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UDPS/Fédération de Goma : la Ligue des jeunes adhère à l’idée du  changement de la Constitution

La ligue des jeunes de l'UDPS Tshisekedi/fédération de Goma a organisé, jeudi 19 décembre dernier, une matinée sur le bien-fondé du changement de la Constitution. Plus de 300 personnes venues de tous les coins de la ville de Goma et plusieurs panelistes ont pris part à ce grand événement.

A en croire Gédéon Sepengwa, président de la ligue des jeunes de l'UDPS Tshisekedi/fédération de Goma, il était important d’organiser cette journée pour marquer l’adhésion de la jeunesse du parti de Goma à l’initiative du Chef de l’Etat. Et de préciser, à ce propos, que depuis l’avènement de Fatshi à la magistrature suprême, il a montré sa détermination de changer le social des Congolais, mais se trouve bloquer par la Constitution qui a été conçue pour le bien de l'étranger et non du peuple congolais.

" Changer cette Constitution est plus qu'une urgence pour nous, ligue des jeunes de l'UDPS Tshisekedi/fédération de Goma et ceux qui aiment ce pays sans hypocrisie’’, a-t-il renchéri avant de poursuivre, il y a beaucoup d'articles qui sont des pièges pour notre pays et bénéficient à ceux qui n'aiment pas la RDC.

‘‘A mon avis, a-t-il soutenu, les opposants qui critiquent cette démarche de Moïse pour notre pays qui n'est autre que Félix Tshisekedi, ont des agendas cachés et, peut-être même, auraient des intérêts non connus via l'étranger ".

Pour Yan Croco Mukendi, coordonnateur national de la Génération Félix Tshisekedi et Premier vice-président de la ligue des jeunes de l'UDPS/Tshisekedi fédération de Goma, il est temps que tous les Congolais s'alignent derrière cette idée noble du Président de la République car il n'y a que le changement de la Constitution qui sauvera ce pays du chaos où il a été placé.

"Notre Constitution n'est pas adaptée aux réalités et contextes du peuple Congolais, elle a été conçue pour le mal de la nation Congolaise. Il faut aimer ce pays et lire scrupuleusement tous les 229 articles pour comprendre que le Président Tshisekedi a bel et bel raison…’’, a-t-il poursuivi.

Tandis que le notable John Sapidi, un des orateurs, a précisé que la RDC comme un pays qui se respecte n'a jamais eu une Constitution dans son vrai sens. Justifiant ses propos en lisant avec attention tous les articles, il soutient qu’il n'y a aucune place où c’est indiqué la superficie réelle de notre pays, ce qui est une grave erreur car cela devait être prévu sur les premières pages.

Il a conclu en ces termes : «Le Président de la République qui est le garant de la souveraineté nationale n'a aucun pouvoir pour réprimander un Gouverneur mais on donne ce privilège au ministre de l'Intérieur, vous voyez toutes ces erreurs monumentales. Il y a aussi d'autres articles pièges, 217, 219 et autres qui ne permettent pas au Chef de l'État de bien faire son travail c'est pour cela en tant que fils de ce pays de père et de mère, avons l'obligation de l'accompagner dans sa lutte».

Guellord Risasi

 

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Législatives Nationales et Provinciales, Masimanimba et Yakoma : les résultats provisoires sont là ! 

Les élections à Yakoma et à Masimanimba se sont déroulées dans le calme et sans incidents majeurs. La société civile de Masi-Manimba, regrette, quant à elle, à la suite des résultats affichés, le faible taux de participation.

Le dimanche 15 décembre, certains électeurs, disposant des cartes d’électeurs ou des duplicatas sont rentrés frustrés parce que n’ayant pas voté. Leurs noms n’étaient pas repris sur les listes électorales.

Les élections de décembre 2023 dans les circonscriptions électorales de Masi-Manimba et Yakoma avaient été annulées à la suite de violences et fraudes électorales.

Les résultats provisoires des élections législatives dans la circonscription de Yakoma et de Masimanimba ont été publiés ce mercredi 18 décembre dans la soirée par la commission électorale nationale indépendante (CENI). La 1ère circonscription ne comptait que deux sièges à pourvoir.

Les candidats élus provisoirement députés nationaux sont Mbui Kaya Nyi Guido du regroupement « Alliance des partis alliés au Mouvement de libération du Congo» (APA/MLC), et Nzangi Ngelengbi Antoine du regroupement politique «Coalition des démocrates » (CODE), coordonné par Jean-Lucien Busa.

Tandis qu’à Masimanimba, 5 candidats ont été élus Députés, parmi lesquels le ministre Didier Mazenga et le Président du Conseil d’administration de la RVA, le Professeur Kin-kiey Mulumba.

Ci-dessous, la liste des candidats élus provisoirement députés nationaux :

  • Mazenga Mukanzu Didier : 13 833 voix
  • Kamisendu Kutuka Jean : 13 324 voix
  • Kin-kiey Mulumba Tryphon : 10 600 voix
  • Sindani Ka Dambu Donald : 8 808 voix
  • Luwansangu Muheta Paul de la Croix : 7 657 voix

La Pros.

 

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« Mon œil d’analyste politique »

(Par GERMAIN MUKABA, analyste politique)

Il (Kagame) se dit victime, mais réticent face aux mécanismes de sortie de crise qui lui aurait été imposée par la RDC.

Toujours selon lui (Kagame), la RDC veut exercer une hégémonie sur lui, par immixtion à travers ses troupes contre ses ressortissants…

Ces farces diplomatiques visant à traîner la RDC sous sa servilité, connaissant la position de la RDC dans sa quête de paix à tout prix, fait de la RDC l’assujettie du Rwanda pour se soumettre à ses manœuvres dilatoires ?
La RDC a quasiment affronté tous les fronts, notamment :

  1. Le front Médiatique ;
  2. Le front Diplomatique ;
  3. Le front Militaire…

Mais les hostilités semblent demeurer pendantes, dont la RDC se voit être inoffensive face à cette épreuve.

Kagame ne comprendra jamais le langage diplomatique tant qu’il demeure dans un assouvissement irrévocable teinté de la convoitise de notre terre et ressources qui s’y trouvent.

Ce manque de considération et respect de la part de Kagame aux efforts déployés par la RDC, par les biais du Président Félix Antoine Tshisekedi, il n’y a plus une autre explication à cet acte que de comprendre combien ce dernier ne prend pas en compte les recommandations de la feuille de route de cessez-le-feu établie à Luanda.

Nous demander de négocier et considérer les recommandations des rebelles M23 qu’il réfutait les accusations selon lesquelles, il est l’instigateur et grand soutien de ces rebelles, aujourd’hui il est clairement établi qu’il vit derrière les atrocités et exactions que subissent nos compatriotes à l’Est de la RDC.

Ne comptons plus à la communauté internationale, ni aux organisations régionales et sous régionales qui n’ont jamais porté notre combat, moins encore les USA ou autres partenaires qui se disent privilégiés, mais indifférents face à ce qu’endure la RDC sur le plan sécuritaire.

Je pense que c’est l’opprobre jetée sur le peuple congolais, représenté par le premier d’entre eux, en vue de trouver une voie de paix, Hereka ! Notre bonne foi n’est pas prise en considération par notre voisin.

Nous, peuple congolais, sommes choqués de la non tenue de la rencontre tripartite avortée qui devrait se tenir à Luanda en Angola par la médiation du Président Lourenço João, séchée par M. Kagame Paul, qui n’a pas voulu faire face au Président Félix Tshisekedi, déterminé à en finir une fois pour toute.

Paul Kagame comprend la voix des armes, faisons-lui la guerre.

«FAISONS_LA_GUERRE_AU_RWANDA, M. le Président de la République et commandant suprême des forces armées et de la police SE Félix Antoine Tshisekedi.

« Mon œil d’analyste politique »
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Changement de la Constitution , Nord-Kivu : l’opposition s’oppose fermement à l’initiative de Félix Tshisekedi

Le projet de révision constitutionnelle annoncé par le Président Félix Tshisekedi continue de susciter une vive opposition en République Démocratique du Congo. Lors de son adresse à la Nation, le 11 décembre 2024, devant les deux Chambres du Parlement réunies en Congrès, le Chef de l’Etat a réaffirmé sa détermination à doter le pays d’une nouvelle Constitution. Une démarche qui divise et déclenche une levée de boucliers au sein de l’opposition et d’une partie de la Société civile. Vendredi 13 décembre 2024, à Goma, les principales formations politiques de l’opposition se sont réunies dans les locaux d’Ensemble pour la République Nord-Kivu 1, pour dénoncer ce projet qu’elles jugent inopportun. Parmi les participants figuraient des représentants du PPRD de Joseph Kabila, de l’ECIDé de Martin Fayulu, de l’Ensemble pour la République de Moïse Katumbi, ainsi que des leaders locaux tels que Théo Binamungu, coordinateur régional d’Ensemble pour la République.

Dans une déclaration commune, Simon Dioka, cadre de l’AARC, a souligné que le pays est confronté à des défis majeurs notamment, sécuritaires, et que toute tentative de réforme constitutionnelle détournerait l’attention des priorités nationales.

"Le Nord-Kivu est une province de résistance. Nous ne permettrons pas que notre peuple soit manipulé par un régime qui ignore les véritables préoccupations de la Nation", a affirmé M. Binamungu.

Les critiques de l’opposition s’appuient principalement sur le contexte sécuritaire préoccupant du Nord-Kivu, où 60% du territoire échappe encore au contrôle de l’Etat en raison de la présence de forces étrangères, notamment le M23 soutenu par le Rwanda.

"La paix doit rester la priorité des priorités", a déclaré Simon Dioka. Selon lui, insister sur une révision constitutionnelle, alors que des localités entières demeurent sous occupation étrangère, est une preuve de mépris envers les Congolais.

Bruno Mwitoherhe, président fédéral du LGD au Nord-Kivu, aborde dans le même sens : "Au lieu de s’attaquer aux problèmes réels du pays, Félix Tshisekedi s’emploie à changer la Constitution pour des intérêts égoïstes. Le Nord-Kivu, comme le reste du pays, attend des solutions idoines à des défis urgents."

Dans leur déclaration commune, les leaders de l’opposition dénoncent également des pratiques qu’ils jugent autoritaires de la part du régime en place : instrumentalisation de la justice, répression des journalistes et activistes, et gestion opaque des deniers publics. Ils rappellent que l’article 219 de la Constitution actuelle rend certaines dispositions intangibles notamment, celles relatives à la limitation des mandats présidentiels.

L’opposition accuse en outre le Président Tshisekedi d’avoir fait chanter l’hymne de son parti, l’UDPS, lors de la récente Conférence des Gouverneurs, au lieu de l’Hymne national, un acte qualifié de "grande honte nationale".

Cette crise intervient dans un contexte de tensions politiques croissantes à l’approche des élections générales.

"Nous disons non à cette tentative d’instaurer une dictature en RDC", conclut la déclaration commune des forces de l’opposition. Elles appellent à une vigilance accrue et promettent des actions de grande envergure si le Gouvernement persiste dans cette voie.

Guellord Risasi

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Changement de la Constitution : l'UDPS renoue avec tactique "Unir pour gagner, isoler pour gouverner" !

Après l'Union sacrée, l'Usor, l'Usoral, l'Asd, et le Rassop, c'est au tour de l'USN de subir le sort traditionnel réservé à des alliés de circonstance. Surtout ceux avec lesquels il aura eu des contentieux...

*Au lendemain de la sortie controversée de Jean-Pierre Bemba sur Top Congo Fm le 4 décembre dernier au point d'amener son parti, le MLC, à se fendre d'un communiqué ayant tout du désaveu de son président national, tous les regards se sont tournés vers Vital Kamerhe et Modeste Bahati. Fait du hasard ou non, c'est à ce moment précis que les professionnels de la  "VAR" ont sorti une vidéo d'une séance académique du Prof André Mbata lorsqu'il était membre de l'UNC. Le Constitutionnaliste y avait exclu toute possibilité de changement de Constitution au risque de haute trahison. Mais, c'était sans compter avec son art de se dédire. La rétractation ne s'est fait attendre. Le lendemain, il a déclaré : "Notre Constitution est révisable. Il faut vraiment n’avoir aucune notion de droit pour s’y opposer". De quoi ramener Vital Kamerhe auprès de Félix Tshisekedi le 9 décembre. Quant à Modeste Bahati, il attend, selon son parti, "la mise sur pied d’une commission multidisciplinaire qui s’y penchera, telle qu’annoncée à Kisangani par le Chef de l’Etat. L’AFDC-A est disposée à y participer’’. Qu'à cela ne tienne ! La politique en RDC est tellement dynamique que même la VAR - qui vous renvoie le matin un NON - n'a plus peur de changer d'opinion dans la minute suivante après avec un OUI pendant que les réalités du terrain sont les mêmes. D'où, d'ailleurs, la nouvelle expression "débat populaire et débat scientifique" lancée par quelques Professeurs de Droit de l'UNIKIN. Il y a de cela six ans seulement, l'Udps serait monté au créneau pour leur rappeler le Primat du Peuple sur le Droit. Et faire taire la société savante de toutes les institutions académiques du pays. Aujourd'hui, il fait profil bas. C'est du reste pour cela que ses vrais et propres  constitutionnalistes ne s'empressent pas d'intervenir dans le débat en cours. Question, peut-être, de ne pas trop vite se brûler des ailes...

DEBAT POPULAIRE ET LE DEBAT SCIENTIFIQUE

Ce qui (nous) arrive n'a finalement rien de surprenant.

La déstabilisation en cours de l'USN résulte des cachotteries de l’UDPS vieilles de trois décennies et demie. Nous y revenons dans la conclusion.

Pour l'instant, reconnaissons seulement qu'ayant eu dans son agenda le projet de changement de la Constitution, ce parti - on ne le dira jamais assez - aurait dû commencer par un débat interne, en comité restreint, avant de saisir les organes du parti. Il aurait évolué en s'ouvrant par la suite à l'USN, encore en comité  restreint. Ce n'est qu'à l'issue de ces concertations qu'on aurait jugé de la nécessité ou non d'annoncer l'initiative de revisitation de la Constitution. Ceci de un.

De deux, en raison de l'impact de l'initiative, l'Udps aurait dû prendre de la hauteur en plaidant pour une large ouverture vers d'autres forces vives de la Nation absentes de l'USN.

Par respect à la fraction de la population fidèle à l'Opposition qui n'en reste pas moins congolaise, le parti présidentiel devrait convaincre sa Hiérarchie de la nécessité d'un dialogue national avec, parmi les points à l'ordre du jour, la revisitation de la Loi fondamentale.

Avec cette approche, le débat populaire et le débat scientifique en cours se seraient enrichis mutuellement.

LA CONSEQUENCE SERAIT LA SOMALISATION DE LA RDC

Malheureusement, on a assisté à un forcing qui ne pouvait que faire cabrer une bonne partie de l'opinion congolaise.

Qu'on le veuille ou pas, il y a jusque-là l'article 219 qui interdit la révision de la Constitution en état de guerre, d'état d'urgence ou d'état de siège.

Pour le contourner et contourner en même temps l'article 218 prévoyant uniquement la révision, les intelligences udepesiennes ont  levé en solo l'option du changement sans réaliser que les conséquences sur terrain restent les mêmes.

En effet, sauf leur  neutralisation avant le référendum, les groupes armés qui occupent une partie du territoire national ne trouveraient aucun intérêt à adhérer à l'avènement de la IVème République résultant du changement de la Constitution. Les villes et localités échappant à l'autorité de l'Etat resteraient sous l'occupation de la rébellion. A propos de celle-ci, ouvrons une parenthèse pour noter que dans le discours d'investiture du Gouvernement Suminwa, il est fait allusion à la rébellion et non à l'agression.

Dès lors que le référendum va exclure une bonne partie du territoire national, la conséquence logique en serait la somatisation de la RDC.

Certes, il se dit que le Président Félix Tshisekedi n'a pas la volonté de briguer un troisième mandat. C'est vrai puisque l'article 220 ne le lui permet pas.

D'où le changement de la Constitution, de façon à laisser s'accomplir le schéma "NOUVELLE CONSTITUTION=NOUVELLE RÉPUBLIQUE=NOUVEAU CYCLE ÉLECTORAL". C'est-à-dire possibilité d'un nouveau mandat ; le premier d'une nouvelle série.

Raisonnons alors de façon insensée : Félix Tshisekedi change la Constitution, crée la 4ème République et se retire de la vie politique  pendant que l'occupation des terres par les rebelles se poursuit. Qu'aura-t-il fait gagner au pays ? Rien, naturellement.

Raisonnons maintenant de façon sensée : Félix Tshisekedi se fait élire pour un premier mandat pendant que l'occupation des terres par les rebelles se poursuit. Qu'aura-t-il fait gagner au pays ? Evidemment rien.

Et pour cause !

Dans les deux cas, la sentence sera dans le serment d'investiture : le nouveau Chef de l'Etat va s'engager certes à respecter la Constitution, mais aussi à maintenir l'intégrité du territoire national et à sauvegarder l'unité nationale !

Seulement voilà : de quelle Constitution, de quelle intégrité territoriale et de quelle unité nationale sera-t-il question ?

Serait-ce à ce moment-là qu'il va approcher la rébellion, l'Opposition et la Société civile - dont les Églises Catholique et Protestante - pour négocier ?

"UNIR POUR GAGNER, ISOLER POUR GOUVERNER" !

Dans la confusion entretenue par l'Udps impliquant anti-révision, pro-révision constitutionnelle (mais dans le respect strict des mécanismes prévus pour ce aux articles 218 et 219) et  pro-changement, la balance politique et médiatique penche pour l'instant du côté de ces derniers.

Mais, en termes d'argumentation, c'est l'inverse qui est en train de se produire. Les articles alignés par les premiers sont systématiquement détruits par les seconds.

Faute justement de coordination, les pro-changements s'annoncent chacun avec ses articles, et ça fait désordre.

Pendant qu'Augustin Kabuya brandit les articles 214, 215 et 217 qui le rattrapent au travers du "Corridor de Lobito", Jean-Pierre Bemba se focalise, lui, sur les articles 5, 10, 51 et 198. Dans la mêlée, on voit des Professeurs d'université se signaler  avec les articles 2, 5, 10, 13, 68, 70, 71, 77, 78, 81, 217 et 218 et un udepesien pur sang avec 150 dans une Constitution de 229 articles !

Prof Paul Gaspard Ngonda Nkoy, cité parmi les membres de l'Association nationale des Constitutionnalistes, a lâché sur Radio Okapi ce lundi 9 décembre 2014 cette phrase :_“Nous demander aujourd’hui de réviser cette constitution, y compris en touchant les articles verrouillés, nous met mal à l’aise. Parce que nous-mêmes, nous nous mettons en difficulté, voire même en impossibilité juridique d’exister” !

Faute de pouvoir gérer la confusion ainsi créée, l'Udps réduit maintenant le débat à "pensée unique, pensée inique". Pour leur prestations dans les médias, ses Communicateurs semblent avoir pour consigne de passer désormais la rengaine : "Que vous le vouliez ou pas, la Constitution sera changée".

Il paraît que cela procède de la vitalité démocratique. Une vitalité qui fait pourtant de terribles ravages au sein de ce parti et gangrène l'USN (comme) pour en affaiblir les leaders majeurs.

Ceux de notre génération connaissent le modus operandi de ce parti. Depuis l'Union sacrée en 1991, l'Udps fonctionne par et avec la formule : "Unir pour gagner, isoler pour gouverner" !

On y est de plain-pied...

Omer Nsongo die Lema

@omernsongo

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Lien : www.congo30juin.org

 

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Sous la férule de l’Honorable François Lusanga Ngiele, UDPS : l’UDRC favorable au rassemblement de toutes les ailes du parti !

Engagé dans le rassemblement de toutes les tendances et sensibilités de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), l’Honorable François Lusanga Ngiele, l’un des treize parlementaires dudit parti politique et aujourd’hui son Vice-Président National, a reçu les cadres de l’Union des Démocrates pour la Renaissance du Congo (UDRC), formation politique chère à Feu Bruno Mavungu, ancien Secrétaire Général du parti. A cette occasion, d’ailleurs prémisse du démarrage de ces consultations, l’UDRC a promis son soutien indéfectible à cette ‘’démarche louable, tout en encourageant son meneur, François Lusanga Ngiele, à foncer jusqu’à la concrétisation sans relâche, contre vents et marrées, la délicate mission lui confiée par ses pairs’’. In extenso, retrouvez l’intégralité du Communiqué officiel sanctionnant cette rencontre de grande envergure.

LE COLLEGE  DES FONDATEURS  DE L’UDPS

+243821333774

 

DEMARRAGE DES CONSULTATIONS DES TENDANCES ET DES SENSIBILITES ISSUES DE L’UDPS

Le Collège des Fondeurs de l’Union Pour la Démocratie et le progrès Social, UPDS en sigle, a entamé sous la direction du Vice-Président National de l’UDPS, l’Honorable François LUSANGA NGIELE, une série des consultations des tendances et des sensibilités issues de l’UDPS, dans le but d’une relance effective des activités politiques. Dans ce cadre, il a reçu en premier lieu, en audience, l’Union des Démocrates pour la Renaissance du Congo, U.D.R.C en sigle ; de l’ancien Secrétaire Général de l’UDPS, le feu Bruno Mavungu. Au cours de cette rencontre, l’U.D.R.C, a accueilli la nouvelle avec joie et souhaite voir l’UDPS revenir dans son format originel. Car elle estime que cette démarche est salutaire pour l’UDPS en particulier et pour toute la nation Congolaise en générale. Et elle a félicité le Fondateur LUSANGA NGIELE, pour sa bravoure et pour son sens élevé de fédérateur, qu’il ne cesse de déployer dans l’animation du parti.  L’U.D.R.C, du feu BRUNO MAVUNGU, lui a promis son soutien indéfectible à cette démarche louable ; tout en l’encourageant de foncer jusqu’à la concrétisation sans relâche, contre vents et marrées, la délicate mission lui confiée par ses pairs.

Ainsi le Collège des Fondateurs invite à toutes les tendances et à toutes les sensibilités issues de l’UPDS, de s’engager sans relâche dans ce processus en cours et se félicite de l’avancement heureux de cette mission de la réunification du parti et de la relance des activités politiques, afin de soutenir avec force, les actions du Président de la République, Félix ANTOINE TSHISEKEDI TSHILOMBO, Chef de l’Etat.

« L’Union fait la force », dit-on

Fait à Kinshasa, le 05/12/2024

Pour le Collège des Fondateurs

L’Honorable, François LUSANGA NGIELE

Membre du Groupe des 13 Parlementaires

   Et Fondateur de l’UDPS

Vice-Président National de l’UDPS

 

Sous la férule de l’Honorable François Lusanga Ngiele, UDPS : l’UDRC favorable au rassemblement de toutes les ailes du parti !
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Distribution des tenus militaires à des civils, RDC : l’UDPS dénonce une campagne de diabolisation contre Augustin Kabuya

 

L’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) a fermement démenti les accusations selon lesquelles elle aurait distribué des uniformes militaires à ses membres. Ces allégations ont émergé suite à la diffusion d’une vidéo sur les réseaux sociaux montrant un individu en tenue militaire affirmant être affilié à l’UDPS.

Dans un communiqué officiel publié dimanche dernier, l’UDPS a qualifié ces accusations de “pur montage” visant à ternir l’image du parti et de son Secrétaire Général, Augustin Kabuya. Le parti a souligné qu’il n’a aucune raison de créer une milice et a dénoncé ce qu’il considère comme une tentative de déstabilisation politique.

L’UDPS a également annoncé son intention de saisir l’auditorat militaire pour identifier les auteurs de la vidéo et les circonstances de son enregistrement. Le parti présidentiel a réaffirmé son engagement envers la légalité et la transparence, tout en poursuivant ses efforts pour le changement de la constitution en République Démocratique du Congo.

‘’Nous savons que les ennemis du parti sont déterminés à vouloir ternir l’image de l’UDPS et de son Secrétaire Général depuis le lancement de la campagne visant à soutenir la vision du Chef de l’Etat pour le changement de la Constitution’’, peut-on lire dans ce communiqué.

Cette affaire intervient dans un contexte politique déjà tendu, où les accusations mutuelles entre partis sont fréquentes. L’UDPS a promis de défendre vigoureusement son intégrité et de poursuivre en justice ceux qui cherchent à nuire à sa réputation.

Nathan Mundele

Distribution des tenus militaires à des civils, RDC : l’UDPS dénonce une campagne de diabolisation contre Augustin Kabuya
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