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‘’Tous pour la RUPTURE’’, Présidentielle 2023 : Constant Mutamba appelle les jeunes congolais à voter pour la jeunesse !

 Dans son message de ce  mardi 21 novembre 2023, Constant Mutamba, candidat président de la République a appelé les congolais en général, et les jeunes en particulier à faire le choix de la ‘’Rupture’’. Rompre avec les anciennes certitudes, avec les mauvaises pratiques en votant massivement pour la jeunesse, l’avenir de toute la nation. « Réveillez-vous ! Nous avons une nation à bâtir, un peuple à sauver », a lancé Mutamba.

Il a demandé à cette jeunesse à ne pas trahir la nation et  à voter pour le candidat président de la jeune génération qu'il est et à voter pour la rupture.

Selon ce candidat de l’opposition républicaine, son message est tiré de la pensée de Frantz Fanon qui disait: ‘’ Chaque génération a une mission, soit elle l'accomplit, soit elle la trahit’’. Ainsi, il affirme s'être porté candidat pour les jeunes et en leur nom. « C'est une candidature sérieuse, appuyée par 420 jeunes candidats députés nationaux, 1150 jeunes candidats députés provinciaux, 3000 jeunes candidats municipaux à travers le pays », explique-t-il.

‘’Ensemble, nous pouvons étonner le monde

Ensemble, nous pouvons étonner le monde, tel est le crédo de Mutamba. Répondant à ceux qui pensent que les jeunes sont à leur merci et que tout a été écrit, Mutamba dit : ‘’NON, tout n'est pas écrit !’’, Citant l'exemple de la génération de nos pères de l‘indépendance dont Lumumba, Kasa-Vubu, Tshombe, Gbenye, Kalonji, Mulele, il conscientise la jeunesse pour écrire une nouvelle page de l’histoire glorieuse du grand Congo.

Constant Mutamba est persuadé que seule la jeunesse peut sauver ce pays. Ainsi, il l'invite à rompre avec ceux qui ont tout essayé, mais qui ont raté, de même que ceux qui pensent que l'histoire du Congo sera écrite en Occident ou en Orient et qui ont vendu notre dignité. Aussi convie-t-il la jeunesse à se joindre à lui pour essayer quelque chose d'autre ensemble.

Constant Mutamba, se fondant sur la pensée de Fidel Castro: ‘’L’histoire nous jugera’’, lance aux jeunes : « Demain, lorsque vous parlerez à vos enfants, n'oubliez pas qu'en 2023, des jeunes courageux issus de familles modestes s'étaient levés pour sauver le Congo. Vous avez le choix d'accompagner ce mouvement de rupture ou l'ignorer et le rayer ».

Face à cette nécessité de se rallier les uns aux autres pour réaliser l'objectif de sauver le Congo, Constant Mutamba estime qu'avec ce message, il a fait sa part de même que ceux qui sont avec lui.

Fidel Songo

‘’Tous pour la RUPTURE’’, Présidentielle 2023 : Constant Mutamba appelle les jeunes congolais à voter pour la jeunesse !

Présidentielle de 2023 : des leaders de l'Opposition se rangent derrière Moïse Katumbi, candidat commun, et après ?

*Ceux qui ne croyaient pas en un possible choix d'un candidat commun de l'Opposition à la Présidentielle du 20 décembre 2023 peuvent maintenant rectifier leurs projets et refaire des calculs. Certains leaders des partis politiques de l'Opposition restent, cependant, hantés par un jeu d’alliances avec Moïse Katumbi, président d'Ensemble pour la République, désigné candidat commun à la course pour s'opposer à Félix Tshisekedi Tshilombo.

Désormais, Matata Ponyo, Seth Kikuni et Frank Diongo battront campagne pour le chairman. Les trois leaders ont exprimé leur ferme volonté de se retirer de la course après les conclusions des travaux de Pretoria en Afrique du Sud. Et ce n'est pas tout.  D'autres leaders de l'Opposition pourraient se joindre aux trois premiers qui se sont déjà prononcés afin de former un bloc de soutien à Katumbi qui fera face à Félix Tshisekedi Tshilombo, candidat à sa propre succession. 

Peu à peu, le duel se dessine entre Félix Tshisekedi et Moïse Katumbi. Mais, dans l’entre-temps, Martin Fayulu bat sa propre campagne. Adolphe Muzito, Delly Sesanga et Denis Mukwege gardent encore leur sang-froid et laissent régner le suspense.  Des candidats qui se sont désistés n’entendaient peut-être pas prendre le risque de compétir à ce niveau de challenge, préférant ainsi épargner leurs ressources financières pour bien sortir la tête de l'eau après la période électorale.

Martin Fayulu, Denis Mukwege, Delly Sesanga, Adolphe Muzito, eux aussi, réfléchiraient sur la nature de l’appui qu’ils sont prêts à apporter à Moïse Katumbi ou à un autre.

Rétropédalage ? 

Vont-ils faire marche-arrière et adhérer à l'idée de Matata Ponyo, Seth Kikuni et Frank Diongo ?  Telle est la question à laquelle ils doivent répondre avant le sprint final.

L’opération de la campagne électorale pour la Présidentielle jumelée aux législatives nationales, provinciales ainsi qu’aux élections des Conseillers Communaux du 20 décembre 2023 étant lancée en RD.  Congo.

Déjà, dès le dimanche 19 novembre 2023, les candidats Félix Tshisekedi Tshilombo et Martin Fayulu Madidi, jouant à l’attaque, ont fait leur entrée en lice.

D’abord, au stade de Martyrs à Kinshasa pour Félix Tshisekedi Tshilombo et à Bandundu-Ville pour Martin Fayulu.

D’ailleurs, autant que Katumbi à Kisangani et à Buta, dans la Tshopo, ils poursuivent leur tournée dans les autres villes et provinces de la RDC.

Josué Nsema

Présidentielle de 2023 : des leaders de l'Opposition se rangent derrière Moïse Katumbi, candidat commun, et après ?

Message du professeur Kwambamba Mampeme Gabriel à la population de Bagata 

Chers frère et sœur du territoire de Bagata,

Voici venu le moment de la bataille pour que demain nous puissions être dignement représentés à l’Assemblée nationale et à l’Assemblée provinciale. 

Le coup d’envoi est donné. La campagne électorale a commencé. 

Nous n’avons pas droit à l’erreur.

Nous avons besoin d'un Bagata digne. Je sollicite votre concours, je sollicite votre suffrage. 

Je ne viens pas vendre du vent avec des propos démagogiques. 

Tout ce que je vous promets est ceci : Je défendrai les intérêts de Bagata et du Kwilu pour que ce beau territoire, pour que cette belle province, quartier latin de la République ne soient plus jamais les parents pauvres des entités administratives de notre pays. 

Depuis les indépendances, nous n'avons eu personne pour plaider notre cause, personne ne nous a défendu à Bagata, personne n'a initié un projet de développement en faveur de Bagata ayant pour objectif son désenclavement.  Finie cette race des députés qui viennent se remplir les poches, Finie cette race égoïste et compradore.

L'heure est venue pour que notre territoire se mette debout, l’heure de la politique " sacerdoce " a sonné. Le porteur de ces idées novatrices a pour nom, Gabriel Kwambamba Mampeme. 

A l’image de mon défunt père, Thomas Kwambamba, je serai parmi vous comme celui qui sert.

Alors, alors deux numéros à retenir : 154 pour la députation nationale et 230 pour la députation provinciale. 

La balle est à vous, utilisez-la à bon escient. 

Le Professeur Gabriel Kwambamba Mampeme

Message du professeur Kwambamba Mampeme Gabriel à la population de Bagata 

Après les églises de Kimbanseke, Bodrick Bisene à l’assaut des communautés religieuses de la Tshangu !

Le Notable de Maluku, Bodrick Bisene Bakindey, a été dernièrement dans certaines églises de Kimbanseke. Au cours de cette descente, il s’est fait accompagner du pasteur Toussaint Kimuanga, ainsi que de toute son équipe. Un seul message a animé son action : réitérer son accompagnement à cette population pour combattre la médiocrité sociétale dans tous ses sens à la Tshangu.

Ensemble avec son équipe, Bodrick Bisene a commencé le culte dominical dans le quartier kayolo, à l'église Les Missionnaires, ensuite à l'église Le Chandelier 37ème CADC/ECC au quartier Malonda et, enfin, avec l'église la Voix du Berger Tabernacle, situé au quartier Kakudji.

A chaque passage dans ces églises, les fidèles ont rassuré de mouiller leurs maillots afin de le soutenir dans ses actions en faveur de la population.

Se remettant au média, Bisene s’exprime en ce terme : « Chrétien authentique, j'ai été invité dans ces églises, communié avec le peuple de Dieu », a-t-il annoncé. Et de poursuivre : «Une fois élu député national, la population de la Tshangu va tout d'abord retrouver sa liberté de marcher librement, le jour comme la nuit, sans tracasserie des policiers. Nous allons tout faire comme élu du peuple, pour que les coins reculés de la Tshangu soient alimentés et éclairés, nous allons créer les emplois pour ladite population...», a-t-il indiqué.

Cette visite a été pour lui l’occasion de répondre à certaines préoccupations de la population de ce coin. «Les églises qui nous ont reçu à ce jour, chacune d'elle nous a soumis ses problèmes et besoins et on a répondu à ce que nous étions capable de répondre immédiatement. Le reste, qu'elles nous donnent mandat et nous y reviendrons les honorer sans promettre. Nous avons un cahier des charges bien établi. Mais dès la semaine prochaine, je vais déléguer mon équipe médicale qui va consulter et traité les peuples de toutes ces églises gratuitement, Échographie, Ablation de dents pour ceux qui les souffre, consultation ophtalmologique et don en lunettes... Même la chirurgie, on va prendre en charge», a-t-il souligné.

Israël Mpoyi

 

 

 

Après les églises de Kimbanseke, Bodrick Bisene à l’assaut des communautés religieuses de la Tshangu !

Sécurité et Affaires Coutumières, La Politique Nationale de Prévention et de Résolution des Conflits Communautaires et coutumiers validée

La salle Le Capitole de l’Hôtel Rotana à Gombe, Kinshasa, a servi de cadre durant deux jours, soit mercredi 18 et jeudi 19 octobre, à la tenue d’un forum dit de vulgarisation de la Politique Nationale de Prévention et de Résolution des Conflits Communautaires et coutumiers. Cette politique, faut-il le souligner, s’arrime sur le PNSD, Plan National Stratégique de Développement, plan mis en œuvre depuis 2019 et qui conduira à la ‘’cueillette’’ d’une feuille de route de développement du pays pour les 30 ans à venir.

125 personnes ont pris part à ces assises et parmi elles les gens du cabinet du Vice-premier ministre de l’Intérieur, Sécurité et Affaires coutumières, des Gouverneurs de province, des Chefs coutumiers, des partenaires intellectuels, techniques et financiers, sans oublier les membres des Ong nationaux et internationaux et ceux des organisations de la Société civile.

A en croire Monsieur Blanchard Nzay Yakwe, Directeur-Chef de service au sein du Ministère de l’intérieur, Sécurité et Affaires coutumières, lors de la brève interview qu’il a eu l’honneur d’accorder à la presse en marge des travaux en carrefours, la tenue de ces assises a été l’aboutissement d’un travail qui a été fait en amont, durant deux mois, soit du 8 août au 28 septembre, sous forme d’une série de consultations, à travers toutes les 26 provinces de la RDC, réunies dans 5 sites : Goma, Mbandaka, Mbuji-Mayi, Matadi, Lubumbashi.

‘’Après validation technique du document contenant la dite Politique Nationale de Prévention et de Résolution des Conflits Communautaires et coutumiers, reparti en cinq chapitres, nous voici ici venus pour formulation des amendements durant les travaux en carrefours et solliciter en même temps sa validation politique’’, a-t-il éclairci.

A propos du choix porté sur les cinq chefs-lieux de province ci-haut évoqués, le Directeur-Chef de Service n’a pas manqué une explication : ‘’Le choix des sites a été en général motivé par l’accessibilité par voie aérienne et par rapport à la fréquence des avions, vu les deux derniers mois durant lesquels il n’a pas été facile pour tout celui qui voulait se déplacer d’atteindre l’arrière-pays. Il s’agit donc de prime abord de l’accessibilité par rapport aux vols. Il n’y avait pas d’autres considérations, sinon la question de l’accessibilité. Le cas de la ville de Matadi a plutôt été lié à sa capacité d’accueil’’.

Foi sur les propos de Monsieur Norbert Yamba Yamba, Directeur de Cabinet du Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Intérieur, Sécurité et Affaires coutumières, qui avait servi de facilitateur dans les débats en plénière, il est donc nécessaire que soit apportée une réponse politico-institutionnelle en matière de prévention et de résolution des conflits coutumiers pour contribuer à la restauration de l’autorité de l’Etat et d’améliorer, par ricochet, la situation sécuritaire des Entités Territoriale Décentralisées.

La question de l’instabilité due à l’absence de l’autorité de l’Etat, et qui prévaut au sein de ses entités locales, avec tous les corollaires qui s’en suivent : absence de paix et de sécurité, a été parmi les différents défis auxquels la RDC doit faire face, si elle veut le mieux se positionner sur le chemin de la transformation structurelle de son économie.

Le rapport final lu par Blanchard Nzay Yakwe a fait état de plusieurs recommandations, toutes en faveur d’un climat de paix devant mettre fin à toutes les querelles de clocher qui n’ont que trop prévalu parmi les Entités Territoriales Décentralisées dont 80% sont des entités coutumières.

‘’Le document validé à l’issue du forum sera soumis à l’approbation du Conseil des Ministres conformément à la procédure en vigueur’’, parole de foi Du Directeur-Chef de service qui rassure : ‘’Cette politique une fois adoptée sera rendue opérationnelle à travers les budgets-programmes élaborés pour sa mise en œuvre et fera l’objet d’une publication au Journal Officiel’’.

Soit dit en guise de supplément d’information que dans sa configuration actuelle la République Démocratique du Congo compte 261 chefferies, 6095 groupements et plus ou moins 88 000 villages.

Saint-Germain Ebengo

 

 

 

Sécurité et Affaires Coutumières, La Politique Nationale de Prévention et de Résolution des Conflits Communautaires et coutumiers validée

Faisant allusion aux populations de l’Est et de Kwamouth, Elections 2023 : Félix Tshisekedi insiste sur la participation de tous les Congolais !

Le Président de la République veut faire des élections de 2023 les plus inclusives possibles. Au cours de la 116ème réunion de Conseil des ministres, il est revenu sur cette question en insistant sur la participation de tous les congolais. Ce, faisant allusion aux populations de l’Est du pays en proie à la guerre d’agression rwandaise via le M23. C’est ainsi qu’il a demandé au Vice-Premier ministre, ministre de l’Intérieur, sécurité et affaires coutumières, de procéder au déploiement et au renforcement des effectifs de la Police nationale congolaise à Kwamouth et de superviser avec le vice-premier ministre, ministre de la Défense et ancien combattant, en collaboration avec les acteurs nationaux et internationaux sur terrain, le retour des populations déplacées dans les zones libérées de Rusthuru et de Masisi.

Le ministre de la communication et médias, porte-parole du Gouvernement, Patrick Muaya, qui faisait la lecture des résolutions de cette réunion a rassuré, encore une fois, la volonté du Président de la République d’organiser les élections en RDC. «A quelques semaines du lancement de la campagne électorale et de la convocation du scrutin, le président de la République tient à garantir à tous les citoyens congolais la possibilité d’exercer l’un de leurs droits le plus fondamental ; celui de se choisir un représentant», a déclaré le ministre.

Le ministre a jouté, tenant compte de l’évolution sur terrain de la situation sécuritaire, qui indique un apaisement significatif du côté de Kwamouth et une libération progressive des territoires de Masisi et Rusthuru en proie à l’agression rwandaise à travers les terroristes du M23, qu’il s’avère « impérieux pour le gouvernement et la Commission électorale nationale indépendante (CENI) d’évaluer cette situation et de mettre tout en œuvre chacun dans la limite de ses compétences afin de permettre à nos concitoyens de retrouver leur quiétude et de se rendre aux différents centres de vote qui devront être ouverts en prévision des scrutins».

Il va de soit de souligner que le Président de la République à travers le Gouvernement entend s’assurer un climat de paix pendant le déroulement des élections attendues à tous les niveaux à partir de décembre 2023.

Fidel Songo

 

 

 

Faisant allusion aux populations de l’Est et de Kwamouth, Elections 2023 : Félix Tshisekedi insiste sur la participation de tous les Congolais !
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