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Affaire ‘’Lampadaires et forages’’, RDC : Nicolas Kazadi victime d’une campagne de diabolisation !

Affaire ‘’Lampadaires et forages’’, RDC : Nicolas Kazadi victime d’une campagne de diabolisation !

Un acteur politique congolais a appelé dernièrement, dans une petite réflexion, les Citoyens de Kinshasa à se montrer méprisants à l'égard de certaines pratiques avilissantes. A l’instar de la propagation de fakenews profusément diffusés dans certains médias et sur les réseaux sociaux sur des sujets aussi variés et parfois inutiles. 

Coup monté contre Nicolas Kazadi  

Aussitôt la Première Ministre nommée et les tractations pour former un gouvernement entrées dans leur phase ultime, un complot ourdi par un réseau mafieux insatisfait des blocages par Nicolas Kazadi de leurs dossiers ne visant qu'à piller l’Etat, et préparé depuis des mois en attendant le moment propice, va commencer à émerger partant d'une soi-disant enquête dont les éléments ne seront jamais révélés.

Ce réseau va organiser, par médias interposés, plusieurs émissions où l’on va affirmer, sans preuves ni fondements, que Nicolas Kazadi a détourné des millions de dollars américains destinés à la construction de 1.000 forages et à l’éclairage public de la ville de Kinshasa, le tout sans utiliser le conditionnel, mais avec des propos injurieux et outrageants envers celui qui jusque-là jouissait de la présomption d'innocence et ne faisait même pas l'objet d'une procédure judiciaire ou administrative. 

Nicolas Kazadi s’explique

Avant de saisir la justice pour demander volontairement qu'il soit auditionné sans que le Parquet près la Cour de Cassation ne soit obligé de requérir une autorisation de la plénière de l’Assemblée Nationale, l’élu de Miabi va tenter de s'expliquer via ses services et lors d'un briefing organisé par le Ministre de la communication et médias à l'occasion de la validation de la 6ème revue du programme avec le FMI, apportant des documents et différentes preuves pour appuyer sa défense, chose qui ne va pas arrêter ses comploteurs décidés de le faire sauter du gouvernement. Ce réseau va poursuivre sa campagne de dénigrement et de diffamation contre Nicolas Kazadi en soutenant qu'il est l’auteur de la surfacturation des forages et des lampadaires, alors que les deux projets sont antérieurs à son avènement à la tête du ministère des finances et n'ont pas non plus été initiés par ce ministère, le dossier forages étant un projet du ministère de développement rural et les lampadaires celui de l'hôtel de ville de Kinshasa. 

Toujours concernant l'accusation de surfacturation, ce lacis, selon les sources proches du dossier, va accuser Solektra, société de l'homme d'affaires malien Samba Bathily présenté comme proche de Nicolas Kazadi, d'avoir vendu à l'hôtel de ville de Kinshasa des lampadaires à un peu moins de 5.000 dollars américains, sans citer Gentiny Ngobila, alors Gouverneur de la ville de Kinshasa, qui a initié le projet, validé les coûts et sollicité les paiements, encore moins l’IGF Jules Alingete qui aurait validé ces différents paiements et qui aurait ensuite bloqué les lampadaires au port de Matadi pendant un an, retardant ainsi son exécution par Solektra qui avait déjà finalisé tout le génie civil pour débuter la pose de poteaux. 

Ce focus fait sur Solektra en l’accusant de surfacturation et détournement puisque le travail n’a pas été fait, ne visait en réalité que d'épingler Nicolas Kazadi et l’exposer à un lynchage de l'opinion, en omettant sciemment de préciser que Jules Alingete aurait bloqué les lampadaires à Matadi et refuserait d'exécuter l'exonération pour parachever le processus de dédouanement, encore moins qu'il y avait d'autres fournisseurs du même service à l'hôtel de ville qui ont vendu leurs lampadaires à plus de 6.200 dollars pour le cas de la société Proton, les enquêtes vont révéler par la suite que ces lampadaires étaient 5 fois moins bons que ceux vendus à moins de 5.000 dollars américains par Solektra et dont on s'est servi pour manipuler les masses, mais surtout que cette société appartient au Groupe Rawji qui est conseillé depuis plusieurs années par la société DACO, gérée, selon la même source, par la femme de l’IGF Jules Alingete, pour les déclarations fiscales qui font aujourd'hui l'objet d'enquêtes car plusieurs preuves indiquent que le numéro un de l’IGF aurait usé de sa position pour faciliter la fraude des taxes en échange de plusieurs millions de dollars. 

Jusqu'à ce jour, et ce malgré les preuves qui ont été massivement partagées et relayées par la presse, ce réseau ne va jamais faire mention de la facture de Proton à plus de 6.200 et continuer à soutenir qu'il y a eu surfacturation et détournement par Samba Bathily et Nicolas Kazadi. 

La même attitude est observée pour ce qui est des forages, la justice s'étant saisi du dossier, auditionné Nicolas Kazadi à sa demande, mené à bien l'instruction jusqu'à la fin, l’Assemblée Nationale ayant dans la foulée donné son autorisation pour la régularisation de la procédure d'instruction, Mike Kasenga, PDG de la société chargée d'exécuter le projet, et François Rubota, ministre du développement rural en charge du projet, vont être placés sous mandat d'arrêt provisoire, des indices sérieux de culpabilité pesant sur eux, et Nicolas Kazadi va pour sa part recouvrer sa liberté de mouvement avec la restitution de son passeport, ce qui, selon plusieurs analystes, indique que la justice l’a blanchi et que sa responsabilité n’a pas été établie, ni pour ce qui est de la non exécution conforme du projet, étant donné que depuis août 2023 et ce en réponse à la demande de paiement de la deuxième tranche conformément au contrat, l’ancien argentier national avait prévenu les concernés que tout paiement avait été bloqué jusqu'à ce que le taux d'exécution sur terrain de la première tranche reflète les sommes déjà libérées, soient un peu plus de 70 millions de dollars américains. 

Nicolas Kazadi n’a pas, non plus, été tenu responsable d'une quelconque surfacturation, puisque non seulement à ce jour aucune expertise technique n’a pu établir cela, mais surtout l’ancien ministre des finances est le seul à avoir douté des coûts initialement présentés et conseillé au ministère de développement rural de rediscuter les prix avec ses partenaires, ce qui a finalement abouti à une réduction de 35% grâce à une augmentation de la quantité de forages à livrer au pays. 

Cette levée de la mesure privant à l'élu de Miabi sa liberté de mouvement a été utilisée par le même réseau pour manipuler l'opinion, par presse interposée, et obtenir par la pression populaire sa suspension et sa condamnation.

Sans s’avouer vaincue, le samedi 29 juin, cette clique va s'adonner à la fabrication et propagation d'une série de fakenews, d'abord à propos d'un voyage de Nicolas Kazadi avec Air France prévu selon eux à 22h30, donnant même le numéro du siège qui n’est attribué qu’après les formalités, alors que le concerné n’avait prévu de voyager que le lendemain et fait toutes les réservations nécessaires, ensuite attester que ce dernier a été bloqué à l'aéroport et empêché de prendre son vol après avoir effectué toutes les formalités, son fils s’étant battu avec un agent de la DGM, pour aboutir à un accident imaginaire dans son véhicule sur son chemin de retour qui a conduit à son évacuation en Afrique du Sud dans un état critique,  avec vidéo de l’accident à l’appui, le tout pendant que le concerné était dans son salon, entouré de sa famille, en train de suivre abasourdi cette démonstration de la haine gratuite et assister à ce scenario rocambolesque. 

C'est ce dimanche que l’ancien argentier va prendre son vol pour Paris où il doit répondre à une série de rendez-vous avec ses médecins après avoir été bloqué deux mois au pays le temps de cette instruction qui selon toute vraisemblance l’a mis hors de cause.

Mais comme si cela ne suffisait pas, ils ont fait publier sur les réseaux sociaux le numéro d'enregistrement de ses bagages en les photographiant au comptoir d'enregistrement, avec une vidéo des bagages en train d'être envoyés.

Ceci est d'autant plus grave que ça pause un sérieux problème de sécurité qui pourrait engager la responsabilité de la compagnie Air France et de la DGM.

D’autres sources indiquent que toutes ces informations montées de toutes pièces et largement relayées ces 4 derniers jours ne serviraient qu'à détourner l’attention sur les graves révélations de la mafia financière qu’organiserait l’IGF Jules Alingete autour des chinois, indiens, pakistanais, et autres expatriés qui font du business au Congo et chapardent le trésor public, en complicité avec des responsables politiques et administratifs censés garantir les intérêts du pays. 

La Pros.

 

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