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Clôture de ‘’la semaine du leadership au féminin’’, IFASIC : Joséphine Mawete interpelle la jeunesse à faire bon usage de l’outil numérique

Promouvoir la parité et bannir les vices dans les chefs des jeunes, amener les femmes à comprendre ses intérêts à l’utilisation de nouvelles technologies, était le gros de la conférence-débat tenue ce mardi 28 mars 2023, dans le cadre de la clôture de la semaine du leadership au féminin organisée par le comité des étudiants de l’IFASIC. Au terme de cette manifestation, Joséphine Mawete, présidente des étudiants de cette alma mater et son comité ont remis un trophée de mérite au professeur Kambayi, honneur lui reconnu pour les actions qu’il ne cesse de mener en faveur de la gent féminine.
La présidente Joséphine Mawete a signifié que ‘’la semaine du leadership au féminin’’ a été organisée dans le souci de conscientiser les jeunes à choisir l’essentiel et à rejeter ce qui est nuisible. L’utilisation du numérique est pour elle une affaire de tous. «Les jeunes d’aujourd’hui n’ont pas la connaissance sur ces outils. Et, cette conférence est venue pour recadrer les jeunes du mauvais usage de nouvelles technologies. Plusieurs mauvaises pratiques ont été révélées. Les réseaux sociaux participent à la destruction de la jeunesse, surtout féminine, avec des jeunes filles qui exposent les parties intimes de leurs corps sur le net. Raison pour laquelle, ces jeunes doivent être rééduquées pour une bonne utilisation. C’était aussi l’occasion de préparer la jeune femme à l’entreprenariat, à s’autonomiser, à être leader puisqu’elle a aussi des capacités de diriger au même titre que l’homme», a laissé entendre la présidente des étudiants de l’IFASIC. Cette dernière a tenu à remercier la présence active des étudiants durant toute la semaine du déroulé des activités. «Je remercie le comité de gestion qui est représenté par le recteur Jean-Richard Kambayi Bwatsha, qui a permis à ce que la tenue de ces journées soit rendue possible. Mais aussi aux étudiants qui sont ici présents pour votre présence. Vous étiez forts du premier jour de notre conférence jusqu’au moment où nous tenons sa clôture, bien que ce n’était pas évident de faire toute une semaine, chaque jour, nous avons tous prouvé que l’impossibilité n’existe pas pour ceux qui veulent oser. Donc, nous vous remercions pour ça», a-t-elle déclaré.
Elle a, en même temps, procédé à la remise des certificats aux étudiants participants à cette conférence pour certifier leur présence et pour les encourager à prendre part dans des telles activités.
Eunice Maleka

 

Clôture de ‘’la semaine du leadership au féminin’’, IFASIC : Joséphine Mawete interpelle la jeunesse à faire bon usage de l’outil numérique
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Leadership féminin pour l’égalité des chances , RDC : l’Asbl AGORA encourage les femmes et les jeunes filles à se lancer activement dans la politique

‘‘Promouvoir le leadership féminin dans la politique'' était le thème de la 3eédition de ‘’femmes étranges’’ organisée vendredi 24 mars 2023 par l'association AGORA. Ce rendez-vous se veut une réelle occasion pour l'association de contribuer à la consolidation du leadership féminin et sensibiliser les femmes à se lancer de manière active dans la politique. La rencontre s'est tenue dans la salle Reine mère dans la commune de la Gombe, en présence du coordonnateur de ladite association, Faustin Mpako, ainsi que de plusieurs femmes venues pour la circonstance.
Au cours de cette édition, trois femmes ‘’étranges’’ ont échangé avec les femmes sur les difficultés existentielles des femmes dans la politiques active. Il s'agit de Madame Pierrette Gene qui, dans son intervention, a rappelé le souci et l'ambiance de l'association en organisant ce genre de conférence. A l’en croire, il s'agit de faire accéder le leadership de la femme congolaise à un niveau un peu plus élevé que celle qu'elle a aujourd'hui.
Elle a néanmoins reconnu que la femme rencontre beaucoup de freins dans plusieurs domaines en République démocratique du Congo. Mais, ce n'est pas une raison pour elle d'abandonner. Car, la femme, souligne-t-elle, a plusieurs valeurs qui peuvent apporter le changement dans ce pays. Il s'agit, entre autres, de «la sensibilité, de l'influence...que le Seigneur a mis en elle ». Ces valeurs doivent normalement aider les femmes à faire exploser ce leadership qu'elles ont sur les autres pour faire avancer la société.
Madame Nandy Angalikiana a, de son côté, estimé que c'est le manque de confiance en soi qui fait en sorte que la femme ne se lance pas en politique. Pourtant, a-t-elle affirmé, c'est la politique qui gère le pays. D’autant plus que c'est dans des instances que se prennent des grandes décisions et le développement ira plus vite qu'on ne le pense.
Cette conférence, soutient Mme Nandy, est une opportunité de sensibiliser et les femmes à pouvoir se lancer en politique et ne pas se dire que la politique est un domaine réservé uniquement aux hommes. Elle soutient que les femmes sont capables de faire avancer les choses dans ce pays. «De ce fait, elles sont appelées à marcher ensemble, main dans la main, avec un esprit d'équipe , dépasser ainsi les intérêts personnels pour y arriver et atteindre l'objectif qui est celle de faire évoluer ce pays sacré pour tous ».
C'est en rapport avec ce thème que Madame Antho Mavuma, troisième intervenante du jour, a appelé la femme à la prise de conscience. Elle a par la même occasion, livré son propre témoignage de l’expérience vécue au sein de l'administration publique. Une manière pour elle de booster les femmes et leurs encourager à ne jamais baisser les bras malgré les freins ou les difficultés qui peuvent se présenter. ‘‘Après plusieurs années de lutte, j’ai su me frayer un chemin dans l'administration publique jusqu'à occuper le poste de chef de contentieux au niveau des affaires foncières », a-t-elle fait savoir.
Nelly somba

 

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Mois de la Femme : Denise Nyakeru Tshisekedi communie avec les femmes de l'UDPS

En ce mois dédié aux droits des femmes, la Distinguée première Dame Denise Nyakeru Tshisekedi a communié avec la ligue des femmes de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social, UDPS, parti cher au patriarche Etienne Tshisekedi, au siège social du parti dans la commune de Limete 10e rue le vendredi 24 mars 2023.
D'entrée de jeu, l'épouse du Chef de l'État a invité les femmes de l'UDPS à garder une minute de silence à l'endroit des compatriotes victimes des affres de la guerre à l'Est de la RDC. Cette cérémonie a connu la participation de la délégation sud-africaine, African national congress, ANC venue à Kinshasa dans le cadre des préparatifs des élections de 2023.
Denise Nyakeru Tshisekedi a, par la suite, rappelé aux femmes qu'elles doivent connaître leurs droits, car elles constituent une force et ont des potentialités dont le pays a besoin pour son développement.
Pour ce faire, elle les a invitées à se préparer pour les élections de 2023 non seulement en tant qu'électrices, mais aussi en tant que candidates. « Je voudrais voir plus d'une centaine de femmes postuler aux échéances électorales de 2023 avec l'accompagnement du secrétaire général de l'UDPS, Augustin Kabuya», a-t-elle déclaré.
Prenant la parole à cette occasion, Bathabile Dlamni, Présidente de Ligue des femmes de l'ANC (African national congress) a appelé les femmes de l'UDPS à lutter contre les divisions et le tribalisme dans le parti. Bathabile les a encouragées à postuler à tous les niveaux afin d'occuper les postes de décision sans attendre de faveur quelconque. En outre, elle les a exhortées à participer massivement au processus électoral.
Par ailleurs, le Secrétaire général de l'UDPS, Augustin KABUYA a remis un diplôme d'honneur à la First lady Denise Nyakeru Tshisekedi tout en la remerciant d'avoir honoré la femme de l'UDPS. La cérémonie s'est clôturée par la remise des présents par la présidente de la Fondation Denise Nyakeru Tshisekedi.
La Pros.

 

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Bonne évacuation des denrées alimentaires à Bokondo, Tshopo : Eve Bazaïba au-devant des travaux de construction d’une route de plus de 15 Km

«Je me suis investie dans les travaux de l’ouverture de cette route de plus de 15 kilomètres reliant Bokondo route à Bokondo rive dans le secteur de Turumbu dans le territoire de Basoko/Province de la Tshopo. Une contribution en vue de permettre à cette population la bonne évacuation des denrées alimentaires vers le grand centre et aussi sur la voie fluviale».
Source : Compte Twitter de la Ministre d’Etat à l’Environnement et Développement Durable, Bazaïba
*La titraille est de La Prospérité

Bonne évacuation des denrées alimentaires à Bokondo, Tshopo : Eve Bazaïba au-devant des travaux de construction d’une route de plus de 15 Km
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Sama II : la nouvelle équipe face à l’impératif d’une transition de deux ans !

Notre point de vue repose sur ce crédo de la très charismatique Marie-Josée Ifoku :" Je me bats pour mon idéal conçu par révélation et non pour mon propre ventre. Ma lutte n'a rien en commun avec le nombrilisme ambiant… Si cela ne dépendait que de moi, il y a bien longtemps que je serais Ministre... D’ailleurs, mon standing de vie ne me donne pas à envier les autres... Seul, l’intérêt du plus grand nombre me prive le sommeil".
Peut- on piper un mot sur la quasi-coïncidence entre la dernière sortie politique de la pionnière de la Renaissance du Congo et le remaniement du gouvernement ?
Sous peine d'investir dans les élucubrations, il y a lieu d’avouer que Marie-Josée Ifoku a eu le mérite de secouer le cocotier... Cela ressemble plus ou moins à l’œuvre d'une sentinelle éveillée embouchant sa trompette face à un danger imminent. Devoir de mémoire : Peu ou très peu avant la mise sur pied de la 1ère équipe de Sama Lukonde en mars 2021, un nom était à la Une des journaux et sur toutes les lèvres :" Marie-Josée Ifoku".
En a-t-il été autrement, cette fois-ci ? Ne sommes-nous pas au mois de Mars, le mois qui révèle tous les mystères de la féminité providentielle ?
A propos de la Renaissance : Il s'agit de l'horizon garni de l'espoir collectif d'un peuple longtemps meurtri, l'aboutissement d'une démarche à l'échelle nationale pour une remise en question générale susceptible de jeter les bases du nouveau départ. La transition préconisée s'apparenterait à la posture de la Conférence Nationale Souveraine où, loin de toute influence extérieure, les congolais s'étaient regardés dans le blanc de l’œil pour laver leurs linges sales en famille. Nul besoin de faire valoir des prétextes rétrogrades là où s'impose l'urgence de la reconquête de la conscience nationale et de la morale collective.
A l’évidence, la panacée ne réside pas dans la redistribution des cartes, surtout pas avec des données presque similaires. Voici ce que dit le déterminisme :" Les mêmes causes reconduites dans les mêmes conditions, produisent les mêmes effets".
Que faire ?
Le peuple congolais doit garder en tête l'urgence et la pertinence d'un dialogue sincère à l'échelle nationale. Doit prévaloir aussi la vertu de l'arbre à palabres pour chasser toutes formes des frustrations, des querelles - séparatistes, de triomphalisme...Rien ne rend plus fort un peuple que sa capacité à confesser ses faiblesses dans un élan de repentance sincère.
Une aubaine pour l'UDPS de clouer au pilori l'actuelle Constitution rejetée par elle depuis 2006.
Au bout du compte, c'est le " peuple - d- abord" qui en sortira ragaillardi avec une loi fondamentale rimant avec ses vraies attentes. Telle est, à notre avis, l'entendement à imprimer sur la démarche d'une transition de deux ans suggérée par Mme Marie-Josée Ifoku.
Félix Kalala Mwanza/Libre penseur

Sama II : la nouvelle équipe face à l’impératif d’une transition de deux ans !
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RDC : Mamie Mujanyi dévoile aux femmes des stratégies rassurantes pour quitter de la pauvre à la richesse

Le Mouvement international des femmes Dynamiques d’Afrique (MIFDA), dirigé par sa présidente Mamie Mujanyi, a organisé une rencontre avec les mamans de la Lukunga, ce mardi 21 mars 2023, à l’espace Royal, dans la commune de la Gombe en perspective de la grande activité qui aura lieu samedi 25 mars prochain au stade des martyrs. Cette croisade aura pour thème : «Comment sortir de la pauvreté à l’épanouissement » et sera un rendez-vous auquel prendra part le Président de la République Félix Antoine Tshisekedi, le chanteur et pasteur Moïse Mbiye, et bien d’autres personnalités.
«Nous sommes en train de préparer une rencontre des mamans le 25 mars au stade des martyrs dénommée « Masolo ya ba maman ». D’où, aujourd’hui, il était question de sensibiliser les mamans de la Lukunga parce que la semaine passée, nous avons eu à sensibiliser aussi les mamans de Mont-Amba et Tshiangu à l’espace de l’Echangeur de Limete », a expliqué Mamie Mujanyi, présidente de MIFDA.
Elle poursuit qu’à travers cette campagne, ‘’nous voulons faire comprendre à la femme le secret que nous allons partager avec elles pour être épanouie financièrement. Comme vous le savez, MIFDA, parmi ses objectifs principaux, se trouve celui de sensibiliser la femme à s’impliquer dans la gestion de son pays à travers l’entreprenariat. MFIDA accompagne aussi avec la formation et d’aides financières’’, a-t-elle précisé.
Pour la présidente de cette corporation, cette conférence est une sorte de coaching en même temps, au milieu des femmes pour qu’elles comprennent, et qu’elles puissent sortir de l’informel et travaillent dans le formel «Parce que beaucoup de bailleurs des fonds mettent à la disposition des financements pour les femmes, malheureusement, beaucoup dans notre pays de manière générale, ne bénéficient pas parce que non seulement elles n’ont pas accès à cette information, mais aussi parce qu’elles sont dans l’informel ».
Grâce Daro

 

RDC : Mamie Mujanyi dévoile aux femmes des stratégies rassurantes pour quitter de la pauvre à la richesse
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Au cours d’un atelier de sensibilisation et de coaching , Kinshasa : Habari RDC outille les femmes et les jeunes filles avec des stratégies participatives sur le processus électoral

Ils étaient nombreux à répondre à l’invitation de HABARI RDC. Hier, mercredi 22 mars 2023, plusieurs femmes et jeunes filles mais aussi des hommes venant de tous les quatre coins de Kinshasa ont été bénéficiaires d’une séance d’encadrement et de coaching sur le rôle des femmes dans le processus électoral. Placé sous le thème : ‘’ Rôle et implication des femmes dans le processus électoral’’, cet atelier était aussi une occasion de conscientiser les femmes à briser tout stéréotype qui les maintient dans la position de simple observatrices et de se relever pour participer à la gestion des instances de prise de décision au même titre que l’homme.
Mme Merveille Gozo, la première à intervenir dans ce colloque, a signifié que l’objectif de cette séance d’échanges et de coaching avec les femmes était de les sensibiliser à pouvoir s’impliquer davantage dans le processus électoral, afin qu’elles soient non seulement des candidates fortes et préparées mais aussi des électrices, des observatrices, des surveillantes du processus électoral pour que le processus soit plus inclusif et plus participatif.
Elle a, en outre, souligné certaines habitudes qui obstruent l’épanouissement de la femme et la parité, lesquelles sont devenues, faut-il le souligner, une évidence dans la société. «Nous sommes dans une société où les barrières coutumières et culturelles sont beaucoup plus ancrées, mais nous espérons qu’avec la sensibilisation et la vulgarisation des lois que nous avons, les hommes vont parvenir à comprendre et à savoir ce que dit la loi électorale », a soulevé Mme Merveille.
A son tour, Maître Lisette Mavungu, l’autre intervenante du jour, a soutenu que la femme a une place de choix dans le processus électoral, et qu’il revient à elle de se décider. «Nous avons essayé de montrer les deux pôles qui peuvent servir à la femme, soit comme électrice, soit comme candidate. Nous avons dit que comme électrice, elle a le devoir de s’enrôler mais aussi de participer dans ce processus électoral à divers titres : elle peut être Agent de l’OGE, Organe de Gestion des Elections, elle peut être témoin des partis politiques, elle peut être observatrice, journaliste (média) qui porte haut les candidatures de différentes personnes », a-t-elle expliqué.
Plus loin, Me Lisette Mavungu a livré quelques stratégies chirurgicales pouvant permettre aux femmes qui aspirent à se présenter comme candidates aux élections, lesquelles stratégies vont, à l’en croire, les servir pour bien affronter les joutes électorales. « De l’autre côté, nous avons parlé du rôle de la femme comme candidate ; celle-là a un rôle d’avant-gardiste, elle doit pouvoir présenter son menu au corps électoral et donc, nous avons dit qu’elle a deux phases très importantes : phase électorale et phase préélectorale où elle devrait se vendre (…) les femmes doivent œuvrer dans les partis politiques, si elles doivent accéder à certains postes. Nous encourageons les femmes à adhérer dans les partis politiques et à y travailler fortement pour qu’elles puissent avoir une voix qui compte et qu’elles soient comptées parmi les membres du parti », a-t-elle insisté.
Zoom sur la loi électorale
Sinon, Maitre Lisette Mavungu a rassuré qu’elle n’est pas assez satisfaite de la loi de la CENI, demandant aux formations politiques d’aligner plus de femmes pour être exonérées de la paie de la caution sans aucune mesure contraignante qui accompagne ladite loi. Pour elle, c’est parce que la sanction que l’on donne à un récidiviste est de payer simplement la caution. Chose qu’elle dit craindre qu’il y ait un risque pour les femmes ‘’si elles ne se prennent pas avant’’. « Telle que la disposition de la loi se présente, il y a encore des inquiétudes, mais nous espérons surveiller le processus et voir à la fin, nous allons faire une évaluation pour voir s’il y a eu du bonheur avec cet article ou il faille encore revisiter la loi en cet article-là qui donne la possibilité de payer la caution si la liste n’est pas genrée ou n’a pas la parité », a-t-elle conclu.
Fidel Songo

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En marge de la célébration du mois de la femme au Refec, Kinshasa : Lilas Ndani prodigue quelques sages conseils aux hommes

«Quand on parle des droits de la femme, on ne parle pas de l’égalité dans un foyer, nous parlons de l’égalité dans le milieu professionnel. Et la femme de plus en plus se rend compte qu’elle peut apporter une touche particulière au développement d’une société telle que la RDC». Ainsi s’est exprimée Lilas Ndani, à l’issue de la cérémonie de la célébration du mois de la femme organisée, vendredi 17 mars 2023, par le Réseau des Femmes des Entreprises du Congo (REFEC), dans la grande salle de conférence du ministère des affaires étrangères. Lilas Ndani, dans sa tunique de représentante des femmes de la primature à cette activité, a levé la voix au-devant de la presse pour faire valoir l’importance de la femme dans la société et dans le milieu professionnel.
«Je suis ravie parce que, de plus en plus, les femmes se rendent compte de ce qu’elles peuvent apporter dans la société. Donc, tout ce qu’on a appris aujourd’hui, nous prouve encore une fois de plus que nous avons un long chemin à parcourir par rapport au droit de la femme. Quand on parle des droits de la femme, on ne parle pas de l’égalité dans un foyer, nous parlons de l’égalité dans le milieu professionnel. Et la femme de plus en plus se rend compte qu’elle peut apporter une touche particulière au développement d’une société, tel que la RDC », a-t-elle déclaré.
Et de renchérir : « Ce que nous avons pu retenir c’est que les femmes doivent continuer à se battre pour se faire respecter et se faire valoir. Nous voulons plus de cette société où les femmes se livrent à des antivaleurs pour être promues ou pour être engagées quelque part. Nous voulons que la femme puisse compétir aux côtés de l’homme, prouver de quoi elle est capable pour faire développer le travail ou la société ».
Elle a saisi cette belle occasion pour dénoncer la chosification de la femme par certains hommes et en appelé à la tolérance. « Les hommes, ils sont à côté de la femme. La femme étant partenaire au temps des combats de vie. C’est-à-dire que nous devons évoluer ensemble, tant dans nos ménages que dans la société. L’homme doit être tolérant, mais la femme aussi. Donc, s’ils sont en train de marginaliser, de discriminer les femmes, je crois qu’ils sont tout simplement censés être exclus de ce siècle présent parce que ce siècle exige que la femme et l’homme évoluent ensemble pour un meilleur développement et pour une vie durable parce que la femme a toujours quelque chose, je dirais, une longueur d’avance sur l’homme. Vous verrez même pour se marier, la femme est moins âgée, l’homme plus âgé, mais c’est la femme qui coordonne tout dans le foyer et elle sait voir le mal au loin et le prévenir pour que l’homme et sa famille soient à l’abri du danger. Donc, je pense qu’ils doivent carrément arrêter de martyriser les femmes, ça ne sert à rien. Les femmes sont partenaires des hommes et vice-versa, ils doivent donc faire marchez ensemble », a-t-elle martelé.
Israël Mpoyi

En marge de la célébration du mois de la femme au Refec, Kinshasa : Lilas Ndani prodigue quelques sages conseils aux hommes
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Mars, mois de l’éveil de conscience, CS. Mgr Moke : Grâce Kangundu prône l’usage responsable des réseaux sociaux

En ce mois de mars dédié à la femme, la Coordinatrice de l’ACOFEP, Grâce Kangundu, s’est donnée le devoir d’une mère d’éveiller le sentiment intime des élèves du collège Mgr Moke, en la paroisse Saint Joseph de la commune de Kalamu, à l’occasion d’une conférence-débat organisée samedi le 18 mars 2023. ‘’ Tous pour une éducation numérisée avec une utilisation responsable du réseau’’, tel était le thème développé lors de cette activité scientifique. Face à un auditoire composé d’élèves et autorités scolaires du CS Moke, Grâce Kangundu a appelé à un bon usage des réseaux sociaux à l’ère du numérique.
«Le numérique c’est la communication, et comment la communication a approché les communautés ? C’est à travers l’utilisation du numérique, il y a des téléphones, l’ordinateur», a-t-elle expliqué, avant d’exhorter les mamans à toujours vérifier les téléphones de leurs filles, car la femme a un support faible du numérique. «Ces enfants là ont des ambitions, raison pour laquelle on parle d’éducation numérisée», a-t-elle dit.
En somme, la coordonatrice de l’ACOFEP a eu des mots justes pour exhorter les femmes présentes dans la salle d’utiliser surtout le numérique de la communication (Tweeter), un réseau social responsable, d’après elle.
Arlette Mukonkole

Mars, mois de l’éveil de conscience, CS. Mgr Moke : Grâce Kangundu prône l’usage responsable des réseaux sociaux
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Clôture de la conférence sur le harcèlement sexuel dans le milieu professionnel, Kinshasa : Denise Nyakeru Tshisekedi encourage les femmes des médias à prôner l'éthique et le respect de la déontologie

La conférence sur l'état des lieux sur la situation des femmes des médias en Afrique Francophone avec pour thème : "Harcèlement sexuel dans la sphère médiatique", s'est clôturée le mardi 21 mars 2023 à Pullman hôtel de Kinshasa. Cette rencontre était une occasion pour les femmes des médias en particulier, et journalistes professionnels, en général et celles des médias sociaux de partager sans tabous les expériences vécues en matière du harcèlement sexuel et proposer des pistes de solutions pour bannir ce fléau qui prend de l'ampleur et freine l'épanouissement de la femme dans la profession.
Denise Nyakeru Tshisekedi, marraine de l'activité et celle qui a ouvert cette conférence, l'a déclaré close. Dans son speech, elle a exhorté les professionnelles des médias à dénoncer tout acte de violence dont elles peuvent être victimes ou témoins. «Vous professionnels des médias avez appris à traiter l'information et à la diffuser de manière efficace, parlez du harcèlement sexuel que subit vos collègues ou que vous subissez pour que l'aide vous soit apportée. Ce n'est que par cette façon de procéder que les prédateurs sexuels seront mis hors d'état de nuire », a déclaré la présidente de la FDNT. Ensuite, elle a encouragé les professionnels des médias à prôner l'éthique et le respect de la déontologie dans la profession.
A l'issue de ces travaux, les participants ont formulé des recommandations ci-dessous :
-Sur le plan institutionnel que la RDC prenne certaines mesures pour protéger la jeune journaliste et celle qui mérite une montée en grade.
-Mettre en place une brigade anti harcèlement qui servira aux femmes et hommes victimes d'harcèlement dans le domaine des médias de pouvoir adresser leurs plaintes de manière anonyme afin de dénoncer leurs bourreaux.
-Promouvoir les femmes à des postes de décision.
-Les femmes doivent encourager les autres femmes.
Ce document a été remis à la Ministre de la culture et art représentant le gouvernement pour la mise en application de ces résolutions.
Par ailleurs, pour le président de la Fondation Zacharie Babaswe"FOBAZA" initiateur de cette conférence, la mission de ces travaux est de:
-Donner aux femmes des médias des éléments de langage de lutte contre le harcèlement;
-Faire de la dénonciation un devoir pour les femmes des médias;
-Faire des femmes des médias des porte-voix de la lutte;
-Fournir les informations sur la marche à suivre pour se protéger sans compromettre son avenir;
-Réduire le harcèlement dans la profession par la connaissance du sujet.
La Pros.

 

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Célébration du 53ème anniversaire de la Francophonie, RDC : Bestine Kazadi invite à capitaliser le potentiel des langues française, nationales et maternelles des pays membres de l’OIF

Représentante personnelle du Chef de l’Etat Congolais près l’Organisation Internationale de la Francophonie, Bestine Kazadi Ditabala a présidé la cérémonie de célébration du 53ème anniversaire de la Francophonie, le lundi 20 mars dernier, à Fleuve Congo Hôtel. Dans son adresse, l’émissaire de Félix Tshisekedi dans l’espace francophone est revenue sur la nécessité pour les locuteurs francophones, à travers le monde, à capitaliser le potentiel de la langue française et ses liens tissés avec les langues nationales et maternelles des pays membres. Ladite cérémonie s’est déroulée au Salon rouge du Fleuve Congo Hôtel, en présence du Ministre de l’Intégration régionale et de la Francophonie, du Gouverneur de la Ville de Kinshasa, du Délégué de la Francophonie, du Directeur national du comité des IXèmes Jeux de la Francophonie et autres personnalités.
Identité plurielle des pays membres
«Fêter la Francophonie, c’est célébrer non seulement le français, mais aussi nos langues nationales et maternelles, ainsi que le projet ou les efforts de traduction dans ce plurilinguisme». A travers cette adresse, Bestine Kazadi a tenu à mettre le curseur sur les liens tissés entre la langue française et les langues maternelles du Congo. Mieux, sur la portée symbolique de cet anniversaire qui, selon elle, «marque l’ambition d’une identité plurielle des pays francophones face à une mondialisation des enjeux culturels».
«L’heure ne se prête pas au discours, mais à reconnaître les potentiels que possèdent une langue, le français, d’unir des peuples à travers un espace de solidarité et de compréhension mutuelle», a souligné à cet effet Bestine Kazadi devant un parterre d’invités venus célébrer la Journée internationale de la Francophonie dans la capitale congolaise.
«Si, d’une part, au niveau international, la Francophonie consiste à renforcer le français en tant qu’outil de communication et de vecteur culturel, d’autre part, au niveau national, il s’agit de favoriser la cohabitation du français avec toutes les langues des pays membres. Le français sert ainsi à nourrir la proximité des peuples dans l’espace francophone», a indiqué la Représentante personnelle du Chef de l’Etat congolais près la Francophonie.
Un symbole de renforcement des cultures
D’après Bestine Kazadi, «comprendre la Francophonie, c’est se forger une idée de ce qu’elle représente : elle est le symbole d’unification, d’harmonisation et de renforcement des cultures entre les pays qui se servent du français comme langue de communication, devenant par là un « vecteur de culture».
Justement, à travers son intervention, elle a tenu à se conformer au thème national retenu en RDC pour le 53ème anniversaire de la Francophonie : «La culture au cœur du projet francophone». Un thème conforme à l’optique du thème international : «321 millions de francophones, des milliards de contenus culturels».
«La francophonie ne peut être appréhendée comme organisation, elle va bien au-delà de cette conception. C’est un canal qui favorise l’échange des cultures, des mœurs, des tendances et des idéologies. En un mot, la Francophonie véhicule la culture, à travers le français qui en est l’élément culturel. La culture est donc cette lumière traversant les frontières, dont l’expression touche les cœurs et les esprits, dans une cohésion transfrontalière et même plus, intercontinentale. C’est un pont unificateur », a soutenu Bestine Kazadi.
Sortir du ghetto
Pour la Représentante personnelle du chef de l’Etat congolais près la Francophonie, «le 20 mars rappelle ce pas franchi vers l’avenir, ce cap mis sur les relations solides qui existent entre la RDC, le plus grand pays francophone du monde et la Francophonie, la plus grande organisation francophone existant. Le 20 mars est surtout l’occasion de réfléchir ensemble à un avenir commun reliant cinq continents à travers une coopération transversale construite dans une langue en partage au-delà des idéologies, des religions et des races».
En cette année où la RDC s’apprête à organiser les IXèmes Jeux de la Francophonie, l’occasion s’avère propice pour aider le peuple congolais à «sortir de son ghetto et à se mettre sur la scène en dévoilant ses inventions et ses talents, ce qui concours à promouvoir la culture congolaise», estime Bestine Kazadi.
«L’avenir de la Francophonie se dessine à travers les liens qui se nouent entre elle et les pays membres. La RDC, qui fait partie intégrante de cette organisation, trace au moyen de sa culture, de sa population jeune et engagée, l’avenir des relations qu’elle entretient avec cette structure, surtout qu’elle est appelée à «exploiter, de manière pragmatique, ce levier qu’est la langue française comme accélérateur de politiques diplomatiques mutuellement avantageuses», précise-t-elle.
La Pros.

 

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Autonomisation, parité, usage du numérique, RDC : Nicole Nkiesolo Nkembi appelle les femmes à plus d’engagement et de responsabilité

Sous le haut patronage du ministère du genre, famille et enfant, le Réseau des femmes des entreprises du Congo, (REFEC), a organisé, vendredi 17 mars 2023, dans la salle de conférences du ministère des affaires étrangères, une conférence de sensibilisation à l’attention des femmes entrepreneures du pays. Objectif, tirer au clair la problématique du genre au milieux professionnels, de l’égalité homme-femme et sensibiliser la gent féminine à plus d’actions, conformément au thème annuel, à savoir : « Education Numérique Egalitaire pour la paix, l’autonomisation des femmes et filles en RDC ».
Cette célébration a connu la participation de plusieurs points focaux en charge du genre de plus de 15 entreprises qui ont été représentées. Parmi les participantes, il y avait Nicole Nkiesolo Nkembi, cadre à la SCTP, ex Onatra, qui n’a voulu un seul instant louper cette occasion. D’après elle, la femme a la lourde responsabilité de jouer pleinement son rôle pour le développement de la société, surtout en cette période marquée par l’avènement de Nouvelles technologies de l’information et de la communication.
«Chaque année, nous célébrons les avancées des droits des femmes dans le monde entier. Alors, aujourd’hui, sous l’organisation de REFEC, on a organisé une rencontre des femmes des entreprises pour parler du thème international de l’année sur l’éducation Numérique Egalitaire pour la paix l’autonomisation des femmes et filles en RDC. Alors, qu’est-ce qu’il faut retenir sur ce thème-là, on a constaté que, dans le monde, la femme occupe une place très minime en termes de pourcentage sur l’utilisation du Numérique. Cette rencontre avait pour objectif de pousser les femmes à assurer leur autonomisation en matière d’accès au numérique et leur recommander aussi de faire attention à la loi sur l’autonomisation de la femme dans notre pays. Cette loi régit l’égalité entre femmes et hommes dans notre pays. Vous savez que dans le monde, la femme a tous les droits de numériser mais heureusement pour nous, il y a des règles et lois qui ont été édictées pour essayer de résoudre ce problème, de remettre la femme à sa place et donner une égalité en matière du genre et de l’élévation dans les entreprises», a fait savoir Nicole Nkiesolo Nkembi aux médias.
Halte à la confusion
«Toutes les autres femmes doivent savoir que nous sommes (avec les hommes, ndlr) tous égaux devant la loi. Nous ne devons pas nous laisser minimiser par les hommes du fait que nous sommes des femmes. Ce à quoi l’homme peut accéder, la femme également. Nous ne sommes pas des êtres faibles comme on a toujours dit», a martelé Nicole Nkiesolo Nkembi.
Grâce Daro

 

Autonomisation, parité, usage du numérique, RDC : Nicole Nkiesolo Nkembi appelle les femmes à plus d’engagement et de responsabilité
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Halte à la discrimination et au favoritisme, Kinshasa : Roliane Kayiba plaide pour un numérique incluant la femme rurale

Dans le cadre de la journée des droits de la femme, l’ONG ‘’Green Space Network’’, GSN, a organisé le vendredi dernier, sa première conférence-débat de l’année 2023. C’était une occasion offerte aux femmes pour débattre sur l’apport du numérique dans l’environnement et surtout chez la femme rurale. La coordonnatrice nationale de l’ONG, Roliane Kayiba, a ainsi plaidé pour un numérique inclusif. Plusieurs thèmes ont été abordés au cours de cette rencontre tenue au CEPAS, dans la commune de la Gombe.
‘’Pour un monde digital inclusif : innovation et technologie pour l’égalité des sexes’’ était le thème national retenu pour la journée des droits de la femme en République Démocratique du Congo.
C’est dans ce contexte que Roliane Kayiba, Coordonnatrice nationale de ‘’Green Space Network’’, une Organisation-Non Gouvernementale travaillant dans le secteur de la lutte contre la préservation de l’environnement, a tenu à réunir quelques femmes de différentes ONG ainsi des hommes genrés afin de réfléchir sur l’apport du numérique dans l’environnement et surtout chez la femme rurale.
La coordonnatrice nationale de ‘’Green Space Network’’ a estimé que la femme rurale est souvent abandonnée à son triste sort, déconsidérée par les décideurs.
Pour elle, la femme rurale ne doit pas seulement être considérée comme celle qui abat les arbres, mais également comme cette femme qui apporte la paix, la solution et le développement dans son pays.
C’est pourquoi, selon elle, on devrait également penser à la femme au fond du village quand il s’agit du numérique. Car, a-t-elle argumenté, avec les outils informatiques, cette femme aura plus de capacités à propager ce qu’elle a produit et le pays tout entier sera automatiquement informé.
C’est la raison même du choix de la thématique de la conférence- débat du jour.
Il s’agit, entre autres, de comment utiliser des solutions technologiques pour transformer les relations entre les genres, quelle politique pour créer les écosystèmes d’innovations inclusifs, l’impact du numérique sur la femme rurale et les jeunes femmes à la pointe de la technologie et de l’innovation pour la lutte contre le changement climatique.
Les panelistes ont ainsi plaidé pour que la femme rurale s’engage dans le monde du numérique. Pour ce fait, l’Etat congolais a une part de responsabilité. Il est question de faire en sorte que le numérique soit accessible à toutes les femmes, même pour celle qui est dans le domaine rural. Car, même dans le rural, grâce au numérique, elle peut maximiser son rendu et pour d’autre, dénoncer toutes formes de violence ou violation qu’elle subit. Mais aussi mettre en place des Stratégies pour promouvoir l’innovation de manière inclusive. Il s’agit là des politiques sectorielles, les écosystèmes d’innovations qui tiennent en compte de la dimension genre. La création d’un environnement sécurisé qui permettra à la femme d’apprendre…
A en croire Roliane Kayiba, coordonnatrice nationale de ‘’Green Space Network’’, ces échanges étaient un premier pas pour l’ONG afin de lui permettre de récolter des informations et suggestions ensemble avec les participants, afin de permettre à l’ONG d’élaborer un plaidoyer qui pourra interpeler les autorités à la prise en considération de la femme rurale.
Nelly Somba

Halte à la discrimination et au favoritisme, Kinshasa : Roliane Kayiba plaide pour un numérique incluant la femme rurale
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