Sous la conduite du Général-major Jean Pierre Kasongo Kabwik, le Service National a remis un premier lot de 500 bancs à l’Université de l’information et de la communication (UNISIC), ex-Ifasic, ce vendredi 19 juillet dernier, dans le cadre de la continuité de la distribution des bancs dans les écoles et Universités kinoises, tel qu’initiée par le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.
Après le Complexe scolaire Mokengeli de Lemba et l’Université de Kinshasa, le professeur Kambayi Bwatshia, en sa qualité de recteur de cette alma mater a réceptionné, au nom de la communauté estudiantine, les fruits de ceux qui hier étaient autres fois appelés Kuluna, mais aujourd’hui transformés en bâtisseurs du pays par le service national de la République.
‘’Je voudrais adresse des mots de remerciements pour l’acte combien grand que le Service National vient de poser… avec un lot de 500 bancs fabriqués grâce au génie d’une branche non des moindres de la jeunesse congolaise jadis considérée comme désœuvrée qui, aujourd’hui, est valorisée par votre ingéniosité pour être métamorphosée en bâtisseur de la nation’’, a exprimé le recteur de l’UNISIC.
Bien avant cette cérémonie de la remise, Issa Musekese dit aigle, a témoigné les bienfaits du service national en ces mots : ‘’Je vivais dans la délinquance en terrorisant la population dans la commune de Ngaba à Kinshasa. Suite à ce banditisme, nous avons été arrêtés et amené à Kanyama Kasese en 2020. Aujourd’hui, je suis transformé en menuisier, et j’occupe le poste de directeur dans notre atelier’’, s’est-il confié.
Un témoignage contradictoire à toutes spéculations faites au sujet de Kanyama Kasese. De son côté, la représentante des bénéficiaires de cette offre a exprimé sa gratitude au nom de toute son équipe, au Chef de l’Etat et au commandant du Service National.
‘’ Nous témoignons notre profonde gratitude au Chef de l’Etat et au commandant du Service National pour leur engagement envers notre communauté, tout en sachant que cette première fois ne sera pas la dernière dans le but de permettre aux étudiants d’apprendre dans des bonnes conditions. Car, nous avons besoin d’un site confortable qui permettra aux futurs cadres du pays de donner le meilleur d’eux-mêmes’’, a déclaré Naomie Muteba.
Emerveillé par le travail abattu, le commandant de ce service paramilitaire a loué les efforts consentis par le Premier citoyen de la République pour une éducation meilleure de la jeunesse de la RDC. Il a noté qu’une imprimerie moderne sera installée à Kinshasa dans le mois qui suivent, pour permettre aux étudiants de l’Université de l’information et de la communication de produire un magazine sur leur campus.
Alexis Kaluwa Mwangala, le nouveau Chef des Travaux
Message d’hommages
*Delaterre Nkumba, Président honoraire des étudiants de l'Université Chrétienne Catholique Don Akam, UCC DON AKAM en sigle, rend hommage à M. Alexis Kaluwa, PCA de son Alma mater ainsi que tous les personnels Académiques qui ont été homologués au rang des professeurs associés et Chefs des Travaux par l'Arrêté ministériel N°252/MINESU/CAB.MIN.MNB/RMM/2024 DU 13/04/2024 :
- Mr KASONGO NGUBA Joseph
- Mr MASSAMBA
- Mr MUKENDI Albert
- Mr MBOYO HENRI
- Mr KUDIKA BANTU
Ainsi que les Chefs des Travaux :
- Mr KALUWA MWANGALA Alexis
- Mr MWAMBA TSHIBANDA Justin
- Mr KALUWA KALUWA Narcisse
- Mr KABASELE DIKEBELE
- Mr MALONGA BANZA
- Mr ONOYA WEDI
- Mr LUWAWU KALEMBA Nathan
- Mr KHONDE MABIALA
Notre joie est immense pour leurs élévations et nous leurs souhaitons les meilleurs.
Stanys Bujakera, journaliste à Actualité.cd et correspondant du magazine Jeune Afrique à Kinshasa, a divulgué, sur les antennes de TV5MONDE, quelques images prises au cours de sa détention à la prison Centrale de Makala, dans le but, selon lui, de montrer à la face du monde, les conditions d’incarcération au Centre pénitentiaire et de rééducation de Kinshasa (CPRK). Au micro de ce média français, Stanys Bujakera n’y est pas allé par quatre chemins pour décrire la situation déplorable dans laquelle vivent les prisonniers, portant atteinte aux droits de l’Homme.
Sorti de prison le 19 mars dernier après y avoir passé 6 mois, Stanys Bujakera qualifie cette sortie médiatique de contribution, car il devait mettre à profit tout ce qu’il a pu voir et entendre lors de son passage dans ce centre d’incarcération, pour alerter l’opinion tant nationale qu’internationale, sur les réalités dudit centre. ‘’ Même dans l’abîme, le journaliste doit continuer à faire son travail’’, a-t-il affirmé. Ainsi, poussant au loin sa curiosité, il a décidé d’immortaliser ce moment.
‘’Surpopulation, maladies, non accès aux soins médicaux appropriés, malnutrition, des prisonniers dormant à même le sol’’. Cet ancien détenu de Makala a peint un tableau sombre de ce qu’il aurait constaté pendant son incarcération.
‘’L’hébergement est marqué par la surpopulation qui conduit à des fréquentes décès par étouffement ; présence des diverses maladies diverses ; les prisonniers dorment perchés sur des latrines ; maigres nourritures de très mauvaises qualités de surcroît, servies une fois par jour entre 17 heures et 18 heures ; la cuisine faite avec du bois pour nourrir plus de 15 milles personnes ; l’eau potable ne coule pas des robinets, elle est fournie par des dons ; les détenus font leurs besoins naturels à l’air libre, les latrines sont hors-services faute de leur vétusté’’, a déploré Stanys Bujakera.
Et d’interpeller les autorités : ‘’ Moi, par exemple, j’étais au pavillon VIP, il y avait une centaine des personnes qui partageaient quatre toilettes combinées aux douches. Des situations difficiles, qui sont très sérieuses, et je pense que les autorités doivent trouver des solutions par rapport à ce calvaire’’.
Sur cette lancée, il a affirmé, en outre, que les détenus devraient payer une certaine somme d’argent, pour échapper, à en croire à ses dires, aux conditions de détention générale, et, ainsi, s’offrir une cellule au quartier VIP, qui n’aurait rien du qualificatif lui attribué.
‘’ Quand je suis arrivé au pavillon 8 VIP, je me demandais vraiment si c’était le cas, mais après avoir visité d’autres pavillon, j’ai compris que celui dans lequel j’étais c’est effectivement un VIP… Le fait que la prison ait été construite pour accueillir 1 500 personnes et qu’on en est aujourd’hui à plus de 15 000, rend forcément les conditions de détention difficiles. C’est ce qui fait que les gens pour trouver un espace pour dormir, doivent sortir quelques billets de dollars. Moi spécialement, quand je suis arrivé au pavillon 8, il m’a été demandé de payer 3 000 dollars américains’’, a-t-il souligné, tout en précisant le fait que malgré la direction pénitentiaire condamne ces pratiques, ce système serait bien ancré à Makala.
Conscient des poursuites judiciaires auxquelles il se serait exposé, le correspondant de Jeune Afrique à Kinshasa estime que si sa démarche peut servir à l’intérêt général, et de permettre aux gens d’avoir accès à la justice, alors, cela en vaut la peine, car pour lui ‘’Makala n’est plus une prison, mais un centre de concentration’’.
Réponse du berger à la bergère
Constant Mutamba, Ministre de la Justice et Garde des Sceaux, n’a pas tardé à faire une mise au point sur ce dossier. Dans un tweet sur son compte X, il a déclaré que ces images diffusées étaient des anciennes, et a, par ricochet, précisé que l’Etat congolais avait d’ores et déjà, lancé le processus de désengorgement et d’amélioration des conditions de détention des prisons, et cela, bien avant que de telles images soient exposées sur la place publique.
C’est ici, à Kinshasa, Capitale de la RD. Congo, plus précisément, dans l’espace à ciel ouvert situé dans l’enceinte de l’Institut Professionnel de la Gombe, le long de l’avenue Prince de Liège, en face du Camp Kokolo, non loin de l’ISIPA, que Me Célestin Tunda ya Kasende, Avocat de grand gabarit, Acteur politique patenté et Vice-Premier Ministre, Ministre de la Justice honoraire, a fêté ses 70 ans d’existence sur cette terre des communs des mortels. Tandis que Mgr Félicien Ntambue Kasembe, devenu Archevêque de Kananga, au Kasaï Central et qui, en même temps, est désigné Administrateur Apostolique du Diocèse de Kabinda, à la Lomami, a été accueilli par une salve d’applaudissements de la part de l’ensemble des convives, venus de tous les coins, pour célébrer son ascension fulgurante en termes des responsabilités immenses en l’espace de peu temps, depuis qu’il était désigné Evêque, il y a seulement quelques années, lui confiées par Sa Sainteté, le Pape François, du haut de son siège de Vatican, à Rome.
Unis par le sort, l’effort et le destin
Là où deux, trois ou quatre fidèles se réunissent, je suis au milieu d’eux, s’écriait le Seigneur Jésus-Christ, le Ressuscité du troisième jour. Me Célestin Tunda ya Kasende et Félicien Ntambue Kasembe l’ont si bien compris, en se mettant ensemble ce dimanche 21 juillet 2024, à Kinshasa, pour rendre grâce à Dieu, le Tout-Puissant, pour toutes les merveilles engrangées dans leurs vies respectives. Des invités issus de toutes les strates de société congolaise en ont été, du reste, des témoins oculaires.
L’un et l’autre, visiblement, unis par le sort, l’effort et le destin, et profondément attachés à l’amour du prochain, ont passé du temps, toute leur vie durant, au service de la nation congolaise. Si l’un compte aujourd’hui, de nombreux disciples aussi bien dans sa carrière politique, professorale et au Barreau de Kinshasa, y compris plusieurs enfants, petits-enfants et, même, des arrières-petits enfants, le second, par contre, charrie un long parcours jalonné de multiples œuvres d’esprit servant des bréviaires aux nombreux fidèles, chercheurs ainsi qu’à tous ceux qui ont la passion altruiste.
Yves Tunda, modérateur du jour, ne croyait pas si bien dire lorsqu’en circonscrivant le cadre de l’organisation de cette double fête, il est revenu, de manière singulière, sur les traits caractéristiques de chacun des deux personnages devenus, au fil des années, des sources intarissables d’inspiration aux vertus iconoclastes.
Ainsi que l’on pouvait s’en rendre compte, cette double fête, ponctuée des cantiques et autres chansons de la Chorale de la Maison Diocésaine de Kabinda et de l’Orchestre de l’artiste talentueux Paul Bakenda, s’est déroulée dans une ambiance empreinte de convivialité et de joie, à la grande satisfaction de ces deux personnalités à l’honneur.
D’ailleurs, même les tout petits enfants, dans leurs différents mots de circonstance, outre celui d’une des ses filles, ont souhaité longue vie à Me Célestin Tunda ya Kasende, ainsi qu’une carrière riche, pleine et couronnée d’éclatants succès à l’Archevêque Félicien Ntambue Kasembe.
La Société Nationale d’Électricité S.A, Direction Régionale de Kinshasa Sud, informe sa clientèle de la commune de Lemba, quartier Salongo, qu'une panne de câble Moyenne Tension est survenue ce dimanche 14 juillet 2024 sur le tronçon F745, entre les Cabines Livulu 1 et 2, à la suite des travaux de réhabilitation de la chaussée de Zabat réalisés par des engins de la société chinoise.
En conséquence, une interruption de la fourniture d’électricité est constatée dans les secteurs d’Elimo Santu et Zabat. La SNEL S.A rassure sa clientèle que ses équipes d’intervention sont mobilisées pour rétablir l’alimentation électrique dans les meilleurs délais.
Pour toute information complémentaire, veuillez nous contacter aux numéros suivants : (+243) 817 005 669 & (+243) 817 005 672.
Ce dimanche 14 juillet 2024, la Société nationale de l'électricité (SNEL SA) a tenu une réunion avec les habitants de Kamanyola, dans le territoire de Walungu, au Sud-Kivu. Lors de cet entretien, les représentants de la SNEL Sa ont rassuré la population de la prise en compte de leurs recommandations concernant la desserte en énergie électrique. Jovy Mulemangabo, Directeur provincial de la SNEL S.A, a annoncé plusieurs mesures importantes, à savoir la permanence au poste de vente, la stabilisation des prix des compteurs, la maintenance des compteurs ainsi que la distribution des nouveaux compteurs.
Sur la permanence au poste de vente, il a souligné, désormais, qu’un agent sera présent tous les jours au poste de vente du courant à Kamanyola, garantissant ainsi une meilleure disponibilité du service.
Sur la stabilisation des prix compteurs, il a souligné que «les prix des compteurs est désormais fixé à 70$, éliminant toute confusion et fluctuation dans les tarifs».
Sur la maintenance des compteurs, il a précisé que tous les dysfonctionnements des compteurs seront pris en charge gratuitement par le service technique de la SNEL, assurant ainsi un service de qualité et fiable pour les abonnés.
Enfin, sur la distribution de nouveaux compteurs, il annoncé que les abonnés n’ayant pas encore reçu leurs compteurs seront bientôt servis sans délai ni complaisance.
Ces mesures viennent répondre aux préoccupations exprimées par la population de Kamanyola et témoignent de l'engagement de la SNEL à améliorer constamment ses services et à répondre efficacement aux besoins de ses clients.
Acteur majeur dans l’accès aux services de base, 4ème pilier du second mandat de Félix Tshisekedi, en son volet de l’accès fiable à l’électricité pour tous les groupes sociaux, la Société Nationale d’Electricité (SNEL S.A) démontre, sans complaisance, son engagement à concrétiser cette promesse du Chef de l’Etat, portée avec bravoure par le Gouvernement Suminwa Tuluka. De ce fait, dans sa redevabilité hebdomadaire, cette société revient sur les grandes réalisations de la semaine dernière à travers le territoire national.
Zoom sur Kinshasa
Dans la capitale congolaise, il se dégage la réception définitive de ligne la Zongo2-Kinsuka, du Poste de Kinsuka et des réseaux de distribution associés. Ainsi que d’un nombre important des clients bénéficiaires de l'amélioration du service et dans quelques quartiers avec une touche des innovations majeures du poste concernant la gestion des réseaux de distribution associés.
Sur la poursuite de la pose des compteurs communicants à Limete résidentiel, les clients payeront désormais leurs recharges à partir de leurs téléphones tandis que l’amélioration du service se fera dans quelques quartiers en plus des compteurs communicants pour les clients et pour les gestionnaires du réseau de distribution de Kinshasa Sud.
Enfin, il sied de noter la réception de câbles MT, d'équipements de détection et autres au Magasin Central de Limete dans le but de réduire le temps d'intervention et de remise en service en cas de panne et faciliter le travail des exploitants de SNEL S.A.
Un tour à Lubumbashi
Par contre, à Lubumbashi, chef-lieu de la province du Haut-Katanga, il est annoncé la mise en service du nouveau transformateur 50 MVA au Poste haute tension NR Kasapa ce qui permet de décharge le poste UNILU ainsi que les deux lignes moyennes tension UNILU 1 et UNILU 2.
Ici, un nombre important des clients vont bénéficier de l'amélioration du service dans quelques quartiers au grand avantage pour les gestionnaires du réseau de distribution de Lubumbashi Nord.
Prise finale à Kisangani
Enfin, à Kisangani, dans la province de la Tshopo, il se suit actuellement les travaux de raccordement de toutes les cabines de la commune de Lubunga (rive gauche de Kisangani).
Comme les deux premières zones, un nombre important des clients vont bénéficier de l'amélioration du service et dans quels quartiers - quid de l'éclairage public et de la lutte contre l'insécurité tant décriée au niveau de la rive gauche de Kisangani.
‘‘Nous sommes ici pour consoler la Famille Mutagata pour avoir perdu un être cher en la personne du Major Thomas Ndizeye de la PNC/GOMA. Nous sommes ici pour consoler la Communauté Banyamulenge de Goma déstabilisée par la perte de ce pilier important. Nous sommes à Goma pour consoler la Province du Nord-Kivu et ses autorités ; Nous remercions d’abord les autorités nationales au plus haut sommet de l’Etat pour leur implication afin de permettre que le corps de Thomas soit ramené pour inhumation à GOMA à son lieu de travail, PNC/Goma. Merci beaucoup’’, a soutenu ce Député national honoraire dont voici l’intégralité du mot de circonstance.
MOT DE CIRCONSTANCE A LA LEVEE DE DEUIL DU MAJOR THOMAS MUTAGATA DE LA PNC/ GOMA, LE 13/07/2024
(Par Enock Ruberangabo Sebineza, Député National honoraire)
Nous sommes ici pour consoler la Famille Mutagata pour avoir perdu un être cher en la personne du Major Thomas Ndizeye de la PNC/GOMA.
Nous sommes ici pour consoler la Communauté Banyamulenge de Goma déstabilisée par la perte de ce pilier important.
Nous sommes à Goma pour consoler la Province du Nord-Kivu et ses autorités ;
Nous remercions d’abord les autorités nationales au plus haut sommet de l’Etat pour leur implication afin de permettre que le corps de Thomas soit ramené pour inhumation à GOMA à son lieu de travail, PNC/Goma. Merci beaucoup.
Nous remercions également les autorités provinciales qui ont accueilli dignement le corps et l’inhumer dignement avec tous les honneurs mérités à notre frère Thomas, un officier de la police nationale congolaise qui a tant servi patriotiquement la nation et dont les forces du mal ont comploté contre lui pour qu’il soit arrêté injustement à Goma, transféré à Kinshasa manu militari comme un malfrat pour y mourir tragiquement dans des conditions carcérales atroces jusqu’à son dernier soupir. Espérons que justice soit faite un jour pour que les responsables, ou du moins le responsable principal, le Col Job adjoint à la PNC/Goma, lui-même qui serait cousin à l’ancien Col Byamungu Bernard des FARDC autoproclamé Général au M23 et qui ourdit le complot et activer un réseau pour faire arrêter le Major Thomas à Goma net le transférer à Goma et qu’un jour il justifie devant un juge de ses allégations qui ont conduit à la mort du Major Thomas.
Le Col Job, pour nous, est un bras armé d’une catégorie des responsables voire des leaders politiques qui visent notre Communauté en tant que telle.
Nous condamnons et refusons de subir une haine qui vise à nous détruire comme membre à part entière de la nation congolaise pour laquelle nous refusons d’y être amputé et avoir un Congo amputé de ses membres, un Congo manchot.
Chers membres de notre Communauté, chers amis de notre Communauté ;
Le Major Thomas, pour qu’il soit arrêté à Goma le 27 mars à Goma, transféré à Kinshasa le 30 du même moi pour finalement y mourir le 14 mai 2024 sans avoir reçu aucune visite d’un seul membre de la Communauté moins encore de la famille biologique, nous avons appris après sa mort par les documents mis à la disposition de la famille qu’il lui a été imputé des accusations infondées liées à la guerre du M23.
Depuis la résurgence de cette guerre aussi tragique pour notre pays, nous avons vu la montée d’un discours extrémiste de haine contre les Banyamulenge qui demande d’effacer notre Communauté de la carte ethnique de la RDC. Ce discours construit et développé au Kivu depuis plus de 40 ans par des leaders politiques, visent notre communauté accusée de tous les maux en leur imputant des fausses allégations jusqu’à nous traiter d’étrangers.
Chers membres de notre Communauté, chers amis de la Communauté, chers amis de la famille Mutagata.
Qu’il me soit permis de dire tout haut que notre Communauté les Banyamulenge n’a rien à voir de cette guerre. Cela est vérifiée et vérifiable. Nous rejetons donc ces accusations infondées qui nous rendent proie à des arrestations de faciès auxquelles se livrent certains responsables de services. Nous leur demandons d’arrêter de détruire la cohésion nationale tant recherchée en ce moment où notre pays subie une agression la plus abjecte de son histoire.
Depuis quelques années, cet agresseur soutient, joue au pyromane sapeur-pompier pour piéger ces faibles esprits de certains compatriotes de la haine ethnique ; cet agresseur qu’est le Rwanda, étonnement, se fait passer pour notre porte-parole. Ce pays qui participe aux côtés du M23 prétend parler à notre place avec une stratégie cynique d’exacerber les discours existant contre notre Communauté. Nous avons eu le temps de rejeter cela car sa stratégie est d’instrumentaliser notre situation et d’en récupérer les dividendes politiques et diplomatiques dans la Communauté Internationale en se faisant passer pour protecteur des tutsi congolais. Nous rejetons cela et nous le refusons et le condamnons autant que nous condamnons l’agression.
Nous rappelons aux autorités locales à Goma que nous avons une Communauté ici qui n’a rien à voir avec cette guerre et qui n’exige, à l’instar de tous les compatriotes de la province , que la protection de leur part. Les assimiler injustement à cette guerre c’est détruire la cohésion de la province et donc la détruire. Nos enfants qui servent sous le drapeau national meurent aux côtés de leurs compagnons au front mais ce qui est grave, d’autres croupissent en prison sur base des accusations sans preuves de soutenir une guerre. C’est injuste et le dénonçons.
Au niveau national, nous souhaitons que les Banyamulenge se sentent libres comme tous les autres congolais et ne soient pas victimes à tout bout de champ, des services qui les arrêtent sur base de leur appartenance ethnique. Ceux qui sont déjà en prisons sans motifs fondés, nous demandons leur libération pour éviter qu’ils en soient aussi morts comme Major Thomas.
Quant à notre Communauté, nous leur demandons d’espérer, de continuer à croire en leur nation puisqu’elle n’en a pas deux. Bref de travailler pour la paix comme toujours. Avec les autres compatriotes épris de paix, battons-nous pour ensemble pour relever le défis de la paix.
Avec Dieu, nous obtiendrons gain de cause pour construire ensemble avec tous les compatriotes un Congo uni où toutes les communautés auront droit à la paix.
Nous vous remercions et que le feu Major Thomas repose en paix.
L’Institut national de la Statistique (INS) s’apprête à lancer, dans les tout prochains jours, une enquête sur les Conditions de Vie des Ménages en RD. Congo. Cette campagne entend notamment, ‘’fournir les indicateurs pour le suivi et l’évaluation de la mise en œuvre du PNSD ; fournir les indicateurs qui répondent aux différents défis de développement relatifs aux agendas internationaux ; étudier la pauvreté sous plusieurs formes aux niveaux national et provincial ; mesurer la dynamique de la pauvreté entre 2012 et 2014 pour évaluer l’effet des politiques macro-économiques, évaluer la demande d’éducation et d’identifier ses principaux déterminants ; étudier les causes du phénomène de mobilité résidentielle et de déplacés internes ; produire les données de base pour l’amélioration de diverses statistiques officielles ; constituer une base de sondage pour l’enquête par téléphone mobile sur les conditions de vie des ménages ; déterminer les pondérations pour l’Indice des Prix à la Consommation des ménages’’.
L’Institut national de la Statistique (INS) a bénéficié d’un appui financier de l’ordre de 9 millions de dollars américains de la part de la Banque mondiale pour assurer la couverture des opérations sur l’ensemble du territoire national. Cet accompagnement, convient-il de le souligner, s’inscrit dans le cadre du Projet de Recouvrement des Recettes et de la Gestion des Dépenses en RDC (ENCORE) que supervise le Comité de Pilotage et d’Orientation de la Réforme des Finances Publiques (COREF). La première phase de la collecte concerne la ville-province de Kinshasa, où près de 150 enquêteurs et Chefs d’équipe vont se déployer dans 103 zones de dénombrement au niveau de différents quartiers tirés au hasard pour interroger 2472 ménages. Ils seront munis des tablettes, habillés en gilets, estampillés Enquête sur les Conditions de Vie des Ménages.
Déjà, Elysée Chovu, la Directrice Générale de l’Institut national de la Statistique (INS), a planté le décor du lancement des opérations par la sensibilisation, à Kinshasa, des Chefs de quartier, Bourgmestres et leurs adjoints. C’était au cours d’une rencontre solennelle tenue, vendredi dernier, dans la salle Garamba de l’immeuble du Gouvernement, jumeau du musée national sur Triomphal, dans la commune de Lingwala.
Dans sa communication, elle a sollicité mobilisation et l’implication des autorités locales pour permettre aux enquêteurs de réussir leur mission sur terrain, à l’Institut national de la Statistique son pari.
‘’L’INS organise l’Enquête sur les conditions de vie des ménages en République démocratique du Congo, qui a pour principal objectif de fournir les données pour le suivi et évaluation de la pauvreté et des conditions de vie des ménages. La réussite de l’enquête dépend en grande partie la qualité des données recueillies durant les opérations de collecte. De ce fait, il est primordial que les Enquêteurs et les Chefs d’équipe aient une maitrise parfaite des questionnaires de l’Enquête et un soutien des autorités politico-administratives du pays. Près de 150 enquêteurs et Chefs d’équipe vont se déployer dans 103 zones de dénombrement dans différents quartiers de la ville de Kinshasa, respectivement tirés au hasard, pour interroger 2472 ménages. 37 équipes sont formées, encadrées par des Chefs d’équipe, des assistants techniques et des superviseurs regroupés au sein de l’équipe technique. Je sollicite l’appui des autorités provinciales, locales et de la Société civile pour apporter un appui logistique en faveur des superviseurs et enquêteurs. En effet, cette opération est vaste et complexe. Elle se déroule sur toute l’étendue du territoire national », a-t-elle démontré, dans son allocution du jour. Madame Elysée Chovu a poursuivi par son élan par exprimer ses attentes dans cette nouvelle démarche que mène son institution pour l’intérêt général des congolais.
« Mesdames et Messieurs, l’Institut national de la Statistique vous prie de bien vouloir accueillir les enquêteurs dans vos ménages. Etre disponible et répondre avec patience à leurs questions. L’INS vous rassure que les informations recueillies seront gardées confidentielles. Cette enquête n’a pas un but fiscal. Vous ne payerez rien à l’enquêteur et que les informations recueillies ne seront en aucun cas fournies à l’Etat pour calculer les impôts. Aux autorités administratives locales, l’INS vous demande une franche collaboration pour la réussite de cette enquête. Sensibilisez la population sur l’importance de l’opération. Assurez la sécurité des enquêteurs sur terrain, leur apporter de l’aide en cas de nécessité. Enfin, je souhaite un aboutissement heureux de cette étude à Kinshasa pour disposer des indicateurs fiables pour une bonne prise de décisions de nos autorités », a-t-elle souligné, à l’attention des autorités locales, qui ont honoré l’Institut national de la Statistique, en participant à cette rencontre-là.
‘‘Après la publication sur les réseaux sociaux d'une lettre prétendument du Clergé de Kinshasa, faisant état des malaises persistants dans l'Archidiocèse de Kinshasa, et face aux commentaires de certains médias, de nature à nuire intentionnellement à l'honneur de Son Eminence Fridolin Cardinal AMBONGO, Archevêque Métropolitain de Kinshasa, la Chancellerie tient à faire cette mise au point’’ . La voici :
ARCHIDIOCESE de KINSHASA
La Chancellerie
MISE AU POINT
Après la publication sur les réseaux sociaux d'une lettre prétendument du Clergé de Kinshasa, faisant état des malaises persistants dans l'Archidiocèse de Kinshasa, et face aux commentaires de certains médias, de nature à nuire intentionnellement à l'honneur de Son Eminence Fridolin Cardinal AMBONGO, Archevêque Métropolitain de Kinshasa, la Chancellerie tient à faire cette mise au point.
1. Comme tout Evêque, l'Archevêque de Kinshasa a l'obligation pastorale, dictée par sa sollicitude paternelle, de rendre compte à ses Fidèles, les Prêtres en particulier, du gouvernement ou de l'administration de son diocèse.
2. C'est dans ce contexte que le jeudi 04 juillet 2024, le Cardinal Fridolin AMBONGO a présidé la journée du clergé diocésain durant laquelle les responsables de différents services (Centre diocésain de pastorale, responsables de différents services (Centre alocésain de pastorale, Economat diocésain, Ressources humaines, Conseiller financier, Caritas, Bureau des projets, Ecoles conventionnées, Ecoles privées, Diaconie) ont donné leurs rapports au Clergé de Kinshasa.
Cet exercice synodal qui avait commencé par la méditation de la Parole de Dieu devrait se poursuivre par un moment d'échanges entre le Cardinal, les Responsables des services et l'ensemble du Clergé. Mais, après plus de 3 heures d'audition des rapports, la rencontre s'est brusquement arrêtée par la volonté d'un Confrère qui avait délibérément choisi de rompre le dialogue et la communion avec l'Archevêque, empêchant les prêtres présents dans la salle de poser des questions sur leurs préoccupations.
Après cette interruption, grande était notre surprise de constater que quelques heures plus tard un document est publié sur les réseaux sociaux. Le silence observé jusqu'à présent à l'Archevêché permet de comprendre le mobile de cette action qui n'a pour finalité que de jeter de l'opprobre sur l'Archevêque. Ce comportement est déploré par la grande majorité du Clergé de Kinshasa qui ne se reconnait pas dans cette lettre contenant des affabulations que contredisent les faits et les rapports des services présentés lors de cette journée du Clergé.
3. Ces rapports démontrent que les structures mises en place fonctionnent correctement et sont régulièrement consultées. Ils prouvent que la vie économique et financière de l'Archidiocèse repose sur des principes clairs de rigueur, de transparence et d'équité, avec un suivi permanent d'évaluation du budget prévisionnel et du rapport financier.
4. En outre, l'Archevêque de Kinshasa exerce sa sollicitude paternelle envers tous, en respectant, comme il est de son devoir, le secret des procédures judiciaires et le secret des rapports médicaux de ses prêtres.
5. L'Archevêque confère les offices ecclésiastiques à tous les fidèles qui l'ont comme Ordinaire, qu'ils soient laïcs ou clercs, du clergé séculier ou régulier, diocésain ou non. C'est le cas du Signataire de cette lettre qui perçoit 800 $ us chaque mois, alors qu'il est logé, nourri et blanchi.
C'est dire que le Cardinal veille à ce que chaque prêtre bénéficie d'un traitement digne et équitable, Par ailleurs, il sied de relever que la notion de salaire pour les prêtres n'est pas ecclésiale. Mais ceux-ci perçoivent plutôt une juste rémunération pour vivre non pas dans le luxe, mais dignement.
6. Bien plus, pour une Eglise en sortie, aller travailler dans la périphérie comme N'sele, Maluku ou Mbakana, à la suite de Jésus qui n'avait où reposer la tête (cf. Mt 8,20), n'est aucunement une punition, mais devrait être source de joie et d'espérance pour les fidèles de ces paroisses périphériques assoiffées de la Parole de Dieu.
7. Tout compte fait, nous saisissons cette occasion pour informer l'opinion que l'Assemblée du Clergé de Kinshasa (ACKIN) est une association des Fidèles, en l'occurrence des clercs, soumise à la vigilance et au gouvernement de l'Archevêque, auquel il appartient d'avoir soin que l'intégrité de la foi et des mœurs y soit préservée (cf. Can 305 §1). Ainsi, à défaut de ne s'être jamais présenté à l'Autorité compétente pour sa reconnaissance officielle, le Signataire dudit Message ne peut engager légitimement l'Assemblée des Prêtres de Kinshasa, ni parler en son nom
Les activités hebdomadaires à la Société nationale d’électricité (Snel S.A) pour la semaine du 1er au 7 juillet 2024 ont été marquées par des travaux visant à améliorer la fourniture de l’énergie électrique à travers la République démocratique du Congo (RDC).
Les équipes de la Snel ont procédé tout au long de la semaine à l’exécution des travaux de réhabilitation de la liaison moyenne tension ayant causé la rupture de l’énergie dans 4 communes de Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo (RDC), après qu’un camion remorque ait percuté, mardi 2 juillet, un poteau de transport du courant moyenne tension à la 16ème rue-Limete à Kinshasa.
Dans la province du Sud-Kivu, le directeur de département de distribution de la Snel M. Clément Tshimpaka Ngandu s’est imprégné de l’évolution de l’opération d’installation et d’activation des compteurs à prépaiement « cash power, » dans la ville de Bukavu.
Il a par ailleurs, exprimé la nécessité et l’urgence d’instaurer l’opération de payement des factures par voie électronique pour faciliter la tâche aux abonnés de cette entreprise publique.
Les équipes de la Snel sont intervenues dans plusieurs postes et sur le réseau électrique, pour assurer la stabilité et la fiabilité de l’approvisionnement énergétique, les travaux ont été réalisés par les différentes équipes dans la ville de Kinshasa, notamment, la reprise de l’exploitation normale du poste de Funa après les travaux de réparation de la ligne 220kV Postes de Liminga – Funa ainsi que la remise en service de la cabine Ndobe, dans la commune de Selembao, où le transformateur était avarié depuis le 17 juin 2024.
La Snel et son équipe restent dynamique et engagée à fournir une énergie électrique de qualité à ses abonnés.
La plus difficile mission dans la vie du prophète est de pouvoir prophétiser contre son peuple et son roi.
Chez plusieurs prophètes, l'on peut trouver la peur et le vouloir plaire aux gens cachant ainsi la volonté de Dieu.
Amos est devant ce dilemme.
On l'interdit de prophétiser contre le roi et contre son peuple.
Mais, lui ne se laisse pas faire car, il parle au nom du Seigneur.
Dans l'Evangile de ce jour, Jésus se révèle encore le Médecin de l'âme et du corps. Il manifeste la puissance et la justice de Dieu qui veut le bonheur, le salut de tous.
Malgré le piège et murmures de ses ennemis, Jésus ne décourage pas, mais il continue à agir par la volonté de Dieu.
Comme Prophète, Prêtre et Roi, Dieu nous investit d'un pouvoir extraordinaire pour dénoncer tout mal et appeler à la conversion.
Engageons-nous donc, à vivre unis au Seigneur afin qu'aucune erreur ne nous plonge dans les ténèbres mais fortifiés par Dieu nous puissions rayonner de sa Lumière et de sa Vérité.
La vie chrétienne nous fait entrer dans une seule fraternité qui, depuis Jésus, la tête, continue son long chemin par les Apôtres jusqu'à nous.
Tous, nous sommes frères et il n'y a plus d'étrangers grâce à la foi qui nous vient des Apôtres.
Les Apôtres ont reçu mission d'aller et d'annoncer au monde entier l'Évangile. Cette foi pour certains vient souvent de diverses expériences.
Pour Thomas, c’est après le doute et ayant vu Jésus, il croit.
Comme lui, chacun connaît l'élément déclencheur de sa foi : pour certains, une maladie grave, un accident, une guérison, une naissance, une rencontre, une bénédiction...
Aujourd'hui, rentrons en nous-mêmes et essayons de voir Dieu dans notre histoire et confessons notre foi en disant "Mon Seigneur et mon Dieu".
Puisse Dieu nous donner la grâce de croire aux témoignages de nos frères et sœurs et de nous engager à Lui rester fidèles pour toujours dans la Lumière et dans la Vérité même sans n’avoir, visiblement, rien vu de nos propres yeux.