Que dire en ce jour si ce n'est comme Saint Paul, appeler chacun, chacune, à se mettre au travail et à vivre sa foi dans l'action, à être vrai et actif. Que celui qui ne travaille pas ne mange pas non plus. Il ne faut pas que le christianisme soit un conglomérat de vaux rien, de vautours, d'hypocrites, de menteurs et de gens d'apparence. Le Christianisme est une religion de gens à l'œuvre, vrais, sincères, et qui par leurs œuvres, par leur travail permettent une action de grâce à Dieu qui seul est toujours à l'œuvre.
Il faut donc éviter toute hypocrisie et toute apparence mais vivre vraiment selon la Parole de Dieu en devenant des hommes de la vie intérieure sans chercher à paraître dans la Lumière et dans la Vérité.
La banane comme l’ananas zinnias sont les plantes dont la culture est meilleure dans les pays à climat chaud d’Afrique ou d’ailleurs.
Pour l’ananas zinnias sa culture n’a pas été bonne au climat froid de l’Europe après que l’explorateur Christophe Colomb l’a amené de l’Amérique en 1480.
La plante de banane pousse au bout de son tronc qui est son axe principal ainsi que celui de son régime de fruit ; ses longues feuilles servent d’emballage dégradable.
On dénombre plusieurs espèces dans sa végétation dont des bananes dures et douces à fruits longs ou courts.
Les bourgeons autour de sa racine seront replantés dans une nouvelle plantation.
L’ONG nature santé de Kinshasa nous recommande de manger la banane pour un régime alimentaire à privilégier étant donné que sa densité énergétique est faible ainsi que celle de maïs, de riz, de patate douce, de pomme de terre, le thon, les crevettes, olive, avocat, lait écrémé, boisson de soja, des fruits et légumes non féculents et soupe de bouillon.
Les grandes et vastes plantations de banane se trouvent dans la région de l’Equateur et Mayombe dans le Kongo Central.
La grande quantité de la production de notre pays est destinée à la consommation nationale et non à l’exportation après 1960.
Une boisson alcoolique est tirée de ses fruits mous, pèles et fermentés dans les cuves pendant une semaine ; ensuite la solution fermentée est cuite au feu dans les mêmes cuves auxquelles sont joints de tuyaux de bambou de 7 mètres repliés pour obtenir la solution gazeuse ensuite liquide qui est recueillie dans les bouteilles pendant la fabrication par les villageois.
C’est un alcool de bon goût comme celui de canne à sucre qui passionne les consommateurs avertis.
Un film documentaire à la télévision nous a montré des grands bateaux d’océan et de mers transportant les régimes de banane vers les pays d’Europe où il y a des consommateurs beaucoup plus nombreux.
Ces grands bateaux d’océan et de mers sont appelés aussi des bananiers.
Des fruits verts durs décortiqués sont préparés dans la marmite pour obtenir un met délicieux tandis que les fruits doux, jaunes servent de dessert après un repas copieux.
L’aliment délicieux de la banane se mange ou s’ajoute au repas de la viande sur la table.
Les écorces de tronc de banane séchée au soleil servent de rubans pour transporter les bébés et les fardeaux dans les villages de l’équateur et de Mayombe du Kongo Central.
Les écorces des fruits verts durs sont aussi séchées au soleil pour la fabrication de savon à mousse dans les villages de la région de l’Equateur par les villageois.
Et ce, comme qui dirait rien ne se perd et rien ne se crée donc dans la banane, toutes les parties sont utilisées ou consommées par les hommes et les animaux (oiseaux) qui piquent les fleurs rouges au bout de régime.
Le plaidoyer pour la reconnaissance des 22 journalistes congolais assassinés comme Martyrs de la liberté de la presse se poursuit avec force et détermination. Ce mouvement est désormais porté par une voix puissante et symbolique, celle de Grâce Israëlla MAMBU KANGUNDU NGYKE, elle-même orpheline de deux parents, Franck NGYKE KANGUNDU et Hélène MPAKA tombés pour avoir défendu la vérité et la liberté d'expression.
Grâce Israëlla, Présidente de l'Association Congolaise des Femmes Journalistes de la Presse Écrite et membre du groupe de Plaidoyer a lancé un vibrant appel aux professionnels des médias congolais, les exhortant à s'approprier ce plaidoyer et à ne pas laisser le sacrifice de leurs collègues sombrer dans l'oubli. Pour elle, il est crucial que la République Démocratique du Congo reconnaisse à titre posthume ces journalistes comme des martyrs de la liberté de la presse, honorant ainsi leur combat pour la démocratie et la vérité.
«Les journalistes congolais doivent se souvenir de leurs collègues partis injustement pour avoir défendu la vérité et la liberté d'expression», a déclaré Grâce Israëlla avec émotion.
Elle rappelle que cette cause dépasse les simples commémorations, il s'agit d'une question de justice, de mémoire et de dignité. Pour elle, la reconnaissance officielle de ces 22 journalistes offrirait non seulement une forme de réparation symbolique, mais aussi un soulagement moral aux familles des victimes, trop souvent oubliées dans la douleur.
En cette année 2024, marquée par la montée des revendications pour la liberté de la presse et les droits humains, Grâce Israëlla et le groupe de plaidoyer ont insisté auprès du Ministre de la Communication et des Médias de soutenir cette lutte. Ils ont notamment proposé la construction d'un monument en mémoire de ces journalistes assassinés, un symbole fort qui se dresserait au cœur de Kinshasa, la capitale congolaise.
Ce monument, selon eux, ne serait pas seulement un lieu de recueillement, mais aussi un puissant rappel de l'engagement du gouvernement congolais envers la liberté de la presse, un pilier indispensable de tout État de droit. Conformément à la vision du Chef de l'État, qui prône un État de droit où les droits fondamentaux sont respectés et protégés, cette initiative s'inscrit dans une démarche de réconciliation et de mémoire collective.
Grâce Israëlla, avec courage et détermination, continue de mener ce combat, non seulement en mémoire de ses parents, mais pour tous les journalistes congolais tombés pour la vérité. Son interpellation aux médias congolais est un appel à l'unité, à la solidarité et à l'action. Elle incarne l'espoir d'un avenir où les sacrifices des martyrs de la presse ne seront plus vains, mais reconnus et honorés par la nation entière.
Le 15ème anniversaire de l’ordination sacerdotale de l’abbé-chanteur Jean-Marie Konde a été célébré à la paroisse Saint-Thomas dans la commune de Kisenso, au sud-est de Kinshasa, en République démocratique du Congo, a-t-on appris vendredi d’un entretien. Le dimanche dernier, le prêtre catholique a été également convié à la paroisse Saint Luc à Ma campagne où il a été honoré par les paroissiens de cette communauté.
« Bien avant, nous avons communié avec les fidèles de la paroisse Saint–Thomas de Kisenso. C’est dans cette paroisse que le jeune Jean-Marie Konde, appelé par ses amis Jeancy, avait reçu la première communion et la confirmation avant d’être consacré premier prêtre diocésain en 2009. Merci Seigneur pour les 15 ans de sacerdoce. Ma carrière a commencé dans cette église comme choriste et guitariste avant de poursuivre ma passion dans la musique, au-delà de la vocation sacerdotale comme berger», a fait savoir l’abbé-chanteur JM Konde.
Et d’ajouter : «nous étions accompagnésde Monsieur l’abbé François Lombi, mon confrère de promotion et curé de ladite paroisse».
Auteur-compositeur et interprète, l’Abbé Jean-Marie Konde est un artiste musicien et serviteur de Dieu, prêtre à l’église catholique. Il est également animateur-télé de l’émission culturelle «Cantate Domino» qui passe sous forme d’une compétition des chorales.
Cet homme de culture a écrit plusieurs cantiques avec de thèmes différents sur la société, l’église et la jeunesse. Son dernier album intitulé «Ça me dépasse» est sorti en 2022 sur le marché. Cette aubade musicale compte huit titres, notamment «Africa louange», «Ça me dépasse», «Voyez vous-même», «Cœur joyeux», «Gloire à toi», «Ne crains point», «Jésus» ainsi que «Alléluia».
Sa mission pour Christ a commencé à la paroisse Saint-Thomas où il a évolué comme scout, servant de messe, jeune de lumière (BYM), choriste à la chorale Kaoze et guitariste au renouveau et chorale avant qu’il y devienne prêtre.
Jean-Marie Konde a été pendant longtemps aumônier chargé de la culture à l’archidiocèse de Kinshasa avant d’être muté à Bangui en République Centrafricaine dans le cadre de l’apostolat.
C’est sur base d’un arrêté rendu public ce lundi 26 août 2024 que la ministre de l'Enseignement supérieur et universitaire (ESU), Marie-Thérèse Sombo Ayanne, a procédé à la nomination de nouveaux membres du Comité de Gestion de l'Université Pédagogique Nationale (UPN). Au rectorat de cette alma mater, la professeure Yvonne Ibebeke Bomangwa Saila qui remplace Anastasie Masanga, rectrice depuis décembre 2021.
Dans ce même arrêté ministériel, les professeurs Lohaka Ndjonga Jean, Pongi Kingiela Albert, Niakakonga Cibonga Benita et Ilunga Ngoy Sympho, sont respectivement nommés secrétaire général académique, secrétaire général à la recherche, secrétaire général administratif et administrateur du budget de cet établissement universitaire.
Au cours de cette journée de lundi, des heurts ont éclaté à l'extérieur de cette institution universitaire. Des images, devenues virales sur les réseaux sociaux, montrent des étudiants en colère brûlant des pneus sur la chaussée tout juste devant l'UPN, brandissant des calicots mentionnés « sauvons l’UPN », « ESU sauve l’UPN », « non au dédouanement des comptes ». Devant la caméra, l'un d'eux lâche : « Masanga doit partir, l'UPN est morte ». D'après un étudiant sur place, qui s'est confié à notre rédaction, il s'agissait des étudiants en terminale qui protestaient contre le retard que prend leur délibération.
Rappelons qu’en juillet de l'an dernier, une autre vague de manifestations avait secoué cet établissement universitaire. Des étudiants, mécontents de la majoration des frais académiques, avaient exprimé leur ras-le-bol jusqu'à incendier des véhicules, dont l'un appartenant à l'université. « Avant, nous payions 580.000 FC et maintenant, nous devons payer (en dollar) 350$. Tel est le motif de ce soulèvement», il est important de croire que cette décision de la ministre apportera un vent nouveau au sein de cette institution qui forme des hauts cadres.
Etablissement d’enseignement supérieur de renom en République Démocratique du Congo, l’Université de Goma (UNIGOM) a annoncé avec enthousiasme à la population de Goma et d’ailleurs, l’ouverture des inscriptions de nouveaux étudiants pour l’année académique 2024-2025. Pour cette nouvelle année académique, l’Unigom propose plusieurs filières, allant des sciences sociales aux sciences exactes, en passant par la médecine et la technologie. Ce lancement constitue une étape cruciale pour les étudiants en quête d’un parcours académique enrichissant dans divers domaines d’études.
Email : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
SECRETARIAT GENERAL ACADEMIQUE
COMMUNIQUE N° UNIGOM/SGAC/JBM/013/2024
A L'ATTENTION DU PUBLIC
L'Université de Goma (UNIGOM) porte à la connaissance de la population de Goma et de partout ailleurs que les inscriptions des nouveaux étudiants pour l'année académique 2024-2025 sont en cours.
Les candidats désireux de se faire inscrire peuvent se présenter chaque jour du Lundi au Vendredi de 8h à 15h au Campus du Lac (ex Kinyumba) et au Campus du Lac vert (Mugunga) munis de :
1. Une photocopie du diplôme de baccalauréat (diplôme d'Etat) ou son équivalence : journal et ou confirmation de réussite aux examens d’Etat ;
2. Les photocopies des bulletins 3ème et 4ème ;
3. 4 photo passeports (voir imprimerie UNIGOM) ;
4. Une photocopie d'attestation de naissance ;
5. Une photocopie du certificat d'aptitude physique avec groupe sanguin obligatoire (à prendre au service médical de l'UNIGOM) ;
6. Une photocopie du certificat de bonne conduite vie et mœurs ; et
7. Une photocopie de la carte d'électeur.
L'université de Goma organise les domaines ci-après :
Domaine de Médecine
Domaine des sciences juridiques, politiques, Administratives et Management, Relations internationales
Domaine des sciences économiques et de Gestion
Domaine des sciences Agronomiques et Environnement
Domaine des sciences psychologiques et de l'éducation
Domaine des sciences et technologies
Domaine des sciences de l'homme et de la Société
Ecole de Santé publique
Ecole de Volcanologie, de gestion de risques et des catastrophes
Ecole de Genre
Ecole de Criminologie
La Spécialisation en médecine
Master complémentaire dans tous nos domaines.
Thèse d'agrégation en Médecine.
Pour plus d'éclaircissement, veuillez contacter les Apparaitorats du Campus du Lac et/ou Lac vert.
La Direction Régionale de Kinshasa Ouest informe son aimable clientèle de la commune de Bandalungwa qu'une panne de câble moyenne tension a été enregistrée ce dimanche 25 août 2024 sur le feeder F1507 de la sous-station Bandal, entre les cabines Bandal Sud et Centre. Cet incident perturbe la fourniture d’électricité dans la commune, en particulier dans une partie du quartier Makelele.
La SNEL rassure ses clients que ses équipes sont déjà à pied d’œuvre pour réparer et rétablir la fourniture d’électricité dans les meilleurs délais.
Chose promise, chose due, la SNEL SA a déployé ses équipes à Mayidi et au poste haute tension d'Inkisi qui sont à l'œuvre pour l'électrification de cette partie du pays, acte qui vient clouer définitivement les mauvaises langues. Des personnes mal intentionnées qui, jadis, parlaient de l'abandon de matériel dans ces localités.
Ces travaux, initialement confiés à un entrepreneur sélectionné par l'Agence Nationale d'Electrification et des Services Energétiques en Milieux Rural et Périurbain (ANSER), sont désormais menés en régie par la SNEL SA, assurant ainsi une réalisation rapide et efficace du projet.
« La SNEL SA rassure les populations de Ngeba et Lemfu du tirage des lignes et de l'implantation des réseaux de distribution dans les meilleurs délais », a déclaré la société dans un communiqué.
Ce démarrage des travaux est accueilli avec un immense soulagement par les habitants de Mayidi, Ngeba et Lemfu, qui pourront enfin profiter des avantages d'une électricité fiable et accessible.
La SNEL SA, fidèle à sa mission de service public, réitère son engagement à fournir l'énergie nécessaire au développement du pays, conformément aux objectifs du Chef de l'Etat Félix-Antoine Tshisekedi et au programme du Gouvernement.
L'Office des Routes, Jeanneau Kikangala vient de mettre en Service le Pont Kabangu qui, pourtant, avait récemment cédé alors qu’il était déjà à la phase de finition de ses travaux. Il s’agit-là d’une réalisation qui marque une avancée significative dans l'amélioration des infrastructures routières de la région, facilitant ainsi la mobilité des échanges commerciaux pour la population de cette partie du pays. Situé sur la rivière Nko à Bulungu au PK 80, ce Pont Kabangu mesure 42,70 m de longueur et 4, 20 m de largeur.
Un pari est donc gagné pour le Directeur Général de l’Office des Routes dans l’exécution de la vision du Chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.
Zhang Bowen, le Directeur Général de Huawei, Miguel Kashal Katemb, le DG de l’ARSP
*Il s’agit d’un autre grand pas de géant que vient de réaliser l’autorité de régulation de la sous-traitance dans le secteur privé avec son directeur général Miguel Kashal Katemb dans le cadre de la facilitation des congolais pour l’obtention des marchés de prestation des services conformément à la vision du Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.
Cette fois-ci, c’est le secteur des télécommunications qui a été visé par le Directeur Général de l’ARSP qui vient de faciliter l’accès aux marchés à cinq sous-traitants congolais à des marchés de différentes sortes.
Il s’est agi de contrats entre :
1. Wide Solution Technologies and Diversity S.A.S.U. et HUAWEI TECHNOLOGIES (R.D.C.) S.A.R.L.
2. EBEMBO LIKAYI MULTI-SERVICES S.A.R.L. et HUAWEI TECHNOLOGIES (R.D.C.) S.A.R.L.
3. HAYATCOM RDC SARLU et HUAWEI TECHNOLOGIES (R.D.C.) S.A.R.L.
4. AFRO-EGYPT ENGINEERING S.A.R.L et HUAWEI TECHNOLOGIES (R.D.C.) S.A.R.L.
5. HOPE WORK SOLUTION SARLU et HUAWEI TECHNOLOGIES (R.D.C.) S.A.R.L.
Installé depuis 1987 en Chine, Huawei technology est une grande firme multinationale qui fournit des solutions innovantes dans le secteur des nouvelles technologies de l'information et de la communication à travers le monde. Il s’agit d’un fournisseur global qui travaille avec 45 parmi les 50 plus importants opérateurs téléphoniques au monde.
Voulant à tout prix observer la législation congolaise, la filiale Huawei technologie RDC opte pour le respect des activités de sous-traitance et se distingue également en terme de qualité de service.
" C'est avec honneur que je prends la parole aujourd'hui à l'occasion de cette cérémonie de la signature de contrat entre Huawei technologie et les sociétés de droit congolais éligible à la sous traitance en présence de l'autorité de l'Arsp, et celà conformément à la loi sur la sous traitance dans le secteur privé en RDC, nous matérialisons notre engagement à contribuer activement au développement d'une chaîne de valeur locale selon la vision du Chef de l'Etat, Félix Tshisekedi", a déclaré notamment, M. Zhang Bowen le Directeur Général de Huawei
L’essentiel de cette cérémonie a porté sur la signature du contrat programme entre, d'une part, un groupe des 5 sous-traitants éligibles au marché du secteur de Telecom et la société principale Huawei technology RDC, d’autre part.
Les entreprises sous-traitantes sélectionnées pour cette cérémonie œuvrant dans le domaine de Télécommunication et de la nouvelle technologie de l'information et de la communication qui aujourd'hui ont saisi cette opportunité grâce à la volonté politique du Chef de l'État et matérialisée par le Dg de l’Autorité de régulation de la sous-traitance dans le secteur privé .
Outre le Dg Miguel Kashal, plusieurs cadres de l’ARSP, collaborateurs directs de la Direction Générale, ont pris part à la cérémonie pour s'assurer minutieusement dans leur rôle de régulateur de la conformité des dits contrats à la législation congolaise sur la sous-traitance dans le secteur privé en étroite ligne avec la vision de la création d’une vraie classe moyenne via l'entrepreneuriat prôné par le président de la république
" Ceux qui signent ces contrats aujourd'hui ce sont des congolais ensemble avec les expatriés, nous venons de voir le cas d'Afro Egypte qui était une société non éligible et qui était sanctionné par l'ARSP parce qu'elle n'était pas éligible, et il n'y a pas longtemps vous avez vu qu'ils se sont associés aux congolais et aujourd'hui ils ont bénéficié de l'accompagnement de l'Arsp en signant un contrat en tant que société éligible. C’est une grande responsabilité et le pays attend de vous cette mission de faire fonctionner les sociétés principales pour que demain vous puissiez également être des sociétés principales, mais c'est en étant une société sous-traitante de qualité irréprochable que vous allez finir par être des sociétés principales. » a affirmé, dans son mot de circonstance, Miguel Kashal Katemb, le Directeur Général de l’ARSP.
« Je m'adresse aux autres sous-traitants qui se plaignent. Notre conseil d'administration a instauré le système de publication obligatoire des appels d'offres, afin que chaque congolais y compris même ceux de la diaspora puisse avoir l'information des marchés sur la sous-traitance. Ceux-là qui ont signé les contrats aujourd'hui l'ont fait à travers les appels d'offres. Nous incitons tous les entrepreneurs de prendre au sérieux les appels d'offres, chacun a sa part, celle de Dieu, de l'homme, de l'État et aussi la part de la population, de l'ARSP ainsi que des entrepreneurs . A notre niveau, nous prenons les appels d'offres et on vous les disponibilise. Chose qui n'a pas existé depuis 64 ans dans ce pays, les contrats ou les appels d'offres se faisaient en dessous de la table, grace au soutien et à la vision du Chef de l'Etat, Félix Tshisekedi, le chandelier qui était en dessous du lit, nous l'avons mis au-dessus de la table ", a-t-il ajouté.
Au total, les cinq entrepreneurs qui ont signé les contrats avec la société Huawei sont tous satisfaits par ce partenariat obtenu grâce à l’ARSP, selon leurs propres témoignages.
Cette cérémonie a créé de la satisfaction chez tous les entrepreneurs qui n’ont pas manqué de placer un mot
" Un tel événement depuis l'existence de l'Arsp ont l'a jamais vécu dans notre secteur, Huawei a fait preuve qu'elle est une entreprise principale qui se veut respectueuse par rapport à la loi sur la sous-traitance et surtout sur son applicabilité, ce qui est déjà bon et nous attendons que les autres sociétés principales puisse emboîter le même pas , si il faut parler aujourd'hui des grands secteurs qui produisent beaucoup de revenus, il y a aussi le secteur de télécommunication en dehors des secteurs miniers, pétroliers et brassicole, la vision du Chef de l'État est en train de se concrétiser, comme l'a dit le Dg de l'Arsp", a déclaré, pour sa part, l’entrepreneur PEPEL LUBO suivi de HAMED EL MORSI qui, lui, a remercié le Chef de l’Etat congolais pour les efforts fournis.
"Je remercie le Chef de l'Etat ainsi que les organisateurs de cette cérémonie, nous nous sommes décidés à travailler pour le développement de la RDC et de la création de l'emploi et nous accompagnons la vision du Chef de l'Etat ", a-t-il précisé.
De son côté, Tharcisse Kongolo dit avoir découvert les missions de l’ARSP grâce au dynamisme du DG Miguel Kashal :
"Je ne connaissais pas vraiment l'Arsp, c'est par l'avènement du Dg Miguel que j'ai su ce que c'est l'Arsp, c'est vrai que beaucoup de gens ne prennent pas conscience, mais les choses évoluent, je suis content et satisfait car cette cérémonie marque un début important, les sous-traitants congolais n'étaient pas vraiment considérés et il y avait beaucoup plus des étrangers et maintenant on voit que les congolais sont maintenant-là, je remercie le Chef de l'Etat et qu'il continue dans cette vision de booster la classe moyenne congolaise afin que notre pays puisse avancer"
Il sied de noter que de plus en plus les entreprises à capitaux majoritairement congolais se retrouvent aujourd'hui dans la chaîne de valeur des activités des multinationales tous secteurs économiques installés à travers le pays, à la suite de l'évaluation de la mission de contrôle efficace effectuée par les inspecteurs de l'Arsp à Kinshasa et dans d'autres provinces du pays.
Il faut rappeler que cette cérémonie intervient après les cérémonies mémorables organisées dans la province du Lualaba au sein des entreprises Kamoa et Metalkol à l’initiative du DG de l'ARSP.
Le Directeur Général de l’Office Congolais de Contrôle, le Dr Etienne Tshimanga Mutombo a réuni le vendredi 23 août 2024, dans la salle des réunions de l’Immeuble « Le Cinquantenaire », les chefs de Départements de son office pour scruter le fonctionnement du Département de la Normalisation.
L’Office Congolais de Contrôle est un Etablissement public à caractère technique et Scientifique. Il regorge en son sein plusieurs départements, voire plusieurs créneaux.
Parmi ces créneaux, il y a la normalisation. Après avoir boosté les autres créneaux, le Directeur Général a décidé de se pencher sur ce département. C’est ainsi que le N°1 de l’office, le Dr Etienne Tshimanga Mutombo a réuni les départementaux afin de réfléchir sur les remèdes à administrer à ce département pour son décollage. L’heure n’était pas aux discours mais plutôt à la réflexion. Le Dr Etienne Tshimanga a dans son speech, donner quelques recommandations avant d’interpeller les agents et cadres au travail. Le comportement humain a un impact sur le fonctionnement des services. Le Chef de département Normalisation, Mme Feza Matata a quant à elle, introduit son message par remercier le Docteur Etienne Tshimanga Mutombo, Directeur Général, pour l’opportunité qui lui a été donnée pour parler de son département.
Mme Feza Matata a, par ailleurs, circonscrit son département, son fonctionnement et surtout son importance sur le plan national qu’international.
L’OCC est un organisme de conformité. Quand on parle conformité, on voit directement les normes. La norme est l’élément capital qui donne un laisser-passer aux produits.
Aujourd’hui, dans ce monde de libre échange, le département de Normalisation a un rôle important à jouer. D’où, cet appel du Dr Etienne Tshimanga Mutombo.
En visionnaire averti, le Directeur Général voit déjà le rôle que jouera l’OCC étant qu’organisme de la conformité dans ces échanges et également dans le cadre de la certification des produits.
Dans la maison du père, il y a plusieurs places et chacun y trouvera un refuge. Dieu est juste, il veut le bonheur de tous.
Ainsi, en appelant chacun à travailler dans sa moisson pour un même salaire, il se montre bon berger, juste et sensible à la misère humaine.
Pour cela, il invite chacun à la fraternité et à se savoir esclave d'un seul Maître. Personne n'a donc le droit de récriminer contre son frère. Tous sont héritiers de la vie éternelle au même niveau et c'est Dieu qui fait grâce à qui il veut quand il veut et où il veut.
Evitons donc le regard mauvais face à la justice de Dieu qui Seul est le Roi et Seigneur.
Evitons de gouverner avec violence et dureté. Comme Dieu, devenons les bons bergers et réjouissons-nous du bonheur de nos frères et sœurs.
Entrons donc dans la pensée de Dieu, soyons des humbles serviteurs capables d'accepter la volonté de notre Maître qui Seul est le Bon Berger. Par l'amour vrai, cherchons le bien de nos frères et sœurs dans la Lumière et dans la Vérité.
Plus souvent, le péché nous éloigne du Seigneur et nous rend esclaves. Mais, puisque nous sommes le peuple de Dieu et à cause de l'honneur de son saint Nom, Dieu vient nous sauver et nous rétablir encore en sa présence. Oui, c'est lui qui cherche les convives à ses Noces. Quand les premiers invités se ferment, il envoie chercher d'autres mais, avant de nous approcher de son festin, il nous veut purs et irréprochables, revêtus de l'habit de Noces. Il faut donc avoir un cœur nouveau et un esprit nouveau, pur de tout péché. Nul ne peut s'approcher de Dieu sans être purifié et sans avoir un cœur brisé. Le salut de Dieu est universel mais à chacun de se conformer pour être jugé digne. Puisse Dieu glorifier son saint nom, nous sauver et nous rendre digne de son royaume en versant sur nous une eau pure afin de devenir purs de tout péché pour mériter son salut en sa présence dans la Lumière et dans la Vérité.