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Retour de Joseph Kabila par l’Est : Augustin Kabuya dénonce une alliance avec Kigali

L’annonce mardi 8 avril 2025  du retour de l’ancien Président de la République, Joseph Kabila, par la région orientale du pays, a provoqué une onde de choc sur la scène politique. Plusieurs acteurs politiques s'interrogent sur l'opportunité de cette annonce en cette période où le pays est agressé.

Dans sa réaction, Augustin Kabuya pense que cette annonce de l’ancien Président de la République démocratique du Congo, qui parle de son retour au pays, par la partie Est, victime d’une guerre imposée par le Rwanda en partenariat avec le M23/AFC. La preuve que derrière cette insécurité se cache plusieurs personnalités politiques.

« Nangaa, c’est le produit de Kabila, Kabila c’est le produit de Kagame. Moïse Katumbi ne me surprend pas », a déclaré Augustin Kabuya avant d'établir une supposée chaîne d’influence entre l’ancien Président congolais et son homologue rwandais Paul Kagame.

Kabuya va plus loin, affirmant que le retour de Kabila n’est pas anodin, mais s’inscrit dans une dynamique politique et géopolitique visant à fragiliser l’actuel Président Félix Tshisekedi. Il appelle ainsi la population à rester unie autour du Chef de l’État.

Selon le numéro un de l’UDPS, la posture du Président rwandais serait révélatrice en précisant: « Ce qui est plus important dans cette affaire, c’est la position du Président rwandais Paul Kagame qui a compris qu’il est en train d’être sanctionné avec son régime. Il faut que vous-même vous puissiez porter des gants, monter sur le ring, et vous afficher officiellement ».

Et de s'indigner: « Kabila, tout en étant conscient que par la voie électorale jamais il ne peut gagner même les élections municipales, vu tout le mal qu’il a fait aux Congolais, savait que l’unique façon de revenir en politique était de tuer les Congolais. Quand Goma tombe, silence. Bukavu pareil. Mais dès qu’il a entendu parler de sanctions contre les dignitaires de Kagame, il convoque une conférence de presse».

Jackson Mutamba

 

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Pour une gestion axée sur les résultats, RDC : la politique sectorielle du Ministère du Plan et CAD validée !

Le Ministère du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement a procédé, lors d’un atelier organisé ce 03 avril 2025 dans ses installations, à la validation technique de la Politique sectorielle pour une gestion axée sur les résultats. Il s’agit d’une grande première dans l’histoire du ministère, qui marque une avancée majeure vers une gestion plus efficace des dépenses publiques, en phase avec la réforme engagée par la République Démocratique du Congo (RDC) dans le cadre de Budget-Programmes.

Un engagement pour une gestion budgétaire plus performante

Le Vice-Premier Ministre, Ministre du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement, Guylain Nyembo, qui a supervisé cet important atelier, a souligné dans son allocution, l’importance de la migration du pays du « Budget de moyens » vers le « Budget-Programmes », un modèle qui privilégie une allocation budgétaire optimale basée sur les résultats concrets des politiques publiques. "La République Démocratique du Congo a levé l’option de basculer du Budget de moyens au Budget-Programmes. Ce mode de gestion budgétaire offre de nombreux avantages, notamment une meilleure gestion des finances publiques axée sur les résultats, ou encore une meilleure affectation des ressources aux actions publiques essentielles", a-t-il déclaré.

Ce changement structurel impose à chaque Ministère de définir une politique sectorielle claire, accompagnée d’un Plan d’actions prioritaires. L’atelier de validation tenu ce jour concrétise cette exigence et positionne le Ministère du Plan & CAD comme un acteur clé dans l’amélioration de la gouvernance budgétaire.

Un long processus ayant conduit à l’identification de grands trois axes d’intervention

L’élaboration de cette politique sectorielle a connu un long cheminement. Depuis 2019, le Ministère du Plan & CAD a mené un diagnostic approfondi, impliquant toutes les parties prenantes, notamment les structures et services placés sous sa tutelle. L’objectif était de définir une vision stratégique cohérente, alignée sur les grandes orientations du Plan National Stratégique de Développement (PNSD). Ce travail a abouti à l’identification de trois grands axes d’intervention, traduits en programmes ministériels :

  • Programme Administration Générale : Renforcement des capacités institutionnelles et modernisation du fonctionnement du ministère ;
  • Programme Étude et Planification du Développement : Mise en place d’outils et des mécanismes performants pour la planification du développement économique et social ;
  • Programme Investissement et Partenariat pour le Développement : Promotion des investissements publics et privés pour stimuler la croissance et la coopération internationale.

Cette structuration vise à garantir une allocation efficace des ressources, en mettant en avant les priorités stratégiques du gouvernement. Avec cette première validation de sa politique sectorielle, le Ministère du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement affirme son rôle pionnier dans la mise en œuvre du Budget-Programmes en RDC. Cette démarche ouvre la voie à une gestion budgétaire plus transparente et mieux ciblée, répondant aux besoins réels du pays.

(Avec la Cellule de Communication & Médias)

Pour une gestion axée sur les résultats, RDC : la politique sectorielle du Ministère du Plan et CAD validée !
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Sous le guide de son Président National Crispin Kabaselek, Union Sacrée : l’Union des Démocrates Sociales renouvelle son adhésion !

Le Président National de l'Union des Démocrates Socialistes, UDS, monsieur Crispin Kabasele Tshimanga Babanya Kabudi, a renouvelé l’adhésion de son parti à l'Union Sacrée de la Nation (USN), ce vendredi 4 avril 2025 au Secrétariat Permanent de l'Union Sacrée.

Par cet acte, l'Union des Démocrates Socialistes, UDS, confirme, une fois de plus, son alignement derrière le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, en ce moment difficile que traverse la République Démocratique du Congo.

Outre le Président Kabasele Tshimanga, la délégation de l'UDS comprenait également les Messieurs Bertho Mulumba Ngandu, 3ème Vice-Président National chargé des Relations Internationales et de la Coopération, et Pascal Kanyinda Mutombo, Secrétaire Général Adjoint chargé des Relations avec les Partis Politiques, les Syndicats et les Associations.

JK/CP

 

Sous le guide de son Président National Crispin Kabaselek, Union Sacrée : l’Union des Démocrates Sociales renouvelle son adhésion !
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Mombele : Me Marcel Phanzu mobilise la population contre l’agression rwandaise !

Le Président du Mouvement des Jeunes Kibassistes (MJK), a organisé un grand meeting populaire à l’espace Mpila de Mombele, dans la ville de Kinshasa, le week-end dernier. Devant la population, Maître Marcel Phanzu a condamné avec la dernière énergie l'agression de l’armée rwandaise en RDC, appelant à la mobilisation générale pour la défense de la souveraineté du territoire national contre toute occupation étrangère.

Il a également demandé à la population de vivre dans la cohésion nationale, dans l’unité et de s’abstenir de toute division pour ne pas donner la voie aux agresseurs.  ‘’Que tu sois de la tribu kongo, luba, ngala ou swahili, nous sommes tous dans notre pays ou dans d’autres provinces du pays. Nous devons nous impliquer dans la guerre qui nous est imposée en aidant ceux qui se battent, en les aidant avec les nouvelles énergies’’, a-t-il recommandé.

Celui qui est réputé comme étant l’ambassadeur de la paix a, en outre, encouragé les jeunes à s'enrôler massivement dans l'armée nationale, tout en saluant, par ailleurs, les efforts diplomatiques du Chef de l'État qui ont produit, selon lui, des résultats escomptés, dont des pressions et des condamnations en cascade de l’agression rwandaise.

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Jean WANANI, coordonnateur de MJK, a fait montre d’un optimisme hors pair quant à la mobilisation et la réussite de la manifestation.

 « Marcel PHANZU est un homme qui a lutté pour que nous puissions avoir la démocratie dans ce pays. Nous avons jugé bon de pérenniser sa vision, son combat et son idéologie. Nous ne voulons pas que ces hommages viennent après sa disparition », a expliqué Jean WANANI.

Au cours de ce rassemblement populaire, cette structure socio-politique va éclairer l’opinion nationale sur plusieurs sujets, notamment le choix du concept le mouvement des jeunes Kibassistes, l’aperçu général de l’idéologie de la structure, les précisions sur l’alternance pacifique, sans oublier quelques objectifs saillants de ce rassemblement des défenseurs du combat et de l’esprit.

A effet, Marcel PHANZU, président de la structure, a exhorté les Kinoises et Kinois de Mombele à se ranger derrière le Chef de l'Etat, Félix Tshisekedi, dans sa lutte pour la sauvegarde de l'intégrité territoriale du pays.

Chris Mutombo

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Consultations nationales pour un Gouvernement d’union nationale, Sama Lukonde : ‘‘Les premiers mots, c’est de réitérer notre loyauté à Son Excellence Monsieur le Président de la République’’

  Des consultations nationales ont été initiées par le Garant du bon fonctionnement des institutions de la République, Félix Tshisekedi, Chef de l’Etat, en vue de réunir tous les fils et filles du pays dans la gestion de cette crise sécuritaire qui secoue la partie Est du pays afin d’apporter des solutions idoines pour qu’une paix durable soit rétablie dans un délai plus que raisonnable. Ce samedi 29 mars, Jean-Michel Sama Lukonde, président du Sénat et membre du présidium de l’Union Sacrée, a été reçu par le Conseiller spécial du Chef de l’Etat en matière de sécurité, Eberande Cashmir Kolongele, à qui la lourde responsabilité de Consultant a été confiée.

Reçu comme membre du présidium de l’Union Sacrée pour la Nation, Sama Lukonde définit le cadre qui le réunit en ce temps de grave crise ainsi que le mobile pour lequel il a été reçu.

«J’ai été reçu ici comme membre du présidium de l’Union Sacrée selon le cadre de ces échanges édictés par Son Excellence Monsieur le Président de la République, où il a demandé à ce qu’il y ait des consultations politiques qui s’inscrivent dans le cadre d’un esprit de cohésion et d’unité nationale », a-t-il indiqué.

Sa participation à ces consultations est un écho raisonnant du haut de la colline, qui sensibilise plus d’acteurs politiques à adhérer dans cette vision du Chef de l’Etat qui veut que la partie orientale du pays soit pacifiée et que les congolais vivent en paix partout où ils se trouvent sur le territoire national.

La situation sécuritaire que traverse le pays divise et déchire la classe politique au moment où les relations entre les acteurs politiques devraient demeurer insécables en ce moment de haute tension et de crise persistante dans l’Est de la RDC.

Alors que l’opposition, elle, reste diviser sur cette question de consultations nationales, le pouvoir doit tenir le cap dans une unité nationale autour de sa Haute Autorité morale afin de l’accompagner dans sa gestion de la Res publica surtout en ce temps d’agression rwandaise. Ainsi, témoigner sa loyauté envers le Président de la République est un signe de fidélité et de patriotisme. Sama Lukonde est l’un de ceux qui ont pris langue avec ses collègues de l’USN pour participer à ces échanges censés apporter des solutions à la crise actuelle dans le pays.

« Face à cette triste situation sécuritaire que vit la République Démocratique du Congo en ce moment, et nous, en tant que membre de l’Union Sacrée, les premiers mots c’est de réitérer cette loyauté à Son Excellence Monsieur le Président de la République et d’adhérer à cette idée d’unité et de cohésion nationale», a-t-il renchéri.

Ayant débuté le lundi 24 mars 2025, les consultations nationales se poursuivent jusqu’à ressortir des conclusions qui déboucheront à la mise en place d’un gouvernement d’union nationale.

César Nkangulu

Consultations nationales pour un Gouvernement d’union nationale, Sama Lukonde : ‘‘Les premiers mots, c’est de réitérer notre loyauté à Son Excellence Monsieur le Président de la République’’
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La politique ne peut être dissociée à des intérêts. Mais quels intérêts ?

(Par le Prof LOKONGO)

La politique assure la poursuite de l'intérêt commun qui est sacré par rapport à l'intérêt privé.

Au Congo on fait des deals politiques pour protéger ou pour consolider les intérêts des acteurs politiques corrompus. Les richesses on s'en crée par le travail, pas par les détournements. C'est du vol.

Accumuler des capitaux y compris immobiliers à partir de l'exercice du pouvoir en s'appropriant les fonds de l'État, des carrés miniers, bref le patrimoine commun de toute la nation, c'est du vol !

Comment comprendre la guerre qui sévit au Congo ?

C'est l'affrontement de plusieurs intérêts privés ou groupes d'intérêts privés locaux et étrangers sur le sol et le sous-sol congolais.

Rappelez-vous de ce que Mzee Laurent Désiré Kabila a dit à Bill Clinton à Kampala :

"Moi je suis tout simplement quelqu'un qui aime mon pays le Congo comme vous aimez votre pays les États-Unis.

Moi je suis tout simplement quelqu'un qui défend l'intérêt national suprême de mon pays, comme vous, vous défendez l'intérêt suprême des États-Unis."

Pour Mzee Laurent Désiré Kabila, pas question de vendre le Congo au premier venu et plus offrant. Pas question de trahir le Congo et se mettre au service du sionisme et de l'international Tutsi power. Il a cet effet cimenté l'unité du peuple congolais.

Ça c'est contrairement à un Félix Tshisekedi qui a commencé son mandat en 2019 en jurant aux États-Unis même que "désormais quiconque touchera à l'Etat d'Israël et par extension à l'Etat du Rwanda, touchera à la RDC tant que c'est moi qui suit le président."

Vous comprenez alors pourquoi nous sommes là où nous sommes.

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Deuxième phase des consultations politiques , RDC : l’Eglise du Christ au Congo appelle à éteindre les flammes de la division

La République Démocratique du Congo poursuit ses efforts pour instaurer un climat de paix et de stabilité à travers la formation d’un Gouvernement d’Union nationale. Sous l’impulsion du Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, la sixième journée des consultations politiques s’est tenue ce lundi avec la participation notamment, de l’Eglise du Christ au Congo, marquant la deuxième semaine de ce processus inclusif. Après avoir accueilli les regroupements politiques de l’Union sacrée de la Nation (USN) la semaine précédente, les consultations se sont élargies à l’opposition congolaise, à la Société Civile et à des personnalités issues de catégories socioprofessionnelles spécifiques. 

Ces consultations, présidées par le Conseiller spécial du Chef de l’Etat en matière de sécurité, Désiré-Cashmir Eberande Kolongele, visent à rassembler toutes les forces vives de la nation autour d’un objectif commun : restaurer l’intégrité territoriale et promouvoir la paix. Le révérend Moïse Bwema, directeur de cabinet du président national de l’Eglise du Christ au Congo (ECC), a exprimé l’urgence de cette démarche.  

«Lorsque la maison est en feu, on ne tient pas compte de qui apporte de l’eau pour éteindre le feu. Tous les moyens sont donc possibles pour amener la paix, pour que notre pays puisse retrouver son intégrité territoriale. Nous sommes ici pour que le pays retrouve l’intégrité de son territoire. Et lorsque le Chef de l’Etat lance un appel, c’est tout à fait normal que la population puisse se lever pour résoudre ce problème si épineux.

Le processus de consultations politiques s’inscrit dans une vision stratégique du Chef de l’Etat, qui entend mobiliser toutes les composantes de la société congolaise pour relever les défis sécuritaires et politiques auxquels le pays est confronté. En réunissant des acteurs aussi divers que les regroupements politiques, les organisations de la société civile et les leaders religieux, Félix Tshisekedi cherche à bâtir un gouvernement capable de répondre aux aspirations de la population et de garantir la stabilité du pays. 

Dans sa déclaration au sortir de son entrevue avec le Conseiller spécial du Chef de l’Etat en matière de sécurité, le représentant du Révérend André Bokundoa, a effectué une mise au point sur le Pacte pour la paix et le bien-vivre ensemble initié par le couple CENCO-ECC.

Selon le révérend Moïse Bwema, le Président Tshisekedi s’est montré disposé à recevoir les représentants de ces institutions pour examiner leurs propositions et intégrer leurs recommandations dans la feuille de route du futur Gouvernement d’Union nationale. 

Cette déclaration illustre l’engagement des acteurs religieux, notamment la Conférence Épiscopale Nationale du Congo (CENCO) et l’ECC, qui jouent un rôle clé dans les consultations. Ces institutions ont promis de présenter un rapport détaillé au Président Tshisekedi avant la fin des discussions, témoignant de leur implication dans la recherche d’un consensus national. 

Alors que les consultations se poursuivent, l’espoir d’une solution inclusive et durable grandit parmi les Congolais. La formation d’un Gouvernement d’Union nationale représente une opportunité unique de rassembler les forces politiques et sociales autour d’un projet commun, capable de répondre aux défis sécuritaires, économiques et sociaux du pays. Ce processus, bien que complexe, pourrait marquer un tournant décisif dans l’histoire récente de la RDC, en posant les bases d’une gouvernance plus inclusive et résiliente. 

Nathan Mundele

Deuxième phase des consultations politiques , RDC : l’Eglise du Christ au Congo appelle à éteindre les flammes de la division
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