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Accusé de collusion avec Tshisekedi : Martin Fayulu n’acceptera jamais un cadeau empoisonné

A l’issue de la journée de réflexion réservée aux jeunes du parti politique ECIDE, tenue ce mardi 19 août 2025 à Kinshasa, Martin Fayulu Madidi, président de cette formation politique, est sorti de sa réserve pour balayer d’un revers de la main les accusations selon lesquelles il aurait tendu la main à Félix Tshisekedi pour de l’argent.

Après la rencontre qui avait eu lieu entre le président Félix Tshisekedi ainsi que l’opposant Martin Fayulu au palais du peuple, plusieurs réactions tendant à dérouter l’opinion ont été véhiculées dans les plateformes. On accuse le patron de l’ECIDE d’avoir visé l’argent. Une allégation fustigée par Fayulu qui affirme que l’idéal de leur rencontre était de sauver l’intégrité nationale, mettre sur la table la question de l’insécurité qui ronge énormément la partie Est du pays et non d’accepter de don empoisonné.

«Moi, j’ai été candidat président de la République. C’était pourquoi ? Pour m’amuser ? Non, c’était pour diriger ce beau pays qu’est la RDC. J’ai des défis à relever pour cette nation, mais je n’accepte pas de cadeau empoisonné. Je ne pratique pas la langue de bois. Si certains pensent qu’ils peuvent intimider les autres, en tout cas pas moi », a lancé celui qu’on surnomme « le Commandant du peuple ».

Par ailleurs, Fayulu a ajouté : « J’ai assumé plusieurs fonctions dans ma vie, notamment à l’Assemblée nationale. Qui peut dire qu’il m’a corrompu ? J’attends encore que l’on apporte la preuve que je me suis arrangé avec Félix Tshisekedi pour qu’il me donne le pouvoir. C’est un mensonge cousu de fil blanc. »

Évoquant son parcours, le président de l’ECIDé a souligné : « Je suis né ici, dans la capitale de la RDC, et j’ai gravi tous les échelons. J’ai été directeur d’une société pétrolière. Savez-vous ce que cela représente d’être Directeur général d’une société pétrolière au Nigeria ? C’était une fonction stratégique, je pouvais tout faire pour devenir millionnaire. Mais mon éthique et ma crainte de l’Éternel m’ont empêché de céder à la corruption. J’ai également travaillé à ExxonMobil comme Directeur général, avec siège en Éthiopie. Là encore, j’aurais pu, par la contrebande, m’enrichir illicitement. Posez-vous la question : ai-je pris l’argent de quelqu’un ? Non et non. Je vous mets au défi d’enquêter. »

Enfin, revenant sur le dialogue politique qu’il réclame, Fayulu a conclu : « Si nous allons au dialogue, que j’appelle de tous mes vœux et qui constitue la raison principale de mon combat, je me soumettrai aux décisions qui en sortiront ».

Jackson Mutamba

 

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Porte-parole de la coalition LAMUKA : Prince Epenge donne les raisons de l’absence de sa plateforme dans Suminwa II

Prince Epenge, président de l’ADDCONGO et porte-parole de la coalition LAMUKA, arrivé à Kinshasa samedi 9 août 2025 après un séjour en Europe, a réagi au remaniement de Suminwa II.

Prenant la parole devant une foule immense à l’aéroport international de Ndjili, le président de l’ADDCONGO s’est exprimé en ces termes : « Nous avons refusé d’intégrer le Gouvernement Suminwa II, parce que nous de la coalition LAMUKA, nous voulons le bonheur du peuple congolais. Ce Gouvernement ne fera rien, on a fait que permuter les gens, rien de bon ne peut sortir de ce gouvernement et le peuple congolais ne va rien profiter’’, a-t-il dit

Avant de faire savoir que : "Félix Tshisekedi avait souhaité que LAMUKA intègre le nouveau gouvernement, mais nous avons refusé. L'urgence aujourd'hui, c'est pacifier le pays, c'est-à-dire, libérer les territoires occupés, réconcilier les congolais, et amorcer les réformes électorales, parce que nous sommes en deux ans et demi, soit 30 mois de la fin du mandat de Félix Tshisekedi. Pour nous, il est hors de question qu'on puisse différer le dialogue pour gagner du temps afin de préparer un glissement", a-t-il affirmé.

Et de poursuivre : " les congolais meurs en silence, on mange difficilement, et il n'y a pas d'emploi. Il faut qu'il y ait un cadre d'échanges pour que nous puissions réfléchir. Nous nous battons pour avoir le pouvoir, mais nous voulons un pouvoir avec dignité, un pouvoir pour résoudre les problèmes du pays, et non un pouvoir pour intimider les gens ou chercher l'honneur".

Pour rappel, Félix Tshisekedi a échangé, jeudi 5 juin dernier, avec l'opposant congolais Martin Fayulu, à Kinshasa. Accompagné de Prince Epenge et d'autres cadres de LAMUKA, le leader de l'Ecidé -Engagement citoyen pour le développement - a, à l’issue de près de 2 heures d’entrevue, réaffirmé motiver sa démarche dans le cadre de la cohésion nationale.

Interrogé sur une éventuelle participation dans les institutions, Martin Fayulu Madidi a répondu que ce point n’a pas fait l’objet de discussions. C’est depuis la rencontre de l’opposition à Genève en novembre 2018 que les deux personnalités avaient rompu leur collaboration.

Michel Okaso

 

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Fidel Castro Ruz, un homme, un symbole, un legs de la lutte et de la résilience

(Par Cyrille Mwauka Masimango)

Secrétaire Général de l'UDS

Secrétaire-Rapporteur de l’Internationale Antifasciste RD Congo

 

C’est le 13 août 1926, un vendredi, que la terre a vu naître,  un Grand Dirigeant, un Héros,  l’homme de Moncada, le Commandant Éternel FIDEL CASTRO RUZ, une figure emblématique de la Révolution et de la politique cubaine. Cela fait, aujourd'hui, quatre-vingt-dix-neuf ans exactement que sa naissance incarne l'esprit de la lutte et de la Révolution, non seulement pour le peuple cubain héroïque qui a combattu depuis la petite île des Caraïbes, située à quelques kilomètres de la plus grande puissance impériale que l'humanité ait jamais connue. En rédigeant ainsi une page inédite de l'histoire. Mais également pour les travailleurs sans privilèges à travers le monde.

Son anniversaire nous rappelle son héritage, marqué par sa participation à la lutte contre le fascisme, l'impérialisme et le néocolonialisme. Et nous invite à réfléchir sur sa noble lutte qui a contribué à faire honneur aux travailleurs du monde ainsi qu'à ceux qui aspirent à un monde multipolaire. Ceux qui pensaient que l'élévation de l'Empire au rang de seule superpuissance, possédant une suprématie militaire et technologique sans pareil, aurait effrayé ou découragé le peuple cubain sont contraints d'admirer le courage accru de ce peuple valeureux.

Un jour emblématique comme celui-ci et synonyme de la venue d'un Grand Leader, nous galvanise et nous incite à affirmer haut et fort, au nom du peuple congolais uni sous l'égide de l'Union des Démocrates Socialistes, UDS, que nous ne fléchirons devant aucune menace, que nous résisterons à toutes les pressions et que nous sommes déterminés à défendre les principes de la Révolution par tous les moyens légaux nécessaires dans notre combat jusqu'au dernier souffle. Car, la lutte n’a jamais été aussi inégale.

Ce glorieux anniversaire m'offre l'occasion de rappeler, ici, l’héritage de la lutte de Fidel Castro Ruz.

Tout le monde en est conscient, c'est en sacrifiant son propre sang et en se servant des armes de l'adversaire que le peuple a renversé une tyrannie cruelle imposée par le gouvernement nord-américain, soutenue par une armée forte de quatre-vingt mille hommes.

La Révolution cubaine sous la houlette du Commandant Éternel Fidel Castro Ruz a libéré le Cuba, premier territoire en Amérique latine et dans les Caraïbes, de l'impérialisme. Le Cuba demeure donc  le seul pays du continent américain où, durant l'histoire postcoloniale, des sanctions exemplaires ont été infligées aux bourreaux, aux meurtriers et aux criminels de guerre responsables de la mort de dizaines de milliers d'individus.

Sous sa direction, la Révolution Cubaine a restitué et redonné toutes les terres aux paysans et aux ouvriers agricoles. Le Cuba a repris le contrôle de ses ressources naturelles, ainsi que ses industries et services indispensables. Le peuple, combattant sans relâche nuit et jour, a mis fin à l'invasion mercenaire de Playa Girón orchestrée par un gouvernement américain en moins de soixante-douze heures. Cela a permis d'éviter une intervention militaire directe de ce dernier et une guerre aux conséquences incalculables.

Fidel Castro Ruz a laissé un héritage considérable : celui de la Révolution cubaine et de l'édification d'un État socialiste. Son règne a entraîné d'importantes transformations sociales et économiques. La Révolution a mené à l'établissement d'un État socialiste avec la nationalisation des entreprises et l'introduction de réformes socialistes dans l'ensemble des secteurs de la société.

Merci, Castro le Maître !

 

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Querelles internes au sein de l'UDPS/Tshisekedi : Lisanga Bonganga tire la sonnette d’alarme !

Dans une déclaration politique publiée à Kinshasa le jeudi 7 août 2025, le Rassemblement des Compagnons d’Etienne TSHISEKEDI pour le Changement et le Progrès Social (RCET-CPS) a lancé un vibrant appel à l'unité et à la cohésion au sein de la famille politique du Chef de l'Etat Félix Tshisekedi. Signé par son coordonnateur, Jean Pierre Lisanga Bonganga, le document exhorte les membres de l'UDPS/TSHISEKEDI à entamer un processus de réconciliation sincère afin de consolider les acquis du combat historique d'Etienne Tshisekedi et de se ranger en ordre de bataille derrière la vision de développement du Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.

RASSEMBLEMENT DES COMPAGNONS D’ETIENNE TSHISEKEDI POUR LE              

CHANGEMENT ET LE PROGRES SOCIAL «RCET-CPS»                                                 

Déclaration politique en rapport à l’Unité et à la Cohésion au sein de la famille politique à laquelle appartient le Président de la République, Chef de l’Etat.  

Le Rassemblement des Compagnons d’Etienne TSHISEKEDI pour le Changement et le Progrès Social s’est réuni ce jeudi 07 août 2025 afin d’examiner la situation politique de l’heure. Au cours de cette réunion, un seul point était inscrit à l’ordre du jour à savoir, l’Unité et la Cohésion au sein de Sa famille politique et de l’UDPS/TSHISEKEDI et déclare ce qui suit : 

  1. Pour le Rassemblement des Compagnons d’Etienne TSHISEKEDI pour le Changement et le Progrès Social, la vision éclairée du Chef de l’Etat et sur laquelle il ne cesse de marteler, est le développement de la République Démocratique du Congo.

Par cet appel, le Chef de l’état veut que les membres de sa famille politique fument le calumet de la paix qui symbolise fidélité et loyauté à son endroit.    

  1. De même, en ce qui concerne l’UDPS/TSHISEKEDI, Parti phare de la famille à laquelle appartient le Chef de l’Etat, le RCET–CPS tient à préciser que l’Unité et la Cohésion passent par la réconciliation entre les Fils et Filles du Parti cher à Etienne TSHESEKEDI WA MULUMBA, Père Fondateur d’heureuse mémoire ;
  2. Le Rassemblement des Compagnons d’Etienne TSHISEKEDI pour le Changement et le Progrès Social soutient le processus de la réconciliation entre les Combattantes et Combattants de l’UDPS et les encourage à consolider et à sauvegarder les acquis du combat mené par le Père de la démocratie en RD Congo qu’était Etienne TSHISEKEDI WA MULUMBA, d’heureuse mémoire ;

En tout état de cause, le Rassemblement des Compagnons d’Etienne TSHISEKEDI pour le Changement et le Progrès Social encourage le processus de réconciliation au sein du Parti UDPS/TSHISEKEDI pour qu’au final, seul le Peuple Congolais gagne sous le leadership exemplaire du Président Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO.      

Fait à Kinshasa, le 07 août 2025   

Pour le Rassemblement des Compagnons d’Etienne TSHISEKEDI pour le Changement et le Progrès Social   

Jean Pierre LISANGA BONGANGA  

Coordonnateur    

Président National de Convention Chrétienne pour la Démocratie 

 

 

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Cap vers une tournée d’adhésion massive : Le MDCO implante un bureau fédéral à la Gombe

Dans le cadre de son itinérance politique active dans la ville-province de Kinshasa et dans le souci de mobiliser et de consolider les acquis de l’implantation effective des structures des bases, l’autorité morale du Mouvement des Démocrates Congolais (MDCO), Gabriel Mokia Mandembo, accompagné de son Secrétaire général ad intérim, Serge Besoke Bakimo, a procédé à l’implantation d’une nouvelle cellule du parti, le vendredi 25 juillet 2025, sur l’avenue des Forces Armées (ex- Haut-commandement) dans la commune de la Gombe.

Durant cette cérémonie, Gabriel Mokia Mandembo, Président national du MDCO, a commencé par féliciter les membres venus adhérer au sein du parti tout en honorant le cran de chaque personne pour la volonté manifestée en les exhortant à continuer à emboiter les pas. Il les a tous incité à la discipline.

Par la même occasion, il a attiré la sonnette d’alarme à une conscience patriotique très élevée, en martelant également au respect mutuel, à la cohésion et au travail entre les nouveaux militants en vue de servir la patrie ainsi que leur parti politique.

«Bien que nous sommes tous du même quartier, on n’a pas encore eu l’opportunité d’échanger entre nous. Voilà, l’occasion se présente et je vous remercie pour ce geste. Je suis très fier de vous. Ici c’est un parti politique. A l’interne il n’y a pas que des Ministres, Sénateurs et Députés qui travaillent. Toute personne est capable de faire la politique si elle est convaincue ou qu’elle en a besoin. J’ai ma décision. Alors, faisons la politique correctement pour s’en sortir demain. Sachez une chose, un politicien doit d’abord être aimé par la population et le parti est là pour nous accompagner. Soyez des orateurs, aller faire appel aux autres pour qu’ils viennent adhérer massivement. Que personne ne vous intimide. Et je vous donne l’autorisation de faire le travail car nous sommes en règle avec tous les documents juridiques. Soyez des hommes intègres, unis en vue de bosser pour la nation congolaise », a martelé Gabriel Mokia Mandembo.

Parti politique de masse et agrée par l’Etat congolais, le MDCO accroit ces opérations de grande envergure dans la capitale congolaise, plus régulièrement dans la commune de la Gombe où cette nouvelle implantation était fortement saluée par l’ensemble des habitants du quartier Royal, «une belle sensibilisation qui montre un élan nouveau », dans ce coin de la ville.

La politique est un élément majeur qui porte sur les actions, l’équilibre, surtout le développement interne ou externe au sein d’une société. Donc, elle est principalement ce qui a trait au collectif, à une somme de multiplicités, soit d’individualités. C’est autour de cette base de  motivation que ledit parti politique que dirige son Président national Gabriel Mokia Mandembo sensibilise les congolais, en général. Et bientôt, ce parti projette d’installer dans les prochains jours des cellules de bases dans toutes les avenues que compte la commune institutionnelle.

Pour finir cette manifestation, une photo de famille était prise et le SG a.i Serge Besoke Bakimo a présenté les membres du Comité. L’autorité morale, l’honorable Gabriel Mokia Mandembo a pris acte de l’installation de la cellule devant plusieurs autres adhérents.

Hardi Moyo 

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Face aux étudiants de l’ULK, Martin Fayulu : ‘‘Il n’y a pas trois solution, il n’y en a pas deux. Il n’y en a qu’une. C’est la cohésion nationale’’

Le vendredi 25 juillet 2025 à l’Université Libre de Kinshasa (ULK), Martin Fayulu, président national du parti ECIDé, a animé une conférence académique sur le thème : « La crise en RDC. Causes, perspectives d’avenir et rôle de la jeunesse ». Face aux défis complexes qui secouent le pays, cette rencontre visait à réveiller l’engagement citoyen des étudiants et les mobiliser en tant qu’acteurs essentiels du changement. A travers des échanges riches et inspirants, l’opposant congolais a invité la jeunesse congolaise à repenser son rôle dans la construction d’un Congo réconcilié, uni, juste et prospère.

Martin Fayulu a profité de la circonstance pour rappeler à la jeunesse estudiantine dans un auditoire explosif le bien-fondé de son appel à une cohésion nationale à travers le camp de la patrie dont il est initiateur. Pour lui, c’est la solution sine qua none pour parvenir à un Congo uni et indivisible, assorti de la restauration de son intégrité territoriale.

«Il n’y a pas trois solution, il n’y en a pas deux. Il n’y en a qu’une. C’est la cohésion nationale. Nous devons tous, hommes et femmes, réunir nos efforts, venir dans ce que j’appelle le Camp de la patrie qui n’est pas un parti politique. L’article 7 de la Constitution stipule que l’institution d’un camp de la patrie est assimilée à une infraction de haute trahison. Donc, il est punissable par la loi. Mais, le camp de la patrie c’est nous tous, congolaise et congolais, qui regardons dans la même direction pour défendre notre pays. Comme il est dit dans l’article 63 de notre Constitution, je cite : tout congolais a le droit et le devoir sacré de défendre le pays et son intégrité territoriale en cas de menace ou d’agression extérieure», a déclaré l’opposant Martin Fayulu.

Accusé de venir diviser les gens, Fayulu se dit unificateur d’un Congo fort au Cœur de l’Afrique. A travers son camp de la patrie, il ne vient ni pour diviser les populations congolaises dans leurs diversités ni refonder un nouveau regroupement politique pour des fins égoïstes.

«On a dit que Fayulu veut diviser les gens. Non. Le camp de la patrie n’est pas un cartel ou un regroupement politique, encore moins une coalition électorale. C’est nous tous. Tous nous sommes concernés par l’article 63 de la Loi fondamentale. Nous devons, tous, nous dire qu’il n’est pas trop tard de construire un beau pays comme le déclare notre hymne national », a-t-il clarifié.

Si d’aucuns estiment que le problème du Congo ne doit être résolu que par les gouvernants, l’autorité morale du parti ECIDé, lui, voit les choses autrement. Pour lui, « chacun doit jouer sa partition » en vue de parvenir à un changement radical de la situation dans tous les domaines de la vie.

«Chacun de nous doit se poser une question très simple : comment se fait-il qu’après 65 ans d’indépendance nous soyons toujours là ? ». Ce questionnement de ce leader de l’opposition congolaise engage les uns et les autres dans les efforts qui doivent être fournis pour un Congo nouveau, Don béni des aïeux.

César Nkangulu

Face aux étudiants de l’ULK, Martin Fayulu : ‘‘Il n’y a pas trois solution, il n’y en a pas deux. Il n’y en a qu’une. C’est la cohésion nationale’’
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