La Société Nationale d’Électricité S.A, Direction Régionale de Kinshasa Sud, informe sa clientèle de la commune de Lemba, quartier Salongo, qu'une panne de câble Moyenne Tension est survenue ce dimanche 14 juillet 2024 sur le tronçon F745, entre les Cabines Livulu 1 et 2, à la suite des travaux de réhabilitation de la chaussée de Zabat réalisés par des engins de la société chinoise.
En conséquence, une interruption de la fourniture d’électricité est constatée dans les secteurs d’Elimo Santu et Zabat. La SNEL S.A rassure sa clientèle que ses équipes d’intervention sont mobilisées pour rétablir l’alimentation électrique dans les meilleurs délais.
Pour toute information complémentaire, veuillez nous contacter aux numéros suivants : (+243) 817 005 669 & (+243) 817 005 672.
Ce dimanche 14 juillet 2024, la Société nationale de l'électricité (SNEL SA) a tenu une réunion avec les habitants de Kamanyola, dans le territoire de Walungu, au Sud-Kivu. Lors de cet entretien, les représentants de la SNEL Sa ont rassuré la population de la prise en compte de leurs recommandations concernant la desserte en énergie électrique. Jovy Mulemangabo, Directeur provincial de la SNEL S.A, a annoncé plusieurs mesures importantes, à savoir la permanence au poste de vente, la stabilisation des prix des compteurs, la maintenance des compteurs ainsi que la distribution des nouveaux compteurs.
Sur la permanence au poste de vente, il a souligné, désormais, qu’un agent sera présent tous les jours au poste de vente du courant à Kamanyola, garantissant ainsi une meilleure disponibilité du service.
Sur la stabilisation des prix compteurs, il a souligné que «les prix des compteurs est désormais fixé à 70$, éliminant toute confusion et fluctuation dans les tarifs».
Sur la maintenance des compteurs, il a précisé que tous les dysfonctionnements des compteurs seront pris en charge gratuitement par le service technique de la SNEL, assurant ainsi un service de qualité et fiable pour les abonnés.
Enfin, sur la distribution de nouveaux compteurs, il annoncé que les abonnés n’ayant pas encore reçu leurs compteurs seront bientôt servis sans délai ni complaisance.
Ces mesures viennent répondre aux préoccupations exprimées par la population de Kamanyola et témoignent de l'engagement de la SNEL à améliorer constamment ses services et à répondre efficacement aux besoins de ses clients.
Message de félicitations adresse à la Ministre de la Culture, Arts et Patrimoine, Son Excellence Madame Yolande Elebe pour sa nomination au sein du Gouvernement Suminwa
Yolande Elebe, Ministre de la Culture, Arts et Patrimoin
Célestin Nduba Kaniki,Chef de Division Provinciale de la Culture, Arts et Patrimoine du Tanganyika
Au nom de la Division Provinciale de la Culture, Arts et Patrimoine du Tanganyika et au mien propre, à l’occasion de votre nomination au sein du Gouvernement SUMINWA en qualité de Ministre Nationale à la Culture, Arts et Patrimoine, je tiens à vous présenter mes cordiales et sincères félicitations.
En outre, je vous en formule mes vœux de prospérité, de longévité et d’un mandat fructueux.
La Division Provinciale de la Culture, Arts et Patrimoine du Tanganyika espère qu’avec votre avènement à la tête de ce Ministère, certaines difficultés parmi tant d’autres rencontrées par notre Division, telles qu’énumérées, ci-dessous, seront résolues.
Il s’agit, entre autres, de :
Manque de bureaux appropriés pour la Division Provinciale de la Culture, Arts et Patrimoine ;
Manque des mobiliers et des kits informatiques pour la Division ;
L’absence des salles de spectacles de l’Etat au Chef-lieu de la Province et dans les 6 territoires de la Province ;
L’absence d’un centre d’archivage provincial et de représentation du journal officiel ;
L’absence des bibliothèques au Chef-lieu de la Province et dans les 6 territoires ;
L’absence d’une école et/ou d’une académie de Beaux-Arts en Province ;
La non mécanisation de 68 Agents sous statut depuis 2018 ;
Le retard d’admission sous statut de 43 Agents (nouvelles unités éparpillées) à travers la Province.
Acteur majeur dans l’accès aux services de base, 4ème pilier du second mandat de Félix Tshisekedi, en son volet de l’accès fiable à l’électricité pour tous les groupes sociaux, la Société Nationale d’Electricité (SNEL S.A) démontre, sans complaisance, son engagement à concrétiser cette promesse du Chef de l’Etat, portée avec bravoure par le Gouvernement Suminwa Tuluka. De ce fait, dans sa redevabilité hebdomadaire, cette société revient sur les grandes réalisations de la semaine dernière à travers le territoire national.
Zoom sur Kinshasa
Dans la capitale congolaise, il se dégage la réception définitive de ligne la Zongo2-Kinsuka, du Poste de Kinsuka et des réseaux de distribution associés. Ainsi que d’un nombre important des clients bénéficiaires de l'amélioration du service et dans quelques quartiers avec une touche des innovations majeures du poste concernant la gestion des réseaux de distribution associés.
Sur la poursuite de la pose des compteurs communicants à Limete résidentiel, les clients payeront désormais leurs recharges à partir de leurs téléphones tandis que l’amélioration du service se fera dans quelques quartiers en plus des compteurs communicants pour les clients et pour les gestionnaires du réseau de distribution de Kinshasa Sud.
Enfin, il sied de noter la réception de câbles MT, d'équipements de détection et autres au Magasin Central de Limete dans le but de réduire le temps d'intervention et de remise en service en cas de panne et faciliter le travail des exploitants de SNEL S.A.
Un tour à Lubumbashi
Par contre, à Lubumbashi, chef-lieu de la province du Haut-Katanga, il est annoncé la mise en service du nouveau transformateur 50 MVA au Poste haute tension NR Kasapa ce qui permet de décharge le poste UNILU ainsi que les deux lignes moyennes tension UNILU 1 et UNILU 2.
Ici, un nombre important des clients vont bénéficier de l'amélioration du service dans quelques quartiers au grand avantage pour les gestionnaires du réseau de distribution de Lubumbashi Nord.
Prise finale à Kisangani
Enfin, à Kisangani, dans la province de la Tshopo, il se suit actuellement les travaux de raccordement de toutes les cabines de la commune de Lubunga (rive gauche de Kisangani).
Comme les deux premières zones, un nombre important des clients vont bénéficier de l'amélioration du service et dans quels quartiers - quid de l'éclairage public et de la lutte contre l'insécurité tant décriée au niveau de la rive gauche de Kisangani.
‘‘Nous sommes ici pour consoler la Famille Mutagata pour avoir perdu un être cher en la personne du Major Thomas Ndizeye de la PNC/GOMA. Nous sommes ici pour consoler la Communauté Banyamulenge de Goma déstabilisée par la perte de ce pilier important. Nous sommes à Goma pour consoler la Province du Nord-Kivu et ses autorités ; Nous remercions d’abord les autorités nationales au plus haut sommet de l’Etat pour leur implication afin de permettre que le corps de Thomas soit ramené pour inhumation à GOMA à son lieu de travail, PNC/Goma. Merci beaucoup’’, a soutenu ce Député national honoraire dont voici l’intégralité du mot de circonstance.
MOT DE CIRCONSTANCE A LA LEVEE DE DEUIL DU MAJOR THOMAS MUTAGATA DE LA PNC/ GOMA, LE 13/07/2024
(Par Enock Ruberangabo Sebineza, Député National honoraire)
Nous sommes ici pour consoler la Famille Mutagata pour avoir perdu un être cher en la personne du Major Thomas Ndizeye de la PNC/GOMA.
Nous sommes ici pour consoler la Communauté Banyamulenge de Goma déstabilisée par la perte de ce pilier important.
Nous sommes à Goma pour consoler la Province du Nord-Kivu et ses autorités ;
Nous remercions d’abord les autorités nationales au plus haut sommet de l’Etat pour leur implication afin de permettre que le corps de Thomas soit ramené pour inhumation à GOMA à son lieu de travail, PNC/Goma. Merci beaucoup.
Nous remercions également les autorités provinciales qui ont accueilli dignement le corps et l’inhumer dignement avec tous les honneurs mérités à notre frère Thomas, un officier de la police nationale congolaise qui a tant servi patriotiquement la nation et dont les forces du mal ont comploté contre lui pour qu’il soit arrêté injustement à Goma, transféré à Kinshasa manu militari comme un malfrat pour y mourir tragiquement dans des conditions carcérales atroces jusqu’à son dernier soupir. Espérons que justice soit faite un jour pour que les responsables, ou du moins le responsable principal, le Col Job adjoint à la PNC/Goma, lui-même qui serait cousin à l’ancien Col Byamungu Bernard des FARDC autoproclamé Général au M23 et qui ourdit le complot et activer un réseau pour faire arrêter le Major Thomas à Goma net le transférer à Goma et qu’un jour il justifie devant un juge de ses allégations qui ont conduit à la mort du Major Thomas.
Le Col Job, pour nous, est un bras armé d’une catégorie des responsables voire des leaders politiques qui visent notre Communauté en tant que telle.
Nous condamnons et refusons de subir une haine qui vise à nous détruire comme membre à part entière de la nation congolaise pour laquelle nous refusons d’y être amputé et avoir un Congo amputé de ses membres, un Congo manchot.
Chers membres de notre Communauté, chers amis de notre Communauté ;
Le Major Thomas, pour qu’il soit arrêté à Goma le 27 mars à Goma, transféré à Kinshasa le 30 du même moi pour finalement y mourir le 14 mai 2024 sans avoir reçu aucune visite d’un seul membre de la Communauté moins encore de la famille biologique, nous avons appris après sa mort par les documents mis à la disposition de la famille qu’il lui a été imputé des accusations infondées liées à la guerre du M23.
Depuis la résurgence de cette guerre aussi tragique pour notre pays, nous avons vu la montée d’un discours extrémiste de haine contre les Banyamulenge qui demande d’effacer notre Communauté de la carte ethnique de la RDC. Ce discours construit et développé au Kivu depuis plus de 40 ans par des leaders politiques, visent notre communauté accusée de tous les maux en leur imputant des fausses allégations jusqu’à nous traiter d’étrangers.
Chers membres de notre Communauté, chers amis de la Communauté, chers amis de la famille Mutagata.
Qu’il me soit permis de dire tout haut que notre Communauté les Banyamulenge n’a rien à voir de cette guerre. Cela est vérifiée et vérifiable. Nous rejetons donc ces accusations infondées qui nous rendent proie à des arrestations de faciès auxquelles se livrent certains responsables de services. Nous leur demandons d’arrêter de détruire la cohésion nationale tant recherchée en ce moment où notre pays subie une agression la plus abjecte de son histoire.
Depuis quelques années, cet agresseur soutient, joue au pyromane sapeur-pompier pour piéger ces faibles esprits de certains compatriotes de la haine ethnique ; cet agresseur qu’est le Rwanda, étonnement, se fait passer pour notre porte-parole. Ce pays qui participe aux côtés du M23 prétend parler à notre place avec une stratégie cynique d’exacerber les discours existant contre notre Communauté. Nous avons eu le temps de rejeter cela car sa stratégie est d’instrumentaliser notre situation et d’en récupérer les dividendes politiques et diplomatiques dans la Communauté Internationale en se faisant passer pour protecteur des tutsi congolais. Nous rejetons cela et nous le refusons et le condamnons autant que nous condamnons l’agression.
Nous rappelons aux autorités locales à Goma que nous avons une Communauté ici qui n’a rien à voir avec cette guerre et qui n’exige, à l’instar de tous les compatriotes de la province , que la protection de leur part. Les assimiler injustement à cette guerre c’est détruire la cohésion de la province et donc la détruire. Nos enfants qui servent sous le drapeau national meurent aux côtés de leurs compagnons au front mais ce qui est grave, d’autres croupissent en prison sur base des accusations sans preuves de soutenir une guerre. C’est injuste et le dénonçons.
Au niveau national, nous souhaitons que les Banyamulenge se sentent libres comme tous les autres congolais et ne soient pas victimes à tout bout de champ, des services qui les arrêtent sur base de leur appartenance ethnique. Ceux qui sont déjà en prisons sans motifs fondés, nous demandons leur libération pour éviter qu’ils en soient aussi morts comme Major Thomas.
Quant à notre Communauté, nous leur demandons d’espérer, de continuer à croire en leur nation puisqu’elle n’en a pas deux. Bref de travailler pour la paix comme toujours. Avec les autres compatriotes épris de paix, battons-nous pour ensemble pour relever le défis de la paix.
Avec Dieu, nous obtiendrons gain de cause pour construire ensemble avec tous les compatriotes un Congo uni où toutes les communautés auront droit à la paix.
Nous vous remercions et que le feu Major Thomas repose en paix.
L’Institut national de la Statistique (INS) s’apprête à lancer, dans les tout prochains jours, une enquête sur les Conditions de Vie des Ménages en RD. Congo. Cette campagne entend notamment, ‘’fournir les indicateurs pour le suivi et l’évaluation de la mise en œuvre du PNSD ; fournir les indicateurs qui répondent aux différents défis de développement relatifs aux agendas internationaux ; étudier la pauvreté sous plusieurs formes aux niveaux national et provincial ; mesurer la dynamique de la pauvreté entre 2012 et 2014 pour évaluer l’effet des politiques macro-économiques, évaluer la demande d’éducation et d’identifier ses principaux déterminants ; étudier les causes du phénomène de mobilité résidentielle et de déplacés internes ; produire les données de base pour l’amélioration de diverses statistiques officielles ; constituer une base de sondage pour l’enquête par téléphone mobile sur les conditions de vie des ménages ; déterminer les pondérations pour l’Indice des Prix à la Consommation des ménages’’.
L’Institut national de la Statistique (INS) a bénéficié d’un appui financier de l’ordre de 9 millions de dollars américains de la part de la Banque mondiale pour assurer la couverture des opérations sur l’ensemble du territoire national. Cet accompagnement, convient-il de le souligner, s’inscrit dans le cadre du Projet de Recouvrement des Recettes et de la Gestion des Dépenses en RDC (ENCORE) que supervise le Comité de Pilotage et d’Orientation de la Réforme des Finances Publiques (COREF). La première phase de la collecte concerne la ville-province de Kinshasa, où près de 150 enquêteurs et Chefs d’équipe vont se déployer dans 103 zones de dénombrement au niveau de différents quartiers tirés au hasard pour interroger 2472 ménages. Ils seront munis des tablettes, habillés en gilets, estampillés Enquête sur les Conditions de Vie des Ménages.
Déjà, Elysée Chovu, la Directrice Générale de l’Institut national de la Statistique (INS), a planté le décor du lancement des opérations par la sensibilisation, à Kinshasa, des Chefs de quartier, Bourgmestres et leurs adjoints. C’était au cours d’une rencontre solennelle tenue, vendredi dernier, dans la salle Garamba de l’immeuble du Gouvernement, jumeau du musée national sur Triomphal, dans la commune de Lingwala.
Dans sa communication, elle a sollicité mobilisation et l’implication des autorités locales pour permettre aux enquêteurs de réussir leur mission sur terrain, à l’Institut national de la Statistique son pari.
‘’L’INS organise l’Enquête sur les conditions de vie des ménages en République démocratique du Congo, qui a pour principal objectif de fournir les données pour le suivi et évaluation de la pauvreté et des conditions de vie des ménages. La réussite de l’enquête dépend en grande partie la qualité des données recueillies durant les opérations de collecte. De ce fait, il est primordial que les Enquêteurs et les Chefs d’équipe aient une maitrise parfaite des questionnaires de l’Enquête et un soutien des autorités politico-administratives du pays. Près de 150 enquêteurs et Chefs d’équipe vont se déployer dans 103 zones de dénombrement dans différents quartiers de la ville de Kinshasa, respectivement tirés au hasard, pour interroger 2472 ménages. 37 équipes sont formées, encadrées par des Chefs d’équipe, des assistants techniques et des superviseurs regroupés au sein de l’équipe technique. Je sollicite l’appui des autorités provinciales, locales et de la Société civile pour apporter un appui logistique en faveur des superviseurs et enquêteurs. En effet, cette opération est vaste et complexe. Elle se déroule sur toute l’étendue du territoire national », a-t-elle démontré, dans son allocution du jour. Madame Elysée Chovu a poursuivi par son élan par exprimer ses attentes dans cette nouvelle démarche que mène son institution pour l’intérêt général des congolais.
« Mesdames et Messieurs, l’Institut national de la Statistique vous prie de bien vouloir accueillir les enquêteurs dans vos ménages. Etre disponible et répondre avec patience à leurs questions. L’INS vous rassure que les informations recueillies seront gardées confidentielles. Cette enquête n’a pas un but fiscal. Vous ne payerez rien à l’enquêteur et que les informations recueillies ne seront en aucun cas fournies à l’Etat pour calculer les impôts. Aux autorités administratives locales, l’INS vous demande une franche collaboration pour la réussite de cette enquête. Sensibilisez la population sur l’importance de l’opération. Assurez la sécurité des enquêteurs sur terrain, leur apporter de l’aide en cas de nécessité. Enfin, je souhaite un aboutissement heureux de cette étude à Kinshasa pour disposer des indicateurs fiables pour une bonne prise de décisions de nos autorités », a-t-elle souligné, à l’attention des autorités locales, qui ont honoré l’Institut national de la Statistique, en participant à cette rencontre-là.
‘‘Après la publication sur les réseaux sociaux d'une lettre prétendument du Clergé de Kinshasa, faisant état des malaises persistants dans l'Archidiocèse de Kinshasa, et face aux commentaires de certains médias, de nature à nuire intentionnellement à l'honneur de Son Eminence Fridolin Cardinal AMBONGO, Archevêque Métropolitain de Kinshasa, la Chancellerie tient à faire cette mise au point’’ . La voici :
ARCHIDIOCESE de KINSHASA
La Chancellerie
MISE AU POINT
Après la publication sur les réseaux sociaux d'une lettre prétendument du Clergé de Kinshasa, faisant état des malaises persistants dans l'Archidiocèse de Kinshasa, et face aux commentaires de certains médias, de nature à nuire intentionnellement à l'honneur de Son Eminence Fridolin Cardinal AMBONGO, Archevêque Métropolitain de Kinshasa, la Chancellerie tient à faire cette mise au point.
1. Comme tout Evêque, l'Archevêque de Kinshasa a l'obligation pastorale, dictée par sa sollicitude paternelle, de rendre compte à ses Fidèles, les Prêtres en particulier, du gouvernement ou de l'administration de son diocèse.
2. C'est dans ce contexte que le jeudi 04 juillet 2024, le Cardinal Fridolin AMBONGO a présidé la journée du clergé diocésain durant laquelle les responsables de différents services (Centre diocésain de pastorale, responsables de différents services (Centre alocésain de pastorale, Economat diocésain, Ressources humaines, Conseiller financier, Caritas, Bureau des projets, Ecoles conventionnées, Ecoles privées, Diaconie) ont donné leurs rapports au Clergé de Kinshasa.
Cet exercice synodal qui avait commencé par la méditation de la Parole de Dieu devrait se poursuivre par un moment d'échanges entre le Cardinal, les Responsables des services et l'ensemble du Clergé. Mais, après plus de 3 heures d'audition des rapports, la rencontre s'est brusquement arrêtée par la volonté d'un Confrère qui avait délibérément choisi de rompre le dialogue et la communion avec l'Archevêque, empêchant les prêtres présents dans la salle de poser des questions sur leurs préoccupations.
Après cette interruption, grande était notre surprise de constater que quelques heures plus tard un document est publié sur les réseaux sociaux. Le silence observé jusqu'à présent à l'Archevêché permet de comprendre le mobile de cette action qui n'a pour finalité que de jeter de l'opprobre sur l'Archevêque. Ce comportement est déploré par la grande majorité du Clergé de Kinshasa qui ne se reconnait pas dans cette lettre contenant des affabulations que contredisent les faits et les rapports des services présentés lors de cette journée du Clergé.
3. Ces rapports démontrent que les structures mises en place fonctionnent correctement et sont régulièrement consultées. Ils prouvent que la vie économique et financière de l'Archidiocèse repose sur des principes clairs de rigueur, de transparence et d'équité, avec un suivi permanent d'évaluation du budget prévisionnel et du rapport financier.
4. En outre, l'Archevêque de Kinshasa exerce sa sollicitude paternelle envers tous, en respectant, comme il est de son devoir, le secret des procédures judiciaires et le secret des rapports médicaux de ses prêtres.
5. L'Archevêque confère les offices ecclésiastiques à tous les fidèles qui l'ont comme Ordinaire, qu'ils soient laïcs ou clercs, du clergé séculier ou régulier, diocésain ou non. C'est le cas du Signataire de cette lettre qui perçoit 800 $ us chaque mois, alors qu'il est logé, nourri et blanchi.
C'est dire que le Cardinal veille à ce que chaque prêtre bénéficie d'un traitement digne et équitable, Par ailleurs, il sied de relever que la notion de salaire pour les prêtres n'est pas ecclésiale. Mais ceux-ci perçoivent plutôt une juste rémunération pour vivre non pas dans le luxe, mais dignement.
6. Bien plus, pour une Eglise en sortie, aller travailler dans la périphérie comme N'sele, Maluku ou Mbakana, à la suite de Jésus qui n'avait où reposer la tête (cf. Mt 8,20), n'est aucunement une punition, mais devrait être source de joie et d'espérance pour les fidèles de ces paroisses périphériques assoiffées de la Parole de Dieu.
7. Tout compte fait, nous saisissons cette occasion pour informer l'opinion que l'Assemblée du Clergé de Kinshasa (ACKIN) est une association des Fidèles, en l'occurrence des clercs, soumise à la vigilance et au gouvernement de l'Archevêque, auquel il appartient d'avoir soin que l'intégrité de la foi et des mœurs y soit préservée (cf. Can 305 §1). Ainsi, à défaut de ne s'être jamais présenté à l'Autorité compétente pour sa reconnaissance officielle, le Signataire dudit Message ne peut engager légitimement l'Assemblée des Prêtres de Kinshasa, ni parler en son nom
Les activités hebdomadaires à la Société nationale d’électricité (Snel S.A) pour la semaine du 1er au 7 juillet 2024 ont été marquées par des travaux visant à améliorer la fourniture de l’énergie électrique à travers la République démocratique du Congo (RDC).
Les équipes de la Snel ont procédé tout au long de la semaine à l’exécution des travaux de réhabilitation de la liaison moyenne tension ayant causé la rupture de l’énergie dans 4 communes de Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo (RDC), après qu’un camion remorque ait percuté, mardi 2 juillet, un poteau de transport du courant moyenne tension à la 16ème rue-Limete à Kinshasa.
Dans la province du Sud-Kivu, le directeur de département de distribution de la Snel M. Clément Tshimpaka Ngandu s’est imprégné de l’évolution de l’opération d’installation et d’activation des compteurs à prépaiement « cash power, » dans la ville de Bukavu.
Il a par ailleurs, exprimé la nécessité et l’urgence d’instaurer l’opération de payement des factures par voie électronique pour faciliter la tâche aux abonnés de cette entreprise publique.
Les équipes de la Snel sont intervenues dans plusieurs postes et sur le réseau électrique, pour assurer la stabilité et la fiabilité de l’approvisionnement énergétique, les travaux ont été réalisés par les différentes équipes dans la ville de Kinshasa, notamment, la reprise de l’exploitation normale du poste de Funa après les travaux de réparation de la ligne 220kV Postes de Liminga – Funa ainsi que la remise en service de la cabine Ndobe, dans la commune de Selembao, où le transformateur était avarié depuis le 17 juin 2024.
La Snel et son équipe restent dynamique et engagée à fournir une énergie électrique de qualité à ses abonnés.
La plus difficile mission dans la vie du prophète est de pouvoir prophétiser contre son peuple et son roi.
Chez plusieurs prophètes, l'on peut trouver la peur et le vouloir plaire aux gens cachant ainsi la volonté de Dieu.
Amos est devant ce dilemme.
On l'interdit de prophétiser contre le roi et contre son peuple.
Mais, lui ne se laisse pas faire car, il parle au nom du Seigneur.
Dans l'Evangile de ce jour, Jésus se révèle encore le Médecin de l'âme et du corps. Il manifeste la puissance et la justice de Dieu qui veut le bonheur, le salut de tous.
Malgré le piège et murmures de ses ennemis, Jésus ne décourage pas, mais il continue à agir par la volonté de Dieu.
Comme Prophète, Prêtre et Roi, Dieu nous investit d'un pouvoir extraordinaire pour dénoncer tout mal et appeler à la conversion.
Engageons-nous donc, à vivre unis au Seigneur afin qu'aucune erreur ne nous plonge dans les ténèbres mais fortifiés par Dieu nous puissions rayonner de sa Lumière et de sa Vérité.
La vie chrétienne nous fait entrer dans une seule fraternité qui, depuis Jésus, la tête, continue son long chemin par les Apôtres jusqu'à nous.
Tous, nous sommes frères et il n'y a plus d'étrangers grâce à la foi qui nous vient des Apôtres.
Les Apôtres ont reçu mission d'aller et d'annoncer au monde entier l'Évangile. Cette foi pour certains vient souvent de diverses expériences.
Pour Thomas, c’est après le doute et ayant vu Jésus, il croit.
Comme lui, chacun connaît l'élément déclencheur de sa foi : pour certains, une maladie grave, un accident, une guérison, une naissance, une rencontre, une bénédiction...
Aujourd'hui, rentrons en nous-mêmes et essayons de voir Dieu dans notre histoire et confessons notre foi en disant "Mon Seigneur et mon Dieu".
Puisse Dieu nous donner la grâce de croire aux témoignages de nos frères et sœurs et de nous engager à Lui rester fidèles pour toujours dans la Lumière et dans la Vérité même sans n’avoir, visiblement, rien vu de nos propres yeux.
La vie chrétienne nous fait entrer dans une seule fraternité qui, depuis Jésus, la tête, continue son long chemin par les Apôtres jusqu'à nous.
Tous, nous sommes frères et il n'y a plus d'étrangers grâce à la foi qui nous vient des Apôtres.
Les Apôtres ont reçu mission d'aller et d'annoncer au monde entier l'Évangile. Cette foi pour certains vient souvent de diverses expériences.
Pour Thomas, c’est après le doute et ayant vu Jésus, il croit.
Comme lui, chacun connaît l'élément déclencheur de sa foi : pour certains, une maladie grave, un accident, une guérison, une naissance, une rencontre, une bénédiction...
Aujourd'hui, rentrons en nous-mêmes et essayons de voir Dieu dans notre histoire et confessons notre foi en disant "Mon Seigneur et mon Dieu".
Puisse Dieu nous donner la grâce de croire aux témoignages de nos frères et sœurs et de nous engager à Lui rester fidèles pour toujours dans la Lumière et dans la Vérité même sans n’avoir, visiblement, rien vu de nos propres yeux.
Gécamines s’est opposée, mardi 2 juillet dernier à la vente de la société minière de cobalt Chemaf SA et de ses actifs congolais à Norin Mining. Il s’agit d’une unité de la China North Industries Corp (Norinco), soutenue par l’État chinois, qui loue ses actifs à la Gécamines. Elle avait déclaré jeudi dernier avoir accepté la vente afin de régler des dettes, principalement financées par son partenaire de longue date, le négociant en matières premières Trafigura. Cette transaction nécessite l’approbation de la Gécamines, qui a exprimé son refus.
Dans un communiqué officiel publié mardi 02 juin dernier, la Gécamines a affirmé son droit d’approbation sur de telles transactions et a indiqué que son conseil d’administration avait voté contre cette vente. « La Gécamines n’approuvera pas la vente des actifs de Chemaf à Norin Mining, une décision prise alors que Chemaf n’avait pas encore répondu aux demandes de commentaires. Lors du lancement de la vente, ladite entreprise avait précisé que l’opération restait soumise à certaines conditions, incluant l’approbation de la Gécamines et les autorisations réglementaires chinoises. Fondée en tant qu’entreprise familiale, Chemaf s’est spécialisée dans l’extraction de cuivre et de cobalt. Elle s’est mise en vente l’année dernière en raison de difficultés financières qui entravaient l’expansion de ses projets Etoile et Mutoshi en République démocratique du Congo, exacerbées par la baisse des prix du cobalt.
Les entreprises minières chinoises, souvent soutenues par l’État, ont renforcé leur présence en République démocratique du Congo, un pays prépondérant pour l’approvisionnement en cuivre et cobalt, des matières essentielles à l’industrie des véhicules électriques en plein essor en Chine. La décision de la Gecamines d’opposer son veto à cette transaction souligne les tensions et les enjeux géopolitiques croissants autour des ressources naturelles stratégiques en Afrique centrale, alors que les nations et les entreprises mondiales cherchent à sécuriser leur accès à ces matériaux critiques.
Rappel
Initiée en septembre 2023, la recherche d’investisseurs visait à surmonter les défis financiers rencontrés par Chemaf en raison de la baisse des prix du cuivre et du cobalt, ainsi que des pressions inflationnistes mondiales. Après une évaluation stratégique approfondie, Contribution annuelle sur les revenus locatifs (CRL) a choisi Norin Mining Limited, une entreprise minière et commerciale bien établie, pour reprendre ses opérations. La transaction devrait être finalisée au quatrième trimestre 2024, sous réserve de la satisfaction des conditions préalables.
Cette acquisition permettra à Chemaf de régler ses emprunts existants et de répondre à ses obligations envers ses créanciers. Plus important encore, elle introduira un nouveau propriétaire disposant des ressources financières et des capacités techniques nécessaires pour achever l’expansion de la mine d’Etoile (Phase 2) et le développement du projet Mutoshi. Ces projets, une fois réalisés, ont le potentiel de produire collectivement plus de 75 000 tonnes de cuivre et 20 000 tonnes d’hydroxyde de cobalt par an, renforçant ainsi la position de la RDC sur le marché mondial des minerais.
Fondée en 2001 par Shiraz Virji, Chemaf a produit plus de 300 000 tonnes de cuivre et 55 000 tonnes d’hydroxyde de cobalt au cours de deux dernières décennies. Shiraz Virji, président et fondateur de Chemaf, a exprimé sa gratitude envers la famille Chemaf pour leur dévouement et a salué l’engagement de Norin Mining à poursuivre les projets de développement. « Chemaf a été une entreprise familiale fière pendant plus de deux décennies. Nos opérations ont apporté des avantages économiques et sociaux significatifs aux communautés locales et à la RDC en général. Je suis très fier de ce que notre équipe a accompli et je suis confiant que Norin Mining continuera sur cette lancée, » a déclaré Shiraz Virji.
Norin Mining, avec des revenus de 4,3 milliards USD en 2023, possède déjà des opérations en RDC à Comika et Lamikal. Son expertise et son engagement dans le secteur minier garantiront la réussite des projets Etoile Phase 2 et Mutoshi. Jeremy Meynert, conseiller de Shiraz Virji et des Chemaf Group of Companies, a souligné l’importance de cette transaction pour le futur de Chemaf et ses parties prenantes. « Cette transaction permettra à Chemaf de respecter ses obligations envers les prêteurs et les créanciers tout en assurant le développement continu de nos projets miniers, » a-t-il ajouté.
Les conditions préalables à la clôture de la transaction incluent l’approbation de Gécamines S.A., partenaire de Chemaf à Mutoshi, ainsi que des régulateurs chinois. La transaction entre Chemaf et Norin Mining est une avancée majeure pour l’industrie minière de la RDC. Elle permettra non seulement de stabiliser la situation financière de Chemaf, mais aussi de poursuivre les développements miniers cruciaux pour l’économie du pays. Les employés, les fournisseurs et les communautés locales continueront de bénéficier des initiatives sociales et économiques soutenues par Chemaf sous la nouvelle direction de Norin Mining.