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Après qu'ils aient été au pouvoir, le MPR et le PPRD ont "disparu". Qu'en sera-t-il de l'UDPS?

(Par Hubert Mwipatayi) 

Si goûter au pouvoir est une bonne chose, tenir ou continuer d'exister après ça n'est pas facile. Le MPR, le PPRD et le PALU en donnent l'illustration.  Quid demain de l'UDPS?

Le Mouvement populaire de la révolution de Joseph Désiré Mobutu n'a pas pu tenir longtemps lorsque le Maréchal du Zaïre a quitté le pouvoir en 1997. En digne héritier politique, le fils du défunt président, Nzanga Mobutu, a tenté de perpétuer l'idéologie de son géniteur, mais sans succès. Pas même Catherine Nzuzi Wa Mbombo n'a pu...

Toute chose ayant un début et une fin,  le mobutisme a pratiquement tiré sa révérence.

D'autre part, il a fallu qu'Antoine Gizenga Fundji goûte au pouvoir comme premier ministre pour que son parti commence son processus de désintégration. Aujourd'hui, sans avoir accédé à la magistrature suprême, le Parti Lumumbiste Unifié (PALU) n'est plus resté debout.  Il continue au contraire  à se déchirer...

Que dire brièvement de l'Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo (AFDL)? Comme mouvement de libération prédateur, ce "conglomérat d'aventuriers" a disparu comme un feu de paille quelque temps après l'accession de Laurent Désiré Kabila au pouvoir, ses parrains rwandais ayant démontré qu'ils n'étaient là que pour piller le Congo au profitde Kigali. 

Quant au Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD), ce dernier est carrément en train de vivre ses derniers instants avant la disparition. Depuis son départ du pouvoir,  Joseph Kabila, pourtant autorité morale de cette formation politique,  a opté pour l'idéologie "motus et bouche cousue". Muet, JKK a laissé la charge du PPRD sur les épaules de Ramazani Shadary et Ferdinand Kambere que l'on entend souvent sur les ondes de Top Congo FM. Emmanuel Shadary, connu comme "coup sûr coup", fait lui aussi un profil bas comme Joseph Kabila, au point que d'aucuns se demandent si réellement le PPRD continue à tenir régulièrement ses réunions... D'où la lancinante question qui taraude les esprits : comment fera Joseph Kabila pour remettre son parti sur le rail?

En réalité, c'est ce dernier parti qui devait être la première force politique d'opposition  du pays. Hélas !

Que dire alors de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), parti historique du Sphinx?  Certains observateurs se demandent si ce parti cher au lider maximo tiendra longtemps après le deuxième mandat du président Tshisekedi. Tristement, le constat est que les membres de l'UDPS qui accompagnent le Président de la République n'ont pas pu faire la différence. Nombreux auraient sombré dans des compromissions graves et des dossiers de détournement. 

En effet, l'opinion est arrivé à la conclusion selon laquelle que ce soit l'époque de Mobutu, de Laurent Désiré Kabila, de Joseph Kabila ou de Félix Tshisekedi, les antivaleurs dont l'enrichissement sans  cause, la corruption et le détournement sont un dénominateur commun. Ils ont tous pour caractéristiques : parlementaires qui se soucient seulement de leurs avantages, ministres qui détournent les deniers de l'Etat,  magistrats qui se font corrompre...

Au regard de tous ces éléments,  il y a lieu de s'interroger davantage de l'UDPS.  Reviendra-t-elle dans l'opposition au terme des deux mandats de Fatshi? Avec quel discours? Continuera-t-elle à dénoncer la corruption? Ses militants feront-ils des marches de protestation comme par le passé? Qui osera donner le mot d'ordre pour une journée ville morte? 

Pour rappel,  après ses deux mandats, le président Tshisekedi deviendra lui aussi sénateur à vie.

Hubert Mwipatayi/CP

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UDPS/Tshisekedi : le Collectif des Cadres et Membres lance une interpellation !

« Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI, en sa qualité de structure d’appui autonome, plaide en faveur de la dissolution pure et simple et ce, par voie administrative, des tendances UDPS/TSHISEKEDI, UDPS/KIBASSA, UDPS/TSHIBALA, UDPS/MUBAKE qui fonctionnement illégalement au mépris de la loi portant organisation et fonctionnement des partis politiques en République Démocratique du Congo », déplore cette Structure, qui exige des mesures idoines pour la restauration, dans les plus brefs délais, de l’idéologie des pionniers du parti. Voici la déclaration :

Déclaration politique du Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI

Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI, Structure d’appui autonome du Parti, a examiné, au cours de sa réunion hebdomadaire de ce mercredi 08 Mai 2024, l’état chaotique dans lequel se trouve la Tendance UDSP/TSHISEKEDI actuellement au pouvoir, et rend public la Déclaration Politique dont la teneur ci-dessous :

1. Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI dénonce la violation flagrante de l’article 10 des Statuts de la Tendance UDPS/TSHISEKEDI qui a fixé, entre autres objectifs, « L’INSTAURATION DE LA BONNE GOUVERNANCE, LA LUTTE CONTRE LA CORRUPTION ET AUTRES ANTI-VALEURS » par son arrogante direction en exercice.

2. Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI constate, non sans amertume, que la bande à KABUND-KABUYA-PETER KAZADI et autres Combattants de la 25me heure de la génération spontanée qui a fait la main basse sur la Tendance UDPS/TSHISEKEDI, a trahi l’idéal noble de l’héroïque combat qui avait mobilisé et fondé les espoirs des millions de Congolais de voir se construire en République Démocratique du Congo, une grande démocratie et un véritable Etat de droit, gage d’un réel progrès social pour leur bien-être.

3. Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI constate fort malheureusement que la Tendance UDPS/TSHISEKEDI fait la honte du combat implacable de l’UDPS Originelle, lequel combat a été mené pendant plus de trois décennies.

4. Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI condamne, sans réserve, les actes répréhensibles dont les auteurs se recrutent parmi les membres de la Tendance UDPS/TSHISEKEDI notamment les vols, l’exclusion, la mauvaise gouvernance, la corruption, les détournements des deniers publics, le népotisme, l’égoïsme, le clientélisme, le gangstérisme politique et autres anti-valeurs coulés sous la répugnante formule de « TOSA OBIKA » mise en place un « petit parlementaire-debout » élevé, sans le mériter, au rang d’animateur principal de ladite tendance à cause de ses courbettes et salamalecs indignes d’un vrai militant d’un parti social-démocrate de l’Internationale Socialiste.

6. Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI, en sa qualité de structure d’appui autonome, plaide en faveur de la dissolution pure et simple et ce, par voie administrative, des tendances UDPS/TSHISEKEDI, UDPS/KIBASSA, UDPS/TSHIBALA, UDPS/MUBAKE qui fonctionnement illégalement au mépris de la loi portant organisation et fonctionnement des partis politiques en République Démocratique du Congo.

7. En conséquence, le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI demande enfin aux Quatre Fondateurs Historiques encore en vie de s’assumer en convoquant les assises de renaissance de l’UDPS Originelle.

Fait à Kinshasa, le 09 Mai 2024.

POUR LA COORDINATION NATIONALE

Felly FWAMBA MUBALAMATE

Coordonnateur National

Désiré NGANGU ZAKANDA

Premier Coordonnateur Adjoint

Rigobert MULONDA TSHIBOLA MULUME

Deuxième Coordonnateur Adjoint

Brigitte DIYOYO KAMUINA NSAPU

Troisième Coordonnatrice Adjointe

Jules Roger NSEVANI

Secrétaire-Rapporteur

Dr Jean-Félix KALONJI KATAMBWA

Trésorier

Jean-Marie ILUNGA wa MULAMBA En faveur de qui

Caissier

Pierre-Damien TSHIMANGA NGINDU

Conseiller

Crispin KABASELE TSHIMANGA BABANYA KABUDI

Président du Conseil des Sages

Jean-Pierre MUNOKO KADINGU KADIEBWE

Vice-Président du Conseil des Sages

Elodie LUSAMBA LUMBALA

Secrétaire du Conseil des Sages

Maurice KANYINDA NTUMBA

Conseiller au Conseil des Sages

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Pages d’opinions libres de Me Jean Claude KATENDE, « Mon conseil au Président TSHISEKEDI : Ne touche pas aux dispositions verrouillées de la Constitution»

Le Président TSHISEKEDI a annoncé le 3 mai 2024 sa volonté de réviser la Constitution ou de doter le pays d’une autre Constitution, en ces termes : «Je mettrai en place une commission qui réfléchira sereinement sur comment nous doter d’une Constitution digne de notre pays».

Les choses que nous entendions, depuis 2021, au milieu des membres de l’UDPS et selon lesquelles on disait : « nous allons changer la Constitution pour donner au Président un autre mandat » commencent à se préciser ». L’opinion est en train d’être préparée petit à petit à accepter le fait accompli. 

Devant la diaspora congolaise à Bruxelles la semaine passée, le Président TSHISEKEDI a franchi un nouveau pas en parlant de la commission qui réfléchira sur comment doter le pays d’une constitution « digne ? ». 

Je rappelle au Président TSHISEKEDI que la Constitution actuelle est le résultat d’un processus long et douloureux qui a vu beaucoup de congolais mourir soit par la guerre soit par les troubles sociaux et politiques. Personne n’a le droit d’oublier tout ce parcours pour ses propres intérêts de conservation du pouvoir. 

En Afrique, je n’ai pas encore vu un Président de la République qui a révisé ou changé la Constitution de manière désintéressée et uniquement pour l’intérêt du pays.  Je doute que l’initiative que le Président a annoncée soit dans l’intérêt du pays. Sa gouvernance du pays ne me permet pas de croire le contraire. 

Je rappelle au Président TSHISEKEDI que la Constitution actuelle est la base qui permet aux congolais d’accepter les institutions actuelles, malgré les conditions dans lesquelles les élections ont été organisées en 2023, d’une part, et de s’opposer à tout autre groupe qui veut prendre le pouvoir par la force, d’autre part. Briser ce symbole de stabilité du pays, c’est livrer le pays à l’inconnu.

Le régime du Président Kabila avait révisé la Constitution en 2011, mais il n’avait pas touché aux dispositions verrouillées. Toute tentative de toucher auxdites dispositions avait mobilisé les congolais contre le régime du Président Kabila. 

Toute tentative de réviser la Constitution ou de changer la Constitution en modifiant notamment le mode d’élection du Président de la République, le nombre et la durée des mandats présidentiels rencontrera la même résistance. Pareille tentative affectera la légitimité du pouvoir du Président TSHISEKEDI et la stabilité du pays. 

Même au sein de sa majorité actuelle au pouvoir, il y a des gens qui ne disent rien par esprit de conserver encore pour un temps les avantages que leur donne le pouvoir, mais ils ne sont pas prêts à accepter que le Président TSHISEKEDI fasse un troisième mandat ou qu’il puisse prolonger la durée de son mandat. Les gens qui ont lâché le Président Joseph KABILA au grand jour, sans scrupules, ils lâcheront aussi le Président TSHISEKEDI de la même façon. 

Révisez toutes les autres dispositions de la Constitutions, mais abstenez-vous de toucher aux dispositions verrouillées. 

Prenez vraiment en compte ce conseil qui est dur, surtout quand on a déjà touché aux délices du pouvoir, mais qui est juste et vrai. 

« Quand un chef ne s’entoure que des gens qui lui disent ce qu’il aime, il doit savoir qu’il est entouré des traitres ». 

Fait à Kinshasa, le 05 mai 2024.

Prière de partager largement cette page. 

Me Jean Claude KATENDE

 (X : @JeanClaudekat2)

Téléphone : +243811729908(WhatsApp)

Le Gardien du Temple.

Pages d’opinions libres de Me Jean Claude KATENDE, « Mon conseil au Président TSHISEKEDI : Ne touche pas aux dispositions verrouillées de la Constitution»
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Gouvernement Judith Suminwa : la NSCC dans l’attente des résultats

COMMUNIQUE DE PRESSE

La NSCC averti déjà que dans les 100 premiers jours du «Gouvernement Judith Suminwa» si la situation chaotique que traverse le pays ne connait pas le début de solution durable, au lieu d’être derrière son action, la NSCC sera en face.

La « Nouvelle Société Civile Congolaise », NSCC en sigle, salue la nomination de Madame Judith Swamina Tuluka comme première ministre, une première dans l’histoire politique de la RDC. Cependant cette nomination ne devrait pas occulter les défis majeurs auxquels fait face et assiste impuissamment le peuple congolais sur le plan sécuritaire, économique et sociale. Toutes les pistes de solutions proposées et exploitées à ce jour ne semblent rien apporter dans l’amélioration du quotidien des citoyens. Les congolais brulent d’impatience de voir votre programme apporter des solutions : 1. sur le plan sécuritaire, la RDC fait face dans sa partie orientale à l’agression barbare organisée par le Rwanda et l’Ouganda avec la complicité des certaines puissances étrangères et régionales (cas du Kenya et autres) qui semblent jouer à l’hypocrisie, mais ayant un agenda de la balkanisation et de pillage des ressources naturelles du pays. Près de 7 millions de déplacés internes sans assistance humanitaire régulière, plusieurs villages et des écoles brulés hypothéquant l’avenir des enfants comme si la RDC n’avait pas un Gouvernement ; 2. sur le plan de la gouvernance économique, le détournement de denier public devenu sport national accentué par la corruption et l’impunité organisée, caractérisent la gestion de la chose publique actuelle, une économie totalement extravertie, dépendant à 90% des importations sans aucune production locale fiable et cela dans tous les secteurs de la vie nationale ; 3. sur le plan social, les fonctionnaires de l’Etat ont perdus sensiblement le pouvoir d’achat avec des salaires de misère difficilement payable, l’accès aux soins de santé primaire, à l’éducation et à l’eau potable de qualité demeurent un sérieux problème. Que dire de l’état des routes de desserte agricole et celles de centres urbains ? 4. avec la levée de moratoire sur la peine de mort avec une justice malade à en croire le magistrat suprême lors d’une de ses interventions publiques, sans réforme en profondeur, la NSCC craint le règlement de compte, la corruption, monnayage et jugement fantaisiste, surtout beaucoup des victimes risquent de se faire enregistrées dans le rang des innocents.

 

Gouvernement Judith Suminwa : la NSCC dans l’attente des résultats
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RAFATT : Lisanga Bonganga réagit !

DECLARATION POLITIQUE

Le Rassemblement des Alliés de Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, RAFATT en sigle, porte étendard du leadership éclairé de son Excellence Monsieur Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, Président de la République, Chef de l’Etat, suit attentivement l’évolution de la situation politique de notre Pays, marquée en ce moment, d’une part, par le communiqué sans date précise du Front Commun pour le Congo «FCC» et le communiqué de presse du 06 avril 2024 du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie « PPRD » en rapport avec la déclaration de l’Honorable Augustin KABUYA, Secrétaire Général de l’UDPS/TSHISEKEDI, à l’endroit de Monsieur Joseph KABILA KABANGE, Président de la République Honoraire et Sénateur à vie ainsi que, d’autre part, par le discours de Monsieur Paul KAGAME, Président du Rwanda, prononcé à l’occasion du 30ème anniversaire du génocide commis dans ce Pays. Sans qu’il ne soit nécessaire d’entrer dans les détails des communiqués et du discours sus évoqués, le Rassemblement des Alliés de Felix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO déclare ce qui suit :

1. Monsieur Joseph KABILA KABANGE est un ancien Président de la République de notre pays. A ce titre, il reste Sénateur à vie. Contrairement aux communiqués du FCC et celui du PPRD, le Président de la République Honoraire et Sénateur à vie, Monsieur Joseph KABILA KABANGE devrait être politiquement oublié et ne plus servir de béquille aux ambitions politiques de ses anciens compagnons mélancoliques du FCC et du PPRD.

2. Le réveil politique tant recherché par ses anciens camarades aujourd’hui désillusionnés et irrités notamment par l’organisation réussie et dans le délai Constitutionnel, des élections générales du 20 décembre 2023 est à l’antipode du silence frisquet et assourdissant de leur ancien maitre à penser, silence qui, du reste, n’intéresse en rien le Peuple Congolais. Pour le Rassemblement des Alliés de Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, le Sénateur à vie Joseph KABILA KABANGE ayant fait son temps n’a plus besoin de fanatiques, des militants et autres agités pour exalter son bilan. L’Histoire, du reste, s’en occupe déjà. Toutefois, le RAFATT s’étonne que la plume signataire de l’Accord du 23 mars 2009, ayant livré ainsi le Pays au régime de Kigali, soit la même qui a signé le communiqué de diversion du FCC.

3. S’agissant du discours du Président Rwandais Paul KAGAME, en rapport avec le génocide dont il cherche constamment et désespérément à se dédouaner et en imputer la responsabilité à la Communauté Internationale, le RAFATT tient, ici et maintenant, à rappeler que l’élément déclencheur du génocide Rwandais d’avril 1994, déploré à bon escient par tous, est l’ignoble assassinat par le Front Patriotique Rwandais « FPR » placé sous le commandement, jusqu’à ce jour, de Monsieur Paul KAGAME, des Présidents Juvénal HABYARIMANA du Rwanda, Cyprien NTARYAMIRA du Burundi et leurs compagnons d’infortune de Haut rang, sans oublier les membres de l’équipage Français de l’avion abattu.

4. Dans ce même ordre d’idées, le Rassemblement des Alliés de Felix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO fustige l’utilisation abusive par le pouvoir de KAGAME de la tragédie du génocide Rwandais comme un fonds de commerce politique et diplomatique exerçant une pression permanente sur la Communauté Internationale, en vue de lui permettre, en complicité avec certaines puissances occidentales, de piller systématiquement les ressources naturelles de la RDC, au travers de guerres d’agression à répétition ayant entrainé le génocide de plus de 10 millions de morts des congolais innocents dans l’insouciance et l’indifférence totale de la Communauté Internationale, malgré le rapport MAPING de l’ONU quant à ce.

5. En tout état de cause, le Rassemblement des Alliés de Felix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO encourage son Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, dans son combat acharné de dénicher tous les infiltrés et les traitres ainsi que d’autres corrompus nuisibles à la Nation Congolaise afin que ceux-ci soient nettoyés et purifiés de nos Forces Armées, des Services de Sécurité et de la classe politique congolaise dans leur noble lutte pour la sauvegarde de la paix, de la sécurité et de l’intégrité du Territoire National. « SALUS POPULI SUPREMA LEX ; LE SALUT DU PEUPLE EST LA LOI SUPREME »

Fait Kinshasa, le 11/04/2024

POUR LE RAFATT

Jean Pierre LISANGA BONGANGA

Coordonnateur Président National de la Convention Chrétienne pour la Démocratie

RAFATT : Lisanga Bonganga réagit !
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RAFATT : Lisanga Bonganga réagit !

DECLARATION POLITIQUE

Le Rassemblement des Alliés de Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, RAFATT en sigle, porte étendard du leadership éclairé de son Excellence Monsieur Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, Président de la République, Chef de l’Etat, suit attentivement l’évolution de la situation politique de notre Pays, marquée en ce moment, d’une part, par le communiqué sans date précise du Front Commun pour le Congo «FCC» et le communiqué de presse du 06 avril 2024 du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie « PPRD » en rapport avec la déclaration de l’Honorable Augustin KABUYA, Secrétaire Général de l’UDPS/TSHISEKEDI, à l’endroit de Monsieur Joseph KABILA KABANGE, Président de la République Honoraire et Sénateur à vie ainsi que, d’autre part, par le discours de Monsieur Paul KAGAME, Président du Rwanda, prononcé à l’occasion du 30ème anniversaire du génocide commis dans ce Pays. Sans qu’il ne soit nécessaire d’entrer dans les détails des communiqués et du discours sus évoqués, le Rassemblement des Alliés de Felix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO déclare ce qui suit :

1. Monsieur Joseph KABILA KABANGE est un ancien Président de la République de notre pays. A ce titre, il reste Sénateur à vie. Contrairement aux communiqués du FCC et celui du PPRD, le Président de la République Honoraire et Sénateur à vie, Monsieur Joseph KABILA KABANGE devrait être politiquement oublié et ne plus servir de béquille aux ambitions politiques de ses anciens compagnons mélancoliques du FCC et du PPRD.

2. Le réveil politique tant recherché par ses anciens camarades aujourd’hui désillusionnés et irrités notamment par l’organisation réussie et dans le délai Constitutionnel, des élections générales du 20 décembre 2023 est à l’antipode du silence frisquet et assourdissant de leur ancien maitre à penser, silence qui, du reste, n’intéresse en rien le Peuple Congolais. Pour le Rassemblement des Alliés de Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, le Sénateur à vie Joseph KABILA KABANGE ayant fait son temps n’a plus besoin de fanatiques, des militants et autres agités pour exalter son bilan. L’Histoire, du reste, s’en occupe déjà. Toutefois, le RAFATT s’étonne que la plume signataire de l’Accord du 23 mars 2009, ayant livré ainsi le Pays au régime de Kigali, soit la même qui a signé le communiqué de diversion du FCC.

3. S’agissant du discours du Président Rwandais Paul KAGAME, en rapport avec le génocide dont il cherche constamment et désespérément à se dédouaner et en imputer la responsabilité à la Communauté Internationale, le RAFATT tient, ici et maintenant, à rappeler que l’élément déclencheur du génocide Rwandais d’avril 1994, déploré à bon escient par tous, est l’ignoble assassinat par le Front Patriotique Rwandais « FPR » placé sous le commandement, jusqu’à ce jour, de Monsieur Paul KAGAME, des Présidents Juvénal HABYARIMANA du Rwanda, Cyprien NTARYAMIRA du Burundi et leurs compagnons d’infortune de Haut rang, sans oublier les membres de l’équipage Français de l’avion abattu.

4. Dans ce même ordre d’idées, le Rassemblement des Alliés de Felix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO fustige l’utilisation abusive par le pouvoir de KAGAME de la tragédie du génocide Rwandais comme un fonds de commerce politique et diplomatique exerçant une pression permanente sur la Communauté Internationale, en vue de lui permettre, en complicité avec certaines puissances occidentales, de piller systématiquement les ressources naturelles de la RDC, au travers de guerres d’agression à répétition ayant entrainé le génocide de plus de 10 millions de morts des congolais innocents dans l’insouciance et l’indifférence totale de la Communauté Internationale, malgré le rapport MAPING de l’ONU quant à ce.

5. En tout état de cause, le Rassemblement des Alliés de Felix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO encourage son Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, dans son combat acharné de dénicher tous les infiltrés et les traitres ainsi que d’autres corrompus nuisibles à la Nation Congolaise afin que ceux-ci soient nettoyés et purifiés de nos Forces Armées, des Services de Sécurité et de la classe politique congolaise dans leur noble lutte pour la sauvegarde de la paix, de la sécurité et de l’intégrité du Territoire National. « SALUS POPULI SUPREMA LEX ; LE SALUT DU PEUPLE EST LA LOI SUPREME »

Fait Kinshasa, le 11/04/2024

POUR LE RAFATT

Jean Pierre LISANGA BONGANGA

Coordonnateur Président National de la Convention Chrétienne pour la Démocratie

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