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RDC-Turquie : Jean Pierre Bemba au front pour une coopération bilatérale dans le secteur des transports !

Ce lundi 10 novembre 2025, à l’occasion de la deuxième journée du Forum TransMEA 2025, organisé au Caire, en République arabe d’Egypte, le Vice-Premier Ministre, Ministre des Transports, Voies de Communication et Désenclavement, Jean-Pierre Bemba, s’est entretenu avec son homologue Turc, M. Abdulkadir Uraloğlu, Ministre des Transports et des Infrastructures de la République de Turquie.

Cette rencontre a permis aux deux parties d’échanger sur les opportunités de coopération bilatérale dans le secteur des transports.

La Turquie a réaffirmé sa disponibilité à accompagner la RDC à travers le partage d’expériences et de technologies, en vue de soutenir les efforts de modernisation et de développement durable du réseau de transport congolais. À cet effet, elle a annoncé l’envoi prochain de partenaires techniques et économiques pour concrétiser la mise en œuvre de cette coopération.

Cette participation traduit la volonté du Gouvernement de la RDC de renforcer ses partenariats internationaux et de s’inspirer du savoir-faire en matière d’innovation et d’infrastructures. Elle s’inscrit pleinement dans la vision du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi, visant la modernisation du secteur des transports au service du développement durable et de l’intégration régionale.

Organisée sous le thème : « L’industrie et le transport, ensemble pour un développement durable », ce projet d’envergure vise à connecter la mer Rouge à la Méditerranée, à renforcer les corridors logistiques et à favoriser un système de transport multimodal, tout en réduisant les émissions polluantes et en générant des milliers d’emplois directs et indirects.

César Nkangulu

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Constant Mutamba : « J'ai accepté de payer le prix de cette lutte, porter le combat de cette génération. J'ai donc fait ma part... »

Dans un contexte de défense passionnée et un manifeste politique, Constant Mutamba, ancien Ministre d’Etat, Ministre de la Justice et Garde des Sceaux de la République, a écrit, depuis son lieu de détention, une lettre de treize pages aux Congolais en particulier et aux africains en général, pour y dénoncer, ce vendredi 7 novembre 2025, ce qu'il a qualifié de "procès politique de pacotille".

Faisant référence à son arrestation et sa détention, l’ancien Ministre d’Etat de la Justice et Garde des Sceaux du Gouvernement Suminwa 1 mentionne être détenu, depuis le 2 septembre de l’année en cours, dans des conditions "inhumaines et illégales", rappelant ainsi les accusations de détournement de "19 millions USD" portées contre lui, qu'il qualifie "d'imaginaire", affirmant que les fonds sont toujours logés à la banque.

« Complot politique » ou « règlement de comptes ! »

Dans son manifeste, Mutamba soutient être la victime d'un "complot politique" et d'un "règlement de comptes" orchestré par des "réseaux mafieux politiques et judiciaires", incluant des "officines congolaises et rwandaises".

En liant son cas à la situation sécuritaire dans l'Est du pays (Goma, Bukavu, Rutshuru), il accuse directement Kigali et le M23 d'être les vrais ennemis du pays et de se réjouir de son arrestation.

« La justice, un instrument de règlement de comptes »

Initiateur des consultations qui ont abouti à des reformes tendant à apporter des thérapies à cette justice congolaise qualifiée de "malade", depuis sa cellule, Mutamba continue à décrier une injustice et une corruption judiciaire au sein de l’appareil judiciaire congolais. Une façon pour l’ancien médecin et spécialiste des maladies de la justice de prouver au monde les limites des réformes mises en place sous son mandat au sein de ce ministère. Il décrit la justice congolaise comme un "instrument de règlement de comptes" qui opprime les faibles, au lieu d'être un "rempart de l'Etat".

Appel à l'action

Présentant sa lettre comme un cri de ralliement, Constant Mutamba invite "la jeunesse" et le peuple à "agir et à lutter" pour une "vraie justice" et un "véritable changement".

Cependant, de manière paradoxale et tout en critiquant l'appareil d'État qui le poursuit, il se présente comme un fidèle "lieutenant" du Chef de l'État, Félix Tshisekedi, suggérant que ce dernier est mal entouré et que ce sont ses collaborateurs qui le trahissent.

Il sied de noter que le président national du NOGEC a écrit sa lettre depuis sa détention. Elle est clairement destinée à galvaniser ses partisans, à dénoncer ses adversaires politiques, à clamer son innocence et à se positionner en martyr de la cause nationale et panafricaine. En choisissant "la plume", il cherche à contourner le silence imposé par sa détention pour continuer à peser sur le débat politique. La citation finale, "La patrie ou la mort, nous vaincrons", empruntée aux révolutionnaires, renforce cette image de combattant prêt au sacrifice.

César Nkangulu

Constant Mutamba : « J'ai accepté de payer le prix de cette lutte, porter le combat de cette génération. J'ai donc fait ma part... »
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Bamzex 25. Défense : Me Guy Kabombo Muadiamvita en première ligne à Bamako !

 

Le VPM de la Défense Nationale et Anciens Combattants, S.E Me Guy KABOMBO MUADIAMVITA est arrivé en ce début d'après-midi à BAMAKO, Capitale du Mali. Où il va prendre part au salon d'exposition de la défense et sécurité, dénommé BAMZEX 25.

Il répond ainsi à l'invitation de son homologue Malien SADIO CAMARA, qui l'a accueilli au pied de l'avion, accompagné de l’ambassadeur de la République Démocratique du Congo au Sénégal, Mali, et Gambie, S.E Christophe MUZUNGU.

La Pros.

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Processus de Washington, Défense : Guy Kabombo et Lucy Tamlyn harmonisent les vues !

 

Bien avant son envol pour Bamako, Me Guy Kabombo Muadiamvita, s'est entretenu avec S.E Lucy Tamlyn, les échanges ont porté autour de l'accord de paix entre la RDC et le Rwanda, en vue de la cessation des hostilités.

À l'ordre du jour, la facilitation d'accès du Comité International de la Croix Rouge (CICR.), pour ses bons offices dans l'identification des détenus de chaque partie.

Une requête qui a reçu écho favorable du Numéro Un de la défense nationale Congolaise, qui a promis de mettre tout en œuvre pour que le CICR fasse son travail dans les conditions optimales. Rappelons par ailleurs que le VPM de la Défense Nationale Me Guy Kabombo Muadiamvita, avait reçu quelques jours avant, la délégation de CICR pour des échanges ; mais cette fois-là, dans le cadre du processus de Doha.

La Pros.

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Convergence Pour l'Émergence du Congo (C.E.C), Fédérer les compétences et les intelligences pour bâtir un Congo nouveau.

En RDC, l'opposition est de façade, sans idéal et contre la nation.

(Par Jean-Louis Tshimbalanga)

Il ressort de l'analyse de notre Think Tank que, depuis l'avènement de Félix Tshisekedi, la République ne connaît plus de véritable opposition républicaine. L'espace politique s'est vidé de son souffle critique. Aucune vision cohérente, aucun projet social, économique ou moral ne vient éclairer le débat public. Les voix dites opposantes ne défendent plus un idéal, elles servent des intérêts personnels ou des fidélités étrangères. L'esprit du débat démocratique a cédé la place à la dénégation, à la rumeur et à la haine. L'opposition, incapable de mobiliser, est manipulée et instrumentalisée par des réseaux étrangers, parfois relayée par des journalistes et certaines ONG inconscients qui font l'apologie du Rwanda contre la nation, au mépris de la vérité et de la souveraineté nationale.

Beaucoup de ces acteurs se rallient aujourd'hui à des puissances extérieures, à Kigali ou à l'ombre des réseaux de l'ancien régime. Ils prétendent sauver la nation tout en pactisant avec ceux qui l'ont déchirée. Leur combat n'est plus politique, mais destructeur, ils appellent au désordre, à la haine, parfois même à la mort du Chef de l'État, trahissant ainsi l'essence même de la République. Les médias et organisations complices participent à cette stratégie de manipulation en maquillant la critique en soutien, en amplifiant la propagande étrangère et en affaiblissant le lien entre le peuple.

Le peuple congolais se retrouve seul, sans alternative crédible ni opposition responsable. Aucun projet social, moral ou économique ne vient éclairer son espérance. La nation a besoin non d'agitateurs, mais de consciences, des compatriotes capables de contester avec hauteur, de proposer avec foi, de servir avec dignité. Car sans opposition républicaine, la démocratie n'est qu'une façade derrière laquelle s'éteint la lumière du bien commun.

À cet effet, la RDC est incontestablement notre pays. Nous ne sommes pas éternels. Servons donc notre patrie avec honneur, fierté, intégrité et noblesse. La jeunesse nous observe, elle recueille l'écho de nos actes. Montrons-lui le chemin du devoir et de la loyauté, afin de léguer une tradition de courage et d'honneur aux générations futures. Soyons patriotes, au pouvoir ou dans l'opposition, défendons la nation et la République à tout prix, au-delà de toute ambition personnelle.

Convergence Pour l'Émergence du Congo (C.E.C), Fédérer les compétences et les intelligences pour bâtir un Congo nouveau.
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L'échec de la Démocratie en Afrique : cas de la RDC

D'emblée, notre investigation porte sur la question de la démocratie en Afrique, étant donné que beaucoup de pays Africains ont opté celle-ci comme régime politique mais loin de faire preuve d'une bonne gouvernance. En effet, les philosophes se sont occupés, très abondamment, de la politique non seulement par ce que par sa nature l'homme est un animal politique comme Aristote le décrit mais aussi comme dit Jérôme Gryspas, «en tant qu'animal raisonnable, la politique lui est une activité essentielle» pour dire que le philosophe est appelé à réfléchir sur tous les domaines et apporte une piste de solution. Et d'ailleurs pour un philosophe la voie politique est une meilleure voie pour lui, de se rendre utile et efficace dans la société.

Par ailleurs, la préoccupation politique nous paraît utile en ce siècle où la politique devient un arbre des richesses, tout le monde aimerait y grimper et la situation ne fait qu'empirer. Le souci de bien diriger ne plus propriétaire de nos dirigeants Africains et de ce fait, la vie dans la société Africaine devient peine et misère. Les politique Africaine excelle dans la promotion des antivaleurs telles que : le vol, la corruption, le tribalisme, les tueries. Et la préoccupation politique par le philosophe date depuis Socrate,

En effet, la démocratie peut être bien comprise que suivant la définition vulgaire de Lincoln selon qui l'a démocratie est un gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple. En d'autres termes, la démocratie est un système politique dans lequel la souveraineté émane du peuple. La démocratie serait un régime politique qui met le peuple au centre. Tout est fait par le peuple. C'est pourquoi le garant de la démocratie c'est le peuple.

La démocratie étant régime du peuple ne veut guère dire que le peuple est appelé à gouverner partout. Mais le peuple confie la responsabilité à un groupe d'hommes qui va parler à son nom. Donc les députés et ces derniers ont pour rôle parlé au nom du peuple, lutter contre les intérêts privés au détriment des intérêts communs. Bref : promouvoir les biens du peuple.

 Au dire de Spinoza, le meilleur régime politique est la démocratie dans la mesure où tout peuple participe à l'organisation et au développement de l'Etat. D'où il dira « le régime démocratique est le meilleur, car le pouvoir absolu, s'il existe, est véritablement celui qui détient la multitude tout entière, étant qu'on y est citoyen non par la voie de cooptation, mais par le droit inné. »

De ce fait, le meilleur régime politique est celui où le souverain détient le pouvoir absolu. Ce pouvoir absolu n'étant pas assuré par une norme juridique fixée arbitrairement par-là volonté d'un homme mais au contraire par le gré du peuple, la multitude libre.

En sus, nous pouvons aussi dire que la question de meilleur régime politique dépend d'un État à l'autre et chaque Etat peut avoir un régime qui lui paraît meilleur. Et cela est remarquable que suite à sa gouvernance. C'est pourquoi Spinoza dira « Que le devoir de celui qui détient le pouvoir soit de connaître toujours la situation et la condition de l'Etat, de veiller au salut commun de tous et de faire ce qui est utile à la majorité des sujets, tout le monde est d'accord là-dessus». 

Et la démocratie étant centrée sur peuple, doit toujours promouvoir son intérêt. Mais la seule question qu'on peut se poser est celle de savoir si réellement le régime adopté par nos États est vraiment Démocratique ? A cette question, il nous convient de dire que notre régime est tombé en échec. Lorsque le régime cherche les intérêts, vit dans le tribalisme, non-respect de la constitution comme pourrons-nous prôner ?

Aucun régime politique ne peut prétendre démocratique tout en méconnaissant plus la valeur expressive du peuple. Par conséquent, le slogan actuel de nos dirigeants Africains c'est le peuple après au lieu de peuple d'abord.  Dans le régime démocratique personne ne peut abdiquer son droit de décision à une autre, mais beaucoup plus c'est la majorité de la communauté qui prime sur une minorité.  Bref : l’échec de cette démocratie se manifeste par le tribalisme, l’injustice, le détournement, la corruption et surtout le non-respect de la constitution

Raphael Ngambelo

L'échec de la Démocratie en Afrique : cas de la RDC
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Assemblée Nationale : Vital Kamerhe s'aligne derrière le ticket de l'Union Sacrée de la Nation !

Dans un communiqué officiel daté du 31 octobre 2025, l'Honorable Vital Kamerhe, Président National de l'UNC, a formellement réagi à la désignation du candidat de l'Union Sacrée de la Nation, Aimé Boji Sangara, pour le perchoir de l'Assemblée Nationale. Au nom de son parti et de ses regroupements politiques alliés, il "prend acte" de ce choix, le présentant comme une marque de loyauté envers le pouvoir arbitral de la Haute Autorité de référence de la coalition, tel que stipulé dans la charte. Alors que cette décision met fin aux ambitions de sa famille politique pour ce poste stratégique, Vital Kamerhe lance un appel vibrant à ses élus, cadres et militants, les exhortant à "resserrer les rangs" et à rester mobilisés autour des idéaux du parti, signalant ainsi sa volonté de préserver l'unité de ses troupes et son poids au sein de la majorité au pouvoir.

MESSAGE DE L'HONORABLE VITAL KAMERHE LWA KANYIGINYI NKINGI

L'Union pour la Nation Congolaise, UNC, et les Regroupements politiques A/A-UNC et AVK 2018, dont je suis le Président National et Autorité morale, ont pris acte de la désignation du candidat au poste de Président de l'Assemblée Nationale, à l'issue de la réunion du présidium de l'Union Sacrée de la Nation du 29 Octobre 2025, en vertu des dispositions pertinentes de la Charte de l'Union Sacrée de la Nation, qui confèrent à la Haute Autorité de référence le pouvoir arbitral.

Ceci est conforme à la résolution de la réunion de la Direction Politique Nationale de l'UNC du 18 octobre 2025, celle d'attendre les orientations de la Haute Autorité de référence.

Par ailleurs, I'UNC et les regroupements politiques A/A-UNC et AVK 2018 appellent ses élus, cadres, militants et sympathisants à resserrer les rangs et à rester engagés autour des idéaux de paix et de sécurité à l'Est de la République, du social et de la reconstruction de notre pays, la République Démocratique du Congo. Que Dieu bénisse la RDC et son peuple !

Fait à Kinshasa, le 31 octobre 2025

Vital KAMERHE LWA KANYIGINYI NKINGI

 

Assemblée Nationale : Vital Kamerhe s'aligne derrière le ticket de l'Union Sacrée de la Nation !
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A l’approche de grand enjeux, Assemblée nationale : voici les 63 députés hésitant à réaffirmer leur loyauté à Tshisekedi !

La chambre basse du Parlement s’apprête à élire le successeur de Vital Kamerhe au perchoir. Le secrétariat permanent de l’Union Sacrée de la Nation (USN), André Mbata Betukumesu Mangu, a présenté Aime Boji comme candidat de la plateforme présidentielle. Mais, il faut reconnaitre qu’il y a encore des remous.

Le secrétariat permanent de l’Union Sacrée de la Nation a finalement rendu publique la liste de députés nationaux qui n’ont pas encore signé les motions de renouvellement de leur engagement ainsi que de soutien et de loyauté au Président de la République et Haute Autorité politique de l’USN. Cette liste actualisée le 31 octobre dernier rassemble 63 députés nationaux.

Selon le Secrétaire permanent André Mbata, cette démarche vise à raffermir la cohésion au sein de l’Union Sacrée de la Nation et à réaffirmer la loyauté des élus envers le Chef de l’État dans la perspective des grands défis politiques et institutionnels à venir.

Le document précise que la signature de ces motions constitue non seulement un acte d’adhésion politique, mais aussi un gage de fidélité à la vision de gouvernance prônée par le Président Tshisekedi.

Du côté de l’union sacrée, on estime que la publication de cette liste pourrait servir d’appel à l’ordre aux élus retardataires, en les invitant à clarifier leur position politique au sein de la majorité présidentielle. Ci-dessous, la liste complète desdits députés nationaux

1. Agenong’a Robert

2. Alu Assani Kabina Alphonse

3. Amisi Makutano Adolphe

4. Andrito Alendo Étienne

5. Sayobangira Safari Nshuti Jean-Pierre

6. Bakatsuraki Kavusa Semeyi

7. Bangakya Angaze Okondarengwa Joseph

8. Biayimbuyu Alain

9. Bitakwira Bihona Hayi Justin

10. Bungishabaku Katho Robert

11. Bussa Mbule Roman-Landry

12. Cola Ngoy Balthazar

13. Diongambo Ndjadi Hyppolyte

14. Efoya Bokeko Jacques Colin

15. Eyumu Nasa Célestin

16. Furaha Uma Daniel

17. Furuguta Mukasa Hubert

18. Kabanda Matanda Boniface

19. Kabinda Mutonji Fidélie

20. Kambi Kamulangul Célestin

21. Kamba Kayembe

22. Kambale Muhasa Alexandre

23. Kambale Tavulenga Degal

24. Kankonde Nkashama wa Malamba Gilbert

25. Kaposo Kintu Dominique

26. Kibuka Kia Kiese Raphaël

27. Kulungu Doug Doug

28. Lenga Walenga Penze Alexis

29. Lokumu Esemoti Joséphine Pacifique

30. Lotana Lokasola Albert

31. Lukadi Mulumba Serge Junior

32. Mangala Sakiliki Fontaine

33. Maramboli Posa Flory

34. Masangu Mulongo Jean-Claude

35. Mateso Savo Jospin

36. Mbui Kaya Nyi Mbui Guido

37. Mbuku Balele Pépé

38. Mbungani Mbanda Jean-Jacques (en mission)

39. Mompaka Iyeli David

40. Monzia Lingulu Isidore

41. Muabilu Mwaluke Winnie

42. Muanamputu Nzila Richesse

43. Mufalme Tambwe Sokoro

44. Mulangu Kalala Edo-Pascal

45. Mumbere Bwanapuwa Eric Lucky

46. Mumbere Mathe Jules

47. Mumbere Mukweso Remyxon

48. Munganga Gadimba Cléophas

49. Muyeye Lutongo Trésor

50. Mwamba Mukenge Émile

51. Ngondankoy Nkoy Ea Loongya P. Gaspard (en mission)

52. Nsase Muetutuikale Dieudonné

53. Ntenda Ntenda Martin

54. Nzuzi Umba Percy

55. Pembamoto Kyala Matthieu

56. Sebujangwe Kirivita Bertin

57. Serufuli Ngayabaseka Eugène

58. Tchakubuta Mfaume

59. Tshilumbu Kantola Paul

60. Tshitoko Karanda Aldos-Ali

61. Tshizainga Kapumba Cédrick

62. Tumba Mbombo Isis

63. Uyewa Cwinya’ay Daniel

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Retombées du Conseil des ministres du 31 octobre : Le Gouvernement saisit le Conseil d’Etat pour la dissolution de 12 partis d’opposition

Le Vice-Premier ministre en charge de l'Intérieur et de la sécurité a annoncé avoir saisi le Conseil d'État pour obtenir leur dissolution de 12 partis d’opposition. Il s’agit de : PPRD, LGD, Piste pour l’Emergence, AAP, UDA, MPCR, ATD, COFEDEC, PNEC, MLP, UPC et ADCP, des partis signataires du conclave de Nairobi aux côtés  de Joseph Kabila autour de la nouvelle plateforme « Sauvons la RDC ».

Seuls trois de ces partis à savoir, le PPRD de l’ancien sénateur à vie avaient été suspendu. Cependant, Lamuka de Martin Fayulu qui n’est pas concerné par cette mesure de suspension, dénonce une sanction abusive et anti-démocratique avant d’exhorter le ministère de l'Intérieur de surseoir à sa décision en ces termes : «On a besoin de cohésion, d'unité et de dialogue en permanence».

Et Prince Epenge, porte-parole de cette coalition de poursuivre : « Cette manière de suspendre le fonctionnement des partis agréés nous rappelle les aires sombres du Kabilisme qu'on a combattu tous ensemble avec l'UDPS. Mais malheureusement, l'UDPS s'est mise à mimer les antivaleurs de l'époque Kabila ».

Pour le parti de Matata Ponyo, LGD, la bataille sera juridique : «C'est quand même une sanction excessive, juge le secrétaire général du parti, Franklin Tshiamala. Nous lui adresserons dans un premier temps notre recours administratif pour rencontrer les motivations infondées qui sont à la base de la sanction. Et s'il n'y réserve pas de suite, nous allons exercer un recours. Le même Conseil d'État qu'il a saisi pour nous radier ou pour nous dissoudre, nous y adresserons également notre recours juridictionnel pour rencontrer les moyens infondés qu'il avance. »

Tandis que l’opposant Delly Sessanga du parti Envol, non suspendu a, quant à lui, dénoncé une « mesure brutale et arbitraire » ou encore une « dérive autoritaire inacceptable ».

En attendant, le Vice-premier ministre, Ministre de l’Intérieur, Sécurité, Décentralisation et Affaires Coutumières, Jacquemain Shabani, a dénoncé, vendredi 31 octobre 2025, à travers un communiqué officiel, la multiplication des crimes et exactions commis par la coalition M23-AFC, supplétif de l’Armée rwandaise, dans les zones qu’elle occupe à l’Est de la République démocratique du Congo.

Le Ministère fait état de plus de 123 cas d’assassinats et d’exécutions sommaires, 223 viols, des centaines d’enlèvements et de recrutements forcés, ainsi qu’une centaine de cas de tortures, incendies de maisons et occupations illégales de terres entre le 3 et le 31 octobre 2025. Le document évoque également l’enlèvement d’une centaine de jeunes à Bukavu, le meurtre d’une dizaine de personnes à Bishusha dans le territoire de Rutshuru, et le bombardement de zones habitées au Nord et au Sud-Kivu.

Ces crimes, qualifiés de "violation flagrante de l’intégrité territoriale de la RDC et du droit international", vont à l’encontre de la Charte des Nations Unies, de l’Acte constitutif de l’Union Africaine, de la Résolution 2773 du Conseil de Sécurité de l’ONU, ainsi que des accords de paix signés entre Kinshasa et Kigali à Washington et Doha.

La Pros.

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