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Session extraordinaire à huis clos sur la crise sécuritaire à l’Est, Assemblée Nationale : Willy Mishiki saisit Vital Kamerhe !

«En effet, il est inadmissible, immoral et irresponsable que des élus dignes du peuple que nous sommes, puissions prendre des vacances pendant que nos compatriotes sont en train d’être tués comme des mouches avec plus de six millions (6.000.000) des déplacés internes vivant à la belle étoile alors que les agresseurs de la coalition Rwando-Ougando-Kenyane avec leurs pantins pseudo Congolais sont en train d’installer une administration parallèle et pillent les ressources naturelles de notre pays avec la complicité de la communauté internationale. Des résolutions fortes et urgentes doivent être prises par notre institution en vue de permettre au Gouvernement de la République de mettre fin à la guerre nous injustement imposé et de trouver des solutions idoines à cette tragédie humaine», soutient le Professeur Willy Mishiki Buhini, Député National élu de Walikale, en province du Sud-Kivu. Pour lui, cette convocation de la session extraordinaire à huis clos sera totalement axée sur la situation sécuritaire et humanitaire devenue dramatique dans la partie orientale de notre pays.

REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO

ASSEMBLEE NATIONALE

Honorable Prof Willy MISHIKI BUHINI

4ème Législature de la 3ème République

Député National

Circonscription de Walikale

Réf : N°024/HWMB/AN/2024

Kinshasa, le 12 juillet 2024

A l’Honorable Président de l’Assemblée Nationale

Palais du Peuple

à Kinshasa/Lingwala

Objet : Demande convocation d’une session extraordinaire à huis clos sur l’insécurité et la crise humanitaire à l’Est de la République Démocratique du Congo

Honorable Président et Cher Collègue,

Permettez-moi de venir auprès de votre autorité, solliciter la convocation d’une session extraordinaire de l’Assemblée Nationale en vue d’examiner la situation sécuritaire et humanitaire devenue dramatique dans la partie orientale de notre pays.

En effet, il est inadmissible, immoral et irresponsable que des élus dignes du peuple que nous sommes, puissions prendre des vacances pendant que nos compatriotes sont en train d’être tués comme des mouches avec plus de six millions (6.000.000) des déplacés internes vivant à la belle étoile alors que les agresseurs de la coalition Rwando-Ougando-Kenyane avec leurs pantins pseudo Congolais sont en train d’installer une administration parallèle et pillent les ressources naturelles de notre pays avec la complicité de la communauté internationale.

Des résolutions fortes et urgentes doivent être prises par notre institution en vue de permettre au Gouvernement de la République de mettre fin à la guerre nous injustement imposé et de trouver des solutions idoines à cette tragédie humaine.

Dans l’espoir que cette demande interpellera la conscience des Honorables membres de notre bureau sur « l’amour du prochain », je vous prie de croire, Président et Cher Collègue, à l’expression de mes sentiments patriotiques.

Honorable Prof. Willy MISHIKI BUHINI, Ph. D

Député National

Elu de Walikale

 

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RDC : JUSTICIA Asbl désapprouve la convocation de Koffi Olomidé et Jessy Kabasele par le CSAC

JUSTICIA Asbl DESAPPROUVE LA CONVOCATION DE L’ARTISTE MUSICIEN CONGOLAIS KOFFI OLOMIDE ET LE JOURNALISTE JESSY KABASELE DE LA RADIO TELEVISION NATIONALE CONGOLAISE PAR LE CONSEIL SUPERIEUR DE L’AUDIOVISUEL ET DE LA COMMUNICATION

JUSTICIA Asbl, une organisation de promotion et de protection des droits de l’homme, du droit humanitaire et de développement basée en République démocratique du Congo a appris à travers les médias sociaux, la convocation ,ce jeudi 11 juillet 2024 ,de l’artiste musicien KOFFI OLOMIDE et de Monsieur JESSY KABASELE, journaliste à la Radio et Télévision Nationale Congolaise et animateur de l’émission le PANIER au sujet des propos tenus par le premier cité sur les antennes de la RTNC s’agissant de la guerre dans la partie Est de la République Démocratique du Congo. En effet, selon une vidéo largement rependue sur les réseaux sociaux, l’artiste musicien congolais KOFFI OLOMIDE dénonçait les faiblesses de l’armée congolaise face à l’agression Rwandaise, en déclarant : ‘’il n’y a pas la guerre, on nous tape, on nous gifle, on fait de nous ce qu’on veut….et de poursuivre en s’interrogeant sur le mobil du changement du ministre de la défense dans un Etat qui se dit en guerre…’’ Ces déclarations ont poussé le conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication, CSAC en sigle, à convoquer le journaliste JESSY KABASELE et KOFFI OLOMIDE au motif que cette émission se serait passée en violation des dispositions prises par le CSAC dans son communiqué N° CSAC/112/B/2024 interdisant la diffusion des débats relatifs aux opérations militaires menées par les FARDC sans la présence des experts militaires. Mais en plus le CSAC viserait à qualifier les propos de l’artiste musicien KOFFI OLOMIDE de propagation des fausses nouvelles de nature à alarmer les populations, à les inquiéter ou à les exciter contre le pouvoir établi. Pour JUSTICIA Asbl, la démarche du CSAC est liberticide, en ce sens qu’elle vise à interdire aux citoyens congolais de réfléchir et de donner publiquement leur point de vue sur la marche du pays et elle constitue une entrave inacceptable aux libertés de pensée et d’opinion telles que garanties par la Constitution de la République Démocratique du Congo, spécialement en ses articles 22 alinéa 1 et 23.1 JUSTICIA Asbl vient d’apprendre, par ailleurs avec étonnement la suspension du journaliste Jessy KABASELE et de son émission LE PANIER par les responsables de la RTNC. Cette décision est un excès de zèle de la part des animateurs de cette chaine nationale qui ne fournissent aucun effort pour informer objectivement et en temps réel le peuple congolais sur tout ce qui se passe sur le territoire national et constitue un pas de plus dans la consolidation de la pensée que tout doucement le pays chemine vers un durcissement de régime, vers une dictature qui ne dit pas son nom, a estimé Me Timothée MBUYA, Président de JUSTICIA Asbl. JUSTICIA Asbl, tout en apportant son soutien à l’artiste musicien KOFFI OLOMIDE et au journaliste Jessy KABASELE, demande au CSAC de cesser de mal interpréter le rôle des policiers des médias qu’il s’attribue et de ne pas suspendre le journaliste en question ni interdire de passer sur les chaines de radio et télévision le musicien KOFFI OLOMIDE car ceci serait un recul qu’aucune loi congolaise n’autorise. Elle demande au Directeur général de la RTNC de lever toute affaire cessante cette suspension injuste qu’il vient d’infliger au journaliste Jessy KABASELE et à son émission. JUSTICIA Asbl apporte également son soutien aux Forces Armées Congolaises qui sont positionnées sur la ligne de front à l’Est du pays, agressé par les armées Rwandaises et Ougandaises et qui font face à des multiples difficultés, pourtant surmontables. Elle invite, par ailleurs le Gouvernement congolais à ne ménager aucun effort pour défendre l’intégrité territoriale de la RDC et mettre les troupes à la ligne de combat dans les meilleures conditions qui leurs permettraient de récupérer tous les territoires, villes et villages qui sont tombés entre les mains des armées étrangères. Elle demande à la population congolaise de continuer à apporter son soutien aux FARDC dans leur noble mission de protection de l’intégrité du territoire national et ainsi que de la population et de ses biens.

Fait à Kinshasa, le 11 juillet 2024

Pour JUSTICIA ASBL

Me Timothée MBUYA Président

 

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RDC : Eve Bazaïba rejette en bloc les allégations sur un détournement de fonds de crédits carbone

Mme Eve Bazaïba, Ministre d’Etat, Ministre de l’Environnement et Développement Durable n’est impliquée ni de près, ni de loin dans un quelconque détournement. Le Cabinet de la Ministre en charge de l’Environnement a, par un communiqué, effectué une mise au point de la situation, après la circulation d’une rumeur sur les réseaux sociaux, faisant état d’un détournement de 153.8 millions de dollars américains des revenus tirés de la vente de crédits carbone. 

Le Cabinet de la Ministre d’Etat, Ministre de l’Environnement a balayé d’un revers de main ces fausses informations répandues sur la toile, qui n’ont pour but que de salir la réputation de Mme Eve Bazaïba.

La Ministre Eve Bazaïba a qualifié ces allégations de "complètement infondées et diffamatoires". Elle a souligné que chaque centime encaissé après la vente de crédits carbone a été utilisé de manière transparente et conforme aux objectifs environnementaux établis par le ministère. Par ailleurs, elle a également assuré que des vérifications internes et externes sont régulièrement effectuées pour garantir une gestion rigoureuse des fonds alloués.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                             

Tout en mettant à défis quiconque qui détiendrait les preuves de les présenter aux autorités judiciaires, la Ministre d’Etat met en garde les personnes à la base de ces bruits de couloir, et se réserve le droit d’entamer une procédure judiciaire contre elles. 

‘’En cas de récidive, le Cabinet de Son Excellence Madame la Ministre d’Etat se réserve le droit de saisir les instances judiciaires contre les auteurs de ces propos, dont le seul but est de nuire à la réputation de la Ministre d’Etat, qui est en train de faire bénéficier aux communautés locales et au Trésor Public les dividendes de la conservation de ressources forestières, et a fait du marché de carbone Congolais son cheval de bataille, conformément au Programme du Gouvernement pilier 6 axe 6.2.1, et suivant la vision de Son Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat’’, peut-on retrouver dans ce communiqué.

En outre, elle se tient prête à apporter toutes les clarifications nécessaires pour dissiper les doutes et restaurer la confiance du public dans la gestion des fonds alloués aux projets environnementaux, essentiels pour l'avenir de la planète.

Nathan Mundele

 

MINISTERE DE L’ENVIRONNEMENT ET DEVELOPPEMENT DURABLE

Le Cabinet du Ministre d’Etat

COMMUNIQUE OFFICIEL

Depuis quelques jours, il circule sur les réseaux sociaux des écrits mensongers tendant à imputer à Son Excellence Madame la Ministre d’Etat, Ministre de l’Environnement et Développement Durable, un prétendu détournement d’une somme de 153.8 millions de dollars américains émanant de la vente de credits carbonne.

Le credit carbone et le marché de carbone étant des matières nouvelles dans l’espace congolais, qui plus sont régulées par loi, le Cabinet de Son Excellence Madame la Ministre d’Etat exhorte toute personne désireuse de s’informer à ce propos de le saisir directement, ou à défaut de saisir les instances judiciaires compétentes, dans l’hypothèse où elle estimerait détenir des preuves relatives à un prétendu détournement.

Le Cabinet de Son Excellence Madame la Ministre d’Etat met en garde les auteurs de ces propos diffamatoires, et leur rappelle que le droit congolais réprime les actes d’imputation dommageable.

En cas de récidive, le Cabinet de Son Excellence Madame la Ministre d’Etat se reserve le droit de saisir les instances judiciaires contre les auteurs de ces propos, dont le seul but est de nuire à la réputation de la Ministre d’Etat, qui est en train de faire bénéficier aux communautés locales et au Trésor Public les dividendes de la conservation de ressources forestières, et a fait du marché de carbone Congolais son cheval de bataille, conformément au Programme du Gouvernement pilier 6 axe 6.2.1, et suivant la vision de Son Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat.

Le Cabinet de Son Excellence Madame la Ministre d’Etat invite l’opinion nationale à ne pas prêter Oreille à des tells balourdises.

Fait à Kinshasa, le 12 juillet 2024

Héritier MPIANA PIERRE

Directeur de Cabinet Adjoint   

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Royaume-Uni : les recours de migrants menacés d’expulsion au Rwanda classés, après l’abandon de ce projet controversé


Le nouveau premier ministre Keir Starmer a confirmé dès le lendemain de son élection l’abandon du projet des conservateurs d’expulser au Rwanda des migrants arrivés illégalement sur les côtes anglaises. Le gouvernement rwandais a, lui, déclaré que l’accord ne prévoyait pas la restitution des fonds.

Le premier ministre britannique Keir Starmer à Downing Street, à Londres, le 9 juillet 2024. CHRIS J RATCLIFFE / REUTERS

Trois migrants qui avaient déposé des recours devant la justice britannique contre leur expulsion au Rwanda ont vu leur dossier classé mardi 9 juillet, le nouveau premier ministre Keir Starmer ayant abandonné ce projet controversé.

Les recours de ces demandeurs d’asile devaient être étudiés à partir de mardi devant la Haute Cour de justice à Londres. Mais l’audience, prévue initialement sur au moins quatre jours, a duré à peine une heure. L’avocat du ministère de l’intérieur, James Eadie, a déclaré que les recours étaient « entièrement réglés ».

Les demandes des migrants « seront examinées d’une manière compatible avec la nouvelle politique d’asile du nouveau gouvernement », a-t-il ajouté. Or, cette politique « ne prévoit pas d’expulsions vers le Rwanda ».

Keir Starmer, devenu premier ministre vendredi après la victoire des travaillistes aux élections législatives, a dès le lendemain confirmé l’abandon du projet des conservateurs d’expulser au Rwanda des migrants arrivés illégalement sur les côtes anglaises. Le projet est « mort et enterré », a-t-il déclaré samedi lors d’une conférence de presse.

Un projet « gadget »

Keir Starmer a de nouveau qualifié de « gadget » ce projet annoncé il y a deux ans par Boris Johnson, alors premier ministre, et conservé par Rishi Sunak, qui l’avait même érigé en priorité. Le gouvernement conservateur voulait démarrer les expulsions de migrants dans la première quinzaine de juillet, malgré la controverse suscitée par cette politique.

A l’automne 2023, la Cour suprême du Royaume-Uni avait jugé ces expulsions illégales vis-à-vis de la loi internationale, estimant que le Rwanda ne pouvait pas être considéré comme un pays sûr pour les demandeurs d’asile.

Lundi, le Rwanda a déclaré « prendre note » de la décision du nouveau gouvernement britannique d’abandonner « l’accord de partenariat pour la migration et le développement économique ». Dans le cadre de cet accord, le Royaume-Uni a déjà versé environ 240 millions de livres sterling (284 millions d’euros) au Rwanda.

« Le remboursement de l’argent n’a jamais fait partie de l’accord »

« Cet argent ne sera utilisé que s’ils [les migrants] viennent. Si ce n’est pas le cas, nous pourrons le rendre », avait assuré en janvier le président rwandais Paul Kagame, interrogé au Forum économique mondial à Davos, en Suisse. Mais le gouvernement rwandais a ensuite précisé qu’il n’avait « aucune obligation » de le faire.

Mardi, le gouvernement rwandais a finalement déclaré que l’accord ne prévoyait pas la restitution des fonds. « L’accord que nous avons signé ne stipulait pas que nous devrions rendre l’argent. Que ce soit clair, le remboursement de l’argent n’a jamais fait partie de l’accord », a dit le porte-parole adjoint du gouvernement Alain Mukuralinda, à la télévision d’Etat sur les côtes anglaises.

Il a déclaré que le Royaume-Uni avait contacté le Rwanda et demandé un partenariat, qui a fait l’objet de « discussions approfondies ». « L’accord a été soumis aux tribunaux, et il a même été amendé après les résultats des tribunaux », a-t-il déclaré. « Il a été soumis au Parlement et est finalement devenu un traité entre les deux pays. Un traité prévoit une clause de sortie. »

(Le Monde avec AFP)

 

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Anicet Yomboranyama : ‘’Aussi longtemps que la RDC aura plus de prophètes, plus de pasteurs et plus d'acteurs politiques en lieu et place d'entrepreneurs, son développement ne pourra avoir lieu qu'aux calendes grecques’’

 

Les jérémiades ne paient pas. Le décollage économique de la RDC est tributaire de l'augmentation de la production agricole, la construction et la modernisation des infrastructures de l'Ecosystème des transports, la création de la classe moyenne, l'investissement dans l'hydroélectricité, et l'industrialisation, dans le but de briser le cercle vicieux de la paupérisation.

Néanmoins, aussi longtemps que la RDC aura plus de prophètes, plus de pasteurs et plus d'acteurs politiques en lieu et place d'entrepreneurs, son développement ne pourra avoir lieu qu'aux calendes grecques. 

Cher Président @fatshi13, les congolais comptent beaucoup sur votre leadership. Ne nous décevez pas.

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