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Coopération entre formations politiques de l'International Socialiste : L’UDPS et l’ANC de Nelson Mandela participent à un séminaire d’échanges d’expériences politiques à Kinshasa

Le Congrès national africain, formation politique du héros Sud-africain Nelson Mandela et l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) décident de convoler en justes nonces. En effet, depuis quelques jours, une forte délégation des représentants de l’ANC séjourne à Kinshasa, pour passer à la phase de matérialisation de ce pacte. Ils ont été reçus par Augustin Kabuya, secrétaire général du parti au pouvoir, avec qui, ils ont longuement échangé.
Déjà, les deux formations politiques au pouvoir, respectivement l’ANC en Afrique du Sud et l’UDPS en République démocratique du Congo ont ouvert, depuis ce lundi 20 mars 2023, un atelier de trois jours dénommé ‘’école mixte UDPS-ANC’’ à Kinshasa, soit du 20 au 23 mars, dont l’objectif se révèle le partage des expériences vécues sur le plan politique.
La délégation Sud-africaine est conduite par M. David Makhura, membre du Conseil exécutif de l'ANC et Gouverneur Honoraire de la province de GAUTENG, en Afrique du Sud. Dans la délégation, se trouve aussi Mme BATHABILE DLAMINI, Membre du Conseil Exécutif de l'ANC et présidente honoraire de la ligue des femmes, mais aussi les experts des élections et campagne et le chargé des Affaires Internationales, tous membres de l'ANC.
A leur arrivée à Kinshasa, le secrétaire général de l’UDPS les a fait visiter quelques endroits mémorables de la capitale congolaise dont la place Echangeurs de Limete, à la tombe du héros national Patrice Emery Lumumba ainsi qu’au mausolée du Dr Etienne Tshisekedi Wa Mulumba, fondateur du parti au pouvoir. Augustin Kabuya a retracé à ses hôtes quelques des moments épineux qu’a passé l’UDPS durant les 37 ans de lutte dans l’opposition. « Notre histoire est vraiment complexe, explique-t-il. Nous avons connu plusieurs zones de turbulences avant d'arriver au pouvoir. Les régimes dictatoriaux qui se sont succédés avant nous, nous ont causé beaucoup de tort. Entre 2011 et 2016, nos sièges ont été régulièrement saccagés et incendiés.
Particulièrement le 19 et le 20 septembre 2016, nos militants ont été brûlés vifs ici à la permanence simplement puisqu'ils réclamaient la convocation du Corps électoral dans le délai constitutionnel, tandis que plusieurs de nos membres ont été exécutés sommairement, enterrés dans des fosses communes et mis dans des sacs pour être jetés dans les rivières. Certains ont, par ailleurs, fait l'objet de la ségrégation dans les milieux professionnels à cause de leurs origines et appartenances politiques à l'UDPS. Et, ne pouvant pas travailler dans ces conditions, la plupart d'entre eux s'étaient vus dans l'obligation de changer leurs origines pour conserver leurs jobs ou avoir des promotions (...) », a-t-il relaté.
Enfin, le numéro 1 du parti au pouvoir a conclu que « Malgré les atrocités que nous avons traversées, nous avons tout de même copié le modèle de la politique de pardon appliquée en Afrique du Sud par Nelson Mandela. Car, notre histoire tragique décrite succinctement ci-haut ne pouvait pas, en réalité, nous permettre de nous asseoir avec nos supplicier. Si donc nous devions revenir au passé, plusieurs ferons la prison ».
Fidel Songo

Coopération entre formations politiques de l'International Socialiste : L’UDPS et l’ANC de Nelson Mandela participent à un séminaire d’échanges d’expériences politiques à Kinshasa
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Union sacrée de la Nation, RDC : André-Alain Atundu prêt à offrir de loyaux services à Félix Tshisekedi

Pour contribuer à la cohésion nationale et au leadership du Président de la RDC, Félix-Tshisekedi dans la conduite de l’action du développement du pays, André-Alain Atundu Liongo, Président national du parti politique convention pour la démocratie et la république, CDR en sigle, a annoncé son adhésion à l’Union sacrée de la nation. C’était au cours d’une conférence de presse tenue dans l’enceinte du cercle de Kinshasa, le 20 mars dernier.
Devant les chevaliers de la plume et du micro, Alain Atundu a exprimé tout haut son désir de rejoindre la famille politique du Chef de l’Etat Félix-Antoine Tshisekedi, afin d’offrir ses services. « L’évolution de l’Etat détermine le comportement de l’homme politique en fonction des dispositions constitutionnelles de gouvernance et de sa perception individuelle de l’intérêt majeur et structurel des populations. Le développement du pays et l’épanouissement de nos populations établissent que leur intérêt majeur et bien compris réside dans le programme du développement pays à partir de 145 territoires. Une version économique et managériale de la décentralisation politique. Cette conviction profonde m’amené aujourd’hui à opter à œuvrer avec le Chef de l’Etat dans ce cadre et partant à intégrer la mouvance présidentielle à travers la structure qu’il a mise en place : l’Union sacrée de la Nation », a-t-il déclaré, avant toutefois de préciser que la cohésion nationale et la synergie d’action de tous les acteurs politiques s’imposent comme condition sine qua non pour la survie de l’Etat et pour que la voix de la République Démocratique du Congo soit discordance dans une belle production symphonique grâce à une coexistence plurielle et démocratique telle que reconnue par la Constitution.
A l’en croire, le développement du pays et l’épanouissement des populations sont conditionnés par la paix. Il a affirmé qu’il va œuvrer sous l’éminente direction du Chef de l’Etat, pour l’effectivité de son leadership par la conquête des territoires congolais occupés par les agresseurs.
Cet ancien cadre du PPRD a justifié sa décision par sa volonté de travailler aux côtés du Président Tshisekedi pour la cohésion nationale. « Je suis convaincu de travailler avec le Chef de l’Etat pour la Cohésion nationale et l’opinion sera bientôt fixée sur notre adhésion à un regroupement politique de l’Union sacrée », a-t-il déclaré.
Ronsard Malumalu, Elise Assumani et Sarah Tamfumu

 

Union sacrée de la Nation, RDC : André-Alain Atundu prêt à offrir de loyaux services à Félix Tshisekedi
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Sous l’encadrement de Laurent Batumona, MSC : Virginie Lifoa, femme leader de la DVL suscite l’admiration à Kimbanseke

*Le leadership de la femme est au centre de débats qui se déroulent actuellement dans le cadre de la journée internationale des femmes 2023 sur le thème : « Pour un monde digital inclusif : innovation et technologies pour l’égalité des sexes ». La Dynamique Virginie Lifoa Liembe (DVL) fait entendre sa voix inspirante aux femmes de la commune de Kimbanseke, district de la Tshangu sur le bien de l’adhésion de sa fondation au MSC. Avec sa ténacité et sa capacité de mobilisation. Elle draine derrière le Mouvement de Solidarité pour le Changement (MSC), des milliers des femmes pour soutenir la vision salutaire de son Autorité Morale, Laurent Batumona. Selon elle, l’Honorable Laurent Batumona incarne la conviction et le travail de terrain pour le social qu’il considère comme priorité des priorités. ‘’ Si la DVL a porté son dévolu sur le MSC, de l’honorable Laurent Batumona, la raison est que ce Parti politique au-delà de son idéologie place l’Homme au centre de son action ; ce Mouvement ainsi que son Président brillent dans le pragmatisme’’.
Les femmes de la Tshangu regroupées au sein de la Dynamique Virginie Lifoa se sont appropriées la vision de la Coordonnatrice de la DVL. Cette vision consiste à adhérer au Mouvement de Solidarité pour le Changement, en sigle MSC, de l’Honorable Laurent Batumona. A l’occasion de la cérémonie d’adhésion, qui coïncide avec le mois de la Femme, la Coordonnatrice de la Dynamique Virginie Lifoa avait sensibilisé les femmes de Kimbanseke et décideurs sur leurs droits et l’égalité pour un monde digital inclusif avec  l’innovation sur le changement technologique et l’éducation à l’ère du numérique pour réaliser l’autonomisation des femmes et des filles.
En Présence de l’Autorité Morale du MSC, Laurent Batumona, la Coordinatrice de la Dynamique Virginie LIFOA a expliqué que la DVL est une Fondation d’utilité publique qui a son fief à Kimbanseke, dans le District de la Tshangu. Fixant l’opinion sur sa décision d’adhérer au MSC elle explique : ‘’La signification profonde de l’adhésion de la DVL n’est autre que de le partage des valeurs qui nous lient’’. Nous avons un dénominateur commun : l’amélioration du social de nos communautés par le biais d’une approche holistique, a-t-elle souligné. Conjointement, les deux structures mèneront des actions concrètes d’utilité publique sur terrain à travers la mutualisation des forces et des intelligences. ‘’Le District de Tshangu, a-t-elle poursuivi, a toujours été relégué au second plan. Que des promesses sur promesse ce qui n’est pas le cas avec Laurent Batumona. ‘’Si la DVL a porté son dévolu sur le MSC, la raison est que ce Parti politique au-delà de son idéologie place l’Homme au centre de son action ; le MSC ainsi que son Président brillent dans le pragmatisme.
Diriger selon des principes féministes, c’est redéfinir les concepts de valeur et de succès, bâtir une communauté et nouer des relations, et, au final, remédier aux causes de la mise en place de normes sociales qui ne peuvent pas entraver le progrès des femmes et des filles.
Elle a insisté sur le besoin d’un leadership féministe transformateur pour relever les défis sans précédent que connaît la population de Kimbanseke. « Cette transformation ne sera possible que si nous changeons notre manière de prendre des décisions, de communiquer avec nos téléphones et à travers l’inclusion et la participation, notamment des femmes défavorisées et de celles qui sont souvent sans voix. » Selon elle, un leader féministe reconnaît que toutes les femmes et tous les hommes méritent, à chances égales, de poursuivre une vie qui épanouie et de mettre en place des structures visant à aider les autres, à réaliser leur potentiel et à provoquer un véritable changement », a soutenu la Coordinatrice de DVL.
Faire entendre les voix des femmes afin d’améliorer leur situation
La cérémonie d’adhésion de DVL au MSC constitue en effet pour beaucoup de femmes une opportunité d’échanger sur les questions de société et surtout d’examiner le pas franchi avec le Parti cher de l’Honorable le Mouvement de Solidarité pour le Changement dans le domaine de la promotion des femmes et autres. Il s’agit aussi d’analyser les atouts et les obstacles afin de les contourner, pour aboutir à l’émergence effective de la femme dans la commune de Kimbanseke. La cérémonie a permis également de se prononcer en particulier sur le soutien des actions du Président de la République dans le processus électoral de 2023. Pour la Coordinatrice de la DVL, Virginie Lifoa Liembe a fait un plaidoyer pour améliorer les conditions socio-économiques pour la Tshangu. Elle a attiré l’attention sur la participation des femmes congolaises au destin commun de la RDC.
Présent à la cérémonie, l’Autorité Morale du MSC Laurent Batumona a délivré un message aux femmes de la DVL. Il a insisté sur le soutien à 100% de la candidature de Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo pour lui accorder un deuxième mandat. L’Honorable Laurent Batumona a, ensuite, salué les femmes de la Tshangu pour « les actes de courage et de détermination qu’elles accomplissent au quotidien, notamment en matière de recherche de la paix, de réconciliation nationale et surtout de cohésion sociale ». Il a invité la plus haute autorité provinciale de Kinshasa à accorder davantage l’attention à l’amélioration du sort des femmes en réhabilitant les infrastructures routières, et de services tels la Regideso et la Snel. Une manière d’inviter les plus hautes autorités du pays à mettre en place des politiques favorables à l’épanouissement des femmes.
La Pros.

 

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Assemblée nationale : la FDC insiste sur l’alignement à la plénière de la loi Tshiani

La Force du changement (FDC), parti politique cher à Noël Tshiani, a battu le pavé le 17 mars dernier pour demander à l’Assemblée nationale d’aligner, pour débat et vote, la Loi Tshiani, au cours de cette session de mars 2023. Cette loi portée par le député national Nsingi Pululu, a pour but de protéger la République Démocratique du Congo contre les infiltrations au sommet de l’Etat et dans certaines fonctions de souveraineté nationale, d’après son initiateur, Noël Tshiani.
«A la suite de la marche de souveraineté que nous avons organisée ce 17 mars pour demander à l’Assemblée nationale d’aligner, pour débat et vote pendant cette session, la proposition de la loi Tshiani. C’est pour informer la communauté tant nationale qu’internationale que nous sommes pour la souveraineté nationale, l’intégrité territoriale, l’unité nationale, le développement économique et social, dire non au tribalisme, au racisme et à la balkanisation planifiée de notre très cher et beau Pays. Le peuple congolais en un seul, vous adresse le mémorandum que je vous prie de trouver en annexe à la présente», soutient celui que l’on surnomme de père et de mère, au sommaire de son initiative.
Poursuivant sa démarche, le professeur Tshiani a lancé un appel interpellateur au nom du peuple congolais sur les personnes malveillantes qui ne cessent de convoiter les richesses de la RD. Congo. «Nous, peuple congolais, soucieux de la sécurité et de la protection de l’ensemble du territoire congolais où l’idée de la Balkanisation demeure un projet par ceux qui ne cessent de convoiter son immense richesse, sa grandeur d’un pays continent et ses diverses cultures (…), nous demandons aux pays étrangers et leurs groupes de lobbyistes de ne pas s’immiscer dans les affaires intérieures de la République Démocratique du Congo en cherchant à nous imposer des dirigeants qui seraient à leur solde et travailleraient contre les intérêts supérieurs du peuple souverain. Disons non au tribalisme, au racisme, à la xénophobe et la balkanisation planifiée», peut-on lire encore.
D’après lui : « Nous sommes pour la coopération gagnant-gagnant avec tous les pays étrangers et toutes les institutions internationales bilatérale et multilatérale qui veulent sincèrement participer à nos efforts de développement pour le bénéfice de nos populations appauvries et clochardisées depuis des décennies ».
Pour finir, ce dernier a convié les honorables députés nationaux et sénateurs à prendre leurs responsabilités en tant que représentants légitimes du peuple souverain pour sauver le pays contre ces infiltrations, « mobilisons-nous tous pour défendre la terre de nos ancêtres en protégeant la souveraineté nationale et l’intégrité territoriale de la République Démocratique du Congo », insiste-t-il.
Israël Boma

 

Assemblée nationale : la FDC insiste sur l’alignement à la plénière de la loi Tshiani
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Prochaine décennie 2024-2035 : Adolphe Muzito annonce le réveil du Grand Congo !

‘’La RDC rattrapera ainsi, en une décennie, son retard de six dernières décennies dans le domaine des infrastructures de base, en affectant à cette rubrique 20% de ses rentrées fiscales de la période (2024-2035)’’, affirme-t-il. ‘’Le coût global de la construction et du développement de la RDC de notre projet s’inscrit dans un plan global de 30 ans. Le budget de la première décennie comprend le coût du plan décennal de la construction et celui des réformes qui l’accompagnent. Les diverses sources de financement du plan et des réformes (y compris externes) font partie du projet de notre offre. Ladite offre, en cours d’élaboration au contact avec les forces sociales, sera déclinée et exposée au fur et à mesure’’, annonce-t-il.
‘’Selon les calculs et les premières hypothèses retenues dans notre offre politique, en cours d’élaboration, la décennie prochaine (2024-2035) sera celle de la libération et du réveil du Géant Congo, sous réserve de l’application des réformes essentielles que nous préconisons. Ayant franchi son seuil de souveraineté budgétaire de 10 milliards $US en ressources propres, l’Etat Congolais présente des perspectives de réalisation au courant des années prochaines, de deux fois plus de ressources budgétaires en une décennie, soit 165 milliards $US, comparées à celles de six dernières décennies de notre indépendance, soit 82 milliards $US (1961-2020)’’, précise-t-il.
A l’en croire, ‘’la RDC rattrapera ainsi, en une décennie, son retard de six dernières décennies dans le domaine des infrastructures de base, en affectant à cette rubrique 20% de ses rentrées fiscales de la période (2024-2035).
‘’Notre prospective, en partant des données actuelles du cadrage macroéconomique 2023 du Gouvernement, repose sur une double hypothèse, peu ambitieuse dans un premier temps, d’un taux de croissance annuel moyen de 7% pour la période et d’une pression fiscale de 17,5% sur le PIB’’.
Le coût global de la construction et du développement de la RDC de notre projet s’inscrit dans un plan global de 30 ans’’, renchérit-il.
LPM
Annonce du projet d’offre politique d’Adolphe Muzito et du Nouvel Elan
ELECTIONS 2023
DOC. 1
Selon les calculs et les premières hypothèses retenues dans notre offre politique, en cours d’élaboration, la décennie prochaine (2024-2035) sera celle de la libération et du réveil du Géant Congo, sous réserve de l’application des réformes essentielles que nous préconisons. Ayant franchi son seuil de souveraineté budgétaire de 10 milliards $US en ressources propres, l’Etat Congolais présente des perspectives de réalisation au courant des années prochaines, de deux fois plus de ressources budgétaires en une décennie, soit 165 milliards $US, comparées à celles de six dernières décennies de notre indépendance, soit 82 milliards $US (1961-2020).
La RDC rattrapera ainsi, en une décennie, son retard de six dernières décennies dans le domaine des infrastructures de base, en affectant à cette rubrique 20% de ses rentrées fiscales de la période (2024-2035).
Notre prospective, en partant des données actuelles du cadrage macroéconomique 2023 du Gouvernement, repose sur une double hypothèse, peu ambitieuse dans un premier temps, d’un taux de croissance annuel moyen de 7% pour la période et d’une pression fiscale de 17,5% sur le PIB.
Le coût global de la construction et du développement de la RDC de notre projet s’inscrit dans un plan global de 30 ans.
Le budget de la première décennie comprend le coût du plan décennal de la construction et celui des réformes qui l’accompagnent.
Les diverses sources de financement du plan et des réformes (y compris externes) font partie du projet de notre offre. Ladite offre, en cours d’élaboration au contact avec les forces sociales, sera déclinée et exposée au fur et à mesure.
Fait à Kinshasa, le 20 mars 2023
Pour le Nouvel Elan,
Adolphe MUZITO

Prochaine décennie 2024-2035 : Adolphe Muzito annonce le réveil du Grand Congo !
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A l’initiative de ‘’La génération Jean-Pierre Muanda’’ MSC : Laurent Batumona honore les Femmes de Kinsuka

L’Honorable Laurent Batumona a célébré la Journée internationale de la Femme avec les mamans de Kinsuka, dans la commune de Mont-Ngafula. A l’initiative de l’Asbl La Génération Jean-Pierre Muanda, cette Journée a pris une nouvelle dimension avec le Mouvement de Solidarité pour le Changement. Les femmes qui vendaient à même le sol leurs marchandises ont été honorées par l’Honorable Laurent Batumona qui leur a offert un marché avec des étalages construit sur fonds propres du MSC à travers la Génération Jean-Pierre Muanda. Après avoir communié avec ces mamans de Kinsuka, son cortège s’est ébranlé vers le Camp Luka où il a assisté à une cérémonie d’adhésion populaire à laquelle Monique Sekana Mbombo a acheté sa carte de Membre du MSC à mille dollars américains.
Le Mouvement de Solidarité pour le Changement met l’accent tout particulier sur la promotion et la croissance en faveur des femmes, pour faire de cette commémoration, un point de ralliement et de soutien en faveur des droits et la participation des femmes à la vie politique et économique, a clarifié l’Honorable Batumona.
S’inspirant du thème retenu cette année par la RDC, à savoir : ‹‹ Education Numérique Egalitaire pour la Paix et l’autonomisation des femmes et filles en RDC ››, il a recommandé aux mamans de Kinsuka de réfléchir sur les conditions de vente et les performances de Jean-Pierre Muanda qui déploie les efforts dans le cadre de la vision sociale du MSC en vue de construire un marché qui permet aujourd’hui de vendre proprement en mieux communiquant avec les autres.
‘’L’inauguration de ce petit marché moderne, initié par le dignitaire de Mbudi ; Jean-Pierre Muanda, attend la validation de l’Autorité provinciale de la Ville province de Kinshasa pour qu’il soit ouvert au public’’.
Dans leurs doléances, les femmes de Kinsuka ont demandé à l’Autorité Morale du MSC d’être leur porte-parole auprès du Président de la République, Félix Antoine Tshilombo, en ce qui concerne la modernisation de la route de caravane qui relie Mbudi, Kinsuka et Lutendele qui désengorge la route de Matadi afin de leur permettre la mobilité.
Elles n’ont pas oublié, non plus, de plaider pour l’électrification, l’insécurité avec les kulunas et les menaces des érosions.
L’Honorable Laurent Batumona a insisté sur l’importance de la promesse du Président Félix concernant les infrastructures routières. C’est chose faite ici à Mbudi.
‘’Un aspect à prendre en compte dans tous les aspects de la consolidation de la paix, du programme social dont l’épanouissement de tous sera le fruit d’un engagement du personnel du Chef de l’Etat, collectif des hommes et des femmes, vivant en société, pour construire la RDC’’. C’est à niveau qu’il a rappelé, par ailleurs, les échéances électorales où il recommande à soutenir Fatshi pour son deuxième mandat pour parachever, c’est qu’il a commencé de faire.
Camp Luka Monique Sekana Mbombo achète sa carte du MSC à Mille dollars
‘’Je suis très heureuse d’appartenir au Mouvement de Solidarité pour le Changement. Un parti dont le leader est connu d’un homme visionnaire et sincère, Laurent Batumona ’’, a témoigné Mme Monique Sekana.
Cet acte a permis une adhésion populaire de près de sept cent nouveaux adhérents au MSC. Ceci prouve qu’on accorde une grande importance au MSC.
‘’Nous nous engageons désormais à accompagner l’Honorable Batumona dans sa vision de faire du sociale la ‘’priorité des priorités’’. Devant une foule nombreuse, l’Histoire retiendra que le MSC demande aux femmes congolaises de prendre leur place dans la société. ‘’Le MSC a lancé une campagne d’armement patriotique ou nous appelons les jeunes filles et garçons à s’enrôler dans l’armée pour que demain, ils deviennent des hauts gradés’’, a-t-il conclu.
La Pros.

A l’initiative de ‘’La génération Jean-Pierre Muanda’’ MSC : Laurent Batumona honore les Femmes de Kinsuka
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Offre politique inspirée des besoins réels des Congolais, Bandundu-ville : Adolphe Muzito à l’écoute !

Le Leader du parti Nouvel Elan poursuit son itinérance dans le Grand Bandundu. Plus rien, ni les intempéries, ni les yeux rougis de ses détracteurs visibles et invisibles, n’a su l’arrêter en si bon chemin. Après Bulungu, Gungu, Kikwit, Idiofa, Adolphe Muzito, Mfumumpa pour les intimes, séjourne, depuis mercredi 15 mars 2023, à Bandundu-ville, chef-lieu de la province du Kwilu. A son arrivée, il a été accueilli par une foule en liesse que nul ne pouvait dénombrer à vue d’œil.
Une entrée triomphale pour ce Leader politique et l’un des pionniers de Lamuka qui foulait là, pour une énième fois, le sol de Banning-ville, après ses multiples descentes initiées dans le Grand Bandundu, pour calmer les esprits durant la triste période du supposé conflit Teke-Yaka, à Kwamouth précisément. Devant la population venue à sa rencontre, le Géniteur du Nouvel Elan a indiqué que sa présence dans cette partie du pays répond à un besoin essentiel de mettre en place une offre politique inspirée du vécu quotidien du peuple congolais. Il a fait part à son auditoire de son ambition de porter les aspirations du souverain primaire lors des joutes électorales qui se pointent à l’horizon. Cela étant, il a appelé toutes les couches sociales de la population à ne pas hésiter à prendre, dès ce week-end même, à l’Université populaire, sa tribune d’expression libre, canal par lequel il entend ramasser les avis et suggestions de la base pour mettre en place un projet de société tiré du concret.
«Avant de mettre en place mon offre politique, je voudrais recueillir les avis et suggestions des populations, toutes catégories confondues. Enseignants, Chefs de terre et notables, société civile dans sa diversité, les syndicats des travailleurs. Pour puiser les meilleures stratégies que je vais inclure dans mon programme… Comme vous le savez, par le passé, des politiciens ont formulé des promesses sans avoir des éléments concrets de terrain. C’est pourquoi, avant de diriger ce pays, avant les élections, je dois avoir un programme. J’estime que je dois avoir des éléments qui puissent correspondre à vos besoins», a lancé le Premier ministre honoraire devant des milliers de congolais.
La Pros.

 

Offre politique inspirée des besoins réels des Congolais, Bandundu-ville : Adolphe Muzito à l’écoute !
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Elections 2023, RDC : Nangaa accuse, la CENI réplique !

Point d’informations de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI)
Sur la voix des ondes, le Président honoraire de la CENI a fait une déclaration tendant à jeter le discrédit et le mépris sur l’actuel management de la Centrale Electorale. Dans sa déclaration, il relève les problèmes liés au processus de désignation de nouveaux membres (1), à la qualité de la photo en noir et blanc sur la carte d’électeur (2), à l’amateurisme dans la prise en charge des opérations d’identification et d’enrôlement des électeurs en cours (3) et aux faux chiffres quant au nombre des électeurs enrôlés dans l’AO1 (4).
Face à cette déclaration fantaisiste et teintée d’un manque d’objectivité, il y a lieu de faire observer ce qui suit :
1. Du processus de désignation des Membres de la CENI L’auteur de la déclaration tente en vain de fustiger sans fondement le processus de désignation de l’actuel management, alors que ce processus n’a guère changé et les composantes sont restées les mêmes que lors du processus ayant conduit à sa désignation, en son temps.
Par contre, le processus de désignation de l’actuel management a été davantage amélioré du point de vue légal avec des critères objectifs qui garantissent la transparence. Ce qui n’a pas été le cas de l’auteur de la déclaration dont la désignation a été faite dans un contexte d’opacité totale sans confrontation ni débat. En d’autres termes, l’auteur de la déclaration dont question, n’est pas le produit d’une compétition à la désignation comme Président de la CENI. Autrement dit, son profil n’a jamais été confronté à d’autres compétiteurs pour prétendre être le meilleur et donneur de leçon.
2. De la qualité de la photo en noir et blanc sur la carte d’électeur Il convient de préciser qu’aux termes de l’article 6 de la loi électorale, la qualité d’électeur est constatée par l’inscription sur la liste électorale et la détention d’une carte d’électeur. En cas de perte de celle-ci, un duplicata est délivré par la CENI.
Le législateur n’a jamais fait de la photo moins encore de sa qualité, une condition déterminante de la qualité d’électeur. La photo est, certes, un des éléments identitaires, mais elle est en concours avec d’autres éléments repris aux articles 25 alinéa et 26 de la Loi n°04/028 du 24 décembre 2004 portant identification et enrôlement des électeurs en RDC telle que modifiée et complétée à ce jour.
Il s’agit notamment : - des prénom, nom et post-nom, le lieu et la date de naissance, le sexe de l’électeur ; - des noms du père et de la mère ; - de l’adresse de la résidence actuelle ; - de la photo format passeport ; - de la signature ou l’empreinte digitale ; - de la province d’origine ; - du secteur ou de la chefferie d’origine ; - du territoire d’origine ; - du village d’origine ; - de l’image de l’iris de l’électeur.
Du reste, durant les processus précédents, la carte d’électeur faisait office de la carte d’identité et cette mention y était reprise. Avec l’identification de la population et la constitution du fichier de l’état civil par l’Office National de- l’Identification de la Population (ONIP), l’actuelle carte d’électeur ne survivra que pour l’organisation des scrutins et la durée du processus d’identification de la population.
Il ne fait donc aucun doute que certains éléments d’identification comme la photo du candidat électeur ne soient entourés des caractéristiques particulières dans le souci de réduire sensiblement le coût de production pour répondre aux impératifs d’ordre financier et logistique alors que sous le mandat de l’auteur de la déclaration, la production de la carte d’électeur avait occasionné un coût financier et logistique exorbitant qui avait pesé considérablement sur le trésor public.
C’est pourquoi, tenant compte de toutes ces considérations, le nouveau management avait décidé de recourir au système d’imprimantes thermiques incorporées dans le nouveau kit d’enrôlement, du reste, utilisées par plusieurs pays Européens ou Américains.
3. De l’amateurisme dans la prise en charge des opérations d’identification et d’enrôlement des électeurs en cours L’auteur de la déclaration accuse l’actuel management de la CENI de faire preuve d’amateurisme et de manque de planification dans la gestion des opérations en cours.
Cette affirmation surprend quelque peu pour les raisons suivantes :
• le prétendu manque de planification dont fait état l’auteur de la déclaration ne peut tenir dans la mesure où l’activité calendaire de l’enrôlement des électeurs en cours a initialement été prévue dans la feuille de route du nouveau management, élaborée le 03 février 2022, à Bibwa, dans la Ville de Kinshasa ;
• C’est ici le lieu de préciser que le processus en cours a connu 28 mois de retard que l’actuel management s’emploie de rattraper.
A ce jour, il est clair que le processus électoral en cours est irréversible car la CENI exécute scrupuleusement son calendrier qui prévoit l’organisation des scrutins dans les délais constitutionnels, cela malgré qu’elle est confrontée à de défis multiples et variés en nature ;
• La procédure d’acquisition du matériel destiné à la Révision du Fichier Electoral (RFE) avait été lancée conformément à cette feuille de route suivant une procédure de passation des marchés publics à laquelle le management de l’auteur de la déclaration n’a jamais recouru alors que prévue dans tous les textes légaux et règlementaires ainsi que dans les manuels de procédures de la CENI. Toutes les acquisitions, sous le mandat du concerné, se faisaient de gré à gré de manière subjective, à la tête du plus offrant et au mépris de la loi sur la passation des marchés publics. Ce qui lui a valu des sanctions qui courent jusqu’à ce jour ;
• Les appels d’offre ont été lancés en bonne et due forme. Les soumissionnaires ont compéti et à l’issue du processus de sélection, la firme MIRU avait gagné ledit marché suivant des critères rigoureux et objectifs de sélection conformes à la loi sur la passation des marchés publics en RDC ;
• La production et le conditionnement des kits ont été réalisés dans un temps record et permettre le déploiement des kits d’enrôlement dans plus de 22.271 centres d’inscription à travers toute l’étendue du territoire national sans compter la cascade de formation des membres des centres d’inscription et des agents de la chaîne de supervision et leur déploiement sur le territoire national. L’acharnement de l’auteur de la déclaration peut se comprendre du fait que les résultats obtenus par le nouveau management dans presque deux mois dans l’aire opérationnelle 1 correspondent à 5 mois, lors de l’opération pilote dans le Nord-Ubangi et de 3 mois dans l’aire opérationnelle 1, sous son mandat en 2016. L’opération pilote réalisée, durant 5 mois, au Nord-Ubangi de juillet à novembre 2016, avait recueilli 803.986 électeurs enrôlés et 679.996 enrôlés après dédoublonnage.
S’agissant de l’aire opérationnelle 1 de 2016 comprenant 7 provinces : Haut-Katanga, Haut-Lomami, Lualaba, Tshuapa, Sud-Ubangi, Mongala et Equateur, la CENI de l’auteur de la déclaration avait enrôlé, au bout de trois mois allant du 13 décembre 2016 au 13 mars 2017, soit 8.846.852 pour 8.622.370 électeurs attendus.
Au final, sous le mandant de l’auteur de la déclaration, juste pour l’opération pilote et l’aire opérationnelle I, 9.526.848 électeurs ont été enrôlés entre juillet 2016 et mars 2017, soit pendant 8 mois, alors que pour la même opération et dans un délai de deux mois seulement, le nouveau management en dépit des difficultés rencontrées sur terrain, est parvenu à enrôler 19.246.505 d’électeurs sur les 18.694.542 d’électeurs attendus.
Comment dans ces conditions de différence remarquable entre les deux cycles électoraux, l’auteur de la déclaration peut se permettre de qualifier l’actuel management de faire preuve d’amateurisme ? Cette performance, en terme de respect de délai calendaire et de record dans les statistiques du nombre d’enrôlés est loin d’être de l’amateurisme.
Par ailleurs, l’auteur de la déclaration fait à dessein de ne pas souligner le succès de la première expérience de l’enrôlement des congolais résidant à l’étranger dont les prouesses sont saluées par tous nos compatriotes de la diaspora et par l’ensemble de la Communauté internationale.
Durant son mandat, il a recouru au moratoire à l’effet de justifier son incapacité de débuter cette opération dans certains pays comme l’actuel management vient de le faire avec succès, du reste.
Nous nous interrogeons également à cet égard, où serait l’amateurisme dans le chef du nouveau management ?
Par contre, s’agissant de cette opération d’enrôlement des congolais résidant à l’étranger que l’auteur de la déclaration avait brillé par un manque d’ingéniosité notoire et criant.
4. Des faux chiffres quant au nombre d’électeurs enrôlés dans l’AO1
Etonnant à tous égards ! Les 19.246.505 d’électeurs enrôlés constituent les données brutes des statistiques de la 1ère aire opérationnelle et qu’il faille attendre la fin de l’enrôlement dans l’AO2 et AO3 afin de procéder au dédoublonnage et à la consolidation des données pour avoir le nombre exact dans le fichier électoral en répondant au principe « un électeur, une voix ». C’est seulement après cette consolidation, qu’au regard de l’article 6 de la loi électorale, que la CENI publie la liste provisoire des électeurs, par centre de vote, avec une indication du Bureau de vote.
Trente jours, au plus tard, avant la campagne électorale, la CENI publiera la liste définitive des électeurs par centre de vote avec aussi indication du bureau de vote.
Et au plus tard, quinze jours, avant le scrutin, sera affichée, pour consultation au bureau de l’Antenne de la CENI, la liste électorale pour l’ensemble du territoire, de la ville ou du regroupement des communes pour la ville de Kinshasa.
Dans ces conditions, comment peut-ont à ce stade qualifier de faux chiffres si ce n’est par mauvaise foi et dans une intention de discréditer le processus électoral en cours et qui, au regard de nombreux observateurs, enregistre des performances inégalables, en termes des délais et nombre d’électeurs enrôlés, en comparaison avec tous les 3 derniers cycles électoraux. Il y a lieu de relever que les statistiques diffèrent des données des électeurs. Les statistiques découlent des indications tirées du monitoring des opérations alors que les données découlent de la consolidation et du traitement de celles-ci.
C’est pourquoi, la CENI a rendu public, par souci de transparence, les statistiques, du reste provisoires, tirées des éléments collectés, lors du monitoring des opérations, en attendant la consolidation de toutes les données dont la remontée se fait progressivement dans chaque aire opérationnelle. Il est donc étonnant que l’auteur de la déclaration qui a publié les résultats électoraux, in globo, par souci d'opacité exige, de manière erronée, à ses successeurs de publier les statistiques de l'enrôlement des électeurs en détail pour assurer la transparence. Deux poids deux mesures.
En somme, l’auteur de la déclaration étale sa mauvaise foi et son intention de nuire au déroulement du processus électoral en cours en ce que sous mandat, il n’a pas récolté dans son actif des prouesses réalisées par le nouveau management.
5. L’auteur de la déclaration peut-il être un modèle de gestion et donneur de leçon ?
Au de-là de toutes les considérations relevées, ci-dessus, l’auteur de la déclaration ne peut s’ériger en modèle de gestion ni en donneur de leçon. Parlant de sa gestion et s’agissant particulièrement des infrastructures, il est à noter que l’auteur de la déclaration a laissé dans son passif :
- plusieurs arriérés des loyers des bâtiments abritant les installations de la CENI tant à Kinshasa qu’à travers toutes les provinces ;
- l’immeuble abritant le siège national de la CENI dans un état de délabrement très avancé avec des installations sanitaires dégradantes.
Pour redorer le blason de l’institution terni par l’auteur de la déclaration, l’actuel management a acquis l’immeuble abritant le siège national de la CENI, en initiant des travaux de réhabilitation dudit siège, particulièrement, la rénovation de la salle de conférence Abbé Malumalu et ses dépendants qui sont, à ce jour, embellis et équipés à la hauteur et au prestige de l’institution.
Il en est de même des entrepôts centraux en cours de construction et le paiement des arriérés des loyers de tous les démembrements à travers le territoire national.
S’agissant du social des cadres et agents de la CENI plongés dans une précarité sans précédent suite au rabais sensible des salaires à 40 % et à la gestion calamiteuse de l’auteur de la déclaration, étant sensible à la misère de ces derniers et dans le souci de placer l’homme au centre de toute action, le nouveau management s’est engagé résolument depuis sa prise de fonctions, non seulement à apurer les 9 mois des salaires impayés par l’auteur de la déclaration, mais aussi, à réajuster à la hausse, les salaires des agents de 40 à 100 % à ce jour.
Face à toutes ces évidences, l’on peut donc, une fois de plus, s’interroger si l’auteur de la déclaration peut vraiment s’ériger en donneur de leçon ?
Fait à Kinshasa, le 14 mars 2023
Didi MANARA LINGA
2ème Vice- Président

Elections 2023, RDC : Nangaa accuse, la CENI réplique !
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Elections 2023, agression rwandaise et consorts, RDC : Bahati et Mboso appellent les congolais à la mobilisation et à la cohésion nationale

*Au regard des enjeux de l’heure et, surtout, de la situation sécuritaire préoccupante qui sévit dans la partie Est de la RD Congo, devenue le théâtre des massacres des populations suite à l’activisme du M23, soutenu par le Rwanda, Modeste Bahati Lukwebo et Christophe Mboso N’kodia Mpwanga, respectivement Président du Sénat et Speaker de l’Assemblée nationale, exhortent l’ensemble du peuple congolais à la cohésion nationale.

Elections 2023, agression rwandaise et consorts, RDC : Bahati et Mboso appellent les congolais à la mobilisation et à la cohésion nationale
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Défection dans Ensemble pour la République : Laurent Onyemba quitte Moïse Katumbi !

A l’aune de prochaines élections en République démocratique, les différents acteurs n’ont pas encore arrêté de rabattre les cartes. Aux dernières nouvelles, il nous revient d’apprendre que Laurent Onyemba, l’un des cadres influents de Ensemble pour la République de Moïse Katumbi, aurait quitté la barque. Des contacts au plus haut niveau auraient été initiés pour qu’il intègre un parti de l’Union sacrée.
Et pour cause, Laurent Onyemba n’aurait pas apprécié que sa candidature aux primaires de Ensemble pour la présidentielle soit rejeté. Le directoire dudit parti aurait estimé que l’ambition de ce challenger contre Katumbi, serait jugée démesurée. En outre, Onyemba n’aurait pas apprécié la perte consécutive de son poste de porte-parole du parti. Certaines indiscrétions évoqueraient des contacts très avancés avec l’AFDC de Modeste Bahati.
Dans l’entourage du secrétaire général de Ensemble pour la République, personne ne s’explique l’attitude de ce haut cadre du parti de Katumbi. On parle plutôt d’une trahison si cela se confirmerait. Laurent Onyemba a tout obtenu de Moïse Katumbi et occuperait encore un poste qui revenait à Ensemble dans un ministère de l’Union sacrée en dépit du retrait des cadres de Ensemble du gouvernement de la République il y a quelques mois. Quoi qu’il en soit les prochaines heures pourront apporter plus de détails à cette brouille au sein du parti de Katumbi.
La candidature de Moïse Katumbi à la présidentielle de 2023
Au total, six candidatures, dont celle de Moïse Katumbi avaient été enregistrées lors du dernier congrès de Ensemble pour la République. Mais tous se sont vite retirés pour laisser la place à l’ancien gouverneur du Katanga. « Nous ne nous sommes pas désistés. Nous avons dégagé un consensus parce que nous avons pensé que le programme qui était présenté par le candidat Moïse Katumbi est un programme qui puisse changer de paradigme pour l’explosion d’un développement durable dans notre pays », avait, en son temps, expliqué Laurent Onyemba, l’un des challengers.
En désignant Moïse Katumbi comme son candidat, Ensemble pour la République avait ainsi pris congé de l’Union sacrée en proposant son projet politique comme une alternative à la crise sécuritaire et socio-économique de la RDC.
Emma Muntu

Défection dans Ensemble pour la République : Laurent Onyemba quitte Moïse Katumbi !
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‘’Mauvaise foi’’ de Nangaa étalée, Processus électoral : la CENI présente les exploits réalisés par le nouveau management de Denis Kadima

Visiblement, personne ne pourra compromettre le déroulement du processus électoral en République démocratique du Congo. Aucun discours malveillant, aucune accusation gratuite, encore moins une quelconque ‘’intention de nuire’’venant de l’extérieur ne pourra décourager, déranger ou déroger les prouesses réalisées par le nouveau management de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) exercé par Denis Kadima Kazadi. Tenez ! Ce mardi 14 mars 2023, dans la salle de conférence Abbé MALU MALU, devant les professionnels des médias, Didi Manara Linga, 2e Vice-président de la CENI, a réagi énergiquement à la déclaration faite sur la voix des ondes par le Président honoraire de la CENI Corneille Nangaa, tendant à jeter le discrédit et le mépris sur l'actuel management de la Centrale Electorale.
Après avoir démontré la mauvaise foi et l’intention de nuire au déroulement du processus électoral en cours par l’ancien Président, Didi Manara a présenté au grand jour les prouesses réalisées par le nouveau management. En effet, lors de son passage sur la voix des ondes, Corneille Nangaa avait relevé les problèmes liés au processus de désignation de nouveaux membres (1), à la qualité de la photo en noir et blanc sur la carte d'électeur (2), à l'amateurisme dans la prise en charge des opérations d'identification et d'enrôlement des électeurs en cours (3) et aux faux chiffres quant au nombre des électeurs enrôlés dans l'A01 (4). Concernant le processus de désignation des Membres de la CENI, Didi Manara a signifié que l'auteur de la déclaration a tenté en vain de fustiger sans fondement le processus de désignation de l'actuel management, alors que ce processus n'a guère changé et les composantes sont restées les mêmes que lors du processus ayant conduit à sa désignation, en son temps. « Par contre, le processus de désignation de l'actuel management a été davantage amélioré du point de vue légal avec des critères objectifs qui garantissent la transparence. Ce qui n'a pas été le cas de l'auteur de la déclaration dont la désignation a été faite dans un contexte d'opacité totale sans confrontation ni débat. En d'autres termes, l'auteur de la déclaration dont question, n'est pas le produit d'une compétition à la désignation comme Président de la CENI. Autrement dit, son profil n'a jamais été confronté à d'autres compétiteurs pour prétendre être le meilleur et donneur de leçon », note-t-il.
A propos de la qualité de la photo en noir et blanc sur la carte d'électeur, pour le 2e vice-président de la CENI, le législateur n'a jamais fait de la photo moins encore de sa qualité, une condition déterminante de la qualité d'électeur.
La photo est certes un des éléments identitaires, mais elle est en concours avec d'autres éléments repris aux articles 25 alinéa et 26 de la Loi n°04/028 du 24 décembre 2004 portant identification et enrôlement des électeurs en RDC telle que modifiée et complétée à ce jour.
L’accusation selon laquelle il y a l'amateurisme dans la prise en charge des opérations d'identification et d'enrôlement des électeurs en cours a été balayée expressisverbis avec des détails qui clouent à pilori Corneille Nangaa. « Sous le mandant de l'auteur de la déclaration, juste pour l'opération pilote et l'aire opérationnelle I, 9.526.848 électeurs ont été enrôlés entre juillet 2016 et mars 2017, soit pendant 8 mois, alors que pour la même opération et dans un délai de deux mois seulement, le nouveau management en dépit des difficultés rencontrées sur terrain, est parvenu à enrôler 19.246.505 d'électeurs sur les 18.694.542 d'électeurs attendus. Comment dans ces conditions de différence remarquable entre les deux cycles électoraux, l'auteur de la déclaration peut se permettre de qualifier l'actuel management de faire preuve d'amateurisme? », s’interroge la CENI. Et d’ajouter : ‘’L'auteur de la déclaration peut-il être un modèle de gestion et donneur de leçon ? Au-delà de toutes les considérations relevées ci-dessus, l'auteur de la déclaration ne peut s'ériger en modèle de gestion ni en donneur de leçon. Parlant de sa gestion et s'agissant particulièrement des infrastructures, il est à noter que l'auteur de la déclaration a laissé dans son passif plusieurs arriérés des loyers des bâtiments abritant les installations de la CENI tant à Kinshasa qu'à travers toutes les provinces;- l'immeuble abritant le siège national de la CENI dans un état de délabrement très avancé avec des installations sanitaires dégradantes.
Pour redorer le blason de l'institution terni par l'auteur de la déclaration, l'actuel management a acquis l'immeuble abritant le siège national de la CENI en initiant des travaux de réhabilitation dudit siège, particulièrement, la rénovation de la salle de conférence Abbé MALU MALU et ses dépendants qui sont, à ce jour, embellis et équipés à la hauteur et au prestige de l'institution. Il en est de même des entrepôts centraux en cours de construction et le paiement des arriérés des loyers de tous les démembrements à travers le territoire national’’.
En gros, face à toutes ces évidences, il y a eu de s'interroger si l'auteur de la déclaration peut vraiment s'ériger en donneur de leçon au regard du travail titanesque réalise le management efficient exercé par Denis Kadima Kazadi.
Merdi Bosengele

 

‘’Mauvaise foi’’ de Nangaa étalée, Processus électoral : la CENI présente les exploits réalisés par le nouveau management de Denis Kadima
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On se bouscule chez Batumona Laurent, Elections : le MSC signe un accord de partenariat avec le PCCD, PSDA, DVL et DBK

Le Parti Chrétien pour le Changement et le Développement, PCCD, du Pasteure Joséphine Mbuyi Kalala et le Parti Social pour la Démocratie Africaine, PSDA, du Président Peter Mutombo wa Mutombo ont procédé, samedi 11 mars 2023, à la signature d’un accord de partenariat avec le Mouvement de Solidarité pour le Changement de l’Honorable Laurent Batumona. Cet Accord s’inscrit dans la droite ligne du soutien à 100% à la candidature de Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo à l’élection de 2023 en République Démocratique du Congo. Un consensus se dégage, Laurent Batumona est le leader qui a une vision sociale et d’avenir pour la RDC, a soutenu Joséphine Mbuyi Kalala.
En moins de 24 heures, l’Honorable Laurent Batumona, Autorité Morale du Mouvement de Solidarité pour le Changement, a effectué plusieurs descentes en profondeur de la ville de Kinshasa pour assister, le 11 mars 2023, à la signature du Protocole d’accord du partenariat avec les Partis politiques, PCCD et PSDA, au siège de son Parti à Debonhomme. Il y a eu, également, des cérémonies l’adhésion populaire de membres de deux Associations : La Dynamique Biso Kimbanseke de Me Gédéon Kikita Mbuta de Kimbanseke et la Dynamique Virginie Lifoa Liembe à Mikondo.
Il a été question lors de ces rencontres d’échanger directement avec la population afin de s’enquérir de ses réelles préoccupations.
Les cérémonies ont eu lieu au siège du Parti, situé sur le Boulevard Lumumba à Débonhomme, à Matete, à Kimbanseke et se sont clôturées dans la soirée à Mikondo.
Le premier à monter sur le podium, c’est la Pasteure Marie Joséphine Mbuyi Kalala, Autorité Morale du Parti Chrétien pour le Changement et le Développement, en Sigle PCCD. Ce Parti a comme idéologie ‘’l’humanisme Chrétien’’. Il lutte contre les antivaleurs, véritables gangrènes et causes réelles de la décadence de la société congolaise. ‘’Notre Parti trouve son correspondant dans le Chef de celui du MSC qui bataille pour les droits et la dignité humaine en pratiquant la solidarité comme valeur et vertu pour exprimer l’amour, la vertu et la loi royale du Christ’’, a-t-elle déclaré après avoir signé le Protocole d’accord du partenariat avec le MSC. Selon elle, vouloir changer le mode de vie, imposer les règles de la bonne gouvernance requiert un travail de fond qui consiste à impliquer Jésus-Christ dans la gouvernance à l’instar du Président Félix Tshisekedi afin d’asseoir les valeurs susceptibles de booster et encadrer le développement.
S’agissant du processus électoral 2023, elle renouvelle la confiance au Président Félix Tshisekedi et pour lui donner un parlement confortable.
Pour sa part, Peter Mutombo du PSDA qui plonge ses racines idéologique dans la tradition de l’humanisme et dans la philosophie de la lumière a, avec ses membres de la RSA, accepté de s’unir avec le MSC pour soutenir le Président de la République aux élections.
Au niveau de Kimbanseke, la ‘’Dynamique biso Kimbanseke’’ de Me Gédéon Kikita Mbuta a consacré la cérémonie à l’adhésion populaire de jeunes. Des milliers des fiches d’adhésion ont été signées par la population mobilisée à cette occasion.
C’est à Mikondo, que l’Autorité Morale du MSC a clôturé la journée. Plus de 3000 membres de la Fondation Dynamique Virginie Lifoa Liembe ont permis à la Coordination de la DVL d’adhérer officiellement au Mouvement de Solidarité pour le Changement. ‘’Mon adhésion au MSC est une opportunité de consolider davantage les relations pour le développement de la Tshangu’’. Selon Mme Virginie Lifoa : ‘’Aux côtés de Laurent Batumona et du Président Félix Tshisekedi nous croyons à la vision de l’amélioration de la qualité de vie notamment, la santé, les routes et mettre fin à l’insécurité’’.
Qu’il s’agisse des élections de 2023, de l’insécurité, de la situation alimentaire, de la cohabitation entre les communautés, de l’éducation, de l’appel aux jeunes à travers la campagne patriotique pour l’enrôlement des jeunes dans l’armée et de l’état des infrastructures de base, l’Autorité Morale du MSC n’a négligé aucun sujet d’intérêt national auquel il a apporté un message d’espoir et de réconfort moral. Partout où il est passé, le message était le même : rassurer les populations sur l’engagement et la détermination du Président de la République à organiser les élections, assurer leur sécurité mais aussi de lui offrir à 100% un deuxième mandat pour continuer ses projets de développement en RDC.
Une itinérance de politique de proximité qui a soulagé les populations qui, visiblement, étaient heureuses de recevoir la visite de la plus Haute Autorité du Mouvement de Solidarité pour le Changement (MSC), apportant un message d’espoir, d’assurance et de paix. Plus que jamais populaire, Laurent Batumona Khandi Kham reste le même à l’écoute des populations et cherche autant que faire se peut à répondre à leurs aspirations les plus profondes.
La Pros.

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