Les grands enjeux géopolitiques, géostratégiques et géo économiques de la guerre à l’est de la République Démocratique du Congo.

(Par James Andersson Nzale)
Lettre ouverte n°002/2025 du 07/09/2025 du CIEGS RDC Afrique a l’attention des personnes directement ou indirectement impliquées sur dans dossier de l’accord de paix de Washington du 27 juin 2025 entre la République Démocratique du Congo et le Rwanda :
Le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL attire l’attention de :
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Monsieur le Président des Etats – Unis d’Amérique DONALD TRUMP ;
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Monsieur le Vice – Président des Etats – Unis d’Amérique JD VANCE ;
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Monsieur le Secrétaire d’Etat Américain, le Sénateur de Floride Marco Rubio ;
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Monsieur l’envoyé spécial du Président des Etats – Unis pour la Région du Grand Lacs Massad Boulos ;
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Madame l’Ambassadrice des Etats – Unis en République Démocratique du Congo Lucy Tamlyn ;
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Monsieur le Président de la République Démocratique du Congo, FELIX ANTOINE TSHISEKEDI TSHILOMBO ;
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Madame la Première Ministre de la République Démocratique du Congo JUDITH SUMINWA TULUKA ;
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L’Honorable Président de l’Assemblée Nationale de la République Démocratique du Congo VITAL KAMHERE ;
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L’Honorable Président du Sénat de la République Démocratique du Congo JEAN MICHEL SAMA LUKONDE ;
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Madame la Ministre des Affaires Etrangères et de la Francophonie de la République Démocratique du Congo THERESE KIYAKWAMBA WAGNER ;
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Monsieur le Ministre d’Etat et Ministre de la Justice et Garde des Sceaux de la République Démocratique du Congo GUILLAUME NGEFA ;
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Monsieur le Ministre des Droits Humains de la République Démocratique du Congo SAMUEL MBEMBA KABUYA ;
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Monsieur le Président de la Commission des Droits de l’Homme en République Démocratique du Congo PAUL NSAPU MUKULU
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Monsieur le Secrétaire Général des Nations Unies ANTONIO GUTERRES
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Monsieur le Haut-Commissaire des Nations Unies aux Droits de l’Homme VOLKER TURK
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Monsieur le Président du Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies JÜRG LAUBER
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Madame la Représentante du Secrétaire Général des Nations Unies et Cheffe de la MONUSCO en RDC BINTOU KEITA
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Monsieur le Directeur des affaires politiques de la MONUSCO en RDC FRANÇOIS GRIGNON
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Monsieur le Directeur de la Division des Droits de Droits de l’Homme de la MONUSCO (Bureau Conjoint des Nations Unies aux Droits de l’Homme) JOSE MARIA ARANAZ
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Madame la Présidente du Parlement Européen ROBERTA METSOLA
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Monsieur le Président du Conseil Européen ANTONIO COSTA
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Madame la Présidente de la Commission Européenne URSULA VON DER LAYEN
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Monsieur le Président de la Cour Européenne des Droits de l’Homme MATTHIAS GUYOMAR
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Monsieur l’Ambassadeur de l’Union Européenne en RDC NICOLAS BERLANGA MARTINEZ sur les faits suivants :
Concerne : lettre ouverte relative à l’analyse géopolitique, géostratégique et géoéconomique de l’accord de paix RDC - Rwanda signe à Washington le 27 juin 2025, une étude stratégique et minutieuse menée par le CIEGS RDC Afrique ainsi que de sa branche internationale et mondiale : le CIEGS international et planétaire au bénéfice et pour le mieux-être social du peuple congolais sans exception et exclusion : grand et petit, homme et femme, jeune et vieux, riche et pauvre, libre et opprime vivants en République Démocratique du Congo et à l’étranger.
1. Introduction et exposé de motif.
En date du 27 juin 2025, la République Démocratique du Congo (RDC) et la République du Rwanda ont signé à Washington un accord de paix sous médiation américaine. Ce document propose une analyse approfondie de ses avantages, inconvénients et implications géopolitiques, géostratégiques et géoéconomiques.
Bien avant cette date de la signature de cet accord entre le Rwanda et la République Démocratique du Congo, le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL en tant que sentinelle (Ezéchiel 3 : 17 ; 33 : 1-7 ; Habacuc 2 :1 ; Esaie 62 :1-6), Héraut (Daniel 3 : 4 -5 ; 1 Timothée 2 : 7 ; 2 Timothée 1 : 11) et de Lanceur d’alerte (Ezéchiel 33 : 1-7 ; Amos 5 : 10-15 ; Matthieu 3 : 1-12 ; Marc 6 : 17-18 ; Actes 20 : 28-31 ; Matthieu 23 : 1-39 ; Jérémie 7 : 1-11 ; 2 Pierre 2 : 1-3) et pour l’amour de la République Démocratique du Congo ne se taira pas et ,ne restera pas indifférent face aux réalités géopolitiques, géostratégiques et géoéconomiques de la République Démocratique du Congo (Esaie 62 : 1-7) et de ce fait avait suivi avec une attention très soutenu les différentes tractations et négociations au niveau des experts de deux pays bien que ces négociations ont été entachées de la plus grande opacité jamais vue et même les draft de ces accords n’ont pas été dévoilés et mis à la portée du public congolais afin de permettre au peuple congolais souverain primaire, maître et propriétaire de la République Démocratique du Congo conformément à l’article 5 de la Constitution de la République Démocratique du Congo d’apporter leurs critiques constructives, les avis, les désidérata, les opinions libres sur le contenu global, le bien fondé et la quintessence, la portée, les tenants, les aboutissants ainsi que les non-dit de cet accord international qui va engager la vie des milliers er des milliers des congolais sans exception et exclusion : grand et petit, libre et opprimé, homme et femme, jeune et vieux, libre et opprimé et cela conformément aux articles 11,13, 22 et 23 de la Constitution de la République Démocratique du Congo qui consacrent et garantissent la liberté d’expression et d’opinion au Congo – Démocratique.
C’est pourquoi, vu tout ce qui précède, le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL fortement spécialisé dans les étuves géopolitiques, géostratégiques et géo – économiques en République Démocratique du Congo en consultant la majorité des congolais vivants en RDC et dans la diaspora à l’étranger et a déjà publié trois communiqués de presse sur les grands enjeux géopolitiques, géostratégiques et géoéconomiques de la guerre à l’est de la RDC et de la problématique de l’Accord de paix entre la République Démocratique du Congo dans la presse écrite en RDC et que vous pouvez aussi le trouver et les lire directement dans les réseaux sociaux : Facabook, Messenger, WhatsApp, Instagram, Truth Social, X( ex Twitter ), Mastodon et autres.
En ce jour, faisant suite à cette sérié des communiqués de Presse, le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL aborde à présent ce même sujet des grands enjeux géopolitiques, géostratégiques et géoéconomique de la guerre à l’est de la République Démocratique du Congo, mais pas toujours avec des Communiqués de Presse mais cette fois ici en faisant une analyse objective, juste et honnête de tous les enjeux géopolitiques, géostratégiques et géoéconomiques de l’accord de paix entre le Rwanda et la RDC signé le Vendredi 27 Juin 2025 à Washington entre ces deux pays en Présence du Secrétaire d’Etat Américain MARCO RUBIO, le Sénateur de Floride dans toutes ses facettes en analysant les forces, les faiblesses, les opportunités, les risques, les menaces ainsi que les différents environnements géopolitique, géostratégique, géo- économique, socio – culturel, légal, technologique et autres et nous vous le présentons dans les lignes qui suivent l’analyse géopolitique, géostratégique et géoéconomique de l’accord de paix RDC - Rwanda signe à Washington le 27 juin 2025, une étude stratégique et minutieuse menée par le CIEGS RDC Afrique ainsi que de sa branche internationale et mondiale : le CIEGS international et planétaire au bénéfice et pour le mieux-être social du peuple congolais sans exception et exclusion : grand et petit, homme et femme, jeune et vieux, riche et pauvre, libre et opprime vivants en République Démocratique du Congo et à l’étranger.
Les grands enjeux géopolitiques, géostratégiques et géoéconomiques et la problématique de l’accord de paix entre la République Démocratique du Congo et le Rwanda passe obligatoirement, absolument, indiscutablement et incontestablement par l’état de droit, la justice et la lutte contre l’impunité et contre les crimes internationaux et la mise sur pied des mécanismes de la justice transitionnelle en République Démocratique du Congo.
Mais avant toute chose, nous tenons à rappeler à tout citoyen congolais ce qui suit et cette Parole Puissante de Dieu :
Le Seigneur Jésus - Christ veut faire toute chose nouvelle en République Démocratique du Congo (Esaïe 43: 19) et créer un Congo nouveau en commençant par le respect de la souveraineté nationale et internationale de la République Démocratique du Congo, l’intangibilité de ses frontières nationales héritées de la colonisation et l'autodétermination du peuple congolais ainsi que sa sortie totale, inconditionnelle et définitive de toutes les organisations sous – régionales, régionales et internationales à savoir : la Francophonie, les Nations Unies, l'Union Africaine, la CEMAC, la CEPGL, la CIRGL, la CEEAC, EAC, SADC, la COMESA, le Bassin du Congo etc.
Ecoutons tous sans exception et exclusion : grand et petit, homme et femme, jeune et vieux, libre et opprime, riche et pauvre à présent ce que dit clairement la parole puissante de Dieu :
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les ténèbres ne règneront pas toujours en République Démocratique du Congo (Esaïe 8 : 1 - 23 ; 9 : 1 - 4, Jean 1 : 1-18 ; JEAN 8 : 12 ; JEAN 14 : 6 ET 1 JEAN 1 : 1-10).
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le peuple qui marchait dans les ténèbres a vu une très grande lumière (Esaïe 9 : 1 – 4).
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voici, je veux faire toute chose nouvelle en République Démocratique du Congo (Esaïe 43 : 18 – 21 ; Romains 8 : 28-29 ; 2 Corinthiens 5 : 17).
La justice élève une nation (proverbes 14 :34), tels doit désormais être le cas de la justice internationale et transitionnelle en République Démocratique du Congo.
LE CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL avait pris autrefois bonne note des plusieurs publications parues dernièrement dans les Journaux de la République Démocratique du Congo et dans les réseaux sociaux de l’existence d’une déclaration de principe signée dernièrement à Washington en présence du Secrétaire d’Etat Américain le Sénateur de Floride MARCO RUBIO relative à la paix entre la République Démocratique du Congo et le Rwanda.
A cet effet, le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL attirait l’attention de toutes les personnes sus- mentionnés sur les faits suivants :
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Le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL rappelle toujours et encore une fois de plus le peuple congolais les alinéas 4 et 5 du Préambule de la Constitution de la République Démocratique du Congo qui disposent en ces termes nous citons : « Considérant que l’injustice avec ses corollaires, l’impunité, le népotisme, le régionalisme, le tribalisme, le clanisme et le clientélisme, par leurs multiples vicissitudes sont à l’origine de l’inversion générale des valeurs et de la ruine du pays» et « affirmant notre détermination à sauvegarder et à consolider l’indépendance et l’unité nationales dans le respect de nos diversités et de nos particularités positives » et exhorte le peuple congolais à se conformer sans aucune réserve à ces dispositions constitutionnelles pertinentes pour le bonheur et le mieux-être social du peuple congolais sans exception et exclusion et le développement rapide, harmonieux, efficace, durable et intégral de la République Démocratique du Congo.
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Encore une fois de plus, le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL insiste et rappelle à tous et à toutes clairement le contenu global des articles 11, 12, 13, 22, 23 et 27 relatif aux Droits Civils et politiques en République Démocratique du Congo que voici et qui disposent en ces termes nous citons :
Section 2 : De la Souveraineté :
Article 5 : La souveraineté nationale appartient au peuple. Tout pouvoir émane du peuple qui l’exerce directement par voie de référendum ou d’élections et indirectement par ses représentants.
Aucune fraction du peuple ni aucun individu ne peut s’en attribuer l’exercice. La loi fixe les conditions d’organisation des élections et du référendum.
Le suffrage est universel, égal et secret. Il est direct ou indirect.
Sans préjudice des dispositions des articles 72, 102 et 106 de la présente Constitution, sont électeurs et éligibles, dans les conditions déterminées par la loi, tous les Congolais de deux sexes, âgés de dix-huit ans révolus et jouissant de leurs droits civils et politiques.
Article 11 : Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Toutefois, la jouissance des droits politiques est reconnue aux seuls Congolais, sauf exceptions établies par la loi.
Article 12 : Tous les Congolais sont égaux devant la loi et ont droit à une égale protection des lois.
Article 13 : Aucun Congolais ne peut, en matière d'éducation et d'accès aux fonctions publiques ni en aucune autre matière, faire l'objet d'une mesure discriminatoire, qu'elle résulte de la loi ou d'un acte de l'exécutif, en raison de sa religion, de son origine familiale, de sa condition sociale, de sa résidence, de ses opinions ou de ses convictions politiques, de son appartenance à une race, à une ethnie, à une tribu, à une minorité culturelle ou linguistique.
Article 22 : Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion. Toute personne a le droit de manifester sa religion ou ses convictions, seule ou en groupe, tant en public qu'en privé, par le culte, l'enseignement, les pratiques, l'accomplissement des rites et l'état de vie religieuse, sous réserve du respect de la loi, de l'ordre public, des bonnes mœurs et des droits d'autrui. La loi fixe les modalités d'exercice de ces libertés.
Article 23 : Toute personne a droit à la liberté d'expression. Ce droit implique la liberté d'exprimer ses opinions ou ses convictions, notamment par la parole, l'écrit et l'image, sous réserve du respect de la loi, de l'ordre public et des bonnes mœurs.
Article 27 : Tout Congolais a le droit d'adresser individuellement ou collectivement une pétition à l'autorité publique qui y répond dans les trois mois. Nul ne peut faire l'objet d'incrimination, sous quelque forme que ce soit, pour avoir pris pareille initiative.
Rappelant et insistant encore une fois de plus le fait que l’article 13 de la Constitution de la République Démocratique du Congo tels que mentionné ci - haut qui interdit formellement et clairement toute forme d’injustice et de discrimination possibles en République Démocratique de quelle nature que ce soit, d’où qu’elles viennent et d’où qu’elles se produisent.
La majorité des congolais consultée par le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l'homme et de développement durable et intégral en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL soutenait, déclarait et demandait ouvertement, publiquement et sans ambages autrefois que les Etats - Unis mettent rapidement et sans plus tarder ni tergiverser à la disposition du peuple congolais le draft de cet accord en préparation à Washington entre la RDC et le Rwanda et nous allons le critiquer, l’étudier, l’analyser dans les moindres détails et l'enrichir en y apporter nos observations pertinentes. C’est facile de publier des communiqués de presse et de faire des discours et des déclarations politiques mais c’est difficile de dire la vérité, de graver des engagements dans le marbre. Le diable est toujours et se cache souvent dans les détails dit- on.
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La majorité des congolais consultée par le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l'homme et de développement durable et intégral en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL disait clairement et ouvertement qu'ils n'accepterons et ne soutiendront pas tout accord entre la RDC et le Rwanda qui n'intégrera pas clairement noir sur blanc et qui ne tiendra pas compte de la souveraineté nationale et internationale de la RDC, de l'intangibilité des frontières de la RDC héritées de la colonisation, de l'autodétermination du peuple congolais, de la Résolution 2773 du Conseil de Sécurité des Nations Unies, des dispositions pertinentes du Chapitre VII des articles 39 à 51 de la Charte des Nations Unies, de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, du Pacte International relatif aux Droits Civils et Politiques, du Pacte International relatif aux Droits économiques et socioculturels relatifs aux Droits de l’Homme, de tous les Instruments Internationaux relatifs aux Droits de l'Homme ratifies par la RDC et le Rwanda, du Droit International relatif aux Droits de l’Homme, du Droit International Humanitaire, de la justice internationale contre les crimes des Droits de l’Homme, les crimes économiques, les crimes d'agression, les crimes de guerre, les crimes de génocide et les crimes contre l'humanité commis en RDC depuis 1994 jusqu'a ce jour, des mécanismes de la justice transitionnelle de réparation de tous les préjudices moraux, matériels, financiers et autres confondues inestimables et incommensurables enregistrés par les victimes congolais ainsi que des indemnisations des victimes congolais de ces crimes internationaux, et du principe de non partage des ressources naturelles de la RDC et du peuple congolais avec le Rwanda, de l’adoption rapide et sans plus tarder et sans aucune injustice et complaisance des résolutions instituant le Tribunal Pénal International (TPI) et de la Justice Transitionnelle pour la République Démocratique du Congo devant connaître et juger rapidement tous les crimes énumères ci – haut contenus dans tous les rapports des Experts des Nations Unies relatifs aux Droits de l’Homme ainsi que des Organisations Internationales et Congolaise de Défense des Droits de l’Homme et de la Société Civile Congolaise commis en République Démocratique du Congo depuis 1994 jusqu'a ce jour mais encore de prendre une résolution unique et contraignante du Conseil de Sécurité en vertu de la Charte des Nations Unies pour contraindre, obliger, ordonner et instituer l’organisation rapide, sans plus tarder et tergiverser des dialogues inter – Rwandais, inter – Ougandais et inter – burundais afin de permettre des groupes rebelles Rwandais et le FDLR, des rebelles Ougandais et les ADF et les rebelles Burundais ainsi que des refugies Rwandais, Ougandais et Burundais qui se trouvent depuis 1994 sur le sol congolais ou en République Démocratique du Congo de rentrer librement et calmement chez eux dans leurs pays respectives sous l’égide des Nations Unies à travers le Haut-Commissariat des Droits de l’Homme (HCDH) et le Haut-Commissariat des Nations Unies aux Refugies (HCR) .
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La majorité des Congolais consultée par le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l'homme et de développement durable et intégral en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL refusait ouvertement et publiquement toute forme directe ou indirecte d’intégration des groupes armées et rebelles dans les Forces Armées de la République Démocratique du Congo, dans la Police Nationale Congolaise, dans les Services de Sécurité et de renseignement de la République Démocratique du Congo comme ce fut le cas autrefois de triste mémoire en RDC avec le brassage, le mixage, la fusion et autres et qui nous ramèneront encore à des situations plus dramatiques et plus compliquées et difficiles à contrôler, à maitriser et à gérer sur terrain en République Démocratique du Congo et propose de ce fait et réclame ouvertement et tout haut l’application stricte des articles 39 à 51 du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies relative à l’action des Nations Unies en cas de menace armée contre la paix, de rupture de la paix et d’acte d’agression contre un pays et dont est actuellement victime notre pays la République Démocratique du Congo par le Rwanda en vertu de la Résolution 2773 du Conseil de Sécurité des Nations Unies.
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La majorité des Congolais consultée par le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l'homme et de développement durable et intégral en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL attirait l’attention particulière de Monsieur le Président des Etats – Unis d’Amérique Donald Trump, de Monsieur le Vice – Président des Etats – Unis d’Amérique JD Vance, de Monsieur le Secrétaire d’Etat Américain, le Sénateur de Floride Marco Rubio, de Monsieur l’envoyé spécial du Président des Etats – Unis pour la Région du Grand Lacs MASSAD Boulos, de Madame l’Ambassadrice des Etats – Unis en République Démocratique du Congo Lucy Tamlyn, de Monsieur le Président de la République Démocratique du Congo Felix Antoine Tshisekedi Tshilombo, de Madame la Première Ministre de la République Démocratique du Congo Judith Suminwa Tuluka, de l’Honorable Président de l’Assemblée Nationale de la République Démocratique du Congo Vital Kamhere, de l’Honorable Président du Sénat de la République Démocratique du Congo Jean Michel Sama Lukonde, de Madame la Ministre des Affaites Etrangères et de la Francophonie de la République Démocratique du Congo Therese Kiyakwamba Wagner, de monsieur le Ministre d’Etat et Ministre de la Justice et Garde des Sceaux de la République Démocratique du Congo Guillaume Ngefa, de Monsieur le Ministre des Droits Humains de la République Démocratique du Congo Samuel Mbemba Kabuya, de Monsieur le Président de la Commission des Droits de l’Homme en République Démocratique du Congo Paul Nsapu Mukulu, Monsieur le Secrétaire Général des Nations Unies Antonio Guterres, Monsieur le Haut-Commissaire des Nations Unies aux Droits de l’Homme Volker Turk, Monsieur le Président du Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies Jürg Lauber, Madame la Représentante du Secrétaire Général des Nations Unies et Cheffe de la MONUSCO en RDC Bintou Keita, Monsieur le Directeur des affaires politiques de la MONUSCO en RDC François Grignon, Monsieur le Directeur de la Division des Droits de Droits de l’Homme de la MONUSCO (Bureau Conjoint des Nations Unies aux Droits de l’Homme) Jose Maria Aranaz, Madame la Présidente du Parlement Européen Roberta Metsola, Monsieur le Président du Conseil Européen Antonio Costa, Madame la Présidente de la Commission Européenne Ursula Von Der Layen, Monsieur le Président de la Cour Européenne des Droits de l’Homme Matthias Guyomar, Monsieur l’Ambassadeur de l’Union Européenne en RDC Nicolas Berlanga Martinez, que cet accord de paix entre le Rwanda et la République Démocratique du Congo ne consacre pas l’impunité totale contre les crimes internationaux des Droits de l’Homme, les crimes de génocide, les crimes d’agression, les crimes des Droits de l’Homme, les crimes contre l’humanité et d’autres crimes internationaux des Droits de l’Homme et des crimes économiques contre le peuple congolais et contre la RDC commis en République Démocratique du Congo depuis 1994 jusqu’à ce jour et qu’une disposition pertinente, claire et nette soit insérée clairement, ouvertement et sans ambages dans cet accord pour la poursuite et les sanctions contre les personnes incriminées pour les crimes cités ci – haut à travers la mise sur pied d’un Tribunal Pénal International pour la République Démocratique du Congo.
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analyse globale des enjeux géopolitiques, géostratégiques et géoéconomiques de l’accord de paix entre la République Démocratique du Congo, signe le vendredi 27 juin 2025 à Washington en présence du Secrétaire d’état Marco Rubio, le Sénateur de Floride.
6.1 Pour les États – Unis d’Amérique.
- Sécurisation de l’accès aux minerais critiques (Cobalt, Cuivre, Uranium, Lithium, Terres rares et autres) en République Démocratique du Congo.
- Repositionnement stratégique des Etats – Unis en RDC, en Afrique face à la Chine et la Russie.
- Renforcement du leadership diplomatique international des Etats – Unis en Afrique et principalement dans la région des Grands Lacs.
6.2 Pour le Rwanda.
- Tentative d’allègement de l’isolement diplomatique et tentative et tendance à la longue de toutes les sanctions politiques, diplomatiques, économiques, financières, culturelles, sportives et autres pris contre le Rwanda par la Communauté Internationale par les Etats – Unis, l’Union Européenne, l’Allemagne, la Belgique, le Royaume Uni, le Canada pour agression et violation du territoire congolais par l’armée rwandaise sur base de tous les rapports des experts des nations Unis et des Organisations Internationales de Défense des Droits de l’Homme et conformément à la résolution contraignante 2773 du Conseil de Sécurité des Nations Unies prise sur pied du chapitre VII de la Charte des Nations Unies sous prétexte qu’un Accord de Paix venait d’être signé entre la RDC et le Rwanda et don et par conséquent le dédouanement total du Rwanda par la suppression des toutes ces sanctions politiques, diplomatiques, économiques, financières, culturelles, sportives et autres, ce qui est inacceptable, injuste et inconcevable par la majorité des Congolais consultée par le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l'homme et de développement durable et intégral en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL sur cette question cruciale et très importante et très délicate et très sensible et qui choque la majorité du peuple congolais.
- Maintien par le Rwanda d’un levier sur la RDC via le M23 et ses intérêts économiques...
6.3 Pour la République Démocratique du Congo.
- Reconnaissance en tant que victime d’agression rapports des experts des nations Unis et des Organisations Internationales de Défense des Droits de l’Homme et conformément à la résolution contraignante 2773 du Conseil de Sécurité des Nations Unies prise sur pied du chapitre VII de la Charte des Nations Unies.
- Pression absoudre et injustifié pour désarmer la FDLR et réformer les FARDC et pourtant la Communauté Internationale devrait à travers le Conseil de Sécurité des Nations Unies devrait prendre une résolution pertinente pour instituer le dialogue inter – Rwandais, inter – burundais et Inter – ougandais afin de permettre sous l’égide des Nations Unies, du HCR aux réfugiés Rwandais, Ougandais et Burundais y compris le FDLR, les ADF et autres de rentrer calmement dans leurs pays respectifs.
- Risques de tensions internes imminentes si les retombées tardent, ce qui mettra à mal toutes les initiatives et processus de paix en République Démocratique du Congo et dans la Région des Grands Lacs..
3. Analyse de la dimension géostratégique de l’Accord de Paix entre la République Démocratique du Congo, signé le Vendredi 27 Juin 2025 à Washington en présence du Secrétaire d’Etat MARCO RUBIO, le Sénateur de Floride.
- Retrait progressif des troupes rwandaises du territoire de la République Démocratique du Congo en violation flagrante de la résolution contraignante 2773 du Conseil de Sécurité des Nations Unies prise sur pied du chapitre VII de la Charte des Nations Unies qui impose un retrait immédiat et sans condition des troupes rwandaises du territoire congolais.
- Espoir d’intégration conditionnelle à travers le processus de Nairobi du M23 via les négociations de Doha.
- Echec patent et fragilisation totale des accords régionaux africains (Luanda, Nairobi) qui vont être jetés carrément dans la poubelle et calendre grecques.
4. Analyse des impacts très nocifs et très négatifs régionaux et africains.
- Contournement des initiatives africaines (CIRGL, EAC, CEMAC, CEEAC, SADC, UA) jugées partiales, complaisantes, injustes et inefficaces par les Congolais et la Communauté Internationale qui ne les font pas du tout confiance, donc moins crédibles.
- Réactions prudentes des pays limitrophes de la RDC qui n’ont pas eu le courage politique et diplomatique pour dénoncer ouvertement l’agression de la RDC par le Rwanda et par conséquent ont perdu la confiance, l’estime et la crédibilité vis-à-vis du peuple congolais et de la République Démocratique du Congo.
- Création d’un précédent de médiation extra-africaine qui ne rencontrent pas la confiance et l’adhésion populaire des Africains qui considèrent que tous les problèmes et conflits congolais et africains devraient être résolus à l’africaine sous la palpable et la médiation africaine qui fort malheureusement n’inspirent pas du tout confiance au peuple congolais à cause du manque de la justice, de la vérité, de la crédibilité.
5. Analyse des conséquences géoéconomiques de l’Accord de Paix entre la République Démocratique du Congo, signé le Vendredi 27 Juin 2025 à Washington en présence du Secrétaire d’Etat MARCO RUBIO, le Sénateur de Floride.
- Ouverture aux investissements américains dans les mines stratégiques de la République Démocratique du Congo qui doivent être faites en toute honnêteté, toute vérité, toute justice, toute lumière et toute transparence possible en raison de 50 pourcent pour la partie Congolaise et de 50 pourcent pour la partie américaine à travers un accord minier gagnant – gagnant et non être faite comme le contrat chinois où la partie chinoise détiendrait à elle seule 68 pourcents des parts sociales contre 32 pourcent à la République Démocratique du Congo dans le Contrat de joint-venture de la Sicomines en République Démocratique du Congo, ce qui continue d’énerver le peuple congolais souverain primaire, maitre et propriétaire de la République Démocratique du Congo.
- Risque de néo-impérialisme économique des ressources minières congolaises exportées sans transformation locale à travers des raffineries et des usines de transformations sur place en République Démocratique du Congo pour créer des emplois au Congo et résorber actuellement le taux de chômage en RDC qui avoisinerait environs 90 pourcent de la population active Congolaise.
- Aucun congolais sérieux qui aime véritablement et sincèrement la République Démocratique du Congo n’acceptera pas que la RDC dans le cadre de l’intégration régionale partage ses richesses du sol et du sous-sol, des mers, des eaux, des parcs nationaux et autres sous prétexte et sur base de l’accord de paix qui venait d’être signé le Vendredi 27 Juin 2025 à Washington entre la RDC et le Rwanda.
- Aucun congolais sérieux qui aime véritablement et sincèrement la République Démocratique du Congo n’acceptera pas que la RDC dans le cadre de l’intégration régionale partage les minerais congolais soient extrait en RDC pour être exportée et être raffinés au Rwanda par les Sociétés américaines, européennes, rwandaises, asiatiques et autres sous prétexte et sur base de l’accord de paix qui venait d’être signé le Vendredi 27 Juin 2025 à Washington entre la RDC et le Rwanda.
- Crainte totale du véritable risque de marginalisation des entreprises congolaises à travers cet accord minier au profit des entreprises américaines et rwandaises.
6. Analyse des enjeux militaires et sécuritaires de l’Accord de Paix entre la République Démocratique du Congo, signé le Vendredi 27 Juin 2025 à Washington en présence du Secrétaire d’Etat MARCO RUBIO, le Sénateur de Floride.
- Pression sur les FARDC pour désarmer la FDLR alors qu’ils peuvent calmement rentrer chez eux au Rwanda sous l’égide du Haut-Commissariat des Nations Unies aux refugies (HCR) pour reconstruire désormais leurs pays dans le cadre d’un dialogue inter rwandais qui sera organisé par les Nations Unies et la Communauté Internationale au lieu de rester éternellement en République Démocratique du Congo pour ainsi créer des problèmes majeurs et irrésolus au peuple congolais .
- Maintien des capacités militaires du M23 sans spécifier à travers cet accords qu’il devra subir le processus de désarmement et de réinsertion des groupes armées en RDC conformément au processus de Nairobi.
- Nécessité de réformer le secteur de sécurité et de réorganiser rapidement les forces de défenses et de sécurité de la République Démocratique du Congo conformément à la résolution 2773 du Conseil de Sécurité des Nations Unies afin de faire face à des actes d’agression et des rebellions futures et de préserver l’intégrité nationale et la souveraineté nationale et internationale de la République Démocratique du Congo en Afrique et à travers le monde..
7. Analyse de perceptions populaires et critiques des congolais de l’Accord de Paix entre la République Démocratique du Congo, signé le Vendredi 27 Juin 2025 à Washington en présence du Secrétaire d’Etat MARCO RUBIO, le Sénateur de Floride.
- Méfiance totale et rejet catégorique d’une partie de la société civile congolaise avisée de cet accord entre la République Démocratique du Congo et le Rwanda perçu comme imposé par les Etats – Unis et la Communauté Internationale à la République Démocratique du Congo afin de garantir les avantages et intérêts majeurs géopolitiques, géostratégiques et géoéconomiques en République Démocratique du Congo, ce qui est triste, pitié et très réitérable pour l’avenir de la République Démocratique du Congo et du peuple Congolais..
- Inquiétudes totales, profonds regrets et méfiance totale des populations de l’Est de voir que cet accord de paix entre le RWANDA et la RDC singé le Vendredi 27 Juin 2025 à Washington n’intègre pas en son sein et de dit rien sur la justice qui doit être exercée et déclenchée dans le cadre de la mise sur pied rapide d’un Tribunal Pénal International pour la RDC ou encore dans le cadre de la Cour pénale Internationale contre les crimes internationaux d’agression, de violations des droits de l’homme, des crimes politiques, des crimes économiques et de pillages des ressources naturelles de la République Démocratique du Congo, des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité commis à l’est de la RDC depuis 1994 jusqu’à ce jour sous l’œil complice de la Communauté Internationale ainsi que les réparations et indemnisations des victimes de toutes ces atrocités commises depuis très longtemps à l’est de la République Démocratique du Congo.
- Silence totale sur les victimes des exactions passées à travers cet accord de paix entre le RWANDA et la RDC singé le Vendredi 27 Juin 2025 à Washington.
8. Analyse des scénarios d’évolution post - Accord de Paix entre la République Démocratique du Congo, signé le Vendredi 27 Juin 2025 à Washington en présence du Secrétaire d’Etat Marco Rubio, le Sénateur de Floride.
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Succès partiel des toutes les opérations ci – après : retrait rwandais, intégration du M23, relance économique entre la République Démocratique du Congo et le Rwanda dans le cadre de l’intégration régionale en vertu de cet accord de paix..
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Accord piégé : stagnation sécuritaire, tensions internes, exploitation accrue.
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Échec de l’applicabilité de cet Accord de paix entre la République Démocratique du Congo et le Rwanda sur terrain avec comme conséquences directes : risque de reprise des conflits armés, isolement diplomatique de la RDC et du Rwanda et de la poursuite des sanctions politiques, diplomatiques, économiques, financières, culturelles, sportives et autres par la Communauté internationale contre de Rwanda pour non-respect de la résolution contraignante du Conseil de Sécurité des Nations Unies 2773 qui imposent au Rwanda le retrait immédiat et sans condition de ses troupes armées du territoire de la République Démocratique du Congo et pour violation flagrante de la souveraineté nationale et internationale de la République Démocratique du Congo et l’intangibilité des frontières nationales de la RDC héritées de la colonisation..
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