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Genecost à Libreville : la mémoire en prière, la colère en silence

(Par le Prof. Félix Wata)

 

Depuis 2022, chaque 2 août, les Congolais commémorent le Génocost, un mot fort pour dire l’indicible : les Congolais de Libreville ont rejoint ceux de Kinshasa comme d’ailleurs pour se recueillir et dire « plus jamais ça ».

A Libreville, la tradition a été respectée. Cette fois-ci la messe a remplacé les débats, mais la révolte est toujours aussi vivace.

Dans une atmosphère de recueillement mais pesante de douleurs inavouées, la communauté congolaise de Libreville a marqué la commémoration du Génocost, cette journée qui rappelle les innombrables vies brisées par les conflits successifs qui ravagent la République Démocratique du Congo depuis trois décennies.

A l’église Saint Michel de Nkembo, dans le 2ème arrondissement de Libreville, pas de cris, pas de pancartes. Mais une sobre messe chargée de symboles. Dans chaque regard, dans chaque prière, dans chaque parole des officiants résonnait une révolte sourde contre une communauté internationale devenue complice par son silence.

« Nous prions pour nos morts, mais nous refusons d'enterrer notre mémoire, » confiait sobrement Jean Marie N’sapu, un participant présent à ce culte.

Dérivé des mots « génocide » et « cost » (coût, profit), le terme Génocost désigne les massacres de millions de Congolais liés à la prédation économique et aux guerres par procuration sur le sol congolais depuis 1998.

A travers cette commémoration, les Congolais ont exprimé leur refus de voir leur souffrance diluée dans des simples épanchements hypocrites ou en rester dans les rapports diplomatiques. Ils dénoncent une injustice géopolitique flagrante : alors que le monde s’émeut ailleurs, les morts congolais continuent de s’empiler dans un quasi-anonymat assourdissant.

Silence international et complicités régionales

Au centre de la colère, un acteur bien identifié : le Rwanda

Accusé à plusieurs reprises par l’ONU et diverses ONG avec preuves accablantes   d’être un acteur majeur dans l’exploitation illégale des ressources du Congo via des groupes armés, Kigali reste étrangement ménagé sur la scène internationale. Les Congolais y voient une preuve accablante du double standard. Jusqu’à quand s’interrogent les patriotes congolais qui n’en peuvent plus.

« Le Rwanda est devenu le bras armé d’intérêts plus vastes. Un proxy. Mais qui se cache derrière ? Qui achète le coltan, l’or, les diamants de sang congolais ? », s’est interrogé un jeune intervenant de la communauté. Y aurait-il encore mystère sur l’identité des receleurs. Rien n’est moins sûr !

Les regards se tournent vers les multinationales, les marchés occidentaux, et certaines puissances qui, sous couvert d’aide au développement, ferment les yeux sur l’horreur.

Mais le Génocost, ce n’est pas seulement un cri de douleur. C’est aussi une main tendue vers le futur. Car si les Congolais de l’intérieur et de la diaspora ont décidé de s’inscrire dans la dynamique de commémoration, ils n’entendent pas en rester au stade de simples jérémiades. Décidés à agir aussi et franchir un palier.

S’approprier l’Histoire, réécrire le futur

Ils revendiquent le droit de s’approprier et raconter eux-mêmes leur histoire, loin des récits fabriqués ailleurs, loin des analyses tronquées qui ont tendance à vouloir réduire les drames du Congo à de simples querelles byzantines entre Congolais.

Cette mémoire assumée est aussi le socle d’une ambition plus vaste : celle de porter plus fort le statut de pays solution.

Au-delà de nombreux défis apparents qui se dressent devant eux, les Congolais veulent croire à un destin nouveau. Un pays riche de ses terres, de ses cultures, de ses esprits. Un pays qui peut, s’il se libère des tutelles invisibles et des griffes sanguinaires, devenir une puissance d’équilibre pour l’Afrique. La reconquête de sa souveraineté s’impose de ce point de vue comme bataille ultime.

De l’instabilité sécessionniste remontant aux premières heures d’indépendance, la RDC a traversé des fortunes diverses, alternant heures de gloire et périodes sombres. Maintenant l’on parle de la signature des accords de Washington et de Doha et du dialogue imminent sélectif ou inclusif, c’est selon.

Hier, le pays est passé par d’autres étapes non moins déterminantes comme la Conférence nationale souveraine dans les années 90 ou les accords de Sun City de 2003. A chaque fois qu’elle s’est retrouvée à la croisée de chemins, la RDC a toujours su réinventer des formes de résistance et de résilience.

A un moment donné, il faut savoir se donner les moyens de franchir un cap décisif en mettant fin à un cycle pour passer à un autre.

C’est une question de temps, de sursaut national et surtout de remise en question de la part de tous les pantins agissant comme acteurs bien trempés dans la chaine de complicité interne à cause des intérêts nombrilistes.

« Le Congo ne doit plus être un terrain de pillage, de viols, d’errance. Il doit pleinement jouir son statut de pays solution et s’imposer ainsi comme une source de prospérité, d’espérance et de solutions africaines aux problèmes africains et au-delà de par le monde, » a déclaré un patriote présent à la cérémonie.

Genecost à Libreville : la mémoire en prière, la colère en silence
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Film chinois « Dead to Rights » : un triomphe mondial qui ranime la mémoire de la Seconde Guerre mondiale

(Par Zhang Shanhui, Présentatrice et chroniqueuse CGTN Français)

 

 

Succès absolu en Chine, « Dead to Rights » – film historique inspiré de faits réels – plonge le spectateur dans le Nankin de 1937. Réfugiés dans le studio-photo Jixiang, des habitants ordinaires, contraints de développer les négatifs des envahisseurs, découvrent des images qui témoignent du massacre et risquent leur vie pour faire éclater la vérité.

Tout le casting parle le dialecte nankinois ; sur les réseaux, les spectateurs saluent un « drame purificateur » qui « lave l’âme » sans recourir à la violence gratuite, mais en mettant en lumière le courage du quotidien. Sortie internationale dès le 7 août : Australie, Nouvelle-Zélande, États-Unis, Canada, Malaisie, Singapour. Versions russe, coréenne, britannique, allemande et française en préparation.

La guerre de résistance en Chine contre l’agression japonaise constitue une partie essentielle de la Seconde Guerre mondiale. Le nombre de victimes militaires et civiles chinoises dépasse 35 millions, dont plus de 3,8 millions de soldats, soit un tiers du total des pertes humaines de tous les pays belligérants. Toute histoire est l’histoire du présent ; l’histoire est la réalité du passé. La mémoire et la compréhension de la Seconde Guerre mondiale conditionnent la ligne rouge de la justice pour l’humanité et déterminent la capacité de la civilisation à poursuivre sa marche sur la voie de la justice et de la paix. Aujourd’hui, chacun doit continuer à prendre l’histoire comme miroir et, dans le grand changement de ce siècle, protéger avec détermination les acquis de la victoire de 1945.

Film chinois « Dead to Rights » : un triomphe mondial qui ranime la mémoire de la Seconde Guerre mondiale
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CISCE : la connectivité au cœur de la 3ème édition

(Note de l'éditeur : Cet article représente le point de vue de l'auteur Karim Badolo et pas nécessairement celui de CGTN.)

La 3e Exposition internationale des chaînes d'approvisionnement de Chine (CISCE) se déroule du 16 au 20 juillet 2025 à Beijing. La présente édition met l'accent sur l'impératif de dynamiser les chaînes d'approvisionnement dans un contexte de menaces tarifaires et de protectionnisme. Le thème «Connecter le monde pour un avenir partagé» du CISCE 2025 rappelle l'importance d'une coopération mondiale basée sur des principes inclusifs dans la bonne marche de l'économie. À l'heure de l'économie mondialisée, la connectivité mérite toute une attention particulière à cet événement. C'est pourquoi, de par son envergure, le CISCE se positionne comme une plate-forme de rencontres et d'opportunités pour les acteurs de la chaîne d'approvisionnement à travers le monde. Depuis la première édition, le Salon s'est voulu comme un bien public international où toutes les entreprises ont leur place pour se connecter aux autres.

La 3e édition du CISCE se tiendra sur une aire de 120 000 m2, signe de la réputation qu'il a acquise en si peu de temps. Ce sont plus de 650 entreprises et institutions nationales et étrangères en provenance de 75 pays, régions et organisations internationales qui prendront part au CISCE 2025. Le taux de participation des entreprises étrangères est estimé à 35%, avec une présence remarquée des compagnies européennes et américaines. Le nombre d'exposants, selon les estimations des organisateurs, devrait atteindre 1 200. La Thaïlande et les provinces chinoises du Shandong et du Guangdong sont les invitées d'honneur de cette édition.

La principale innovation majeure de cette édition est l'élargissement des catégories de produits. En effet, six zones d'exposition principales qui comprennent la fabrication avancée, l'énergie propre, les véhicules intelligents, la technologie numérique, les modes de vie sains et l'agriculture verte vont offrir une panoplie de choix aux visiteurs. La zone d'exposition pour la chaîne d'innovation va particulièrement mettre l'accent sur la commercialisation des technologies développées issues des laboratoires et la dynamisation de l'intégration efficace entre la chaîne d'innovation et la chaîne industrielle.

En mettant la connectivité au cœur de l'édition 2025 du CISCE, il s'agit de consolider les jalons d'une coopération étroite afin d'assurer une continuité dans l'approvisionnement des chaînes d'approvisionnement industrielles. Face aux incertitudes inhérentes aux tarifs douaniers et au protectionnisme qui pourraient entraver les flux des échanges économiques, les entreprises sont appelées à prendre des mesures proactives pour garantir un fonctionnement normal des chaînes d'approvisionnement. Le CISCE 2025 aura pour objectif d'encourager la connectivité pour non seulement bâtir un système mondial d'approvisionnement inclusif, mutuel bénéfique et ouvert, mais aussi partager les expériences en matière d'innovation technologique.

Le CISCE œuvre à la construction de chaînes industrielles et d'approvisionnement mondiales plus sûres, plus stables, plus ouvertes et plus inclusives. Il permet de prendre en compte l'intégration des nouvelles technologies et l'évolution actuelle vers la régionalisation, la diversification, la numérisation et la durabilité afin de remodeler l'architecture des chaînes d'approvisionnement et de favoriser l'émergence de nouveaux modèles économiques. Face aux barrières commerciales protectionnistes et de considérations géopolitiques qui empiètent sur la division traditionnelle du travail, la Chine propose le CISCE comme un point d'appui d'ouverture d'un nouveau levier de collaboration transfrontalière.

(Photo : VCG)

 

CISCE : la connectivité au cœur de la 3ème édition
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Menaces de nouveaux tarifs douaniers contre les BRICS : Halte au protectionnisme improductif

(Note de l'éditeur : Cet article représente le point de vue de l'auteur Karim Badolo et pas nécessairement celui de CGTN.)

Alors que les dirigeants des BRICS sont réunis à Rio de Janeiro au Brésil pour le 17e  sommet de la plate-forme, le président américain Donald Trump brandit la menace de nouveaux tarifs contre les pays membres. Le président Trump justifie sa menace par le fait que les BRICS mèneraient une politique anti-américaine. Sous le prétexte de sa politique protectionniste qui foule aux pieds les règles du commerce international, Donald Trump fustige les BRICS qui se prononcent pour un multilatéralisme sur l'échiquier mondial.

La position des BRICS s'est toujours inscrite en faveur d'une multi-polarité des relations internationales aussi bien sur le plan économique que diplomatique. Les pays membres des BRICS, abritant près de la moitié de la population mondiale et contribuant pour 30% du PIB mondial, ont le droit d'appeler à une gouvernance inclusive et respectueuse des intérêts de chaque partie. La configuration du monde a considérablement changé et il est tout à fait normal que l'on bascule vers un équilibre des rapports.

En réaction à la menace de Trump, Mao Ning, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, a déclaré que le mécanisme des BRICS est une plate-forme importante pour la coopération entre les marchés émergents et les pays en développement. En clair, les BRICS plaident en faveur de l'ouverture et de l'inclusivité, de la coopération gagnant-gagnant et de l'absence de confrontation entre les camps.

Contrairement aux allégations de Trump, les BRICS ne visent aucun pays dans leur volonté de promouvoir le multilatéralisme. C'est dans la collaboration sur un pied d'égalité et d'inclusivité que la gouvernance mondiale sera au service d'un développement partagé. Les tarifs douaniers entravent la bonne marche de l'économie mondiale déjà minée par des conflits multiformes. Le protectionnisme est improductif et compromet la mondialisation dans tous les secteurs d'activités.

Au lieu de verser dans la surenchère, il est temps de prendre conscience que l'interaction respectueuse entre les pays, petits ou grands, est le seul modèle de coopération profitable à l'humanité toute entière. Les confrontations n'ont rien apporté à la bonne marche du monde. Au contraire, elles ont plus causé de préjudices à l'humanité. En dépit des divergences qui peuvent exister, il y va de l'intérêt de tous de prendre en compte les intérêts des autres pour que les siens soient à l'abri. Brandir les tarifs douaniers comme épouvantail n'entravera pas le cours de l'histoire. Le monde sera multipolaire ou il ne le sera pas. Il faut se convaincre que le dialogue, le respect mutuel et la coopération demeurent les outils nécessaires pour une gouvernance mondiale apaisée et tournée vers la résolution des défis communs de l'humanité. Donc halte au protectionnisme improductif !

(Photo : VCG)

Menaces de nouveaux tarifs douaniers contre les BRICS : Halte au protectionnisme improductif
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31ème anniversaire du décès du Généralissime Kim Il Sung : Kabasele Tshimanga a envoyé un Message de Soutien au Président Kim Jong Un

Le 8 juillet 1994 est entré dans l'histoire de la République Populaire Démocratique de Corée. En effet, ce jour-là, le Généralissime Kim Il Sung, Libérateur du peuple coréen et Fondateur de la République nord-coréenne, est décédé. Ainsi, cette date est commémorée annuellement par le peuple coréen. À cette occasion, l'Union des Démocrates Socialistes, UDS, Membre de l'Internationale Antifasciste et partenaire du Parti du Travail de Corée, PTC, vient d'adresser un message de soutien au Secrétaire Général du PTC, le Maréchal Kim Jong Un. La teneur dudit message signé par le Président National de l’UDS, monsieur Crispin Kabasele Tshimanga Babanya Kabudi, Coordonnateur National de l’Internationale Antifasciste RD Congo, se présente comme suit :

Au Très Respecté Camarade KIM JONG UN

Secrétaire Général du Parti du Travail de Corée

Président des Affaires d’Etat de la République Populaire Démocratique de Corée à PYONGYANG

Cher Camarade Secrétaire Général,

A l’occasion du 31me Anniversaire du décès du Généralissime KIM IL SUNG, Fondateur de la République Populaire Démocratique de Corée, j’ai l’honneur        de Vous adresser, par la présente, le message de soutien au nom des Camarades de l’Union des Démocrates Socialistes, UDS, et au mien propre.

L’Union des Démocrates Socialistes, UDS, partenaire du Parti du Travail de Corée, PTC, garde toujours à l’esprit l’éminent rôle joué par le Généralissime KIM IL SUNG en faveur du Peuple Coréen à travers l’édification d’une société socialiste dont les Révolutionnaires du monde entier sont fiers.

L’Union des Démocrates Socialistes, UDS, saisit cette occasion pour réitérer son engagement indéfectible dans le renforcement des liens d’amitié et de coopération entre nos deux Partis.

Veuillez agréer, Cher Camarade Secrétaire Général, les salutations révolutionnaires de l’Union des Démocrates Socialistes, UDS.

LE PRESIDENT NATIONAL,                                 

Crispin KABASELE TSHIMANGA BABANYA KABUDI

Sénateur honoraire

Coordonnateur National de l’Internationale Antifasciste RD Congo

 

31ème anniversaire du décès du Généralissime Kim Il Sung : Kabasele Tshimanga a envoyé un Message de Soutien au Président Kim Jong Un
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La jeunesse européenne et chinoise dialogue sur le lac Kunming

Auteur : Zhu Jingtian

Présentatrice, CGTN Français

En célébrant les 50 ans des relations diplomatiques Chine-UE, des jeunes français et chinois se sont retrouvés sur un bateau inspiré des pavillons traditionnels, orné de motifs de dragons. La présentatrice de CGTN Français Zhu Jingtian a annoncé qu'elle était contente de faire une petite balade sur le lac Kunming avec ses amis européens. Puis, elle a invité tout le monde à partir.

Devant eux, le Pavillon des Fragrances bouddhiques, sur la Colline de la Longévité, a illustré l'architecture en bois harmonieuse avec la nature. Matt Laing a répondu aux questions sur les différences entre le Palais d'Été et les jardins royaux européens. En Chine, selon lui, les espaces naturels sont beaucoup plus verts et colorés. Il a souligné que la grande différence résidait dans les couleurs et la structure : en Chine, l'architecture était ancrée dans la nature, tandis qu'en Europe, des espaces précis pour les jardins avaient été créés.

Passant devant la rue de Suzhou, Pauline Menez a abordé le sujet du shopping en Chine, expliquant que la façon de consommer avait énormément évolué. Elle a été marquée par l'adoption technologique, le choix diversifié et la rapidité des achats en ligne. Elle a montré son polaroïd acheté en ligne, qu'elle utilisait pour photographier ses souvenirs.

Sur l'impact du commerce en ligne chinois en Europe, Pauline a dit que de grandes plateformes logistiques chinoises étaient arrivées en Europe, utilisant l'IA pour prévoir les demandes et assurer la rapidité des livraisons. Elle a estimé que cela facilitait les échanges commerciaux et offrait plus de choix aux consommateurs européens.

Sur le Pont des Dix-Sept Arches, Thomas Adler a exprimé son admiration pour la protection du patrimoine chinois, soulignant que le Palais d'Été en était un bel exemple, comparable à la conservation des cathédrales et des palais en France, avec le désir commun de transmettre l'histoire aux générations futures.

Après la visite du pont, le bateau a repris sa route vers la Digue de l'Ouest. La présentatrice a servi du thé au jasmin et des douceurs traditionnelles, puis tous ont chanté la chanson folklorique chinoise "Mo Li Hua" et la chanson française "La Vie en rose".

Plus qu'un échange culturel, le dialogue entre les jeunes est devenu un symbole d'amitié et de coopération. Comme les fleurs épanouies dans ce décor enchanteur, les relations sino-européennes ont fleuri avec éclat, portées par la curiosité et la collaboration des jeunes.

 

La jeunesse européenne et chinoise dialogue sur le lac Kunming
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A l'occasion du 214ème anniversaire de l'indépendance du Venezuela : L'Uds adresse un message de félicitations au Président Maduro

 Samedi le 5 juillet 2025 dernier, la République Bolivarienne du Venezuela a célébré le 2147ème anniversaire de son indépendance. En effet, le 5 juillet 1811, un Congrès réunissant les représentants des provinces proclama l'indépendance du Venezuela.

A cette occasion, l'Union des Démocrates Socialistes, UDS, a adressé un message de félicitations au Président de la République Bolivarienne du Venezuela. Ce message qui porte la signature du Président Crispin Kabasele Tshimanga Babanya Kabudi, est ainsi libellé :

Très Cher Camarade Président,

Au nom des Camarades de l’Union des Démocrates Socialistes, UDS, Membre de l’Internationale Antifasciste, et au mien propre, j’ai l’honneur de Vous adresser    le présent message de félicitations à l’occasion de la célébration                          du 214me anniversaire de la proclamation de l’indépendance de la République Bolivarienne du Venezuela que Vous avez l’insigne honneur de diriger remarquablement.

Obtenue dans la douleur et de haute lutte sous la direction du Libérateur Simon BOLIVAR, l’indépendance de la République Bolivarienne du Venezuela a inspiré beaucoup de peuples encore colonisés à l’époque dans le monde. Elle demeure           un modèle de lutte pour toutes les Nations en quête de leur indépendance réelle et effective.

Je saisis cette occasion pour saluer chaleureusement la Révolution bolivarienne conduite des mains de maître par l’Immortel Commandant Hugo CHAVEZ, Inventeur du socialisme du 21me siècle. Par ailleurs, je n’oublierai pas votre inlassable détermination à parachever son œuvre et à défendre la souveraineté de votre pays.

Je souhaite donc joyeux anniversaire à la République Bolivarienne du Venezuela, à son brave Peuple et aux valeureux dirigeants du Parti Socialiste Uni du Venezuela, PSUV, notre partenaire.

Veuillez agréer, Très Cher Camarade Président, les salutations révolutionnaires de l’Union des Démocrates Socialistes, UDS.

LE PRESIDENT NATIONAL,

Crispin KABASELE TSHIMANGA BABANYA KABUDI                                     Sénateur honoraire, Coordonnateur National de l’Internationale Antifasciste RD Congo

 

 

 

A l'occasion du 214ème anniversaire de l'indépendance du Venezuela : L'Uds adresse un message de félicitations au Président Maduro
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A l'occasion du 214ème anniversaire de l'indépendance du Venezuela : L'Uds adresse un message de félicitations au Président Maduro

 Samedi le 5 juillet 2025 dernier, la République Bolivarienne du Venezuela a célébré le 2147ème anniversaire de son indépendance. En effet, le 5 juillet 1811, un Congrès réunissant les représentants des provinces proclama l'indépendance du Venezuela.

A cette occasion, l'Union des Démocrates Socialistes, UDS, a adressé un message de félicitations au Président de la République Bolivarienne du Venezuela. Ce message qui porte la signature du Président Crispin Kabasele Tshimanga Babanya Kabudi, est ainsi libellé :

Très Cher Camarade Président,

Au nom des Camarades de l’Union des Démocrates Socialistes, UDS, Membre de l’Internationale Antifasciste, et au mien propre, j’ai l’honneur de Vous adresser    le présent message de félicitations à l’occasion de la célébration                          du 214me anniversaire de la proclamation de l’indépendance de la République Bolivarienne du Venezuela que Vous avez l’insigne honneur de diriger remarquablement.

Obtenue dans la douleur et de haute lutte sous la direction du Libérateur Simon BOLIVAR, l’indépendance de la République Bolivarienne du Venezuela a inspiré beaucoup de peuples encore colonisés à l’époque dans le monde. Elle demeure           un modèle de lutte pour toutes les Nations en quête de leur indépendance réelle et effective.

Je saisis cette occasion pour saluer chaleureusement la Révolution bolivarienne conduite des mains de maître par l’Immortel Commandant Hugo CHAVEZ, Inventeur du socialisme du 21me siècle. Par ailleurs, je n’oublierai pas votre inlassable détermination à parachever son œuvre et à défendre la souveraineté de votre pays.

Je souhaite donc joyeux anniversaire à la République Bolivarienne du Venezuela, à son brave Peuple et aux valeureux dirigeants du Parti Socialiste Uni du Venezuela, PSUV, notre partenaire.

Veuillez agréer, Très Cher Camarade Président, les salutations révolutionnaires de l’Union des Démocrates Socialistes, UDS.

LE PRESIDENT NATIONAL,

Crispin KABASELE TSHIMANGA BABANYA KABUDI                                     Sénateur honoraire, Coordonnateur National de l’Internationale Antifasciste RD Congo

 

 

 

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17ème Sommet des BRICS : Un bloc grandissant, une alternative pour une gouvernance plus inclusive

(Note de l'éditeur : Cet article représente le point de vue de l'auteur Karim Badolo et pas nécessairement celui de CGTN.)

Après Kazan en Russie, l'an dernier, c'est autour de Rio de Janeiro au Brésil d'accueillir le 17e Sommet des BRICS les 6 et 7 juillet. « Renforcer la coopération mondiale du Sud pour une gouvernance plus inclusive et durable » est le thème du présent sommet qui va se dérouler dans un contexte de tensions multiformes à travers le monde. En dépit de ce constat, c'est fort de 11 membres que le bloc se réunit au Brésil, tout un symbole de son élargissement et de son influence grandissante dans le rééquilibrage des rapports sur la scène internationale. Les économies émergentes sont en train d'imprimer une vision de plus en plus inclusive de la gouvernance mondiale à travers les BRICS. De manière méthodique et pragmatique, les BRICS sont en train de créer un espace structurant de la multipolarité du monde.

Dans cette démarche, les atouts sont légion qui concourent au remodelage de l'ordre économique et diplomatique mondial. Avec ses 11 membres, les BRICS représentent près de la moitié de la population mondiale et contribuent pour 30% du PIB mondial. Pendant que d'autres pays multiplient les efforts pour leur adhésion à la plate-forme, les BRICS insufflent déjà une dynamique de 50% à la croissance mondiale, ce qui fait d'eux des acteurs clés et majeurs de l'économie mondiale. De par son mode de fonctionnement ouvert et inclusif, les BRICS séduisent de plus en plus et offrent des opportunités de développement accéléré aux pays du Sud. En dépit des crises, le Sommet de Rio de Janeiro s'annonce sous d'heureux auspices d'autant plus qu'il offre l'occasion au bloc de réaffirmer sa présence sur l'échiquier mondial dans un contexte où l'unilatéralisme continue d'avoir un impact négatif sur les principes du commerce international mais aussi sur la stabilité du monde avec la logique du deux poids deux mesures.

Le rendez-vous de Rio de Janeiro sera en tout cas une occasion pour les dirigeants des BRICS de consolider leur solidarité, de se positionner avec plus de cohérence pour innerver les relations internationales d'une donne qui repose sur le consensus, l'inclusion, le respect mutuel et la coopération gagnant-gagnant. Plus que jamais, le moment est propice pour parler d'une seule voix afin de contrecarrer les velléités protectionnistes qui tendent à faire prévaloir une vision unique de la marche du monde. Contrairement à une certaine opinion qui a tendance à faire croire que le bloc serait une force d'opposition à l'hégémonie occidentale, les BRICS proposent l'option d'une coopération mondiale inclusive qui intègre tous les souffles, qu'ils soient du Nord ou du Sud. Ils veulent simplement ouvrir les perspectives d'une gouvernance mondiale où toutes les nations ont voix au chapitre et où les intérêts de tous bénéficient d'une attention soutenue. Bref un espace où les civilisations dialoguent et s'enrichissent mutuellement. Comme l'a mentionné récemment le ministre brésilien des affaires étrangères, Mauro Vieira, les BRICS insistent sur «la nécessité de renforcer le rôle des Nations Unies, en soulignant notamment l'urgence de réformer le Conseil de sécurité, afin de le rendre plus représentatif, légitime et efficace, en particulier avec une plus grande participation de l'Afrique, de l'Asie et de l'Amérique latine.»

Au-delà des considérations géopolitiques, le 17è Sommet des BRICS sera consacré à des discussions sur les préoccupations inhérentes à la coopération mondiale en matière de santé, de commerce, d'investissement et de finance, et de changement climatique. La gouvernance de l'intelligence artificielle, l'architecture multilatérale de paix et de sécurité et le développement institutionnel sont autant de sujets qui seront largement débattus à Rio de Janeiro. A l'occasion, des initiatives comme le « Partenariat des BRICS pour l'élimination des maladies d'origine sociale et des maladies tropicales négligées », la promotion du « Partenariat pour la nouvelle révolution industrielle », la « Stratégie de partenariat économique BRICS 2030 » et la formulation du « Programme de leadership climatique des BRICS » seront lancées pour refléter les ambitions de développement de la plate-forme.

Les BRICS constituent une force économique disposant d'une main d'œuvre importante et d'un vaste marché aux potentialités énormes. Les échanges économiques et commerciaux se distinguent par leur dynamisme constant offrant aux pays du Sud global des perspectives de développement dans divers secteurs. Dans les échanges commerciaux, la Chine, en tant qu'atelier et marché du monde, joue un rôle majeur au sein des BRICS. Les statistiques douanières relèvent qu'au cours des neuf premiers mois de 2024, le commerce extérieur de la Chine avec les autres membres des BRICS a été estimé à environ 648 milliards de dollars, soit une augmentation de 5,1% en glissement annuel. Par ailleurs, la Chine offre aux pays en développement des facilités d'accès à son vaste marché avec les exonérations douanières et les expositions diverses. L'ouverture de la Chine injecte également une force extraordinaire dans les flux au sein des BRICS et des pays du Sud en général.

Le sommet des BRICS 2025 se tiendra au moment où la question des tarifs douaniers brandie par l'administration Trump va reprendre de plus belle. Le rendez-vous de Rio Janeiro est donc un cadre idéal pour les dirigeants des BRICS d'adopter une position commune face à la surenchère autour des taxes douanières. Dans tous les cas, les BRICS disposent d'arguments solides pour défendre les principes du commerce international équitable.

(Photo : VCG)

 

17ème Sommet des BRICS : Un bloc grandissant, une alternative pour une gouvernance plus inclusive
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Célébration de l’indépendance de la RDC : La date du 30 juin proclamée ‘‘Journée des congolais-américains’’ à Washington D.C

(Muriel Bowser, Maire de Washington D.C)

Le 30 juin, date de la célébration de l’indépendance de la République démocratique du Congo (RDC), a été officiellement proclamée, ‘‘Congolese American Day” (Journée des Congolais-américains)  par la Ville de Washington D.C aux Etats-Unis, selon un communiqué de la mairie de la capitale fédérale américaine.

«Considérant que la Nouvelle Initiative pour l’Engagement Civique de DC (NICE) promeut la culture congolaise, favorise l’inclusion économique et offre des voies vers la citoyenneté américaine en partenariat avec le Bureau du maire pour les Affaires Africaines (MOAA) ; par conséquent, moi, le maire de Washington DC, proclame par la présente le 30 juin 2025 comme ‘‘journée des congolais-américains’’ à Washington, DC», a-t-on lu dans le document signé par la Maire du District de Columbia à Washington, Muriel Bowser.

Selon la même source révèle que cette consécration intervient suite aux  « contributions des personnes d’origine congolaise aux forces armées, au service communautaire, à l’éducation, à l’entrepreneuriat, à la santé, à la musique, aux arts et à d’autres domaines enrichissent considérablement la culture et l’économie du District de Columbia ainsi que du monde ».

Ainsi, renseigne-t-on, cette journée sera célébrée chaque année à Washington  par des événements culturels, des conférences, des expositions et des rencontres officielles qui renforcent les liens entre la RDC et les États-Unis.

« Considérant que  la musique, de la rumba congolaise qui a gagné une popularité mondiale grâce à ses rythmes, ses mélodies et ses paroles, et qu’elle est reconnue par l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) comme faisant partie du patrimoine culturel immatériel de l’humanité », a indiqué la Mairie de Washington DC, justifiant ainsi sa décision pour la journée du 30 juin.

Chaque 30 juin, rappelle-t-on, la République Démocratique du Congo célèbre l’anniversaire de son indépendance obtenue en 1960. Cette année, le pays fête les 65 ans de son accession à la souveraineté nationale et internationale avec un espoir d’un retour définitif de la paix grâce à l’accord signé avec son voisin le Rwanda, sous l’égide des Etats-Unis.   

J. Diala

Célébration de l’indépendance de la RDC : La date du 30 juin proclamée ‘‘Journée des congolais-américains’’ à Washington D.C
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La sincérité du Chef d'Etat chinois envers son peuple

 «Œuvrer pour le bien-être du peuple doit être la plus grande réussite politique. Il faut penser comme le peuple, se soucier de ses préoccupations et rendre sa vie plus heureuse et plus épanouissante.»

Le mot « peuple » revêt une importance capitale pour Xi Jinping, secrétaire général du Comité central du Parti communiste chinois (PCC).

Depuis le XVIIIe Congrès national du PCC, Xi Jinping a effectué une centaine d'inspections et d'enquêtes sur le terrain, expliqué ses politiques dans des cours et des pavillons, écouté des comptes rendus à bord des bateaux et dans des wagons, s'est enquis des moyens de subsistance au milieu des champs et esquissé des plans d'avenir dans des ateliers… Les besoins et les attentes urgents du peuple ont été inscrits à l'ordre du jour des réunions importantes du PCC et sont devenus à maintes reprises le point central des réformes menées par l'État.

«La Décision du Comité central du Parti communiste chinois sur l'approfondissement plus poussé de la réforme sur tous les plans en vue de promouvoir la modernisation chinoise », examinée et adoptée lors du troisième plénum du XXe Comité central du PCC, mentionne le « peuple» à 46 reprises, soulignant qu'« il faut faire en sorte que la réforme réponde aux besoins du peuple et serve le peuple ».

Pour élaborer le projet du «XVe Plan quinquennal», Xi Jinping a insisté sur «l'unification de la conception au plus haut niveau et la sollicitation des conseils du peuple » ainsi que sur « la fidélité à l'engagement initial et le bien-être du peuple comme valeur fondamentale».

«Nous devons toujours rester aux côtés du peuple, partager ses joies et ses peines, nous unir avec lui et travailler dur, avec diligence et conscience, et nous efforcer de présenter une réponse satisfaisante à l'épreuve de l'histoire et aux attentes du peuple.» Telle est la fidélité absolue que le secrétaire général du PCC Xi Jinping témoigne à son pays et à son peuple, l'engagement sans faille d'un leader du peuple envers 1,4 milliard de citoyens.

La sincérité du Chef d'Etat chinois envers son peuple
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Guerre Israël-Iran : faire prévaloir le droit international

(Note de l'éditeur : Cet article représente le point de vue de l'auteur Karim Badolo et pas nécessairement celui de CGTN.)

La guerre entre Israël et l'Iran est entrée dans une phase décisive avec l'entrée officielle des Etats-Unis dans le conflit aux côtés de son allié israélien. Sans l'aval du Congrès, sur l'initiative du président Trump, l'armée américaine a mené des frappes contre trois sites nucléaires iraniens dans la nuit du 20 au 21 juin. Alors que l'on s'attendait à ce que le président américain joue la carte de l'apaisement entre les parties belligérantes, il a pris de court tout le monde. Cette intervention est lourde de conséquences pour la paix au Moyen-Orient et pourrait présager des lendemains incertains pour toute la région qui est déjà confrontée à d'autres situations conflictuelles.

Et pourtant depuis le début des frappes israéliennes sur l'Iran le 13 juin, des voix se sont élevées pour demander la cessation des attaques. 21 pays, dont 11 pays africains, comme l'Egypte, l'Algérie, le Soudan, la Somalie, Djibouti, les îles Comores et le Tchad, ont fait une déclaration commune, appelant à une désescalade. Les signataires de l'appel avaient insisté sur la nécessité d'éviter des frappes sur les sites nucléaires soumis au contrôle de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et de respecter le droit international. En clair, les 21 pays signataires ont formulé le voeu que la voie du dialogue et des négociations soit privilégiée en toutes circonstances.

L'Union européenne a appelé à cesser les hostilités. Après les frappes américains, l'UE a exhorté "toutes les parties à faire un pas en arrière." "J'exhorte toutes les parties à faire un pas en arrière, à revenir à la table des négociations et à éviter toute escalade supplémentaire", la cheffe de la diplomatie de l'Union européenne, Kaja Kallas.

Dans le même registre, le secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, n'a cessé de mettre en garde contre les risques d'escalade depuis le début des frappes israéliennes, appelant au respect du droit international. "C'est une dangereuse escalade dans une région déjà sur la corde raide et une menace directe à la paix et à la sécurité dans le monde", a-t-il averti, suite à l'intervention américaine en Iran. La Chine a exprimé, pour sa part, sa préoccupation quant au risque que le conflit devienne "incontrôlable". Le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi a appelé à ne pas "laisser la région glisser dans un gouffre inconnu." Sur cette lancée, le représentant permanent de la Chine aux Nations Unies, Fu Cong, a déclaré qu'"à ce stade critique, la communauté internationale doit former un consensus et déployer tous les efforts pour promouvoir des pourparlers afin d'apaiser les tensions".

"La Chine appelle toutes les parties au conflit, en particulier Israël, à cesser le feu dès que possible, à garantir la sécurité des civils et à entamer le dialogue et les négociations. La Chine est disposée à collaborer avec la communauté internationale pour unir ses efforts, faire respecter la justice et œuvrer au rétablissement de la paix et de la stabilité au Moyen-Orient", a réagi un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères suite à l'intervention américaine en Iran.

Si l'intervention américaine a compliqué davantage la situation entre Israël et l'Iran, il importe toujours de faire prévaloir le droit international, indispensable à la stabilité dans le monde. La diplomatie doit continuer à peser dans ce conflit. La voie de la négociation est l'alternative idéale pour la sécurité de chaque partie. Au moment où l'on célèbre le 80e anniversaire de l'ONU, il faut se souvenir des désastres que la loi de la jungle a causés à l'humanité. L'usage de la force par qui que ce soit est contre-productif en toutes circonstances. Les postures unilatérales compromettent la paix pour toute l'humanité. La paix est une initiative collective, on ne l'impose pas par la force. C'est par le droit et le dialogue que les nations pourront résoudre leurs différends et cohabiter pacifiquement. L'illusion de la force aveugle et éloigne des compromis du vivre-ensemble dans la stabilité. Les exemples sont légion : la loi du plus fort ne profite à personne et ne saurait perdurer. Il faut à tout prix faire prévaloir le droit international, seule garantie pour un monde apaisé.

(Photo : VCG)

Guerre Israël-Iran : faire prévaloir le droit international
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