Le 30 juin, date de la célébration de l’indépendance de la République démocratique du Congo (RDC), a été officiellement proclamée, ‘‘Congolese American Day” (Journée des Congolais-américains) par la Ville de Washington D.C aux Etats-Unis, selon un communiqué de la mairie de la capitale fédérale américaine.
«Considérant que la Nouvelle Initiative pour l’Engagement Civique de DC (NICE) promeut la culture congolaise, favorise l’inclusion économique et offre des voies vers la citoyenneté américaine en partenariat avec le Bureau du maire pour les Affaires Africaines (MOAA) ; par conséquent, moi, le maire de Washington DC, proclame par la présente le 30 juin 2025 comme ‘‘journée des congolais-américains’’ à Washington, DC», a-t-on lu dans le document signé par la Maire du District de Columbia à Washington, Muriel Bowser.
Selon la même source révèle que cette consécration intervient suite aux « contributions des personnes d’origine congolaise aux forces armées, au service communautaire, à l’éducation, à l’entrepreneuriat, à la santé, à la musique, aux arts et à d’autres domaines enrichissent considérablement la culture et l’économie du District de Columbia ainsi que du monde ».
Ainsi, renseigne-t-on, cette journée sera célébrée chaque année à Washington par des événements culturels, des conférences, des expositions et des rencontres officielles qui renforcent les liens entre la RDC et les États-Unis.
« Considérant que la musique, de la rumba congolaise qui a gagné une popularité mondiale grâce à ses rythmes, ses mélodies et ses paroles, et qu’elle est reconnue par l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) comme faisant partie du patrimoine culturel immatériel de l’humanité », a indiqué la Mairie de Washington DC, justifiant ainsi sa décision pour la journée du 30 juin.
Chaque 30 juin, rappelle-t-on, la République Démocratique du Congo célèbre l’anniversaire de son indépendance obtenue en 1960. Cette année, le pays fête les 65 ans de son accession à la souveraineté nationale et internationale avec un espoir d’un retour définitif de la paix grâce à l’accord signé avec son voisin le Rwanda, sous l’égide des Etats-Unis.
Le 16e Forum économique mondial des Nouveaux Leaders 2025, communément appelé le forum d'été de Davos 2025, se tient du 24 au 26 juin 2025 à Tianjin, en Chine. Ce sommet réunit plus de 1 700 leaders mondiaux issus de 90 pays et régions, représentant le secteur privé, les gouvernements, la société civile, les organisations internationales, les médias et le monde académique, autour du thème « L'entrepreneuriat dans une nouvelle ère ». Cette métropole portuaire de plus de 13 millions d’habitants offre une plateforme stratégique pour le dialogue et la coopération internationale.
Le lieu choisi, le Centre National des Expositions de Tianjin, illustre cet engagement : équipé de panneaux solaires et fonctionnant entièrement à l’électricité verte, son design favorise une illumination naturelle, créant un espace propice aux échanges. Un modèle concret de développement durable pour les événements internationaux.
Ensuite, l'intelligence artificielle est au cœur des discussions. Elle est présentée comme un outil essentiel pour la transformation numérique, la durabilité et la croissance économique. De nombreuses sessions y seront consacrées, comme « L’ère de l’IA+ » ou « Décrypter la trajectoire de développement de l’IA en Chine ». Dans les secteurs traditionnels, tels que l’industrie automobile, l’IA révèle son potentiel : les robots industriels équipés d’IA opèrent avec précision dans les ateliers Volkswagen de Tianjin. Dans la recherche, cette technologie peut décupler l’efficacité. Par ailleurs, la Chine a élaboré une stratégie nationale autour de l’« IA+ », visant à intégrer l’intelligence artificielle dans tous les secteurs économiques et sociaux. Notamment dans la santé, où elle accélère la recherche clinique, ou dans l’industrie : des entreprises comme Huawei et Haier développent des systèmes IA pour automatiser et rendre durable leurs chaînes de production.
Enfin, ce forum est aussi une plateforme d'innovation et de partage. Les thèmes abordés, comme le marché du carbone en Asie et l'application de l'IA dans la santé, sont des enjeux globaux qui nécessitent des solutions collectives. En mettant en évidence les expériences des zones d'innovation chinoises, il offre aux autres pays l'opportunité d'apprendre et d’innover.
Le forum d'été de Davos 2025 à Tianjin reflète les tendances actuelles du développement économique mondial : la transition écologique, l'innovation technologique et la coopération internationale. C'est une occasion unique pour discuter des enjeux globaux et trouver des solutions pour un avenir meilleur.
«Œuvrer pour le bien-être du peuple doit être la plus grande réussite politique. Il faut penser comme le peuple, se soucier de ses préoccupations et rendre sa vie plus heureuse et plus épanouissante.»
Le mot « peuple » revêt une importance capitale pour Xi Jinping, secrétaire général du Comité central du Parti communiste chinois (PCC).
Depuis le XVIIIe Congrès national du PCC, Xi Jinping a effectué une centaine d'inspections et d'enquêtes sur le terrain, expliqué ses politiques dans des cours et des pavillons, écouté des comptes rendus à bord des bateaux et dans des wagons, s'est enquis des moyens de subsistance au milieu des champs et esquissé des plans d'avenir dans des ateliers… Les besoins et les attentes urgents du peuple ont été inscrits à l'ordre du jour des réunions importantes du PCC et sont devenus à maintes reprises le point central des réformes menées par l'État.
«La Décision du Comité central du Parti communiste chinois sur l'approfondissement plus poussé de la réforme sur tous les plans en vue de promouvoir la modernisation chinoise », examinée et adoptée lors du troisième plénum du XXe Comité central du PCC, mentionne le « peuple» à 46 reprises, soulignant qu'« il faut faire en sorte que la réforme réponde aux besoins du peuple et serve le peuple ».
Pour élaborer le projet du «XVe Plan quinquennal», Xi Jinping a insisté sur «l'unification de la conception au plus haut niveau et la sollicitation des conseils du peuple » ainsi que sur « la fidélité à l'engagement initial et le bien-être du peuple comme valeur fondamentale».
«Nous devons toujours rester aux côtés du peuple, partager ses joies et ses peines, nous unir avec lui et travailler dur, avec diligence et conscience, et nous efforcer de présenter une réponse satisfaisante à l'épreuve de l'histoire et aux attentes du peuple.» Telle est la fidélité absolue que le secrétaire général du PCC Xi Jinping témoigne à son pays et à son peuple, l'engagement sans faille d'un leader du peuple envers 1,4 milliard de citoyens.
(Note de l'éditeur : Cet article représente le point de vue de l'auteur Karim Badolo et pas nécessairement celui de CGTN.)
La guerre entre Israël et l'Iran est entrée dans une phase décisive avec l'entrée officielle des Etats-Unis dans le conflit aux côtés de son allié israélien. Sans l'aval du Congrès, sur l'initiative du président Trump, l'armée américaine a mené des frappes contre trois sites nucléaires iraniens dans la nuit du 20 au 21 juin. Alors que l'on s'attendait à ce que le président américain joue la carte de l'apaisement entre les parties belligérantes, il a pris de court tout le monde. Cette intervention est lourde de conséquences pour la paix au Moyen-Orient et pourrait présager des lendemains incertains pour toute la région qui est déjà confrontée à d'autres situations conflictuelles.
Et pourtant depuis le début des frappes israéliennes sur l'Iran le 13 juin, des voix se sont élevées pour demander la cessation des attaques. 21 pays, dont 11 pays africains, comme l'Egypte, l'Algérie, le Soudan, la Somalie, Djibouti, les îles Comores et le Tchad, ont fait une déclaration commune, appelant à une désescalade. Les signataires de l'appel avaient insisté sur la nécessité d'éviter des frappes sur les sites nucléaires soumis au contrôle de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et de respecter le droit international. En clair, les 21 pays signataires ont formulé le voeu que la voie du dialogue et des négociations soit privilégiée en toutes circonstances.
L'Union européenne a appelé à cesser les hostilités. Après les frappes américains, l'UE a exhorté "toutes les parties à faire un pas en arrière." "J'exhorte toutes les parties à faire un pas en arrière, à revenir à la table des négociations et à éviter toute escalade supplémentaire", la cheffe de la diplomatie de l'Union européenne, Kaja Kallas.
Dans le même registre, le secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, n'a cessé de mettre en garde contre les risques d'escalade depuis le début des frappes israéliennes, appelant au respect du droit international. "C'est une dangereuse escalade dans une région déjà sur la corde raide et une menace directe à la paix et à la sécurité dans le monde", a-t-il averti, suite à l'intervention américaine en Iran. La Chine a exprimé, pour sa part, sa préoccupation quant au risque que le conflit devienne "incontrôlable". Le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi a appelé à ne pas "laisser la région glisser dans un gouffre inconnu." Sur cette lancée, le représentant permanent de la Chine aux Nations Unies, Fu Cong, a déclaré qu'"à ce stade critique, la communauté internationale doit former un consensus et déployer tous les efforts pour promouvoir des pourparlers afin d'apaiser les tensions".
"La Chine appelle toutes les parties au conflit, en particulier Israël, à cesser le feu dès que possible, à garantir la sécurité des civils et à entamer le dialogue et les négociations. La Chine est disposée à collaborer avec la communauté internationale pour unir ses efforts, faire respecter la justice et œuvrer au rétablissement de la paix et de la stabilité au Moyen-Orient", a réagi un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères suite à l'intervention américaine en Iran.
Si l'intervention américaine a compliqué davantage la situation entre Israël et l'Iran, il importe toujours de faire prévaloir le droit international, indispensable à la stabilité dans le monde. La diplomatie doit continuer à peser dans ce conflit. La voie de la négociation est l'alternative idéale pour la sécurité de chaque partie. Au moment où l'on célèbre le 80e anniversaire de l'ONU, il faut se souvenir des désastres que la loi de la jungle a causés à l'humanité. L'usage de la force par qui que ce soit est contre-productif en toutes circonstances. Les postures unilatérales compromettent la paix pour toute l'humanité. La paix est une initiative collective, on ne l'impose pas par la force. C'est par le droit et le dialogue que les nations pourront résoudre leurs différends et cohabiter pacifiquement. L'illusion de la force aveugle et éloigne des compromis du vivre-ensemble dans la stabilité. Les exemples sont légion : la loi du plus fort ne profite à personne et ne saurait perdurer. Il faut à tout prix faire prévaloir le droit international, seule garantie pour un monde apaisé.
A droite le Chef du Département des Affaires Africaines, M. Du Xiaohui,
C’est un bilan remarquable, voire très remarquable. Le Chef du département des Affaires africaines du Ministère des Affaires Etrangères de la République populaire de Chine, Monsieur Du Xiaohui, s’est livré, mercredi 18 juin, à un important exercice, celui de montrer aux journalistes africains, une trentaine en séjour en Chine, dans le cadre des activités du programme du Centre internationale de la presse et de la communication chinoise (CIPCC), édition 2025, les multiples efforts et l’énorme contribution de la Chine pour le développement de l’Afrique.
Voici, ci-dessous, l’extrait de son discours : « Mesdames et messieurs, la deuxième chose est que, dans le processus d'ouverture et de modernisation, les échanges entre la Chine et l'Afrique ont augmenté. Dans les trois premiers mois de cette année, les échanges entre la Chine et l'Afrique ont augmenté de 72,6 milliards d'euros à 22,7 %. La Chine a aussi fourni un financement de 17,59 milliards d'euros à l'Afrique. En d'autres termes, nous donnons du soutien financier à l'Afrique pour l'exportation des produits en Chine. Si l'on compare ceci avec les actions d'autres pays, on peut voir qui fait le bon travail. Au sommet de l'année dernière, le Président a annoncé la fourniture de 360 milliards d'euros à l'Afrique dans les trois prochaines années. Mais maintenant, le temps a diminué. Nous avons déjà fourni environ 150 milliards d'euros, environ 40 % de l'équivalent du montant promis. La Chine a augmenté son investissement à 13,38 milliards d'euros. Notre financement pour l'infrastructure a été de 55,45 milliards d'euros. Notre crédit aux institutions financières a été de 40,57 milliards d'euros. Nous avons aussi soutenu les banques africaines pour fournir 2,2 milliards d'euros aux pandémies en Chine. La revitalisation du railway Tanzawa et les stations de puissance solaire et les programmes d'économie en Cameroun ont aussi eu bon progrès. Nous avons signé des projets de coopération avec le Kenya.
Nous avons soutenu la chaîne de valeur africaine, le développement et la production. Nous avons signé avec plus de 20 pays africains l'accord sur l'économie en partenariat de développement partiel. L'abréviation est CADEPA. Nous avons signé 22 protocoles agricoles pour l'export des produits en Chine avec 19 pays africains. Dans notre voyage de modernisation, nous devons répondre aux expectations d'Afrique et bénéficier du bienfait des gens. Depuis le dernier sommet, la Chine a envoyé 508 personnels médicaux en Afrique.
Cette semaine, j'ai lu la malheureuse nouvelle de la mort du chef de l'équipe médicale en Afrique. Vraiment, les membres de l'équipe médicale ont contribué à l'amitié chino-africaine avec leurs vies. L'équipe médicale a traité environ 1,06 millions de gens en Afrique.
Nous organisons aussi des programmes d'action pour soutenir l'équipe médicale chino-africaine. L'équipe médicale chino-africaine a visité 12 pays africains pour soutenir les services médicaux en termes d'agriculture et de viabilité des gens. La Chine a envoyé plus de 200 experts agricoles à Madagascar, l'Erythrée et le Burundi. Nous avons aussi lancé la zone de démonstration de la production efficace pour les pays africains. Nous avons donné 210 milliards d'euros à 10 pays africains, notamment en Somalie. Nous avons aussi fourni 600 programmes pour l'organisation ».
Pour rappel, clôturant le sommet sur la coopération sino-africaine (Focac), Changsha 2025, les représentants de la Chine, de 53 pays africains et de la commission de l’Union Africaine (UA), ont décidé tous de travailler sur tous les plans à la mise en œuvre de la Déclaration de Beijing sur la construction conjointe d’une communauté d’avenir partagé Chine-Afrique de tout temps à l’ère nouvelle. L’Afrique a apprécié le courage et la détermination de la Chine pour défendre l’équité et la justice internationales et sauvegarder l’ordre économique et commercial international. Tandis que la Chine pour sa part, a apprécié profondément l’engagement des pays africains en faveur des principes fondamentaux de souveraineté, équité et de justice ainsi que leur position partagée face aux pressions extérieurs. Le respect mutuel ne peut être assuré que par des concessions unilatérales. La Chine et l’Afrique s’opposent fermement à toute concession au détriment des intérêts des autres pays.
(Note de l'éditeur : Cet article représente le point de vue de l'auteur Karim Badolo et pas nécessairement celui de CGTN.)
Après Xi'an, chef-lieu de la province chinoise de Shaanxi en 2023, c'est autour d'Astana, la capitale du Kazakhstan, d'accueillir le deuxième Sommet Chine-Asie centrale du 16 au 18 juin 2025. Pendant ces trois jours de travaux, le président chinois Xi Jinping et ses homologues du Kazakhstan, du Kirghizistan, du Tadjikistan, de l'Ouzbékistan et du Turkménistan vont échanger sur les questions de stabilité régionale et de développement dans divers domaines. Ce deuxième sommet Chine-Asie centrale vise à renforcer la coopération multilatérale et bilatérale entre la Chine et les cinq autres nations asiatiques situées au carrefour de l'Europe et de l'Asie. Dans un contexte international marqué par des crises multidimensionnelles, la Chine entend mettre l'accent sur la diplomatie de bon voisinage pour consolider des liens plus étroits dans les secteurs du commerce, de la sécurité et de la connectivité avec ces pays situés dans ce que l'on appelle Eurasie.
Parlant de connectivité, l'Asie centrale sert de pont d'une part entre les autres régions asiatiques et d'autre part avec l'Europe. C'est donc une région stratégique en matière d'échanges entre les différentes parties de l'Asie et d'autres parties du monde. Cette rencontre multilatérale mérite d'être consolidée pour raffermir davantage une coopération exemplaire, tout en s'inscrivant dans une nouvelle dynamique où le contexte international est chamboulé. A travers l'Initiative "la Ceinture et la Route" (ICR), la connectivité s'est renforcée entre la Chine et les cinq pays de l'Asie centrale à travers un réseau d'autoroutes, de chemins de fer, de compagnies aériennes et des pipelines, pour renforcer la liaison entre l'Asie et l'Europe par le biais de la mer Caspienne. Au moment où les règles du commerce international sont bouleversées par le protectionnisme et l'isolationnisme, le rendez-vous d'Astana offre l'occasion à la Chine et aux cinq pays de l'Asie centrale d'insuffler une nouvelle donne à la coopération multilatérale. L'impératif d'agir en solidarité et en synergie s'impose tout naturellement d'autant plus que l'Asie centrale représente un partenaire clé et stratégique dans le cadre de l'ICR.
Premier partenaire commercial de l'Asie centrale, la Chine trouve que le Sommet Chine-Asie centrale est une plateforme idéale pour élever à un niveau supérieur les échanges commerciaux avec cette région. Le commerce transfrontalier s'est accéléré ces dernières années entre la Chine et les pays de l'Asie centrale, atteignant un chiffre record estimé à 94,8 milliards de dollars dans les échanges commerciaux en 2024. Le deuxième Sommet Chine-Asie centrale offrira l'occasion aux dirigeants des six pays d'avoir une convergence de vues quant aux perspectives inhérentes à la dynamisation des liens économiques et commerciaux.
Rendez-vous multilatéral mais aussi bilatéral, car le président chinois aura des entretiens privés avec chacun de ses homologues des cinq pays de l'Asie centrale. Il s'agira d'explorer les voies et moyens pour consolider les domaines de coopération et créer des passerelles qui vont irriguer davantage le cadre multilatéral. Le rendez-vous de'Astana augure de bonnes perspectives pour un consensus face aux enjeux du moment, notamment la construction d'une communauté d'avenir partagé Chine-Asie centrale. Les conclusions du Sommet nous en diront davantage.
(Note de l'éditeur : Cet article représente le point de vue de l'auteur Xiao Lin et pas nécessairement celui de CGTN.)
Le 13 juin, une réunion pour commémorer le 120e anniversaire de la naissance de Chen Yun s'est tenue au Grand Palais du Peuple. Le président chinois Xi Jinping y a fait une allocution.
Né en 1905, M. Chen a rejoint le Parti communiste chinois (PCC) en 1925. Il est décédé d'une maladie en 1995, à l'âge de 90 ans. M. Chen a été reconnu comme grand révolutionnaire prolétarien, homme politique et l'un des fondateurs de l'économie socialiste chinoise. Selon M. Xi, il a été un membre essentiel de la première génération de la direction collective centrale du Parti, avec Mao Zedong en son centre, et de la deuxième génération de la direction collective centrale du Parti, avec Deng Xiaoping en son centre.
M. Chen, un dirigeant éprouvé et distingué du Parti et de l'État, a apporté des contributions significatives à la cause du PCC et du peuple chinois.
Le 1er juillet 2025 marque le 104e anniversaire de la fondation du Parti communiste chinois. L'expérience historique du PCC démontre que c'est grâce à la fermeté idéologique de générations de membres, comme Chen Yun, et à leur engagement inébranlable, qu'a pu être tracée une voie propre au peuple chinois. Les communistes doivent consciemment mettre en pratique l'objectif fondamental de servir le peuple sans réserve, de suivre la ligne de masse du Parti dans la nouvelle ère et de s'appuyer étroitement sur le peuple pour accomplir des exploits historiques.
L'expérience économique de Chen Yun a également laissé un précieux héritage à la Chine. Dès le début de la fondation de la Chine nouvelle, le camarade Chen Yun était chargé de diriger le travail financier et économique national. Sous la direction du Comité central du PCC, il a coordonné tous les participants concernés et remporté la « guerre économique » dans les domaines des céréales, du coton, des tissus de coton, du charbon et d'autres. Il a fallu moins d'un an pour réaliser l'unification financière et économique nationale, stabiliser les cours financiers et consolider le nouveau régime populaire sur le plan économique.
Il s'est opposé à l'avancée impétueuse et téméraire et à la hâte d'obtenir des résultats rapides, quelles que soient les conditions réelles. Il a découvert très tôt des problèmes engendrés par le « Grand Bond en avant », participé à la mise en œuvre et à la direction de l'ajustement de l'économie nationale, s'attachant particulièrement à résoudre les difficultés agricoles et les pénuries alimentaires. Il a joué un rôle important pour sortir l'économie nationale de cette situation difficile et améliorer la vie de la population.
Il a activement exploré les lois pour la construction économique socialiste et a fait beaucoup de travail fructueux dans l'établissement du système économique socialiste, du système industriel indépendant et relativement complet et du système économique national, et a apporté des contributions exceptionnelles à l'exploration de la voie de la construction socialiste en Chine.
Il était convaincu que l'économie devrait d'abord tenir compte des besoins de la population. Lors de la préparation et de la mise en œuvre du premier plan quinquennal, il a non seulement tenu à tirer les leçons de l'expérience soviétique, mais a également insisté sur la nécessité de s'adapter aux réalités du pays, afin d'élaborer des plans scientifiques et de promouvoir sans relâche l'industrialisation socialiste.
À l'heure actuelle, la Chine approfondit ses réformes et élargit son ouverture. Ainsi, toutes les politiques et mesures doivent s’adapter aux conditions locales et évoluer de manière progressive. Comme le dit le président chinois Xi Jinping :"Il est important d'approfondir la réforme de manière globale, à un rythme rapide et régulier, et de rester ferme dans la poursuite de l'ouverture à des normes plus élevées."
Aujourd'hui, le socialisme à la chinoise déborde de vitalité et promet un brillant avenir. L'esprit de l'ancienne génération de révolutionnaires nous encourage à travailler dur et sans relâche et à apporter notre propre contribution à la modernisation à la chinoise !
Le 16 juin dans l'après-midi, heure locale, le président kazakh Kassym-Jomart Tokaïev s'est entretenu avec son homologue chinois Xi Jinping à Astana.
Le président Xi a souligné que les relations entre la Chine et le Kazakhstan avaient résisté à l'épreuve des changements internationaux et avaient constamment maintenu un niveau élevé de développement. "Cela est dû à la proximité géographique et à l'amitié de longue date entre les deux peuples, ainsi qu'au choix inévitable des deux pays de poursuivre leur développement ensemble", a-t-il déclaré.
Selon lui, la Chine a toujours considéré et développé ses relations avec le Kazakhstan dans une perspective stratégique et à long terme. Elle est disposée à travailler avec le Kazakhstan pour consolider sans relâche l'amitié sino-kazakhe, contribuer davantage à la paix et au développement régionaux et mondiaux grâce à la stabilité et à l'énergie positive des liens bilatéraux.
La version internationale de « Citations classiques par Xi Jinping », un programme télévisé multilingue produit par China Media Group (CMG), a été diffusée au Centre présidentiel du Kazakhstan lundi, avant le deuxième sommet Chine-Asie centrale.
L'émission est diffusée à partir du 16 juin à l'échelle nationale sur les réseaux de télévision d'État des cinq pays d'Asie centrale et sur les principales plateformes médiatiques.
Le président kazakh Kassym-Jomart Tokaïev a envoyé une lettre de félicitations pour la diffusion de l'émission.
Le programme télévisé, qui reprend des citations d'anciens classiques chinois utilisées par M. Xi dans ses discours et ses articles, se concentre sur des thèmes tels que l'ouverture et la coopération, le développement technologique, la protection de l'écologie et de l'environnement et l'innovation culturelle.
Grâce à une perspective internationale et à une narration vivante, il offre aux téléspectateurs d'Asie centrale un aperçu des fondements historiques et culturels profonds de la philosophie de gouvernance de M. Xi, tout en présentant les diverses dimensions de la modernisation chinoise.
Erlan Karin, conseiller d'État du Kazakhstan, et d'autres professionnels de la culture et des médias d'autres pays d'Asie centrale tels que le Kirghizistan, le Tadjikistan, l'Ouzbékistan et le Turkménistan, ont déclaré que le programme jettera un nouveau pont pour permettre aux peuples d'Asie centrale de mieux comprendre le développement de la Chine dans la nouvelle ère, de percevoir le charme unique de la culture chinoise et de fournir une force spirituelle durable pour la construction d'une communauté d'avenir partagé Chine-Asie centrale plus étroite.
Les journaux officiels du gouvernement kazakh et les plus influents, « Kazakhstan Pravda » (version russe) et « Sovereign Kazakhstan », ont tous deux publié la nouvelle en première page.
La nouvelle a également été diffusée par les principaux médias d'Asie et d'Europe, notamment l'Agence nationale de presse du Tadjikistan (Khovar) et News.Net du Turkménistan.
«Un martyr africain, sur un continent riche en jeunes, démontre comment ces derniers peuvent être un ferment de paix désarmée et désarmante. Un laïc congolais met en lumière la valeur précieuse du témoignage des laïcs et des jeunes ». C’est la déclaration du Pape, au lendemain de la béatification du jeune martyre congolais Floribert Bwana Chui, recevant en audience les pèlerins venus pour cet événement.
«D’où un jeune homme pouvait-il tirer la force de résister à la corruption enracinée dans la mentalité courante et capable de toutes les violences ?» a demandé Léon XIV à ceux qui étaient présents à cette audience : la délégation de l’épiscopat congolais, la mère et les proches du nouveau bienheureux, la communauté Sant’Egidio à laquelle il appartenait, ainsi que plusieurs fidèles venus de la République démocratique du Congo, menés par une délégation du gouvernement. Le Saint-Père leur a rappelé les fortes paroles du Pape François, au sujet de ce jeune homme, prononcées lors de sa visite apostolique dans le pays, le 2 février 2023.
Être honnête, c’est briller de jour, c’est répandre la lumière de Dieu
S’adressant à la jeunesse, au cours de la rencontre qui avait rassemblé des jeunes et catéchistes congolais au stade des martyrs de Kinshasa, François avait déclaré : « Un jeune comme vous, Floribert Bwana Chui [...] à seulement vingt-six ans, il a été tué à Goma pour avoir bloqué le passage de denrées alimentaires avariées qui auraient nui à la santé des personnes. […] En tant que chrétien, il a prié, pensé aux autres et choisi d’être honnête en disant “non” à la souillure de la corruption. C’est cela garder les mains propres ; alors que les mains qui trafiquent l’argent se salissent de sang. […] Être honnête, c’est briller de jour, c’est répandre la lumière de Dieu, c’est vivre la béatitude de la justice : vaincre le mal par le bien ! ».
Le choix de garder les mains propres mûrit dans une conscience formée par la prière
Le choix de « garder les mains propres » pour le fonctionnaire de la douane qu’était Bwana Chui, « mûrit dans une conscience formée par la prière, l’écoute de la Parole de Dieu, la communion avec les frères », a expliqué le Pape. Une conscience qui a été enrichie par la spiritualité de la Communauté de Sant’Egidio, a dit le Saint-Père, louant les vertus de cette communauté, résumé par les trois "P" du Pape François : « prière, pauvres, paix ». Les pauvres étaient au cœur de la vie du nouveau bienheureux, a affirmé le Saint-Père, faisant référence à l’engagement du jeune congolais auprès des « enfants des rues, poussés à Goma par la guerre, méprisés et orphelins ». « Il les aimait de la charité du Christ, il s’intéressait à eux et se souciait de leur formation humaine et chrétienne », a affirmé le Vicaire du Christ. Aussi, a reconnu le Pape, la force de Floribert a « grandi dans la fidélité à la prière et aux pauvres ».
Mener le combat pour la paix avec douceur
Bwana Chui nourrissait de grandes et nobles ambitions pour la société et son pays. Le Pape l’a rappelé, faisant référence au témoignage d’un de ses amis attestant que le nouveau bienheureux « était convaincu que nous étions nés pour faire de grandes choses, pour marquer l’histoire, pour transformer la réalité ». Par ailleurs, à côté de ce dessein, il avait une grande aspiration à la paix. « Dans une région aussi souffrante que le Kivu, déchirée par la violence, il menait son combat pour la paix avec douceur, en servant les pauvres, en pratiquant l’amitié et la rencontre dans une société déchirée », a affirmé le Pape, évoquant le témoignage d’une religieuse rapportant une phrase du nouveau bienheureux : « La communauté met tous les peuples à la même table ».
Ne pas se résigner et ne pas vivre pour soi-même
Tandis que beaucoup des jeunes se sentaient abandonnés et sans espoir, Bwana Chui ne s'est « jamais résigné au mal » et « avait un rêve nourri par les paroles de l’Évangile et la proximité du Seigneur ». Cette assurance vient de l’écoute de la parole de Dieu a expliqué le Pape, en évoquant la parole de Jésus à ses apôtres : « Je ne vous laisserai pas orphelins, je reviendrai vers vous » (Jn 14, 19). « Aucune terre n’est abandonnée de Dieu ! », a affirmé Léon XIV, illustrant une fois de plus l'espérance qui réside dans le modèle offert par le nouveau bienheureux : « Il invitait ses amis à ne pas se résigner et à ne pas vivre pour eux-mêmes. En dépit de tout, il exprimait sa confiance en l’avenir. Il disait : ‘‘Le Seigneur prépare un monde nouveau où la guerre n’existera plus, où les haines seront effacées, où la violence ne surgira plus comme un voleur dans la nuit... où les enfants grandiront dans la paix. Oui, c’est un grand rêve. Ne vivons pas pour ce qui n’a pas de valeur. Vivons plutôt pour ce grand rêve !" ».
Le Saint-Père a conclu en adressant une prière pour que « la paix tant attendue, par l’intercession de la Vierge Marie et du bienheureux Floribert » advienne « bientôt au Kivu, au Congo et dans toute l’Afrique!».
Plus anciens que les manuscrits de la mer Morte, les manuscrits sur soie de Chu, qui renferment un mythe chinois de la création, sont séparés de leur terre natale depuis près de 80 ans. Que sont ces manuscrits ? Pourquoi sont-ils si importants ? Et comment ont-ils été transférés sans scrupule aux États-Unis ? Découvrez toute l'histoire !
Les manuscrits sur soie de Chu datent d'environ 300 av. J.-C. /CMG
Avant l'apparition du soleil et de la lune, quatre esprits divisèrent l'année en quatre saisons à travers une course en relais. Lorsque les corps célestes surgirent, ils apportèrent chaos et déséquilibre. Pour rétablir l'ordre cosmique, les quatre esprits élevèrent d'immenses arbres pour soutenir le ciel, donnant ainsi naissance au printemps, à l'été, à l'automne et à l'hiver.
Ce récit fait partie d'un ancien mythe chinois de la création conservé dans les manuscrits sur soie de Chu, un texte astrologique et astronomique datant d'environ 300 av. J.-C., mis au jour à Zidanku (un toponyme signifiant littéralement « entrepôt de balles ») à Changsha, dans la province du Hunan. Il s'agit des seuls manuscrits sur soie connus de la période des Royaumes combattants en Chine, mais ils ont été perdus à l'étranger depuis près de 80 ans, après avoir été emportés sans scrupules aux États-Unis en 1946.
Découvert en 1942 dans une tombe de l'État de Chu, le manuscrit qui sera plus tard connu sous le nom d'Almanach des quatre saisons, ainsi que quelques fragments, furent achetés et restaurés par l'antiquaire local Cai Jixiang, qui reconnut la rareté de ce document et pensa qu'il avait été utilisé par les anciens lors de prières adressées aux divinités. Combinant textes et illustrations, le manuscrit représente une forme précoce de la tradition des almanachs chinois. Mesurant 47 centimètres sur 38, il est divisé en trois parties : un long texte central portant sur le thème de l'année, un texte plus court racontant un mythe cosmogonique et l'établissement des quatre saisons, et une bordure ornée de douze dieux zoomorphes des mois ainsi que de quatre arbres symboliques, chacun correspondant à une saison.
Une réplique de l'Almanach des quatre saisons tiré des manuscrits sur soie de Chu, réalisée par Cai Jixiang et son fils /CMG
En 1946, Cai apporta les manuscrits à Shanghai afin de chercher une imagerie infrarouge susceptible d'aider à déchiffrer les caractères estompés. C'est là que John Hadley Cox, un antiquaire américain, trompa Cai pour qu'il lui remette les manuscrits, qu'il fit ensuite passer clandestinement aux États-Unis. Cai passa des décennies à tenter de les récupérer, en vain. En 1965, l'Almanach des quatre saisons fut acheté par Arthur M. Sackler, un philanthrope américain. Aujourd'hui, les manuscrits sur soie de Chu — comprenant l'Almanach des quatre saisons, d'autres fragments comme un autre type d'almanach et un manuel de divination pour l'attaque et la défense — sont conservés au Musée national des arts asiatiques à Washington D.C., accompagnés de leur boîte de rangement en bambou d'origine.
Une lettre de Cai Jixiang à John Hadley Cox au sujet des manuscrits sur soie de Chu /CMG
Les manuscrits sur soie de Chu sont l'un des deux seuls manuscrits classiques complets sur soie jamais découverts — l'autre étant les Textes sur soie de Mawangdui, datés de 168 av. J.-C. Les manuscrits sur soie de Chu constituent le plus ancien exemple connu de la littérature shushu (nombres et techniques), une catégorie majeure d'écrits chinois anciens englobant l'astronomie, le calendrier et la divination. Leur mythe de la création, inconnu avant leur découverte, restructure également la compréhension de la cosmologie chinoise ancienne.
Par comparaison avec les célèbres manuscrits de la mer Morte, datés d'environ 170 av. J.-C. et découverts en 1947, les manuscrits sur soie de Chu sont plus anciens et ont été découverts plus tôt. Leur importance est de plus en plus reconnue à l'échelle internationale. Avant sa mort, Arthur M. Sackler avait lui-même exprimé le vœu de rendre à la Chine le manuscrit qu'il avait acquis.
« Le Dr Sackler comprenait l'importance des manuscrits sur soie », a déclaré Lothar von Falkenhausen, professeur émérite d'archéologie et d'histoire de l'art chinois à l'UCLA. « Il avait conscience qu'un objet d'une telle importance ne devait pas rester en dehors de son pays d'origine. J'espère très sincèrement que l'ensemble des manuscrits sur soie sera rapidement restitué à la Chine, à qui ils appartiennent. »
Lors d'une nouvelle fouille à Zidanku en 1973, les archéologues ont mis au jour une magnifique peinture sur soie représentant un homme chevauchant un dragon. Les chercheurs espèrent qu'un jour, les manuscrits et les autres objets funéraires du tombeau de Chu à Zidanku seront réunis au Hunan, afin de permettre une présentation complète de la richesse et des réalisations de la civilisation Chu.
La peinture sur soie mise au jour lors d'une nouvelle fouille à Zidanku en 1973 représente un homme chevauchant un dragon. /CMG
Les manuscrits sur soie de Chu ne sont pas seulement un trésor de la culture chinoise ancienne, ils symbolisent également les innombrables reliques culturelles dispersées à travers le monde. L'espoir de leur retour reflète un désir plus large de voir le patrimoine perdu de la Chine enfin restitué.
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Plus anciens que les manuscrits de la mer Morte, les manuscrits sur soie de Chu, porteurs d'un mythe de la création chinois, sont séparés de leur terre natale depuis près de 80 ans. Que sont ces manuscrits ? Pourquoi sont-ils si importants ? Et comment ont-ils été transférés de manière peu scrupuleuse aux États-Unis ?
Le dimanche 8 juin 2025, à Sofia, capitale de la Bulgarie, des manifestants se sont rassemblés devant la Banque nationale bulgare, entourés d'un important dispositif policier, pour protester contre l'introduction prévue de l'euro le 1er janvier 2026. La manifestation était une fois de plus organisée par le parti politique “Vazrazdane”, tandis que d'autres manifestations ont eu lieu dans d'autres villes bulgares. Le président de “Vazrazdane“, Konstantin Kostadinov, a adressé une lettre à tous les Premiers ministres de l'Union européenne appelant à l'exclusion de la Bulgarie de la zone euro.
Konstantin Kostadinov a souligné dans ses déclarations : “Notre lutte se fait au nom de la démocratie, de nos droits et de notre droit le plus important, le droit de vote”.
Kostadinov a également rappelé qu'en Italie, il n'y a pas eu un, mais cinq référendums sur l'euro, avec une demande signée par moins de 1 % des citoyens, tandis qu'en Bulgarie, avec 10 % des personnes disposées à le faire, un référendum n'est pas autorisé.
Les participants à la manifestation ont affirmé catégoriquement leur volonté de conserver le lev bulgare comme monnaie nationale et ont réclamé haut et fort un référendum sur cette question cruciale et d'importance à long terme pour le pays.
“Nous voulons conserver le lev bulgare car c'est notre monnaie nationale. Sans lev, il n'y aura plus de Bulgarie”, ont insisté les manifestants.
Les milliers de manifestants ont exprimé en particulier leur inquiétude quant au risque que le passage à l'euro entraîne une hausse des prix, une dégradation du niveau de vie, une perte de souveraineté économique et financière du pays et une dépendance vis-à-vis des puissances extérieures.
Isidoros Karderinis,
Journaliste, correspondant de presse étrangère et écrivain
Le documentaire Chine-Afrique 2035 : redéfinir le futur met en lumière les puissantes synergies entre la Vision 2035 de la coopération Chine-Afrique et l'Agenda 2063 de l'Union africaine. Plongez au cœur des collaborations innovantes qui façonnent dès aujourd'hui ce partenariat stratégique : aérospatiale de pointe, initiatives de développement durable, formation d'experts en technologies avancées et révolution de l'économie numérique.
Au-delà des accords officiels, ce film vous invite à découvrir des trajectoires de vie bouleversantes, transformées par cette coopération unique.
Une révolution verte silencieuse au cœur de l'Afrique
Ce court métrage suit la coopération florissante entre la Chine et l'Ouganda dans le secteur du bambou et du rotin, à travers les récits croisés de trois protagonistes : Chen Jirui, expert chinois du charbon de bambou ; Prosper, agriculteur ougandais devenu pionnier de la reforestation ; et Drake, artisan local engagé dans l'innovation et la transmission.
Face aux défis majeurs liés à la crise énergétique et à la déforestation, l'Ouganda explore une alternative durable : le bambou. Grâce à son potentiel multifonctionnel - énergie propre, restauration écologique, opportunités économiques - le bambou se révèle être une ressource stratégique pour l'avenir.
Entre formation technique, engagement communautaire et création d'emplois verts, ce film retrace une aventure humaine et écologique qui transforme à la fois des paysages, et des vies.
Depuis plus de vingt ans, la coopération Chine-Afrique dans le domaine du bambou et du rotin a touché plus de 20 pays et amélioré le quotidien de millions de personnes. Une alliance entre tradition, innovation et espoir au service d'un avenir plus durable.
Une école sur le toit du monde
Notre documentaire « UNE ECOLE SUR LE TOIT DU MONDE » raconte les histoires émouvantes de trois femmes tibétaines d'âge moyen et avancé : Gesang Lamu, une infirmière à la retraite, Zhaxi Wangmu, une étudiante à l'université des seniors, et Ouzhu Wangmu, une pionnière dans les efforts pour la prospérité. Le film vous fera découvrir l'univers captivant des femmes des hauts plateaux enneigés, leur chaleur humaine, leur optimisme contagieux et leur riche philosophie de vie. Un film à ne pas manquer !