Photo prise le jour de l'enterrement de mon père en juillet 2021 (Caniche Mukongo)
‘’Chers amis, j'ai un cœur brisé et qui saigne en ce moment car je viens de perdre un être cher !
C'est avec tristesse que je viens d'apprendre la mort de mon Pasteur le Révérend Joseph Kayimbi Kanyinda, de la Paroisse Katoka Nord de la 31ème CPC à Kananga au Kasaï Central.
Son décès est intervenu ce mercredi matin à l'hôpital Saint Georges de Kananga.
- Pasteur KAYIMBI m'a encadré depuis mon jeune âge, déjà à 13 - 14 ans comme choriste (Chorale Espoir) dans sa Paroisse, et autres encadrement spirituel.
- Un pacificateur, le Révérend a résolu beaucoup de problèmes (conflits) dans ma famille (entre moi et mes demi-frères), grâce à ses prières et conseils, Dieu ne m'a jamais abandonné dans tout ce je fais.
- Kayimbi wa Kanyinda a baptisé tous mes enfants, leurs certificats de baptêmes portent sa signature. Jusqu'à sa mort il avait toujours un temps libre pour ma mère, moi-même et ma famille, il voulait avoir de nos nouvelles chaque fois (loin des yeux, prêt du cœur).
- Chaque fois que j'avais des soucis : personnel, en famille, au travail, je faisais toujours recours à mon Pasteur pour une prière d'ensemble avec lui au téléphone à Kananga et moi à Kinshasa. Même dans ses autres méditations mes problèmes toujours dans ses prières.
- Lors du décès de mon Père en juillet 2021, Pasteur KAYIMBI Kayinda était au four et au moulin, très tôt à 4 heures du matin, il a ordonné que le corps de mon père soit lavé avant de l'amener à la morgue en compagnie des autres amis, l'organisation du deuil et la dernière prière a été dite par lui.
Sa famille est ma famille, ses enfants et moi sommes frères et sœurs grâce aux liens forts et solide tissés entre nous.
Que ton âme repose en paix Muambi wa Nzambi Joseph Kayimbi wa Kanyinda !
Merci beaucoup pour tous les biens faits dans ma vie !
Le président de la Mutuelle pour la Solidarité des Chauffeurs au Congo (MSCC-ASDT/Asbl), Chardin Ngoie apporte son expertise au problème de mobilité à travers les différentes artères de la ville-province de Kinshasa. Pour tenter, tant soit peu, d’apporter une réponse aux embouteillages, il lance un appel urgent au Gouverneur de la ville et au ministre provincial des Transports et mobilité urbaine afin de mettre fin à l’incivisme routier.
Cet expert routier commence par diagnostiquer que cette situation a été exacerbée par l'incivisme qui caractérise les conducteurs des véhicules qui entraine inexorablement l'anarchie avec pour conséquence : des bouchons récurrents sur les différents axes routiers.
Pour Chardin Ngoie, il est impérieux d’entamer de grands projets d'investissement et des réformes radicales en vue de rétablir l'ordre et la discipline routière. Il préconise, pour ce, l'introduction de sanctions sévères par le paiement des amendes transactionnelles à travers les banques et la délivrance de quittances. Cette façon de faire, permettra de restaurer l'ordre sur les routes de la Capitale et transformer les mentalités des conducteurs.
Des décisions fortes des autorités urbaines apporteront un début de changement dans ce secteur qui devient un casse-tête pour tous les usagers de la route à Kinshasa.
C’est le lieu d’évoquer ici le professionnalisme dans la régulation du trafic par la police nationale congolaise. Ce corps est appelé à se montrer discipliné afin de maintenir l’ordre en régulant la circulation. Des cas des bévues ont été malheureusement constatés dans le chef de certains policiers de roulage. Il y a donc nécessité d’entrevoir des sessions de renforcement des capacités des policiers afin de permettre de mieux accompagner les directives arrêtées pour une meilleure mise en pratique du code de la route.
Kinshasa, une ville de près de 17 ou 20 millions d’habitants, fait face à une crise de transport routier. Les infrastructures font largement défaut. Les transporteurs routiers restent les seuls à desservir tout Kinshasa. La Capitale de la République démocratique du Congo doit s’inspirer des autres moyens exploités ailleurs notamment, les trains urbains modernes.
Au cours d’un échange organisé ce mercredi 4 septembre 2024 avec des têtes pensantes de la société civile, Jean-Marie Ntantu Mey, initiateur de l’Alliance des Leaders de la Société Civile (ALSOC), a appelé à une société civile exemplaire, pour défendre les intérêts de la population dans des grands rendez-vous politiques qui s’annoncent. Ces échanges entre les acteurs de la société civile ont eu lieu autour de deux points majeurs : la problématique de la gratuité et la qualité de l’éducation et de l’enseignement à l’école primaire ainsi que la préparation du dialogue tant souhaité par beaucoup de compatriotes.
Dans l’optique d’un probable dialogue qui serait en gestation, le président de ALSOC a appelé ses pairs à se préparer en conséquence pour ne pas tomber dans l’improvisation. En effet, il a déclaré être pour un dialogue, qui va mettre autour d’une table toutes les tendances politiques ainsi que de la société civile afin de voir dans quelle mesure sortir le pays du gouffre.
‘’Quant à nous, nous pensons que cette rencontre, qu'on l'appelle Dialogue, Concertation, Pourparlers ou quoi, est nécessaire pour convenir d'une meilleure Gouvernance et un entendement commun pour combattre les agresseurs, rétablir la paix à l'Est où nos frères ont trop souffert’’, a indiqué Jean-Marie Ntantu-Mey. Il a invité les différentes structures de la société civile à veiller pour que le peuple congolais trouve son compte lors de ces accises. Sur cette lancée, il a appelé toutes les parties prenantes, ou du moins les partisans du dialogue à mette de côté leurs intérêts personnels au profit de la Nation.
Abordant la question liée à la gratuité de l’enseignement, M. Ntantu-Mey a déploré le manquement d’un accompagnement financier du Gouvernement pour la réussite de ce projet qui, au moment de son lancement, avait suscité de l’enthousiasme à travers le pays. En tant qu’acteur de la société civile, il a estimé être son devoir de tirer la sonnette d’alarme afin que l’Etat dispose des moyens conséquents pour sauver l’éducation nationale. Selon lui, une bonne rémunération des enseignants peut être l’un des facteurs pour que cette gratuité de l’enseignement donne des résultats escomptés.
‘’Pour que cette gratuité s'accomplisse correctement, le Gouvernement doit prendre en charge tous les frais nécessaires au bon fonctionnement d'une école et bien rémunérer les instituteurs. L'on doit aussi respecter les normes requises pour une classe, dont le nombre d'élèves qui ne peut pas dépasser 45 ou 50 élèves par local.
Mais, nous constatons que la gratuité emmène beaucoup d'écoles publiques à avoir des classes pléthoriques ! Bien qu'il ne donne pas des frais de fonctionnement suffisants et ne donnent pas une bonne rémunération aux enseignants, le Gouvernement interdit même aux parents volontaires de contribuer’’, a-t-il déploré. Par ailleurs, il a attiré l’attention des autorités sur la baisse du niveau d’enseignement dans les écoles publiques, tout en faisant le parallélisme avec les écoles privées où le niveau d’enseignement n’a pas été impacté par la gratuité.
C’est en présence de la ministre de la Culture, arts et patrimoine, du recteur de l’Académie des Beaux-arts et de plusieurs autres invités qu’est intervenue, mercredi 28 août dernier, l’inauguration de la première Edition de Kinshasa Interior Design show.
Dans son mot de circonstance, la représentante des structures des œuvres d’art, Fifi Kikangala, s’est dite honorée par la présence de la ministre Yolande Elebe. Elle a fait savoir sur ce, l’intérêt porté à cet évènement qui met en lumière le talent et la créativité des acteurs du cadre de vie, à savoir : ingénieurs, architectes d’intérieur, designers d’intérieurs et artisans.
Fifi Kikangala a profité de cette occasion pour faire visiter à son hôte et à toute sa délégation les œuvres d’arts, fruit des talents des congolais et congolaises. Elle a affirmé, à cet effet, que leurs matériaux de construction, du bureau comme armoires etc. ne sont pas seulement écologiques, mais aussi, économiquement avantageux offrant une alternative durable sans compromettre la qualité ou la sécurité.
Dans le même ordre d’idées, elle a présenté au public un appareil appelé «ECONUDGE DRC» qui s’attaque au fléau de la pollution, aux déchets plastiques via trois 3 axes, à savoir : la sensibilisation et l’éducation environnementale, la collecte et le recyclage des déchets plastiques considérés comme rebuts des matériaux de construction et d’embellissement durables offrant des solutions innovantes pour le bâtiment.
Par rapport à la personnalité et à la création d’emplois locaux, il est crucial de comprendre qu’avec ECONUDGE DRC, la personnalisation des matériaux est possible tout en suivant la forme ou la couleur désirée par le client. Cependant, il existe sur le marché une gamme de produits variés et diversifiés à des prix accessibles à toutes les bourses créés par des congolais.
Madame Fifi Kikangala a ensuite abordé d’autres aspects de la vie en l’occurrence, l’éducation environnementale, l’amélioration de la santé communautaire ou ECONUDGE DRC apporte une solution à la création d’une génération des acteurs écoresponsables en instruisant les élèves sur l’importance du tri sélectif en amont afin d’éviter le fléau de la pollution plastique. Par ailleurs, il réduit les inondations et prévient de nombreuses conséquences sanitaires environnementales et sociales.
La ministre Yolande Elebe a affirmé être séduite par le niveau des talents que les jeunes congolais développent, et invite tous les citoyens congolais à aimer la culture et à accompagner les jeunes talentueux.
N'en déplaise à quiconque mais, la vidéo a fait le tour du monde où l'actuel deuxième Vice-Président de la Chambre Haute visitait le chantier dénommé : ‘‘Cité de la science moderne de la Fondation Modeste Bahati LUKWEBO, en sigle MBL’’.
Les questions fusent au vue de ce chantier : c'est où ce chantier ? Est-ce au Congo ? Qui est le géniteur ?
Partant de ces questions, nous avons trouvé des réponses grâce à nos investigations dans les milieux proches de l'Honorable Sénateur Modeste Bahati.
Il s'agit bel et bien d'un chantier en construction à Nyakadaka Katana, territoire de Kabare au Sud-Kivu, en République Démocratique du Congo par le génie créateur de l'Honorable Sénateur Professeur Modeste Bahati Lukwebo. Oui ! Il s'agit d'un digne fils du pays qui a songé marquer de son nom les actes à impact visible pour les générations. Il a reçu de Dieu, il donne avec son cœur à ses descendants congolais car, animé d'un sens patriotique d'investir au pays de ses ancêtres et chez lui, son village natal de Muganzo, groupement de Bugorhe, en territoire de Kabare ! Bravo !
Ce chantier comprend un complexe hospitalier moderne avec un centre de diagnostic qui sont des locaux techniques, un service d'administration, un grand laboratoire, une salle des soins intensifiés qui sera équipée des matériels de dernière génération, d'une pharmacie, d'une salle de consultations, des blocs opératoires, de la maternité, des bureaux et une partie aussi des locaux techniques et au deuxième et au troisième niveau pour l'hospitalisation des patients; et d'une école polytechnique dénommée ‘‘la modestie’’ qui comprend au rez-de-chaussée une salle de professeurs, une bibliothèque, des bureaux et 7 salles pour différents ateliers ; tandis qu'au premier niveau il y a 12 salles de classes aussi au deuxième niveau 12 classes de quoi réjouir les apprenants dans ce domaine de la polyclinique. L'école ‘‘la Modestie’’ comprend également un grand parking pouvant contenir plus de 50 véhicules, un terrain de basketball et une grande verdure et allées pour les piétons et une cour de récréation, un auditorium, et 10 jolies villas chacune comprenant un séjour, un coin de repas, trois chambres chacune avec sa salle de bain, une cuisine avec une réserve communément appelée dépôt, une toilette pour visiteurs, un parking accueillant au moins deux véhicules légers, une verdure et voies de passage pour piétons déjà achevées que devront habiter les enseignants ainsi que les médecins.
Depuis 2022, précisément en date du 11 avril que les travaux avaient commencé pour la réalisation de ce projet ambitieux au bénéfice de ses concitoyens.
Qu'a-t-il encore à offrir ? Sinon, le bien être en étant philanthrope malgré sa casquette politique, le Professeur Modeste Bahati Lukwebo est un modèle de la résilience, de la perfection artistique et de l'art du beau.
C'est un complexe merveilleux qui sort de la terre dans un coin perdu de la République, où il a toujours pris la mesure d'investir chez lui, dans son pays contrairement aux autres qui se construisent des châteaux et villas à l'étranger.
Le Maniema s'est construit grâce aux fils de la province, le Nord et Sud-Kivu se construisent grâce aux fils des provinces notamment, Katana, Kabare, Goma, Bukavu, Nyangezi, Kaziba, Beni, Butembo. Hélas ! L'ancien KIVU à travers ses génies créateurs se métamorphose.
A en croire les ancêtres, un Kivutien n'est pas un immigrant d'une province à une autre comme certains de nos compatriotes qui détestent chez eux au détriment du Katanga. Un Kivutien est fière de chez lui et le Professeur Modeste Bahati Lukwebo donne le ton. ‘‘Construisez chez vous’’. Tel est le challenge lancé par ce compatriote pour le développement de toute la RDC.
A travers le Sénateur Modeste Bahati Lukwebo, la phase suivante comportera la construction d'un grand supermarché ainsi que le stade moderne, une station de service et ses propres villas comme résidences.
La même cité va constituer le siège social de sa Fondation dénommée MBL.
Rome n'a pas été construite le même jour. Le Grand KIVU non plus. Mais, à travers ses dignes fils, nous avons la certitude de ceux qui disent d'avoir envie de passer des vacances dans ce que les occidentaux appellent ‘‘la Suisse d'Afrique’’, le KIVU montagnard, le KIVU écologique, le KIVU agricole, le KIVU moderne.
La salle Casino de Paris, en France, va accueillir ce samedi 31 août le concert du chanteur congolais Fabregas Maestro, confirme l’artiste au cours d’une conférence de presse tenue dans la capitale française.
«Je suis content que, dans deux jours, nous allons faire un spectacle au Casino de Paris. Venez nombreux et réserver surtout les places pour qu’on célèbre ensemble cette soirée inédite. Et nous n'avons que deux heures du temps du spectacle. Je ferai un effort de fouiner dans chacun de mes albums une chanson pour faire plaisir à mes fans »", a déclaré Fabregas dans une vidéo.
Et d’ajouter : « Normalement, je fais les démarches pour la délégation de 22 musiciens mais jusqu’à présent leurs passeports sont bloqués au niveau de l’ambassade et nous sommes déjà à deux jours du concert, mais les passeports ne sont pas remis.
« Les musiciens devraient prendre vol depuis mercredi 28 août 2024. "Cela n'empêche pas que je joue monconcert, dans l'entre-temps je suis déjà avec d’autres personnes ici et dès qu’ils arrivent ce vendredi ils vont prester. Dans ce cas, je ne donne la faute à personne puisque l’ambassade n’a pas refusé de nous donner les visas », a conclu celui qu’on appelle ‘‘l’homme de la danse Ya Mado’’.
Le but de son concert est celui de promouvoir son album Gomme volume 2, un opus qui est sorti depuis l’an 2023 dont certains clips continuent à sortir, et le tout dernier est intervenu le mois passé.
Rappelons que Fabregas avait pris l'avion en juillet pour préparer son concert à Paris et aussi l’arrivée de son groupe. Son déplacement s’inscrivait également pour lancer les clips vidéo de ses deux nouveaux tubes "Embombo" et "Kisakata" dans les plateformes numériques de ventes de musique. Ces chansons ont été déjà mises en ligne en version audio depuis le mois de juillet dernier.
Un jeudi chaud et déterminant pour les agents de la Mettelsat en sit-in devant l’immeuble du Gouvernement pour réclamer leur dû.
Après avoir passé plusieurs années à réclamer l’amélioration de leurs salaires et primes ainsi que leur traitement dégradant de la part des autorités, précisément le ministère des Transports et voies de communication, qui ne prêtent pas attention à leurs revendications, les agents de l’Agence nationale de Météorologie et de Télédétection par Satellite (Mettelsat), sont arrivés aux environs de 10 heures devant l’immeuble du Gouvernement pour présenter, au Vice-Premier Ministre, Ministre des Transports et Voies de Communication, leurs doléances.
Un agent qui a requis l’anonymat a pris la parole au nom de tous en ces termes : « S’il faut dire un mot en rapport avec le sit-in d’aujourd’hui, nous sommes descendus ici pour voir le VPM des Transports et voies de communication, Jean-Pierre Bemba, pour lui dire premièrement que nous en avons marre avec ce salaire maigre et médiocre que nous percevons depuis plus de dix ans. Deuxièmement, il existe un arrêté de coordination départageant la Mettelsat de la RVA que le VPM doit signer. Le projet de la lettre a été déposé sur la table du VPM depuis plusieurs jours déjà mais jusqu’à présent nous observons un silence total. C’est pourquoi nous venons ici lui demander d’examiner notre situation et de nous trouver une solution durable ».
Et à un autre d’ajouter : « Ça fait 2 ans que notre prime n’est pas revue à la hausse pendant qu’ailleurs, dans d’autres agences et institutions publiques, nous constatons un traitement louable en permanence des agents publics de l’Etat. Ne sommes-nous pas tous égaux selon la loi régissant les agences, établissements et institutions publics ? Le treizième mois d’ailleurs n’a jamais vu le jour chez nous. Nous sommes donc les plus oubliés des fonctionnaires. Pouvez-vous imaginer qu’un directeur puisse toucher 169.000 FC qui ne valent même pas 100 USD de nos jours. Et moi qui suis Attaché 1, je ne perçois que 130.000 FC à la fin du mois, cela du début à la fin de l’année. Somme maudite qui ne peut nullement me permettre de relier les deux bouts du mois. Comment voulez-vous que nous puissions vivre heureux dans notre propre pays ? Nous devons avoir une mesure spéciale avant de quitter ce lieu parce que nous en avons vraiment marre ».
« L’application de la loi sur l’Aviation Civile, seule la Régie des Voies Aériennes (RVA) en bénéficie pleinement pour avoir créée un département de Météorologie en son sein. Alors que la Mettelsat est la responsable de la météorologie nationale. Pourquoi un dédoublement des agences dans un même ministère aussi longtemps que nous nous avons un champ d’activités au niveau national ? Cela nous coûte la vie. Tous les avantages dont nous devons être bénéficiaires sont canalisés à la RVA et nous en subissons les conséquences tous les jours », a-t-il renchéri.
Rappelons néanmoins que l’Agence Nationale de Météorologie et de Télédétection par Satellite », a été créée par Décret n°12/040 du 02 octobre 2012 portant statut d’un établissement public, signé par Matata Ponyo Mapon, Premier Ministre à l’époque, et exécuté par Me Justin Kalumba Mwana-Ngongo, Ministre des Transports et Voies de Communication.
Q1. Les festivals de musique peuvent-ils générer des revenus et du tourisme dans les différentes économies africaines, ou risquent-ils d’aggraver les inégalités ? Comment pouvons-nous adapter efficacement ces événements aux différentes régions ?
R1. Les festivals, par leur nature même, sont un rassemblement inclusif qui aide à introduire et à diffuser la culture parmi les passionnés, c’est pourquoi son potentiel économique est verrouillé dès le départ. Les curieux paient pour participer tout au long de la chaîne de valeur et les communautés où ils se déroulent fournissent une partie des besoins économiques de ce rassemblement. Au contraire, ils créent un moyen de rassembler les peuples. Ce qu’il faut, c’est une différenciation claire et une diversification des expériences. Le continent est orné de tant de sites culturels qui ont une renommée et une popularité mondiales, qu’il appartient aux communautés de se connecter avec des groupes comme l’ACA et ses membres pour travailler ensemble pour libérer cette valeur.
Q2. Les partenariats avec les géants mondiaux de la musique risquent-ils d’éclipser les talents africains locaux ? Comment pouvons-nous nous assurer qu’ils autonomisent plutôt que de diminuer les artistes locaux ?
R2. C’est plutôt le contraire ; les partenariats apportent beaucoup de choses, car ils permettent d'accéder à de nouveaux marchés. Ils permettent également de mettre en valeur les talents locaux sur les mêmes scènes et avec les mêmes niveaux de production.
Q3. Est-il réaliste de compter sur l'industrie créative pour l'emploi des jeunes ? Que se passe-t-il si le secteur ne se développe pas comme prévu, et quelles sont nos alternatives ?
R3. Pour les gouvernements africains, le secteur a la barrière d'entrée la plus basse mais le potentiel non minier le plus élevé. Il pourrait absorber les gens en masse. Lorsque nous produisons un festival de taille moyenne typique, 11 des 16 services de l'industrie culturelle créative sont mis à contribution, notamment des architectes, des artisans, des musiciens, des vidéastes, des écrivains, des designers, des producteurs techniques, etc.
Q4. Des initiatives musicales locales peuvent-elles créer un changement durable, ou risquent-elles de devenir simplement performatives ? Comment devrions-nous mesurer leur véritable impact ?
R4. Le risque qu'elles ne soient que performatives est réel et menaçant à moins que nous ne fassions des efforts conscients pour non seulement préserver leur espace, mais aussi les élever et les développer. C'est là que le soutien du gouvernement central est crucial et nécessaire. Le financement des infrastructures et la création de plateformes pour les mettre en valeur sont absolument nécessaires. Pour les acteurs privés, les retours commerciaux sont la plupart du temps au cœur des discussions, mais il existe un moyen pour que les intérêts commerciaux et publics s’alignent et c’est là qu’intervient l’ACA avec sa portée et ses curateurs dévoués qui ont intérêt à assurer un équilibre.
Q5. Comment pouvons-nous garantir que les collaborations entre le gouvernement et le secteur privé dans les industries créatives profitent à la base et empêchent les détournements de fonds ? Quel rôle la société civile devrait-elle jouer ?
R5. La meilleure pratique consiste à ce que chacun joue bien son rôle dans le cadre d’un objectif commun. Les gouvernements doivent être clairs quant à leurs livrables, et ils doivent correspondre aux réalités commerciales sur le terrain. Des indicateurs de performance clés plus stricts doivent être définis, une gestion transparente des décaissements et des rapports d’après-action cruciaux sont quelques-uns des moyens de garantir la conformité. Entre les parties.
Q6. L’Afrique est-elle prête à devenir un pôle mondial de talents, ou négligeons-nous des défis tels que l’éducation, les infrastructures et l’accès aux technologies ? Comment pouvons-nous y faire face avant d’aller de l’avant ?
R6. Cette question a déjà trouvé une réponse dans les perspectives actuelles sur le terrain. Nous avons la population la plus jeune, une classe moyenne en pleine expansion dans la plupart des pays et un goût instantané pour nos talents. Bien que tous ces défis existent, ils sont des opportunités pour accroître notre participation à la culture mondiale. Si nous avons fait ce que nous avons avec moins, imaginez ce que nous pouvons faire avec une éducation plus structurée, des investissements dans les infrastructures, un accès ouvert aux dernières technologies autour de la culture ?
Q7. Alors que la musique africaine gagne en popularité mondiale, comment pouvons-nous l'empêcher d'être marchandisée et dépouillée de sa richesse culturelle ?
R7. L'essence même de la culture est son adaptabilité aux tendances changeantes mais, elle reste la même dans son essence. Nous devons enquêter sur le passé pour répondre à cette question. Nous avons besoin de plus de sociétés de conservation pour sauvegarder les sites clés, d'un cadre réglementaire qui permette un accès géré à la culture avec un accent clair sur la préservation. Dans un autre ordre d'idées, la marchandisation se produira, il est de notre devoir de nous assurer que nous obtenons la plus grande part des bénéfices et qu'une partie du mandat de l'ACA nous défend.
Que dire en ce jour si ce n'est comme Saint Paul, appeler chacun, chacune, à se mettre au travail et à vivre sa foi dans l'action, à être vrai et actif. Que celui qui ne travaille pas ne mange pas non plus. Il ne faut pas que le christianisme soit un conglomérat de vaux rien, de vautours, d'hypocrites, de menteurs et de gens d'apparence. Le Christianisme est une religion de gens à l'œuvre, vrais, sincères, et qui par leurs œuvres, par leur travail permettent une action de grâce à Dieu qui seul est toujours à l'œuvre.
Il faut donc éviter toute hypocrisie et toute apparence mais vivre vraiment selon la Parole de Dieu en devenant des hommes de la vie intérieure sans chercher à paraître dans la Lumière et dans la Vérité.