En abrogeant les ordonnances de 2009 – 2010 mettant à la retraite prématurée les agents de l’Etat, le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a tenu, grâce à ses prérogatives constitutionnelles de garant de la nation Congolaise, à corriger non seulement l’erreur commise par son prédécesseur mais surtout, rétablir dans leurs droits les fonctionnaires concernés par ces ordonnances contestées.
Ainsi, sur base d’une autre Ordonnance signée le 5 juillet 2022, le Président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo les a réintégrés dans leurs fonctions au sein de l’Administration Publique.
Par cet acte, le Président de la République a considéré d’une part, le besoin de justice et d’équité tendant à rétablir les agents concernés dans leurs droits et d’autre part, l’impératif de l’observance du droit à l’égale protection de lois, l’une des composantes de socle de l’état de droit. C’est pourquoi, l’article premier de cette ordonnance signée par le Chef de l’Etat précise que ‘’Sont réintégrés et replacés en activité de service dans l’administration publique, à leurs grades respectifs au moment de leur mise à la retraite pour une période restant à exercer à compter de la date de la présente ordonnance, les agents de carrière de services publics de l’Etat mis en retraite prématurément …’’. Par ce geste, le garant de la nation congolaise, le Chef de l’Etat Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a tenu non seulement à réintégrer ces agents mais à réparer aussi le tort subi.
C’est dans ce cadre que le Vice-Premier Ministre, Ministre de la Fonction Publique a, en date du 15 octobre 2022, notifié aux concernés l’ordonnance n°22/082 du 15 Juillet 2022 par laquelle, ils sont réintégrés et replacés en activités de service au grade qui était le leur au moment de leur mise à la retraite par l’ordonnance contestée.
A cet effet, le Vice-Premier Ministre, Ministre de la Fonction Publique avait enjoint le Secrétaire Général au budget à prendre sans délai toutes les dispositions nécessaires pour rendre effective cette décision présidentielle sans malheureusement prendre un acte juridique précisant le contexte et encore moins portant exécution de cette ordonnance de haute portée sociale signée par le président de la République depuis plus de deux ans sans en préciser la durée de leur prestation au sein de l’administration.
Malheureusement, au mois d’Avril dernier, certains agents et cadres réintégrés par l’ordonnance présidentielle n°22/082 du 5 juillet et qui attendaient leur affectation s’étonnent encore de voir leurs noms figurer sur la liste des agents et cadres du ministère du budget proposés à l’éligibilité à la retraite pour la troisième vague pendant qu’ils n’ont pas encore bénéficié de la réparation décidée par le chef de l’Etat et le gouvernement réunis en conseil de ministres le 2 et 9 octobre 2020.
En tout état de cause et pour le respect de la légalité et de l’instauration d’un Etat de droit voulu par le chef de l’Etat, il est inconcevable que certains collaborateurs de l’administration du budget continuent à s’arroger le droit de sacrifier les intérêts (avantages) des agents réintégrés en refusant d’appliquer l’ordonnance présidentielle qui a force des lois.
C’est ainsi que pour décourager ce genre d’initiative au sein de l’administration du budget, les autorités du ministère doivent assurer une loyauté tous azimuts vis-à- vis du Chef de l’Etat en appliquant l’ordonnance n°22/082 du 05 juillet et affecter dans un délai raisonnable les agents réintégrés dans le but non seulement de faire justice aux réintégrés et respecter les instructions du Chef de et respecter les instructions du Chef de l’Etat mais surtout de faire échec aux stratégies maléfiques de certains collaborateurs du budget mal intentionnés cherchant à induire leurs chefs hiérarchiques en erreur en glissant encore quelques noms des agents réintégrés sur la liste des agents proposés à la retraite pour la troisième vague, et ce, dans le but inavoué de créer un malaise susceptible de provoquer des troubles au sein de l’administration du budget et faire croire à l’opinion que cela est la faute de l’autorité de la fonction Publique.
Eu égard à ce qui précède, le Gouvernement de la République et toutes les autorités du pays doivent ouvrir l’œil et le bon afin de barrer la route aux ennemis et autres intrus voulant semer les désordres en vue d’empêcher les autorités de la Fonction Publique à réussir leur plan de la modernisation de l’Administration Publique.
C’est dans ce cadre aussi que chaque agent réintégré repris sur la liste des agents à retraiter au Budget lors de la troisième vague a saisi le chef de l’Etat, garant de la nation, le Président de l’Assemblée Nationale, le Président du Senat, le Premier Ministre, le Vice-Premier Ministre, Ministre de la Fonction Publique, Monsieur Jean-Pierre Lihau Ebua, le Secrétaire Général du Budget et le Directeur des Ressources Humaines du Ministère du Budget afin de s’en tenir à l’application sans faille de l’ordonnance n°22/082 du 05 juillet 2022 du chef de l’Etat, car le refus d’exécuter l’ordonnance précitée par certaines administrations publiques spécialement celle du Budget peut s’expliquer comme une volonté manifestement exprimée par ces administrations de fouler au pied les instructions et les bases posées par le Chef de l’Etat pour garantir l’avènement d’un véritable Etat de droit en République
Déclarés ouverts par le Magistrat Suprême, SEM Félix Tshisekedi, ce mercredi 6 novembre 2024 au Centre Financier de Kinshasa, les Etats généraux de la Justice sont un moment particulier pour faire le diagnostic réel des maux qui rongent la société congolaise à travers ce secteur. Plusieurs personnalités tant civiles que militaires, des membres des corps diplomatiques et des invités de toutes les couches de la population venus de toutes les provinces du pays étaient conviés à cette cérémonie d’ouverture. Au total, 3500 invités étaient attendus à ces assises qui prendront fin le 13 novembre prochain au Palais du peuple.
Constant Mutamba, Ministre d’Etat, ministre de la Justice et Garde des Sceaux, a relevé l’importance de ces assises qui doivent être en réalité une initiative collective afin d’apporter de nouvelles réformes, de nouvelles thérapies dans le but de guérir cette Justice malade longtemps décriée par le peuple de qui elle est rendue.
Saisissant l’opportunité, Constant Mutamba a, par la même occasion, rappelé le rôle du ministre de la Justice en tant qu’arbitre et régulateur du pouvoir judiciaire.
«Il faut un arbitre qui régule, qui voit comment le juge ne peut pas empiéter sur les prérogatives et fonctions des huissiers, comment les greffiers ne peuvent pas empiéter sur les prérogatives des huissiers, ainsi de suite…Et donc, le ministre de la Justice ne peut pas être perçu comme un simple membre du gouvernement de l’Exécutif. Il est plutôt un pendant entre le pouvoir Exécutif et le pouvoir Judiciaire », a-t-il indiqué avant d’ajouter que le ministre de la Justice « veille à la bonne application des lois et textes règlementaires au niveau de la République, sur les exécutions des décisions de Justice, sur la protection et préservation des droits, devoirs et libertés fondamentaux des citoyens. Il est, par ricochet, le protecteur des faibles, des démunis, de ceux qui pensent que la Justice n’est réservée qu’à une certaine classe, à un certain groupe d’individus. »
Des attributions qui lui donnent le pourvoir de contrer tous ceux qui mettent en ruine la Justice congolaise.
Le ministre a, dans un autre chapitre, rappelé les réformes courageuses déjà apportées jusqu’ici dans son secteur.
« La première réforme apportée est l’insaisissabilité des biens des entreprises publiques, services publics et établissements publics ; la caution judiciaire pour éviter que n’importe quel quidam puisse déranger les entreprises qui désirent venir investir dans notre République ; la bancarisation de tous les frais de Justice qui est un processus ; les actions de désengorgement de nos prisons carcérales ; l’assainissement de l’exécution des décisions de Justice ; la réforme au niveau des cultes et associations », a-t-il indiqué tout en mentionnant que les efforts restent à conjuguer pour veiller à la bonne applicabilité et à la mise en œuvre de toutes ces réformes déjà menées.
Des actions louables en vue d’espérer à une guérison efficace et efficiente de cette Justice demeurée malade depuis plusieurs décennies.
Sous la conduite de Madame Eve Bazaïba Masuda, Ministre d’Etat, Ministre de l’Environnement et Développement Durable, MEDD en sigle, la sixième session ordinaire du Conseil Consultatif National des Forêts (CCNF), a ouvert ses portes hier mercredi 6 novembre 2024, à Sultani Hôtel de la Gombe.
Toutes les parties prenantes du domaine forestier, de l’environnement, des Mines, de l’Urbanisme, de l’Agriculture, des Services publics et privés, des Organisations non gouvernementales et des peuples autochtones sont invitées pour mener des réflexions salvatrices qui puissent aider à renforcer la politique de la gouvernance forestière en République Démocratique du Congo.
Pour Madame la ministre d’Etat, Eve Bazaïba, ces assises qui dureront quarante-huit heures ont pour objectif global, de garantir l’amélioration de la gouvernance forestière à travers un processus indispensable de concertation entre toutes les parties prenantes concernées par la gestion durable des ressources forestières de la RDC.
De façon spécifique, elles permettront, affirme la patronne du MEDD, d’examiner plusieurs documents notamment, ceux issus :
du rapport des assises des Etats Généraux des Forêts ; du rapport de diagnostic sectoriel forêts ; de la version VO de la Politique Forestière Nationale ; du plan de déploiement des consultations provinciales des parties prenantes sur la Politique Nationale ; de la feuille de route de zonage forestier et programme géographique et la feuille de route relative à l’approvisionnement durable en bois d’énergie à l’horizon 2030.
Accélération du processus de réforme
Il convient de rappeler que la sixième réunion du CCNF se tient conformément à l’article 24 du code Forestier qui stipule que : « la responsabilité de la gestion, de l’administration, de la conservation, de la surveillance et de la police des forêts incombent au Ministère ayant les forêts dans ses attributions. A cet effet, le Ministère travaille constamment en collaboration et en concertation avec les autres Ministères dont les attributions peuvent avoir une incidence sur le secteur forestier. Il implique également les autres acteurs, notamment, le secteur privé économique et les organisations non gouvernementales».
En un mot comme en mille, la Ministre d’Etat Bazaïba souhaitent ardemment que les différents avis à émettre sur ces différents documents ci-haut énumérés puissent permettre d’avancer dans le processus de réforme du secteur forestier sur lequel, le gouvernement s’est engagé depuis plusieurs mois.
Des félicitations et actes de reconnaissance
Auparavant, Maître Eve Bazaïba a profité de cette opportunité pour présenter ses sincères félicitations au Chef de l’Etat, Félix Antoine Tshsisekedi Tshilombo, qui fait de l’amélioration de la gouvernance forestière son cheval de bataille et surtout pour sa volonté d’œuvrer sur la réduction de la pauvreté et la lutte contre le changement climatique.
A Madame Judith Suminwa Cheffe du Gouvernement, Madame Eve Bazaïba a exprimé sa totale reconnaissance pour avoir fait de l’Environnement, le 6ème pilier de l’action du gouvernement.
Ce membre du Gouvernement a tout aussi remercié les partenaires CAFI et PGDF (Programme de Gestion Durable des Forêts) pour leur souci permanent qu’ils accordent à la gouvernance des ressources forestières.
Pour sa part, le Directeur Général des Forêts du MEDD, M. Fréderic Djengo Bosulu, qui a souhaité la bienvenue aux participants, déclare que le secteur ne contribue pas encore efficacement aux ressources de PIB du pays. D’où, la nécessité de doubler les efforts pour que le secteur forestier de la RDC puisse contribuer au développement socio-économique du pays.
Jean-Claude Tshilumbayi, premier Vice-président de l'Assemblée nationale a pris part, mardi 5 novembre dernier, à l'examen périodique universel (EPU) de la situation des droits de l’homme en République Démocratique du Congo par les Etats membres du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies à Genève, en Suisse. Réagissant aux recommandations de certains Etats membres sur la levée du moratoire sur la peine de mort, le numéro deux de la chambre basse du Parlement a rassuré que la RDC est un Etat abolitionniste, la levée du moratoire est une mesure administrative pour laquelle l'Assemblée nationale y travaille pour éviter des abus.
Devant le Conseil des droits de l’homme, il a affirmé que le retrait de cette peine est une mesure administrative. Cela démontre que jusqu'à présent, aucune exécution n'a été constatée avant d’ajouter que le parlement travaille sur des mesures permettant de sauvegarder la paix sociale.
"En ce qui concerne l'abolition de la peine de mort, on peut noter que la République Démocratique du Congo est par essence un État abolitionniste, depuis bientôt 50 ans que l'on n’a pas exécuté cette peine de mort bien que consacrée par sa législation pénale à l'exception de quelques cas perpétrés sous la coupe des troupes rwandaises. La levée du moratoire sur la peine de mort est une mesure administrative qui n'a pas changé de vocation.
Pour cet élu de Luiza au Kasaï Central, le prétexte du discours de haine est une surenchère publicitaire des prédateurs des richesses de la RDC en vue de s'attirer la sympathie internationale.
" Nous avons toujours invité les États qui en détiennent la moindre preuve à nous l'établir si nécessaire. La France a évoqué la problématique de la convention contre la torture, il convient de souligner ici qu'elle a été ratifiée par la RDC depuis le 18 mars 1999 et qu'elle est pleinement appliquée à l'exception des zones aujourd'hui occupées par les troupes Rwandaises".
Jean-Claude Tshilumbayi, premier Vice-président de l’Assemblée nationale est revenu sur les différentes mesures adoptées par la République Démocratique du Congo dans l’amélioration des droits de l’homme.
"En ce qui concerne la législation et l’adoption des lois par le parlement, depuis l’avènement de la nouvelle constitution, la législation congolaise en matière des droits de l’homme est l’une des plus révolutionnaires si pas du continent mais du monde. Des thématiques très importantes ont été développées et formalisées en lois depuis une dizaine d’années et de manière très progressive, en conformité avec les engagements internationaux du pays", a indiqué Jean-Claude Tshilumbayi devant les représentants des pays membres du Conseil des droits de l’homme de l’ONU.
À lui d'énumérer certaines initiatives concrètes: "On peut de manière non exhaustive citer la Loi portant institution, organisation et fonctionnement de la Commission nationale des droits de l’Homme; la ratification de la convention nationale des droits de l’homme; la ratification de la convention nationale sur les droits des enfants; la réforme du code pénal qui redéfinit la notion de viol afin de protéger les filles des mariages précoces et non consentis; l’adoption de la Loi sur les peuples autochtones, la Loi relatif à la protection et la responsabilité des défenseurs des droits humains, la loi sur la protection des personnes vivant avec handicap, la loi sur la protection des personnes vivant avec le VIH/SIDA et la loi sur les modalités de l’exercice de la liberté de presse qui constituent un socle important de la volonté du pays à faire triompher les droits de l’homme".
Cette session intervient quelques semaines après l'élection de la République Démocratique du Congo comme membre du Conseil des droits de l'homme des Nations Unies pour le mandat 2025-2027. Aux côtés de la RDC, plusieurs autres pays ont été élus pour le même mandat : le Bénin, la Bolivie, la Colombie, Chypre, la République tchèque, l'Éthiopie, la Gambie, l'Islande, le Kenya, les Îles Marshall, le Mexique, la Macédoine du Nord, le Qatar, la République de Corée, l'Espagne, la Suisse, et la Thaïlande.
Cette élection permet à ces pays de participer activement aux travaux du Conseil pour la promotion et la protection des droits de l’homme à l’échelle mondiale. Le Conseil des droits de l'homme, basé à Genève, est composé de 47 États membres, élus pour un mandat de trois ans. Sa mission est de renforcer la promotion et la protection des droits humains dans le monde entier, d'examiner les violations présumées des droits de l'homme, et de formuler des recommandations pour y remédier.
Dans sa prise de parole, lors de l’ouverture des états généraux de la Justice, hier, mercredi 6 novembre 2024, Dieudonné Kamuleta Badibanga, Président de la Cour Constitutionnelle et du Conseil supérieur de la Magistrature, a fixé l’attention des participants sur les mesures à observer, tout au long des travaux, prévus jusqu’au 13 novembre prochain, pour des résultats visibles. Le Professeur Kamuleta est très convaincu que cette session va contribuer, suivant la voie tracée par le Président Félix Tshisekedi, en sa qualité de Magistrat suprême, à poser les bases réelles de l’avènement d’un vent nouveau dans le fonctionnement du secteur judiciaire en République démocratique du Congo. Il a reconnu, de vive voix, les efforts que ne cesse d’accomplir le Chef de l’Etat pour consacrer l’avènement d’un Etat de droit au Congo.
‘’Je tiens à adresser à Son Excellence Président de la République, Chef de l’Etat et Magistrat Suprême, ma profonde gratitude car depuis son accession au pouvoir, il fait de la question de l’accès à la justice une matière centrale de sa vision pour l’enracinement de l’Etat de droit. Une fois de plus, vous venez de manifester votre intérêt et total engagement pour la renaissance de la justice en RDC, par la convocation de présentes assises’’, a-t-il salué.
Le Professeur Dieudonné Kamuleta a souligné l’importance de jeter un regard rétrospectif pour prendre en compte, au moment des échanges, des résolutions des états généraux tenus en 2015. Il a préconisé, vivement, l’évaluation du niveau de leur mise en œuvre pour permettre de produire, cette fois-ci, un travail de qualité.
“Je voudrais souligner que les travaux de ces assises ne pourront se faire avec succès que si les participants commencent par faire une vraie évaluation des assises de 2015 et de leur niveau de mise en œuvre. J’émets le voeu que les travaux se déroulent en toute franchise avec toute la courtoisie nécessaire pour un véritable diagnostic afin de proposer des solutions concrètes, objectives et idoines, mettant en soubassement la considération de la dignité humaine. Je souhaite plein succès aux travaux des états généraux de la justice en RDC et je crois fermement que la grâce de Dieu les éclairera”, a insisté le Président Kamuleta.
Vivement l’harmonisation des mesures
“Je tiens à rappeler qu’à l’initiative du ministère de la justice, il se sont tenus à Kinshasa, du 27 avril au 2 mai 2015, les états généraux de la justice en RDC. Les objectifs étaient en son temps, de poser un diagnostic du fonctionnement de l’appareil judiciaire en RDC, d’évaluer des réformes déjà entreprises et de formuler des recommandations autour desdites réformes et des actions prioritaires à mettre en oeuvre. De ces assises, 350 recommandations avaient été enregistrées, allant de l’indépendance du pouvoir judiciaire, à la lutte contre l’impunité, en passant par l’accès à la justice, la sécurité des investissements et la planification, la coordination et le financement des réformes de la justice… Je promets de me rassurer de la disponibilité des magistrats et de tout le personnel du secteur de la justice désignés pour ces assises pour un diagnostic sans complaisance des maux qui rongent les milieux de la justice afin de formuler des recommandations qui cadrent avec les vraies réalités du secteur et qui tiennent compte des attentes de la population “, a assuré le Professeur Dieudonné Kamuleta, Président de la Haute Cour congolaise et du Conseil supérieur de la Magistrature.
Les états généraux de la Justice en RDC réunit plus de 3500 participants venus de différentes provinces du pays, parmi lesquels des professeurs, délégués de la Société civile… Dans son discours d’ouverture, le Président Tshisekedi a encouragé un débat sain et constructif pour la renaissance le Justice en RD. Congo. Ces états généraux se déroulent sous le thème : ‘’Pourquoi la Justice congolaise est-elle malade ? Quelle thérapie pour la guérir ?’’.
Après l'installation officielle des membres des bureaux des commissions permanentes et du comité de conciliation et Arbitrage, le week-end dernier, le Bureau du Sénat, sous la conduite de l'honorable Jean-Michel Sama Lukonde, a tenu ce mercredi 6 novembre, la toute première conférence des présidents de la 4ème législature, comme l'avait promis le numéro 1 de la chambre haute du Parlement.
A en croire la Rapporteure du Sénat, l'honorable Nerfititi Ngundianza qui a fait le compte rendu à la presse, cette première conférence des présidents qui a regroupé les délégués de différentes Commissions récemment mises en place, s'est focalisée sur l'examen et l'adoption de l'avant-projet du calendrier des travaux de la session ordinaire de septembre en cours.
"C'était à huit clos. Nous l'avons tenue parce que nous sommes sortis d'une longue procédure de constitution de tous nos organes et voilà que maintenant, nous avons mis en place nos commissions permanentes. Nous avons pu organiser notre première conférence des présidents. Ce que je pourrai dire en somme c'est que nous avons adopté l'avant-projet du calendrier des travaux de notre session ordinaire de Septembre 2024. La plénière se tiendra après pour que ce projet que nous allons présenter à l'assemblée puisse être adopté. C'est alors que les dés seront lancés pour que nous puissions finalement commencer le travail pour lequel nous avons été élus", a déclaré l'Honorable Rapporteure de la chambre haute.
Notons que selon les dispositions pertinentes des articles 74 et 75 du règlement d’ordre intérieur du Sénat, la conférence des présidents est l'organe de concertation du Sénat. Avec la tenue de cette première conférence, la Chambre haute se lance pleinement dans les activités de la 4ème législature.
En sa qualité de Magistrat suprême, le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, a ouvert, solennellement, hier, mercredi 6 novembre 2024, au Centre financier de Kinshasa, les états généraux de la Justice en RDC. Plusieurs autorités étatiques dont la Première Ministre Judith Suminwa, des membres du Gouvernement de la République, des parlementaires et des hauts responsables du secteur judiciaire, ont assisté à la cérémonie. Le Chef de l'État a, dans son allocution, donné des orientations claires devant servir de boussole aux séminaristes, au moment de la poursuite des travaux, pour la refondation profonde et véritable du secteur de la Justice en République démocratique du Congo.
Le Président Félix Tshisekedi a insisté sur le fait que ces assises doivent être un rassemblement qui puisse se démarquer par la qualité et la pertinence des recommandations qui y seront formulées, pour une bonne administration judiciaire en RDC. Il a encouragé, toujours dans son discours d’ouverture, les participants à engager des discussions saines et à envisager des mesures fortes qui vont aider à combattre la corruption et l'impunité sous toutes ses formes. De même, le Chef de l’Etat a rappelé la nécessité de mettre en place, en RD. Congo, le plus vite possible, un Parquet financier qui aura pour mission essentielle de poursuivre, entre autres, les infractions des détournements de deniers publics dans la gestion des biens de l'Etat. Pour lui, en effet, ‘’le Congo ne va plus tolérer ni l’incurie, encore moins la complaisance’’.
La Justice élève une Nation
‘’C’est avec une profonde solennité et un immense sentiment de responsabilité que je me tiens devant vous, aujourd’hui, à l’occasion de l’ouverture des états généraux de la Justice en République démocratique du Congo. Cet évènement crucial nous offre l’opportunité de scruter avec lucidité et honnêteté l’état de notre système judiciaire, d’identifier les défis qui entravent son fonctionnement et de tracer ensemble les voies de sa renaissance. Ma présence en ce lieu n’est pas un simple acte protocolaire destiné à être inscrit dans les lettres de noblesse du Ministère de la Justice. Elle est plutôt le symbole de mon engagement ferme de restaurer la justice de notre pays afin d’être en adéquation avec les saintes écritures qui consacrent la Justice comme un vecteur de l’élévation d’une Nation. Ainsi qu’il est écrit dans Proverbes 14, 34 : La Justice fait la grandeur d’une Nation. Le peuple congolais, au nom de qui, conformément à l’article 149 alinéa 3 de la Constitution, la Justice est rendue, exige une Justice qui porte haut les valeurs d’intégrité, d’impartialité et d’équité. Très souvent, nos concitoyens se sentent trahis lorsque les principes fondamentaux de la Justice sont bafoués par certains acteurs pour satisfaire leurs intérêts personnels et leur appétit du gain indu. En tant que Magistrat suprême, c’est avec détermination que je me tiens ici pour affirmer que notre appareil judiciaire sera restauré… Un minimum de volonté de nous tous suffit pour que nous ayons un appareil judiciaire fort, exempt du dysfonctionnement et de divers maux qui le rongent pour ainsi redevenir un sanctuaire où nul n’est au-dessus de la loi et où chaque citoyen, riche ou modeste, trouvera la part qui lui est dû dans la distribution de la Justice’’, a insisté le Magistrat suprême, dans son allocution.
Plusieurs fers au feu
Selon le Président Félix Tshisekedi, le secteur de la justice en RDC comporte plusieurs défis à relever. Il a exigé, avec une fermeté profonde, des réformes courageuses pour redresser ce secteur stratégique du pays.
‘’Malgré quelques avancées, les défis demeurent immenses et pressants. Les moyens judiciaires sont encore limités, certes, les infrastructures inadaptées et la couverture judiciaire incomplète. A cet égard, j’ai instruit le Gouvernement d’accélérer la construction de nouvelles infrastructures judiciaires et surtout la construction des établissements pénitentiaires pour résoudre l’épineuse question de la surpopulation carcérale à laquelle nous faisons face actuellement. J’attache du prix à cette question. Mais, au-delà des moyens matériels, il est des antivaleurs, plusieurs fois décriées, qu’il faut à tout prix éradiquer. Il s’agit principalement de la corruption et de l’impunité. Ces antivaleurs qui minent la mission et trahissent le devoir de la Justice appellent obligatoirement à une thérapie choc, comme l’a dit le Ministre d’Etat. Mon engagement à ce sujet est solennel et inflexible. Notre justice sera purgée de ces fléaux pour que le statut du peuple congolais ne soit plus compromis par les intérêts égoïstes et corrompus… Face au tableau sombre dressé ci-dessus, il est temps de se ressaisir, de dresser sans complaisance un état des lieux exhaustif de la situation de notre système judiciaire afin de trouver des solutions à même d’y remédier. C’est donc l’occasion pour moi de rendre hommage à l’ensemble du Gouvernement et au Bureau du Conseil supérieur de la Magistrature pour leur collaboration dans l’organisation de ces assises. Je tiens à exprimer mes encouragements au Ministre d’Etat, Ministre de la Justice et Garde des Sceaux pour cette initiative d’organiser pour une énième fois les états généraux de la Justice après ceux organisés en 2015’’, a-t-il indiqué, dans son élan.
Des actions concertées encouragées
‘’Je formule le vœu que ces assises ne soient pas un rassemblement en plus, mais plutôt avec un plus et qui se démarque par la qualité et le pragmatisme des recommandations qui en découleront. A ce propos, le but n’est pas de remettre en cause les conclusions et recommandations de celles de 2015, mais de procéder entre autres à l’évaluation du niveau de leur mise en œuvre tout en proposant des actions concrètes à compter ensemble avec celles qui sont issues de cette deuxième édition. Aussi, ce moment me parait indiqué de peaufiner davantage la réflexion sur la mise en place d’un Parquet financier ayant pour mission de poursuivre, de manière spécifique, les infractions des détournements de deniers publics et aussi sur la possibilité de créer un service national du renseignement pénitentiaire qui devrait être capable d’anticiper et de prévenir les évasions à répétition que nous connaissons et qui aura notamment pour mission de coordonner efficacement la surveillance et la sécurité au sein de nos établissements pénitentiaires. Par ailleurs, nous devons également penser à moderniser notre appareil judiciaire, notamment en y insérant l’utilisation des technologies numériques pour faciliter les procédures et réduire les délais de traitement des affaires. Ces trois exemples ne devraient pas limiter l’imagination débordante de ces assises. Je vous exhorte donc à préserver, à travailler sans relâche pour le renforcement, l’efficacité, la cohérence et la crédibilité de notre système judiciaire. Dans cette perspective, il vous appartiendra de soumettre aux états généraux de la Justice tous les remèdes possibles en ce compris, les réformes législatives, courageuses et ambitieuses’’, a ajouté, dans son discours, le Président Tshisekedi.
Mobilisation générale
Le Chef de l’Etat a poursuivi son discours par formuler des recommandations. Au Gouvernement, il a sollicité un accompagnement appuyé au secteur de la Justice pour garantir la mise en œuvre des réformes. Au Parlement, il a sollicité un soutien total et sans réserve aux réformes législatives. Le Président Tshisekedi n’a pas éludé les Magistrats. Il leur a demandé, quant à eux, de bannir les antivaleurs dans l’exercice de leur profession et de toujours tenir compte des attentes des congolais. Il a affirmé, trait sur le visage, son engagement à neutraliser, tout prochainement, les adeptes patentés de la corruption, dans ce corps d’élite.
‘’Aux honorables députés et sénateurs, je vous invite à soutenir les réformes législatives qui seront initiées dans le sens à obtenir la restauration de notre système judiciaire afin de promouvoir un Etat de droit. Au Gouvernement, je rappelle l’impératif de mobiliser les ressources nécessaires pour garantir la réussite de la mise en œuvre des réformes. Aux Magistrats et aux autres acteurs judiciaires, je rappelle, solennellement, que le peuple congolais attend de vous une Justice qui apaise et qui rassure, une Justice qui inspire confiance… Le Congo ne va plus tolérer ni l’incurie, encore moins la complaisance. Chaque décision, chaque acte, chaque parole, doit être le reflet de l’intégrité, de l’honneur que vous êtes appelés à incarner. Personnellement, je crois en vous et que, loin d’être la rusée de la société, vous pouvez encore donner le goût de ce noble métier à nos enfants pour qu’ils aspirent à devenir des magistrats et à appartenir à votre Corps d’élite. La Nation vous observe, sachez que tout manquement, toute défaillance, tout compromis avec la probité et la droiture, sera désormais sanctionné’’, a-t-il menacé.
Fini la recréation
Selon le Magistrat suprême, le temps des avertissements est révolu. Il a assuré que c’est avec une fermeté sans concession que seront, désormais, prises les mesures nécessaires pour extirper des rangs de la Justice ceux qui trahiraient leurs missions et, par ricochet, leurs serments.
‘’Le Congo attend de vous une Justice implacable contre la corruption et l’impunité, une justice qui ne recule devant aucune pression, devant aucun intérêt autre que celui de la vérité et du droit. Une bonne justice constitue le gage des institutions fortes pour le pays. A nos partenaires, je réitère notre gratitude pour votre soutien constant et indéfectible. A vos côtés, nous entendons renforcer cet effort fondamental pour que la justice congolaise puisse se hisser au rang des institutions les plus respectées, les plus intègres et les plus protectrices des droits et libertés fondamentaux de chaque citoyen. Aux acteurs du secteur privé, par ces états généraux, je voudrais que vous y trouviez la volonté ferme d’assainir l’environnement des affaires afin que le partenariat avec l’Etat soit dans le respect des règles. Je vous lance un appel pour une participation remarquable afin que votre voix soit entendue… J’ai conscience du rôle et de la place du secteur privé dans le relèvement de notre pays’’, a souligné, haut et fort, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, Président de la République, Chef de l’Etat, son allocution d’ouverture des états généraux de la Justice en RD. Congo.
Ce lundi 4 novembre, KIM JONG UN, Secrétaire Général du PTC (Parti du Travail de Corée, parti présidentiel le plus âgé du monde depuis 1945, NDLR) et Président des Affaires d’Etat de la RPDC (République Populaire Démocratique de Corée de 123.214km2, sise au nord de la Péninsule coréenne, créée 3 ans après la Libération Nationale 1945 et émergée Superpuissance:
militaire consacrée à sauvegarder non seulement son idéologie, son système, sa dignité, sa vie ainsi que sa souveraineté, sa sécurité, ses intérêts mais aussi la paix et la sécurité de la Région et du monde entier vu son potentiel nucléaire
politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Bienfaiteurs dont les Généralissimes KIM IL SUNG 1912-1994 et KIM JONG IL 1942-2011, et le Maréchal KIM JONG UN, NDLR), a visité, de nouveau (après le 29/09/2024), le chantier de réparation des dégâts dans la Province Nord-Phyongan
accompagné de JO Yong Won et RI Il Hwan, Secrétaires du Comité Central (CC) du PTC, et d’autres cadres du CC du PTC
accueilli, sur le terrain, par RI Hi Yong, Secrétaire-en-chef du comité provincial du PTC, et les commandants des unités engagées dans la réparation des dégâts, tant de l’Armée Populaire de Corée (APC) que de la Troupe de Choc des Jeunes Héros du Mt. Paektu-san (mont ancestral de la Nation et sacré de la Révolution d’où l’objet du pèlerinage de toute la Nation, le plus haut de la Péninsule coréenne avec 2.750m et classé 1er parmi les 6 monts célèbres de la Péninsule pour son paysage magnifique; le nom provient de ce qu’il est enneigé pendant toutes les 4 saisons, d’où le mont-blanc dont l’environnement naturel est formé à la suite des 31 éruptions volcaniques 939-1925, NDLR).
Grâce à la lutte patriotique énergique de tous les bâtisseurs qui se sont dressés, avec détermination, à l’appel militant du CC du PTC invitant à construire, dans la région sinistrée, des logements hautement civilisés et modernes qui n’auraient rien à envier à la ville pour, ainsi, transformer cette région en un village urbanisé idéal, de nouveaux villages révèlent leurs aspects magnifiques au fil des jours dans la région insulaire Nord-Ouest (frontalière d’avec la Chine, NDLR) du Pays, démontrant, pleinement, la brillante réalité du meilleur Régime socialiste et inspirant confiance et optimisme dans le lendemain radieux. KIM JONG UN:
a fait le tour du chantier de la Commune Ojok de l’Arrondissement Uiju et de la Commune Hadan de la Ville Sin-uiju, prenant le pouls en détail des travaux de construction
s’est souvenu: Quand, quelques mois auparavant, cette région était en danger à cause de l’inondation (fin juillet 2024, NDLR), j’ai regardé, affligé, les villages submergés par les eaux en furie en m’occupant du sauvetage d’urgence de la population du lieu; le souvenir affreux de ce moment-là me rongeait toujours entre-temps.
a ajouté: Pourtant, à la vue de solides digues construites et de logements ruraux variés du type de la ville qui surgissent en lieu sûr à qui mieux mieux en se vantant de leurs formes originales, je ressens une émotion profonde. La décision que nous avons prise était vraiment méritoire et juste. Nous avons produit un changement énorme par nos propres efforts en comptant sur nos forces (Il a grandement apprécié les exploits et innovations éclatants des bâtisseurs.).
a dit très satisfait: Notre APC ayant rempli, toujours parfaitement, sa mission sacrée en tant qu’armée du PTC et du Peuple, et notre jeunesse toujours fidèle à sa glorieuse réputation en tant que troupe de réserve et celle d’avant-garde, dignes de confiance du PTC, enregistrent les succès de constructions remarquables ici également, sur le champ de réparation des dégâts, avant-poste pour la défense du Peuple, en faisant preuve du courage qui leur est propre conformément à l’appel de la Patrie et aux exigences de la Révolution coréenne.
a poursuivi: A travers cette lutte de construction colossale pour la réparation des dégâts, nous avons pu avoir une nouvelle confiance dans nos forces. Je le considère comme une richesse spirituelle plus importante que n’importe quel résultat. Nous expérimentons, de nouveau fortement, nos propres forces inépuisables et sommes dignement convaincus que l’union monolithique de notre Communauté où l’on s’entraide et se soutient s’accroît davantage grâce à l’esprit de la confiance en soi-même et à la lutte patriotique sacrée. Nous devons, naturellement, être fiers de l’esprit et de la force irrésistibles de notre grand Etat, sans pareils au monde, et les manifester toujours pour créer, sans cesse, un lendemain plus digne et plus méritoire. Nous continuerons à mettre toute notre énergie à cette lutte patriotique honorable visant à débarrasser le Peuple du malheur et à panser les blessures de la Patrie, et obtiendrons, ainsi, un résultat excellent comme prévu. Dans chaque entreprise, le commencement est important, mais la finition l’est plus. De la façon d’accomplir le restant des travaux de construction dépendra le jugement à l’égard de la réparation des dégâts. Grâce à un redoublement de responsabilité, d’efforts et de courage, les bâtisseurs poursuivront une lutte intense pour enregistrer de plus grandes innovations en phase de finition.
a noté: Pour finir qualitativement les travaux, il faut veiller à renforcer le personnel qualifié et à résoudre certains problèmes dans le cadre de l’Etat (Il a ordonné de prendre les mesures nécessaires: il a pris la résolution d’achever, au mieux, la réparation des dégâts avant la session plénière du CC du PTC prévue pour le mois de décembre et donné ses directives détaillées pour accélérer, avec succès, les travaux.).
a déclaré: Nos jeunes et nos militaires sont partis en été d’une chaleur étouffante pour le chantier de réparation des dégâts et voilà une autre saison. Entre-temps, un village urbanisé a révélé son apparence dans cette région sinistrée qui n’avait été couverte que de boue. Le changement entraîné par la lutte créatrice de nos jeunes est plus rapide que celui de la saison. Pendant cette période, nos jeunes et nos militaires ont fait, vraiment, beaucoup de choses pour être dignes devant la Patrie et l’Epoque. Grâce à la lutte indomptable de nos bâtisseurs dignes de confiance qui consacrent tous leurs efforts patriotiques à chacune de leurs créations, on verra, sous peu, s’écrire l’histoire d’un changement spectaculaire et éblouissant.
Tous les bâtisseurs qui se sont dressés une nouvelle fois pour atteindre leur objectif de lutte sacré, fermement convaincus que la confiance de KIM JONG UN leur permet de soulever même la Terre, se sont, farouchement, déterminés à créer, sans faute, un mythe de la construction, à l’étonnement du monde entier, sur leur chantier de réparation des dégâts.
Rappelons que, grâce aux mesures importantes destinées à mettre en vigueur le système d’urgence prises le 09/08/2024 par KIM JONG UN sur le terrain, consistant à:
emmener à Pyongyang (Capitale de la RPDC et berceau de la Civilisation Taedong-gang de 4.357 ans, NDLR) tous les enfants, y compris les enfants préscolaires (2.198) et scolarisés (4.384), des familles sinistrées des Provinces Nord-Phyongan, Jagang et Ryanggang pour les entretenir et éduquer, pendant la réparation des dégâts, dans les conditions sûres et confortables fournies entièrement aux frais de l’Etat
accorder des bienfaits étatiques de valeur protectrice aux personnes âgées (4.524), aux personnes malades et physiquement diminuées, aux glorieux blessés (265) de l’APC et aux mères (4.096) de bébé, à Pyongyang toujours, le PTC et le Gouvernement de la RPDC est en train d’en assumer l’entière responsabilité, prenant autant de soin que leurs propres parents et enfants de la santé et de la vie des sinistrés (15.467 au total) à Pyongyang.
(Note de l'éditeur : Cet article reflète le point de vue de l'auteur Karim Badolo et pas nécessairement celui de CGTN.)
« Nouvelle ère, Avenir partagé » est le thème autour duquel se tient la 7e Exposition internationale d'importation de la Chine (CIIE) à Shanghai du 5 au 10 novembre 2024. Depuis la première édition en 2018, la CIIE gagne en envergure chaque année. À ce présent rendez-vous, ce sont les 3 500 exposants de plus de 150 pays, régions et organisations internationales qui sont attendus, avec une aire d'exposition de 420 mille mètres carrés. 297 compagnies figurant sur la liste Fortune Global 500 et entreprises participent également à cette édition. Pour cet événement, un accent particulier sera par ailleurs mis sur les résultats de recherche les plus innovants, l'économie numérique, le développement à faible émission de carbone, les sciences de la vie et les technologies de fabrication. La notoriété de la CIIE est bien établie et se renforce davantage grâce aux efforts d'innovation et à son élan d'ouverture au fil des ans.
Plateforme majeure pour les entreprises du monde entier de découvrir les opportunités qu'offre le marché chinois dans une diversité de secteurs, la CIIE a toujours accordé un intérêt particulier aux pays en développement. Cette année, 37 pays les moins avancés ont le privilège de participer aux expositions de pays et d'entreprises. Dans ce registre, l'Afrique dispose d'une importante aire d'exposition afin de promouvoir les produits du continent. À l'instar de l'Exposition économique et commerciale Chine-Afrique, la CIIE offre aussi une vitrine idéale aux pays africains pour faire connaitre leurs produits en Chine et tisser des partenariats fructueux avec des entreprises chinoises et d'ailleurs.
Dans cette dynamique, bon nombre de pays africains ne lésinent pas sur les moyens pour prendre part à cette rencontre économique et commerciale qu'est la CIIE. Des pays comme la Tanzanie, le Burundi, Madagascar et le Bénin seront présents à Shanghai pour profiter des opportunités d'affaires. La Tanzanie fait partie des pays invités d'honneur comme la France, la Malaisie, le Nicaragua, l'Arabie saoudite et l'Ouzbékistan. Le Bénin, qui a participé à l'édition de 2023 de la CIIE avec un succès franc, revient cette année avec une gamme variée de produits agricoles et cosmétiques. Ayant tiré les leçons de sa précédente participation, le Bénin, avec ses huit exposants au stand « Choose Benin », va proposer aux visiteurs des produits comme l'ananas, les amandes de noix de cajou, les produits à base de karité et de miel. Ce pays d'Afrique de l'Ouest a bien compris les opportunités que représente la CIIE pour la promotion de ses produits en Chine et consolider sa présence sur le marché chinois.
L'Exposition internationale d'importation de la Chine se présente comme une belle opportunité pour les pays africains de renforcer leur coopération économique et commerciale avec la Chine. En s'appropriant cette plateforme qui a lieu tous les ans, ils pourront significativement marquer la présence des produits du continent sur le marché chinois. Sur cette même lancée, les entrepreneurs africains pourront tisser des partenariats plus structurants qui pourraient aider, dans une certaine mesure, à une transformation qualitative des produits agricoles sur place avant leur exportation. Que ce soit dans les domaines de l'agriculture, des mines, du commerce, de la santé, des infrastructures, des sciences et des technologies, les perspectives de la coopération avec la Chine sont énormes et intéressantes. Pour l'Afrique, participer à des événements comme la CIIE, c'est non seulement promouvoir la diversité de ce qu'elle dispose comme ressources et produits, mais aussi attirer les investisseurs étrangers. Le forum principal et les 19 sous-forums qui seront organisés durant la 7e édition de la CIIE sont autant de plateformes adéquates pour nouer de nouveaux partenariats économiques et commerciaux entre les entrepreneurs chinois et africains et envisager le futur sous un angle radieux. Pour une édition où il est question d'un avenir partagé, il faut saisir les opportunités pour élargir davantage les passerelles d'une coopération gagnant-gagnant.
"La Chine ouvrira encore plus largement ses portes au monde extérieur, quels que soient les changements de l'environnement international", comme le dit le Premier ministre chinois Li Qiang lors d'une réunion avec des exposants et des acheteurs participant à la 7e Exposition internationale d'importation de la Chine.
(Par James Andersson NZALE, Président du CIEGS RDC AFRIQUE ET ASBL)
Avant toute chose, avant toute conclusion finale du grand dossier hautement géostratégique mondial et planétaire des Grands Enjeux de l’Election Présidentielle du Mardi 05/Novembre/2024 aux Etats – Unis d’Amérique à la veuille de l’élection proprement dite, écoutons tous et partageons ensemble ces versets bibliques qui du reste représentent une petite exhortation pour nous, pour notre vie et pour notre mieux être social :
. Ne vous y trompez pas, on ne se moque pas de Dieu. Ce qu’un homme aura semé, il le moissonnera (Galates 6 : 5, 7 - 8) ;
. Qui sème le vent récolte la tempête (Osée 8 : 7 - 8) ;
. On vous mesura de la même façon que vous mesurez les autres (Matthieu 7 : 1 - 2) ;
. Les Egyptiens que vous voyez aujourd’hui, vous ne le verrez plus (Exode 14 : 11 - 14) ;
Quand les gens crieront paix, paix sur la terre, une ruine soudaine les surprendront (1 Thessaloniciens 5 : 3) ;
. La tour de Babel Dieu dit : Descendons et confondons-les (Genèse 11 : 1 - 9) ;
. Que celui qui est injuste soit encore injuste, que celui qui est souillé se souille encore, et que le juste pratique encore la justice et que celui qui est saint se sanctifie encore, voici, je viens bientôt, et ma rétribution est avec moi, pour rendre à chacun selon ce qu'est son œuvre. (Apocalypse 22 : 11 - 12).
En conclusion générale de ce grand dossier hautement géostratégique mondial et planétaire sur les grands enjeux des élections présidentielles du 05 Novembre 2024 aux Etats – Unis d’Amérique, voilà ce que devrait logiquement et en toute évidence et vérité représenter les grands et les véritables enjeux de l’élection présidentielle du Mardi le 05/Novembre/2024 aux Etats – Unis d’Amérique et faisant suite et complétant le MEMORANDUM DES NOIRS D’AFRIQUE VIVANTS SUR LE CONTINENT AFRICAIN ET DU CIEGS RDC AFRIQUE : ONG DE DEFENSE DES DROITS DE L’HOMME ET DES LIBERTES FONDAMENTALES ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE ET INTEGRAL ET MIEUX ETRE SOCIAL EN RDC, EN AFRIQUE ET PARTOUT A TRAVERS LE MONDE ET ASBL A L’ATTENTION DU PEUPLE AMERICAIN SANS EXCEPTION ET EXCLUSION ET PARTICULIEREMENT AUX AFRO - AMERICAINS DES ETATS – UNIS D’AMERIQUE, AUX MEDIA AMERICAINS (PRESSE ECRITE ET AUDIOVISUELLE), AUX MEDIA EUROPEENS (PRESSE ECRITE ET AUDIOVISUELLE), AUX INSTITUTS DE SONDAGES AMERICAINS ET EUROPEENS, AUX INFLUENCEURS ET INFLUENCEUSES DE TIK TOK AMERICAINS ET EUROPEENS, AU PARTI DEMOCRATE AMERICAIN, AU PARTI REPUBLICAIN AMERICAIN, AUX ASSOCIATIONS SOCIO - CULTURELLES AMERICAINS, AUX ASSOCIATIONS SOCIO - ECONOMIQUES AMERICAINS , AUX ASSOCIATIONS SOCIO- PROFESSIONNELLES AMERICAINS, AUX SYNDICATS DES EMPLOYEURS ET DES EMPLOYES AMERICAINS, AUX EGLISES AMERICAINES, AUX ENTREPRISES AMERICAINES, AUX ONG AMERICAINES, AUX FONDATIONS AMERICAINES, AUX STARS DE MUSIQUE AMERICAINS ET AUTRES EN RAPPORT AVEC LE COMPORTEMENT A OBSERVER ET A DEVELOPPER, LES BONNES ATTITUDES JUSTES, VERIDIQUES, HONNETES, CORRECTES, CREDIBLES, INTEGRES, IMPARTIALES, NON PARTISANES ET TOTALEMENT DEMOCRATIQUES A CULTIVER A INCARNER, A DEVELOPPER ET A ENCOURAGER DURANT LA PERIODE DE LA CAMPAGNE ELECTORALE AMERICAINE QUI AURA POUR ABOUTISSEMENT FINAL L’ELECTION DU 47 EME PRESIDENT DES ETATS UNIS D’AMERIQUE LE MARDI LE 05/NOVEMBRE/2024.
Les principaux thèmes phares de la campagne électorale de 2024 qui devraient être développés par des candidats présidents des Etats – Unis d’Amérique pour expliquer, persuader, convaincre et faire comprendre à tout citoyen américain ou peuple américain sans exception et exclusion : grand et petit, homme et femme, jeune et vieux, libre et opprimé, riche et pauvre, ce que devrait être son projet de société et son programme de gouvernance dans les quatre (4) années à venir de 2025 à 2028, malheureusement, cela n’a pas été fait et cela n’a pas été le cas, les candidats à la présidence des Etats – Unis d’Amérique de cette année 2024 ont parfois versé directement ou indirectement ou par personne interposés dans des escalades verbales, dans les polémiques, dans le dénigrement et la diabolisation de l’autre adversaire politique jusqu’ à jeter le discrédit et l’opprobre sur l’autre sans se rendre effectivement compte de ce qu’ils étaient en train de faire et de dire au public et au peuple américain et ce que cela entrainera effectivement directement ou indirectement dans le subconscient, dans la tête et dans la conscience individuelle et personnelle du peuple américain au lieu d’aborder directement des questions majeurs, très sensibles et très stratégiques qui touchent directement la vie socioéconomique du peuple américain auxquelles il est confronté au quotidien, des véritables problèmes et difficultés auxquels le citoyen et le peuple américain est quotidiennement confronté nuit et jour à savoir : la santé, l’éducation, l’environnement, l’économie les mécanismes de la lutte contre l’immigration illégale, clandestine et abusive, ainsi que les enjeux locaux à savoir : le pouvoir d’achat du peuple américain, le logement, octroi des crédits au logement et la construction des logements sociaux, la lutte contre l’inflation, la crise de logement, pour des classes sociales démunies etc.
Ce qui est bien triste, regrettable, dommage, pitié, très ridicule et très honteux pour une très grande démocratie mondiale et planétaire qu’est les Etats – Unis d’Amérique. Alors qu’ils ont eu beaucoup de temps et des moyens matériels et financiers pour le faire et développer aussi des thèmes hautement géopolitiques et géostratégiques durant leurs campagnes électorales à la présidentielle américaine de 2024. Il s’agit en effet essentiellement des thèmes, des matières et des questions nationales et internationales le peuple américain voulait aussi écouter leur avis, leur opinion, leur projet de société et leur programme durant la campagne électorale de 2024 que voici :
La lutte contre le terrorisme international ;
La situation de la paix et la sécurité internationale au proche, moyen et extrême orient ;
La situation de la paix et la sécurité internationale en République démocratique du Congo et dans la région des grands lacs et à travers le monde ;
Le processus de paix Israélo - palestinien ou le plan de paix Israélo - palestinien ;
Les grands enjeux géopolitiques et géostratégiques des USA en Russie, en Syrie, en Israël, au Liban, en Turquie, en Iran, en Irak, en Palestine, en Lybie, au Soudan et en République Démocratique du Congo ;
Le transfert officiel de l’Ambassade des Etats – Unis d’Amérique de Tel - Aviv (Jaffa) à Jérusalem (Stratégies, mécanismes de mise en œuvre) ;
Les USA et le G7 ;
Les USA et le G20 ;
Les USA, la Crimée et l’Ukraine ;
Les USA, l’OTAN et l’acte fondateur OTAN – Russie ;
Les USA, l’Union Européenne et la nécessité de sa réforme et restructuration après le Brexit ;
Le Brexit ;
Les USA et les Etats Américains (Organisation des Etats Américains) ;
Les USA et traité de non-prolifération des armes nucléaires ;
Les USA et l’accord avec l’Iran sur le nucléaire ;
Les USA et la préservation de la planète, de l’environnement, le dérèglement et le réchauffement climatiques ;
Les USA et les relations économiques transatlantiques, le Commerce mondial et l’Organisation Mondiale de Commerce (OMC), OCDE, OSDE ;
Les USA et les relations politiques, diplomatiques, géopolitiques et géostratégiques que voici : USA – Royaume Uni (UK), USA – Union Européenne (UE), USA – Union Africaine (UA) ;
La maitrise de l’immigration américaine et européenne et le respect des frontières nationales comme mesures difficiles à prendre pour protéger les citoyens face au terrorisme international ;
L’accord de libre-échange Nord-Américain et transatlantique ;
La diplomatie agissante des USA en Europe, Afrique, Proche Orient, Moyen Orient et Extrême Orient et en Amérique du Nord et du Sud ;
Les relations bilatérales : Usa – Mexique, Usa – Russie, Usa – Israël, Usa – Chine, Usa – Royaume Uni, Usa – Allemagne, Usa – Bruxelles, Usa – Japon, Usa – Corée du Nord, Usa – Corée du Sud, Usa – les Balkans et l’Europe de l’Est, Usa – Afghanistan, Usa – Pakistan, Usa – Inde, Usa – Birmanie, Usa – Ukraine, Usa – Crimée, Usa – Géorgie, Usa – Turquie, USA – OTAN, Usa – Union Européenne, Usa – Turquie, Usa – Iran, Usa – Irak, Usa – Afrique, Usa – Syrie, Usa – Liban, Usa – Union Africaine, Usa – Egypte, Usa – République Démocratique du Congo et autres ;
La réforme, la suppression ou pas d’OBAMACARE et son remplacement par une autre Loi de Santé ou de Couverture Médicale Universelle ;
La réforme fiscale aux USA tels que vu par le nouveau Président élu des Etats - Unis d’Amérique ;
La problématique, la possibilité et la mise en œuvre de la construction du mur de séparation avec le Mexique dans le cadre du programme du Président élu des Etats - Unis d’Amérique dans la lutte contre l’immigration clandestine des sujets mexicains aux USA ;
La réduction des impôts aux USA ;
La guerre commerciale avec la Chine et la taxation des produits chinois (Made in China) fabriqués en Chine à la douane américaine ;
L’Energie et la relance de l’industrie de charbon sur le sol américain ;
L’engagement des USA en rapport avec la Défense, la sauvegarde, la surveillance, la promotion, la protection planétaire de la Démocratie, des Droits de l’Homme, de l’Etat de Droits, de la primauté de la Loi et des Droits, de la liberté d’expression, de la liberté d’opinion, de la liberté de manifestation, de l’autodétermination et au droit au développement des peuples de la planète ;
L’engagement spécial des USA face à l’Afrique dans la problématique de la démocratisation des régimes politiques, du respect des Droits de l’Homme et des Libertés Fondamentales, Non et plus question des soutenir les dictateurs éternels africains qui sont restés longtemps au pouvoir politique et qui oppriment leurs peuples, de l’alternance démocratique, du respect de la Constitution ou Loi Fondamentales et les Lois de la République, de la fin des mandats éternels et à vie des Présidents Africains.
L’engagement spécial des USA en rapport avec la reforme et la restructuration de l’OTAN ;
L’engagement spécial des USA en rapport avec la Réforme, la REFONTE TOTALE ET la RESTRUCTURATION DE L’UNION EUROPEENNE ;
L’engagement spécial des USA en rapport avec la Reforme, la REFONTE TOTALE ET la RESTRUCTURATION DE L’UNION AFRICAINE ET DE TOUTES ES ORGANISATIONS REGIONALES NON DEMOCRATIQUES ET QUI N’APPUYENT PAS LE PRINCIPE DE LA DEMOCRATISATION DES REGIMES POLITIQUES DES ETATS MEMBRES, ET LE STRICT RESPECT DES DROITS DE L’HOMME ET DES LIBERTES FONDAMENTALES, DE LA DECLARATION UNIVERSELLE DES DROITS DE L’HOMME, DE LA CHARTE DES NATIONS UNIES ET DE LA CHARTE DE L’UNION AFRICAINE à savoir : la CEEAC, la CEMAC, la CEPGL, la SADC, la COMESA, l’EAC, la CIRGL et autres pour ainsi se conformer aux impératifs et exigences mondiales et internationales de la démocratie, de l’Etat de Droit, des Droits de l’Homme et des Libertés Fondamentales, de la paix et sécurité internationale , de la lutte contre le terrorisme international et enfin le REFUS ABSOLU ET CATEGORIQUE des USA de tout soutien moral, politique et diplomatique et d’appui logistique et financier aux dictateurs africains, aux seigneurs de guerre des rebellions armées ainsi que la légitimation politique et diplomatique des pouvoirs non démocratiques issues des rebellions, des coup d’état et renversement des régimes démocratiquement élus par les armes.
La politique du Président élu des Etats - Unis d’Amérique en rapport avec le soutien à la classe moyenne américaine désœuvrée ;
Le bilan de 100 jours du nouveau Président élu des Etats – Unis à la maison blanche ;
La préparation spirituelle, morale, politique et stratégique du nouveau Président élu après son élection le Mardi 03 Novembre 2024 à assumer valablement ses fonctions et ses responsabilités politiques de diriger les Etats – unis d’Amérique durant les Quatre (4) années avenir de 2025 à 2028.
Que la grâce du Seigneur Jésus - Christ, l’amour de Dieu le Père Céleste et Eternel des Armées et la Communication du Saint Esprit soient avec vous (2 Corinthiens 13 :13).
Que Dieu le Père céleste et Eternel des Armées vous bénisse abondamment au nom puissant de notre Seigneur et Sauveur personnel et Maître Suprême JESUS - CHRIST (Actes 2 : 21 ; 4 : 11-13 ; 3 Jean 2 ; Ephésiens 1 : 1-3).
James Andersson NZALE LONGBANGO MONGA TSHAMBU
ISRAEL VAINQUEUR DES NATIONS
Président – Fondateur et Président Exécutif International
Et Chercheur du CIEGS RDC AFRIQUE ET ASBL
Grand Défenseur des Droits de l’Homme
Journaliste Manager et Professionnel
Char du Feu, Char d’Israël et sa Cavalerie
Le Vaillant Héros et le Grand Lion
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Le mécanisme de vérification ad hoc renforcé (MVA-R) du processus de Luanda a été lancé ce mardi 5 novembre à Goma à la frontière entre le Rwanda et la RDC. Il s’agit pour cette structure d’assurer un suivi non seulement du cessez-le-feu, conclu récemment entre les deux Etats, mais aussi de leurs accusations mutuelles d’agressions et d’attaques. La République démocratique du Congo y était représentée par la ministre des Affaires étrangères, Thérèse Kayikwamba Vagner.
La grande barrière entre les villes frontalières de Goma et Gisenyi est restée fermée à tout mouvement migratoire, toute la matinée de ce mardi 5 novembre. Tous les passages étaient orientés vers la petite barrière.
Le MVA-R intégrera des officiers de liaison congolais et rwandais. Sa mise en place est consécutive aux conclusions de la réunion des experts de défense et sécurité du 31 octobre dernier à Luanda.
Entre-temps, sur le terrain des combats opposent toujours les rebelles du M23 soutenus par le Rwanda aux FARDC et groupes armés locaux Wazalendo, notamment dans les territoires de Masisi et Lubero, en violation constant des accords de cessez-le-feu.
A l’occasion de la cérémonie du lancement de la campagne de l’éveil patriotique des jeunes pour la paix à Bunia, chef-lieu de l’Ituri le 4 novembre dernier, le vice-ministre de la Défense nationale, Samy Adubango, a exhorté les jeunes de cette province en proie à l’ennemi à se désolidariser des groupes armés locaux et étrangers. Une cérémonie qui a vu la présence du gouverneur militaire de cette province sous état de siège.
Lancée par Noëlla Ayeganagato, Ministre nationale de la jeunesse congolaise, cette campagne vise à un éveil patriotique en vue d’amener la jeunesse à barrer la route à l’agresseur qui mise pour une balkanisation du pays.
Prenant la parole, Samy Adubango a, de son côté, recommandé aux jeunes de cette province de ne pas se laisser manipuler par des personnes mal intentionnées.
« Ne laissez personne, notable ou politicien, quel qu’il soit, affaiblir votre attachement à la patrie. A cette période de graves défis sécuritaires, la RDC a plus que jamais besoin de votre énergie, votre patriotisme et votre unité. La jeunesse est le bouclier de notre nation, la barrière contre ceux qui cherchent à affaiblir notre paix et notre dignité », a-t-il déclaré.
La paix a un prix, dit-on ! Cette jeunesse est ainsi appelée à le payer par la sécurisation des frontières de sa province en vue de bouter l’ennemi hors état de nuire et à dénoncer toutes les personnes complices et impliquer dans cette guerre d’agression rwandaise sur le sol congolais.
Le vice-ministre de la Défense a en outre appelé à l’unité pour faire face à l’adversité. Il l’a encouragé à soutenir le Commandant suprême Félix Tshisekedi dans sa vision de mettre un terme, une fois pour toute, avec ses atrocités et agressions injustes dans la partie orientale du pays.
Samy Adubango n’a pas hésité à encourager ces jeunes à servir le pays sous le drapeau : un sacrifice suprême faisant preuve de patriotisme !
Le Parlement panafricain (PAP) a ouvert ses portes ce 4 novembre 2024 à Midrand, en Afrique du Sud, rassemblant des parlementaires des 55 Etats africains membres de l'Union africaine (UA). Cet organe législatif joue un rôle crucial dans la promotion de l'intégration et du développement économique du continent, en réunissant des représentants de chacun des Etats ayant ratifié le Protocole instituant le PAP.
Pour ce sommet, chaque pays membre a envoyé une équipe, en tenant compte de la représentation de la majorité et de l'opposition politique au sein de son Parlement national. La délégation RD Congolaise a été conduite par l'honorable Professeur Jacques Djoli Eseng'ekeli, accompagné de plusieurs députés nationaux, tels que Sakata Tawab Garry et Wangoie Mukalay Marie-Thérèse. De plus, la délégation de la Chambre Haute, quant à elle, a été conduite par l'honorable Ngoy Kasanji Alphonse.
L'objectif principal du PAP est d'assurer une participation active des peuples africains au développement de leur continent.
Dans son discours d'ouverture, l'honorable président du PAP, Fortuné Charumbira, a exprimé sa gratitude envers les parlementaires présents pour leur engagement et les a encouragés à travailler sans relâche pour le bien-être des Africains. Il a également souligné l'importance des travaux des commissions permanentes, qui sont cruciales pour le fonctionnement du Parlement.
Au cours de cette session, le Bureau du PAP a procédé à la prestation de serments pour les nouveaux membres, dont l'honorable Ngoy Kasanji de la RDC. Cette tradition du PAP d'inviter des personnalités influentes lors des sessions d'ouverture a été respectée, avec la présence de figures telles que Son Excellence André Nzapayeke, doyen du corps diplomatique africain, et Khalil Boudali, président de l'Ecosocc.
L'honorable Jacques Djoli Eseng'ekeli a également pris la parole pour faire le point sur les discussions de la séance plénière.
"Je crois que vous avez assisté à cette quatrième session ordinaire de la sixième législature du Parlement panafricain, qui a été marquée par le discours de l'honorable président Fortuné Charumbira, qui a insisté sur le repositionnement du Parlement panafricain dans l'architecture de l'Union Africaine, qui, aujourd'hui, est penchée sur un surpoids de l'Exécutif dominé par une surreprésentation hyper présidentialiste. D'où, il faut qu'on revienne au principe de séparation et de l'équilibre des pouvoirs, parce que le Parlement, le Législatif, qui était une innovation de la nouvelle architecture n'a pas encore pris sa place, pour faire entendre la voix des peuples africains. Nous avons eu des messages de solidarité de plusieurs personnalités. Il y a lieu de citer l'intervention du président de la Commission africaine des droits de l'homme, Rémy Ngoy Lumbu, autour du thème central de cette session, à savoir : ‘‘L'éducation comme axe pour l'accomplissement de l'agenda 2060-2063’’. Rémy Ngoy Lumbu a souligné le travail effectué par le Président de la RDC, qui a su mettre en place un principe constitutionnalisé, mais qui souffrait de la non-application, à savoir : la gratuité de l'enseignement, qui fait de la RDC un modèle au niveau de l'Union africaine. Et que ce modèle peut inspirer beaucoup de pays Africains, qui peuvent venir s'inspirer en RDC", a déclaré le Rapporteur de l’Assemblée Nationale.
Après la cérémonie d'ouverture, les membres du PAP ont été invités à participer aux réunions de chaque caucus ou groupe régional, marquant ainsi le début des travaux de cette session cruciale pour l'avenir du continent africain.