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Après avoir bénéficié de la grâce présidentielle, RDC : Jean-Marc Kabund fait le bilan de la gestion de Félix Tshisekedi

Après avoir été affranchi de sa condamnation de sept ans, selon le verdict de la Cour, suite à la grâce présidentielle du 31 décembre 2024, l'opposant politique Congolais Jean-Marc Kabund a, dans une déclaration faite à la presse ce jeudi 27 février 2025, dressé un bilan désastreux, selon lui, de la gestion du Président de la République, Félix Tshisekedi.

L'ancien Vice-président du parti au pouvoir ne s'est pas privé le droit d'attribuer les multiples violations qui sévissent sur l'ensemble du territoire national, surtout celles causées par la guerre d'agression rwandaise ainsi que la précarité de la vie des Congolais.

“Le bilan est sans appel. Sous son [Félix Tshisekedi] mandat, le pays sombre dans la violence, avec l’Est en proie à la guerre, l’appauvrissement de 80% de la population, et l’autoritarisme. Ces échecs ne sont pas un hasard. Ils découlent d’une gestion clientéliste et d’un mépris total pour l’État de droit”, a déclaré Jean-Marc Kabund. Il a saisi l'opportunité pour faire le point sur la réforme constitutionnelle voulue par le Chef de l'État au dernier trimestre de l'année antérieure et dont une commission devrait être mise en place au courant de ce mois de février finissant. Kabund parle d'une tentative de coup d'Etat constitutionnel parce que ne répondant pas à l'intérêt général et étant contraire à l’esprit des combats démocratiques menés par Feu Etienne Tshisekedi.

"Une révision constitutionnelle ponctuelle pourrait être légitime si elle répondait à l’intérêt général. En revanche, la manœuvre visant à modifier la loi fondamentale pour permettre un troisième mandat, voire plus, relève d’un coup d’Etat constitutionnel. Ce projet, contraire à l’esprit des combats démocratiques menés par Feu Etienne Tshisekedi, insulte la mémoire des martyrs de la démocratie. Pis encore, il aggrave les fractures sociales et sécuritaires, comme en témoignent les discours belliqueux de ses promoteurs. C’est une telle tentative de hold-up institutionnel qui a précipité le Congo dans le chaos actuel", a-t-il ajouté.

Il y a lieu de rappeler que, condamné pour outrage au Chef de l'État et diffamation, Jean-Marc Kabund a finalement retrouvé le chemin de la liberté en cette période de grave crise sécuritaire et humanitaire qui secoue la partie orientale du pays. De plus, sa mise en liberté coïncide avec le vœu de Félix Tshisekedi, Président de la République, de mettre en place un Gouvernement d'union nationale pour une cohésion nationale dans la recherche de la paix, une paix durable et existentielle sur l'étendue du territoire congolais.

César Nkangulu

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S’insurgeant contre les propos de Jean-Pierre Bemba, RDC : le PPRD dénonce une campagne de diabolisation contre Joseph Kabila

Le Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD) dénonce les déclarations du Vice-Premier Ministre, Ministre des Transports, Jean-Pierre Bemba, lors de son meeting à Bandundu, au cours duquel il avait accusé le Président honoraire Joseph Kabila d'être derrière la milice Mobondo. Le PPRD rappelle que cette milice est née de revendications liées à la vente de terres ancestrales. Le parti souligne la proximité du pouvoir actuel avec cette milice et appelle à la cessation de la manipulation politique. Pour faire la lumière sur cette situation, le PPRD exige la publication des rapports d'enquête internationaux et des poursuites judiciaires contre les auteurs des massacres, tout en alertant sur les tentatives de diversion du régime en place.

 

Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie

PPRD

« Unité-Action-Progrès-Solidarité »

Le Secrétaire Permanent

COMMUNIQUE DU PPRD N°PPRD/SP/ERS/2025 DU 27 FEVRIER 2025

Face à un énième "faux-fuyant" du régime dictatorial de Monsieur Félix Tshisekedi Tshilombo, le PPRD dénonce la manipulation et l'instrumentalisation de la vérité. Le Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie, PPRD en sigle, exprime sa profonde indignation face aux déclarations fallacieuses du ministre des Transports, Monsieur Jean-Pierre Bemba, ancien ministre de la Défense, à l'occasion de son « meeting populaire » tenu le 25 février 2025 dans la Ville de Bandundu, Chef-lieu de la Province de Kwilu.

En effet, dans une dernière tentative désespérée de détourner l'attention du peuple congolais des véritables responsabilités du régime en place, Monsieur Bemba a porté, sans preuve aucune des accusations absurdes et totalement mensongères contre le Président de la République Honoraire et Sénateur à vie, Son Excellence Joseph Kabila Kabange, l'accusant, toute honte bue, d'être derrière le phénomène Mobondo.

Le PPRD rappelle que cette milice Mobondo est née dans un contexte où sa seule revendication portait sur la vente de terres ancestrales aux fermes de Kingakati, par des membres de la tribu Teke. Il est donc totalement incohérent et absurde d'accuser le Président de la République Honoraire et Sénateur à vie, Son Excellence Joseph Kabila d'être derrière ceux qui s'en prennent aujourd'hui violemment aux vendeurs de ces terres.

Pire encore, des faits irréfutables démontrent la proximité du pouvoir en place avec cette milice. En effet, plusieurs de ses membres ont été reçus en audience par les autorités et même intégrés au sein des Forces armées de la République démocratique du Congo, FARDC en sigle. Le régime dictatorial actuel ne peut donc se soustraire de ses responsabilités en tentant vainement de faire diversion comme pour le cas du M23 par des accusations politiciennes dénuées de tout fondement.

Le PPRD salue la saisine de plusieurs organismes internationaux, notamment de l'Union africaine (UA) et des Nations Unies (ONU), qui enquêtent actuellement sur ces massacres. Les victimes, dans leur mémorandum, pointent du doigt la complicité ou le laxisme du gouvernement face à ce qui s'apparente à un véritable génocide.

Face à cette situation gravissime, le PPRD exige :

1. La cessation immédiate de la manipulation politique visant à salir l'image de marque et le nom du Président Joseph Kabila Kabange, Sénateur à vie, Président National du PPRD et Autorité Morale du Front Commun pour le Congo, FCC en sigle ;

2. La publication sans délai des rapports des experts internationaux chargés d'enquêter sur ces crimes ;

3. L'engagement de poursuites judiciaires contre les véritables auteurs de ces massacrés, conformément aux demandes des victimes.

Le PPRD tient à alerter l'opinion nationale et internationale sur cette tentative grossière de diversion et appelle à la vigilance face aux manœuvres d'un pouvoir aux abois, prêt à tout pour masquer son échec et son implication dans la déstabilisation du pays.

Fait à Kinshasa, le 27 Février 2025

Prof. Dr. Emmanuel RAMAZANI SHADARY

 

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Goma : le Bureau d’Ensemble pour la République victime d’un sabotage !

C'est depuis le 27, et 28 janvier 2025 que l'opposition politique armée AFC/M23 a occupé la ville de Goma, cela avec tous les dégâts constatés des pillages, vols, viols, enlèvements, assassinats sélectifs par des faiblards en fuite avant de quitter la belle ville touristique.

Plusieurs bâtiments n'ont pas échappé à ce vandalisme au chef-lieu de la province du Nord-Kivu.

C'est le cas ici du bureau de la coordination Provinciale du parti politique Ensemble pour la République en ville de Goma.

Faisant le constat des dégâts matériels ce mercredi 26 février 2025, Franck Mbutu, cadre de ce parti politique cher à Moise Katumbi qui sortait à peine de sa cachette se dit consterné de constater le sabotage dont a été victime les beaux bureaux de sa formation politique impacté par des casses causés par des tirs à l'arme automatique orientés vers le bâtiment et qui sont encore perceptible et bien visible sur les effigies du charmant Moïse Katumbi Chapwe imposées sur les façades de l'immeuble vitré qui s'impose majestueusement sur le boulevard JPK en plein centre huppé de Goma.

Il appelle toutefois l'UDPS à se connecter aux vraies réalités de cette guerre et de tout faire pour que la paix règne sur la partie encore sous sa gouvernance car, selon lui, le devoir du Président Tshisekedi est de protéger les populations, toute tendance confondue.

"C'est choquant de voir le sabotage dont a été victime notre bureau, que je qualifie d'un sabotage ciblé pure et simple.

Ils ont vandalisé notre bureau alors qu'à quelques mètres de chez nous, se trouve le bureau d'un parti politique proche de l'UDPS au pouvoir mais qui n'a pas été touché.

C'est comme si Ensemble pour la République était la cible préférée, nous regrettons cela et appelons le pouvoir à une prise de conscience".

Il sied de souligner que les biens des acteurs politiques sont la cible des terroristes du M23.

Guellord Risasi

 

Goma : le Bureau d’Ensemble pour la République victime d’un sabotage !
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Augustin Kabuya face au premier groupe de jeunes de l'UDPS pour intégrer les FARDC

Le Président de la République et Haute Autorité Politique de Référence de l'Union Sacrée de la Nation, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo a réuni, le samedi dernier, les membres du présidium, les Députés nationaux, les Sénateurs, les Gouverneurs, les membres du Gouvernement, les Présidents des Assemblées provinciales ainsi que les chefs des partis et regroupements politiques membres de l'Union Sacrée de la Nation. Parmi les recommandations que le Président Tshisekedi leur avait données, figure, entre autres, la mobilisation de la jeunesse aux opérations de recrutement volontaire lancées par les FARDC.

De la parole à l'acte, le Secrétaire Général et Président intérimaire de l'UDPS/Tshisekedi, l'honorable Augustin Kabuya a réuni mercredi 26 février 2025, devant le siège national de Limete 11ème rue, le premier groupe des jeunes de son parti qui se sont portés volontaires au service militaire.

Il était question pour le numéro 1 de l'UDPS/Tshisekedi de les féliciter et de les encourager pour avoir répondu favorablement au mot d'ordre du Président de la République.

Dans son speech, Augustin Kabuya a aussi exhorté les jeunes de toutes les provinces du pays à se faire enrôler dans l'armée afin d'assurer une représentativité suffisante de toutes les tribus et lutter contre les infiltrations étrangères au sein des FARDC.

L'occasion faisant le larron, il a abordé la question relative au message faisant état de la discrimination des swahiliphones à Kinshasa. Pour le Président intérimaire de l'UDPS, il s'agit d'une propagande initiée par Paul Kagame et relayée par certains religieux après avoir échoué sur celle de la supposée discrimination des Banyamulenge en RDC. Pour ceux qui ne le savent peut-être pas, le Ministre d'État en charge des Infrastructures et Travaux publics est Munyamulenge. Pour une petite histoire, ce dernier a été élu Député national sur la liste de l'UDPS/TSHISEKEDI, au terme des législatives nationales de décembre 2023, avant d'être proposé au gouvernement toujours par l'UDPS/Tshisekedi.

Dans la même lancée, le SG Augustin Kabuya a indiqué qu'il a lui-même dans son entourage plusieurs collaborateurs issus de l'espace Swahiliphone. Il s'agit du Secrétaire National de l'UDPS/Tshisekedi en charge de la Communication, Clément Baruti nommé par ordonnance présidentielle, Membre du Conseil d'Administration à l'OCC, de son assistante madame Faida Biringanine Alphonsine, de la Présidente fédérale de l'UDPS/Tshisekedi UVIRA, madame Francine Mwangaza qui, tous, étaient d'ailleurs présents à cette activité et, comme un seul HOMME, ont, séance tenante, rejeté formellement cette fausse thèse de maltraitance des swahiliphones.

Signalons, cependant, que la liste de collaborateurs du Chef de l'administration du parti présidentiel n'est pas exhaustive. Parmi ceux qui étaient absents à  cette activité, on peut citer le Député National, PCA de l'OGEFREM et Président de la ligue des jeunes de l'UDPS/Tshisekedi, l'honorable Adolphe AMISI MAKUTANO, le Secrétaire National et Administrateur à la SONAHYDRO Léon ZINDULA, le Secrétaire National Victor OKITOKOMA et le Sénateur Idrissa AFANI.

Prenant la parole à son tour pour étayer les propos de son chef, le Secrétaire National Clément Baruti a rappelé que le poste de VPM en charge de l'intérieur au sein du gouvernement, ceux de Directeur de Cabinet du Chef de l'État, du Président de l'Assemblée nationale, du Président du Sénat , du 2ème Vice-président du sénat, du Questeur Adjoint du Sénat, du Chef d'état-major Général des FARDC, du Chef de la DGM, du VPM de Plan, du Chef de la garde Républicaine sont assumés par des swahiliphones.

Partant de cette réalité, Augustin Kabuya s'est posé la question de savoir si Paul Kagame a ses propres swahiliphones qu'il veut imposer aux congolais ou encore qu'il nous indique avec des détails nécessaires des Swahiliphones qui sont maltraités à Kinshasa. Ces questionnements viennent juste d'attester que le fait pour certains parmi nos compatriotes de relayer ce message de discrimination, l'ennemi Paul Kagame a décidé d'user de la ruse pour diviser les Congolais par le canal de son armée numérique déployée sur les réseaux sociaux.

Il sied de noter que c'est par une belle ambiance que l'activité de ce jour a pris fin. Toute porte à croire que dans les prochains jours, les autorités compétentes vont mettre les bouchées doubles pour assurer l'évacuation des jeunes volontaires présentés ce jour vers les centres d'encadrement militaires.

Jackson Mutamba

Augustin Kabuya face au premier groupe de jeunes de l'UDPS pour intégrer les FARDC
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LE MDCO RENOUVELLE SON ENGAGEMENT AUX CÔTÉS DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE ET SOUTIENT LES FORCES ARMÉES DE LA RDC

Kinshasa, le 26 Février 2025

Depuis le début du mandat de Son Excellence Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, le Mouvement des Démocrates Congolais (MDCO), sous la présidence de l’Honorable Gabriel Mokia, n’a cessé d’apporter son soutien indéfectible aux actions du Chef de l’État en faveur du développement et de la stabilité de notre pays.

Aujourd’hui, alors que nos vaillantes Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) mènent un combat noble pour défendre l’intégrité territoriale et la souveraineté nationale, le MDCO réaffirme sa loyauté envers la Nation toute entière et exprime sa solidarité totale avec nos soldats qui se battent pour notre sécurité.

Dans cette optique, le MDCO a décidé de remplacer les grandes enseignes datant de la période électorale par un visuel de soutien aux FARDC, mettant ainsi en avant l’engagement patriotique du parti et de son président envers ceux qui protègent la République sous le leadership du Chef de l’État.

Le MDCO invite toutes les forces vives de la Nation à se joindre à cet élan de solidarité et à témoigner leur soutien aux FARDC, garantes de notre liberté et de notre avenir commun.

Que vive la RDC !

Que vivent nos Forces Armées !

Que vive le MDCO !

La Cellule de Communication du Mouvement des Démocrates Congolais CCMDCO

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Sortie médiatique de l'ancien Chef de l'Etat congolais, UDPS : Augustin Kabuya  s'insurge contre les propos de Joseph Kabila

 La dernière sortie médiatique du Président honoraire Joseph Kabila a poussé Augustin Kabuya à dénoncer le soutien de l'ex- Président aux rebelles du M23. Augustin Kabuya, secrétaire général de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, a réagi vivement ce lundi 24 février 2025, aux accusations de Joseph Kabila. Augustin Kabuya dit que l’ex-Président  n’est pas la bonne personne pour donner des leçons aux congolais sur les préjudices causés pendant son règne.

Joseph Kabila avait critiqué le gouvernement de Félix Tshisekedi concernant les revendications des terroristes du M23. Augustin Kabuya estime que ces déclarations confirment que Kabila a toujours soutenu les terroristes. “Joseph Kabila sort enfin de son silence et dévoile son vrai visage. En dehors de la violence et des armes, il n’a jamais su faire de la politique démocratique.

Il sait bien que si des élections se tenaient aujourd’hui, personne ne voterait pour lui ou pour ses alliés, vu tout ce qu’ils ont fait”, a déclaré Augustin Kabuya.

Kabuya a également réagi aux accusations de Kabila concernant le musèlement de l’opposition par le gouvernement actuel.

Selon lui, Kabila n’a pas le droit de parler de démocratie. “Est-ce qu’un homme comme Kabila, qui a tant de sang sur les mains, peut parler de démocratie ? Dans sa tribune, Joseph Kabila a fait observer que la crise actuelle en RDC remonte à 2021, et est multidimensionnelle. "C’est une crise sécuritaire et humanitaire, mais surtout une crise politique, sociale, morale et éthique. Cet aspect est minimisé, voire ignoré, par les pays et organisations partenaires de la RDC, y compris la SADC", avait déclaré le Président honoraire, qui estime que la SADC devrait mieux comprendre la situation. "Les revendications du peuple congolais contre son Gouvernement doivent être prises en compte", dixit Joseph Kabila. Peut-il même aller discuter calmement avec la famille de Floribert Chebeya ? Kabila se cachait derrière le système électoral de Nangaa”, a ajouté Augustin Kabuya.

Dans son interview, Joseph Kabila a expliqué que la crise actuelle en RDC dure depuis 2021. Il la décrit comme étant une crise sécuritaire, humanitaire, politique, sociale, morale et éthique. Selon Kabila, ces aspects sont ignorés par les pays partenaires de la RDC, y compris la SADC.

"Aujourd'hui, Joseph Kabila lui-même monte au créneau, pour faire tomber les masques. Ce dernier, en dehors de la voix des armes, ne peut pas faire la politique d'une manière démocratique. Ils sont tous conscients que s'il y a élection, en bonne et due forme, personne ne peut voter pour eux, vu tout ce qu'ils ont fait. Le malheur pour moi est d'avoir eu une longueur d'avance sur certains acteurs politiques", a-t-il indiqué.

"Est-ce que dans un pays sérieux, quelqu'un comme Kabila peut-il parler de la démocratie ? Peut-il aller calmement dans la famille de Floribert Chebeya, Bazana parler de ça ? Il y a beaucoup de choses. Kabila se cachait derrière Nangaa", a-t-il rajouté.

Jackson Mutamba

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Gouvernement d’Union nationale, RDC : l'Opposition rejette la main tendue de Félix Tshisekedi !

Après l'annonce, par le Chef de l'État Félix Tshisekedi, de la formation éventuelle d'un gouvernement d'Union nationale élargi à l'opposition, Prince Epenge, porte-parole de Lamuka soutient: « Proposer un gouvernement d'Union nationale aujourd'hui, c'est se moquer des Congolais, c'est cracher sur les enfants de Goma qui meurent, les enfants du Nord et Sud-Kivu que M. Félix Tshisekedi a abandonné ». 

Et de rappeler que le Congo connaît 3 crises majeures : la crise sécuritaire qui est en train de déchirer le pays ; la crise politique liée à l’illégitimité des institutions actuelles et une crise sociale aiguë. M. Félix Tshisekedi pense que ces 3 crises graves qui secouent le Congo peuvent être résolues par un simple débauchage des opposants? s'est-il interrogé.

Dans son argumentaire, ce porte-parole de Lamuka estime qu'un « simple gouvernement d'Union nationale ne fera rien d'autre que consolider la gloire personnelle de  Félix Tshisekedi.

« La coalition Lamuka a conscience que la voie à suivre aujourd'hui, c'est le dialogue prôné par les Églises catholique et protestante », tranche Prince Epenge avant de poursuivre : « C'est la solution, la seule d'ailleurs pour résoudre les 3 crises graves auxquelles fait face la RDC ».

Autrement, prévient-il, « le drame va continuer et ce qui arrivera demain, certainement Félix Tshisekedi en sera comptable devant le peuple, lui qui semble ignorer que le Congo est au bord du précipice », lance-t-il.

Dans tous les cas, conclut-il, « si nous sommes dans cette situation, c'est à cause de l'incapacité de M. Tshisekedi de protéger les Congolais».

Tshisekedi, le problème

Pour Delly Sessanga au nom du Sursaut national contre le changement de la constitution, c'est une fin de non-recevoir à la proposition du Président de la République.

«Nous sommes en face d'un problème qui met en mal le tissu social et qui, éventuellement, pourrait hypothéquer l'avenir de la nation et on pense vraiment aujourd'hui que la solution serait d'élargir ou d'ouvrir la porte du gouvernement à l'opposition pour mettre fin à la guerre ? », se désole Alain Bolodjwa, du parti Levons-nous et bâtissons.

«Nous ne résoudrons pas le problème si nous n'avons pas compris ce qui n'a pas marché », indique ce membre du Sursaut national.

Et celui-ci de reprendre : « Apparemment, dans la démarche de M. Félix Tshisekedi, il suffit d'offrir à l'opposition des postes pour que tout aille (mieux). Il ne se pose pas la question de ce qui n'a pas marché avec l'actuel gouvernement mis sur pied alors que nous étions déjà dans une situation de guerre ».

«Nous sommes en réalité en face d'un fait qui nécessite beaucoup d'intelligence (et dont la réponse, n'est certainement pas) la mise en place d'un gouvernement élargi à l'opposition. Une analyse profonde des raisons de l'échec conduirait (plutôt) au départ de M. Félix Tshisekedi », conclut-il.

Réponse pitoyable

«Alors que nous sommes préoccupés à sauver le Congo, lui est préoccupé à sauver uniquement son pouvoir, issue d'une tricherie en récidive », peste, sur X, Hervé Diakese, porte-parole de Ensemble pour la République de Moïse Katumbi.

« Au lieu de faire face aux causes profondes de la crise, dont il est l'un de grands responsables, tant par son illégitimité avérée que par son incurie managériale, il pense qu'un réaménagement technique de son union sacrée, issue de la fraude et receleur du braquage électoral, tiendra lieu d'union nationale », assène-t-il.

« Une fois de plus, une piteuse réponse à une crise d'une rare gravité qui menace la survie de notre nation. Les mêmes genres de réponse qui lui ont fait préférer des mercenaires à la modernisation et au réarmement de nos troupes, les milices à la mobilisation d'une armée de métier nationale. Chaque fois qu'il s'est agi de faire face avec lucidité à la gravité de la situation, ce pouvoir de la fraude, à défaut de se rabattre sur les autres, se complaît dans le déni et les incantations », fait observateur Hervé Diakese.

Encore aujourd'hui, pointe-t-il, « ils pensent que le plus urgent c'est d'attendre et que l'inertie et le pourrissement permettront de sauver le semblant d'autorité qu'ils perdent à pans entiers, à chaque territoire de notre pays qui tombe ».

Jackson Mutamba

 

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Bénéficiaire de la Grâce Présidentielle, RDC : enfin, Jean-Marc Kabund libre !

Après environ 3 ans d’incarcération, il est libre. Jean-Marc Kabund-A-Kabund, président du Parti politique Alliance pour le Changement (A.ch), a quitté la prison centrale de Makala ce vendredi 21 février 2025 dans la soirée.

Ancien Premier Vice-Président de l'Assemblée Nationale et ancien président par intérim de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), il a connu une descente aux enfers en 2022. En janvier de cette année-là, des éléments de la Garde Républicaine avaient vandalisé sa résidence et arrêté les policiers chargés de sa protection, suite à une dispute avec un membre de cette unité de l’armée. Cet incident l’a conduit à annoncer sa démission sur Twitter, marquant le début de sa rupture avec le pouvoir en place, suivi de son éviction à l’UDPS.

En mars 2022, il a démissionné de son poste de Premier Vice-Président de l'Assemblée Nationale. En juillet de la même année, lors d'une sortie médiatique, Jean-Marc Kabund a tenu des propos virulents contre le Président Félix Tshisekedi, ce qui lui a valu une comparution devant la justice. En août 2022, il a été condamné à sept ans de prison ferme pour ‘’outrage au chef de l'Etat’’ et ‘’propagation de faux bruits’’.

Il a bénéficié d'une grâce présidentielle accordée par Félix Tshisekedi en décembre 2024. Initialement prévue pour le 2 février, sa libération a été reportée à plusieurs reprises avant d'être finalement effective le 21 février 2025. Cette mesure de grâce présidentielle a été justifiée par le Président Tshisekedi comme un geste d'humanité et de pardon à une catégorie de détenus, au cours de la période de festivités de fin d'année.

La libération de Jean-Marc Kabund intervient dans un contexte politique et sécuritaire particulièrement sensible. Le pays est en proie à des conflits dans l'Est, où les rebelles du M23, soutenus par le Rwanda, avancent dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Cette situation a exacerbé les tensions et les divisions au sein de la classe politique congolaise.

La libération de Jean-Marc Kabund est perçue comme un geste de réconciliation dans un contexte où la RDC a besoin d'une véritable  union sacrée pour faire face aux défis sécuritaires.

Nathan Mundele

Bénéficiaire de la Grâce Présidentielle, RDC : enfin, Jean-Marc Kabund libre !
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Bandundu : Didier M’pambia sensibilise la population pour le soutien au Chef de l’Etat

Le Ministre du Tourisme Didier M'Pambia Musanga a reçu un accueil chaleureux du Maire de la ville d’Inongo, à son arrivée ce samedi 22 février 2025. La population, mobilisée et fière de recevoir sur sa terre ce fils du Maï-Ndombe, a effectué une procession dans les rues. Et, par ricochet, elle a ainsi donné un vibrant témoignage de son attachement et de sa solidarité envers le Chef de l'Etat Félix Tshisekedi et les institutions de la République.

Après ce bain de foule, le Ministre a été escorté par le Gouverneur Nkoso Kevani Lebon jusqu'à la tribune officielle. Ce déplacement, minutieusement organisé, a mis en lumière l'unité et l'engagement des autorités locales vis-à-vis de leur hôte de Kinshasa.

Du haut de la tribune, le Gouverneur du Maï-Ndombe a loué les qualités de rassembleur du Ministre qui, en prévision de sa venue à Inongo, avait réuni et sensibilisé les Sénateurs, Députés nationaux et provinciaux ainsi que les notables du Maï-Ndombe à poursuivre la mobilisation au soutien tous azimuts au Commandant Suprême, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo et aux Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC).

A son tour, Didier M'Pambia Musanga a prononcé son discours d'un ton fort ferme et déterminé.

‘’Je suis venu avec un seul message : l'unité. Maï-Ndombe avait voté le Chef de l'Etat à 96 % aux élections de décembre 2023. Restons toujours aussi solidaires derrière lui face à l'invasion rwandaise contre notre pays’’. 

Abordant l'actualité brûlante du moment, il a déclaré sans ambages : "Le Rwanda tue, viole et pille chez nous, parfois avec la complicité de certains compatriotes congolais, des traîtres motivés par des intérêts égoïstes’’. Il a poursuivi d'un ton plus rassurant : "Mais je vous transmets un message du Chef de l'Etat : Nous allons gagner cette guerre". D'un ton encore plus mobilisateur, le Ministre du Tourisme a fait cette adresse solennelle à la population : "Nous appelons les filles et fils de Maï-Ndombe à s'enrôler massivement dans l'armée pour défendre la Patrie’’.

Par ailleurs, il a exhorté la population à rester vigilante et à collaborer étroitement avec les services de sécurité pour contribuer, à son niveau, à la préservation de l'intégrité de la République.

Jackson Mutamba

Bandundu : Didier M’pambia sensibilise la population pour le soutien au Chef de l’Etat
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