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Au cours de la rencontre avec le Collectif Pour l’UDPS Originelle ,Le Collège des Fondateurs de l'UDPS déterminé à mettre fin à l'anarchie

La séance de travail entre le Collège des Fondateurs de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social, UDPS, et le Collectif Pour l’UDPS Originelle qui a eu lieu, le mercredi 17 décembre 2025, constitue un événement de taille dans les annales de ce parti politique. En effet, au moment où le Président de la République, Chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, a besoin de l'appui de sa base naturelle, cette rencontre se révèle comme une lueur d'espoir au milieu de l'océan des ténèbres où l'anarchie l'emporte sur la raison, l'illégalité triomphe sur l'état de droit jadis réclamé par les Pères Fondateurs du Parti et l'inconscience comme la vénalité motivent les actes irréfléchis des fossoyeurs de tous bords.

Au cours de cet échange, le Collège des Fondateurs s'est indigné de l'inaction de nombreux locataires du ministère de l'intérieur demeurés silencieux dans ce dossier depuis la fin du Dialogue Intercongolais de Sun City.

Le réveil du Collège des Fondateurs de l'UDPS, un certain 26 septembre 2024, a sonné la fin de l'anarchie et se conforme curieusement au précieux conseil gratuit de l'ancien ministre de l'intérieur Théophile Mbemba qui avait prié la direction de l'UDPS de régler sa crise soit par voie interne soit devant les tribunaux. Or, le Collège des Fondateurs a fini par opter pour une solution interne en mettant fin à l'hibernation, en désignant le Co-Fondateur Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo issu de la Tendance UDPS/TSHISEKEDI comme Président National de l'UDPS sans épithète et en invitant le ministère de l'intérieur à respecter sa volonté tout en demandant aux cours et tribunaux de jouer leur rôle constitutionnel.

Comme il fallait s'y attendre dans pareille circonstance, le Collectif Pour l’UDPS a sorti, sous la signature de son Coordonnateur National, monsieur Felly Fwamba Mubalamate, le communiqué de presse dont nous publions la teneur.

Jean Kabeya Mudiela Ndungu/CP

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Formation politique chère au Professeur Jacques Djoli, Kinshasa : les Bâtisseurs du Congo en première ligne du rassemblement de l’Union Sacrée de la Nation !

 A la demande du Secrétaire permanent de la grande coalition Union Sacrée de la Nation (USN), le Professeur André Mbata, les formations politiques s’alignant derrière la vision du Président de la République, Félix Tshisekedi, se sont rassemblées au Palais du Peuple, siège du Parlement, pour transmettre un massage fort à la communauté internationale en rapport avec la guerre d’agression imposée à la RDC, depuis trois décennies, par le Rwanda voisin. A cette occasion, le jeune parti politique « Les Bâtisseurs du Congo » (BC), initié par le Rapporteur de l’Assemblée nationale Jacques Djoli Eseng’Ekeli, a été très influente et remarquable au cours de de cette manifestation.

Selon l’organisateur, le Professeur Mbata, le rassemblement du vendredi 19 décembre 2025 à Kinshasa avait quatre objectifs principaux. Primo, il était question de démontrer à la face du monde que le Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, n’est pas un homme seul, tout le peuple congolais est derrière lui. Secundo, soutenir les éléments des Forces Armées de la République démocratique du Congo (FARDC) et les Wazalendos qui, vaillamment, combattent l’ennemi sur tous les fronts à l’Est du pays.

Tertio, témoigner la solidarité et exprimer la compassion aux populations meurtries de cette partie du pays. Enfin, quarto, remercier vivement les gouvernements étrangers qui viennent à la rescousse de la RDC dans cette tragédie humanitaire, spécialement l’administration Donald Trump pour les Etats-Unis d’Amérique pour l’accord de paix de Washington et tous les autres Etats permanents du Conseil de sécurité des Nations Unies qui ont voté à l’unanimité la Résolution 2773, ainsi que l’Angola et le Burundi. Le Député national André Mbata a aussi dit merci au Nonce apostolique en RDC de même qu’à la Belgique.

Par ailleurs, le Secrétaire permanent de l’Union Sacrée de la Nation a martelé, sur la tribune érigée au Palais du Peuple, qu’il ne s’agissait pas d’une marche mais plutôt d’un rassemblement d’un petit nombre où devait se retrouver 1/10.000 (un sur dix mille) membres de cette coalition au pouvoir. Parce qu’une marche aurait nécessité l’envoi d’une correspondance à l’autorité provinciale, voire l’obtention d’une autorisation, pour des raisons sécuritaires évidentes. Les médias ou commentateurs qui parlent de « l’échec ou du fiasco de la marche de l’USN » sont donc complètement passés à côté de la plaque. Que des titres ronflants !

Chaque parti politique de l’USN dont « Les Bâtisseurs du Congo » s’est conformé au quota lui prescrit : entre 15 à 20 membres. Le Président délégué de BC, Esaïe Djoli-A-Djoli, était en mesure de déployer un très grand nombre de militants, mais s’est vu contraint de ne déléguer pas plus de 20 personnes. Ce n’était donc pas un échec mais une réussite pour cette manifestation politique où BC était un parti phare dont la présence était très marquante et remarquée.

Aussi, le chef de la délégation de BC à ce rassemblement et SGA en charge de la coordination des Fédérations, implantation et mobilisation, le camarade Bienvenu Isekonya Nonge Bampaku, est-il intervenu sur la Radio France Internationale (RFI) : « Le Congo est attaqué à cause de ses richesses. Notre message c’est le soutien des accords que le Chef de l’Etat a signé récemment à Washington sous les auspices du Président américain Donald Trump, c’est le combat contre Paul Kagame et ses supplétifs, nous combattons pour l’unité du Congo. On attend que ceux qui ont occupé notre pays s’en aillent », a-t-il déclaré d’un ton ferme.

A l’issue de ce rassemblement, André Mbata et un petit noyau de l’USN ont pris la direction de quelques ambassades dont celles des membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU pour leur adresser de vive voix les remerciements et leur demander de rester vigilants face au régime multirécidiviste de Kigali qui viole l’accord de Washington. « Nous ne dormons pas sur nos lauriers », a prévenu le Secrétaire permanent de l’USN. Pari réussi. N’en déplaise aux détracteurs.

James Mpunga Yende

 

 

 

 

 

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Gabriel Mokia : l'Insubmersible de la politique congolaise

(Par Patrice Piardon)

En RDC, la longévité politique est souvent synonyme de compromission. Pour durer trente ans, il faut savoir nager avec le courant. Gabriel Mokia Mandembo, lui, a passé trois décennies à nager à contre-courant. Opposant sous Mobutu, critique sous les Kabila (père et fils), et voix dissonante sous l'ère Tshisekedi, le président du Mouvement des Démocrates Congolais (MDCO) est une anomalie dans le paysage kinois : un insubmersible que ni la prison ni les défaites électorales ne parviennent à couler.

Son parcours est celui d'un paradoxe. Homme d'affaires prospère ayant fait fortune dans le café, il aurait pu jouir d'une retraite dorée. Il a choisi l'arène, avec ses coups bas et sa violence. Son programme économique, monomaniaque sur la relance du café et du cacao pour atteindre un budget de 15 milliards USD, a souvent été moqué par une élite intellectuelle, avant que la réalité de la "malédiction des ressources" ne lui donne raison sur le fond : le Congo ne se développera pas sans l'agriculture.

Mais c'est sur le terrain du courage physique que Mokia a forgé sa légende. Ses 42 mois de détention à Makala (2010-2013) pour une rixe télévisée 3 auraient brisé n'importe quel autre acteur politique. Lui en est sorti plus radical. Ses batailles judiciaires épiques, notamment l'affaire de la villa de la Gombe l'opposant à Alphonse Ngoyi Kasanji — une guerre de tranchées qui a vu un nouveau rebondissement spectaculaire en juin 2025 avec la perte du bien immobilier — illustrent sa ténacité. Il gagne, il perd, il recommence. Au-delà du folklore de ses interventions médiatiques musclées, il faut reconnaître à Mokia une constance patriotique. En avril 2025, alors qu'il n'occupait aucune fonction officielle, il montait au créneau pour mobiliser les troupes face à l'agression dans l'Est.

Aujourd'hui, sans siège au Parlement après les législatives de 2023, Gabriel Mokia reste pourtant incontournable. Il est la preuve vivante qu'en politique congolaise, l'existence ne dépend pas d'un décret de nomination, mais de la capacité à incarner, par le verbe et le geste, une certaine idée de la résistance.

Gabriel Mokia : l'Insubmersible de la politique congolaise
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Le Collectif Pour l’UDPS Originelle juge l'inutilité du Congrès extraordinaire de l’UDPS/Tshisekedi

Le Collectif Pour l’UDPS Originelle a publié, ce week-end, une déclaration politique dans laquelle il souligne l'inutilité du Congrès Extraordinaire de l’UDPS/TSHISEKEDI. Ci-dessous l'intégralité de ladite déclaration.

DECLARATION POLITIQUE

Le Collectif Pour l’UDPS Originelle, Structure autonome d'appui du Parti, a, au cours de sa réunion hebdomadaire du mercredi 19 Novembre 2025, passé au peigne fin la situation du Parti, et rend public la Déclaration Politique dont la teneur suit :

1. Le Collectif Pour l’UDPS Originelle rappelle qu'en date du 26 Septembre 2024, le Collège des Fondateurs, organe revêtu des larges pouvoirs en dehors du Congrès, aux termes des Statuts dits "Statuts de Bondeko", avait annoncé la relance des activités de l'UDPS après une longue période d'hibernation, laquelle annonce avait été notifiée à toutes les autorités concernées par les questions d'ordre public, à savoir, au premier chef, le ministère de l'intérieur, la Cour de cassation, l'Inspection Générale de la Police, le Gouverneur de la Ville de Kinshasa, la Présidence de la République, entre autres.

2. Le Collectif Pour l’UDPS Originelle fait remarquer également que, durant son combat politique glorieux, mené dans le respect de la sacralité de la vie humaine, l'UDPS n'avait jamais porté d'épithète pour être l'UDPS/tel ou tel. Mais, à l'avènement du pouvoir "du conglomérat d'aventuriers et d'opportunistes (AFDL/PPRD)" avec le concours des ennemis internes et externes, couplé aux esprits provincialo-ethnico-tribalistes fanatisés, l'UDPS a pris des épithètes qui ont vu son affaiblissement aller crescendo au fil des ans.

3. Le Collectif Pour l’UDPS Originelle souligne qu'à la faveur de l'accession à la Magistrature Suprême de notre pays d'un des membres de l'UDPS, Co-Fondateur et fils biologique d'une des figures les plus marquantes de 13 Parlementaires et des Fondateurs Historiques de l'UDPS, devait marquer la fin des divisions et des inimitiés afin de relancer l'UDPS dans sa configuration d'origine aux fins d'accompagner le pouvoir pour lequel beaucoup avaient donné de leur vie, de leurs temps, de leur argent, de leur intelligence, de leur courage et témérité.

4. Le Collectif Pour l’UDPS Originelle signale que le Collège des Fondateurs avait annoncé, au cours de sa session extraordinaire du 26 Septembre 2024, la tenue d'un Conclave pour jeter les jalons de la réconciliation, de l'unité et de la relance de l'UDPS en exécution de la mission leur confiée par la Haute Autorité Politique de Référence dans la nuit du 08 au 09 avril 2023.

5. Le Collectif Pour l’UDPS Originelle avait bien accueilli l'appel à l'unité et à l'effacement de toutes les rancœurs lancées par la Haute Autorité Politique de Référence, le 21 Août 2025, en la Paroisse Sainte Anne de la Gombe lors de la messe d’action de grâce en mémoire de nos Héros disparus.

7. Le Collectif Pour l’UDPS Originelle a été curieusement surpris d'apprendre, quelques jours plus tard, la convocation d'un Congrès Extraordinaire de l’UDPS/TSHISEKEDI, une décision qui a plongé toute la grande famille UDPS dans l'émoi alors que celle-ci - la grande famille UDPS - s'attendait à la consécration de la réconciliation et la relance en vue de refaire la grandeur mise à mal par des divisions entretenues par les fossoyeurs internes et externes.

7. Le Collectif Pour l’UDPS Originelle tient à alerter tous les membres de la grande famille UDPS sur l'inutilité du Congrès Extraordinaire de l’UDPS/TSHISEKEDI qui essaie, par des moyens dolosifs, de faire la main basse sur notre patrimoine commun en tentant d'effacer son histoire.

Faut-il rappeler que la Tendance UDPS/TSHISEKEDI fonctionne au mépris et en totale violation de la législation congolaise. Elle n'a ni l'arrêté d'enregistrement ni une quelconque récépissé de dépôt de son dossier au ministère de l'intérieur. Ses animateurs utilisent abusivement la dénomination "Union pour la Démocratie et le Progrès Social", un parti existant et appartenant aux Fondateurs Historiques encore en vie.

8. Le Collectif Pour l’UDPS Originelle conseille la Haute Autorité Politique de Référence de ne pas gaspiller son énergie et de ne pas aussi soutenir les assises du Congrès Extraordinaire de l’UDPS/TSHISEKEDI qui ne régleront aucun problème tant sur le fond que sur la forme. Aussi longtemps que la réconciliation ne sera jamais matérialisée et que toutes les Tendances et Sensibilités existantes n'auront jamais disparu.

9. Le Collectif Pour l’UDPS Originelle qui se réclame légaliste, s'étonne de l'inaction caractérisée du ministère de l'intérieur qui ne parvient pas à appliquer scrupuleusement la loi en la matière, cautionnant ainsi l'anarchie dans laquelle baignent toutes les différentes Tendances UDPS.

Fait à Kinshasa, le 22 Novembre 2025.

POUR LE COLLECTIF POUR L’UDPS ORIGINELLE,

LE COORDONNATEUR NATIONAL,

Felly FWAMBA MUBALAMATE

Le Collectif Pour l’UDPS Originelle juge l'inutilité du Congrès extraordinaire de l’UDPS/Tshisekedi
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Politique mal pensée !

 

En cette période très proche de fêtes de fin d'année où la courtoisie routière devrait prévaloir, le gouvernement a choisi d'initier un contrôle technique des véhicules et des permis de conduire. Une décision qui, au lieu de contribuer à la sécurité routière, se transforme en un véritable casse-tête pour des milliers de citoyens pris au piège d'un manque de planification flagrant.

La réalité est dure : des milliers de travailleurs se retrouvent à souffrir au quotidien, contraints de faire des longues distances à pieds pour rejoindre leur lieu de travail, dans des conditions de transport de plus en plus difficiles. La conjonction des contrôles techniques et des intempéries de ce mardi dans l'après-midi, doublée à l’état de la voirie de la ville complètement dégradé,  a induit une rareté des moyens de transport en commun, plongeant la population dans des embouteillages monstres et une détresse palpable.

Cette situation illustre une absence de prévision désolante de la part de nos dirigeants. La mise en œuvre d'une telle politique à un moment aussi critique montre un manque de sensibilité vis-à-vis des réalités quotidiennes des citoyens. La gestion des transports en période de forte affluence devrait être une priorité, et non une source de désagrément.

Il est temps que le gouvernement prenne conscience de l’impact de ses décisions sur la vie des citoyens. Une politique publique efficace nécessite une planification rigoureuse et une prise en compte des enjeux concrets auxquels la population est confrontée. À l'approche des fêtes, nous les congolais ont besoin de solutions, pas de complications. Il est urgent de revoir cette approche afin de garantir le bien-être de tous, surtout en ces temps difficiles.

La Pros.

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Politique et responsabilité : sortir l’Afrique de l’ego et de l’injustice

La politique, dans son sens le plus noble, n’est pas un instrument pour satisfaire des ambitions personnelles ou pour enrichir quelques familles au pouvoir. Elle est avant tout un outil pour organiser la société, protéger les citoyens et améliorer le bien-être collectif. Elle est le levier par lequel les dirigeants peuvent transformer la vie des populations et bâtir un avenir juste et équitable.

Malheureusement, trop souvent en Afrique, et particulièrement en République démocratique du Congo, la politique est prise en otage par des intérêts égoïstes. Les décisions sont guidées par l’avidité, le favoritisme et le renforcement de réseaux familiaux ou partisans, plutôt que par la justice sociale ou le bien-être du peuple. Le pouvoir est utilisé pour asservir, contrôler et diviser, au lieu d’émanciper et d’unir.

Il est temps de rappeler aux dirigeants que la politique est au service du peuple et non de l’ego. Les citoyens ne sont pas des instruments pour satisfaire des ambitions personnelles ; ils méritent une gouvernance transparente, responsable et centrée sur leurs besoins réels. La richesse d’une nation ne se mesure pas à la fortune de ses dirigeants, mais à la qualité de vie, à l’éducation, à la santé et à la sécurité de ses habitants.

S’engager véritablement en politique exige courage et intégrité. Cela signifie prendre des décisions qui servent l’intérêt collectif, réduire les inégalités, protéger les plus vulnérables et créer des institutions fortes et justes. Cela demande de sortir de l’égoïsme et de l’infantilisation du peuple, et de comprendre que le pouvoir n’est jamais un droit individuel, mais une responsabilité envers tous.

Les Africains méritent des dirigeants qui comprennent que le véritable leadership se mesure à l’impact social et humain, et non à l’enrichissement ou au prestige personnel. La politique doit redevenir un espace de justice, d’équité et de progrès pour le bien-être commun.

Nana-Nicole Eloko Ekodi Ekoko Onadjaku

Présidente de l’association Figures de Femmes Inspirées/ Toyakimaniya

Coordinatrice de la Dynamique Le Choix de la Liberté

 

 

Politique et responsabilité : sortir l’Afrique de l’ego et de l’injustice
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