadre de la protection des biens culturels en cas de conflit armé, j’ai organisé en collaboration avec l’UNESCO et la MONUSCO du 26 au 28 juillet, l’atelier régional à l’attention du personnel militaire féminin africain», a expliqué la ministre.
Dans son élan, Mme la ministre est revenue sur la décision de la mise en place des industries culturelles créatives par l’économie culturelle et l’intégration du Numérique dans le secteur. Elle a indiqué, à ce propos, qu’une ordonnance du Chef de l’Etat a été prise en faveur de l’INACO pour la numérisation des archives nationales. La ministre n’exclut pas la question de l’actualisation de l’arsenal juridique et du cadre règlementaire du Ministère de la Culture, Arts et Patrimoines dont des avancées très significatives ont été présentées.
Catherine Furaha a, par ailleurs, passé en revue quelques points marquant l’implication du Chef de l’Etat pendant son règne à la tête de l’Union Africaine notamment, l’inscription de la Rumba Congolaise au patrimoine immatériel culturel de l’humanité par l’UNESCO. Elle a cité : «L’Achat de la Maison de la culture africaine et des afro descendants comme lieu de mémoire, d’histoire et d’identité; la ratification par la RDC de la Charte de la renaissance culturelle africaine comme instrument d’appropriation de nos racines civilisationnelles et millénaires ; la tenue réussie des neuvièmes jeux de la francophonie confirme davantage la puissance culturelle et linguistique de la RDC, dans les girons des nations francophones ».
Sur le plan diplomatique, Mme la ministre de la culture a rappelé une série de contacts et missions effectuées dans le cadre de la coopération culturelle ; lesquels m’ont permis de voyager, visiter et rencontrer des personnalités, des somités culturelles tant au niveau national qu’international dont son voyage à Rome pour le G20, de Mondiacult à Mexico, la conférence sur le 50ème anniversaire de la convention sur le patrimoine mondial que j’ai présidé à Yaounde, le G-77 plus la Chine à la Havane etc.
‘’En ma qualité de Garant du fonctionnement régulier des institutions de la République et de la continuité de l’Etat, j’ai examiné en toute responsabilité l’ensemble des recommandations formulées dans les trois commissions de la Table ronde. Après avoir échangé avec les responsables des institutions de l’Etat et entendu le Conseil Supérieur de la Défense, j’ai pris la ferme résolution de conduire, « sans atermoiements funestes, mais sans précipitation inconsidérée », les populations des provinces de l’Ituri et du Nord-Kivu vers un allégement progressif et graduel du régime de restriction de l’état de siège avec les meilleures garanties de poursuite du maintien d’une pression maximale sur les ennemis de la paix. C’est pourquoi, prenant la juste mesure de l’impérieuse nécessité d’un retour sécurisé de nos populations à une vie civile et citoyenne normales, d’une part ; et des avancées enregistrées au cours de la gouvernance sous l’état de siège, d’autre part, notamment, l’amélioration de la situation sécuritaire dans certaines zones des deux provinces concernées; j’ai opté, en toute responsabilité, pour la mise en œuvre d’un dispositif transitoire graduel au terme duquel cette situation exceptionnelle devra connaître sa fin. L’évolution de l’état de siège dans les provinces de l’Ituri et du Nord-Kivu Kinshasa /RD Congo. S’inspirant des tendances dégagées des travaux de la Table ronde, ce dispositif transitoire consistera au rétablissement de l’autorité civile dans les entités territoriales décentralisées et déconcentrées qui sont déjà sécurisées et sous contrôle des Forces Armées de la République Démocratique du Congo. Ce qui implique la levée des restrictions des libertés constitutionnelles de tous les citoyens et, plus particulièrement, la libre circulation des personnes et de leurs biens, tout en mettant fin au couvre-feu ; la liberté d’association, de manifestation pacifique et de réunion dans le strict respect des conditions légales’’, a déclaré Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo hier, jeudi 12 octobre 2023, sur les antennes de la Rtnc au sujet de l’état de siège institué, il y a quelques années, dans les Provinces du Nord-Kivu et en Ituri.
Message à la nation de son excellence monsieur Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, président de la république démocratique du Congo, Chef de l’Etat, sur l’évolution de l’état de siège dans les provinces de l’Ituri et du Nord-Kivu
Mes très chers compatriotes,
Le 03 mai 2021, face aux menaces graves pesant sur l’intégrité de notre territoire et à l’insécurité récurrente vécue par nos populations de l’Est du pays depuis trois décennies, je proclamais l’état de siège dans les Provinces de l’Ituri et du Nord Kivu. En effet, conformément à mes prérogatives consacrées par les articles 69, 85, 144 et 145 de la Constitution, je recourais à ce dispositif exceptionnel de gouvernance afin de répondre, de la manière la plus appropriée et la plus adaptée, à cette situation ; en ce particulièrement, dans la nature des actions à entreprendre dans ces zones opérationnelles où les ennemis de la paix devaient de toute urgence être affrontés et l’autorité de l’État, restaurée.
A situation exceptionnelle, mesure exceptionnelle. Il demeurait limpide que la mise en œuvre de ce dispositif s’accompagnerait d’un régime restrictif des libertés publiques, non sans incidence sur le mode de vie habituel de nos populations, immédiatement sensibilisées à consentir à d’importants sacrifices en guise de soutien patriotique à cette lutte pour la survie de notre Nation.
C’est pourquoi, deux années et quatre mois après l’entrée en vigueur de ce régime d’exception aux conséquences tout aussi exceptionnelles sur le quotidien des populations sur terrain, et à la suite de plusieurs rencontres avec les sénateurs, les députés nationaux et les députés provinciaux issus des deux provinces, ainsi que des rapports de missions d’évaluation effectuées par le Premier ministre, j’apercevais clairement le besoin d’une réflexion approfondie impliquant tous les acteurs concernés sur la question en vue d’obtenir les recommandations les mieux indiquées au sujet de la situation juridico-politique rencontrée dans ces deux provinces. Cette réflexion, devait toutefois avoir lieu tout en veillant à préserver les avancées significatives socioéconomiques, politiques et sécuritaires acquises par la gouvernance militaire de l’état de siège. Face à la prolongation de cette situation exceptionnelle et soucieux de prendre en compte les aspirations profondes du plus grand nombre de forces vives de la partie Est de notre pays, j’ai donc instruit le Premier ministre d’organiser et de convoquer une Table ronde politique sur l’évaluation de l’état de siège dans les Provinces de l’Ituri et du Nord-Kivu.
Organisée du 14 au 16 août 2023, à Kinshasa. 3 Cette Table ronde, que j’ai voulu inclusive, a connu en plus de la participation des élus nationaux et provinciaux issus des provinces concernées, des délégués des institutions nationales, la participation active des forces vives d’autres provinces de la République, ce qui témoigne de l’élan de la solidarité affiché par les congolaises et congolais de tous bords, derrière cette cause nationale. Mes très chers compatriotes ;
Mus d’un sens élevé de patriotisme et de responsabilité, les différents participants ont travaillé d’arrache-pied durant les trois journées allouées à cette Table ronde pour proposer une option concertée en vue de pacifier définitivement les provinces de l’Ituri et du Nord-Kivu, et ce, au regard de l’évolution du contexte sécuritaire, politique, économique et social. C’est ici le lieu de saluer l’engagement et le dévouement de tous les participants qui ont abattu un travail de qualité pour la cause nationale afin que les conclusions permettent aux Institutions de donner une orientation nouvelle à cette mesure exceptionnelle. Mes très chers compatriotes,
En ma qualité de Garant du fonctionnement régulier des institutions de la République et de la continuité de l’Etat, j’ai examiné en toute responsabilité l’ensemble des recommandations formulées dans les trois commissions de la Table ronde.
Après avoir échangé avec les responsables des institutions de l’État et entendu le Conseil Supérieur de la Défense, j’ai pris la ferme résolution de conduire, « sans atermoiements funestes, mais sans précipitation inconsidérée », les populations des provinces de l’Ituri et du Nord-Kivu vers un allégement progressif et graduel du régime de restriction de l’état de siège avec les meilleures garanties de poursuite du maintien d’une pression maximale sur les ennemis de la paix.
C’est pourquoi, prenant la juste mesure de l’impérieuse nécessité d’un retour sécurisé de nos populations à une vie civile et citoyenne normales, d’une part ; et des avancées enregistrées au cours de la gouvernance sous l’état de siège, d’autre part, notamment, l’amélioration de la situation sécuritaire dans certaines zones des deux provinces concernées; j’ai opté, en toute responsabilité, pour la mise en œuvre d’un dispositif transitoire graduel au terme duquel cette situation exceptionnelle devra connaître sa fin.
- L’évolution de l’état de siège dans les provinces de l’Ituri et du Nord-Kivu Kinshasa / RD Congo
- S’inspirant des tendances dégagées des travaux de la Table ronde, ce dispositif transitoire consistera au rétablissement de l’autorité civile dans les entités territoriales décentralisées et déconcentrées qui sont déjà sécurisées et sous contrôle des Forces Armées de la République Démocratique du Congo.
Ce qui implique la levée des restrictions des libertés constitutionnelles de tous les citoyens et, plus particulièrement :
• La libre circulation des personnes et de leurs biens en mettant fin au couvre-feu ;
• La liberté d’association, de manifestation pacifique et de réunion dans le strict respect des conditions légales.
Ceci est d’autant plus important que les différents acteurs engagés au processus électoral ont droit à y participer pleinement et sans entrave aucune. Dans le même ordre d’idée, j’engage le Gouvernement central à régler, sans délai, les arriérés d’émoluments des animateurs des institutions provinciales mises en veilleuse par l’état de siège, tel que cela leur est garanti par l’Ordonnance n° 21/016 du 3 mai 2021 portant mesures d’application de l’état de siège. Il va sans dire qu’en plus de leurs compétences matérielles, les juridictions civiles, du reste, compétentes pour gérer les contentieux électoraux, recouvrent le plein exercice de leurs compétences répressives à l’exception de quelques préventions liées à la sureté nationale qui relèveront des juridictions militaires.
Mes très chers compatriotes,
Après l’état d’urgence sanitaire, les mesures de ce dispositif transitoire et graduel de l’état de siège nous conduisent dans une nouvelle expérience constitutionnelle de gestion des situations d’exception.
Elles marquent notre détermination à défendre jusqu’à la dernière énergie, notre intégrité territoriale, notre souveraineté et notre dignité comme peuple.
En effet, nous sommes un peuple qui a su démontrer, tout au long de son Histoire, une capacité de résilience hors du commun face à l’adversité, pour défendre les idéaux de paix, de justice, de dignité et d’unité.
J’invite la population des provinces de l’Ituri et du Nord-Kivu à accompagner et à soutenir les autorités civiles et militaires dans l’accomplissement des mesures de ce nouveau dispositif en vue de garantir l’avènement d’une paix durable sur toute l’étendue de notre pays.
Que Dieu bénisse la République Démocratique du Congo.
La journée du dimanche 24 septembre dernier a été marquée par une rencontre spéciale réunissant une série de créateurs de contenus Facebook congolais, sous le label "Du virtuel au réel", à l'espace Amaryllis, dans le quartier Macampagne situé dans la commune de Ngaliema. Il a été question d'un rendez-vous à l'initiative de Kratos Beat, beatmaker - beatboxer et créateur de contenus digitaux, Jonathan Balutukisi, Community manager et expert en digital appelé couramment Jo Bams, ainsi que plusieurs autres acteurs du digital, dans l'optique de permettre à toute cette communauté congolaise virtuelle de pouvoir avoir une rencontre physique et connecter dans la vraie vie.
Une centaine de personnes a répondu présent à cette activité qui, du reste, s'est déroulée dans une atmosphère conviviale, assaisonnée des jeux - karaokés - moments d'échanges - moments photos - ainsi que plusieurs autres divertissements. Plusieurs exposants de stands étaient également présents, parmi lesquels l'on a pu repérer des stands Tecno et plusieurs autres opérateurs locaux. Il a, ainsi, été question d'un après-midi dominical assez électrique qui n'aurait pas laissé ses participants indifférents.
Plusieurs participants n'ont pas hésité de relayer certaines séquences du déroulement de cette rencontre sur leurs profils réseaux sociaux, et aussi certains absents n'ont pas hésité de saluer même de loin cette initiative, à l'instar de Simon Rwasha, Chargé de Communication pour le compte de Canal+ RDC, qui s'est retrouvé en mission à l'est du pays.
Ce programme a révélé un besoin qui sommeillait dans le cœur de plusieurs : celui d'avoir un cadre ou des opportunités de déconnecter du monde virtuel afin de connecter dans le monde réel comme à l'ancienne.
A quand la prochaine rencontre "Du virtuel au réel" ? La question se pose et peut-être qu'elle ne tardera plus à trouver une réponse.
Le Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, a participé, le mercredi 4 octobre 2023, à Kolwezi, à la cérémonie de la clôture de la 7e édition d’expo-béton. Celle-ci était placée sous le thème ‘’le développement des villes’’.
Plusieurs autres personnalités ont pris part à cette cérémonie notamment, la distingué Première dame de la République, Denise Nyakeru, le Premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, le Vice-Premier ministre, ministre de l’économie, Vital Kamerhe, les honorables députés nationaux et provinciaux, sénateurs, Mme le gouverneur de la province du Lualaba, le Président de l’Asbl Expo-béton, les représentants des entreprises publiques et privées, les représentants des organismes et institutions internationaux, etc.
Pour Mme Antoinette Kipulu Kabenga, la ministre de la formation professionnelle et métiers, la formation professionnelle et métiers est une haute exigence pour travailler dans le but de former toute la population désœuvrée et d’en faire la classe moyenne dont la RD-Congo a besoin pour son développement intégral.
Elle a également précisé que le développement des villes, en tant que thématique principale de ces assises, a permis de dégager un consensus sur les priorités de la communauté en termes des bâtiments et travaux publics, afin de promouvoir la création des connaissances, aptitudes et compétences pour améliorer l’employabilité, l’adaptabilité, la transition verte et écologique de toute construction.
Elle a en outre expliqué que ce forum constitue un plaidoyer de la nation entière pour accorder à l’apprentissage des métiers et formation professionnelle, une place prépondérante et une attention sans cesse soutenue au niveau national et international.
«Permettez-moi de rappeler un témoignage de cette attention, Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, en date du 11 février 2022, lors de la 40ème réunion du Conseil de ministres, sous votre haute impulsion, le gouvernement avait adopté le programme d’urgence intégré de développement communautaire « PUIDC », pour lequel la valorisation des métiers prévoit leur insertion au sein du répertoire opérationnel des métiers (ROM), ainsi que la création des centres de développement des métiers, CDM.
Cependant, à la suite de cette adoption, des Recommandations ont été encore formulées au cours d’une réunion tenue le 26 mai 2022 par la cellule d’appui au programme d’urgence intégré de développement communautaire de la Présidence de la République, axée sur le chômage et le sous-emploi, comme facteurs principaux de la vulnérabilité et de l’extrême pauvreté de la population en âge actif dont les jeunes et les femmes», a-t-elle rappelé.
Et de poursuivre : «Cette réunion sera suivie par un Atelier organisé par le ministère de la formation professionnelle et métiers, qui avaient réuni du 24 au 28 août 2022, près de 50 experts délégués par 25 ministères organisant la formation professionnelle, ainsi que d’autres institutions publiques et privées.
En ressortira d’autres recommandations sur l’application de l’Ordonnance n°022/003 du 07 Janvier 2022 fixant les attributions des ministères, plus précisément dans le cadre des missions dévolues au ministère de la formation professionnelle et métiers, pour continuer le processus d’élaboration du répertoire opérationnel des métiers (ROM), débouchant sur le répertoire des métiers innovants (RMI) et la création des chambres des métiers, en adéquation avec les axes 51 et 52 du programme d’actions du gouvernement 2021-2023 ».
La ministre de la formation professionnelle et métiers a rappelé que la continuité de cette mise en œuvre et de l’exercice des missions spécifiques attribuées par cette Ordonnance, le ministère a obtenu le soutien et l’appui du Gouvernement de la République, afin d’ériger un cadre légal de création et de fonctionnement de la chambre nationale des arts et métiers , ainsi que de ses représentations provinciales, avec une vocation interministérielle et transversale, pour une activité principale, à savoir : le recensement et l’identification des métiers, en vue de les formaliser, de former les promoteurs des métiers et de Les orienter vers La création d’entreprises.
De plus, elle a fait savoir que grâce à la synergie de la cohésion gouvernementale, le projet de décret sur la création et le fonctionnement de la chambre nationale des arts et métiers qui a été adopté récemment à la commission socioculturelle permanente du gouvernement, est présentement dans le circuit administratif au niveau de la commission loi du gouvernement.
Enfin, Antoinette Kipulu a donné l’importance de la promulgation de ce projet de décret qui sera de renforcer le rôle de la formation professionnelle et des métiers dans les efforts de développement socioéconomique du Congo.
«Grâce à la création de la chambre nationale des arts et métiers par décret, le ministère de la formation professionnelle et métiers c’est assigner plusieurs objectifs dont celui de promouvoir ‘’l’esprit entrepreneurial’’, dans le but de chasser la pauvreté et le Chômage, avec le concours de la cité de métiers dont vous êtes, Monsieur le Président de La République, le porteur politique », a-t-elle fait savoir.
Hénoc Akano
Après sa brillante participation sans succès en 2018
Présidentielle 2023 : Marie-José Ifoku revient à la charge !
Après sa brillante participation sans succès à la présidentielle de 2018, Marie-José Ifoku a déposé son dossier de candidature à la présidentielle, le jeudi 5 octobre, à la Commission Electorale Nationale Indépendante.
Forte de sa première expérience intervenue, il y a de cela 5 ans, comme ci-haut indiqué, cette élue à la tête de l’Alliance des Elites pour un Nouveau Congo, AENC, a cette fois-ci accepté d’aller à cette tant attendue bataille électorale avec une énergie renouvelée et moulue dans sa ferme volonté de se voir au sommet de la magistrature suprême congolaise afin, pour elle, de faire partir la République Démocratique du Congo sur de nouvelles bases.
Marie-José Ifoku a donc fait le choix de revenir à la charge en vue de ne pas prétendre avoir échoué pour avoir tout simplement abandonné son combat. C’est avec un nouvel insigne du pouvoir, changement de paradigme exige, que M-J Ifoku compte s’installer au pouvoir. Il s’agit du balai, symbole de la propreté tant publique que privée et avec lequel elle se dit être venue nettoyer le pays de toutes les bavures qui le maintient jusqu’ici dans la saleté des mentalités à la base de toutes les dépravations qui ont élu domicile en République Démocratique du Congo.
Unique femme jusqu’ici parmi les prétendants au fauteuil présidentiel du Palais de la Nation, Marie-José Ifoku promet, une fois y assise, de faire de la République Démocratique du Congo un pays libéré du système des prédations socio-financières qui, à l’en croire, s’est aujourd’hui érigé en un mode de gestion au quotidien avec une participation passive de la majorité des citoyens congolais dans la complicité active de la classe dirigeante. La ‘’Mère de la Nation’’, faut-il ainsi la surnommer, est donc venue mettre fin à cette pratique qui n’a que trop duré.
Il faut donc souligner que la candidature de Marie-José Ifoko à la présidentielle congolaise vient susciter à la fois un vif intérêt et un indéniable espoir parmi ceux qui ont toujours rêvé voir un jour une femme à la tête du pays. C’est selon que, à les en croire : ‘’l’homme est un tout qui n’a jusqu’à présent rien fait et duquel il ne faut même pas attendre qu’il puisse encore faire ne fût-ce que quelque chose’’.
*Dans l'auditorium prestigieux du centre des conférences internationales d'Alger, Capitale de l’Algérie, Pius Muabilu, Ministre d'Etat congolais en charge de l'Urbanisme et Habitat, a participé activement au débat relatif à la transformation de Shelter-Afrique en une véritable banque panafricaine de développement urbain et du financement de l'immobilier sur le continent. En effet, il a formulé des observations claires, s'agissant de l'adoption du statut amendé de cette institution panafricaine qui devient officiellement une Banque de Développement Urbain, en tant que telle.
Le Warrior Pius Muabilu Mbayu Mukala a notamment soutenu la thèse de l'élection et la révocation du Directeur général de Shelter-Afrique par les États-membres en lieu et place du Conseil d'administration. Le patron des villes de la RD Congo a exhorté les participants à cette Assemblée générale extraordinaire à ne pas s'éloigner de l'esprit des pères fondateurs de Shelter-Afrique quant à la solidarité entre pays membres actionnaires, selon que d'aucuns sont de la catégorie A, d'autres B et d'autres encore se trouvant dans la catégorie C en rapport avec le part social de chaque pays.
Le ministre d'Etat Pius Muabilu est donc d'avis que Shelter-Afrique qui devient dorénavant une banque panafricaine de développement urbain devant financer les projets d'habitat en Afrique est appelé à jouer aujourd'hui mieux que hier, un rôle de taille pour doter aux nombreux pays des logements abordables et adéquats.
Bien avant le débat général, il faut souligner le premier ministre Algérien Aïmene Benabderrahmane a pris parole devant l'auguste assemblée pour souhaiter aux uns et aux autres la bienvenue à Alger, mais aussi a-t-il, au nom de son Gouvernement loué l'expérience de son pays en matière d'autosuffisance dans le domaine de construction des logements sociaux.
Pour lui, l'expérience Algérienne doit inspirer plusieurs autres Etats membres préoccupés par l'impérieuse nécessité d'administrer une cure de jouvence à la crise du logement.
Il estime qu'il est important que Shelter Afrique ait un siège viable et permanent, condition sine qua non pour la stabilité de cette institution bancaire. «Sauf en cas de force majeure, les Etats membres peuvent délocaliser le siège de cette institution bancaire », a-t-il affirmé.
Les Députés Nationaux se sont retrouvés, cet après-midi du lundi 9 octobre 2023, au cours d’une plénière dirigée par le Professeur André Mbata Betukumesu Mangu, 1er vice-président de l'Assemblée Nationale. Elle était essentiellement consacrée au projet de loi relatif aux Bureaux d'information sur le crédit (BIC). Présenté par la Vice-ministre des Finances, O’Neige N'sele Mimpa, le projet vient ainsi parachever les réformes entamées dans le secteur des finances publiques.
« Nous savons que l'accès aux crédits est une composante essentielle du développement économique et de la création d'emplois, en raison de la corrélation qui existe entre le développement des systèmes financiers et la croissance économique, il est aussi important de souligner que l'octroi de crédit était basé essentiellement sur la connaissance que le prêteur a de l'emprunteur. Au premier niveau, cette connaissance couvre les exigences d'identification du demandeur du crédit. Cette identification est devenue une étape importante dans l'établissement de la relation tant dans l'intérêt du prêteur que dans l'intérêt du système bancaire dans son ensemble, au regard des normes en matière de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme Au deuxième niveau, la connaissance de l'emprunteur, de sa capacité à rembourser les crédits empruntés. La capacité de remboursement est fonction de plusieurs éléments dont l'historique d'anciens crédits, les crédits en force ou de l'existence de tout élément, actuel ou futur, susceptible d'influencer positivement ou négativement la capacité financière de l'emprunteur telle qu'une garantie. Il est question pour le prêteur de se prémunir contre le risque de défaut de remboursement et, en la liquidation des biens, contre le risque d'insolvabilité du débiteur. C'est dans ce cadre le ministère des Finances et la Banque Centrale du Congo ont travaillé sur le projet de loi relatif aux Bureaux d'information sur le crédit, qui participe à la réduction de l'asymétrie d'informations entre le prêteur et l'emprunteur en vue de pallier le rationnement de crédit , le long délai de traitement de demande de crédit, les intérêts exorbitants, le surendettement asphyxiant et le ratio de portefeuille à risque élevé », a déclaré la Vice-ministre des Finances.
Les Bureaux d'information sur le crédit (BIC) sont donc une société commerciale agréée par la Banque Centrale du Congo, laquelle effectue à titre professionnel habituel la collecte, la compilation, le stockage, le traitement des données et d'informations aussi des sources publiques et des fournisseurs, la diffusion des données et la mise à disposition à des utilisateurs des rapports de solvabilité ainsi que d'autres services à ajouter, conformément à un accord signé entre les parties.
« Ce projet de loi a pour objet de fixer les modalités de constitution, d'agrément, d'administration, d'exercice d'activités, de contrôle et de supervision des Bureaux d'information sur le crédit en République Démocratique du Congo, et ce conformément à l'article 202 point 36 (a) de la Constitution du 18 février 2006 telle modifiée à ce jour », a ajouté O’Neige N’Sele.
Dans le débat général sur ce projet de loi, les députés nationaux ont fait observer que cette matière relève de la réglementation. C'est pour ainsi dire que le gouvernement peut agir de manière réglementaire sur cette matière.
Au finish, la Vice-ministre des Finances a sollicité et obtenu 72 heures pour rencontrer les préoccupations de la représentation nationale.
(Avec la Cellule de communication de l’Assemblée Nationale)
Les professionnels des médias et activistes des droits Humains invités à soutenir les actions menées par le groupe de plaidoyer
*Le comité de Pilotage du groupe de Plaidoyer Justice pour Franck NGYKE KANGUNDU et Hélène Mpaka, avait tenu le jeudi 6 octobre dernier à Kinshasa, la première réunion de prise de contact avec les leaders des associations professionnelles des médias.
Reconnaissance des journalistes assassinés : Les professionnels des médias et activistes des droits Humains invités à soutenir les actions menées par le groupe de plaidoyer.
Au cours de cette réunion, un appel a été lancé à l’endroit des professionnels des médias et des activistes des droits Humains afin de soutenir les actions menées par le groupe de Plaidoyer Justice pour Franck NGYKE KANGUNDU et Hélène Mpaka. Le groupe de Plaidoyer « Justice pour Franck NGYKE KANGUNDU » mène une campagne de sensibilisation à l’occasion de la célébration de la journée internationale de la fin de l’impunité pour des crimes commis contre des journalistes.
Selon l’Editeur responsable du journal la Référence Plus, co-initiateur dudit projet, M. André Ipakala Abeiyi Mobiko, cette campagne vise à rappeler l’importance de la liberté de la presse et à obtenir la reconnaissance des journalistes assassinés en République Démocratique du Congo au rang des Martyrs de la liberté de la presse. « Nous invitons toute la corporation à nous rejoindre dans le plaidoyer pour la reconnaissance des journalistes assassinés en RDC au rang des martyrs de la liberté de la presse », a fait cet appel Grâce Israëlla KANGUNDU Ngyke, fille biologique du défunt Franck Ngyke Kangundu.
De son côté, le secrétaire général de l’UNPC a fait savoir qu’il était temps de rappeler le sacrifice de ceux qui ont donné leur vie pour la liberté d’expression et la démocratie.
« Nous plaidons auprès de Son Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat et Magistrat suprême, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo d’élever au rang des Martyrs de la liberté de la presse tous ces journalistes assassinés en RDC », un appel lancé par les membres du comité de pilotage.
Ces derniers plaident à ce que les sacrifices des confrères assassinés ne soient pas classé dans les oubliettes de l’histoire de la République. Faisant à l’état de droit prôné par le Chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, le comité de pilotage du groupe de Plaidoyer Justice pour Franck NGYKE KANGUNDU crois que la liberté de la presse est essentielle pour une société démocratique. Ainsi, un appel a été lancé à tous les professionnels des médias et les activistes des droits de l’homme pour leurs voix continuent de résonner.