*Rose Mutombo Kiese, la Ministre de la Justice, instruit l'Inspecteur Général des Services Judiciaires et Pénitentiaires du Tribunal de Grande Instance de Kinshasa/Gombe de suspendre, sur toute la ligne, les effets des actes juridictionnels consécutifs à la saisie des comptes de l'Office des Routes.
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Après le dépôt de leurs candidatures à la Présidentielle 2023 ce samedi 9 août 2023, Augustin Matata Ponyo et Constant Mutamba ont été, chacun, reçus sur leur demande, par le Président de la CENI, Denis Kadima Kazadi, dans le cadre d’une visite de courtoisie.
Récit
La Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) a ouvert, à son siège, le Bureau de Réception et Traitement des Candidatures (BRTC), pour l'élection présidentielle prévue le 20 décembre 2023.
Au cours de la première partie de cette tribune, j’avais indiqué combien mes censeurs étaient de mauvaise foi, globalement en déformant l’objet et le contenu de l’ouvrage ramenés à la seule affaire Matata sur la douzaine d’arrêts traités, preuve que voilà une entreprise commanditée, alors que l’ouvrage expose et explique mes opinions et ma pensée développées sur le fonctionnement de la Justice en RDC et la manière dont la très haute magistrature se passait de la constitution et des lois pour « dire le droit » au travers de quelques arrêts emblématiques des hautes juridictions.
*‘’J’invite les Députés nationaux et Sénateurs à faire œuvre utile en votant massivement la Loi Tshiani de père et de mère pendant, lors de la session parlementaire de septembre 2023. La nation entière les regarde et attend d’eux de jouer pleinement leur rôle de représentant légitime du peuple. Le peuple réclame cette loi. La RDC est le seul pays que nous avons. Protégeons notre pays et assurons sa pérennité pour les générations futures. Au fait, en votant cette loi, les Députés nationaux et Sénateurs proclameront la deuxième indépendance de la RDC. Car, après cette loi ne sera plus la même chose qu’avant la loi. Pour moi, c’est la patrie ou la mort’’, insiste Noël Tshiani Muadiamvita, dans une nouvelle Interview exclusive accordée hier, dimanche 10 septembre 2023, aux fins limiers de La Prospérité. Décryptage.
A peine une année après sa désignation, l’actuel Président de la Cour Constitutionnelle et du Conseil Supérieur de la Magistrature, Dieudonné Kamuleta Badibanga, draine sur ses épaules un large éventail des réalisations qui ont bougé les lignes et redoré l'image de la haute cour et du Conseil Supérieur de la Magistrature. Homme intègre avec plusieurs casquettes et un parcours qui ne laisse aucune place au doute, il impulse un nouveau souffle. Du haut de ses trente-trois ans de carrière dans la magistrature, il force le respect et la considération puisque faisant la fierté du pays et de toutes les institutions de la République. Certains faits peuvent illustrer la première année de la mandature de cet homme de droit et homme de Dieu.
*‘’L’histoire des démocraties est toujours jalonnée d’erreurs et de débordements, lesquels sont corrigés au fur et à mesure que les administrations mûrissent. Les 50 ans des régimes militaires en R.D.C. sans élections véritables, suffisent ; il faut être aveugle ou mal intentionné, pour ne pas constater que nous progressons, même à pas de tortue, depuis 2018 ; et ce n’est pas le moment de saper les efforts de la CENI précédente et actuelle, si nous aimons réellement notre pays, surtout en ce moment où il est infiltré à plusieurs niveaux, attaqué par des voisins et des prédateurs internationaux’’, soutient l’Abbé Kabasele-Lumbala François, Professeur de son état, tout en lançant, dans une Tribune de réflexion libre, le cri envers le Bureau Permanent de la CENCO. ‘’Ne bradez le Catholicisme contre les combines politiques’’, insiste-t-il. « Prêtre, théologien et historien des religions, je ne ferai jamais la propagande d’un politicien, ni d’un parti politique ; je resterai « au milieu du village, prêt à voter pour ceux que je crois pouvoir faire progresser le bien-être des congolais, et donner à notre peuple des raisons d’aimer leur pays, de se dépenser pour son essor, et d’espérer en son avenir », conclut-il.
Prof. Abbé Kabasele-Lumbala François
Mbuji-Mayi, 1er Septembre 2023
Au bureau permanent de la CENCO C/I
- à Mgr E.B. Kasanda, Evêque de Mbuji-Mayi,
- à la Nonciature apostolique, Kinshasa
Ne bradez pas le catholicisme contre les combines politiques !
(Protestation aux combines politiques de certains membres de notre hiérarchie catholique)
L’Eglise prend part aux joies et souffrances du peuple au sein duquel elle se situe.
Vatican II l’a bien souligné dans un de ses documents : « les joies et les espoirs, les tristesses et les angoisses des hommes de ce temps, sont aussi les joies et les espoirs, les tristesses et les angoisses des disciples du Christ » (Gaudium et spes, Constitution pastorale sur l’Eglise dans le monde de ce temps, § 1).
Aussi, les pasteurs interviennent-ils pour donner leur contribution aux efforts de redressement et de la construction de la cité terrestre.
Mais, cela ne veut nullement dire que c’est à la hiérarchie de l’Eglise de gérer l’administration du temporel. Nous ne devons pas tolérer que le bureau permanent de la CENCO devienne une structure de contrôle du fonctionnement des institutions de la République, qu’il se mette à donner des leçons au parlement de notre République comme si c’était un groupuscule d’ignares, qu’il se charge de juger les magistrats et de déterminer la marche de la CENI !
Un tel agissement est une insulte publique à nos institutions, même si ces dernières n’ont pas atteint leur vitesse de croisière. Selon la doctrine sociale de l’Eglise catholique, le secteur de la « mission séculière » pour la gestion du temporel en conformité aux valeurs évangéliques, incombe aux laïcs chrétiens.
Comment ne pas faire confiance à nos laïcs chrétiens, formés et compétents, qui œuvrent à la CENI et qui ont fait un rapport d’une centaine de pages sur un audit que l’institution avait confié à un organisme étranger ? Serait-ce uniquement parce que le directeur de la CENI est d’origine de la même tribu qu’un des candidats à l’élection présidentielle ?
C’est un scandale ! Pourquoi oublier si vite les avertissements du pape François en visite au pays dans son discours du 3 février dernier, contre l’esprit mondain et politicien qui ferait que nos ecclésiastiques endossent le costume des entrepreneurs, des « maîtres », prompts à donner des leçons en dehors de leur mission propre ? (Voyage apostolique du pape François en République démocratique du Congo, éd. St Paul, Kinshasa, 2023, p.101 : « Mais, attention, il ne s’agit pas d’une action politique.
La prophétie chrétienne s’incarne dans de multiples actions politiques et sociales, mais telle n’est pas la tâche des évêques et des pasteurs en général » (p.104).
De même, le discours d’adieux du Nonce apostolique en R.D.C. Mgr Ettore Balestrero aux Evêques réunis au congrès eucharistique de Lubumbashi en Juin dernier, comporte de sérieuses mises-en-garde à ce sujet : « Si nous voulons que notre ministère puisse avoir des fruits, nous ne devons pas nous occuper de quelles sont les routes que je dois construire, les maisons que je dois faire, quels sont les changements que je dois obtenir dans le pays !
Parce qu’en réalité, le changement dans le pays ne dépendra pas directement de l’Eglise ; ce ne sera pas à nous les Evêques, pas à nous les prêtres, de changer le pays ; nous devons donner le principe : …amener et porter Dieu à ce pays ; nous sommes très préoccupés de faire ce qui ne relève pas de nous… ».
Il y aurait aussi à dénoncer des relents de tribalisme dans les propos du secrétaire général de la CENCO, quand il répand des rumeurs tribalistes discréditant les institutions de la République !
Selon lui, la CENI serait prise en otage par une tribu de la République, celle de son président Kadima ! C’est à se demander si, dans les prédictions de Mgr Nshole, il n’y aurait pas quelque scénario d’une réédition de multiples exodes luba depuis l’indépendance, scénario d’un retour au quota dans les universités et la fonction publique qui avait jadis amené plusieurs Luba à changer de noms et d’identité ethnique pour subsister ?
Le spectre de l’épuration ethnique de 1990 s’agite à nouveau, et ce n’est pas un rêve : à l’annonce de la victoire de Tshisekedi au scrutin de 2018, souvenons-nous que des pillages de certaines parcelles et des massacres de quelques ressortissants de la tribu stigmatisée ont eu lieu à Kinshasa ; ces désordres étaient alimentés, entre autres par des allégations relatives à la fameuse « vérité des urnes », clamées en chaire et réitérées, de Monseigneur Nshole et du cardinal Ambongo.
La banalisation du discours ainsi que la reprise des stéréotypes contre une tribu est un crime, car elle sème des germes d’une guerre civile et mine la cohésion d’une société. Un pasteur chrétien ne sème jamais la haine, mais la paix et la communion ; ses propos ne doivent pas faire le lit d’un éventuel « leader courageux » qui profiterait du chaos créé au pays en vue de prendre le pouvoir par les armes et de tirer son épingle du jeu politique.
Les pasteurs doivent éviter d’opposer les tribus les unes aux autres ; « Dieu est amour » (1 Jn 4,8), et tout envoyé de Dieu cultive l’amour. Aussi tout pasteur doit-il s’abstenir d’exposer ouvertement sa haine à l’égard du président de la République en exercice et des fonctionnaires de l’Etat ; sinon, ce pasteur se situe aux antipodes de sa mission.
Le croyant est optimiste, car il sait que Dieu est présent et qu’il n’a pas abandonné son œuvre ; aussi le croyant relève-t-il tous les actes positifs qui sont posés, toutes les lueurs d’espoir dans un environnement ; il n’oublie pas d’attirer l’attention des fidèles sur les moindres réalisations positives d’un gouvernement.
A nous Catholiques, le Droit canonique nous demande le respect et l’obéissance à notre hiérarchie (canon 212) ; mais, il y est aussi reconnu aux fidèles le droit de faire savoir leur opinion aux pasteurs : « selon le savoir, la compétence et le prestige dont ils jouissent, ils (les fidèles) ont le droit et même parfois le devoir de donner à leurs pasteurs sacrés leur opinion sur ce qui touche le bien de l’Eglise et de la faire connaître aux autres fidèles, restant sauves l’intégrité de la foi et des mœurs et la révérence due aux pasteurs, et en tenant compte de l’utilité commune et de la dignité des personnes » (§ 3).
Ainsi, à cause des interventions impromptues de son Eminence le Cardinal Ambongo et de Monseigneur Nshole dans le domaine politique, la religion catholique est de plus en plus décriée, et les fidèles catholiques deviennent la risée des différentes confessions religieuses en R.D.C.
Il devient fréquent d’entendre dire dans la rue : « que la CENCO s’érige en parti politique » !
Nous admettons que le Président Félix Tshisekedi n’est pas parfait, et qu’il n’inspire pas de sympathie à tous ; mais de là à essayer de répandre la haine à son égard dans la société et dans les assemblées liturgiques, cela devient une profanation du culte chrétien et de l’Eglise et nous avons le devoir de le dénoncer ; et comme théologien et prêtre, je m’en insurge.
Loin de moi l’intention d’insulter son Eminence le Cardinal et Monseigneur le porte-parole et secrétaire général de la CENCO, car ils demeurent des membres de notre hiérarchie.
Mais, nul n’étant à l’abri des bavures, leurs opinions politiques, leurs analyses des situations socio-politiques, ne doivent pas passer pour celles de l’Eglise catholique de la R.D.C.; le Cardinal au Congo ne représente pas l’Eglise catholique du Congo mais, l’Archidiocèse de Kinshasa ; Mgr le Secrétaire Général de la CENCO est sous les ordres de l’Evêque (actuellement Mgr Utembi) qui est Président de la CENCO et duquel il devrait recevoir les ordres pour des déclarations relatives à ces sujets qui n’ont pas été débattus dans les assemblées.
Le processus électoral entamé depuis 2022 et qui arrive bientôt à son terme devrait être soutenu et non boycotté, quels que soient ses manquements ; car il y va du maintien du pays dans la stabilité et nous devons éviter de faire tomber nos institutions dans l’illégalité. Les déficiences de ce processus seront dénoncées et cataloguées pour des corrections ultérieures.
L’histoire des démocraties est toujours jalonnée d’erreurs et de débordements, lesquels sont corrigés au fur et à mesure que les administrations mûrissent. Les 50 ans des régimes militaires en R.D.C. sans élections véritables, suffisent ; il faut être aveugle ou mal intentionné, pour ne pas constater que nous progressons, même à pas de tortue, depuis 2018 ; et ce n’est pas le moment de saper les efforts de la CENI précédente et actuelle, si nous aimons réellement notre pays, surtout en ce moment où il est infiltré à plusieurs niveaux, attaqué par des voisins et des prédateurs internationaux.
Prêtre, théologien et historien des religions, je ne ferai jamais la propagande d’un politicien, ni d’un parti politique ; je resterai « au milieu du village », prêt à voter pour ceux que je crois pouvoir faire progresser le bien-être des congolais, et donner à notre peuple des raisons d’aimer leur pays, de se dépenser pour son essor, et d’espérer en son avenir.
Que Dieu bénisse la RDC !
Le Professeur Jean-René Boongi, Directeur de Cabinet adjoint du ministère de l'aménagement du territoire, a eu l'honneur de recevoir Mr. Jolke Oppewal, 1er Secrétaire de l’ambassadeur des Pays-Bas en République Démocratique du Congo. Cette rencontre, centrée sur l'échange d'expertise entre les deux nations, a été l'occasion de discuter des opportunités et des défis liés à l'aménagement du territoire et à la gestion foncière en République Démocratique du Congo.
M. Jolke Oppewal a exprimé le désir de son pays d'apporter un soutien significatif aux efforts déployés par la RDC dans ces domaines cruciaux. La délégation néerlandaise et les représentants congolais sont actuellement en train d'analyser les possibilités de collaboration, notamment en élaborant des propositions de financement adaptées.
Il est important de souligner que les Pays-Bas possèdent une vaste expérience en matière d'aménagement du territoire, une expérience qui peut se révéler précieuse pour la République Démocratique du Congo.
Cette rencontre prometteuse marque le début d'une coopération fructueuse entre les deux pays, visant à renforcer les capacités et à favoriser le développement durable de l'aménagement du territoire en RDC.
(Avec la Cellule de Communication de l’Aménagement du Territoire)
La République Populaire de Chine et le Singapour entretiennent de très bonnes relations bilatérales depuis plusieurs décennies. Sur cet axe diplomatique, les deux pays disposent en commun d'importants défis à relever et des projets de grande ampleur à concrétiser pour le bonheur de leurs peuples respectifs. Au nombre de ceux-ci, il y a lieu de mettre en évidence la ville écologique sino-singapourienne, Construite sur les rives du fleuve Jiyun et de la mer Bohai, de 2008 à 2023, à Tianjin, ville voisine de Pékin, en Chine. La zone complètement bâtie de l'Eco-ville de Tanjin mesure environ 22 kilomètres tandis que la zone verte a atteint 11 millions de m2.
Voilà ce qui convient de relever à la lumière des allégations fournies, mercredi 6 septembre 2023, par les hauts responsables de cette cité, au cours d'une conférence de presse tenue au musée maritime de Tianjin, en marge de la célébration du 15ème anniversaire de la construction et du développement de ce qui est considéré à ce jour comme la plus grande 2co-ville au monde.
Au banc des intervenants, il y avait, entre autres, M. Wang Guoliang, Président du Comité administratif de l'éco-ville Chine-Singapour de Tianjin, Yang Yong, Vice-président du Comité administratif, et Wang Rui, Vice-président du Comité administratif.
« Le 14 mai 2013, le Président Xi Jinping s’est rendu en personne et a affirmé les réalisations réalisées dans la construction de l’éco-ville, et a souligné que l’éco-ville doit prendre en compte les deux aspects de la nature avancée, du haut de gamme, reproductibilité et promotion. Des réponses convaincantes aux êtres humains, une coexistence harmonieuse des êtres humains et des activités économiques, et une coexistence harmonieuse des êtres humains et de l’environnement, fournissant une démonstration pour la construction d'une société économe en ressources et respectueuse de l’environnement ». Cette instruction importante constitue une base fondamentale pour le développement de l’éco-ville.
Cette année marque le 10ème anniversaire de l’inspection du Président Xi Jinping ainsi que le 15ème anniversaire du développement et de la construction de l’éco-ville. Dans le cadre de la promotion conjointe de la Chine et de Singapour, l’éco-ville est partie d’une feuille blanche et a construit une maison heureuse pleine de verdure sur la plage du désert salin-alcalin, réalisant ainsi la transformation d’une « ville écologique » en une « ville dynamique » et « ville de construction ».
La transformation de « ville » en « ville de gestion » et de « ville-jardin » en « ville convient d’habituer, de travailler, de visiter, et de reposer » a créé une nouvelle situation dans l’intégration et le développement de Hong Kong, de l'industrie et de la ville.
Utiliser le « vert » comme encre pour « peindre » un projet écologique
Un bon environnement écologique constitue le bien-être le plus inclusif des moyens de subsistance des populations. L’éco-ville établit fermement les valeurs écologiques de respect de la nature, de conformité à la nature et de protection de la nature, et promeut conjointement la réduction du carbone, la réduction de la pollution, l’expansion verte et la croissance. Après 15 ans de développement et de construction, la zone bâtie a atteint 22 kilomètres carrés, la zone verte a atteint 11 millions de mètres carrés et la proportion l’eau de bonne qualité dans les eaux côtières a atteint 100 %.
Comment emprunter la voie verte ? Comment construire une ville verte ? Le système d’index éco-ville est le « navigateur ». Au début du développement et de la construction en 2008, équipe d'experts sino-singapouriens a formulé le premier système d’indices d’éco-ville au monde et a compilé le plan global de l’éco-ville sous les contraintes de l’indice.
En 2018, à l’occasion du 10e anniversaire du développement et de la construction de l’éco-ville, à la lumière de la situation de développement de la nouvelle décennie, le système d’indicateurs sera révisé et amélioré, incluant 100 % de la proportion de zones résidentielles à moins de 5 minutes à pied des parcs et des espaces verts, et 100 % du taux intelligent d'exploitation et de gestion urbaine.
Atteignant le niveau avancé international, le système d’index amélioré est devenu une base importante pour promouvoir le développement de haute qualité de l'éco -ville, améliorant la qualité de la ville et la qualité du cadre de vie, et servant également de référence pour d’autres villes.
La promotion d’un développement économique et social vert et sobre en carbone est le maillon clé pour parvenir à un développement de haute qualité. L’éco-ville saisit avec précision la relation dialectique entre la protection écologique et le développement économique, et promeut les économies d'énergie et la réduction des émissions de carbone grâce à l'innovation technologique et à l'innovation des systèmes de gouvernance.
Publication du premier système national de normes d'unités de démonstration zéro carbone et exploration de la voie de réduction des émissions de carbone « à faible teneur en carbone-ultra-faible-proche de zéro-zéro net » dans les communautés, les usines et les parcs industriels ; et le réseau des Nations Unies de Tianjin Electric Power a créé le premier lot de droits de propriété intellectuelle totalement indépendants en Chine.
Le projet pilote « Snowflake Network » de 10 kV a augmenté l’efficacité du réseau électrique de 30 % et le taux de fiabilité de l'alimentation électrique a atteint le premier niveau mondial. L’éco-ville est également la première à mettre en œuvre le projet pilote de comptabilité de la valeur des produits écologiques de Tianjin, en explorant l’établissement de normes comptables, en dressant la liste des produits écologiques et en « valorisant » l’écosystème inestimable.
« En outre, développer et utiliser activement l’énergie solaire, l'énergie géothermique, l'énergie éolienne, etc., et l’intensité des émissions de carbone par unité de PIB est de 145,3 tonnes de CO2/million de dollars américains, atteignant le niveau avancé international. Promouvoir la réduction des sources de déchets solides et l’utilisation des ressources, construire le plus grand système de transport pneumatique des déchets en Chine, construire une plate-forme de gestion de l'information sans déchets, créer des « cellules sans déchets » dans les communautés, les centres commerciaux et d’autres scénarios, et réaliser « transformer les déchets en trésor », L’expérience de « Ville Zéro Déchet » a été promue dans tout le pays par le Ministère de l’Écologie et de l’Environnement comme un cas typique. En février de cette année, l’éco-ville, en tant que seul exemple d’excellente ville à faible émission de carbone en Chine, a partagé son expérience pratique en matière de neutralité carbone lors du 2ème Forum sur la neutralité carbone Chine-Japon-Corée », a relaté le patron de l'éco-ville.
Pour lui, en effet, cette entité saisit fermement le « grignotage » de la décharge des fonctions non capitalistiques et incite activement les projets en amont et en aval des entreprises centrales à s'installer.
« Introduire un certain nombre de grands instituts et de projets de haute qualité tels que l'Université de l'industrie nucléaire de Chine et le China Electronics Technology Group, et les sociétés sources d'investissement de Pékin représentent plus de 40 %. Promouvoir la coopération entre le Parc national d'animation et la Zone expérimentale nationale culturelle et créative de Chaoyang à Pékin, construire un laboratoire de nouvelles technologies de culture numérique, attirer des entreprises clés telles que BlueFocus et Light Media à s'installer et approfondir les domaines de l'animation cinématographique et télévisuelle, de la publicité médias, divertissement interactif et édition de livres. Co-construit l'Institut de recherche sur l'information électronique de Tianjin avec l'Université Tsinghua, construit une plate-forme expérimentale optoélectronique haut de gamme et transformé avec succès plus de 30 projets d’innovation de haute technologie, parmi lesquels Huahuixin a construit la première ligne de production de puces optoélectroniques haut de gamme de la ville et a remporté le Prix spécial d’invention technologique municipale de Tianjin, renforcer davantage les capacités de développement de puces optoélectroniques de mon pays. Les jeunes aigles, gazelles et entreprises publiques de haute technologie continuent de croître et s'efforcent de construire une communauté d'innovation collaborative Pékin », a, pour chuter, dans sa communication, indiqué Wang Guoliang.
Gloire Mfemfere
Envoyé spécial à Pékin
En République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945; Superpuissance politico-militaire en voie de la poursuite du statut de la Puissance économique et où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Hommes bienfaiteurs dont le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’Etat de la RPDC, NDLR), les annales de miracles marquent, profondément, l’histoire des 75 années (1948-2023) d’existence de la RPDC. Ces miracles s’expliquent par les Esprits de;
- Paektu-san (mont ancestral de la Nation et sacré de la Révolution d’où l’objet du pèlerinage de toute la Nation, le plus haut de la Péninsule coréenne avec 2.750m et classé 1er parmi les 6 monts célèbres de la Péninsule pour son paysage magnifique; le nom provient de ce qu’il est enneigé pendant toutes les 4 saisons, d’où le mont-blanc dont l’environnement naturel est formé à la suite des 31 éruptions volcaniques 939-1925, NDLR)
- Cholli-ma (cheval fabuleux ailé galopant les 100 lieues/jour, dont la statue en bronze de 46m est érigée en 1961 à Pyongyang et le terme ou l’esprit est né au milieu des années 1950 symbolisant un rythme de développement fulgurant de l’époque où l’on voyait se créer, chaque jour, les prodiges et innovations, NDLR).
Les glorieuses histoire et traditions de la RPDC, artisan de ces Esprits, se transmettent même aujourd’hui, de décennie en décennie, de siècle en siècle.
Aujourd’hui, le Peuple de la RPDC avance, vigoureusement, vers une nouvelle victoire du socialisme ou vers la Puissance socialiste prospère en surmontant tous les défis et épreuves sans précédent, et brillera à jamais comme Patrie du Paektu-san et Pays du Cholli-ma sous la sage direction de KIM JONG UN.
1. Grâce à l’Esprit du Paektu-san
Personne ne va rester comme spectateur passif devant un cambrioleur qui a pénétré dans sa maison avec un couteau. Alors que la Guerre de Corée (ou Joson ou Pays du «matin calme ou frais avec le soleil brillant», désignée sous le nom de «fleuves et montagnes brodés dans la soie» ou «la Nation orientale du décorum», et fière de sa Civilisation de 5.000 ans dont plusieurs étaient voués à l’invasion des Pays étrangers comme les USA, le Japon et d’autres, tous convoiteux de la qualité et la quantité respectives des ressources humaines et naturelles, de la spécificité géopolitique et du paysage éblouissant de la Péninsule coréenne, NDLR) a été éclatée, dans une journée dominicale 25/06/1950 04:00 si tranquille où il ne pleuvait pas assez fort, sous la manipulation ou l’instigation des USA (ou United States of America ou Etats-Unis d’Amérique; occupants de la moitié Sud de la Péninsule coréenne dès 1945 jusqu’ici avec leurs 30.000 GI’s coiffés arbitrairement des Casques Bleues censées être ôtées depuis 1975 grâce à la Résolution de l’ONU № 3390B 18/11/1975 mais toujours en vain, après leur fiasco dans la 1ère invasion de la Corée en 1866 bientôt recouvré par leur réussite dans la domination 1905-1945 de procuration de toute la Corée par le Japon grâce à la collusion USA-Japon 29/07/1905, cela selon l’esprit de leur Destinée Manifeste de 1845, NDLR), presque personne n’a imaginé que;
- les USA seraient vaincus dans cette Guerre, ce Pays (9.833.517km2; classé 3ème du monde, NDLR) vainqueur dans la 2ème (1939-1945) Guerre Mondiale et affirmé comme chef de file de l’impérialisme mondial avec leurs Maréchaux et Généraux renommés et leur industrie de guerre de 1er rang mondial
- la RPDC (territoire; 123.214km2, population; 10.540.000 en 1950, NDLR) sortirait victorieuse de ladite Guerre avec son Armée Populaire de Corée (APC) âgée de 2 ans (avec quelques seules divisions - les Généraux d’origine de la Guérilla antijaponaise et anciens paysans/ouvriers/élèves - ainsi que les chars T-34, avions à hélices YAK-9 et torpilleurs, de plus ou moins d’une centaine au total, NDLR) en pleine préparation du Régime socialiste politiquement souverain, économiquement indépendant et militairement autodéfensif.
Ce n’était jamais par hasard qu’au lendemain de la Guerre, le Maréchal Douglas MacARTHUR (1880-1964), le tout 1er Commandant de l’US Army en Extrême-Orient et Commandant des Forces Onusiennes (fabriquées par les Résolutions illégales ou injustes du Conseil de Sécurité № 82-84 des 25/06-07/07/1950, NDLR), a estimé terminer la Guerre en 72h dans le cadre de leur Plan A (B; l’extension de la Guerre sur la Mandchourie en mobilisant, aussi, l’Armée japonaise réarmée et celle de JIANG Jieshi 1887-1975 - Généralissime et opposant à la République Populaire de Chine -, C; la conquête de toute la Sibérie jusqu’à l’Oural, NDLR).
Malgré le déséquilibre de forces évident, l’APC a passé sans tarder à sa contre-offensive pour libérer Séoul, centre de la domination coloniale des USA et le Drapeau national de la RPDC était hissé (28/06/-28/09/1950) au-dessus du bâtiment non moins important de Séoul, qui a existé pendant 70 ans (1926-1996). Et après un mois, elle a libéré plus de 90% du territoire et plus de 92% de la population de la ROK;
- (ou Republic of Korea ou République de Corée, qui désigne la Corée du Sud et qui tire son origine, avec siège à l’étranger, en 1919 sous la domination 1905-1945 du Japon, sans aucun pouvoir ni autorité restaurés en apparence seulement en 1948 par les USA qui avaient divisé la Péninsule coréenne pour mieux régner, NDLR)
- (DROM-COM des USA - comme le Japon depuis 1945 - obligé ou forcé, afin de survivre ou subsister, de désigner, une fois de plus depuis le début 2022, son côté Nord - RPDC - comme ennemi principal en ignorant ou négligeant, totalement, son homogénéité nationale, d’où la condamnation des millions de manifestants locaux depuis plus d’une année, NDLR).
Le lundi 27/07/1953 10:00, les USA qui se vantaient d’être les plus Puissants du monde ont ployé leurs genoux devant le Peuple de la RPDC.
2. A travers l’Esprit du Cholli-ma
Quant à l’époque du Cholli-ma, c’est le temps où le Peuple de la RPDC imprimait, sous la direction du Généralissime KIM IL SUNG (1912-1994) un grand essor à l’allure du Cholli-ma dans l’édification du socialisme.
Au fort du relèvement d’après-Guerre (1950-1953 RPDC-USA, NDLR), KIM IL SUNG se rendit (28/12/1956) à l’Aciérie de Kangson (actuel Combinat d’Aciérage Cholli-ma dans la Ville-Province Nampho, NDLR) pour informer les ouvriers de Kangson de la situation difficile à laquelle le Pays se confrontait et déclarer avec instance: Nous devons triompher de toutes les épreuves et opérer un grand essor dans l’édification du socialisme. Dans le passé (la colonisation du Japon, le plus obsédé ou ambitieux de l’expansion d’outre-mer avec sa 1ère invasion 1592-1598 de la Péninsule coréenne - sa plus voisine géographique - et stigmatisé Etat ennemi par la Charte de l’ONU du fait de ses crimes immoraux les plus graves contre l’Humanité commis pendant sa domination 1905-1945 de la Corée occupée sous la collusion USA-Japon 29/07/1905, tels que le kidnapping et la réquisition forcée de 8,4 millions de jeunes et adultes coréens comme pare-balles et pour les travaux forcés, le massacre atroce de 01 million des Coréens et le système d’esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200 milles Coréennes, etc., NDLR), nous avons vécu dans la misère et aujourd’hui encore, nous ne vivons pas dans l’aisance. Dans ces circonstances, nous devons faire 10 ou 100 pas quand les autres en feraient 01 ou 10.
A l’appel de KIM IL SUNG, les métallos de l’Aciérie furent parvenus à produire 120.000t d’aciers laminés avec leur laminoir censé être capable d’en sortir à peine 60.000t/an, allumant, les 1ers, le flambeau du Mouvement Cholli-ma. Aussi l’époque du Cholli-ma, la période de changements bouleversants, fut-elle inaugurée comme ère digne d’être inscrite dans l’histoire de la RPDC. En 1958, on vit se créer, successivement, les miracles séculaires par un grand essor;
- Partout dans le Pays, se dressèrent un millier d’usines d’industrie légère comme les pousses de bambou après la pluie.
- La pose de la Ligne Haeju-Hasong (les 2 régions à distance de plus de 20 lieues dans la Province Sud-Hwanghae, NDLR) de chemin de fer censée prendre 3 ou 4 ans fut achevée en 75 jours seulement.
- Les ouvriers réussirent à fabriquer les équipements précieux de l’économie nationale indépendante comme la grande pompe à eau, le camion Sung-ri (ou victoire) - 58, le tracteur Cholli-ma, le bulldozer Pulgun-byol (ou étoile rouge) - 58 et la pelle mécanique Cholli-ma.
- Les bâtisseurs de la Capitale créèrent la Vitesse Pyongyang, c’est-à-dire l’assemblage d’un appartement en 14 minutes seulement, et construisirent 20.000 logements en une seule année avec les matériaux et le fonds prévus pour la construction de 7.000 logements.
Dans son discours lors d’un rassemblement de plus de 70.000 Citoyens organisé en l’honneur de KIM IL SUNG en visite (novembre 1958) au Viêt-Nam, le Président HO Chi-Minh (1890-1969) dit; Le Peuple de la RPDC fonce, vigoureusement, vers le sommet du socialisme à l’allure du Cholli-ma sous la direction de KIM IL SUNG, faisant l’admiration du monde.
Même dans les années 1960, le Peuple de la RPDC enregistra les innovations séculaires dans le développement du Pays grâce au grand essor de Cholli-ma;
- Les ouvriers fabriquèrent, de leurs propres forces, les tracteurs Phung-nyon (ou année d’abondance) à destination des campagnes rurales et les grosses pelles mécaniques Jangpaek-san (ou Mont Paektu-san) pour mines, produisirent le poids lourd Sungri-san (ou la montagne de la victoire) de 25t et furent parvenus à fabriquer la presse à forger de 6.000t en une seule année contre les 4 ou 5 ans dans d’autres Pays.
- Les cheminots réussirent à fabriquer, pour la 1ère fois, la locomotive électrique Pulgun-ki (ou drapeau rouge) № 1 en faisant preuve de l’esprit de la confiance en soi et éliminant le conservatisme et la passivité.
Ainsi, la RPDC réalisa, avec succès en 14 ans seuls à l’allure du Cholli-ma, son industrialisation socialiste.
【source】Sylvère BOSWA ISEKOMBE (1966- ; appelé, communément, Lion au Cœur Rouge depuis 2018, NDLR);
- Secrétaire Général (№ 1) du Parti Communiste Congolais (PCCo) de la République Démocratique du Congo
- Coordinateur sous-régional pour l’Afrique Centrale du Conseil Mondial de la Paix (CMP créé en 1950 avec son siège à Athènes, Grèce)
Ce mercredi 6 septembre 2023, en son Quartier général situé à la Gombe, la Monusco a tenu sa traditionnelle conférence de presse animée par Mme Ndeye Khady, Porte-parole a.i. de la Monusco, conjointement avec ses quatre invités dont le Général Benoît-Olivier Chavanat, Commandant adjoint de la Force onusienne, et son homologue Mody Berethe, Général et Chef de la composante Police MONUSCO. C’était devant un parterre de journalistes congolais et étrangers, toutes rédactions confondues, venus nombreux à la quête des informations en lien avec le climat sécuritaire qui prévaut, à l’heure actuelle, dans la partie Est de la République Démocratique du Congo.
Mesures imposantes
Dans son propos liminaire relatif à ce dossier, Mme le Porte-parole ad intérim a, en premier lieu, exprimé l’inquiétude de la MONUSCO et de sa Cheffe Bintou Keita, face à la tragédie déroulée à Goma, le 30 août dernier, occasionnant la mort d’une cinquantaine de personnes tandis qu’elles manifestaient contre une série de présences militaires étrangères sur le sol congolais dont les Casques Bleus, la Force régionale de la Communauté des Etats de l’Afrique de l’Est ainsi que des ONG internationales installées au Nord-Kivu.
A en croire Mme Kady, la même inquiétude vaut aussi pour l’élément de la Police Nationale Congolaise dont la mort par lapidation de la part des manifestants a été à la base de cette tuerie massive perpétrée par les forces de l’ordre comme en guise de revanche. « La Monusco réitère ses condoléances aux autorités et à la population de la RDC et surtout aux familles de ces personnes décédées dans les circonstances qu’une enquête permettra d’élucider », a-t-elle rassuré.
Pendant ce temps, la MONUSCO, qui l’a échappé belle, selon qu’elle était parmi les cibles des manifestants, n’a pas tenu compte de ça pour plutôt soutenir l’ouverture, par les autorités congolaises, d’une enquête interministérielle ainsi que d’un procès à l’endroit de certains officiers des FARDC.
A cet effet, Madame Kady a invité les autorités congolaises à prendre des mesures qui s’imposent afin que soit évitée à la prochaine la reproduction d’une telle tragédie. « La mission continue de travailler à apporter son soutien aux autorités et aux personnes affectées pour faire face à la situation », a-t-elle dit.
Au chapitre relatif au retrait de la Mission du sol congolais, Madame Khady a tenu informée la presse des discussions relatives au départ consécutif au ‘’dit’’ retrait qu’elle a confirmé prévu pour la période post-positive aux élections de décembre 2023. Foi sur les propos du Général Benoît-Olivier Chavanat, cela est à contrecourant du plan du Conseil de sécurité qui l’a plutôt prévu pour 2024.
Toutefois, à entendre parler Mme la Porte-parole, les modalités de ce retrait vont être définies de commun accord entre les autorités de la République Démocratique du Congo et le Conseil de Sécurité.
Pendant une brève explication, Madame Khady a eu à souligner le fait que ce tant évoqué retrait de la mission de maintien de la paix qui intervient après près de 24 ans de sa présence en RDC ne signifie pas le départ du système des Nations-Unies du sol congolais.
Quel sort pour la Radio Okapi ?
A la question de savoir : ‘’Quel sera le sort de la Radio Okapi qui, pendant près de 24 ans, a servi de ‘’Porte-parole à la Mission ?’’, Mme Khady a tiré les choses au clair : « Pendant ce processus de transition, il y aura des tâches de la MONUSCO qui seront transférées au Gouvernement congolais ; nous aurons dans les jours qui viennent des informations sur ce que sera la Radio Okapi après le départ de la Mission ».
Autre point à l’ordre du jour
L’autre aspect de ce point de presse riche en informations était relatif à la journée internationale de l’alphabétisation dont les détails ont été apportés par le représentant de l’UNESCO qui était parmi les quatre invités de Mme Khady.
Saint-Germain Ebengo