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Pour l’amélioration de service d’urgence en RDC, Santé : AMURDC recommande une formation continue des prestataires des soins d’urgence

‘’La place des soins d’urgence dans la couverture santé universelle en RDC’’ était le thème retenu dans le cadre du deuxième congrès de médecine d’urgence en RDC organisé par l’association de médecine d’urgence de la République Démocratique du Congo, AMURDC. Au cours de ce deuxième congrès qui a réuni les médecins et infirmiers urgentistes, l’association a formulé plusieurs recommandations aux autorités du pays notamment, une formation continue des prestataires des soins d’urgences en RDC. La rencontre s’est tenue du 24 au 25 août 2023 dans la grande salle du collège Boboto dans la commune de la Gombe.
Au cours de cette rencontre, les organisateurs ont réfléchi sur les défis à relever pour l’amélioration des services d’urgence en République Démocratique du Congo.
Pour ce faire, les intervenants ont, tour à tour, identifié quelques difficultés rencontrées en soins d’urgences. Il s’agit de l’insuffisance des équipements médicaux, comme l’a démontré Junior Mbila, docteur à l’hôpital général de Kisangani.
Selon l’organisation, 80% de structures de santé ne disposent pas d’équipements tels que l’axonométrie, la ventilation, les ambulances et le moniteur cardant.
Il n’y a pas non plus de salle et de protocole de triage avant que ladite structure relève la carence de prestataires de soins spécialisés dans les provinces et l’absence de mise à niveau des prestataires de soins d’urgence.
‘’Le service d’urgence est le premier point de contact entre le malade et l’hôpital’’, a-t-elle indiqué en soulignant que pour la résolution des problématiques liées à la médecine d’urgence en RDC. Quelques recommandations ont été formulées à l’endroit des autorités : le gouvernement congolais se doit de mettre un accent particulier sur les soins d’urgence médicale, pré- hospitalière et hospitalière dans la mise en œuvre de la Couverture Santé Universelle.
Le ministère de l’Enseignement supérieur et universitaire doit, quant à lui, mettre en place un programme cohérent pour faciliter la formation continue des prestataires des soins d’urgences. Tandis que le ministère de la Santé est appelé à s’approprier les 19 priorités qui ont découlé de l’évaluation du système de santé faite par l’OMS en collaboration avec AMURDC et de programme national des urgences afin de faciliter leurs mises en application, encourager les spécialistes congolais en médecine d’urgence vivant à l’étranger à revenir régulièrement au pays pour la formation des prestataires des soins d’urgence par la prise en charge des titres de voyage voire leur séjour.
Pour sa part, le programme national des urgences et à l’association de médecine d’urgence de la RDC est appelé à accélérer la formation des agents par des gestes de premier secours dans la communauté. « Il y a également nécessité de former non seulement à Kinshasa mais également dans le reste des provinces du pays afin de faciliter la mise en pratique des soins pré-hospitaliers à toute la population… », a laissé entendre le Docteur Diulu Kabongo, Président de ladite l’association.
Et d’après une étude de l’OMS sur les outils et approche de l’OMS pour le développement intégré des soins d’urgence, le Dr Ken Diango, consultant de l’organisation a rassuré que pour le développement des soins d’urgence en RDC, il faut construire sur les bases solides les institutions sanitaires tout en se basant sur le critère de base méthodique, sur l’étude de faisabilité, la validation et la contractualisation. Donc selon elle, les soins cliniques d’urgence jouent un rôle essentiel dans la couverture santé universelle.
De son côté, le Dr Richard Dambo qui a abordé la question de l’avenir de la pratique médicale avec l’avènement de l’intelligence artificielle : enjeux et perspectives, a révélé que l’intelligence artificielle joue un rôle très important dans la médecine d’urgence. Notamment, dans la réduction de tâches administratives, la création et l’analyse de grandes quantités d’informations médicales en moins de temps.
Pour l’occasion, un certificat de participation a été remis à chaque participant à ce congrès organisé par l’AMURDC, une organisation indépendante, laïque et apolitique œuvrant pour la promotion des soins d’urgence de qualité.
Nelly Somba

 

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Des médicaments périmés au service de l’art


*Une exposition d’art se tient, depuis le 26 mai 2023 jusqu’aujourd’hui, à l’Hôpital du Valdor à Liège (Belgique), avec des œuvres d’art faites des médicaments périmés. C’est l’initiative de Christine Warrand, une artiste Liégeoise qui se venge des médicaments, en mettant l’art au service de la préservation de l’environnement.
Familière avec les médicaments auxquels les circonstances de la vie l’ont exposée, Christine Warrand s’en révolte. Sans tension, mais non sans passion : une passion à travers laquelle l’art est en connivence avec la préservation de l’environnement. Cette artiste fait usage des médicaments périmés pour créer des peintures originales. Voilà qui rejoint le slogan cher à cette Liégeoise dans sa campagne de sensibilisation pour la préservation de l’environnement : ‘‘récupérer pour upcycler’’.
Dans cet environnement ‘‘hospitalier’’, l’art de la récup’ a donné l’occasion aux patients de l’hôpital du Valdor de retrouver leur sourire. Les œuvres exposées font surtout réfléchir quant à l’impact des médicaments sur l’environnement. En effet, selon une étude internationale dirigée par l’Université d’York au Royaume-Uni et publiée en 2022, les résidus des médicaments sont des facteurs de pollution à plusieurs niveaux.
Des visiteurs et plusieurs curieux disent être très contents d'avoir ce genre d'exposition, et certains n’hésitent pas de s’acheter une œuvre d’art qui leur plaît. Christine prévoit d’affecter les fonds récoltés à Télévie, une opération caritative belge francophone qui œuvre au profit de Fonds de la Recherche Scientifique.
Quand l’art et l’environnement se rencontrent, une créativité sans frontière s’en dégage. Une autre exposition est en vue très prochainement et sera, cette fois-ci, à Bruxelles. Une occasion pour continuer la réflexion en vue d’une prise de conscience face à ces pilules qui risquent de rendre malade notre planète notamment, à travers nos rivières.
Prosper Mbumba
Journaliste indépendant
(Depuis Liège/Belgique)

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Dr Roger Kamba dévoile les axes prioritaires de sa mission au ministère de la santé

Le nouveau ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention, Dr Samuel Roger Kamba Mulamba a pris son bâton de commandement. La cérémonie de remise-reprise entre le nouveau patron du secteur de la Santé et le ministre sortant Jean-Jacques Mbungani a eu lieu, ce mercredi 29 mars 2023, dans la soirée, au cabinet du ministère à l’Immeuble Intelligent à Kinshasa.

Dr Roger Kamba dévoile les axes prioritaires de sa mission au ministère de la santé
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Abus sexuels commis par les employés de l’OMS dans le Nord-Kivu et en Ituri : Jean-Jacques Mbungani mis au parfum du rapport définitif et détaillé de l’enquête avant sa publication

Le Ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention, Dr Jean-Jacques Mbungani, a reçu une délégation de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), ce 20 mars 2023, dans son cabinet de travail, à Kinshasa.
Dépêchée par le Directeur Général de l’OMS, cette délégation, conduite par Dr Gaya M. Gamhewage, (Directeur de la Prévention et de la Réponse aux inconduites sexuelles), est venue partager avec le gouvernement congolais, à travers le ministère de la Santé Publique, Hygiène et Prévention, les informations recueillies, avant la publication, dans les prochains jours, du rapport définitif et détaillé de l’enquête sur des abus sexuels commis par les employés de l’OMS, dans les provinces du Nord-Kivu et de l'Ituri, en République Démocratique du Congo, durant la riposte contre l’épidémie d’Ebola, entre 2018 et 2020.
Toutefois, Dr Gaya M. Gamhewage a reconnu que le rapport a trop trainé et a rappelé que l’agence onusienne a pris toutes les dispositions pour la suite de la carrière de ces agents.
De son côté, le Ministre Jean-Jacques Mbungani a salué la volonté de l’OMS de coopérer et a souligné l’importance de mettre fin à ces abus venant d’un organisme international qui a encore remué la plaie dans un pays déjà victime des exactions et autres formes de violences consécutives au cycle de guerres infernales dans sa partie orientale.
Notons que la semaine dernière, une centaine de victimes de violences sexuelles, perpétrées par des travailleurs humanitaires en République Démocratique du Congo, a bénéficié d'une aide financée par l'OMS, qui a fait l'objet des critiques acerbes, pour la lenteur de sa réaction. Quelques 115 victimes d'exploitation et d'abus sexuels, commis par des travailleurs humanitaires pendant l'épidémie d'Ebola de 2018-2020, ont été identifiées jusque-là.
Selon Dr Gaya Gamhewage, l’OMS avait mandaté l’UNFPA, qui lutte contre les violences sexuelles, pour retrouver les victimes, souvent dans des conditions très difficiles, et leur porter assistance, que ce soit sur le plan médical, psychologique ou encore financier.
Rappelons qu’en 2021, un rapport indépendant avait établi que 21 employés de l'OMS se trouvaient parmi les 83 humanitaires accusés d'exploitation et d'abus sexuel contre des dizaines de personnes dans les provinces du Nord-Kivu et de l'Ituri, en RDC, pendant la survenue de cette épidémie d'Ebola.
Les enquêteurs ont interrogé des dizaines de femmes à qui on a proposé du travail en échange de rapports sexuels ou qui ont été victimes de viols. Il s'agit de 63 femmes et 12 hommes victimes, âgées de 13 à 43 ans.
Les conclusions de ce premier rapport, mené par une commission nommée par l’OMS, dénoncent des «défaillances structurelles» et des «négligences individuelles».
JD

Abus sexuels commis par les employés de l’OMS dans le Nord-Kivu et en Ituri : Jean-Jacques Mbungani mis au parfum du rapport définitif et détaillé de l’enquête avant sa publication
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Causes, conséquences et prévention, Santé : l'Endométriose, un danger permanent pour les femmes

Selon l'OMS, la maladie de l'endométriose est une maladie qui touche près de 10% des femmes et des filles en âge de procréer à l’échelle mondiale, soit 190 millions de personnes. Cette maladie chronique est associée : à des douleurs aiguës et perturbantes au moment des règles, pendant les rapports sexuels et à l’heure de déféquer ou d’uriner ; à une douleur pelvienne chronique, des ballonnements, des nausées et de la fatigue et parfois, à de la dépression, de l’angoisse et une infertilité.
L'endométriose est une maladie qui se caractérise par la présence de tissu semblable à l’endomètre (muqueuse utérine) en dehors de l’utérus. Elle provoque des réactions inflammatoires chroniques qui peuvent engendrer la formation de tissu cicatriciel (amas de tissus, fibrose) dans le bassin et d’autres parties du corps.
Outre ces symptômes, l’endométriose peut entraîner une infertilité, en raison probablement des effets qu’elle provoque sur la cavité pelvienne, les ovaires, les trompes de Fallope ou l’utérus.
A la question liée à ses causes, l'endométriose est une maladie qui présente exactement des multiples causes. À savoir que différents facteurs contribuent au développement de la maladie. Des cellules souches provoquent la maladie, et elle en son tour se propage ensuite dans l’organisme à travers les vaisseaux sanguins et lymphatiques.
Par ailleurs, on a noté que l'endométriose est une maladie complexe qui touche des femmes du monde entier, parfois dès le début des premières règles et jusqu’à la ménopause, et cela indépendamment de leur origine ethnique ou de leur situation sociale. L’endométriose a des répercussions considérables sur le plan de la société, de la santé publique et de l’économie. Il est des personnes chez qui l’endométriose entraîne des douleurs handicapantes qui les empêchent d’aller travailler ou étudier. Les douleurs provoquées par l’endométriose peuvent pousser des personnes atteintes de la maladie à interrompre des rapports sexuels ou à les éviter, ce qui a un impact sur leur santé sexuelle et/ou celle de leurs partenaires.
Jusque-là, Il n’existe néanmoins aucun remède contre l'Endométriose. Notamment, on ignore comment prévenir l’endométriose. Par contre, une sensibilisation accrue associée à un diagnostic et une prise en charge précoces peuvent ralentir ou stopper la progression naturelle de la maladie, ainsi qu’alléger les symptômes à long terme, voire notamment réduire le risque de sensibilisation du système nerveux central à la douleur. Les traitements médicamenteux contre l’endométriose mettent l’accent soit sur la diminution du taux d’œstrogènes, soit sur l’augmentation du taux de progestérone, afin de modifier l’environnement hormonal qui favorise l’endométriose. Il convient néanmoins de noter, aucun de ces traitements n’éradique la maladie ; ces traitements peuvent entraîner des effets secondaires ; et des symptômes dus à l’endométriose peuvent parfois (mais pas toujours) réapparaître après l’arrêt des traitements.
Israël Mpoyi

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Recrudescence des épidémies en RDC : Le gouvernement active les services pour assurer la riposte dans les régions touchées

Actuellement, la situation épidémiologique est très préoccupante dans quelques zones de santé de certaines provinces de la République Démocratique du Congo. Les services du ministère de la Santé publique, Hygiène et Prévention signalent la résurgence des épidémies telles que la Rougeole, le Méningite, la fièvre Typhoïde et la Monkeypox.
En effet, dans la province du Nord-Kivu, quelques cas de rougeole ont été signalés dans 18 zones de santé. La réponse en lien avec la prise en charge médicale a commencé. Les autorités sanitaires et leurs partenaires ont consenti des efforts et investissements bien plus importants pour assurer la riposte dans la région. Les équipes de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et de Médecins Sans Frontière (MSF) sont déjà dans le processus d'acquisition du vaccin de routine pour organiser une réponse vaccinale dans ces 18 zones de santé.
D’autres cas similaires ont été également enregistrés dans les provinces de la Tshopo, du Sankuru ainsi que de la Lomami où on note aussi quelques flambées dans certaines zones de santé.
Les personnels soignants sont mobilisés et déployés dans les zones de santé touchées. Le Gouvernement de la République et ses partenaires sont déjà à pied d’œuvre pour augmenter la couverture vaccinale et mettre un terme aux cycles sans fin d’épidémies de rougeole en RDC.
Par ailleurs, les analyses biomédicales confirment des nouveaux cas de la Méningite dans le territoire de Banalia, dans la province de la Tshopo où 5 échantillons ont déjà été signalés positifs au NM. 30 autres échantillons sont en cours d'analyse à l'Institut National de Recherche Biomédicale (INRB). Au cas où 10 échantillons seraient testés positifs, le ministère de la Santé Publique, Hygiène et Prévention pourra donc déclarer officiellement la présence de l’épidémie dans cette partie de la République.
S’agissant de l’épidémie de la fièvre typhoïde, on note environ 24 personnes mortes sur plus de 700 cas enregistrés, entre octobre 2022 et février dernier, dans la zone de santé de Panzi, territoire de Kasongolunda, dans la province du Kwango. Le MSF et l’INRB sont déjà intervenus. Et l'on enregistre une diminution du nombre des cas.
Une équipe nationale descendra sur place dans quelques jours pour des investigations approfondies et pour appuyer la riposte.
En ce qui concerne le Monkeypox, la Tshopo, le Tshuapa et le Sankuru sont les provinces qui enregistrent un grand nombre des cas. La réponse est organisée localement. Déjà, le Ministère de la Santé Publique, Hygiène et Prévention a déployé une équipe de l'INRB dans la Tshopo pour une enquête qui va déterminer les causes exactes de la flambée de cette maladie.
J. Diala

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Chirurgie anesthésique et trauma, Un groupe de médecins australiens à Kinshasa pour former leurs collègues congolais


Le ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention, Dr Jean-Jacques Mbungani, a accordé une audience, ce jeudi 2 mars 2023, dans son cabinet de travail, à Kinshasa, à un groupe de médecins Australiens en mission en République Démocratique du Congo pour conduire une série de formations en faveur des médecins congolais basés à l’Est du pays.
Au cours de leurs échanges, le chef de la délégation australienne a précisé qu’il s’agit d’une formation spécifique sur le système Sota, c’est-à-dire, une formation orientée et concentrée sur la chirurgie, l’anesthésie et le trauma.
"Nous voyons beaucoup de catastrophes naturelles, d'atrocités qui se produisent dans cette région de la RDC, avec beaucoup de conséquences sur le plan sanitaire du côté des populations qui sont, souvent, victimes. La prise en charge médicale est un peu faible parce que la plupart de médecins, qui sont affectés dans les zones rurales dans cette partie du pays, n’ont pas été suffisamment formés en la matière. D’autres ont appris surtout la théorie mais nous voulons améliorer leurs connaissances pratiques, afin de bien mener les interventions chirurgicales sur des malades, des blessés graves qui sont en urgence", a expliqué le médecin australien, Dr Neil R. Wetzig, qui a renchéri :
"Ces formations vont durer deux mois. Elles commencent, d’abord pour les médecins qui ont déjà un niveau. Nous allons procéder par le recyclage des médecins dans différentes provinces afin d’améliorer leur qualité de prestation. Par la suite, il y aura des séances de renforcements des capacités.
Nous allons les observer et voir comment ils se sont améliorés au fur et à mesure qu’ils évoluent. Nous comptons aller partout au Congo mais nous pourrions aller petit à petit », a-t-il renseigné.
Pour la délégation australienne, ce projet répond justement aux recommandations de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), qui a voulu que les personnes vivant dans les zones rurales puissent avoir accès aux soins de santé sécurisés et complets d’ici les années 2030. "Nous sommes un peu en retard. Raison pour laquelle, nous voulons vraiment commencer dès maintenant pour que la population accède à la chirurgie sécurisée, même dans les zones rurales.
Nous voulons que chaque zone de santé de référence soit capable de le faire correctement, surtout là où il y a des médecins. Beaucoup reçoivent déjà de bons soins dans les centres de santé mais nous voulons aider surtout les zones rurales là où il y a encore beaucoup de problèmes en termes de prise en charge", a-t-il conclu.
Il sied de noter que cette initiative est saluée par le Ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention, Dr Jean-Jacques Mbungani, qui l'a assuré de son accompagnement et envisagé de partager le projet aux autres membres du Gouvernement lors du prochain conseil des ministres. Car, il revêt une importance capitale qui va plus se justifier dans des zones où il y a carence des spécialistes en chirurgie.
Jordache Diala

Chirurgie anesthésique et trauma, Un groupe de médecins australiens à Kinshasa pour former leurs collègues congolais
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