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Soutien sans équivoque témoigné aux membres de l'Asprocom à Kinshasa Patrick Muyaya appelle à adopter un narratif responsable pour casser les mythes autour de l'image de la RDC !

C’est un message chargé de conscientisation, un appel à la mobilisation et une voie tracée pour des engagements à grand impact. Samedi dernier à Kinshasa, précisément à Protea Hôtel, Patrick Muyaya Katembwe a, en effet, participé à la cérémonie de remise et reprise organisée par l’Association des Professionnels de la Communication et du Marketing en République Démocratique du Congo (Asprocom), après l’élection récente des membres de son nouveau comité. Toujours soucieux d’apporter une plus-value dans son secteur, suivant la vision édictée par le Chef de l’Etat, et endossée par le Gouvernement que dirige la Première Ministre Judith Suminwa, le Ministre de la Communication et médias a salué la tenue de cette activité qui souligne l’engagement des jeunes à s’affirmer au cœur de la société congolaise. Dans son mot, il a mis en avant le rôle central de la communication dans la construction de l’unité nationale, la valorisation de l’image du Congo et la défense du pays face aux récits négatifs qui dominent à l’international. Le ministre a appelé les communicateurs à travailler ensemble pour « changer le narratif », promouvoir les forces et les réussites du pays, et collaborer avec les institutions afin de bâtir une communication cohérente, patriotique et stratégique au service du développement et du rayonnement de la RDC. « Merci à vous tous d’avoir réservé ces moments pour m’associer. À la fois pour voir comment vous évoluez déjà, mais aussi pour être informé formellement de votre existence, ainsi que des missions que vous poursuivez. Le métier de la communication, est celui de la création. Je pense que de toutes les catégories des professions qui existent les artistes ou les communicants sont ceux qui militent les meilleurs. Parce que nous rendons tangible, ce qui ressort de notre imagination et la communication est l’une des fonctions les plus stratégiques des états dans un contexte où les technologies de l’information de la communication évoluent à grande vitesse et que tous les états sont débordés parce que nous sommes dans un contexte où la parole est de plus en plus libérée », a dit le ministre Patrick Muyaya. Et de poursuivre : « Je ne peux qu’accueillir favorablement l’existence de votre association, parce que, finalement, on ne peut être fort que lorsqu’on est ensemble. J’ai suivi que vous avez développé des volets de formation et des volets de placement, ce qui est très important, car peut-être que nous aurons une discussion plus approfondie à ce sujet. L’idée est : se demander ce que chacun de nous peut faire, dans sa position ou dans son rôle, pour nous assurer que, par exemple, nous contribuions tous à ce que j’appelle le changement du narratif. Parce que le Congo est mal raconté. Évidemment, nous faisons face à des défis qui peuvent aussi être des opportunités. Tout dépend de la manière dont on les présente ». Représentant le président, empêché, le vice-président Étienne M’libwa a succinctement présenté au ministre leur feuille de route appelée « COVOT ». « Notre feuille de route « COVOT » est l’acronyme des 5 axes principaux autour desquels s’articule notre action. Il s’agit ici de la Cohésion, des Opportunités, de la Valorisation, de L’Organisation, et de la Transformation. Pour commencer, la cohésion sera le ciment de notre action. Nous nous engageons à fédérer l’ensemble des professionnels du secteur, à favoriser l’échange et la collaboration entre pairs, afin que chaque membre se sente impliqué et valorisé. Nous bâtirons un réseau solidaire et dynamique, capable de porter haut l’excellence de la communication et du marketing en RDC », a-t-il expliqué. « De plus, créer des opportunités sera au cœur de notre mandat. Nous mettrons en place des programmes de formation adaptés, des ateliers pratiques et des plateformes de mise en relation professionnelle, afin de générer de la valeur, d’ouvrir de nouveaux débouchés et d’offrir à chacun les moyens de développer pleinement son potentiel. Un autre engagement fondamental, c’est la Valorisation de notre profession qui reste une priorité pour nous. Nous travaillerons à faire reconnaître la communication et le marketing comme de véritables leviers de performance pour les entreprises et les institutions, en récompensant les initiatives et en diffusant les bonnes pratiques qui font la différence. Nous attachons également de l’importance à renforcer notre organisation interne. Nous améliorerons notre gouvernance, clarifierons les rôles et responsabilités de chacun, et mettrons en place des procédures transparentes et efficaces pour assurer un fonctionnement exemplaire et durable au sein de l’Asprocom. Pour conclure ce volet, accompagner la transformation numérique du pays sera notre engagement stratégique. Nous guidons nos membres dans l’adoption des nouvelles technologies, promouvons l’innovation numérique dans la communication et sensibilisons aux enjeux de cybersécurité, afin que la RDC puisse pleinement tirer parti des opportunités offertes par le numérique », a-t-il poursuivi dans son explication. Il convient de noter que l’Asprocom tient également à la formation en continu de ses membres et de non membres pour avoir un environnement professionnel congolais mis à jour et aguerri, mais également le placement dans les entreprises et autres organisations ayant besoin de ces deux profils ou l’un d’eux. L’un des objectifs qui a réjoui le ministre qui tient également à la salubrité dans le monde professionnel de la communication et du marketing pour restaurer de l’ordre. Le vice-président a conclu son allocution en informant au ministre que depuis l’annonce de nouveaux animateurs de l’Asprocom, le samedi 11 octobre dernier. Plus de 1200 demandes d’adhésion ont été formulées à l’association via le site web : www.asprocom.cd « Cela veut dire qu’il y a un réel besoin pour les personnes qui ont postulé ou celles qui vont postuler. Après, elles recevront tous une réponse et nous pouvons tous ensemble travailler pour faire avancer notre métier », a indiqué Étienne M’libwa. Rappelons que ce nouveau comité est composé de Grâce Wilfreid Monzele E. (Président), Étienne M’libwa (Vice président en charge de la stratégie), Djessy Bukasa Tshimbalanga (Secrétaire général), Lynn Mazianda Samba (Trésorière), Samantha-Pascale Kamba (Chargée des relations extérieures et communication), Yves-Montand Kojan (Chargé adjoint des relations extérieures et communication), Joséphine Mawete Zola (Chargée des événements et partenariats) et Patrick Mbala Nsimba (Chargé de la formation et du développement). La Pros.

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Assemblée Nationale : Christophe Mboso pressenti favori dans la course au perchoir !

Christophe Mboso N’kodia Pwanga figure parmi les candidats inscrits dans la course pour le poste de Président de l’Assemblée Nationale. Sa candidature a été présentée en bonne et due forme, étudiée et validée par l’Union Sacrée de la Nation, plateforme politique chère au Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo. Elu de Kenge, dans la province du Kwango, Christophe Mboso, réputé pour son sens élevé de l’Etat, va ainsi se présenter dans une bataille électorale dont il maîtrise, mieux que quiconque, les enjeux, pour avoir été, justement, durant la législature passée, au devant de la scène, en tant que Speaker de la Chambre basse du Parlement. Le voir succéder à Vital Kamerhe, dans les prochains jours, ne serait pas du tout étonnant, d’après  certains ‘’pronostics’’. Car, l’on estime que son profil incarne, dans cette course là, loin des polémiques stériles, l’expérience, la compétence et la loyauté à la Nation congolaise. Dans un contexte marqué par les efforts engagés pour la restauration de la paix dans la partie Est de la RDC, l’apport du ‘’Doyen des élus nationaux’’ dans la conduite du débat parlementaire sonne comme une urgence pour  une  défense harmonieuse et fructueuse de la souveraineté nationale. Né à Kasongo Dinga, province du Kwango, en 1942, Christophe Mboso N’kodia Pwanga a fait ses premiers pas sur la scène politique congolaise vers les années 70. Sa passion pour l’excellence, son sens d’engagement et sa vision du Congo ont contribué à façonner son destin. Ce qui fera de lui, quelques années plus tard, une figure importante qui occupera plusieurs  fonctions ministérielles, sous Mobutu. Durant son mandat de Président de l’Assemblée nationale, avant les élections de 2023, il a su marqué les esprits par sa maîtrise dans la conduite des travaux parlementaires, alignant des productions législatives privilégiant l’intérêt supérieur de la République démocratique du Congo. La Pros

Assemblée Nationale : Christophe Mboso pressenti favori dans la course au perchoir !
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Selon l'Institut de sondage " Echos d'opinion " Gouvernement Suminwa II : Voici le Top 10 des Ministres qui ont été les plus performants et efficaces en 100 jours de travail !

Cent jours se sont écoulés depuis l’investiture du Gouvernement Suminwa II, une équipe dirigée par une femme, Mme Judith Suminwa Tuluka, dans le cadre du second quinquennat du Président Félix Tshisekedi. Ce cap symbolique, souvent considéré comme révélateur de la dynamique initiale d’un gouvernement, offre l’occasion de dresser un premier bilan de l’action publique, d’évaluer les engagements pris et les résultats obtenus. Dans un contexte national marqué par des défis multiples : relance économique, sécurité, justice sociale, infrastructures, santé, éducation, les attentes des citoyens étaient immenses. Le gouvernement Suminwa II, composé de figures politiques confirmées et de nouveaux visages, s’est vu confier la lourde responsabilité de traduire en actes les promesses du renouveau et de la rupture. Certaines personnalités ministérielles se sont rapidement distinguées par leur pragmatisme, leur proximité avec les réalités du terrain, et leur capacité à impulser des réformes visibles. D’autres, en revanche, peinent encore à convaincre ou à faire entendre leur vision. Ce sondage visait à recueillir l’avis des Congolais sur les ministres qui, selon eux, ont le mieux incarné l’esprit de service public, de transparence et d’efficacité durant cette période clé. À travers cette enquête, nous souhaitons offrir une tribune citoyenne, indépendante et objective, permettant à chacun de s’exprimer sur les performances individuelles des membres du gouvernement. Il ne s’agit pas d’un jugement définitif, mais d’un baromètre populaire, utile pour orienter les réflexions, ajuster les politiques, et renforcer la redevabilité des dirigeants. Ci-dessus les ministres qui ont réellement marqué en cent jours : 1. Louis Watum Kabamba: Mines, 88% Le ministre a mené un certain nombre d’actions axées notamment sur :-Relance du contrôle de qualité des produits miniers : réinstauration du contrôle de conformité et de qualité des produits miniers selon les normes nationales, avec l’apposition de la marque NCD (Normes Congo démocratique). Cette mesure, abandonnée depuis plus de 50 ans, vise à garantir la traçabilité et la compétitivité des produits congolais sur le marché international.-  Engagement pour la transparence et la gouvernance minière : Louis Watum s’est engagé à renforcer la transparence dans l’octroi des permis miniers, à lutter contre la corruption et à améliorer la gouvernance du secteur, bien que les résultats concrets soient encore en cours d’évaluation.- Dialogue avec les acteurs du secteur : Il a amorcé des consultations avec les opérateurs miniers, les communautés locales et les partenaires internationaux, dans le but de réviser certains contrats et d’assurer une meilleure redistribution des revenus miniers. 2. Samuel Mbemba : Droits Humains, 81% Lors de son installation officielle le 13 août 2025, Samuel Mbemba a affirmé prendre ses fonctions avec un « esprit combatif », déterminé à relever les défis majeurs liés aux droits humains en RDC. Il a souligné que les droits fondamentaux  sont régulièrement  bafoués, notamment :- La situation critique dans l’Est du pays- Le travail des enfants dans les mines- Les conditions de travail dans le secteur privé-Le non-respect des droits de l’État par certaines entreprises opérant en RDC. Il s’est engagé à garantir le respect intégral des textes légaux protégeant les personnes et leurs biens sur tout le territoire. Une attention particulière a été portée à la classe prolétaire, avec la volonté de redonner voix et dignité aux populations les plus démunies. Avant même sa prise de fonction, il a participé à un culte d’action de grâce dans son quartier natal, rassemblant plus de 1 500 personnes, illustrant sa volonté de rester proche des citoyens. Ces premiers mois montrent une orientation claire vers la justice sociale, la protection des plus vulnérables, et le renforcement institutionnel. Son mandat est placé sous le signe de la foi, de la loyauté et de l’abnégation, avec une promesse de travailler sans relâche pour améliorer la situation des droits humains dans le pays. 3.  John  Banza, Infrastructures 78% Dès sa prise de fonctions en août 2025, John Banza a affirmé que son mandat serait guidé par trois axes majeurs : La continuité des projets en cours, notamment ceux initiés par son prédécesseur Alexis Gisaro : L’achèvement des chantiers prioritaires, pour éviter les infrastructures inachevées. Le démarrage de grands projets structurants, capables de connecter les différentes régions du pays. Pour cela, il a mis l’accent sur les routes de désenclavement, en particulier dans les provinces à faible accès aux infrastructures. Des études ont été lancées pour moderniser les axes stratégiques reliant les centres économiques et les zones rurales. John Banza a entamé une révision des mécanismes de suivi et d’exécution des projets, afin de garantir plus de transparence et d’efficacité. Il a également renforcé la coordination  avec les gouvernorats et les partenaires techniques pour accélérer la mise en œuvre des travaux publics. Il a annoncé un plan ambitieux d’infrastructures, avec une vision à long terme pour faire des ITP un levier de transformation économique durable. Ces cent premiers jours témoignent d’une volonté de consolider les acquis, accélérer les chantiers en souffrance, et poser les bases d’une infrastructure nationale cohérente et inclusive. 4.  Patrick  Muyaya, Communications et Médias 73% Patrick Muyaya a poursuivi son rôle de porte-parole du gouvernement, en renforçant la cohérence et la crédibilité de la parole officielle de l’État. Il a mis en œuvre une stratégie de communication  plus transparente, rapide et accessible, visant à rapprocher les institutions des citoyens. Il a réaffirmé son engagement pour le parachèvement des réformes  médiatiques, notamment dans le secteur audiovisuel, amorcées lors de ses précédents mandats. Parmi les chantiers en cours : la révision du cadre légal des médias, la promotion du journalisme responsable, et le renforcement de la liberté de la presse. Muyaya a intensifié les liens entre les institutions et les médias, en créant un environnement de dialogue et de collaboration avec les professionnels du secteur. Il a également participé à plusieurs forums et rencontres pour valoriser  l’image  du gouvernement à l’échelle nationale et internationale. Dans un geste fort, il a reçu une bénédiction solennelle à la paroisse Saint Michel de Bandalungwa, marquant son troisième mandat sous le signe de la vérité et du service au peuple congolais. Patrick Muyaya s’impose ainsi comme l’un des piliers de la communication institutionnelle en RDC, avec une vision axée sur la transparence, la modernité et la proximité citoyenne. 5.  Doudou Fwamba, Finances : 73% Doudou Fwamba s’est engagé à renverser la tendance inflationniste en renforçant les mécanismes de régulation monétaire. Il a mis en œuvre des mesures visant à stabiliser la monnaie nationale, le franc congolais, face aux pressions du marché. Il a lancé une série de réformes structurelles pour améliorer la transparence et l’efficacité dans la gestion des ressources de l’État. Ces réformes ont été saluées par plusieurs observateurs comme des avancées majeures vers une bonne gouvernance financière. Le ministre a intensifié les efforts pour accroître les recettes internes, notamment par le renforcement des capacités de la Direction Générale des Impôts (DGI) et de la Direction Générale des Douanes et Accises (DGDA). Il a également encouragé la numérisation des procédures fiscales, afin de réduire les pertes et les fraudes. En somme, ces cent premiers jours  confirment  le positionnement de Doudou Fwamba comme un pilier de la stabilité économique et un acteur clé de la réforme financière en RDC. Son approche pragmatique et rigoureuse semble porter ses fruits, tout en renforçant la crédibilité du gouvernement sur  (Suite de la Page 11) le plan national et international. 6. Sombo Marie Thérèse, ESU 69%, Mme Sombo a entrepris une réorganisation administrative des  établissements d’enseignement supérieur, avec pour  objectif  de professionnaliser la gestion et de lutter contre les dysfonctionnements internes. Elle a initié des audits internes dans plusieurs universités publiques afin d’évaluer la conformité des pratiques académiques et financières. Elle a mis en place un programme de modernisation des curricula, visant à adapter les formations aux besoins du marché de l’emploi et aux standards internationaux. Un accent particulier est mis sur les sciences médicales, technologiques  et environnementales, domaines jugés stratégiques pour le développement du pays. La ministre a multiplié les rencontres avec les syndicats, les recteurs et les étudiants, pour instaurer un climat de confiance et de concertation. Elle s’est engagée à améliorer les conditions de travail des enseignants, notamment par la régularisation des primes et la révision des statuts. Mme Sombo a lancé un appel à projets de recherche appliquée, en partenariat avec des institutions internationales, pour stimuler l’innovation locale. Elle encourage la numérisation des bibliothèques universitaires et l’accès aux ressources scientifiques en ligne. Inclusion et leadership féminin En tant que femme ministre dans  un  secteur historiquement dominé par les hommes, elle incarne un modèle de leadership féminin et milite pour une plus grande représentation des femmes dans  les  instances académiques. Son profil de neuropsychiatre et professeure à l’Université de Kinshasa lui confère une légitimité certains  scientifique et une sensibilité particulière aux enjeux de formation et de recherche. 7. Guy Loando Mboyo, Relations avec le Parlement 65%, Dès sa prise de fonctions le 13 août 2025, Guy Loando a exprimé sa volonté de renforcer le dialogue républicain entre le gouvernement et le Parlement. Il a souligné que cette nouvelle étape devait marquer la continuité de l’action publique, tout en consolidant les mécanismes de collaboration interinstitutionnelle. Dans un geste de respect institutionnel et de continuité, Guy Loando a convié plusieurs anciens ministres des Relations avec le Parlement — dont Adolphe Lumanu, Lambert Mende, Anne-Marie Karume, et Déogratias Nkusu — pour échanger sur les acquis et les défis du ministère. Ces rencontres ont permis de poser les bases d’une gouvernance inclusive et d’un leadership rassembleur. Lors d’un atelier au Palais du Peuple, il a présenté sa vision du ministère comme le lieu où se tisse le lien d’État par excellence, affirmant que son rôle est de faciliter la collaboration  entre  le gouvernement central, le Parlement et les assemblées provinciales. Guy Loando a également pris part à des discussions sur les mécanismes de stabilisation des institutions provinciales, soulignant l’importance d’une coordination fluide entre les niveaux de pouvoir pour garantir l’efficacité de l’action publique. Ce début de mandat est partenaires traditionnels. Il a initié des réflexions comparatives avec des modèles comme celui de la Chine, pour adapter les stratégies commerciales congolaises aux réalités mondiales. Le ministre a pris des mesures d’interdiction temporaire d’importation de certains produits déjà fabriqués localement, afin de stimuler la production nationale et protéger les PME congolaises. Cette politique s’inscrit dans la continuité de son action précédente au ministère de l’Industrie, avec une forte orientation vers le «Made in DRC». Julien Paluku a lancé des réformes réglementaires pour encadrer les échanges commerciaux extérieurs, avec l’objectif de rendre les procédures plus transparentes et plus compétitives. Il a également renforcé les mécanismes de suivi des importations et exportations, en lien avec les douanes et les opérateurs économiques. Des efforts ont été déployés pour fluidifier les échanges aux frontières, notamment par la simplification des formalités douanières et le renforcement des infrastructures logistiques. Julien Paluku s’impose comme un acteur clé de la stratégie économique du gouvernement, avec  une  approche pragmatique et tournée vers la souveraineté commerciale. 9.  Marie  Nyange, Environnement 59% marqué par une volonté claire de construire sur les acquis, de favoriser le dialogue, et de renforcer  la  institutionnelle. cohésion 8. Julien Paluku, Commerce Extérieur, 62% Julien Paluku a poursuivi une politique  active  de diversification des marchés d’exportation, visant à réduire la dépendance vis-à-vis de Dès son entrée en fonction le 14 août 2025, Marie Nyange a affirmé sa volonté de poursuivre et d’accélérer les réformes environnementales engagées par sa prédécesseure Ève Bazaiba. Elle a souligné que l’environnement ne devait plus être perçu comme un secteur périphérique, mais comme un levier central du développement économique du pays. Dans cet ordre d’idées, la ministre a réitéré l’ambition de régionale et la francophonie. Elle a participé à des rencontres stratégiques, notamment à Washington, pour attirer les investissements étrangers et promouvoir les opportunités économiques congolaises. positionner la RDC comme un «pays solution» dans la lutte contre le changement climatique, grâce à ses vastes ressources naturelles et forestières. Elle s’est engagée à renforcer la présence de la RDC dans les forums internationaux sur le climat et à défendre les intérêts du pays dans les négociations sur les marchés carbone. Titulaire de deux doctorats — en économie et en foresterie — Marie Nyange apporte une expertise académique rare au ministère. Elle a commencé à structurer une approche fondée sur la recherche, la gouvernance forestière et l’économie verte, en lien avec les universités et les centres de recherche. Marie Nyange entame ainsi ses cent premiers jours avec une posture à la fois technique, diplomatique et visionnaire, dans un secteur crucial pour l’avenir du pays et de la planète. 10.  Marie-Thérèse Kayikwamba, Affaires étrangères, 56% Elle a présenté une vision ambitieuse pour repositionner la RDC sur l’échiquier international, en mettant l’accent sur la diplomatie économique, la coopération Lors d’un briefing officiel, elle a affirmé que la stabilisation de l’Est de la RDC reste la première priorité de l’action diplomatique. Elle a appelé à une mobilisation régionale et internationale pour mettre fin aux violences et soutenir les efforts de paix. Elle a organisé une rencontre avec les agents et cadres du ministère pour dresser un bilan des défis à relever, renforcer la cohésion interne et définir les axes de travail prioritaires. Thérèse Kayikwamba apporte une expertise internationale et une approche stratégique à la diplomatie congolaise. Elle incarne une nouvelle génération de leadership féminin, alliant rigueur intellectuelle et engagement patriotique. Ces cent premiers jours témoignent d’une volonté de redynamiser la diplomatie congolaise, de défendre fermement les intérêts nationaux, et de bâtir des alliances solides pour le développement et la paix. Conclusion En cent jours, quelques membres du gouvernement Suminwa. IIs se sont distingués  par  leur engagement, leur efficacité et leur sens du service public. Qu’il s’agisse de la diplomatie, des infrastructures, de l’environnement,  de l’enseignement supérieur ou de la gouvernance sécuritaire, ces ministres ont su poser des actes concrets, porteurs d’impact et de transformation. Leur dynamisme illustre une volonté collective de ruptur

Selon l'Institut de sondage " Echos d'opinion " Gouvernement Suminwa II : Voici le Top 10 des Ministres qui ont été les plus performants et efficaces en 100 jours de travail !
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 ‘‘De la caméra au leadership : parcours inspirants’’ UNCC : Merlin Kamalandua exhorte les cameramen à valoriser leur métier

Placée sous le haut patronage de Patrick Muyaya, Ministre de la Communication et Médias et Porte-parole du Gouvernement, l’Union Nationale des Cameramen du Congo (UNCC) a organisé, le samedi 18 octobre 2025, au Centre d’études pour l’action sociale (CEPAS), une journée d’échanges et de réflexion autour du thème : « De la caméra au leadership : parcours inspirants ».

Cette rencontre a réuni plusieurs figures emblématiques du paysage médiatique congolais ainsi que des juristes de renom, avec un objectif commun : valoriser le métier de cameraman et encourager son évolution vers des postes de responsabilité et de leadership.

Dans son allocution d’ouverture, Merlin Kamalandua, président du comité exécutif de l’UNCC, a dressé un tableau comparatif de l’association avant et après la mise en place du comité actuel. Il a invité ses pairs à une prise de conscience collective, insistant sur la nécessité de revaloriser un métier souvent relégué à l’arrière-plan, mais pourtant essentiel dans l’écosystème médiatique national.

La journée a été marquée par plusieurs interventions de haut niveau. La légende de l’audiovisuel Robert Nzuzi Ngoy a proposé une réflexion critique sur le rôle du cameraman à travers le thème : « Cameraman : journaliste à part entière ou technicien entièrement à part ? »

De son côté, Gilbert Biladi, autre figure incontournable du secteur, a captivé l’auditoire avec une intervention intitulée : « De l’ombre à la lumière : la caméra comme voix ».

Sur le plan juridique, Me Junior Kapuya a apporté un éclairage pertinent sur « Les enjeux de la responsabilité juridique dans l’exercice des fonctions du cameraman au sein d’une entreprise de presse ».

Le Secrétaire général de l’Union Nationale de la Presse du Congo (UNPC) a, quant à lui, rappelé les principes fondamentaux de la déontologie journalistique et appelé à leur stricte observation dans toutes les fonctions liées à la production de l’information. Pour sa part, André Ipakala a encouragé les cameramen à viser l’excellence et à s’affirmer comme de véritables acteurs du changement dans le secteur des médias.

Outre l’implication notable du Ministère de la Communication et Médias, la journée a également bénéficié du soutien du Ministère de la Culture, Arts et Patrimoine, qui a exprimé sa volonté d’accompagner toutes les initiatives de l’UNCC visant à promouvoir le métier de cameraman en République Démocratique du Congo.

Un moment fort de l’événement a été la remise symbolique de la carte de membre de l’UNCC à son président. Ce geste marque le début d’une nouvelle ère dans la structuration de l’organisation. Désormais, chaque membre identifié disposera d’une carte dotée d’un code QR.

Les assises se sont clôturées dans une ambiance conviviale, le dimanche 19 octobre 2025, par une rencontre de football amicale opposant l’Union Nationale des Cameramen du Congo à l’Union Nationale de la Presse du Congo. Le match s’est soldé sur un score nul d’un but partout, symbolisant l’unité et la solidarité entre les différents corps de métiers du secteur médiatique.

(Cellule de communication/La titraille est de La Pros.)

 

 

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Braquage manqué à la Rawbank : Samuel Mbemba fustige le traitement dégradant affligé à Honorine Porche !

Au lendemain de l'arrestation des présumés auteurs de la tentative de braquage de l'agence RAWBANK à la Place Victoire, le Ministre des Droits Humains, Me Samuel Mbemba Kabuya adopte une position ferme et nuancée. Tout en saluant l'intervention rapide et efficace de la Police Nationale Congolaise (PNC) ayant permis de neutraliser les suspects le jeudi dernier, il dénonce et condamne avec la plus grande vigueur le traitement inhumain et dégradant infligé à l'une des prévenues, Mme Honorine Porche Massamba Mukuna, lors de son interpellation. Le Ministère s'engage à ce que les agents responsables de ces actes, contraires à la dignité humaine, soient identifiés et sanctionnés conformément à la loi, appelant la police à plus de professionnalisme dans sa lutte contre la criminalité.

Braquage manqué à la Rawbank : Samuel Mbemba fustige le traitement dégradant affligé à Honorine Porche !
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Troisième session du mécanisme conjoint de sécurité entre la RDC et le Rwanda : Les délégations de Kinshasa et de Kigali depuis hier à Washington

La délégation de la République démocratique du Congo et celle du Rwanda ont entamé, depuis hier mardi 21 octobre à Washington, la troisième nouvelle phase des discussions dans le cadre du mécanisme conjoint de coordination de la sécurité.

Cette troisième rencontre, prévue sur deux jours, vise à faire progresser la mise en œuvre de l’accord de paix signé entre les deux pays le 27 juin dernier, sous l’égide des États-Unis.

Lors de la signature de cet accord historique en juin, le secrétaire d’État américain Marco Rubio avait chaleureusement serré la main du ministre rwandais des Affaires étrangères, Olivier Nduhungirehe, sous le regard approbateur de son homologue congolaise, Thérèse Kayikwamba Wagner. Un geste salué comme une avancée diplomatique majeure, dans une région marquée par des décennies de tensions.

Mais au-delà des poignées de main et des engagements de principe, cette troisième session du Mécanisme conjoint devra démontrer que la dynamique enclenchée peut se traduire par des actions concrètes. Les précédentes discussions, tenues les 17 et 18 septembre, avaient permis d’adopter un cadre opérationnel baptisé « Conops » un concept d’opérations définissant les étapes tactiques à suivre, notamment sur le plan militaire.

Ce document marque un tournant, puisqu’il prévoit le lancement effectif d’opérations contre les Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), présent sur le sol congolais depuis plusieurs années. À la suite de cette décision, les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) ont adressé un message clair aux FDLR, les enjoignant à se rendre, soit aux autorités congolaises, soit à la Mission de l’ONU pour la stabilisation en RDC (Monusco).

La rencontre de Washington constitue donc une étape cruciale : elle doit permettre d’évaluer les premières retombées de l’entrée en vigueur du Conops, annoncée pour le 1er octobre, et de renforcer la coopération bilatérale dans un contexte toujours fragile. Les attentes sont élevées, mais les obstacles restent nombreux, tant sur le plan militaire que politique.

À l'heure où les espoirs de paix renaissent timidement dans la région des Grands Lacs, ces deux journées de dialogue seront scrutées de près par les observateurs internationaux, soucieux de voir si Kinshasa et Kigali peuvent enfin tourner la page d’une rivalité historique aux lourdes conséquences humaines et sécuritaires.

La Pros.

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