« Femmes congolaises, réveillez-vous : pendant que les Rwandaises Tutsies se déploient pour leur patrie, vous détruisez la vôtre !»

Au terme de son séjour à Bruxelles, le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, s’est entretenu avec la diaspora congolaise vivant dans l’ancienne métropole. Mot pour mot, il a déclaré :
« Depuis que nous avons réussi à endiguer cette agression barbare du Rwandais, quand ils ont appris, ils ont entendu parler du fameux deal que nous allons signer avec les USA, qui n’est pas du tout un deal qui consisterait à brader les minerais de la République.
Mais, ils se sont vraiment déployés comme jamais. Comme ils ne le font pas quand il y a des causes à défendre au pays, mais pour ça ils se sont vraiment déployés tous, hein !
Toutes catégories confondues : politiciens, religieux, société civile, tout ce que vous voulez, pour essayer d’empêcher, de dissuader les Américains à faire ce deal avec nous donc pour laisser les Congolais dans la souffrance.
C’est ce que ça veut dire. Donc pour vous dire combien nous avons des ennemis dans ce que nous faisons, mais nous n’avons pas peur de ça… »
Ces paroles révèlent la force d’un déploiement rwandais organisé, capable de mobiliser toutes ses forces à l’étranger pour faire échouer les intérêts du Congo.
Au centre de ce déploiement, une arme invisible et terrifiante : la femme tutsie.
Le témoignage glaçant d’une rescapée : « nos corps sont devenus des armes »
Une rescapée du génocide des Rwandais, Madame Illiminée Kalinganire, a livré sur Radio‑TV Ikamba un témoignage que personne de bonne foi ne peut ignorer :
« Le FPR utilise les femmes et filles tutsies comme des armes de destruction massive. Celles qui se prostituent pour défendre le régime sont considérées comme des héroïnes. On leur enseigne même des pratiques sexuelles extrêmes destinées à troubler et dominer les hommes. »
Elle évoque, à titre de témoignage, des méthodes employées pour aservir psychologiquement des responsables : scènes filmées à leur insu, compromissions forcées, puis chantage.
Son récit mentionne également une pratique appelée felching, utilisée pour rendre les hommes vulnérables et soumis.
Au Rwanda, les femmes sont formées pour séduire, infiltrer et compromettre des décideurs : hôtesses, employées d’hôtels, femmes de chambre, espionnes, postes clés au sein de l’ONU et ses agences, dans les ambassades, le tourisme, la télécommunication, l’aviation civile… toutes peuvent devenir des agents d’influence. Les caméras cachées transforment l’intime en arme. Le but : neutraliser, dominer, obtenir des faveurs internationales.
L’homosexualité instrumentalisée par le régime de Kigali
Le régime du Goliath au corps chétif, Paul Kagame, ne se limite pas aux femmes‑armes. Il a aussi fait de la tolérance calculée de l’homosexualité un instrument stratégique.
Certains hommes sont recrutés, formés et placés pour compromettre d’autres hommes influents ; cette pratique sert à créer des leviers d’emprise et de chantage sur la scène internationale.
L’homosexualité n’est pas illégale au Rwanda, car il n’existe pas de lois qui la pénalisent.
Mais le pays n’offre pas non plus de protection juridique contre la discrimination fondée sur l’orientation sexuelle.
Bien que la communauté LGBT puisse vivre et s’exprimer avec une certaine liberté, cette situation est calculée par le régime pour protéger ses intérêts et instrumentaliser certaines pratiques au service de sa domination internationale.
L’homosexualité en RDC et le silence complice
Et pendant ce temps, que se passe-t-il en RDC ? La décadence morale gangrène nos institutions.
Déjà en 2020, dans ma tribune intitulée « RDC : un pays laïc ou un pays de mariage pour tous ? », j’avais alerté la nation.
Je rapportais alors les propos d’un cadre du parti Ensemble pour la République, cher à Moïse Katumbi, qui affirmait que 30 % des ministres du gouvernement Sama Lukonde étaient liés à ces pratiques.
Aucune enquête, aucune réaction : le silence complice du péché.
Et pourtant, le Président Félix Tshisekedi avait remis le pays entre les mains de Dieu, confiant la destinée de la RDC à l’Éternel.
Malgré cette foi proclamée, le silence et la compromission morale continuent de miner nos institutions.
Ce constat illustre l’ampleur de la crise morale et spirituelle qui ronge notre pays.
Et les femmes congolaises dans tout cela ?
Pendant que les Rwandaises Tutsies se déploient pour défendre leur patrie par tous les moyens, les femmes congolaises, elles, trop souvent, détruisent la leur.
Elles vont voir les marabouts, féticheurs, pasteurs, prophètes ; elles manipulent par le charme ou l’ambition.
Nos dirigeants deviennent les otages de femmes sans vision, esclaves de leurs désirs personnels.
Aux femmes et filles congolaises d’arrêter avec vos pratiques de Zakalaha : cette soumission totale de l’homme à la volonté de la femme freine le développement de notre pays et mine nos institutions.
Ces pratiques permettent à certaines femmes de pousser nos dirigeants à nommer des incompétents dans des postes clés, leurs parents, amis, ex et voilà pourquoi nous croulons sous les scandales. Nos institutions sont affaiblies parce que la volonté publique est remplacée par des désirs privés.
Qu’on s’entende bien : je ne pousse pas nos concitoyennes à se prostituer. Je leur demande d’être patriotes ! Qu’elles prennent conscience de la responsabilité historique qui est la leur.
Un pays au bord de Sodome et l’appel à la repentance
L’indifférence face à l’immoralité est devenue la règle. L’homosexualité, tolérée et pratiquée dans certaines sphères du pouvoir congolais, n’émeut plus. Pourtant, nous proclamons être un peuple pieux et confier le pays à Dieu.
Je rappelle : Sodome et Gomorrhe furent détruites pour leurs excès. Si nous persévérons dans la compromission morale, le Congo risque de subir la colère du Très-Haut.
Le silence des responsables face à ces dérives est le silence complice du péché.
Le Congo doit se repentir, comme les Ninivites l’ont fait à l’époque de Jonas, pour écouter la voix de l’homme de Dieu, qui garde les mystères de Dieu pour toute délivrance et est la bouche de l’Éternel.
Esaïe 18:3 est clair : « Vous tous, habitants du monde, habitants de la terre, voyez la bannière qui se dresse sur les montagnes, écoutez la trompette qui sonne ! »
Il faut regarder la bannière, qui est l’ambassadeur, l’envoyé de Dieu, et écouter la trompette, la bouche autorisée.
C’est par ce chemin de repentance et de réforme spirituelle que notre pays pourra se relever et retrouver la bénédiction divine.
En lieu et place d’imiter le Rwanda en sponsorisant les équipes de football européens, réajustons les choses avec les mêmes armes pour contrer leurs démarches que le chef de l’État a appelé leur fameux « déploiement ».
Femmes congolaises, levez-vous !
Femmes et filles du Congo, vous êtes la clé de la renaissance nationale.
Abandonnez les pratiques qui soumettent vos hommes à vos intérêts particuliers. Écartez‑vous des fétiches, des marabouts et des complaisances.
Mettez votre charme, votre foi et votre intelligence au service de la Nation. Devenez des bâtisseuses et non des destructrices.
Apprenez quelque chose des Rwandaises Tutsies : pas leurs dérives, mais leur discipline et leur dévouement à l’État. Déployez-vous, mais pour le Congo, avec la dignité et le sacrifice requis.
Levez-vous comme Ndona Kimpa Vita : femmes de foi, de courage et d’honneur, prêtes à porter la patrie sur leurs épaules.
Le Président a parlé : ils se sont déployés.
Femmes congolaises, déployez‑vous aussi pour le Congo, pour l’avenir, pour la dignité de notre peuple.
Par : Charlie Jephthé Mingiedi Mbala N’zeteke,
Activiste, Penseur et Notable de Madimba.
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