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A l’issue du Congrès extraordinaire du parti Présidentielle 2023 : Félix Tshisekedi investi Candidat de l’UDPS !

Après l’UNC de Vital Kamerhe, l’Union pour la démocratie et le progrès social jette a, à son tour, jeté son dévolu sur Félix Tshisekedi, le désignant candidat commun du parti pour l’élection présidentielle de décembre 2023. L’UDPS/Tshisekedi qui était en Congrès extraordinaire, le samedi 26 août 2023, depuis Nganda Yala, à N’Sele, dans l’autre versant Est de Kinshasa, a voté à l’unanimité cette décision, qui entérine les résolutions prises pendant les assises de la Commission disciplinaire du parti tenues en janvier dernier à Kisantu, dans le Kongo Central.

A l’issue du Congrès extraordinaire du parti  Présidentielle 2023 : Félix Tshisekedi investi Candidat de l’UDPS !

Augustin Kabuya : « présidentiable national » pour l’Udps ? Et pourquoi pas...

L'Udps entre en congrès extraordinaire ces vendredi 25 et samedi 26 août 2023. Objectif affiché : entériner la candidature de Félix Tshisekedi à la présidence de la République au scrutin du 20 décembre prochain.
Dans les réseaux sociaux circule déjà une info faisant état de la possibilité de voir Augustin Kabuya à la tête du parti en qualité de président national, poste demeuré vacant depuis l'investiture de Félix Tshisekedi au poste de Président de la République le 24 janvier 2019.
Si cette info est vraie, c'est quelque chose de gagné dans la normalisation du fonctionnement de l'Udps conformément à ses statuts.
Qu'on ne s'embarrasse pas de le déclarer : depuis le 24 janvier 2019, ce parti vit en violation flagrante de ses statuts.
Que ce soit sous la présidence intérimaire confiée de façon unilatérale à Jean-Marc Kabund ou sous la « présidence virtuelle » du secrétaire général Augustin Kabuya, tout a été faux, tout est faux.
Au sein comme en dehors du parti, des voix se sont levées pour fustiger cet état des choses. Elles ont attiré l'attention des Tshisekedistes sur les risques de voir les Cours et Tribunaux invalider les listes des candidatures Udps à tous les niveaux - à commencer par la présidentielle de la République - introduites auprès de la centrale électorale par des personnes n'en ayant pas qualité de le faire au regard des statuts.
Ces voix n'auront finalement pas crié dans le désert. Car elles sont en voie d’être entendues.
Ce qui n’empêche pas de chercher à savoir pourquoi, au lendemain de l'investiture de son président national au poste de président de la République, le parti n’a pas osé organiser en bonne et due forme son congrès pour s'appliquer l'article 27 de ses statuts, tant il est vrai que la Constitution rend incomparable la fonction de chef de parti avec celle de chef d'Etat !
Cet article dispose : En cas de décès, de démission, d’empêchement définitif du Président du Parti, le Président de la Convention Démocratique du Parti assume son intérim pour un délai ne dépassant pas 30 jours au cours desquels il est tenu de convoquer une session extraordinaire du Congrès en vue d’élire un nouveau Président du Parti ; élection à laquelle il ne peut faire acte de candidature ».
On ne saura peut-être jamais pourquoi le parti passant pour défenseur attitré de l'Etat de droit s'est complu dans l'exception, une fois au pouvoir.
Il faut avouer que ce n'est pas une première dans l'histoire de l’Udps.
On se souviendra qu'après la mort d'Etienne Tshisekedi le 1er février 2017, le parti est resté sans président national pendant un an et deux mois. En effet, le congrès ayant porté Félix Tshisekedi à la succession avait organisé les 30 et 31 mars 2018.
Certes, on peut supposer qu'au sein du parti, certains sont dans la logique de ramener Félix Tshisekedi à la tête de l'Udps une fois à la fin de son mandat de président de la République.
Là, c'est une erreur que de croire Félix Tshisekedi, une fois au terme de son mandat de chef d'Etat, apte à redevenir chef de parti, et encore bon chef. Ce n’est ni facile, ni aisé.
Ses proches doivent alors l’apprendre (à leurs dépens) : l'homme a atteint un niveau d'autorité tel que pour préserver sa dignité, il ne devra plus agir en président national de l'Udps et commencer à débattre non pas qu'au sein de son parti, mais également avec ses collègues chefs des partis.
Avec les joutes oratoires qui caractérisent les débats politiques qu'il qualifiait à l'époque de «débats de caniveaux», il a tout intérêt, une fois Sénateur à vie, à se mettre au-dessus de la mêlée.
Dans des pays de tradition démocratique comme en France, on n'a jamais vu un Président de la République sorti reprendre la gestion quotidienne du parti après l'Élysée.
D'ailleurs, si on n'est dans la logique du sénateur à vie privé de tout droit de postuler pour la présidentielle, il ne servira à rien de rester à la tête du parti sans aucune possibilité de revenir à la magistrature suprême.
Moralité : de un, l'Udps ne survivra qu'en rentrant dans ses statuts et son règlement intérieur.
De deux, avec sa première expérience de gouvernance institutionnelle, ce parti a suffisamment de matières pour adapter ses textes à la gestion de l'opposition et du pouvoir.
De trois, Augustin Kabuya peut être élu président national du parti, poste dont le mandat n'est soumis à aucun timing ! Mais, au moins, qui lui reconnaît en tant que «symbole de l’unité» notamment les compétences suivantes : «Il (elle) représente et engage le Parti conformément aux dispositions statutaires et réglementaires», «Il (elle) nomme, et le cas échéant, relève de leurs fonctions les membres de la Présidence», «Il (elle) s’investit et s’implique dans le processus électoral national conformément à l’article 10 des présents Statuts», «Il (elle) nomme les délégués du Parti à la structure électorale nationale et y transmet la liste des candidats investis par le Congrès ou la Convention Démocratique du Parti» et «Il (elle) négocie et signe les alliances politiques».
Au congrès extraordinaire qui se tient ces 25 et 25 août 2023, l'option pourrait être levée pour un congrès ordinaire à tenir dans les délais…statutaires !
Augustin Kabuya " présidentiable national " pour l'Udps ? Pourquoi pas si l'objectif reconnu par tout le monde, comme relevé ci-dessus, est de ramener l'Udps dans ses statuts, c'est-à-dire, sa Constitution !
Omer Nsongo die Lema/CP

 

Augustin Kabuya : « présidentiable national » pour l’Udps ? Et pourquoi pas...

MSC : Bita Inana appelle la population de Kasongo Lunda à soutenir Félix Tshisekedi

Bita Inana Batty s’est révélé un ticket gagnant de la jeunesse du Territoire de Kasongo Lunda dans la province de Kwango. Il a beau répété à la population qu'il est entièrement et exclusivement concentré sur son travail de faire valoir la vision de son Parti, le Mouvement de Solidarité pour le Changement, de son Autorité Morale Laurent Batumona en ce qui concerne les élections de 2023, la redynamisation des activités et la conscientisation des membres. Déterminé à accorder une majorité rajeunie au président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo et, apporter le changement dans la vie de ses frères et sœurs de Kasongo - Lunda, Bita Inana, fils du terroir s’est procuré la mission d'éveiller les consciences de ses concitoyens.
Après le dépôt de sa candidature à la Députation nationale sur la liste du regroupement politique Alliance des Acteurs Attachés au Peuple AAAP, dans sa circonscription électorale de Kasongo Lunda province du Kwango, le jeune leader politique kwangolais, BITA INANA Batty passe d'un village à l'autre traversant des brousses et forêts du grand territoire Kasongo Lunda pour ramener les consciences au changement que prône Laurent Batumona.
Devant les grandes manœuvres électorales qui vont bel et bien commencer dans les jours qui viennent, il devrait en avoir la confirmation et le cœur net sur l’implantation de son parti, le MSC. A cet effet, il lance : "2023 simba motema Bita Inana aleka Kasongo Lunda emona bolamu", est la dénomination de la campagne que va mener l'abeille de Laurent Batimona.
Le MSC est en ordre de marche électorale
En sa qualité de Secrétaire Exécutif National Chargé de Recrutement et Implantation du parti Mouvement de Solidarité pour le Changement, Bita Inana a rassuré que « Le MSC est en ordre de marche électorale », et s'apprête à fixer la population une feuille de route chargée : défendre le bilan de Félix Tshisekedi durant son premier mandat bien sûr et aussi critiquer les projets de l’opposition.
Il a profité de l'occasion pour étendre son parti le MSC sur sa terre natale. Il a également interpellé le gouvernement : " Le territoire de Kasongo Lunda qui, depuis l'avènement des élections démocratiques en RDC, les projets de développement du gouvernement de la République pour son territoire moisissent dans le tiroir en dépit du grand nombre d'élus au parlement tant national que provincial’’. Il estime, en d’autres termes, que sa plaidoirie pour la cause de sa population est comme une arme électorale à brandir lors de la campagne d'éveil électoral devant la jeunesse de l'espace Lunda qui accueille désormais cette idée avec joie’’. Cette jeunesse lui a rassuré lors d’un entretien que son émancipation va permettre à accompagner Félix TSHISEKEDI dans sa vision de bâtir un État de droit, les infrastructures dans les 145 territoires de la RDC. Il dénonce par la suite que la vision du Chef de l’Etat est bloquée par les anciennes figures politiques qui lui cache le trésor de l'imperium de la jeunesse dans Kasongo Lunda".
Pour sa part, la population de Kasongo Lunda se dit chanceuse d'avoir Bita Inana comme jeune leader. "Nous sommes très contents d'avoir un jeune courageux comme BITA INANA Batty qui va désormais nous défendre. Nous le soutenons pour qu'ensemble nous puissions atteindre notre but", clamait le Président du Syndicat des enseignants de Kasongo Lunda, Darius Mitsotso. La seule difficulté de la jeunesse, a-t-il ajouté, est le manque des moyens financiers qui peuvent nous permettre la visibilité du Président et des candidats de notre parti politique.
En attendant la compagne électorale, Bita Inana sollicite la vigilance de la population de Kosongo - Lunda pour que cette dernière ne se retrouve plus dans la situation d’otage des politiques sans vision.
La Pros.

 

MSC : Bita Inana appelle la population de Kasongo Lunda à soutenir Félix Tshisekedi

UDPS : Augustin Kabuya nomme des membres du bureau de la commission technique pour la préparation du Congrès

C’est confirmé. Du vendredi 25 au samedi 26 août 2023, l’Union pour la démocratie et le progrès social, UDPS, va en congrès extraordinaire à Kisantu, dans le Kongo Central. Après l’annonce officielle faite par le chef du parti au pouvoir lors de sa toute dernière causerie morale avec les membres de son parti, la liste de membres du bureau de la commission technique qui doivent préparer ces assises vient d’être dévoilée.

Il s’agit du congrès qui va réunir toutes les têtes d’affiche du parti au pouvoir, les représentants de toutes les structures, pour désigner, ensemble, le candidat commun à l’élection présidentielle de décembre prochain. Dans un communiqué signé, le secrétaire général du parti, Agustín Kabuya, charge la mission à sept personnes du parti d’arborer le lieu et planter le décor pour ces assises qui s’annoncent décisives.

Il s’agit de membres de la Coordination de la Commission technique Préparatoire du Congrès Extraordinaire qui sont : PHONGO DILU Aimée : Coordonnateur ; BANDUBOLA MBONGO Acacia : Coordonnatrice Adjointe ; DIKOMA KITENGE J.P : BARUTI LIMBAYA Clément : Secrétaire-Rapporteur ; MAYO BIEME Elvis : Secrétaire-Rapporteur Adjoint, KANZA DIASIVI Irene : Chargée des finances ; ASUKA EMINA Josée : Chargée des finances Adjointe.

En effet, comme l’UNC de Vital Kamerhe, l’UDPS va renouveler son choix à Félix Tshisekedi pour un autre mandat à sa propre succession en le désignant candidat commun du parti pour 2023.

Troisième sur la liste provisoire de partis politiques ayant atteint le seuil d’éligibilité requis, le parti du Sphinx de Limete se trouve face à deux défis à relever et se voit donc obliger de prouver, une fois de plus à la face du monde, sa force connue d’antan de parti de masse, à l’issue des prochaines joutes électorales.

Deux défis majeurs sont en face de cette formation politique, à elle seule : il s’agit notamment d’offrir une majorité parlementaire confortable à Félix Tshisekedi au niveau de l’Assemblée nationale comme au Sénat, mais également, dans la plupart d’Assemblées provinciales du pays.

L’UDPS a aligné au moins 453 personnes à la députation nationale, sur la liste validée par la commission électorale indépendante. Elle annonce déjà, 780 candidats pour la députation provinciale.

Fidel Songo

UDPS : Augustin Kabuya nomme des membres du bureau de la commission technique pour la préparation du Congrès

Des réformes annoncées au sein de l'Union Nationale de la Presse du Congo

L'Union Nationale de la Presse du Congo organise une cérémonie ce mardi 22 août à Béatrice Hôtel afin de présenter la nouvelle charpente qui constituera désormais ses piliers.
Cette cérémonie fait suite à de vastes mesures prises par cette instance d’autorégulation entreprises depuis l'année dernière.
En effet, à la suite de la tenue des états généraux de la presse en janvier 2022 dont l'une des recommandations était la restructuration de l'UNPC, le comité directeur de cette structure s'est réuni dans le but d'examiner les causes à la base des différentes crises qui ont secoué l'instance depuis près d'une vingtaine d'années.
De cette réunion est sortie la décision de revisiter les textes statutaires de l'organe, de deux statuts particuliers de la commission de discipline et de la commission d'octroi de l'identité professionnelle.
A l'issue des travaux du comité directeur, un comité scientifique composé d'anciens présidents de l'UNPC, d'experts en journalisme, en droit et de professionnels des médias a été mis en place.
Celui-ci a, en premier lieu, travaillé du 22 au 31 mai sur la fusion de 3 statuts en un texte unique tout en mettant sur pied des commissions, des organes techniques de l'UNPC dont le fonctionnement est défini dans le règlement d'ordre intérieur.
En outre, il s'agissait aussi de mettre à jour le manuel des procédures administrative et financière.
En 2e lieu s'est tenue la plénière du comité scientifique qui a auditionné le rapport des travaux des experts et a fait des observations intégrées par la suite dans les documents statutaires, réglementaires et procéduraux de l'UNPC.
Par ailleurs, les participants attendus à cette cérémonie sont, entre autres, le Ministre de la Communication et Médias, le groupe Inter Bailleur Médias, le comité scientifique, les membres de l'Union et les journalistes.
Déborah Nitu

 

Des réformes annoncées au sein de l'Union Nationale de la Presse du Congo

Devant la population de la Tshangu, Elections 2023 : Francis Tshibalabala prêche la réélection de Félix Tshisekedi

Au cours d’un meeting populaire, tenu dimanche 13 août 2023, au terrain Ste Thérèse de N’djili, Francis Tshibalala, Député provincial, a échangé avec les habitants de la Tshangu sur la réélection de Félix Tshisekedi à la magistrature suprême. Il a également profité de l’occasion pour présenter le bilan du Chef de l’Etat de la RDC, dont il estime positif. Ainsi, il a invité la population congolaise à se mettre derrière le père de la Nation et de le soutenir aux prochaines aventures électorales, prévues en décembre 2023.    

D’entrée de jeu, l’élu de Masina a remercié la population de la Tshangu et les cadres de l’UDPS qui ont répondu massivement à son invitation, avant toutefois de présenter de manière la plus détaillée, le bilan de Félix Tshisekedi après son quinquennat à la tête de la RDC, dont il a indiqué que, sur l'aspect justice et droit de l'homme, Félix Tshisekedi a instauré l'Etat de droit. D’après lui, il a libéré les prisonniers politiques qui étaient arrêtés de manière arbitraire. Sur le secteur éducationnel, le Chef de l'Etat a décrété la gratuite de l'enseignement de base pour permettre à tout enfant d'accéder à l'école, ainsi qu’au niveau de l'enseignement supérieur, quelques universités sont réhabilitées au standard moderne pendant son ère. Il a aussi mécanisé les enseignants. Sur l'aspect sécuritaire, plus de 5000 jeunes congolais sont recrutés dans l'armée congolaise afin de combattre contre les rebelles du M23 qui sèment la désolation à l'Est de la RDC. «Je remercie tout le monde qui est venu dans ce lieu pour soutenir cette activité, particulièrement les cadres et candidats Députés de l’UDPS. Nous avons soutenu la candidature du Président de la République en 2018, c’est pour cela, je me sens très heureux de présenter le bilan de Félix Tshisekedi. Son bilan est positif car, pendant son mandat, il a réussi à instaurer l'Etat de droit, rendre l’effectivité de la gratuité de l’enseignement, réhabiliter les infrastructures routières et sportives. Sur ce, vous devez voter massivement Félix Tshisekedi pour la continuité de sa vision », a-t-il souligné.

Face à cet état de lieu, le Vice-Président de l’Assemblée provinciale de Kinshasa, a encouragé la population de la Tshangu, à choisir le bon côté de l’histoire qui va transformer la situation socio-économique du district de la Tshangu en particulier, et celle de la RDC en général après les prochaines élections qui se pointent à l’horizon.

Par ailleurs, concernant son mandat à l’assemblée provinciale de Kinshasa, Francis Tshibalabala, a signalé qu’au cours de ces cinq dernières années, il a initié la loi portant protection des emprises de route et les espaces publics de la Ville de Kinshasa. En termes de réalisation, il a procédé à la réhabilitation de quelques écoles dans la commune de Masina. Il a également organisé plusieurs tournois de football pour participer à l’encadrement de la jeunesse de cette municipalité.

Francis Tshibalabala sollicite le soutien et l’accompagnement des électeurs de la Tshangu car, cette fois-ci, il est candidat Député, aux législatives nationales dans cette circonscription.

Ronsard Malumalu

Devant la population de la Tshangu, Elections 2023 : Francis Tshibalabala  prêche la réélection de Félix Tshisekedi
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