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Elections législatives et provinciales à Masi-Manimba, RDC : la CENI appelle la population à une participation massive 

La Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) intensifie ses efforts de sensibilisation en vue des élections législatives et provinciales, prévues pour le 15 décembre 2024. Jean-Baptiste Itipo, Directeur de la Communication de la CENI, accompagné de Georgine Vandame Ikwampofia, Secrétaire Exécutif Provincial (SEP) du Kwilu, a pris l’initiative de rencontrer la population lors d’un marché animé à Mosango, situé à environ quarante kilomètres de Masi-Manimba.

Lors de cette rencontre, la délégation a eu l’opportunité de dialoguer avec les commerçants et les clients présents, notamment ceux venus de Kinshasa, Kikwit, Lufu et des environs. L’engouement palpable au marché a été un cadre idéal pour rappeler l’importance de la participation citoyenne dans le processus électoral.

Reprogrammation des scrutins

La Centrale électorale a rappelé que la reprise des élections a été reprogrammée suite à des fraudes et violences ayant entaché les précédents scrutins dans les circonscriptions de Masi-Manimba et Yakoma. Ce nouveau scrutin permettra aux citoyens de ces zones de choisir leurs députés nationaux et provinciaux, un droit fondamental pour renforcer la démocratie.

Par ailleurs, Jean-Baptiste Itipo a souligné la nécessité pour chaque électeur de posséder une carte d’électeur valide. Il a encouragé ceux qui avaient égaré leur document à se rendre à l’antenne de la CENI ou dans leur secteur d’enrôlement pour obtenir un duplicata. De plus, il a exhorté la population à vérifier les listes électorales affichées dans les différents centres de vote afin de s’assurer que leur nom y figure.

Enfin, la CENI a annoncé le recrutement de techniciens informatiques pour les centres de vote (TICV), visant à intégrer des jeunes maîtrisant les outils numériques. La clôture de réception des candidatures est fixée au 6 novembre, une occasion à ne pas manquer pour les jeunes intéressés par cette initiative.

La sensibilisation menée par la CENI à Masi-Manimba marque une étape cruciale dans le processus électoral, en mobilisant la population autour de ses droits civiques et en préparant le terrain pour des élections transparentes et inclusives.

La Pros.

Elections législatives et provinciales à Masi-Manimba, RDC : la CENI appelle la population à une participation massive 

Seth Kikuni : ouverture du procès aujourd’hui au CPRK !


Plus d’un mois depuis que Seth Kikuni, opposant congolais et le plus jeune candidat à l’élection présidentielle de 2018 est en détention. Il a été arrêté le 2 septembre 2024 par des agents de l’Agence Nationale de Renseignements (ANR) suite à des accusations portées contre lui notamment, la propagation de faux bruits et l’incitation à la désobéissance civile. Après 12 jours de détention, sa femme, désespérée, va lancer un cri de détresse dans une interview qu’elle a accordée à ACTUALITE.CD, où elle a exprimé sa vive inquiétude quant à la disparition de son mari. Malgré ce cri de détresse, aucune solution n’a été trouvée.
Victime d’un malaise, a signalé son porte-parole depuis le Centre Pénitentiaire et de Rééducation de Kinshasa (CPRK) où il a été détenu provisoirement avant l’ouverture de son procès prévu aujourd’hui mercredi 23 octobre 2024 au CPRK sauf report compte tenu de son état de santé actuel.
Il sied de rappeler que ce dernier a subi une intervention chirurgicale quelques jours avant son arrestation par des Agents de l’ANR.
Cet opposant avait déposé en 2023, une requête devant la Cour constitutionnelle pour invalider la candidature du Président sortant, Félix Antoine Tshisekedi. Sa requête a été déclarée irrecevable. Kikuni est alors allé s’engager à soutenir la candidature de Moïse Katumbi Chapwe.
Cette audience est attendue chaleureusement par la population congolaise en vue d’être éclairée sur un certain nombre des choses lui échappant et surtout que son arrestation avait suscité d’autres spéculations plus sensibles en dépit de la raison évoquée tantôt, des spéculations visant la personne du Chef de l’Etat.
Comme dit plus haut, l’audience sur son procès demeure fixée aujourd’hui mercredi 23 octobre 2024.
Beni Butu

Seth Kikuni : ouverture du procès aujourd’hui au CPRK !

Election du nouveau Président du Sénat en RDC : Mise au point de la population de l’espace linguistique lingala phone représentée par les Notabilités & Société Civile-Forces Vives de la Nation du Grand Equateur ainsi que de l’ONG CIEGS RDC Afrique

(Par James Andersson Nzale)


A travers son ticket et sa décision prise par l’Union sacrée de la Nation autrefois de ne pas confier le poste du Président du Sénat de la République Démocratique du Congo à la zone ou à l’espace linguistique lingala phone représenté par le Grand Equateur durant le deuxième mandat le deuxième mandat (de 2023 à 2028) du Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo, Son Excellence Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo en occurrence la présidence du Sénat ouvertement et clairement réclamée par tous contribuera-t-elle vraiment et effectivement à renforcer la confiance mutuelle, la cohésion nationale, la paix sociale, à la sécurité, à la stabilité et à l’unité nationale en République Démocratique du Congo d’autant plus que le Grand Equateur estimée à dix plus ou moins dix pourcent (10%) de la population totale de la RDC qui du reste est estimée actuellement à environ 8 millions 500 mille habitants sur les 99 millions d’habitants de la République Démocratique du Congo selon les données et les recherches menées sur Google et qui avait massivement voté et élu à quatre-vingt-treize (93%) le Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo, Son Excellence Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo lors des dernières élections présidentielles du 20 décembre 2023 en République Démocratique du Congo face à ses 26 adversaires politiques s’estime être victime ou encore s’estime être injustement discriminée et écartée, négligée, omise, bannie dans la gestion égalitaire, équitable et équilibré et dans la gestion, dans l’administration et dans la direction de l’une des Institutions politiques les plus en vue en République Démocratique du Congo durant le premier mandat (de 2019 à 2023) et le deuxième mandat (de 2023 à 2028) du Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo, Son Excellence Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo en occurrence la présidence du Sénat ouvertement et clairement réclamée par tous, garantira et contribuera-t-elle avec le temps et à la longue de créer un climat de confiance, de concorde, d’harmonie, de paix, de concorde, de sécurité, de stabilité politique, économique et sociale gages de développement rapide, durable, efficace, harmonieux et intégral de la République Démocratique du Congo et du mieux-être social du peuple congolais ou au contraire créera et installera t- elle et à coup sûr un climat de méfiance totale, de ressentiment et de frustration de la part de la population de la zone ou de l’espace linguistique lingala phone représentée par le Grand Equateur en République Démocratique du Congo et cela malgré le score électoral impressionnant obtenu durant les élections présidentielles du 20 Décembre 2024 de faire réélire pour un deuxième mandat politique à la tête de la RDC le Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo, Son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO avec quatre-vingt-treize pourcent (93%) des suffrages valablement exprimés ?
La population zone ou l’espace linguistique lingala phone représentée par le Grand Equateur en République Démocratique du Congo, les notabilités du Grand Equateur, la Société Civile – Forces vives de la Nation Congolaise du Grand Equateur ainsi que le CIEGS RDC Afrique continuent encore une fois de plus de s’interroger et d’attirer l’attention du peuple congolais sans exception et exclusion vivant en République Démocratique du Congo ou à l’étranger sans exception et exclusion : grand et petit, homme et femme, jeune et vieux, libre et opprimé, riche et pauvre que si jamais pareille chose se reproduisait encore un jour en République Démocratique du Congo ne pourrait-elle ou pas d’une façon ou d’une autre avoir des très graves conséquences à la longue en rapport avec la consolidation de l’unité nationale, la concorde nationale, de la paix, de la sécurité, de la stabilité, du développement rapide, efficace, harmonieux, durable et intégral de la République Démocratique du Congo et du mieux-être social du peuple congolais ?
La zone ou l’espace linguistique lingala phone représentée par le Grand Equateur en République Démocratique du Congo avait-il le plein droit et les moyens politiques, matériels, humains ainsi que les capacités de diriger l’une des Institutions politiques les plus en vue de la République Démocratique du Congo durant le premier mandat (de 2019 à 2023) et le deuxième mandat (de 2023 à 2028) du Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo, Son Excellence Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo  en occurrence la présidence du Sénat ouvertement et clairement réclamée par tous quand bien même il ne l’a pas du tout obtenue et cela malgré le score électoral impressionnant obtenu durant les élections présidentielles du 20 Décembre 2024 de faire réélire pour un deuxième mandat politique à la tête de la RDC le Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo, Son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO avec quatre-vingt-treize pourcent (93%) des suffrages valablement exprimés ?
La population zone ou l’espace linguistique lingala phone représentée par le Grand Equateur en République Démocratique du Congo, les notabilités du Grand Equateur, la Société Civile – Forces vives de la Nation Congolaise du Grand Equateur ainsi que le CIEGS RDC Afrique continuent toujours de s’interroger et d’attirer l’attention du peuple congolais sans exception et exclusion vivant en République Démocratique du Congo ou à l’étranger sans exception et exclusion : grand et petit, homme et femme, jeune et vieux, libre et opprimé, riche et pauvre que si jamais pareille chose se reproduisait encore un jour en République Démocratique du Congo ne pourrait-elle ou pas d’une façon ou d’une autre avoir des très graves conséquences à la longue en rapport avec la consolidation de la paix sociale, de la concorde nationale, de l’unité nationale, de la sécurité, de la stabilité, du développement rapide, efficace, harmonieux, durable et intégral de la République Démocratique du Congo et du mieux-être social du peuple congolais ?
La population de la zone ou l’espace linguistique lingala phone représentée par le Grand Equateur en République Démocratique du Congo serait-elle victime et définitivement, totalement et catégoriquement banni, écarté, omis, négligé et discriminé dans la gestion, dans l’administration et dans la direction de l’une des Institutions politiques les plus en vue de la République Démocratique du Congo durant le premier mandat (de 2019 à 2023) et le deuxième mandat (de 2023 à 2028) du Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo, Son Excellence Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo en occurrence la présidence du Sénat ouvertement et clairement réclamée par tous et cela malgré le score électoral impressionnant obtenu durant les élections présidentielles du 20 Décembre 2024 de faire réélire pour un deuxième mandat politique à la tête de la RDC le Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo et cela malgré le score électoral impressionnant obtenu durant les élections présidentielles du 20 Décembre 2024 de faire réélire haut les mains face à ses 26 adversaires politiques pour un deuxième mandat politique à la tête de la RDC le Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo, Son Excellence Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo avec quatre-vingt-treize pourcent (93%) des suffrages valablement exprimés ?
La population zone ou l’espace linguistique lingala phone représentée par le Grand Equateur en République Démocratique du Congo, les notabilités du Grand Equateur, la Société Civile – Forces vives de la Nation Congolaise du Grand Equateur ainsi que le CIEGS RDC AFRIQUE enfin s’interrogent et attirent l’attention du peuple congolais sans exception et exclusion vivant en République Démocratique du Congo ou à l’étranger sans exception et exclusion : grand et petit, homme et femme, jeune et vieux, libre et opprimé, riche et pauvre que si jamais pareille chose se reproduisait encore un jour en République Démocratique du Congo ne pourrait-elle ou pas d’une façon ou d’une autre avoir des très graves conséquences à la longue en rapport avec la consolidation de l’unité nationale, de la paix, de la sécurité, de la stabilité, du développement rapide, efficace, harmonieux, durable et intégral de la République Démocratique du Congo et du mieux-être social du peuple congolais ?
C’est pourquoi pour clôturer et conclure définitivement ce débat, cette réflexion et cette tribune, la population de la zone ou l’espace linguistique lingala phone représentée par le Grand Equateur en République Démocratique du Congo, les notabilités du Grand Equateur, la Société Civile – Forces vives de la Nation Congolaise du Grand Equateur ainsi que le CIEGS RDC Afrique prient, demandent, exhortent et recommandent au Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo, Son Excellence Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo et à Madame Judith Suminwa Tuluka, Cheffe du Gouvernement et Première Ministre d’être très vigilants et de veiller à ce que pareille chose, pareille injustice, pareille discrimination ne se reproduisent plus jamais en République Démocratique du Congo vis-à-vis de population de la zone ou de l’espace linguistique lingala phone représenté par le Grand Equateur et de faire respecter scrupuleusement et complètement les articles 1er alinéa 8 et 13 de la Constitution de la République Démocratique du Congo pour que pareil bannissement, omission et rejet total vis - à - vis de la population de la zone ou de l’espace linguistique lingala phone représenté par le Grand Equateur dans le partage égalitaire, équitable et équilibré et dans la gestion, dans l’administration et dans la direction de l’une des Institutions politiques les plus en vue en RDC durant le deuxième mandat (de 2023 à 2028) du Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo, Son Excellence Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo comme ce fut le cas en occurrence la présidence du Sénat ouvertement et clairement réclamée par tous ne se répète plus et ne se produise plus jamais en République Démocratique du Congo et aussi de veiller à ce que soit respecté le principe du partage égalitaire, équitable et équilibré dans la gestion, l’administration et la direction et dans la nomination future et nouveaux Ministres au sein du Gouvernement de la République Démocratique du Congo de Madame Judith Suminwa Tuluka, au sein de toutes les Institutions politiques, dans l’Administration publique, dans la petite Territoriale, dans la nomination des futures et nouveaux Secrétaires Généraux par le Gouvernement de Madame Judith Suminwa Tuluka, dans la nomination des futures et nouveaux Mandataires publics actifs (Membres des Comités de Gestion) qui seront tous recrutés et nommés après concours dans le cadre du deuxième mandat (de 2023 à 2028) du Chef de l’Etat et Président de la République et dans la nomination des futures et nouveaux Mandataires publics non actifs (Membres des Conseils d’Administration) des Entreprises publiques du Portefeuille de l’Etat Congolais qui seront tous recrutés et nommés après concours dans le cadre du deuxième mandat (de 2023 à 2028) du Chef de l’Etat et Président de la République, dans la nomination des futures et nouveaux animateurs des Etablissements publics de l’Etat Congolais, dans la nomination des futures et nouveaux animateurs des Services publics et dans la nomination des futures et nouveaux dirigeants des Agences Gouvernementales de l’Etat Congolais qui seront tous recrutés et nommés après concours dans le cadre du deuxième mandat (de 2023 à 2028) du Chef de l’Etat et Président de la République après évaluation, sélection et concours qui sera organisé par le Gouvernement de Madame Judith Suminwa Tuluka, dans la nomination des futures et nouveaux cadres de l’Administration publique, dans la nomination des futures et nouveaux animateurs de la Diplomatie Congolaise, brefs dans la nomination des futures et nouveaux dirigeants de toutes les Institutions politiques et administratives de la République Démocratique du Congo, de veiller à ce que la zone et l’espace linguistique lingala phone représentée par le Grand Equateur ne soit pas discriminé, omis, écarté, banni, marginalisé et cela dans le cadre du partage égalitaire, équitable et équilibré et dans la gestion, l’administration et la direction de toutes ces Institutions et structures politiques, administratives et entités, Entreprises publiques, Services publics, Etablissements publics et Agences Gouvernementales de l’Etat Congolais en République Démocratique du Congo.
En conclusion, en Israël sous la conduite de Moise (Nombres 13 : 1-33) et plus tard sous la conduite de Josué fils de Nun (Josué 4 : 1-24) après avoir combattu et vaincu beaucoup des ennemis et conquis des nations cananéennes qui se sont érigées et levées devant eux, l’Eternel avait clairement ordonné à Moise et ensuite à Josué de procéder au partage égalitaire, équitable et équilibré du butin de guerre de tous les territoires conquis entre les douze (12) tribus des enfants d’Israël et ce qui fut exactement fait et cela pour des raisons de la paix, de la concorde, de l’unité nationale, de l’harmonie entre toutes les douze (12) tribus des enfants d’Israël existantes, ce qui avait permis à chacune de douze (12) tribus des enfants d’Israël de gérer, d’administrer et de diriger son entité et sa portion du territoire acquis après le partage du butin de guerre.
En parallélisme de forme, et par l’application stricte de cette disposition en République Démocratique du Congo, après avoir valablement aidé et soutenu le Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo, Son excellence Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a remporter haut les mains une très grande bataille électorale face à ses 26 adversaires politiques et à le faire relire pour un second mandat politique en République Démocratique du Congo avec quatre-vingt-treize pourcent (93%) des suffrages valablement exprimés, la population de la zone ou l’espace linguistique lingala phone représentée par le Grand Equateur ne pouvait– il pas s’attendre à une récompense de butin de cette grande bataille électorale en RDC et du partage égalitaire, équitable et équilibré et de la gestion, de l’administration et de la direction de l’une des Institutions politiques les plus en vue en République Démocratique du Congo durant le deuxième mandat (de 2023 à 2028) du Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo, Son Excellence Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo en occurrence la présidence du Sénat ouvertement et clairement réclamée par tous ?
La population de la zone ou l’espace linguistique lingala phone représenté par le Grand Equateur après avoir réussi à faire élire haut les mains le Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo, Son Excellence Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo avec un score impressionnant sans précédent et sans commentaire lors des élections présidentielles du 20 Décembre 2023 avec quatre-vingt-treize pourcent (93%) des suffrages valablement exprimés face à ses 26 adversaires politiques, pouvait t - elle être encore de plus cette fois ici durant le deuxième mandat politique (de 2023 à 2028) du Chef de l’Etat et Président de la République Démocratique du Congo, Son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO être victime de l’injustice, des mesures discriminatoires, du rejet total, de la méfiance total, de l’omission, du bannissement total dans le partage égalitaire, équitable et équilibré et dans la direction, dans l’administration et dans la gestion de l’une des Institutions politiques les plus en vue en République Démocratique du Congo comme ce fut le cas durant le premier mandat politique (de 2019 à 2023) du Chef de l’Etat et Président de la République, Son Excellence Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo en occurrence la présidence du Sénat ouvertement et clairement réclamée par tous ?
Et n’est-ce pas une violation flagrante des article 1er alinéa 8 et 13 de la Constitution de la République Démocratique du Congo, du bannissement total et de la méfiance totale, de l’omission et du rejet total et pure et simple dans le partage égalitaire, équitable et équilibré et dans la direction, dans l’administration et dans la gestion de l’une des Institutions politiques les plus en vue en République Démocratique du Congo de la population de la zone ou l’espace linguistique lingala phone représentée par le Grand Equateur en République Démocratique du Congo comme ce fut le cas durant le premier mandat politique (de 2019 à 2023) du Chef de l’Etat et Président de la République, Son Excellence Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo en occurrence la présidence du Sénat ouvertement et clairement réclamée par tous et cela avec la possibilité de siéger à la réunion interinstitutionnelle où se décident et se prennent parfois les grandes orientations et les grandes décisions politiques de la République Démocratique du Congo ? A chacun sa réponse et à chacun de se faire sa libre opinion conformément aux articles 22 et 23 de la Constitution de la République Démocratique du Congo ?
A titre de rappel, durant le premier mandat (de 2019 à 2023) du Président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, sur les quatre (4) Institutions politiques les plus en vue en République Démocratique du Congo, le Poste du Président de la République a été occupé et dirigé par Son Excellence Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, Président de la République issue des élections présidentielles du 31 Décembre 2018, appartenant à la zone ou l’espace linguistique Tshiluba, le Poste du Président de l’Assemblée Nationale était occupé et dirigé par l’Honorable Christophe Mboso N’kodia, appartenant à la zone ou l’espace linguistique Kikongo, le Poste du Président du Sénat était occupé et dirigé par l’Honorable Modeste Bahati Lukwebo, appartenant à la zone ou l’espace linguistique Swahili et enfin le Poste du Premier Ministre, Chef du Gouvernement était occupé et dirigé par Son Excellence Jean Michel Sama Lukonde, appartenant encore une fois de plus et de trop à la zone ou l’espace linguistique Swahili, tans disque la zone linguistique ou l’espace linguistique Lingala phone avait été complètement discriminé, oublié, omis, négligé, écarté et banni du partage de responsabilité dans la gestion et la direction de l’une des quatre Institutions politiques les plus en vue en RDC, ce qui parait être une véritable discrimination et injustice, inacceptable, inconcevable, intolérable, inadmissible aux yeux de la population de la zone ou espace Lingala phone représentée par le Grand Equateur.
Actuellement, dans le cadre du deuxième mandat (de 2023 à 2028) du Président de la République Démocratique du Congo, au regard ou tenant compte de la géopolitique, de la nouvelle configuration politique et du partage des responsabilités au sein des quatre Institutions politiques les plus en vue en République Démocratique du Congo, le Poste du Président de la République est encore occupé et dirigé par Son Excellence Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, Président de la République issue des élections présidentielles du 20 Décembre 2023, appartenant à la zone ou l’espace linguistique Tshiluba, le Poste du Président de l’Assemblée Nationale est occupé et dirigé par l’Honorable Vital Kamerhe, appartenant à la zone ou l’espace linguistique Swahili, le Poste de la Première Ministre, Chef du Gouvernement est aussi occupé et dirigé par Son Excellence Judith Suminwa Tuluka, appartenant à la zone ou l’espace linguistique Kikongo, tans disque la Présidence du Sénat de la République Démocratique du Congo est dirigée par l’Honorable Jean Michel Sama Lukonde qui appartient encore à la zone ou espace linguistique Swahili.
James Andersson NZALE LONGBANGO MONGA TSHAMBU
ISRAEL VAINQUEUR DES NATIONS
Président – Fondateur et Président Exécutif International
du CIEGS RDC AFRIQUE ET ASBL
Le Grand Défenseur des Droits de l’Homme
Le Char du Feu, le Char d’Israël et sa Cavalerie
Le Vaillant Héros et Grand Lion.
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Election du nouveau Président du Sénat en RDC : Mise au point de la population de l’espace linguistique lingala phone représentée par les Notabilités & Société Civile-Forces Vives de la Nation du Grand Equateur ainsi que de l’ONG CIEGS RDC Afrique

Samedi dernier : L'UDS a manifesté sa solidarité à la Palestine et au Liban

A l'appel de l'Internationale Antifasciste, plus de 200 villes à travers le monde se sont mobilisées, samedi le 12 octobre 2024, en faveur de la paix en Palestine et au Liban et contre le terrorisme, le fascisme, le sionisme et le génocide d'Israël. Depuis la République Bolivarienne du Venezuela qui a pris la tête de cette grandiose opération, elle a fait sienne la cause palestinienne et a appelé à la création d'un front de lutte mondial contre le sionisme.
En République Démocratique du Congo, plus précisément à Kinshasa, l'Union des Démocrates Socialistes, UDS, a participé à cette manifestation en témoignant de sa solidarité à la Palestine et au Liban à travers un message de soutien. Portant la signature du Troisième Vice-Président National chargé des Relations Internationales et de la Coopération, Maître Bertho Mulumba Ngandu, ce message était ainsi libellé :
« A l’initiative de l’Internationale Antifasciste, l’Union des Démocrates Socialistes, UDS, s’associe à toutes les forces politiques et sociales antifascistes mondiales pour manifester sa solidarité à la Palestine et au Liban, victimes du génocide et de la barbarie du sioniste Israël soutenu aveuglement par les Etats-Unis d’Amérique. L’UDS condamne le silence coupable de l’ONU dont les Casques Bleus viennent d’être attaqués au Liban au mépris de la Charte des Nations-Unies. L’UDS exige un cessez-le-feu immédiat pour sauver la vie des paisibles Palestiniens et Libanais.
Halte au génocide à Gaza !
Halte aux massacres au Liban !
Netanyahu doit être condamné par la CPI !
Et Joe Biden doit comparaître à la CPI.
Fait à Kinshasa le 12 Août 2024.
Le Vice-Président National
Chargé des relations internationales,
Me Bertho MULUMBA NGANDU ».
Ce message a été publiquement lu à la Place Commerciale de Limete à Kinshasa, à l'issue de la réunion du Comité Directeur de l'UDS.
Jean Kabeya Mudiela Ndungu/CP

Samedi dernier : L'UDS a manifesté sa solidarité à la Palestine et au Liban

Plénière de l’Assemblée nationale : Retour sur les acrobaties de Vital Kamerhe et Jacques Djoli pour dégager le consensus autour de la constitution des 10 commissions permanentes


La séance plénière de ce samedi 5 octobre 2024 à la Chambre Basse du parlement était hautement politique. Conformément au Règlement intérieur, les 21 groupes parlementaires sont désormais connus. Le consensus sur la présidence des 10 commissions permanentes de même que la répartition des postes au sein de leurs bureaux respectifs est le fruit d’âpres négociations politiques et surtout de l’habileté ou l’ingéniosité du Speaker de l’Assemblée nationale, Vital Kamerhe, et du Rapporteur Jacques Djoli qui n’ont ménagé aucun effort lors de multiples réunions marathon.
« Mwalimu » Kamerhe a commencé par rendre hommage aux nombreuses des drames qu’a connu récemment la République démocratique du Congo de même qu’à l’icône planétaire Mutombo Dikembe, ce grand Congolais qui a fait des merveilles à la NBA et qui a toujours posé des actes humanitaires. Le Président de l’Assemblée nationale est revenu sur le naufrage d’une embarcation de fortune sur le lac Maï Ndombe pendant les vacances parlementaires (plus de 200 morts), sur l’accident d’un camion remorque qui a emporté des vies humaines sur la route nationale n°1 dans le Kongo Central, sur le bateau qui a sombré dans le lac Kivu. Le gouvernement aussi bien provincial que central a été sommé de donner le vrai bilan de ce drame. Une minute de silence a été observée en mémoire de tous ces morts.
Abordant le premier point inscrit à l’ordre du jour, la présentation des groupes parlementaires de cette législature, le « Pacificateur » a donné la parole au Rapporteur Jacques Djoli Eseng’Ekeli en vue de procéder à l’appel nominal des membres composant chacun des 21 groupes parlementaires et leur entérinement par la plénière. Il s’agit de AFDC-A, AA/UNC, AAB/CODE et Alliés, UDPS/Tshisekedi, Dynamique Agissons, 3 Alliances, Bonne gouvernance, Consolidons les acquis, Ensemble, MLC/A, Le peuple d’abord, Patriotes, 2 ATDC, Bâtissons le Congo, AB50–AVK 2018, AUN/AMC/PALU, AACPG/A, Congo uni, AACRD/PALU et Alliés, Alternative divine, Le peuple souverain. Les non-inscrits ont aussi été cités. Tous ont eu droit à des frénétiques applaudissements.
Péripéties de la constitution des commissions permanentes
Le second point à l’ordre du jour c’était « l’épineuse question des commissions permanentes », dixit Vital Kamerhe. Il a rappelé aux élus du peuple le contenu de l’article 47 du Règlement intérieur de cette institution parlementaire portant sur la constitution des commissions permanentes. Il est ainsi libellé : « Après la constitution des groupes parlementaires, le Bureau de l’Assemblée nationale fixe la date de la séance au cours de laquelle les commissions permanentes seront constituées. Au plus tard vingt-quatre heures avant cette séance, les groupes parlementaires transmettent au Bureau la liste de leurs délégués à toutes les commissions. Les non-inscrits s’inscrivent personnellement dans les commissions de leurs choix. Après réception de toutes les listes, le Bureau procède à la répartition des membres par Commission et établit les listes définitives qu’il soumet à l’approbation de l’Assemblée plénière en tenant compte du profil de chaque député et de la configuration politique de l’Assemblée nationale. »
Le Président Kamerhe a indiqué que chaque commission doit comporter au moins 40 membres et que l’opposition doit en piloter une. Les dix commissions permanentes se présentent comme suit (article 44 du Règlement intérieur) : Commission politique, administrative et juridique ; Commission économique, financière et de contrôle budgétaire ; Commission sociale et culturelle ; Commission relations extérieures ; Commission défense et sécurité ; Commission environnement, tourisme, ressources naturelles, développement durable ; Commission aménagement du territoire, infrastructures et nouvelles technologie de l’information et de la communication ; Commission égalité des chances, genre, famille et enfant ; Commission suivi et évaluation de l’exécution des lois, des résolutions, des recommandations et des politiques publiques ; Commission Droits de l’homme.
Il s’est tenu plusieurs réunions marathon avec tous les groupes parlementaires, d’une part, et avec l’UDPS et Mosaïques, d’autre part. « Ce n’était pas facile », a reconnu Kamerhe. L’un des critères fixés lors de ces âpres négociations c’est les forces politiques. « Le pays traverse des moments difficiles. Ce n’est donc pas le moment de nous diviser à cause des positionnements dans les commissions », a déclaré le Speaker de l’Assemblée nationale avant d’ajouter : « Le temps n’est pas notre meilleur allié ». Il a ensuite demandé au Rapporteur de retracer la méthodologie de travail en toute clarté. Le Professeur Jacques Djoli a précisé que trois groupes parlementaires n’ont pas déposé jusque-là les propositions de répartition de leurs membres dans les commissions permanentes. Il s’agit de l’UDPS/Tshisekedi, Le peuple d’abord et Consolidons les acquis.
Le Rapporteur de l’Assemblée nationale a rappelé que chaque groupe parlementaire devait envoyer tout au plus trois noms de chacune des commissions permanentes. Malheureusement, l’on dénote un nombre pléthorique particulièrement dans les commissions PAJ, Economico-financière et Aménagement du territoire. Alors que d’autres telles que les commissions Genre, famille, enfant, ou Droits de l’homme sont délaissés par les députés. Une réaffectation s’impose pour équilibrer la composition des 10 commissions permanentes. « Si les présidents des groupes parlementaires assument leurs responsabilités, nous pouvons avant la date du lundi 7 octobre avoir toutes les commissions », a-t-il martelé.
L’honorable Jacques Djoli a, ensuite, abordé la « question difficile » de répartitions des bureaux des commissions permanentes. « Sur vos instructions, j’ai élaboré avec le concours des services un draft de répartition des responsabilités dans les bureaux des commissions permanentes », a-t-il indiqué. Il s’est basé sur les 21 groupes parlementaires mais, faut-il le préciser, qui se structurent en familles politiques. A titre d’exemple, quand il faut recevoir le groupe UDPS, celui-ci se présente au nombre de 150 députés à raison de 75 pour l’UDPS et 75 pour les Mosaïques. Ce qui représente environ 30% pour une Assemblée de 500 membres. Pour les présidences desdites commissions, il fallait s’en tenir aux résultats politiques sortis des urnes.
Par conséquent, l’UDPS et Mosaïques ont, après plusieurs concessions, obtenu la présidence de quatre commissions en plus du comité de sages, l’opposition une présidence, et le reste de la majorité au pouvoir se partage les cinq autres. En plus du comité de sages, UDPS et Mosaïques prennent les présidences de la Commission politique, administrative et juridique ; Commission économique, financière et de contrôle budgétaire ; Commission défense et sécurité ; Commission genre, famille et enfant. AB va diriger la Commission sociale et culturelle (Dynamique Agissons). AFDC-A de Modeste Bahati prend les commandes de la Commission relations extérieures. Pour l’UNC chère à Vital Kamerhe, c’est la Commission environnement, tourisme, ressources naturelles, développement durable. Pour AAP/CODE, c’est la Commission suivi et évaluation de l’exécution des lois, des résolutions, des recommandations et des politiques publiques. Ensemble de Moïse Katumbi prend la présidence de la Commission Droits de l’homme et le MLC prend la présidence de la Commission aménagement du territoire, infrastructures et nouvelles technologie de l’information et de la communication.
Concernant les postes au sein des bureaux respectifs des commissions permanentes, l’UDPS et Mosaïques ont au total 16 postes sur 50. Quant aux autres groupes parlementaires n’ayant pas obtenu la présidence, ils vont occuper d’autres postes dans différents bureaux suivant l’arithmétique politique. Kamerhe a remercié Djoli pour sa brillante démonstration. Le Président de l’Assemblée nationale a précisé que toutes les commissions auront droit aux mêmes frais de fonctionnement. Le groupe Congo uni désire arracher la deuxième vice-présidence d’une des commissions. Quant à Ensemble, elle veut aussi obtenir le poste de Rapporteur adjoint de la Commission économico-financière. C’est déjà fait. Vital Kamerhe a instruit le Rapporteur de multiplier les tableaux coloriés relatifs à la répartition des postes par commission et les mettre à la disposition des présidents des groupes parlementaires. Quelles acrobaties ! « Tout est question de volonté politique », a-t-il conclu. C’est sur cette note consensuelle empreinte de sérénité que la séance plénière a été levée aux alentours de 15 heures 30. La prochaine serait programmée pour lundi afin de finaliser ce travail titanesque.
James Mpunga Yende de la CellCom Rapporteur AN

Plénière de l’Assemblée nationale : Retour sur les acrobaties de Vital Kamerhe et Jacques Djoli pour dégager le consensus autour de la constitution des 10 commissions permanentes

Devant la diaspora congolaise à Budapest, RDC : Félix Tshisekedi dit non au dialogue national !


Le Président de la République Démocratique du Congo, Félix Tshisekedi Tshilombo, a récemment exprimé son opposition à l’appel au dialogue national lancé par l’opposant Martin Fayulu. Lors d’une rencontre avec la Communauté Congolaise à Budapest, Capitale de la Hongrie, mardi 1er octobre 2024, le Chef de l’Etat a déclaré que le pays n’était pas en crise politique nécessitant un tel dialogue.
Depuis plusieurs semaines, Martin Fayulu appelle au dialogue entre les forces politiques et sociales congolaises pour aborder les multiples crises que traverse le pays notamment, la situation sécuritaire dans l’est de la RDC. Sur ce, le leader d’Engagement Citoyen pour le Développement (ECIDé), a insisté sur la nécessité de renforcer la cohésion nationale et de trouver de solutions aux problèmes de gouvernance, de corruption et des droits humains.
Cependant, le Président Tshisekedi a rejeté cette initiative, affirmant que le pays ne traverse pas de crise politique justifiant un dialogue national. Il a souligné que cette proposition ne venait pas de sa famille politique, mais de ceux qui souhaiteraient dialoguer avec lui. Par contre, il a réitéré sa disponibilité à discuter avec tous les acteurs politiques dans le respect des lois et sans intimidation.
‘’Je ne suis pas à l’origine d’une telle initiative, car pour moi le pays n’est pas en crise politique pour chercher à obtenir de dialogue qui va aboutir sur des arrangements qui vont mettre le pays entre parenthèses. Nous ne voyons ni la nécessité et encore moins l’urgence mais comme toujours, je reste les bras ouverts pour parler avec quiconque le voudrait. De là nous informons que ce débat ne concerne ni ma personne, ni la famille politique qui est la nôtre. Ceux qui parlent de dialogue évoquent peut-être leur volonté de parler avec nous et je le dis que la disponibilité est là. Tout congolais a le droit au débat, à droit au dialogue même avec le Chef de l’Etat s’il le désire mais en tenant compte du respect de la Loi et ne pas venir avec des vociférations’’, a déclaré le Président de la République Félix Tshisekedi, devant la communauté congolaise à Budapest.
Le président de l’ECIDé, qui a déjà exprimé des critiques acerbes envers le gouvernement actuel, a appelé à un dialogue inclusif pour aborder les problèmes pressants tels que la corruption, la sécurité et les droits humains. Selon lui, un tel dialogue serait nécessaire pour rassembler toutes les forces vives de la Nation et améliorer le bien-être des congolais. Toutefois, le Président Tshisekedi semble croire que de telles initiatives pourraient mener à plus de division et à une instabilité exacerbée dans une période déjà vulnérable.
La proposition de Fayulu a suscité des réactions mitigées au sein de la classe politique congolaise. Certains voient dans cet appel une tentative d’intégrer les institutions sous la direction de Félix Tshisekedi, tandis que d’autres soutiennent l’idée d’un dialogue pour résoudre les crises actuelles. Malgré le rejet de cette proposition, le débat sur la nécessité d’un dialogue reste ouvert et continue de diviser l’opinion publique.
Le rejet de l’appel au dialogue par le Président de la République soulève de questions sur l’état de l’opposition en RDC. Certains observateurs politiques notent que cette décision pourrait aggraver les tensions entre le gouvernement et les partis d’opposition, particulièrement ceux qui se réclament de l’héritage du défunt président de l’UDPS Etienne Tshisekedi. Les dissensions au sein de l’opposition pourraient également affaiblir la capacité de Martin Fayulu à mobiliser un soutien populaire significatif.
Cette situation met en lumière une dynamique complexe où la quête d’un consensus national se heurte à la résistance d’un pouvoir en place. La RD Congo, riche, en ressources naturelles, est un pays dont la stabilité est cruciale pour l’équilibre économique et politique de l’Afrique centrale.
Nathan Mundele

Devant la diaspora congolaise à Budapest, RDC : Félix Tshisekedi dit non au dialogue national !
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