En signe de respect et de solidarité, l'IGF informe le public de la délocalisation du lieu de veillée mortuaire des obsèques. Initialement prévue dans la salle Vila Nova, la veillée mortuaire aura lieu dans la salle Emma Mila Palace, située sur l'avenue Kato N° 13 dans la commune de Lingwala, à proximité de l'École Révérend Kim de l'avenue 24 novembre.
Le programme des obsèques est le suivant :
- Lundi 17 février 2025 : Veillée mortuaire à la salle Emma Mila Palace
- Mardi 18 février 2025 :
- 9h00 : Levée du corps de la morgue du cinquantenaire pour le recueillement dans l'enceinte de l'hôpital du cinquantenaire
- 10h00 : Témoignages et oraison funèbre, en présence de représentants de l'IGF, de la RTNC et de l'UPN
- 11h30 : Passage de la dépouille mortelle à l'esplanade de la RTNC, où le défunt a travaillé avant de rejoindre l'IGF
- 12h30 : Inhumation au cimetière Nécropole 1
- 17h00 : Bain de consolation à la salle Emma Mila Palace
Le Président Félix Tshisekedi a rendu, lundi 10 février 2025, un dernier hommage au patriarche Donatien Kabanga, au cours d’une cérémonie d’adieux organisée au Palais du peuple. Décédé le 4 février dernier, à l’âge de 84 ans, le regretté Donatien Kabanga fut député national honoraire et un des dignes fils du pays. Le Président Félix Tshisekedi garde de lui le souvenir d’un homme très engagé pour l’intérêt général.
L'honorable Donatien Kabanga Kabadi a occupé plusieurs fonctions et œuvré dans plusieurs secteurs, entre autres, politique, économique et sportif. De nombreuses personnalités publiques, députés et sénateurs ont effectué le déplacement du Palais du peuple pour honorer cet homme dont le parcours élogieux a été vivement salué. Les témoignages autour de la mémoire de Donatien Kabanga révèlent la nature d’un homme plein d’humanité, d’amour et de compassion au service de son prochain. Donatien Kabanga Kabadi a été inhumé au cimetière de Nécropole "Entre Terre et Ciel", laissant derrière lui, une veuve, des enfants et plusieurs petits enfants.
Arrivée ce vendredi 17 janvier dans la soirée par l'aéroport international de Ndjili, de la dépouille du regretté Me. Serge NDJIBU KIBAMBE, conseiller juridique et ancien directeur de cabinet adjoint de la CNDH, en provenance de l'Afrique du Sud où il a rendu l'âme.
Le Corps du défunt sera réceptionné par le Président de la CNDH Paul NSAPU MUKULU, en compagnie de quelques membres de famille.
Un programme officiel des obsèques sera publié en début de la semaine prochaine.
Victime d’un grave accident de circulation survenu le jeudi 16 janvier 2025, Léon Tshimanga Bukasa, Bourgmestre de la commune de Nganza à Kananga, dans la province du Kasaï Central, a perdu la vie. Un accident qui a coûté la vie à trois personnes, dont le chef de l’exécutif communal de Nganza.
Cet incident s’est produit aux environs de 15 heures 30 sur l’avenue menant à l’aéroport de Lungandu, à hauteur de l’arrêt Bikuku. Selon les témoins sur place, le Bourgmestre Léon Tshimanga Bukasa se rendait de la ville vers Kananga 2 sur une moto.
Cependant, lorsqu’il a voulu traverser la route pour céder le passage à un bus Transco, un véhicule arrivant à grande vitesse a perdu le contrôle.
Le véhicule a violemment percuté la moto qui transportait les passagers. Les trois victimes dont le Bourgmestre, le motard, et la cliente ont tous perdu la vie sur place.
Les témoins présents ont rapidement alerté les autorités locales. Les dépouilles des victimes ont été transportées à la morgue pour les préparatifs des obsèques.
Le décès de Léon Tshimanga Bukasa laisse un vide dans la gestion de la commune de Nganza. Considéré comme un acteur clé dans le développement local, son départ brutal marque un tournant pour la communauté.
La nouvelle de la disparition tragique de Léon Tshimanga Bukasa a plongé la commune de Nganza et toute la ville de Kananga dans une profonde tristesse.
Cet accident remet en lumière les problèmes de sécurité routière à Kananga dont l’excès de vitesse et le non-respect des règles de circulation sont souvent cités comme les principales causes des drames de ce genre.
Les autorités provinciales et les associations de sécurité routière appellent à une plus grande vigilance pour éviter de nouvelles tragédies.
C'est ce lundi 6 janvier 2025, aux alentours de 9h30', heure locale, que la dépouille mortelle du Colonel Magistrat et avocat général de Forces Armées congolaises matricule 157852176727, Pierre Egide Bossale Ikilingay,a quitté l'hôpital du Cinquantenaire, sous les honneurs militaires. C'était en présence du Professeur Jacques Djoli, proche de la famille de l'illustre disparu, ainsi que d'autres personnalités de marque, qui ont pu assister avec douleur à cette levée du corps trop émouvante.
De l'hôpital du Cinquantenaire, le cortège transportant la dépouille mortelle du Colonel Magistrat Pierre Egide Bossale Ikilingay s'est dirigé vers la Haute Cour militaire, où une audience publique a eu lieu, en hommage à l’illustre disparu, dans l'optique de le délier du serment de magistrat. Une manière pour la Haute Cour réunie en audience publique de prendre acte du décès du colonel Pierre Egide Bossale Ikilingay, survenu le 18 décembre 2024 à Kinshasa.
Biographie de Feu Pierre Egide Bossale Ikilingay
Pour ceux qui ne le connaissent pas, Pierre Egide Bossale Ikilingay est né le 5 février 1957, à Basankusu, dans la province de l'Equateur. Il laisse une veuve au nom de Mme Krubwa La Pomme Bernadette et neuf orphelins.
Pierre Egide Bossale Ikilingay a connu un parcours on ne peut plus élogieux.
Tenez : en 1985, il décroche son diplôme de Licence en droit, puis formé au centre aéroporté ‘’CETA’’.
En 1986, il devient substitut de l'auditeur de garnisons.
De 1994 à 2003, il devient le premier substitut.
De 2003 à 2011, il est élevé président du Tribunal de garnison, avant d'être nommé conseiller à la Cour militaire, en 2011.
En 2012, il devient Inspecteur Général adjoint au service pénitentiaire.
En 2013, il est nommé président à la Cour militaire, avant de devenir Auditeur général, en 2016.
De 2018 jusqu’à sa mort, Pierre Egide Bossale Ikilingay était avocat général des Forces Armées.
En dehors de sa qualité de magistrat, Feu Pierre Egide Bossale Ikilingay a occupé plusieurs fonctions à la Présidence de la République, ainsi qu'aux différents cabinets ministériels, pour ne citer que ceux-là. S'agissant de sa carrière militaire, en 1987, Pierre Egide Bossale Ikilingay a servi sous le drapeau au grade de Capitaine, avant d'être élevé au grade de Major en 1994.
En 1996, il est galonné Lieutenant-colonel.
De 2004 à nos jours, il porte les galons de Colonel.
Doctorant en Droit, écrivain laissant derrière lui plusieurs ouvrages et d'autres en chantier, notamment ‘’La gouvernance sécuritaire en RDC’’, en collaboration avec le professeur Jacques Djoli Eseng’Ekeli.
Juste après, les enfants, membres de famille, collègues de service, amis et connaissances ont fait des témoignages émouvants en mémoire de l'illustre disparu. S'en est alors suivi l'oraison funèbre, avec le professeur Sam Bokolombe Batuli.
Jacques Djoli pleure Pierre Egide Bossale, son frère de cœur, de sang, d'armes et de pensée
L'occasion a été pour le professeur Jacques Djoli de rendre des hommages vibrants à Pierre Egide Bossale Ikilingay. Il s’est recueilli devant la dépouille mortelle de l'illustre disparu, en déposant sa gerbe de fleurs.
Car, pour le professeur Jacques Djoli Eseng’Ekeli, Feu Pierre Egide Bossale Ikilingay est et restera à jamais son frère de cœur, son frère de sang, son frère d'armes et son frère de pensée. Et il n'y a pas de mot pour qualifier la perte d'un frère. Il n'existe pas, dans la langue française un terme pour exprimer la douleur et la profondeur de cette perte causée dans la vie de Jacques Djoli par la disparition de son frère d'armes Pierre Egide Bossale Ikilingay. Toutefois, à en croire le professeur Jacques Djoli Eseng’Ekeli, ce mot existe en langue bantoue et se prononce ‘’Pasi’’, pour exprimer la difficulté de trouver les mots pour rendre pleinement justice à la douleur.
Jacques Djoli pleure Pierre Egide Bossale, qui était pour lui celui avec lequel il a partagé la vie. La parenté d'Egide et de Jacques s'est construite sur le socle de l'anthropologie. Car, leur parenté est bien plus qu'une simple relation de filiation biologique. Elle est le produit d'un ensemble d'obligations réciproques, un partage de vie. Un partage qui ne s'est pas limité seulement à leur cohabitation estudiantine, mais a englobé, tout au long de leur vie, des expériences communes, des responsabilités et un soutien mutuel. Voilà pourquoi, Jacques Djoli rend hommage à son frère Pierre Egide Bossale.
Pierre Egide Bossale Ikilingay à jamais dans le repos éternel
Après avoir reçu honneurs militaires et derniers hommages, le corbillard transportant le corps sans vie de Pierre Egide Bossale Ikilingay a pris la direction du cimetière de la Nécropole pour l'inhumation. Le professeur Jacques Djoli a accompagné Pierre Egide Bossale Ikilingay jusqu'à sa dernière demeure, sous une grande émotion. C'est en présence des siens que Pierre Egide Bossale Ikilingay a été porté en terre. Que l'âme de l'illustre disparu repose en paix !
Mais, bien avant l'enterrement, une veillée mortuaire a été organisée à la place AVE MARIA, dans la commune de Kasa-Vubu, où plusieurs personnalités civiles et militaires de marque ont pris part à cette cérémonie mortuaire, une manière de témoigner leur amour et attachement à l'illustre disparu. Sur place, des hommages dignes du rang de l'illustre disparu lui ont été rendus.
Une matinée empreinte d’une si triste nouvelle tant pour la famille biologique, les amis et connaissances que pour la Corporation journalistique locale et nationale après l’annonce de l’assassinat tragique de Patrick Adonis Banze, Journaliste et ancien responsable de la télévision Kyondo, par machettes par des bandits non autrement identifiés. A cet effet, le président national de l’Union Nationale de la Presse du Congo, organe régulateur des professionnels des médias, Kamanda wa Kamanda-Muzembe condamne fermement ce meurtre tout en invitant les autorités et les services de sécurité à y faire toute la lumière pour retrouver et réprimer les auteurs conformément à la loi.
Le Président Félix Tshisekedi a rendu un dernier hommage à M. Lucien Bonyeme EKofo, ancien Directeur général de la Direction générale des recettes administratives, judiciaires, domaniales et de participations (DGRAD), décédé le 05 décembre dernier en Inde, à l'âge de 62 ans. C’était au cours d’une cérémonie funéraire organisée ce mercredi à l'hôpital du Cinquantenaire, le Président Félix Tshisekedi
À son arrivée, le Chef de l’État a déposé une couronne de fleurs devant la dépouille mortelle du défunt, en observant un moment de recueillement, avant de réconforter les proches et membres de famille de M. Bonyeme Ekofo. Dans l’assistance, plusieurs personnalités publiques ont salué la mémoire d’un homme compétent et d’un indéfectible serviteur du peuple. Lucien Bonyeme Ekofo a été inhumé ce mercredi, à la nécropole Entre terre et ciel, à l’Est de #Kinshasa.
L’illustre disparu était également Spécialiste du secteur des assurances, avec une riche carrière de plus de 30 ans à la Société nationale d’assurances (SONAS) qu’il a dirigée entre 2019 et 2022.
Ancien Journaliste à Digital Congo et Responsable de la Communication en fonction au Fonds de Promotion de l’Industrie (FPI), Elvis Ngwala a tiré sa révérence, dans la matinée d’hier mercredi 18 décembre 2024.
Au nom du Journal La Prospérité, nous présentons nos sincères condoléances à la famille biologique, aujourd’hui, endeuillée. Que l’âme du défunt repose en paix !
L’Inspection Générale des Finances (IGF) a rendu public, dans un communiqué publié ce jeudi 28 novembre 2024, le programme des obsèques de l’Inspecteur général des Finances chef de service adjoint Victor Batubenga Pandamadi, décédé le samedi 23 novembre 2024 à la clinique Saint-Michel, à Bruxelles, suite à une longue maladie.
La veillée mortuaire est prévue le mardi 3 décembre dans la salle Via Nova, sur l’avenue de la Science n°4630, au croisement des avenues de la Science et Prince de Liège à Kinshasa/Gombe. La levée du corps s’effectuera à l’hôpital du Cinquantenaire de Kinshasa le 4 décembre à 9h00. S’ensuivra un recueillement sur l’esplanade du Palais du Peuple.
Les agents et cadres de l’IGF vont lui rendre des hommages professionnels à 12h dans l’enceinte du siège de cette institution de contrôle financier et l’inhumation aura lieu au cimetière Mbenseke Futi Nouvelle Cité II à 14h. Pour le moment, le deuil se tient dans la résidence familiale sur l’avenue Bandoma n°8, quartier GB dans la commune de Ngaliema.
Ange mortelle, au midi de notre temps tu es apparue, Par la volonté d'Elohim qui t'a déclarée non coupable après que tu as comparu, Pour apporter lumière, joie et paix aux familles ayant concouru. Tu as suivi et perfectionné précepte sur précepte l'éducation de tes parents, T'intégrant aisément dans toutes les générations sans penser à ton rang, Pour que ta progéniture acquiert du caractère face aux belligérants. Et même lorsque, dans ton parcours, il y avait de quoi être perturbée, Tu nous as démontré, par ton exemple qu'il était possible de demeurer positive et équilibrée, Car c'est au moment où le désespoir s'installait farouchement dans nos cœurs enténébrés, Que plusieurs fois Dieu t'a puissamment utilisée pour nous libérer. Tu as instamment coupé ton sommeil et avalé les stress pour secourir les faibles, Oubliant toujours ton propre handicap et tes épreuves redoutables, Car ta complicité avec Dieu en étant au service de tes semblables, Constituait le fil conducteur de tes bénédictions irréfragables. Walelu Bilolo Marie Jeanne, Dieu t'a promis, à cause de ta fidélité, de trouver la joie dans tes enfants, Et pour cela tu as consacré tout ton temps à les corriger et à les protéger contre le déferlement étouffant, Les ayant initiés à une vie d'intimité avec Dieu, de sorte qu'à ton absence, ils gardent la tête haute et demeurent triomphants. Mère, tu ne m'as donné que ton encre, tu m'as donné aussi ta plume, Je les ai utilisées fidèlement, mère, pour prêcher et corriger l'humanité à se débarrasser de ses écumes, Je les utilise aujourd'hui, mère, en pleurant ta disparition, à titre posthume ! Plaise à Dieu de te garder intact pour nous, De sorte que, dans les bras du patriarche Abraham, tu sois notre nounou, Car tous ceux qui aspirent à tes vertus ont choisi d'implorer le Ciel à genoux. *"Mère, tu es irremplaçable"* Ton aimable fils Jean Bosco BADIBANGA Kinshasa, le 28 Sept. 2024
*Il a traversé de l’autre côté, depuis les premières de ce lundi 23 septembre 2024 aux Cliniques Universitaires de Kinshasa où il aurait, de manière impromptue, tiré la révérence, selon des sources familiales.
Popol Mpofo Lumpungu, à fleur d’âge, quitte ainsi la terre de ses ancêtres au moment où les siens avaient encore besoin de lui. Né à Kabinda, dans la Province de Lomami, Fils aîné d’une famille nombreuse, il laisse, derrière lui, une progéniture constituée de plusieurs enfants.
Que Dieu des Armées fasse luire sa face envers lui et qu’il accorde un repos éternel à son âme dans ses parvis !
C’est avec une immense tristesse que nous annonçons le décès de Lucien Kahozi, éminent correspondant pour l’AFP, la BBC et la VOA à Lubumbashi. Ce 31 août 2024, aux premières heures de la journée, Lucien Kahozi a été victime d’une crise cardiaque, selon les informations rapportées par Une.cd et relayées par New-messager-de-la-paix.net.
Une perte inestimable pour le Journalisme
Lucien Kahozi n’était pas seulement un journaliste ; il était un pilier du journalisme en République Démocratique du Congo.
Sa rigueur, son intégrité et sa passion pour l’information ont fait de lui une figure respectée dans le milieu.
Ses reportages, souvent courageux et précis, ont éclairé le public sur de nombreuses questions cruciales.
Condoléances à la famille et à la corporation
La rédaction de New-messager-de-la-paix.net tient à exprimer ses sincères condoléances à la famille biologique de Lucien Kahozi ainsi qu’à l’ensemble de la communauté journalistique.
Sa disparition laisse un vide immense, non seulement pour ses proches mais aussi pour tous ceux qui ont eu l’honneur de travailler à ses côtés.
Un hommage à la mémoire d’un grand homme
En ce moment de deuil, nous rendons hommage à un homme dont le travail et le dévouement resteront gravés dans nos mémoires.
Que son âme repose en paix et que son héritage inspire les générations futures de journalistes.