La Société Nationale d'Electricité, Direction Régionale de Distribution Kinshasa Nord, informe son aimable clientèle des communes de Kasa-Vubu et de NGIRI-NGIRI, que suite à la panne survenue du Feeder 404 de la S.S Voix du Peuple (VDP), tronçon reliant les cabines ECC et CENTRE D’ACCUEIL KIMBANGUISTE , il s’observe une interruption de l ‘ énergie électrique depuis ce jeudi 05 /O9/ 2024 à 07 h58’ , dans les secteurs des quartiers ci-après :
1. ASSOSSA (Tribunal de paix de Kasa-Vubu, Centre d’accueil Kimbanguiste);
2. DIOMI (Marché Bayaka )
Toutefois, SNEL rassure que les équipes sont mobilisées pour un rétablissement rapide de l’énergie électrique dans ces secteurs , et présente ses excuses pour les désagréments causés
La Direction Régionale de distribution de Kinshasa Nord.
La Commission nationale des droits de l'homme (CNDH) de la République Démocratique du Congo (RDC) a déployé mardi une mission d'enquête indépendante à la Prison centrale de Makala, à Kinshasa, pour évaluer l'étendue des dégâts et établir les responsabilités, après la tentative d'évasion qui s'était produite dans la nuit du 1er au 2 septembre 2024 dans ce centre pénitentiaire, selon son communiqué de presse n°006/CAB-RAPP/, du 3 septembre 2024, signé par son rapporteur, Me Kimbumbu Dido Didier.
Prison Centrale de Makala :tentative d’évasion dans la nuit du 1er au 2 septembre 2024
La « Nouvelle Société Civile Congolaise », NSCC et le « Réseau des Défenseurs des Droits Humains et de Lutte Contre la Corruption », RDDH-LC exigent l’interpellation du Directeur de la Prison, du Ministre de la Justice et Garde des Sceaux et du Ministre de l’Intérieur ainsi que de tous les responsables des services des renseignements civils et militaires.
La « Nouvelle Société Civile Congolaise », NSCC et le « Réseau des Défenseurs des Droits Humains et de Lutte Contre la Corruption », RDDH-LC ont appris avec peine et douleur un bilan très lourd de 129 morts dont 24 par balle d’après les chiffres du Ministre de l’Intérieur, contrairement à ce qui a été annoncé dans la précipitation par le Vice-Ministre de la Justice.
Des cas des femmes violées ont été également signalés lors de cette tentative d’évasion à la Prison Central de Makala à Kinshasa dans la nuit du 1er au 2 septembre 2024.
Pour toutes ces raisons, la « Nouvelle Société Civile Congolaise », NSCC et le « Réseau des Défenseurs des Droits Humains et de Lutte Contre la Corruption », RDDH-LC suggèrent toute affaire cessante :
1. L’ouverture d’une enquête indépendante avec la présence active des défenseurs des droits l’homme et que toute la lumière soit faite ainsi que l’établissement de responsabilité.
2. L’interpellation du Directeur de la prison, Ministre de la Justice et garde des Sceaux et Ministre de l’Intérieur ainsi que les responsables des services des renseignements civils et militaires.
3. Enfin, que tous les responsables de ce carnage et auteurs de cette évasion d’une rare cruauté soient déférés devant la justice
Communiqué d'avis de recherche La famille Kangundu Ngyke lance un avis de recherche concernant leur frère aîné, Djoudjou Kangundu, porté disparu depuis le 5 août 2024 à Kinshasa.
Djoudjou Kangundu, fils aîné du défunt journaliste Franck Ngyke Kangundu, a été vu pour la dernière fois ce jour-là, lorsqu'il accompagnait son ami, M. Peguy Bazu, à l'aéroport international de N’djili pour un vol à destination de la France. Depuis cette date, Djoudjou KANGUNDU n'a plus regagné son domicile. La famille Kangundu Ngyke demande à toute personne ayant vu Djoudjou Kangundu ou disposant d'informations sur sa localisation de bien vouloir contacter en urgence les numéros suivants : 0821975491 / 0997888821. Nous vous prions de bien vouloir relayer cet avis et de nous aider dans cette recherche urgente. Fait à Kinshasa, le 02 septembre 2024 Famille Kangundu Ngyke
La salle Reine de la paix dans la commune de la Gombe a servi de cadre à la clôture de l’atelier de formation sur la gestion des projets qui a débuté du lundi 19 au vendredi 23 août 2024. Objectif : aider les participants à avoir une meilleure compréhension du cadre organisationnel de gestion des projets et être capables d’identifier la transformation organisationnelle nécessaire.
Par la qualité de la formation dont ont bénéficié les agents de la Direction générale des douanes et accises de Kinshasa, le Directeur général adjoint chargé des questions techniques à la DGDA, Jean- Louis Bauna Mobila, n’a pas tari d’éloges pour exprimer sa joie.
Et d’affirmer : ‘’ C’est un plaisir pour moi de prendre à nouveau la parole pour la clôture de cet atelier de renforcement des capacités de cadres et agents de l’administration douanière de la RDC sur la gestion de projets ».
S’appuyant sur le rôle de la DGDA, l’orateur a fait savoir que la DGDA s’inscrit dans le processus de modernisation et dans la droite ligne de la volonté de renforcement des capacités des agents et cadres qui corroborent à la vision de l’administration douanière congolaise.
Le présent atelier, poursuit-il, avait un programme qui s’était étalé sur des aspects suivants : introduction sur la notion générale de la gestion du projet, cadre organisationnel et gouvernance du projet, étapes et réalisation d’un projet, et cycle de vie d’un projet, avant d’insister sur cette opportunité qui tombe à point nommé. « Ce, au moment où nous nous trouvons en plein processus de la modernisation de l’administration douanière de la RDC », a-t-il indiqué
En outre, a-t-il fait savoir, aucune administration douanière qui se veut être moderne ne peut évoluer dans son organisation, ses structures, ses méthodes sans se conformer à l’évolution des échanges internationaux. Parlant de la zone de libre-échange international, il a remercié, pour ce, le bureau régional de renforcement des capacités de l’organisation mondiale des douanes pour la région d’Afrique occidentale et centrale pour la manifestation de volonté de travailler avec administration douanière congolaise avant et après la mission et d’assurer le coaching avec une administration membre de la région qualifiée en la matière. Il a invité, pour terminer, les apprenants à mettre en pratique les matières apprises en vue d’atteindre l’objectif souhaité par la hiérarchie.
Il s'est passé des choses très odieuses et tragiques la nuit de dimanche à lundi 2 septembre 2024 à la prison centrale de Makala, à Kinshasa, en République Démocratique du Congo. Des Congolais incarcérés dans ce centre pénitentiaire dont certains ne seraient même pas condamnés, ont été tués en désordre.
Le Vice-premier ministre, ministre de l'Intérieur, Me Jacquemin Shabani a donné un bilan de 129 morts, dont 24 tués par balles, sans compter une centaine des blessés. Une situation qui inquiète au plus haut point, l'ONG "Parole des Opprimés" qui se dit très consternée et condamne avec la dernière énergie ce qu'elle appelle "les massacres de Kinshasa". Le président Alex Ndomba Kaputu dans son communiqué, exige les enquêtes indépendantes pour clarifier les causes de ces tueries et établir les responsabilités des uns et des autres.
Par ailleurs, l'ONG souligne que les Congolais sont fatigués de ce discours des hommes politiques congolais :"une enquête est ouverte" à chaque fois qu'il y a des cas pareils, d'autant plus que les conclusions de ces enquêtes n'aboutissent toujours pas. Le cas des incidents du mois de juillet dernier survenus au stade de Martyrs de la Pentecôte au concert de l'artiste musicien Mike Kalambayi.
Trop c'est trop, "Parole des opprimés" souhaite que cette fois-ci, les conclusions de ces enquêtes, qui doivent être indépendantes, soient annoncées à la télévision, et que les auteurs de ces tueries subissent la rigueur de la loi.
En attendant, l'ONG "Parole des Opprimés" se joint aux voix des compatriotes épris de douleur et leur présente ses sincères condoléances.
*Hormis quelques pays africains qui du restent ont les destinations touristiques les plus prisées. La République démocratique du Congo peine à attirer les visiteurs nationaux et internationaux. Un investissement dans les domaines des infrastructures routières et aéroportuaires en sont une priorité pour gagner en attractivité. L’initiative du Ministre de Tourisme de créer des villages touristiques est une aubaine pour certains coins et recoins de la RDC. Les jeunes de Kasongo Lunda dans le Kwango profond sont très intéressés et appellent de tous leurs vœux la matérialisation de ce projet sur les sites des Chutes Guillaume. Un site touristique naturel pouvant attirer des milliers des touristes. Cette chute est considérée comme une merveille de la RDC.
Située précisément dans la Commune rurale de Tembo, territoire de Kasongo Lunda, dans la Province du Kwango. C’est ici où les jeunes de cette contrée ont les yeux rivés sur le ministre du tourisme, Didier M'PAMBIA MUSANGA, est attendu pour la matérialisation de son projet.
C'est dans cette optique que le jeune leader politique de l'espace Lunda Bita Inana Batty, ancien Secrétaire Exécutif National du Mouvement de Solidarité pour le Changement Chargé de Recrutement et Implantation a saisi le patron du tourisme congolais pour lui demander l'érection rapide de ce projet dénommé ‘’villages touristiques’’.
Cette démarche créatrice d'emplois pour les jeunes est non seulement saluée par l'Administrateur du Territoire de Kasongo Lunda. Selon Bita Inana, le Révérend Pasteur Arsène Kukangidila qui a effectué une visite administrative au mois de juillet dernier, dans ce merveilleux site touristique, a à juste titre exprimer sa satisfaction de voir que ce site puisse attirer l’attention du patron du tourisme.
Il estime par ailleurs que si ce projet est réalisé ce sera une stratégie efficace pour attirer les investissements car, il peut concentrer aujourd’hui l’essentiel des projets hôteliers et présenter, en outre, une maturité nettement plus avancée en matière de développement touristique.
L’ouverture de ce projet dans le ciel Kwangolais peut permettre de trouver une clientèle importante et de faire émerger le tourisme de loisirs du fait que les chutes Guillaume a des atouts incroyables, une belle plage, de beaux paysages, un beau patrimoine qui fait une offre, souligne Bita Inana en ajoutant que : ‘’Pour promouvoir une destination, il faut transformer ses atouts en activités».
Chute Guillaume : un nouveau site touristique à conquérir ?
Pour rappel les chutes Guillaume se situent à proximité de la frontière angolaise, dévalent sur une trentaine de mètres dans un profond et étroit ravin, aux parois verticales couvert de mousse et des plantes grimpantes avec un sous-sol regorgeant le diamant.
Les chutes de Guillaume furent découvertes en 1880 par le major Von Mechow, qui les baptisa à l'époque du nom de l'empereur d'Allemagne Guillaume. C'est certainement l’un des sites touristiques remarquables du pays, non-encore exploité par l'État congolais. Ces chutes peuvent mobiliser des recettes susceptibles d'augmenter le budget de l'État et combattre le chômage des jeunes.
L’impulsion au niveau national d’une stratégie publique a un effet structurant. Ainsi, en se dotant d’un tel projet Sublime, la RDC peut s’attendre à devenir une destination touristique du continent et du monde.
Photo prise le jour de l'enterrement de mon père en juillet 2021 (Caniche Mukongo)
‘’Chers amis, j'ai un cœur brisé et qui saigne en ce moment car je viens de perdre un être cher !
C'est avec tristesse que je viens d'apprendre la mort de mon Pasteur le Révérend Joseph Kayimbi Kanyinda, de la Paroisse Katoka Nord de la 31ème CPC à Kananga au Kasaï Central.
Son décès est intervenu ce mercredi matin à l'hôpital Saint Georges de Kananga.
- Pasteur KAYIMBI m'a encadré depuis mon jeune âge, déjà à 13 - 14 ans comme choriste (Chorale Espoir) dans sa Paroisse, et autres encadrement spirituel.
- Un pacificateur, le Révérend a résolu beaucoup de problèmes (conflits) dans ma famille (entre moi et mes demi-frères), grâce à ses prières et conseils, Dieu ne m'a jamais abandonné dans tout ce je fais.
- Kayimbi wa Kanyinda a baptisé tous mes enfants, leurs certificats de baptêmes portent sa signature. Jusqu'à sa mort il avait toujours un temps libre pour ma mère, moi-même et ma famille, il voulait avoir de nos nouvelles chaque fois (loin des yeux, prêt du cœur).
- Chaque fois que j'avais des soucis : personnel, en famille, au travail, je faisais toujours recours à mon Pasteur pour une prière d'ensemble avec lui au téléphone à Kananga et moi à Kinshasa. Même dans ses autres méditations mes problèmes toujours dans ses prières.
- Lors du décès de mon Père en juillet 2021, Pasteur KAYIMBI Kayinda était au four et au moulin, très tôt à 4 heures du matin, il a ordonné que le corps de mon père soit lavé avant de l'amener à la morgue en compagnie des autres amis, l'organisation du deuil et la dernière prière a été dite par lui.
Sa famille est ma famille, ses enfants et moi sommes frères et sœurs grâce aux liens forts et solide tissés entre nous.
Que ton âme repose en paix Muambi wa Nzambi Joseph Kayimbi wa Kanyinda !
Merci beaucoup pour tous les biens faits dans ma vie !
Le président de la Mutuelle pour la Solidarité des Chauffeurs au Congo (MSCC-ASDT/Asbl), Chardin Ngoie apporte son expertise au problème de mobilité à travers les différentes artères de la ville-province de Kinshasa. Pour tenter, tant soit peu, d’apporter une réponse aux embouteillages, il lance un appel urgent au Gouverneur de la ville et au ministre provincial des Transports et mobilité urbaine afin de mettre fin à l’incivisme routier.
Cet expert routier commence par diagnostiquer que cette situation a été exacerbée par l'incivisme qui caractérise les conducteurs des véhicules qui entraine inexorablement l'anarchie avec pour conséquence : des bouchons récurrents sur les différents axes routiers.
Pour Chardin Ngoie, il est impérieux d’entamer de grands projets d'investissement et des réformes radicales en vue de rétablir l'ordre et la discipline routière. Il préconise, pour ce, l'introduction de sanctions sévères par le paiement des amendes transactionnelles à travers les banques et la délivrance de quittances. Cette façon de faire, permettra de restaurer l'ordre sur les routes de la Capitale et transformer les mentalités des conducteurs.
Des décisions fortes des autorités urbaines apporteront un début de changement dans ce secteur qui devient un casse-tête pour tous les usagers de la route à Kinshasa.
C’est le lieu d’évoquer ici le professionnalisme dans la régulation du trafic par la police nationale congolaise. Ce corps est appelé à se montrer discipliné afin de maintenir l’ordre en régulant la circulation. Des cas des bévues ont été malheureusement constatés dans le chef de certains policiers de roulage. Il y a donc nécessité d’entrevoir des sessions de renforcement des capacités des policiers afin de permettre de mieux accompagner les directives arrêtées pour une meilleure mise en pratique du code de la route.
Kinshasa, une ville de près de 17 ou 20 millions d’habitants, fait face à une crise de transport routier. Les infrastructures font largement défaut. Les transporteurs routiers restent les seuls à desservir tout Kinshasa. La Capitale de la République démocratique du Congo doit s’inspirer des autres moyens exploités ailleurs notamment, les trains urbains modernes.
Au cours d’un échange organisé ce mercredi 4 septembre 2024 avec des têtes pensantes de la société civile, Jean-Marie Ntantu Mey, initiateur de l’Alliance des Leaders de la Société Civile (ALSOC), a appelé à une société civile exemplaire, pour défendre les intérêts de la population dans des grands rendez-vous politiques qui s’annoncent. Ces échanges entre les acteurs de la société civile ont eu lieu autour de deux points majeurs : la problématique de la gratuité et la qualité de l’éducation et de l’enseignement à l’école primaire ainsi que la préparation du dialogue tant souhaité par beaucoup de compatriotes.
Dans l’optique d’un probable dialogue qui serait en gestation, le président de ALSOC a appelé ses pairs à se préparer en conséquence pour ne pas tomber dans l’improvisation. En effet, il a déclaré être pour un dialogue, qui va mettre autour d’une table toutes les tendances politiques ainsi que de la société civile afin de voir dans quelle mesure sortir le pays du gouffre.
‘’Quant à nous, nous pensons que cette rencontre, qu'on l'appelle Dialogue, Concertation, Pourparlers ou quoi, est nécessaire pour convenir d'une meilleure Gouvernance et un entendement commun pour combattre les agresseurs, rétablir la paix à l'Est où nos frères ont trop souffert’’, a indiqué Jean-Marie Ntantu-Mey. Il a invité les différentes structures de la société civile à veiller pour que le peuple congolais trouve son compte lors de ces accises. Sur cette lancée, il a appelé toutes les parties prenantes, ou du moins les partisans du dialogue à mette de côté leurs intérêts personnels au profit de la Nation.
Abordant la question liée à la gratuité de l’enseignement, M. Ntantu-Mey a déploré le manquement d’un accompagnement financier du Gouvernement pour la réussite de ce projet qui, au moment de son lancement, avait suscité de l’enthousiasme à travers le pays. En tant qu’acteur de la société civile, il a estimé être son devoir de tirer la sonnette d’alarme afin que l’Etat dispose des moyens conséquents pour sauver l’éducation nationale. Selon lui, une bonne rémunération des enseignants peut être l’un des facteurs pour que cette gratuité de l’enseignement donne des résultats escomptés.
‘’Pour que cette gratuité s'accomplisse correctement, le Gouvernement doit prendre en charge tous les frais nécessaires au bon fonctionnement d'une école et bien rémunérer les instituteurs. L'on doit aussi respecter les normes requises pour une classe, dont le nombre d'élèves qui ne peut pas dépasser 45 ou 50 élèves par local.
Mais, nous constatons que la gratuité emmène beaucoup d'écoles publiques à avoir des classes pléthoriques ! Bien qu'il ne donne pas des frais de fonctionnement suffisants et ne donnent pas une bonne rémunération aux enseignants, le Gouvernement interdit même aux parents volontaires de contribuer’’, a-t-il déploré. Par ailleurs, il a attiré l’attention des autorités sur la baisse du niveau d’enseignement dans les écoles publiques, tout en faisant le parallélisme avec les écoles privées où le niveau d’enseignement n’a pas été impacté par la gratuité.
N'en déplaise à quiconque mais, la vidéo a fait le tour du monde où l'actuel deuxième Vice-Président de la Chambre Haute visitait le chantier dénommé : ‘‘Cité de la science moderne de la Fondation Modeste Bahati LUKWEBO, en sigle MBL’’.
Les questions fusent au vue de ce chantier : c'est où ce chantier ? Est-ce au Congo ? Qui est le géniteur ?
Partant de ces questions, nous avons trouvé des réponses grâce à nos investigations dans les milieux proches de l'Honorable Sénateur Modeste Bahati.
Il s'agit bel et bien d'un chantier en construction à Nyakadaka Katana, territoire de Kabare au Sud-Kivu, en République Démocratique du Congo par le génie créateur de l'Honorable Sénateur Professeur Modeste Bahati Lukwebo. Oui ! Il s'agit d'un digne fils du pays qui a songé marquer de son nom les actes à impact visible pour les générations. Il a reçu de Dieu, il donne avec son cœur à ses descendants congolais car, animé d'un sens patriotique d'investir au pays de ses ancêtres et chez lui, son village natal de Muganzo, groupement de Bugorhe, en territoire de Kabare ! Bravo !
Ce chantier comprend un complexe hospitalier moderne avec un centre de diagnostic qui sont des locaux techniques, un service d'administration, un grand laboratoire, une salle des soins intensifiés qui sera équipée des matériels de dernière génération, d'une pharmacie, d'une salle de consultations, des blocs opératoires, de la maternité, des bureaux et une partie aussi des locaux techniques et au deuxième et au troisième niveau pour l'hospitalisation des patients; et d'une école polytechnique dénommée ‘‘la modestie’’ qui comprend au rez-de-chaussée une salle de professeurs, une bibliothèque, des bureaux et 7 salles pour différents ateliers ; tandis qu'au premier niveau il y a 12 salles de classes aussi au deuxième niveau 12 classes de quoi réjouir les apprenants dans ce domaine de la polyclinique. L'école ‘‘la Modestie’’ comprend également un grand parking pouvant contenir plus de 50 véhicules, un terrain de basketball et une grande verdure et allées pour les piétons et une cour de récréation, un auditorium, et 10 jolies villas chacune comprenant un séjour, un coin de repas, trois chambres chacune avec sa salle de bain, une cuisine avec une réserve communément appelée dépôt, une toilette pour visiteurs, un parking accueillant au moins deux véhicules légers, une verdure et voies de passage pour piétons déjà achevées que devront habiter les enseignants ainsi que les médecins.
Depuis 2022, précisément en date du 11 avril que les travaux avaient commencé pour la réalisation de ce projet ambitieux au bénéfice de ses concitoyens.
Qu'a-t-il encore à offrir ? Sinon, le bien être en étant philanthrope malgré sa casquette politique, le Professeur Modeste Bahati Lukwebo est un modèle de la résilience, de la perfection artistique et de l'art du beau.
C'est un complexe merveilleux qui sort de la terre dans un coin perdu de la République, où il a toujours pris la mesure d'investir chez lui, dans son pays contrairement aux autres qui se construisent des châteaux et villas à l'étranger.
Le Maniema s'est construit grâce aux fils de la province, le Nord et Sud-Kivu se construisent grâce aux fils des provinces notamment, Katana, Kabare, Goma, Bukavu, Nyangezi, Kaziba, Beni, Butembo. Hélas ! L'ancien KIVU à travers ses génies créateurs se métamorphose.
A en croire les ancêtres, un Kivutien n'est pas un immigrant d'une province à une autre comme certains de nos compatriotes qui détestent chez eux au détriment du Katanga. Un Kivutien est fière de chez lui et le Professeur Modeste Bahati Lukwebo donne le ton. ‘‘Construisez chez vous’’. Tel est le challenge lancé par ce compatriote pour le développement de toute la RDC.
A travers le Sénateur Modeste Bahati Lukwebo, la phase suivante comportera la construction d'un grand supermarché ainsi que le stade moderne, une station de service et ses propres villas comme résidences.
La même cité va constituer le siège social de sa Fondation dénommée MBL.
Rome n'a pas été construite le même jour. Le Grand KIVU non plus. Mais, à travers ses dignes fils, nous avons la certitude de ceux qui disent d'avoir envie de passer des vacances dans ce que les occidentaux appellent ‘‘la Suisse d'Afrique’’, le KIVU montagnard, le KIVU écologique, le KIVU agricole, le KIVU moderne.
Un jeudi chaud et déterminant pour les agents de la Mettelsat en sit-in devant l’immeuble du Gouvernement pour réclamer leur dû.
Après avoir passé plusieurs années à réclamer l’amélioration de leurs salaires et primes ainsi que leur traitement dégradant de la part des autorités, précisément le ministère des Transports et voies de communication, qui ne prêtent pas attention à leurs revendications, les agents de l’Agence nationale de Météorologie et de Télédétection par Satellite (Mettelsat), sont arrivés aux environs de 10 heures devant l’immeuble du Gouvernement pour présenter, au Vice-Premier Ministre, Ministre des Transports et Voies de Communication, leurs doléances.
Un agent qui a requis l’anonymat a pris la parole au nom de tous en ces termes : « S’il faut dire un mot en rapport avec le sit-in d’aujourd’hui, nous sommes descendus ici pour voir le VPM des Transports et voies de communication, Jean-Pierre Bemba, pour lui dire premièrement que nous en avons marre avec ce salaire maigre et médiocre que nous percevons depuis plus de dix ans. Deuxièmement, il existe un arrêté de coordination départageant la Mettelsat de la RVA que le VPM doit signer. Le projet de la lettre a été déposé sur la table du VPM depuis plusieurs jours déjà mais jusqu’à présent nous observons un silence total. C’est pourquoi nous venons ici lui demander d’examiner notre situation et de nous trouver une solution durable ».
Et à un autre d’ajouter : « Ça fait 2 ans que notre prime n’est pas revue à la hausse pendant qu’ailleurs, dans d’autres agences et institutions publiques, nous constatons un traitement louable en permanence des agents publics de l’Etat. Ne sommes-nous pas tous égaux selon la loi régissant les agences, établissements et institutions publics ? Le treizième mois d’ailleurs n’a jamais vu le jour chez nous. Nous sommes donc les plus oubliés des fonctionnaires. Pouvez-vous imaginer qu’un directeur puisse toucher 169.000 FC qui ne valent même pas 100 USD de nos jours. Et moi qui suis Attaché 1, je ne perçois que 130.000 FC à la fin du mois, cela du début à la fin de l’année. Somme maudite qui ne peut nullement me permettre de relier les deux bouts du mois. Comment voulez-vous que nous puissions vivre heureux dans notre propre pays ? Nous devons avoir une mesure spéciale avant de quitter ce lieu parce que nous en avons vraiment marre ».
« L’application de la loi sur l’Aviation Civile, seule la Régie des Voies Aériennes (RVA) en bénéficie pleinement pour avoir créée un département de Météorologie en son sein. Alors que la Mettelsat est la responsable de la météorologie nationale. Pourquoi un dédoublement des agences dans un même ministère aussi longtemps que nous nous avons un champ d’activités au niveau national ? Cela nous coûte la vie. Tous les avantages dont nous devons être bénéficiaires sont canalisés à la RVA et nous en subissons les conséquences tous les jours », a-t-il renchéri.
Rappelons néanmoins que l’Agence Nationale de Météorologie et de Télédétection par Satellite », a été créée par Décret n°12/040 du 02 octobre 2012 portant statut d’un établissement public, signé par Matata Ponyo Mapon, Premier Ministre à l’époque, et exécuté par Me Justin Kalumba Mwana-Ngongo, Ministre des Transports et Voies de Communication.