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Clôture du mois de la femme, Lubumbashi : Marie Olive Lembe Kabila lance le programme ‘’Sisi Wote’’

La journée de samedi 25 mars 2023 était toute particulière. Sous des tentes pleines comme un œuf de la salle Monte Carlos à Lubumbashi, Marie Olive Lembe Kabila a réuni plus de 5.000 femmes, dans le cadre de la clôture du mois de la femme, ouvert à Goma, dans le Nord-Kivu depuis le 8 mars dernier. A Lubumbashi, l'épouse de Joseph Kabila a lancé officiellement le programme de renforcement des capacités financières des femmes. Ces dernières, réunies en coopérative, ont sollicité l'appui financier de celle dont l'humanité entière ne cesse d'aduler et d'appeler affectueusement «Mama warohoo».
Messe
Peu avant le lancement dudit programme, Marie Olive Lembe Kabila, en bonne chrétienne, a organisé une messe d'ouverture. Il ressort de l'enseignement de l'officiant du jour tiré de l'épitre de Saint Paul aux Philippiens et l'évangile de Saint Matthieu des encouragements aux femmes qui travaillent, qui se réveillent tôt le matin, celles qui prennent en charge leurs foyers, à fructifier leurs économies. « Car, la femme est le socle de la maison, elle est comparable à la personne qui bâtit sa maison sur le roc. Quelles que soient les intempéries, la maison ne s'écroulera jamais, contrairement à celle qui bâtit sa maison sur le sable. Face aux intempéries, la maison s'écroule. En tant que Chrétien, notre Roc, notre Pierre est Jésus-Christ, sur qui repose notre espoir », a souligné l’officiant du jour.
Renforcement des capacités
Au nom de Marie Olive Lembe Kabila, Chimène Zema Mercedes, Coordonnatrice IPOLK/Haut Katanga, a offert à l'hôpital Provincial Jason Sendwe, un groupe électrogène de 55 Kva, question de pallier les difficultés liées à l'énergie électrique qui paralyse le fonctionnement de cet établissement hospitalier de renom.
Elle était accompagnée de Nasso Kubuya Ndole, dit Kundos, Coordonnateur National de IPOLK. Dans cette démarche philanthropique, au nom de la Présidente Nationale Marie Olive Lembe Kabila, elle a insisté sur l'égalité pour l'éducation, la paix et l'autonomie des femmes et filles qui représentent 52% de la population.
Elle l'a dit en ces termes : « En cette période où le monde entier célèbre le mois dédié à la femme sous le thème : pour un monde digital inclusif : motivation et technologies pour l'égalité des sexes, nous rappelons que l'éducation numérique égalitaire pour la paix et l'autonomie des femmes et filles en République Démocratique du Congo, n'est possible que si nous renforçons les capacités de ces dernières qui représentent 52% de la population et constituent une ressource importante qui ne peut être négligée; d'où le but de cette assise qui est le lancement du programme de renforcement des capacités financières des femmes comme levier économiques et vivier de l'émergence et moteur du développement de notre cher et beau pays afin de favoriser un monde où les femmes et les hommes vivent dans l'égalité et l'équité », a-t-elle souligné.
Au modèle de Mama warohoo
Il faut rappeler que la Coordonnatrice provinciale de IPOLK/Haut-Katanga croit dans la qualité de la femme parce qu'elle incarne une force tranquille qui est au-delà des forces visibles. « Les femmes jouent déjà un rôle capital pour la survie de ménages, comme notre Mama warohoo, elles sont majoritaires dans l'agriculture, secteur porteur de croissance et elles façonnent le devenir de la jeunesse congolaise, qui est l'avenir, elles sont donc des incubatrices dans la construction de la République Démocratique du Congo », a-t-elle renchéri.
Pour rappel, les femmes qui ont répondu favorablement à l'invitation de Marie Olive Lembe Kabila sont venues de quatre coins de la Province du Haut Katanga.
Merci à Olive Lembe !
De la théorie à la pratique, Ladiane Nyembo a précisé que le rêve d'hier, est devenu une réalité aujourd'hui grâce à Marie Olive Lembe Kabila. A l'entendre parler, malgré les meilleurs discours tenus dans ce pays pour éradiquer la pauvreté, rien ne s'améliore quel que soit le beau français de nos plaidoiries, par conséquent, la situation va de mal en pi et le beau français ne produit aucun résultat.
D'où, la nécessité, pour elle, de créer les structures de développement durables et ses mécanismes pour atteindre les objectifs millénaires de 2030, à savoir les mutuelles de santé; les coopératives et les associations féminines bien organisées. Ces structures vont aider dans la communion de faire face à la pauvreté.
Dans la suite de ses propos, Ladiane Nyembo a décrit le rôle d’une coopérative qui se définit comme une association libre de personnes qui créent une entreprise économique, qu'elles gèrent, qu'elles dirigent et contrôlent démocratiquement pour la mettre à leur service et au service de la communauté.
Différent d’une ONG, de la ristourne, des associations culturelles, une coopérative est une entreprise que les hommes et femmes créent pour éradiquer la pauvreté. Elle réunit les différents domaines d'activités pour en tirer le bénéfice. A ce jour, la Coopérative Sisi Wote compte en son sein plus de 5.000 adhérentes.
Parité homme-femme
Lors de cette cérémonie, Marie Olive Lembe Kabila en appelé aux hommes et aussi aux dirigeants actuels de réaliser les différentes promesses en ce mois de la femme. « Nous avons beaucoup entendu les discours de soutient de nos dirigeants sur l'émancipation de la femme, mais lorsqu'il s'agit de partage de postes, surtout les postes de responsabilité aux fonctions étatiques, vous avez constaté à ce dernier gouvernement, la femme est reléguée au second degré; le quota n'est pas respecté. Lorsqu'il s'agit de partages des postes, les hommes nous étouffent. Cela est prouvé depuis longtemps que les mamans ont prouvé qu'elles ont le souci, l'intérêt de l'éducation des enfants et le bien-être de nos familles respectives », a souligné Marie Olive Lembe Kabila. Ceci explique cela, que la femme malgré la perte de son époux, elle est à même de garder la nourriture sous le lit pour ses enfants.
Une parité prometteuse
Par ailleurs, elle invite toutes les femmes à militer pour la parité, à atteindre 50% de chance par rapport aux fonctions de responsabilités étatiques. En outre, elle ne cesse de les encourager, les soutenir dans l'objectif d'avoir la couleur zébrée des postes aux fonctions de responsabilité et prouver que lorsque la parité sera de mise, beaucoup de choses vont s'améliorer.
«Aux hommes, sachez ceci, lorsqu'une femme est autonome, indépendante financièrement, vous serez épargné des accidents cardiovasculaires; vous aurez une longue vie. C'est justement vous épargner de toutes les petites demandes ménagères et tous les besoins de la maison ne peuvent pas être résolus par les hommes seuls. C'est pour cette raison, que nous devons continuer notre plaidoirie d'atteindre la parité en vue d'épargner nos hommes de maladies provoquées par le choc émotionnel », a-t-elle souligné.
Soutien des «Kabila»
A ce jour, pour soutenir les femmes qui se réveillent tôt le matin, celle qu'on appelle «Gagne-petit», Marie Olive Lembe Kabila, avec le concours de son cher époux, a mis à la disposition de la coopérative SISI WOTE une sommes de 100.000 dollars américains, un soutien qui vient du plus profond de leur cœur par rapport aux dividendes tirées de leurs travaux de champs.
De Goma, en passant par Bukavu et Kaziba, l'honneur revient à la province du Haut Katanga où elle a honoré encore cette femme rurale. Bien que les demandes fusent de la voir dans les autres provinces portées la voix de sans voix rurales, Marie Olive Lembe Kabila reste une référence du développement à la base; de cette considération de l'être faible.
Depuis Lubumbashi, dans le Haut Katanga
Pius Romain Rolland

 

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Clôture de ‘’la semaine du leadership au féminin’’, IFASIC : Joséphine Mawete interpelle la jeunesse à faire bon usage de l’outil numérique

Promouvoir la parité et bannir les vices dans les chefs des jeunes, amener les femmes à comprendre ses intérêts à l’utilisation de nouvelles technologies, était le gros de la conférence-débat tenue ce mardi 28 mars 2023, dans le cadre de la clôture de la semaine du leadership au féminin organisée par le comité des étudiants de l’IFASIC. Au terme de cette manifestation, Joséphine Mawete, présidente des étudiants de cette alma mater et son comité ont remis un trophée de mérite au professeur Kambayi, honneur lui reconnu pour les actions qu’il ne cesse de mener en faveur de la gent féminine.
La présidente Joséphine Mawete a signifié que ‘’la semaine du leadership au féminin’’ a été organisée dans le souci de conscientiser les jeunes à choisir l’essentiel et à rejeter ce qui est nuisible. L’utilisation du numérique est pour elle une affaire de tous. «Les jeunes d’aujourd’hui n’ont pas la connaissance sur ces outils. Et, cette conférence est venue pour recadrer les jeunes du mauvais usage de nouvelles technologies. Plusieurs mauvaises pratiques ont été révélées. Les réseaux sociaux participent à la destruction de la jeunesse, surtout féminine, avec des jeunes filles qui exposent les parties intimes de leurs corps sur le net. Raison pour laquelle, ces jeunes doivent être rééduquées pour une bonne utilisation. C’était aussi l’occasion de préparer la jeune femme à l’entreprenariat, à s’autonomiser, à être leader puisqu’elle a aussi des capacités de diriger au même titre que l’homme», a laissé entendre la présidente des étudiants de l’IFASIC. Cette dernière a tenu à remercier la présence active des étudiants durant toute la semaine du déroulé des activités. «Je remercie le comité de gestion qui est représenté par le recteur Jean-Richard Kambayi Bwatsha, qui a permis à ce que la tenue de ces journées soit rendue possible. Mais aussi aux étudiants qui sont ici présents pour votre présence. Vous étiez forts du premier jour de notre conférence jusqu’au moment où nous tenons sa clôture, bien que ce n’était pas évident de faire toute une semaine, chaque jour, nous avons tous prouvé que l’impossibilité n’existe pas pour ceux qui veulent oser. Donc, nous vous remercions pour ça», a-t-elle déclaré.
Elle a, en même temps, procédé à la remise des certificats aux étudiants participants à cette conférence pour certifier leur présence et pour les encourager à prendre part dans des telles activités.
Eunice Maleka

 

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Leadership féminin pour l’égalité des chances , RDC : l’Asbl AGORA encourage les femmes et les jeunes filles à se lancer activement dans la politique

‘‘Promouvoir le leadership féminin dans la politique'' était le thème de la 3eédition de ‘’femmes étranges’’ organisée vendredi 24 mars 2023 par l'association AGORA. Ce rendez-vous se veut une réelle occasion pour l'association de contribuer à la consolidation du leadership féminin et sensibiliser les femmes à se lancer de manière active dans la politique. La rencontre s'est tenue dans la salle Reine mère dans la commune de la Gombe, en présence du coordonnateur de ladite association, Faustin Mpako, ainsi que de plusieurs femmes venues pour la circonstance.
Au cours de cette édition, trois femmes ‘’étranges’’ ont échangé avec les femmes sur les difficultés existentielles des femmes dans la politiques active. Il s'agit de Madame Pierrette Gene qui, dans son intervention, a rappelé le souci et l'ambiance de l'association en organisant ce genre de conférence. A l’en croire, il s'agit de faire accéder le leadership de la femme congolaise à un niveau un peu plus élevé que celle qu'elle a aujourd'hui.
Elle a néanmoins reconnu que la femme rencontre beaucoup de freins dans plusieurs domaines en République démocratique du Congo. Mais, ce n'est pas une raison pour elle d'abandonner. Car, la femme, souligne-t-elle, a plusieurs valeurs qui peuvent apporter le changement dans ce pays. Il s'agit, entre autres, de «la sensibilité, de l'influence...que le Seigneur a mis en elle ». Ces valeurs doivent normalement aider les femmes à faire exploser ce leadership qu'elles ont sur les autres pour faire avancer la société.
Madame Nandy Angalikiana a, de son côté, estimé que c'est le manque de confiance en soi qui fait en sorte que la femme ne se lance pas en politique. Pourtant, a-t-elle affirmé, c'est la politique qui gère le pays. D’autant plus que c'est dans des instances que se prennent des grandes décisions et le développement ira plus vite qu'on ne le pense.
Cette conférence, soutient Mme Nandy, est une opportunité de sensibiliser et les femmes à pouvoir se lancer en politique et ne pas se dire que la politique est un domaine réservé uniquement aux hommes. Elle soutient que les femmes sont capables de faire avancer les choses dans ce pays. «De ce fait, elles sont appelées à marcher ensemble, main dans la main, avec un esprit d'équipe , dépasser ainsi les intérêts personnels pour y arriver et atteindre l'objectif qui est celle de faire évoluer ce pays sacré pour tous ».
C'est en rapport avec ce thème que Madame Antho Mavuma, troisième intervenante du jour, a appelé la femme à la prise de conscience. Elle a par la même occasion, livré son propre témoignage de l’expérience vécue au sein de l'administration publique. Une manière pour elle de booster les femmes et leurs encourager à ne jamais baisser les bras malgré les freins ou les difficultés qui peuvent se présenter. ‘‘Après plusieurs années de lutte, j’ai su me frayer un chemin dans l'administration publique jusqu'à occuper le poste de chef de contentieux au niveau des affaires foncières », a-t-elle fait savoir.
Nelly somba

 

Leadership féminin pour l’égalité des chances , RDC : l’Asbl AGORA encourage les femmes et les jeunes filles à se lancer activement dans la politique
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Mois de la Femme : Denise Nyakeru Tshisekedi communie avec les femmes de l'UDPS

En ce mois dédié aux droits des femmes, la Distinguée première Dame Denise Nyakeru Tshisekedi a communié avec la ligue des femmes de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social, UDPS, parti cher au patriarche Etienne Tshisekedi, au siège social du parti dans la commune de Limete 10e rue le vendredi 24 mars 2023.
D'entrée de jeu, l'épouse du Chef de l'État a invité les femmes de l'UDPS à garder une minute de silence à l'endroit des compatriotes victimes des affres de la guerre à l'Est de la RDC. Cette cérémonie a connu la participation de la délégation sud-africaine, African national congress, ANC venue à Kinshasa dans le cadre des préparatifs des élections de 2023.
Denise Nyakeru Tshisekedi a, par la suite, rappelé aux femmes qu'elles doivent connaître leurs droits, car elles constituent une force et ont des potentialités dont le pays a besoin pour son développement.
Pour ce faire, elle les a invitées à se préparer pour les élections de 2023 non seulement en tant qu'électrices, mais aussi en tant que candidates. « Je voudrais voir plus d'une centaine de femmes postuler aux échéances électorales de 2023 avec l'accompagnement du secrétaire général de l'UDPS, Augustin Kabuya», a-t-elle déclaré.
Prenant la parole à cette occasion, Bathabile Dlamni, Présidente de Ligue des femmes de l'ANC (African national congress) a appelé les femmes de l'UDPS à lutter contre les divisions et le tribalisme dans le parti. Bathabile les a encouragées à postuler à tous les niveaux afin d'occuper les postes de décision sans attendre de faveur quelconque. En outre, elle les a exhortées à participer massivement au processus électoral.
Par ailleurs, le Secrétaire général de l'UDPS, Augustin KABUYA a remis un diplôme d'honneur à la First lady Denise Nyakeru Tshisekedi tout en la remerciant d'avoir honoré la femme de l'UDPS. La cérémonie s'est clôturée par la remise des présents par la présidente de la Fondation Denise Nyakeru Tshisekedi.
La Pros.

 

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Bonne évacuation des denrées alimentaires à Bokondo, Tshopo : Eve Bazaïba au-devant des travaux de construction d’une route de plus de 15 Km

«Je me suis investie dans les travaux de l’ouverture de cette route de plus de 15 kilomètres reliant Bokondo route à Bokondo rive dans le secteur de Turumbu dans le territoire de Basoko/Province de la Tshopo. Une contribution en vue de permettre à cette population la bonne évacuation des denrées alimentaires vers le grand centre et aussi sur la voie fluviale».
Source : Compte Twitter de la Ministre d’Etat à l’Environnement et Développement Durable, Bazaïba
*La titraille est de La Prospérité

Bonne évacuation des denrées alimentaires à Bokondo, Tshopo : Eve Bazaïba au-devant des travaux de construction d’une route de plus de 15 Km
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Sama II : la nouvelle équipe face à l’impératif d’une transition de deux ans !

Notre point de vue repose sur ce crédo de la très charismatique Marie-Josée Ifoku :" Je me bats pour mon idéal conçu par révélation et non pour mon propre ventre. Ma lutte n'a rien en commun avec le nombrilisme ambiant… Si cela ne dépendait que de moi, il y a bien longtemps que je serais Ministre... D’ailleurs, mon standing de vie ne me donne pas à envier les autres... Seul, l’intérêt du plus grand nombre me prive le sommeil".
Peut- on piper un mot sur la quasi-coïncidence entre la dernière sortie politique de la pionnière de la Renaissance du Congo et le remaniement du gouvernement ?
Sous peine d'investir dans les élucubrations, il y a lieu d’avouer que Marie-Josée Ifoku a eu le mérite de secouer le cocotier... Cela ressemble plus ou moins à l’œuvre d'une sentinelle éveillée embouchant sa trompette face à un danger imminent. Devoir de mémoire : Peu ou très peu avant la mise sur pied de la 1ère équipe de Sama Lukonde en mars 2021, un nom était à la Une des journaux et sur toutes les lèvres :" Marie-Josée Ifoku".
En a-t-il été autrement, cette fois-ci ? Ne sommes-nous pas au mois de Mars, le mois qui révèle tous les mystères de la féminité providentielle ?
A propos de la Renaissance : Il s'agit de l'horizon garni de l'espoir collectif d'un peuple longtemps meurtri, l'aboutissement d'une démarche à l'échelle nationale pour une remise en question générale susceptible de jeter les bases du nouveau départ. La transition préconisée s'apparenterait à la posture de la Conférence Nationale Souveraine où, loin de toute influence extérieure, les congolais s'étaient regardés dans le blanc de l’œil pour laver leurs linges sales en famille. Nul besoin de faire valoir des prétextes rétrogrades là où s'impose l'urgence de la reconquête de la conscience nationale et de la morale collective.
A l’évidence, la panacée ne réside pas dans la redistribution des cartes, surtout pas avec des données presque similaires. Voici ce que dit le déterminisme :" Les mêmes causes reconduites dans les mêmes conditions, produisent les mêmes effets".
Que faire ?
Le peuple congolais doit garder en tête l'urgence et la pertinence d'un dialogue sincère à l'échelle nationale. Doit prévaloir aussi la vertu de l'arbre à palabres pour chasser toutes formes des frustrations, des querelles - séparatistes, de triomphalisme...Rien ne rend plus fort un peuple que sa capacité à confesser ses faiblesses dans un élan de repentance sincère.
Une aubaine pour l'UDPS de clouer au pilori l'actuelle Constitution rejetée par elle depuis 2006.
Au bout du compte, c'est le " peuple - d- abord" qui en sortira ragaillardi avec une loi fondamentale rimant avec ses vraies attentes. Telle est, à notre avis, l'entendement à imprimer sur la démarche d'une transition de deux ans suggérée par Mme Marie-Josée Ifoku.
Félix Kalala Mwanza/Libre penseur

Sama II : la nouvelle équipe face à l’impératif d’une transition de deux ans !
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RDC : Mamie Mujanyi dévoile aux femmes des stratégies rassurantes pour quitter de la pauvre à la richesse

Le Mouvement international des femmes Dynamiques d’Afrique (MIFDA), dirigé par sa présidente Mamie Mujanyi, a organisé une rencontre avec les mamans de la Lukunga, ce mardi 21 mars 2023, à l’espace Royal, dans la commune de la Gombe en perspective de la grande activité qui aura lieu samedi 25 mars prochain au stade des martyrs. Cette croisade aura pour thème : «Comment sortir de la pauvreté à l’épanouissement » et sera un rendez-vous auquel prendra part le Président de la République Félix Antoine Tshisekedi, le chanteur et pasteur Moïse Mbiye, et bien d’autres personnalités.
«Nous sommes en train de préparer une rencontre des mamans le 25 mars au stade des martyrs dénommée « Masolo ya ba maman ». D’où, aujourd’hui, il était question de sensibiliser les mamans de la Lukunga parce que la semaine passée, nous avons eu à sensibiliser aussi les mamans de Mont-Amba et Tshiangu à l’espace de l’Echangeur de Limete », a expliqué Mamie Mujanyi, présidente de MIFDA.
Elle poursuit qu’à travers cette campagne, ‘’nous voulons faire comprendre à la femme le secret que nous allons partager avec elles pour être épanouie financièrement. Comme vous le savez, MIFDA, parmi ses objectifs principaux, se trouve celui de sensibiliser la femme à s’impliquer dans la gestion de son pays à travers l’entreprenariat. MFIDA accompagne aussi avec la formation et d’aides financières’’, a-t-elle précisé.
Pour la présidente de cette corporation, cette conférence est une sorte de coaching en même temps, au milieu des femmes pour qu’elles comprennent, et qu’elles puissent sortir de l’informel et travaillent dans le formel «Parce que beaucoup de bailleurs des fonds mettent à la disposition des financements pour les femmes, malheureusement, beaucoup dans notre pays de manière générale, ne bénéficient pas parce que non seulement elles n’ont pas accès à cette information, mais aussi parce qu’elles sont dans l’informel ».
Grâce Daro

 

RDC : Mamie Mujanyi dévoile aux femmes des stratégies rassurantes pour quitter de la pauvre à la richesse
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Au cours d’un atelier de sensibilisation et de coaching , Kinshasa : Habari RDC outille les femmes et les jeunes filles avec des stratégies participatives sur le processus électoral

Ils étaient nombreux à répondre à l’invitation de HABARI RDC. Hier, mercredi 22 mars 2023, plusieurs femmes et jeunes filles mais aussi des hommes venant de tous les quatre coins de Kinshasa ont été bénéficiaires d’une séance d’encadrement et de coaching sur le rôle des femmes dans le processus électoral. Placé sous le thème : ‘’ Rôle et implication des femmes dans le processus électoral’’, cet atelier était aussi une occasion de conscientiser les femmes à briser tout stéréotype qui les maintient dans la position de simple observatrices et de se relever pour participer à la gestion des instances de prise de décision au même titre que l’homme.
Mme Merveille Gozo, la première à intervenir dans ce colloque, a signifié que l’objectif de cette séance d’échanges et de coaching avec les femmes était de les sensibiliser à pouvoir s’impliquer davantage dans le processus électoral, afin qu’elles soient non seulement des candidates fortes et préparées mais aussi des électrices, des observatrices, des surveillantes du processus électoral pour que le processus soit plus inclusif et plus participatif.
Elle a, en outre, souligné certaines habitudes qui obstruent l’épanouissement de la femme et la parité, lesquelles sont devenues, faut-il le souligner, une évidence dans la société. «Nous sommes dans une société où les barrières coutumières et culturelles sont beaucoup plus ancrées, mais nous espérons qu’avec la sensibilisation et la vulgarisation des lois que nous avons, les hommes vont parvenir à comprendre et à savoir ce que dit la loi électorale », a soulevé Mme Merveille.
A son tour, Maître Lisette Mavungu, l’autre intervenante du jour, a soutenu que la femme a une place de choix dans le processus électoral, et qu’il revient à elle de se décider. «Nous avons essayé de montrer les deux pôles qui peuvent servir à la femme, soit comme électrice, soit comme candidate. Nous avons dit que comme électrice, elle a le devoir de s’enrôler mais aussi de participer dans ce processus électoral à divers titres : elle peut être Agent de l’OGE, Organe de Gestion des Elections, elle peut être témoin des partis politiques, elle peut être observatrice, journaliste (média) qui porte haut les candidatures de différentes personnes », a-t-elle expliqué.
Plus loin, Me Lisette Mavungu a livré quelques stratégies chirurgicales pouvant permettre aux femmes qui aspirent à se présenter comme candidates aux élections, lesquelles stratégies vont, à l’en croire, les servir pour bien affronter les joutes électorales. « De l’autre côté, nous avons parlé du rôle de la femme comme candidate ; celle-là a un rôle d’avant-gardiste, elle doit pouvoir présenter son menu au corps électoral et donc, nous avons dit qu’elle a deux phases très importantes : phase électorale et phase préélectorale où elle devrait se vendre (…) les femmes doivent œuvrer dans les partis politiques, si elles doivent accéder à certains postes. Nous encourageons les femmes à adhérer dans les partis politiques et à y travailler fortement pour qu’elles puissent avoir une voix qui compte et qu’elles soient comptées parmi les membres du parti », a-t-elle insisté.
Zoom sur la loi électorale
Sinon, Maitre Lisette Mavungu a rassuré qu’elle n’est pas assez satisfaite de la loi de la CENI, demandant aux formations politiques d’aligner plus de femmes pour être exonérées de la paie de la caution sans aucune mesure contraignante qui accompagne ladite loi. Pour elle, c’est parce que la sanction que l’on donne à un récidiviste est de payer simplement la caution. Chose qu’elle dit craindre qu’il y ait un risque pour les femmes ‘’si elles ne se prennent pas avant’’. « Telle que la disposition de la loi se présente, il y a encore des inquiétudes, mais nous espérons surveiller le processus et voir à la fin, nous allons faire une évaluation pour voir s’il y a eu du bonheur avec cet article ou il faille encore revisiter la loi en cet article-là qui donne la possibilité de payer la caution si la liste n’est pas genrée ou n’a pas la parité », a-t-elle conclu.
Fidel Songo

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En marge de la célébration du mois de la femme au Refec, Kinshasa : Lilas Ndani prodigue quelques sages conseils aux hommes

«Quand on parle des droits de la femme, on ne parle pas de l’égalité dans un foyer, nous parlons de l’égalité dans le milieu professionnel. Et la femme de plus en plus se rend compte qu’elle peut apporter une touche particulière au développement d’une société telle que la RDC». Ainsi s’est exprimée Lilas Ndani, à l’issue de la cérémonie de la célébration du mois de la femme organisée, vendredi 17 mars 2023, par le Réseau des Femmes des Entreprises du Congo (REFEC), dans la grande salle de conférence du ministère des affaires étrangères. Lilas Ndani, dans sa tunique de représentante des femmes de la primature à cette activité, a levé la voix au-devant de la presse pour faire valoir l’importance de la femme dans la société et dans le milieu professionnel.
«Je suis ravie parce que, de plus en plus, les femmes se rendent compte de ce qu’elles peuvent apporter dans la société. Donc, tout ce qu’on a appris aujourd’hui, nous prouve encore une fois de plus que nous avons un long chemin à parcourir par rapport au droit de la femme. Quand on parle des droits de la femme, on ne parle pas de l’égalité dans un foyer, nous parlons de l’égalité dans le milieu professionnel. Et la femme de plus en plus se rend compte qu’elle peut apporter une touche particulière au développement d’une société, tel que la RDC », a-t-elle déclaré.
Et de renchérir : « Ce que nous avons pu retenir c’est que les femmes doivent continuer à se battre pour se faire respecter et se faire valoir. Nous voulons plus de cette société où les femmes se livrent à des antivaleurs pour être promues ou pour être engagées quelque part. Nous voulons que la femme puisse compétir aux côtés de l’homme, prouver de quoi elle est capable pour faire développer le travail ou la société ».
Elle a saisi cette belle occasion pour dénoncer la chosification de la femme par certains hommes et en appelé à la tolérance. « Les hommes, ils sont à côté de la femme. La femme étant partenaire au temps des combats de vie. C’est-à-dire que nous devons évoluer ensemble, tant dans nos ménages que dans la société. L’homme doit être tolérant, mais la femme aussi. Donc, s’ils sont en train de marginaliser, de discriminer les femmes, je crois qu’ils sont tout simplement censés être exclus de ce siècle présent parce que ce siècle exige que la femme et l’homme évoluent ensemble pour un meilleur développement et pour une vie durable parce que la femme a toujours quelque chose, je dirais, une longueur d’avance sur l’homme. Vous verrez même pour se marier, la femme est moins âgée, l’homme plus âgé, mais c’est la femme qui coordonne tout dans le foyer et elle sait voir le mal au loin et le prévenir pour que l’homme et sa famille soient à l’abri du danger. Donc, je pense qu’ils doivent carrément arrêter de martyriser les femmes, ça ne sert à rien. Les femmes sont partenaires des hommes et vice-versa, ils doivent donc faire marchez ensemble », a-t-elle martelé.
Israël Mpoyi

En marge de la célébration du mois de la femme au Refec, Kinshasa : Lilas Ndani prodigue quelques sages conseils aux hommes
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Mars, mois de l’éveil de conscience, CS. Mgr Moke : Grâce Kangundu prône l’usage responsable des réseaux sociaux

En ce mois de mars dédié à la femme, la Coordinatrice de l’ACOFEP, Grâce Kangundu, s’est donnée le devoir d’une mère d’éveiller le sentiment intime des élèves du collège Mgr Moke, en la paroisse Saint Joseph de la commune de Kalamu, à l’occasion d’une conférence-débat organisée samedi le 18 mars 2023. ‘’ Tous pour une éducation numérisée avec une utilisation responsable du réseau’’, tel était le thème développé lors de cette activité scientifique. Face à un auditoire composé d’élèves et autorités scolaires du CS Moke, Grâce Kangundu a appelé à un bon usage des réseaux sociaux à l’ère du numérique.
«Le numérique c’est la communication, et comment la communication a approché les communautés ? C’est à travers l’utilisation du numérique, il y a des téléphones, l’ordinateur», a-t-elle expliqué, avant d’exhorter les mamans à toujours vérifier les téléphones de leurs filles, car la femme a un support faible du numérique. «Ces enfants là ont des ambitions, raison pour laquelle on parle d’éducation numérisée», a-t-elle dit.
En somme, la coordonatrice de l’ACOFEP a eu des mots justes pour exhorter les femmes présentes dans la salle d’utiliser surtout le numérique de la communication (Tweeter), un réseau social responsable, d’après elle.
Arlette Mukonkole

Mars, mois de l’éveil de conscience, CS. Mgr Moke : Grâce Kangundu prône l’usage responsable des réseaux sociaux
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