All Stories

Forum Economique Nsanda-Madimba 2025 : Une édition marquée par la réflexion et l’espoir d’un véritable décollage du territoire

 Après trois jours de travaux intenses, le Forum Économique de Madimba s’est clôturé le 15 octobre sur une note de satisfaction générale, ouvrant la voie à de nouvelles perspectives de développement intégral pour ce vieux territoire du Kongo Central.

Organisé par l’ASBL Nsanda-Madimba, ce grand rendez-vous de réflexion locale s’est tenu autour du thème : « Enjeux et perspectives pour le décollage de Madimba ».

L’événement a réuni près de 150 participants, venus non seulement de Madimba, mais aussi de Kinshasa, du reste de la province du Kongo Central, d’autres provinces du pays et même de la diaspora, notamment d’Allemagne et du Canada.

Lors de la cérémonie d’ouverture, Nestor Nsonsa, Administrateur du territoire de Madimba, a salué cette initiative citoyenne qu’il a qualifiée d’« historique, prophétique et spirituelle ». Il a exhorté les participants à promouvoir une vision collective et inclusive du développement, centrée sur le bien-être des générations futures.

Les travaux ont porté sur plusieurs axes prioritaires du développement local, dont  l’agriculture et l’élevage, l’environnement et la santé, l’éducation et les infrastructures, l’emploi des jeunes et la lutte contre l’insécurité juvénile, les problèmes fonciers et la vente illégale des terres, ainsi que la mise en œuvre du Programme de Développement Local des 145 Territoires (PDL-145T).

Le forum a été enrichi par les interventions de plusieurs experts nationaux et internationaux, venus partager leur expérience et proposer des pistes concrètes de solutions.

Jean-Philippe Mukuaki, Coordinateur de la cellule de suivi du PDL-145T au ministère du Plan, a présenté les opportunités et défis de l’intégration du développement local dans le plan national, en mettant en exergue le cas de Madimba.

Professeur Val Masamba a insisté sur l’entrepreneuriat individuel et collectif comme moteur de transformation économique du territoire.

Ludovic Nsombi, expert logisticien, a évoqué le potentiel économique du bief navigable de la rivière Inkisi, véritable atout pour l’intégration économique.

Richard Ifulu a présenté les mécanismes d’accès aux financements internationaux pour les projets communautaires.

Dr Pierre Kalonji a exposé sur la reproduction assistée des espèces animales, une approche innovante pour revitaliser le secteur de l’élevage.

La présence continue de Monseigneur Jean-Crispin Kimbeni Ki Kanda, Évêque du diocèse de Kisantu, a donné au forum une dimension morale et spirituelle. Le prélat a encouragé les ressortissants de Madimba à faire preuve de solidarité, de foi et de responsabilité collective.

À l’issue des exposés, les participants ont été répartis en cinq commissions thématiques.

Chaque commission a formulé des propositions concrètes répondant aux besoins réels de la population. Parmi les résolutions phares, figure la création d’une bourse d’études pour les étudiants originaires de Madimba, en réponse au faible taux de présence de ces derniers dans les universités de la région d’Inkisi.

Lors de la cérémonie de clôture, le Professeur Félix Malanda, Président du Comité Directeur de l’ASBL Nsanda-Madimba, a salué la mobilisation exemplaire des participants et souligné la nécessité de passer de la parole aux actes.

« Ce premier forum doit marquer un tournant. Madimba doit désormais passer des paroles aux actes, dans un esprit d’unité, de rigueur et de suivi des engagements », a-t-il déclaré.

Les recommandations finales, couvrant les secteurs clés tels que les infrastructures, la gouvernance, l’agriculture, l’entrepreneuriat, la jeunesse et l’environnement, seront transmises aux autorités provinciales et nationales pour mise en œuvre et accompagnement institutionnel.

Le Forum Économique Nsanda-Madimba 2025 s’impose ainsi comme une étape fondatrice dans la quête du développement de ce territoire historique.

Les participants repartent avec une conviction commune : Madimba dispose de toutes les ressources humaines, naturelles et culturelles  pour écrire une nouvelle page de son histoire, à condition que la volonté collective se traduise désormais en actions concrètes et mesurables.

Bosco Kiaka

Forum Economique Nsanda-Madimba 2025 : Une édition marquée par la réflexion et l’espoir d’un véritable décollage du territoire
Ecrire un commentaire (0 Commentaires)

Face aux dérives spéculatives des cambistes, Taux de change : la BCC annonce des contrôles inopinés et des sanctions sévères!

Dans un communiqué officiel signé par son Premier Vice-Gouverneur, Dieudonné Fikiri Alimasi, la Banque Centrale du Congo (BCC) monte au créneau pour mettre fin aux pratiques déloyales qui gangrènent le marché des changes. Profitant de l'appréciation récente du franc congolais, certains bureaux de change et cambistes manuels s'adonnent à des manœuvres spéculatives, forçant l'Institut d'Emission à annoncer un tour de vis réglementaire et des sanctions exemplaires.

Dans son avis au public, la BCC dresse un constat alarmant. Plusieurs bureaux de change et cambistes manuels sont accusés de violer ouvertement la réglementation en vigueur. Les griefs sont précis et graves :

- Disparité des taux : Application de taux de change très variables d'un opérateur à l'autre, créant la confusion chez le public.

- Elargissement des spreads : Augmentation abusive de l'écart entre le cours acheteur et le cours vendeur, au détriment des clients.

- Affichage de taux spéculatifs : Publication de taux de change totalement déconnectés des réalités du marché interbancaire et du taux indicatif de la BCC, dans le seul but de maximiser les profits de manière illicite.

- Violation de l'interdiction d'affichage public : Exposition des taux à l'extérieur des bureaux, sur la place publique, une pratique formellement interdite.

Ces agissements contreviennent directement à l'instruction administrative n°007 (modification n°3) de 2023, qui réglemente l'activité de change manuel en République Démocratique du Congo. La BCC rappelle qu'elle est la garante du bon fonctionnement et de la transparence de ce marché vital pour l'économie.

Contrôles renforcés et sanctions sévères

Face à cette situation qui perturbe le fonctionnement normal du marché, la Banque Centrale a décidé de passer à la vitesse supérieure. Après une campagne de vulgarisation de ladite instruction menée en mai 2024, l'heure n'est plus à la sensibilisation mais à la répression.

Le Premier Vice-Gouverneur, Dieudonné Fikiri Alimasi, annonce ainsi que "les services compétents se déploieront davantage en vue de procéder au contrôle sur place". Ces inspections inopinées auront pour objectif de s'assurer du respect scrupuleux de la réglementation par tous les acteurs.

La menace est claire et sans équivoque pour les contrevenants. La BCC prévient que des "sanctions disciplinaires" seront suggérées à l'encontre des opérateurs pris en faute. Ces sanctions pourront aller jusqu'au retrait pur et simple de l'agrément, une mesure radicale qui signifierait la fin de l'activité pour les bureaux de change et cambistes concernés. C'est un message fort envoyé à la corporation: la spéculation ne sera plus tolérée.

Appel à la vigilance du public

Au-delà de la mise en garde adressée aux professionnels, la Banque Centrale du Congo saisit cette occasion pour renouveler son appel au grand public. Elle invite instamment les citoyens à faire preuve de la plus grande prudence et à ne réaliser leurs opérations d'achat ou de vente de devises uniquement auprès des guichets des banques commerciales et des bureaux de change agréés.

Pour aider les usagers à distinguer les opérateurs légaux des réseaux informels ou spéculatifs, la BCC rappelle que la liste complète et à jour de tous les bureaux de change agréés est disponible et consultable à tout moment sur ses plateformes numériques.

Cette offensive de la BCC vise à restaurer l'ordre et la transparence, à protéger le consommateur et à consolider la stabilité du franc congolais, un enjeu majeur pour le pouvoir d'achat de millions de Congolais. La fin de la récréation a bel et bien sonné pour les spéculateurs.

Nathan Mundele

Face aux dérives spéculatives des cambistes, Taux de change : la BCC annonce des contrôles inopinés et des sanctions sévères!
Ecrire un commentaire (0 Commentaires)

Dans son itinérance au Kongo Central, Boma : Judith Suminwa s’engage à relancer l’activité économique

En visite dans la ville de Boma ce mercredi 1er octobre 2025, dans le cadre de son itinérance dans la province du Kongo Central, la Première Ministre Judith Suminwa Tuluka a annoncé des mesures fortes pour la relance du port international de Boma, autrefois poumon économique de la RDC.

Les plus pertinentes et vitales mesures se résument notamment à travers:

  • le retour des services portuaires, conformément aux recommandations du Chef de l’Etat ;
  • la signature prochaine des décrets nécessaires pour concrétiser cette relance ;
  • et le dialogue annoncé avec les partenaires privés, notamment du secteur brassicole, en vue de la réouverture des usines à l’arrêt comme Bralima.

Dans son mot de remerciement à la population bomatracienne, le Maire par intérim, Me Claudelle Phemba, a salué la maturité, la discipline et le sens du civisme de la part de ses administrés qui se sont autant mobilisés pour réserver «un accueil exemplaire» à Judith Suminwa, Première Ministre et Cheffe du Gouvernement. A l’en croire, ces trois vertus ont ainsi honoré la ville et renforcé l’image d’un « Boma uni, digne et résolument tourné vers l’avenir ».

Plusieurs engagements ont été consignés dans le cahier des charges porté par le Maire a.i à la Cheffe du Gouvernement en vue de répondre aux préoccupations urgentes de la population bomatracienne notamment : la signature d’un décret autorisant l’importation et le déchargement au Port de Boma, des véhicules usagés ; le bétonnage de 3 kilomètres de la route entrée Kikuku-Bralima ; le curage de la rivière Kalamu ; et la construction du Stade Sokol, qui est un symbole de fierté pour la jeunesse ainsi que toute la population de cette ville historique.

Pour Me Claudelle Phemba, autorité urbaine, ces promesses ne sont pas de simples annonces, «elles sont les fondations d’un nouveau départ pour la ville de Boma». Un renouveau qui tire son fondement dans l’engagement collectif, la dignité et la foi des bomatraciens en leur ville.

Il sied de noter que la visite de la Première Ministre marque un tournant décisif pour la ville portuaire et historique de Boma en vue de relancer son activité économique. Les engagements fermes pris par la Cheffe du Gouvernement répondent à un seul objectif : ‘’redonner à Boma son rôle stratégique dans l’économie nationale et créer des emplois locaux’’.

César Nkangulu

Dans son itinérance au Kongo Central, Boma : Judith Suminwa s’engage à relancer l’activité économique
Ecrire un commentaire (0 Commentaires)

Affaire Minerais-Infrastructures : les USA invités à emboîter le pas à la Chine !

L'affirmation est de Bamada.net sous le titre *"Le Congo ne vendra pas ses ressources minérales aux États-Unis, déclare le président FATSHI"* paru le 23 septembre 2025 avec pour source identifiée Reuters

Selon l'auteur, « Malgré son soutien à la médiation américaine, cela ne signifie pas que nous allons vendre aux enchères nos ressources minérales », a déclaré Tshisekedi aux journalistes à New York. « Nous allons, dans le cadre de ce partenariat, travailler au développement des secteurs miniers, au développement de la chaîne de valeur, au développement des infrastructures avec un accent particulier sur l’énergie », a-t-il déclaré. Tshisekedi a indiqué que le pays avait signé un partenariat stratégique avec la Chine. « Aujourd’hui, nous négocions un partenariat similaire avec les États-Unis. Nous espérons le mener à bien », a-t-il déclaré. L'auteur souligne que "l’Administration Trump s’est déclarée désireuse de mettre fin aux combats qui ont fait des milliers de morts cette année et d’attirer des milliards de dollars d’investissements occidentaux dans une région riche en tantale, or, cobalt, cuivre et lithium. La date limite pour la mise en œuvre d’une partie de l’accord américain est ce mois-ci".

Ils se comptent par les doigts de la main

Ainsi, l'information principale est que Félix Tshisekedi s'est appuyé sur le contrat sino-congolais pour faire valoir le deal minier avec les Américains. Il est effectivement établi que c'est au travers du contrat sino-congolais que la RDC se dote depuis 2008 d'infrastructures économiques et sociales dans plusieurs domaines, entre autres les voies de communication, la santé, l'éducation, l'eau, l'électricité etc. Aujourd'hui, par exemple, c'est par contrat amendé via l'Avenant n°5 en 2024 que le Congo a ses premières rocades à Kinshasa.

C'est vrai qu'en 2007, lors de la présentation de ce programme au Congrès réunissant l'Assemblée nationale et le Sénat, Joseph Kabila avait convié les autres partenaires à s'en inspirer dans l'objectif bien précis de booster la reconstruction nationale. Hélas ! pour des raisons plutôt politiciennes que politiques, la formule "minerais en contrepartie des infrastructures" avait été combattue par les partenaires extérieurs Occidentaux.

On se rappelle de la campagne entreprise contre ce contrat par la Belgique. Son ministre des Affaires étrangères Karel de Gutch s'était personnellement rendu à Beijing pour dissuader la Chine d'accepter ce type de troc "interdit" dans les systèmes économiques modernes.

On se rappelle également de la campagne menée par l'IGF sous la gestion de Jules Alingete, mis entre 2021 et 2023 sous pression américaine pour le casser. Preuve qu’entre 2007 et 2023, Américains et Européens n'en voulaient pas !

Le constat fait par des observateurs pragmatiques est que tout en poussant Félix Tshisekedi à tourner le dos aux Chinois, les Occidentaux ne lui ont pas apporté des solutions pragmatiques.

Sous son premier mandat, il a reçu soit au pays, soit à l'étranger des investisseurs américains et européens. Rebelote depuis son second mandat : ils se comptent par les doigts de la main, ceux des investisseurs occidentaux à se manifester. En témoignent les zones économiques spéciales. Elles ont un taux de remplissage qui ne dépassent pas 25 %.

Choisir entre le peu qu'on vous donne et le trop qu'on vous promet

Les Congolais ont été habitués à des entreprises économiques et, à la fois, ‘’sociales’’. Les grosses unités industrielles héritées de la colonisation fonctionnaient ainsi. Aux côtés de la production industrielle, il y avait des cités résidentielles, des écoles, des centres médicaux, des marchés, des aires sportives, des centres culturels, des routes de desserte agricole, etc.

C'est ce qui faisait la force de la Gécamines (UMHK) au Katanga, de la Miba au Kasaï, des Plantations Unilever au Kwilu, de la Cimenterie de Lukala au Kongo Central etc. jusqu'à ce que vienne l'estocade avec le fameux PAS (Programle d'Ajustement Structurel) qui s'est révélé globalement catastrophique pour les économies des pays en voie de développement.

Le binôme "Entreprise-Cité résidentielle" n'a pas été totalement éliminé. La formule "Ressources naturelles en contrepartie des infrastructures de base" est tout ce qu'il y a d'incontournable, surtout pour des États comme la RDC *plus à construire qu'à reconstruire*, des États qui, à défaut d'avoir du liquide pour financer leurs infrastructures, ont des minéraux, des végétaux, des hydrocarbures etc. qui intéressent des preneurs.

Pari pris et relevé par la Chine en s'intéressant aux minerais de la RDC "mis en jachères" par les Occidentaux dans la foulée de la Perestroïka.

Et comme l'affirment les connaisseurs, les Américains et les Européens ont exploité de façon industrielle les minerais congolais entre 1925 et 1990, tandis que les Chinois n'y opèrent que depuis 2015, avec la *première cathode de cuivre produite par la SICOMINES S.A. (SCM)*, sept ans après le démarrage du financement des premières infrastructures en 2008.

Tous les observateurs le savent : la Chine détient à elle seule 60 % de l'exploitation minière dans l'ensemble du Katanga.

Pourquoi et comment ? Aucune preuve ne pourra être produite du refus des autorités congolaises de ces 25 dernières années d'accorder des permis d'exploration ou d'exploitation des minerais du Congo aux investisseurs Occidentaux.

Si on peut reprocher au régime Kabila d'avoir ouvert les mines congolaises aux Chinois - encore que la formule "Minerais en contrepartie des Infrastructures" avait été proposée initialement à l'axe Bruxelles-Washington qui n'en avait pas voulu, peut-on reprocher au régime Tshisekedi d'avoir éconduit un seul investisseur Occidental ? Au contraire !

Au cours de ces sept années de son mandat, le Président de la République n'a eu de cesse de multiplier des initiatives pour s'attirer la sympathie des opérateurs américains et européens, tous domaines confondus.

Hélas, ils ne viennent ; continuant d'hésiter pour mille et une raisons.

La morale à tirer est que le chef de l'État est appelé à choisir entre le peu qu'on lui donne (peut-être les Chinois) et le trop qu'on lui promet (certainement par les Occidentaux). Entre-temps, c'est grâce à ce peu-là qu'on peut avoir des réalisations visibles que le trop avec ses réalisations en mirages ! C'est par ce peu-là qu'on peut brandir un bilan...

CP

Ecrire un commentaire (0 Commentaires)

Rentrée parlementaire aujourd’hui : Adolphe Muzito prévoit 20,3 milliards USD dans son avant-projet de Budget 2026

Si le Vice-premier ministre, ministre chargé du Budget, Adolphe Muzito, semble gagner son pari d’augmenter le budget de l’Etat pour l’exercice 2020, le plus dur est à venir pace qu’il faut trouver cet argent. Cet avant-projet de loi de finances qui a été adopté vendredi 12 septembre dernier au Conseil des ministres est fixé à 20,3 milliards USD.

Equilibrée en recettes et en dépenses, cette loi des finances enregistre une hausse de 14,8% par rapport à la loi de finances rectificative de 2025. L’un des principaux objectifs est de doubler les recettes courantes de l’Etat d’ici 2028.

Le Gouvernement prévoit ainsi de les faire passer de 8,5 milliards USD en 2023 à 17 milliards USD en 2028, échéance qui coïncidera avec la fin du deuxième quinquennat présidentiel. Pour atteindre ce cap, l’exécutif entend appliquer une stratégie ambitieuse de mobilisation et de réformes dans le secteur des finances publiques, avec une pression fiscale projetée à 12,6 %.

Les indicateurs macroéconomiques retenus pour l’année 2026 se présentent comme suit : une croissance économique attendue à 5,3%, un taux d’inflation moyenne estimé à 7,1%, un taux de change projeté à 2 900,3 FC pour 1 USD, un PIB nominal évalué à 92,7 milliards USD et une pression fiscale fixée à 12,6%.

Selon Adolphe Muzito, les mesures fiscales, douanières et non fiscales contenues dans ce projet seront renforcées par un Plan stratégique de mobilisation des ressources de l’Etat, élaboré en collaboration avec le Fonds monétaire international (FMI).

Cet avant-projet de loi de finances est présenté comme une étape déterminante dans la politique de bonne gouvernance et de développement économique engagée par le Gouvernement congolais.

Cependant, tout se joue au niveau de l’orthodoxie financière dans ce pays où les détournements se chiffrent en termes de plusieurs millions de dollars. Au moins on peut espérer depuis le retour de 19 millions de Constant Mutamba dans le Trésor public qu’il en sera désormais ainsi.

En outre, l’activisme de la Cellule nationale des renseignements financiers à dénicher partout les comptes publics tripotés, permettra d’atteindre les objectifs assignés dans ce budget. Tout est donc mis en œuvre pour doter la République d’un budget attendu par tout le monde. 

La Pros.

Rentrée parlementaire aujourd’hui : Adolphe Muzito prévoit 20,3 milliards USD dans son avant-projet de Budget 2026
Ecrire un commentaire (0 Commentaires)
Image

Download Our Mobile App

Image
Image