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"Franck Ngyke Kangundu, le journaliste qui a lourdement payé le prix de la liberté de la Presse"

Franck Ngyke Kangundu, né le 28 juin 1953 à Kinzambi, dans l'ancienne province de Bandundu, en République démocratique du Congo, était un journaliste passionné et dévoué. Chef de rubrique politique au sein du Groupe de presse LA RÉFÉRENCE Plus, il a consacré sa vie à informer et à sensibiliser le public sur des questions politiques cruciales de son pays.
Malheureusement, le destin tragique de Franck Ngyke Kangundu a basculé dans la nuit du 2 au 3 novembre 2005. Il a été assassiné en présence de ses cinq enfants, Djoudjou, Francine, Grâce, Olive et Landrine. Franck a reçu une balle mortelle à la poitrine, tandis que sa femme Hélène MPAKA avait été tuée en recevant trois balles au niveau de l'abdomen.
Cet acte odieux a privé la société congolaise d'un talentueux journaliste et a laissé une cicatrice profonde dans le cœur de sa famille.
Aujourd'hui, la troisième fille de Franck Ngyke Kangundu, Grâce Israëlla Kangundu, poursuit le combat de ses parents en tant que journaliste et militante des droits de la femme et de la jeune fille.
Elle se bat pour que ses parents soient reconnus par le gouvernement congolais au rang des Martyrs de la liberté de la Presse.
Grâce est également membre actif du groupe de plaidoyer "Justice Pour Franck Ngyke Kangundu", qui milite pour la construction d'une stèle commémorative dédiée à la liberté de la Presse. Cette stèle sera érigée sur une place symbolique où seront immortalisés les noms de tous les journalistes assassinés pendant l'exercice de leur métier.
Le travail et l'héritage de Franck Ngyke Kangundu continuent de briller à travers la détermination de sa fille Grâce et de tous ceux qui se battent pour la liberté de la presse en République démocratique du Congo.
En honorant sa mémoire, nous rappelons l'importance cruciale du journalisme indépendant et de la défense des droits fondamentaux dans une société démocratique.
Grâce Ngyke Kangundu

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Le phénomène fille-mère dans la commune de Ngaliema : A Mbinza Delvaux au quartier Lalou : nécessité d’encadrer ces filles sans ressources


Etre mère est une grande responsabilité qui demande beaucoup de maturité, de maîtrise de soi et beaucoup de moyens pour s’assumer. Mais tous ces critères paraissent pas importants pour les jeunes filles de Lalou.
Un enfant est un être sacré c’est pourquoi il est souvent demander de planifier avant d’envisager avoir un enfant. Aujourd’hui être mère n’est plus pris au sérieux pour certaine fille. Les jeunes filles aujourd’hui acceptent de devenir mère en sachant qu’elles ne sauront pas assurer la survie de leurs enfants. Conséquence : le taux élevé des enfants de la rue dans la ville de Kinshasa.
Les jeunes filles se lancent dans des relations amoureuses peu rassurantes et sans avenir. Dès qu’elles tombent sur des garçons qui leur donnent 5000 ou 10000 franc congolais par jour elles pensent automatiquement trouver l’homme idéal et n’hésitent plus à se donner entièrement à ces hommes. Et pourtant, la plupart de ces hommes sont des motards, des taximan. Pour les filles de Lalou ce qui fait qu’on trouve des filles de 15-20 ans ou encore 20-25 ans devenir des mères chez les parents.
Pour la plupart des cas de ces filles élèvent seules leurs enfants parce que, très souvent, ces garçons prennent la fuite ou refusent de prendre leur responsabilité de père, et l’éducation de l’enfant et surtout sa vie est mise en danger .Pendant ce temps il y’a des couples responsables mariés pendant des années qui n’arrivent pas à concevoir.
Les jeunes filles doivent prendre conscience, savoir assumer les conséquences de leurs actes, faire preuve de maturité, d’intelligence, de sagesse et surtout se valoriser.
Lesline Kapinga

Le phénomène fille-mère dans la commune de Ngaliema : A Mbinza Delvaux au quartier Lalou : nécessité d’encadrer ces filles sans ressources
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Trois cas déjà confirmés à Kinshasa : Monkeypox : le Dr Robert Shongo appelle la population à ne pas paniquer et à respecter scrupuleusement les mesures barrières



Trois cas des personnes atteintes de Monkeypox sont signalés à Kinshasa. Le Docteur Robert Shongo, responsable du Programme de lutte contre le Monkeypox et les fièvres hémorragiques virales en RDC, l’a confirmé au cours du point presse tenu vendredi dernier à l’Institut national de recherches biomédicales (INRB) à Kinshasa-Gombe. Le médecin a appelé la population kinoise, et tous les congolais en particulier, à ne pas céder à la panique, contrairement à tout ce qui se raconte mais, plutôt, à observer, comme il se doit, les mesures sanitaires recommandées.
Dr Shongo a, en outre, rassuré que la prise en charge de cette maladie est effective et inconditionnée par tous. Sinon, cette maladie autrefois appelée ‘’variole du singe’’ est transmise principalement par le contact direct : avec l’animal malade, avec la personne malade. Une femme enceinte malade de Monkeypox peut transmettre le virus au fœtus, a expliqué le médecin, qui détaillait les circonstances de contamination de la maladie.
Comment reconnaitre en cas de contamination ?
Plusieurs signes peuvent indiquer l’infection de ce virus. Chez les humains, cela se manifeste par une forte fièvre d’apparition brutale, des éruptions cutanées, des lésions remplies de liquide ou de plies qui finissent par se dessécher et former des croûtes au niveau des paumes de mains et des plantes de pied, qui peuvent même se généraliser sur tout le corps.
Comment éviter ?
Pour éviter toute infection de la maladie, le médecin a conseillé de : « se laver régulièrement et correctement les mains à l’eau propre et au savon, ou à la cendre ; éviter tout contact non protégé avec des animaux malades ou morts ; éviter tout contact physique et sexuel avec une personne qui présente les signes de Monkeypox ou tout autre excrétion ou liquide provenant des personnes malades (sang, urines, salive, selles, vomissures, sueur, spermes...) ; éviter la manipulation et la consommation de la viande d’un animal malade ou mort naturellement ; bien cuire la viande avant de la consommer ; éviter de manipuler les cadavres des personnes mortes suspectes de Mpox mais les enterrer de manière digne et sécurisée ; éviter d’abattre et de vendre les animaux malades ou suspects », a-t-il recommandé, comme mesures préventives.
Le médecin a par ailleurs accentué que les personnes à haut risque d’être contaminées par ce virus sont celles qui entrent en contact direct avec les animaux comme les chasseurs, les fermiers, les éleveurs, les vendeurs ou batteurs des animaux, les cuisiniers etc.
Que faire ?
En effet, les spécialistes en la matière suggèrent de se rendre immédiatement au centre de santé le plus proche soit appeler gratuitement le service call center 42502, lorsqu’une personne présente des signes énumérés. Ce, en vue de lutter efficacement contre cette maladie. Pour les animaux, il est recommandé d’appeler un vétérinaire le plus proche.
Fidel Songo

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Après sa sortie officielle : Kinshasa : la 2ème conférence de ‘‘L’Académie du bon sens’’ confirmée pour le 17 octobre prochain


Le sénateur, écrivain et Président du Conseil d’administration du CADICEC, Didier Mumengi, a annoncé vendredi 25 août 2023, à la salle Père Boka du CEPAS, la tenue de la deuxième conférence de ‘‘L’Académique du bon sens’’ pour le 17 octobre 2023. C’était à l’occasion de la sortie officielle de l’Académie du bon sens.
L’Académie du bon sens, est une école d’initiation pratique à la citoyenneté agile et éthique, au service de l’intelligence sociétale congolaise.
«Nous allons commencer le 17 octobre 2023, avec ces questions majeures, ces questions fondamentales : Qui sommes-nous ? Pourquoi nous nous appelons ‘’bantou’’ ? Ils viennent d’où ces bantous ? Quel était notre premier ancêtre, de qui nous tenons ce nom bantou ? Comment faire la démonstration que la traite négrière et la colonisation sont les incidents de l’histoire qui ont quelque part vidé le sens humain de l’homme congolais et que maintenant nous devons prendre la résolution de la restaurer, de la réhabilité. Parce que, le 30 juin 1960, nous ne sommes pas donné l’importunité de nous arrêter et de purger tout ce que la traite négrière et de la colonisation ont placé dans nos profondeurs, ont paralysé nos virtualités créatrices », fait savoir Didier Mumengi.
Pour lui, chaque séance formative ou sensibilisatrice de l’académie du bon sens, requiert une inscription préalable et se saisit d’une problématique sociétale précise pour expérimenter d’abord, une technique ad hoc de résolution pratique et holistique de tous les problèmes du secteur et ensuite, les principes d’éthique ainsi que les règles de déontologie y relatifs. Selon lui, l’académie du bon sens va tenir des séances sur les moustiques et la malaria qui deviennent des maladies endémiques dont la solution n’est peut être pas d’acheter des insecticides et des moustiquaires, mais de proposer des actions simples. «Les moustiques sont des témoins de la saleté qui nous environnent, les moustiques nous disent en nous piquant, attention vous êtes sales, votre rue est sale. D’où, il est important de trouver une solution », fait-il noter.
Il sied de rappeler que, l’académie du bon sens en un mot, se donne pour ambition de promouvoir le retour à une meilleure normalité et de travailler à l’essor d’une réelle intelligente décisionnelle collective, au travers ses axes d’actions : sensibiliser, initier et former les jeunes-acteurs de demain, mais aussi les acteurs publics d’aujourd’hui à un agir éthique, civique et patriotique dans toutes les situations ; proposer des formations pratiques en intelligence décisionnelle pour améliorer la capacité de résolution de problèmes des acteurs publics : transformer les volontés citoyennes, les mandats et les engagements publics ainsi que toute responsabilité d’Etat en dynamiques décisionnelles précises, rapides, réalisables et chaque fois salutaires ; exhorter et aider les partis ou regroupements politiques à se doter impérativement d’un code de militantisme cognitif, scientifique et civique ainsi que d’un guide de conduite citoyenne vertueuse des militants ; sensibiliser les administrations publiques - de la rue au sommet de l’Etat, les entreprises privées et les organisations associatives à la nécessité de se prémunir d’une charte de comportement agile et éthique au travail et sensibiliser l’Etat et l’aide à soumettre le monde du travail public, privé et associatif à l’impératif de la responsabilité des organisations.
Hénoc Akano

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Des œuvres d’art ‘‘médicamenteuses’’, pour guérir la planète

*Revaloriser les médicaments périmés, c’est possible ! Surtout quand l’écologie s’en mêle. Christine Warrand l’a fait, en créant des œuvres d’art ‘‘médicamenteuses’’. A travers une exposition qui s’est tenue à l’hôpital du Valdor, à Liège (Belgique), du 26 mai au 25 août, cette artiste liégeoise a inspiré le public.
Familière avec les médicaments auxquels les circonstances de la vie l’ont exposée, Christine Warrand s’en révolte. Sans tension, mais non sans passion : une passion qui met l’art au service de la préservation de l’environnement. Christine fait usage des médicaments périmés pour créer des peintures originales.
L’art au service de l’environnement
Dans cet environnement ‘‘hospitalier’’ du Valdor, des patients de l’hôpital ont retrouvé le sourire. Et les œuvres exposées permettent surtout réfléchir quant à l’impact des médicaments sur l’environnement. En effet, selon une étude internationale dirigée par l’Université d’York au Royaume-Uni (2022), les résidus des médicaments sont des facteurs de pollution à plusieurs niveaux.
Des visiteurs et plusieurs curieux ont été très contents d'avoir ce genre d'exposition qui leur rappelle la nécessité de ‘‘récupérer pour upcycler’’. Certains n’hésitent pas de s’acheter une œuvre d’art qui leur plaît. Les fonds récoltés seront affectés à Fonds de la Recherche Scientifique à travers Télévie.
Et ensuite
Quand l’art et l’environnement se rencontrent, une créativité sans frontière s’en dégage. Une autre exposition est en vue très prochainement, cette fois-ci à Bruxelles. Une occasion pour poursuivre la réflexion en vue d’une prise de conscience face à ces pilules qui risquent de rendre malade notre planète, en polluant notamment nos rivières.
Prosper Mbumba
Journaliste indépendant (en séjour à Liège)

Des œuvres d’art ‘‘médicamenteuses’’, pour guérir la planète
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Directeur de Cabinet du Ministre d’Etat aux ITP: Chrysostome Ila Ngongo s'imprègne de l'évolution des travaux de lutte antiérosive au Sankuru


La création de Lumumba-Ville et son aménagement tiendront compte de plusieurs paramètres. En l'occurrence, le développement de la voirie de la Province du Sankuru et surtout de la connectivité entre les centres importants de ladite province et la Route Nationale Numéro 1. C'est dans cette optique qu'il convient d'inscrire la visite effectuée par Monsieur Ila Ngongo, Directeur de Cabinet du Ministre d’Etat aux Infrastructures et Travaux Publics sur le site érosif de Jacod, dans la ville de Lodja.
Ensemble avec quelques membres de sa délégation notamment, le Directeur Général du Bureau d'Etudes d'Aménagement et d'Urbanisme (BEAU), le Secrétaire Général aux ITP ainsi que les experts de l'Office des Voiries et Drainages et de l'Office des Routes ont fait le tour de ce site qui continue à causer d'énormes dégâts à Lodja depuis 2012. Trouvé sur place, le Directeur technique de l'entreprise AIRIS AFRICA qui exécute les travaux sous un contrat depuis 2022, plusieurs actions sont en train d'être menées dans le but de faire arrêter l'évolution de cette érosion qui a 5 têtes.
«Nous avons construit deux collecteurs d'eaux sur les avenues des Méthodistes et celle de l'Office des Routes. Les ramblées effectuées ont permis de constituer un mur de soutènement », a déclaré l'Ingénieur Tarcisse Pengadiowo. Ainsi, commencé en octobre 2022 pour une durée 14 mois, le contrat conclut pour la réalisation de ces travaux avec le gouvernement Provincial du Sankuru, devrait prendre fin dans 5 mois.
A l'issue de cette visite d'inspection de ces travaux de lutte antiérosive en cours d'exécution à Lodja, Ila Ngongo a estimé qu'il faut faire avancer les choses rapidement eu égard au projet lié à Lumumba-Ville.
Ainsi, il a instruit les experts des structures présentes de tenir une réunion technique avec l'entreprise contractante. Après échanges entre les deux parties, il a été retenu que les études détaillées complémentaires soient effectuées en vue d'une solution durable. Ces études doivent tenir compte du bassin versant qui déverse les eaux dans l'érosion.
Le périple de cette forte délégation du Ministère des Infrastructures et Travaux Publics se poursuit. Prochaine étape le village natal du tout premier premier Ministre de la RDC afin d'appréhender les aménagements pour la construction de Lumumba-Ville et d'en apprécier les défis de la connectivité entre les centres importants de la province du Sankuru et la RN1.
La Pros.

Directeur de Cabinet du Ministre d’Etat aux ITP: Chrysostome Ila Ngongo s'imprègne de l'évolution des travaux de lutte antiérosive au Sankuru
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Cap sur de nouveaux horizons: Chine-Afrique: Xi Jinping annonce des signaux forts !


Le président de la République populaire de Chine, Xi Jinping, a conjointement présidé, avec son homologue Cyrille Ramaphosa, président d'Afrique du Sud, jeudi dernier, à Johannesburg, le «Dialogue des dirigeants chinois et africains». Il était question de faire le point, au cours de cette rencontre de haute portée diplomatique, sur les relations, vieilles de plusieurs décennies, qui lient la Chine à l'Afrique. Dans son mot, le Président XI Jinping a dressé un tableau reluisant des efforts inlassables que son pays ne cesse d'accomplir, depuis son avènement au pouvoir, pour booster le développement du continent. Il a indiqué que les relations sino-africaines ont atteint, en dix années, soit de 2013 à ce jour, « de nouvelles hauteurs et la nouvelle phase de la construction conjointe d’une communauté d’avenir partagé ».
L'occasion était propice pour Xi Jinping de réaffirmer toute sa détermination et son engagement à soutenir l'intégration des pays africains et à appuyer, sans cesse, tous les efforts visant le bien-être des peuples. Le premier citoyen chinois a eu des mots justes, toujours dans son allocution, pour attirer l'attention des Chefs d'État africains sur l'impérieuse nécessité d'oeuvrer en faveur de la préservation d'un environnement mondial de paix et de sécurité; la mise en place d'une économie mondiale ouverte et inclusive; l'avènement d'un ordre international juste et équitable dans un élan de solidarité et de préservation des intérêts vitaux communs.
A la lumière de ses allégations, la Chine va, dans la même dynamique, lancer trois initiatives à impact visible, dans les tout prochains jours. Il s'agit du Plan de coopération sino-africaine pour le développement des talents, le Programme d'assistance à la modernisation de l'agriculture en Afrique et un vaste programme de soutien à l'industrialisation de différents pays africains.
« Il y a de multiples voies qui mènent à la modernisation. Les peuples africains sont les mieux placés pour dire quelle voie de développement est la plus adaptée à l’Afrique. La promotion de l’intégration est la voie de modernisation librement choisie par les pays et les peuples africains. La Chine a toujours fermement soutenu le continent et souhaite l’accompagner sur la voie vers sa modernisation. Depuis des années, la Chine a aidé l’Afrique à construire de nombreuses infrastructures d’interconnexion et développé de larges coopérations avec l’UA et les organisations sous-régionales, avec la construction des projets panafricains emblématiques comme le Centre de Conférence de l’UA et le siège du CDC africain.
A l’avenir, la Chine travaillera avec l’Afrique au renforcement de l’articulation de leurs stratégies de développement. La Chine, s’appuyant sur la coopération dans le cadre de l’Initiative « la Ceinture et la Route » et le Forum sur la Coopération sino-africaine (FCSA) et en synergie avec l’Agenda 2063 de l’UA, renforcera le dialogue et la communication avec l’Afrique aux différents échelons et soutiendra les institutions d’intégration africaines comme le Secrétariat de la ZLECAf, le système de paiement et de règlement panafricain et l’Union africaine de Radiodiffusion dans l’établissement de mécanismes de coopération avec la Chine.
La Chine continuera de soutenir les efforts de l’Afrique visant à parler d’une seule voix dans les affaires internationales et à rehausser sa place internationale. La Chine travaillera activement au Sommet du G20 du mois prochain à ce que l’UA devienne membre à part entière du G20 », a déclaré, de vive voix, le Président XI Jinping.
Il a poursuivi par l'annonce de la tenue, en 2024, en Chine, de la prochaine conférence du FCSA. Pour lui, cette rencontre offrira le cadre aux dirigeants chinois et africains pour envisager le futur, l'Afrique étant une terre d'espoir en ce 21è siècle.
« Nous attendons tous beaucoup de ce rendez-vous important. Je suis convaincu que la Chine et l’Afrique feront rayonner davantage leur amitié traditionnelle, approfondiront leur solidarité et coopération, et favoriseront un développement vigoureux de leur coopération dans différents domaines. L’engagement commun de la Chine et de l’Afrique à promouvoir la modernisation permettra certainement de créer un avenir plus radieux pour les peuples chinois et africains et de donner l’exemple dans la construction de la communauté d’avenir partagé pour l’humanité », a rassuré M. Xi Jinping.
Gloire Mfemfere

Cap sur de nouveaux horizons: Chine-Afrique: Xi Jinping annonce des signaux forts !
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Ils ont fait la fierté de notre pays à l’échelle mondiale


M. Didier Ilunga Mbenga, Basketteur d’origine congolaise et ex-champion de NBA, désigné comme notre Ambassadeur des IXès Jeux de la Francophonie, ainsi que Mme Mwadi Mabika, également ex-basketteuse de NBA, ont été gratifiés des passeports diplomatiques congolais pour avoir porté bien haut le drapeau de la RDC à l’échelle mondiale.
CONGRATULATIONS !!!
IKN

Ils ont fait la fierté de notre pays à l’échelle mondiale
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Gestion axée sur les résultats : management par objectifs


La Gestion Axée sur les Résultats (GAR) ou encore Results Based Management (RBM) est une approche de gestion focalisée sur la performance et l’obtention de résultats.
Il s’agit de prendre une direction en fonction d’objectifs initiaux pré-établis, puis de suivre ces objectifs à travers l’analyse des écarts entre le prévisionnel et ce qui est effectivement accompli.
La GAR intègre :
* les stratégies ;
* les personnes ;
* les ressources ;
* les processus et les outils de mesure pour améliorer la prise de décisions ;
* la transparence ;
* la reddition de comptes.
Ce système de gestion met l’accent sur :
* l’atteinte de résultats ;
* la mise en œuvre de mesures du rendement ;
* l’apprentissage ;
* l’adaptation ;
* la production de rapports sur le rendement et les résultats obtenus.
OBJECTIFS DE LA GESTION AXÉE SUR LES RÉSULTATS :
* Identifier et gérer les risques tout en veillant sur les résultats escomptés et les ressources nécessaires ;
* Accroître les connaissances en tirant des leçons et les intégrer dans les décisions ;
* Rapports sur les résultats obtenus et les ressources consommées.
C’est ça le secret de la réussite.
IKN

Gestion axée sur les résultats : management par objectifs
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Avec l’appui de Laurent Batumona : MSC/Katako-Kombe : William Ongonya fait couler l’eau au robinet et apporte des solutions innovantes qui sauvent des vies

 

Grâce aux efforts du Président fédéral du Mouvement de Solidarité pour le Changement (MSC), William Ongonyu Omende et avec l’appui de son Autorité Morale, Laurent Batumona, la population de Katako-Kombe accède à l’eau potable de la Régideso. Après près de 63 ans, l’eau coule au robinet à Katako-Kombe. Un exploit inimaginable. Pas moins de 15. 000 personnes bénéficient directement de cette eau potable. Parmi elles, des femmes dont les corvées d’eau quotidiennes lourdes et éprouvantes sont considérablement allégées. Témoins de l’évènement, le Secrétaire Général de la Régideso, Otshumbe Loka Onema. Il a confirmé la démarche effectuée, contre vents et marrées, par William Ongonyu Omende, cadre du MSC et candidat à la députation nationale dans la circonscription électorale de Katako-Kombe. Otshumbe Loka a apprécié le souci de William Ongonyu de développer chez lui car, plusieurs années avant on n’a pas vu une telle initiative se réaliser. ‘’Aucun politique par le passé n’a mené des démarches pour l’adduction de l’eau potable à Katako-Kombe comme le parti politique de Laurent Batumona, président du Mouvement de Solidarité pour le Changement (MSC)’’.
C’est sous la férule du président fédéral du MSC de Katako kombe, William Omende, que l’eau de la Régideso coule au robinet à Katako-Kombe. La Régideso et ses partenaires ont décidé de soutenir la demande de William pour la réalisation de cet exploit. Un autre témoin de l’évènement, c’est la population. Très heureuse, elle a scandé des chansons pour soutenir les actions du MSC à travers leur fils William Ongonyu Omende qui a manifesté le souci de traduire en acte le programme social du Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, dans le territoire de Katako-Kombe. Dans son appel, William appelle la population à la vigilance pour ne pas vendre Katako-Kombe à cause de polos et tout geste séducteur plutôt à lui faire confiance pour les autres actions qu’il compte réaliser pour la population.
En effet, Katako-Kombe n’a jamais vu une seule goutte d’eau potable de la Regideso avant et après indépendance. C’est grâce à un digne fils du terroir qui a pensé offrir de l’eau à cette population.
C’est suite à ses multiples démarches qu’il a menées, jour et nuit, pour soutenir le programme d’action du Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, qu’il est parvenu à mettre en marche son projet avalisé par la Régideso. C’est au début de l’année 2023, lors de sa visite dans son village, qu’il a retrouvé près de 20 ans après, que William Omende a trouvé nécessaire de soutenir sa population. ‘’63 ans après l’indépendance, Katako-Kombe n’a jamais connu un début de développement sur tous les plans’’, dit-il avant d’ajouter : ‘’Je n’ai pas hésité un seul instant de faire la différence par le fait que beaucoup de députés, ministres, sénateurs, gouverneurs et des hommes du coin n’ont jamais pensés à réaliser des structures de développement pour la population alors qu’ils se sont enrichis sur les dos de cette population’’. C’est pour cette raison, a-t-il renchérit, que je préfère être un interlocuteur de cette population au Parlement afin qu’il y ait un développement dans les secteurs des églises, des Associations, des agriculteurs et du commerce à Katako-Kombe.
Pour cela, il continue des démarches auprès des investisseurs dans le domaine de l’aviation civile, de fabrication du savon, de sel de table, des hôpitaux et électricité. Pour lier l’utile à l’agréable, les matériels pour l’usine de savonnerie sont déjà à Katako-Kombe en plus des matériels de la société d’aviation qui sont attendues fin décembre 2023.
William Ongonyu garde encore d’autres projets. Il s’agit d’une agence de transfert d’argent afin de faciliter les transactions d’une part, et de l’autre, faciliter le paiement des fonctionnaires qui font plus de 150 Km de Katako-Kombe à Lodja pour aller toucher le salaire.
Pour soutenir les écoles, William Ongonyu est en voie d’offrir à l’Epsp des bancs pour les élèves.
Heureux, les habitants de Katako-Kombe remercient vivement le Mouvement de Solidarité pour le Changement de l’honorable Laurent Batumona et rappellent à quel point il leur était difficile de s’approvisionner en eau potable. «Avant, on partait jusqu'à la source pour chercher de l'eau potable et puisse que nous nous retrouvions avec d'autres femmes qui venaient de plusieurs autres quartiers, il fallait attendre souvent plusieurs heures juste pour remplir un bidon », nous explique une ménagère de Katako-Kombe. Pour la jeune femme Emilie Onyumbe, cela posait de nombreux problèmes notamment, pour la régularité des enfants à l’école : «Le temps qu'ils perdaient en allant chercher de l'eau les amenait à arriver le plus souvent en retard. Pour cela, on avait malheureusement aucune solution puisse qu’on avait pas d'autres moyens». Aujourd’hui, se réjouit-elle : « Dieu merci ! Avec ces points d'eau de proximité, cela leur prendra désormais quelques minutes. Merci à William Ongonyu Omende de nous avoir sortie cette épine du pied ».
‘‘L’objectif de notre vision au MSC est de contribuer à l’amélioration durable des conditions de vie et socio-sanitaires des populations urbaines et rurales, à travers un accès renforcé à des besoins vitales. Nous avons la vision d’un monde où tout le monde a accès à de l’eau potable. Un monde où tout le monde bénéficie de conditions d’hygiène et d’assainissement décentes. Un monde où la vie de personnes n’est menacée par des maladies mortelles transmises par l’eau. Avec la vision du MSC, nous continuerons à innover pour parvenir à un monde plus juste et sans pauvreté’’, a déclaré William Ongonyu.
La Pros.

Avec l’appui de Laurent Batumona : MSC/Katako-Kombe : William Ongonya fait couler l’eau au robinet et apporte des solutions innovantes qui sauvent des vies
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