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Dans une déclaration politique : L’UDS traite d’insensée la décision du Président Joe Biden d’autoriser l’utilisation des armes de longue portée par l’Ukraine

La décision du Président américain sortant Joe Biden d’autoriser le Président ukrainien Volodymyr Zelensky à utiliser des armées de longue portée contre la Fédération de Russie dans le conflit qui oppose ces deux pays depuis 2022, a été virulemment critiquée par l’Union des Démocrates Socialistes, ce parti politique congolais qui se réclame de la mouvance anti-impérialiste mondiale. Dans une déclaration datée du mardi 19 Novembre 2024 sous la signature de son Président National, l’ancien Sénateur Crispin Kabasele Tshimanga Babanya Kabudi, l’UDS traite d’insensée et d’irréfléchie la décision du Président américain Joe Biden. Voici le texte intégral de ladite déclaration politique.

Déclaration Politique

L'Union des Démocrates Socialistes, UDS, ne s’étonne pas de la récente décision irréfléchie du Président américain sortant Joe Biden d’autoriser l’Ukraine à utiliser des armes de longue portée en profondeur du territoire de la Fédération de Russie, laquelle décision a été prise à quelques semaines de son départ de la Maison Blanche de Washington DC.

Le but du soutien américain au régime corrompu et néo-nazi de Volodymyr Zelensky a toujours été de provoquer la Troisième Guerre Mondiale susceptible de se terminer par la défaite de la Russie et son assujettissement à l’Occident qui rêve de piller les immenses richesses naturelles russes.

Malheureusement, plusieurs tentatives menées au nom de l’OTAN sous le commandement des Etats-Unis d’Amérique, capitaine de l’impérialisme mondial, depuis le déclenchement de l’opération spéciale russe en 2022, ont lamentablement échoué sur tous les plans, militaire, politique et économique entre autres.

Victime de plus de 15 000 sanctions illégales et anarchiques, la Fédération de Russie s’en est bien sortie. Le dernier Sommet des BRICS de Kazan a démontré à l’opinion internationale que la Russie demeure une grande puissance mondiale et le Président Vladimir Poutine n’est plus isolé du reste de la planète.

L’internationalisation du conflit russo-ukrainien tant recherchée en embarquant quelques pays membres de l’OTAN dès son début et en débitant des tonnes de mensonges sur la prétendue présence des éléments de l’armée nord-coréenne aux côtés des forces russes, constituait déjà le point du déclenchement de la redoutée Troisième Guerre Mondiale. Cette internationalisation larvée a été soutenue par une grande campagne de désinformation et d’intoxication de l’opinion américaine et européenne à travers les médias occidentaux aux ordres, non-respectueux du droit à l’information et des règles déontologiques journalistiques.

L’Union des Démocrates Socialistes, UDS, condamne, avec la dernière énergie, la décision insensée et irréfléchie du Président américain Joe Biden qui constitue une preuve éloquente de la folie meurtrière de provoquer un conflit mondial de grande intensité qui n’épargnera personne, y compris les innocents citoyens américains. Car, rien ne prédit la victoire américaine et de ses alliés coalisés dans la mesure où les Américains qui raffolent l’intimidation, semblent ignorer, par orgueil, des avancées technologiques spectaculaires et indéniables réalisées par plusieurs pays dans le domaine militaire.

L’UDS invite enfin à la retenue, la future administration Trump qui devrait stopper cette folie meurtrière maladroitement exprimée par le sénile Président Joe Biden. Le monde d’avant 1945 a complètement changé et est en train de changer avec l’avènement d’un nouvel ordre multipolaire fondé sur la défense de la souveraineté et la lutte contre l’impérialisme.

Fait à Kinshasa, le 19 Novembre 2024.

LE PRÉSIDENT NATIONAL DE L'UDS,

Crispin KABASELE TSHIMANGA BABANYA KABUDI

Sénateur honoraire

 

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Opposants arrêtés puis relaxés, Kinshasa : la Police étouffe la marche de l’opposition contre le changement de la Constitution !

Au cours d’une manifestation organisée par la plateforme Sursaut National pour protester contre le changement de la Constitution, Delly Sesanga, Président du parti Envol et Bernadette Tokwaulu Aena, figure montante de l’opposition, ont été interpellés puis relaxés une heure après par la Police ce jeudi 14 novembre 2024. Les agents de l’ordre avaient procédé à leur interpellation pendant que ces derniers mobilisaient leurs partisans dans la commune de Kalamu, non loin du Rond-point Victoire.

Cette  manifestation, qui avait pour slogan ‘’ne touche pas à ma Constitution’’, visait à exprimer le refus de l’opposition face aux intentions présumées du régime actuel de changer la constitution. Alors que le cortège avançait, une confrontation tendue a éclaté entre les manifestants et les policiers. Ces derniers ont tenté de disperser la foule, mais sans succès, face à la détermination des militants à poursuivre leur marche sans crainte. C’est ainsi que les policiers sont passés à une intervention musclée, en appréhendant les récalcitrants.

Aussitôt relayée, la nouvelle sur l’interpellation de ces acteurs politiques a provoqué une vague des réactions. Le premier à monter au créneau est Moïse Katumbi, leader d’Ensemble pour la République, qui l’a qualifiée de persécution contre les opposants.

Martin Fayulu a, quant à lui, condamné la brutalité par laquelle ses compères ont été cueillis par les agents de l’ordre.

‘’Non au changement de la Constitution’’

Le Sursaut National est une plateforme de l’opposition, composée notamment par Ados Ndombasi, réunit en son sein des acteurs politiques non favorables au Changement de la Constitution, telle que prôné par la famille politique du Chef de l’Etat. Selon plusieurs voix de l’opposition et des acteurs sociaux, cette initiative vise à permettre au Président Félix Tshisekedi de prolonger son mandat au-delà des limites actuelles édictées par la Loi fondamentale.

Delly Sesanga, l’un des voix les plus critiques de ce projet de réforme constitutionnelle, voit son arrestation comme un nouveau signe de la montée des tensions politiques dans le pays. Cette interpellation a alimenté les accusations de dérive autoritaire lancées contre le pouvoir en place.

Chimea Samy

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Regroupés au sein des FPAU : Les alliés de l'UDPS collectent des signatures pour la révision de la constitution

Dans une déclaration du mardi 5 novembre dernier, les Forces politiques et alliées de l'UDPS/Tshisekedi, ont lancé une pétition le changement ou la révision de la constitution. A en croire le coordonnateur de cette structure, Elysé Bokumwana, cette démarche s'inscrit dans le but d’aboutir à une constitution révisée qui s’adapte au quotidien des congolais et rend les institutions politiques plus stables et fortes.

Le train de vie de l’État dont la réduction effective nécessite entre autres la suppression de certaines institutions budgétivores dont le rôle ne s’est pas avéré indispensable au bon fonctionnement de l’État, à savoir le Sénat, les organes délibérants des provinces et des entités territoriales décentralisées, le Conseil Économique et Social, certaines Institutions d’appui à la démocratie comme la CENI, CSAC et tant d’autres dont il est temps d’examiner l’efficacité dans le fonctionnement de la République.

Les FPAU se disent déterminées à porter le combat de la révision constitutionnelle pour le bien-être de la population congolaise. Dans son rôle du 1er regroupement historique allié de l'UDPS, il lance solennellement cette collecte des signatures à travers tout le territoire national.

Pour Elysé Bokumwana qui s’appuie sur l'article 218 de la constitution : « … la souveraineté nationale appartient au peuple. Tout pouvoir émane du peuple qui l'exerce directement par voie de référendum ou d'élections et indirectement par ses représentants… »

C’est l’occasion pour ces forces politiques d’appeler l'ensemble des populations congolaises à les rejoindre dans cette dynamique qui consiste à doter la RDC d’une constitution qui répond à ses réalités sociétales.

Après avis et considérations, les FRAU déclarent ce qui suit :

1. Rappelons que l’actuelle Constitution post-rébellion a déjà été modifiée et taillée sur mesure par la loi n°11/002 du 20 janvier 2011 passée de manière cavalière au Parlement, en vue de restreindre davantage le mode d’accession à la magistrature suprême et de donner un coup de maître au régionalisme politique tel qu’instauré initialement ;

2. Il va sans dire que le débat actuel relatif à sa révision et/ou à son changement ne peut aucunement être considéré comme tabou ou encore moins, susciter les réactions hostiles de la part de certains politiciens ;

3. Il convient de rappeler que certaines de ses dispositions méritent bel et bien d’être revisitées afin non seulement de les adapter aux aspirations du peuple congolais, mais aussi rendre le fonctionnement de l’État plus souple et compétitif.

La Pros.

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Elections législatives et provinciales à Masi-Manimba, RDC : la CENI appelle la population à une participation massive 

La Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) intensifie ses efforts de sensibilisation en vue des élections législatives et provinciales, prévues pour le 15 décembre 2024. Jean-Baptiste Itipo, Directeur de la Communication de la CENI, accompagné de Georgine Vandame Ikwampofia, Secrétaire Exécutif Provincial (SEP) du Kwilu, a pris l’initiative de rencontrer la population lors d’un marché animé à Mosango, situé à environ quarante kilomètres de Masi-Manimba.

Lors de cette rencontre, la délégation a eu l’opportunité de dialoguer avec les commerçants et les clients présents, notamment ceux venus de Kinshasa, Kikwit, Lufu et des environs. L’engouement palpable au marché a été un cadre idéal pour rappeler l’importance de la participation citoyenne dans le processus électoral.

Reprogrammation des scrutins

La Centrale électorale a rappelé que la reprise des élections a été reprogrammée suite à des fraudes et violences ayant entaché les précédents scrutins dans les circonscriptions de Masi-Manimba et Yakoma. Ce nouveau scrutin permettra aux citoyens de ces zones de choisir leurs députés nationaux et provinciaux, un droit fondamental pour renforcer la démocratie.

Par ailleurs, Jean-Baptiste Itipo a souligné la nécessité pour chaque électeur de posséder une carte d’électeur valide. Il a encouragé ceux qui avaient égaré leur document à se rendre à l’antenne de la CENI ou dans leur secteur d’enrôlement pour obtenir un duplicata. De plus, il a exhorté la population à vérifier les listes électorales affichées dans les différents centres de vote afin de s’assurer que leur nom y figure.

Enfin, la CENI a annoncé le recrutement de techniciens informatiques pour les centres de vote (TICV), visant à intégrer des jeunes maîtrisant les outils numériques. La clôture de réception des candidatures est fixée au 6 novembre, une occasion à ne pas manquer pour les jeunes intéressés par cette initiative.

La sensibilisation menée par la CENI à Masi-Manimba marque une étape cruciale dans le processus électoral, en mobilisant la population autour de ses droits civiques et en préparant le terrain pour des élections transparentes et inclusives.

La Pros.

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Seth Kikuni : ouverture du procès aujourd’hui au CPRK !


Plus d’un mois depuis que Seth Kikuni, opposant congolais et le plus jeune candidat à l’élection présidentielle de 2018 est en détention. Il a été arrêté le 2 septembre 2024 par des agents de l’Agence Nationale de Renseignements (ANR) suite à des accusations portées contre lui notamment, la propagation de faux bruits et l’incitation à la désobéissance civile. Après 12 jours de détention, sa femme, désespérée, va lancer un cri de détresse dans une interview qu’elle a accordée à ACTUALITE.CD, où elle a exprimé sa vive inquiétude quant à la disparition de son mari. Malgré ce cri de détresse, aucune solution n’a été trouvée.
Victime d’un malaise, a signalé son porte-parole depuis le Centre Pénitentiaire et de Rééducation de Kinshasa (CPRK) où il a été détenu provisoirement avant l’ouverture de son procès prévu aujourd’hui mercredi 23 octobre 2024 au CPRK sauf report compte tenu de son état de santé actuel.
Il sied de rappeler que ce dernier a subi une intervention chirurgicale quelques jours avant son arrestation par des Agents de l’ANR.
Cet opposant avait déposé en 2023, une requête devant la Cour constitutionnelle pour invalider la candidature du Président sortant, Félix Antoine Tshisekedi. Sa requête a été déclarée irrecevable. Kikuni est alors allé s’engager à soutenir la candidature de Moïse Katumbi Chapwe.
Cette audience est attendue chaleureusement par la population congolaise en vue d’être éclairée sur un certain nombre des choses lui échappant et surtout que son arrestation avait suscité d’autres spéculations plus sensibles en dépit de la raison évoquée tantôt, des spéculations visant la personne du Chef de l’Etat.
Comme dit plus haut, l’audience sur son procès demeure fixée aujourd’hui mercredi 23 octobre 2024.
Beni Butu

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