Le Conseil supérieur de la magistrature à travers son président Dieudonné Kamuleta a déposé les prévisions budgétaires du pouvoir judiciaire exercice 2025 auprès de la Première Ministre conformément aux prescrits de l'article 149 in fine de la Constitution qui stipule que : "le Pouvoir Judiciaire dispose d'un budget élaboré par le CSM et transmis au Gouvernement pour être inscrit dans le budget général de l'Etat"
L'occasion faisant le larron, le président du CSM a remis à la cheffe du gouvernement la copie du communiqué rendu public hier mercredi sur les accusations portées contre les magistrats de la République dans l'affaire Tentative d'évasion à la prison centrale de Kinshasa.
Juste après la Primature, Dieudonné Kamuleta qu'accompagnait son premier Vice - Président Jean - Paul Mukolo Nkokesha, ont été reçus par le Président de l'Assemblée Nationale Vital Kamerhe et celui du Sénat Jean Michel Sama Lukonde. Auprès du Parlement, le CSM fait un plaidoyer en faveur des actions prioritaires du pouvoir judiciaire pour être prises en compte lors l'examen en commission du projet de loi des Finances 2025 dans les deux chambres du parlement ; il s'agit notamment du budget de fonctionnement, rémunération et dépenses d'investissement, ainsi que les recettes.
Présentées officiellement comme le bras idéologique de l’UDPS, parti au pouvoir, les forces du progrès sont en fait une milice dudit parti au pouvoir. D'après certaines indiscrétions, elles disposeraient d’une prison à Binza Ozone. Le 20 décembre 2023, soit 5 jours avant la date des élections présidentielle et législatives en Rdc, ils ont brutalisé l'Honorable Franck Diongo à Ngaliema dans son fief d'Ancien combattant. On l'a frappé, séquestré et humilié, tout simplement parce qu’il s'oppose à la politique du Président de la République. On l'a poursuivi dans son retranchement à l’Eglise CBCO. Cette dernière a été détruite, incendiée en partie et pillée. Les exécutants et auteurs intellectuels n’ont jamais été poursuivis par la justice malgré la dénonciation publique des églises catholique et protestante du Congo. Pire, les collaborateurs de Diongo ont subi la violence de la part des forces des progrès comme : Madame Dawo Okomba Renate, secrétaire du Secrétaire général du MLP qui a eu la vie sauve, lorsque les délinquants de forces de progrès ont visité et saccagé son domicile, grâce à son absence ce jour là. Elle était en mission du parti à Kisantu ; Onayani Okomba Olivier fut également victime des atrocités de la même bande, torturés avec ses camarades agents de sécurité du président du parti, il a fuit et regagné son domicile à 22 h. A 100 m de chez lui, ses voisins l'ont déconseillé d'arriver chez lui car sa résidence fut encerclée par les mêmes hommes. Il s’est sauvé en choisissant clandestinement de dormir à l’église islamiste de Mbomu. D’autres encore comme José Losakweno, Michel Lubaya ont traversé nuitamment le fleuve Congo pour se réfugier à Brazzaville. L'État Congolais ne protège pas ses citoyens. Nous sommes incapables de vous dire où vivent actuellement toutes ces personnes. La seule hypothèse est qu'elles ont choisi la clandestinité.
COMMUNIQUE N°006/BE/MS-JZW/2024 RELATIF A LA PUBLICATION DE LA LISTE PROVISOIRE DES CANDIDATURES
Consécutivement au communiqué N°005/BE/MS-JZW/2024 RELATIF A LA PROLONGATION DE L’APPEL A CANDIDATURE aux organes de l’Union du 02 au 3 septembre 2024 à 00 heures 00’, le Comité Directeur, par le biais du Secrétariat Général, tient à informer les sociétaires de l’Union que la publication de la liste provisoire des candidatures aura lieu, le jeudi 05 septembre 2024.
L'Association Congolaise des Femmes Journalistes de la Presse Ecrite (ACOFEPE) tient à féliciter chaleureusement trois femmes journalistes d'exception qui ont récemment présenté leur candidature pour des postes clés au sein de l'Union Nationale de la Presse du Congo (UNPC). Mme Marianne Mujing Yav Maland, actuelle Présidente sectionnaire de l'UNPC/Katanga, Mme Rachel Kitsita, et Mme Sylvie Bongo se sont portées candidates aux postes de Première Vice-Présidente et de Trésorière de l'UNPC.
Ces candidatures témoignent du courage, de la détermination, et de l'engagement de ces femmes journalistes qui, en postulant à ces postes de responsabilité, montrent que l'avenir de la profession journalistique en République Démocratique du Congo devrait être porté par des mains féminines.
L'ACOFEPE se réjouit de voir que de plus en plus de femmes prennent conscience de l'importance de leur rôle dans la gouvernance des institutions professionnelles et qu'elles osent briser les barrières pour contribuer activement à la direction et à la transformation de notre profession.
Nous exprimons notre soutien indéfectible à Mme Marianne Mujing Yav Maland, Mme Rachel Kitsita, et Mme Sylvie Bongo, en leur souhaitant plein succès dans leur parcours. Leur démarche inspire non seulement les femmes journalistes mais aussi toutes celles qui aspirent à participer à la construction d'un secteur médiatique plus inclusif et représentatif.
L'ACOFEPE réaffirme son engagement à promouvoir l'égalité des genres dans le milieu journalistique et à soutenir les initiatives qui valorisent la contribution des femmes à la profession.
Ils sont nés des parents corrompus, ils ont étudié par l’argent de corruption, ils se sont mariés grâce à la corruption, ils élèvent leurs enfants par le biais de la corruption, ils marient leurs enfants par la corruption, ils intègrent dans le système judiciaire de ce pays leurs enfants formés par eux pour être professionnels de la corruption, ils vont laisser à leurs enfants les biens de la corruption. Pour une famille d’un magistrat rien de propre tout est corrompu meubles immeubles et les sujets sont complètement corrompus.
Dans ma logique lorsque je vois l’enfant d’un haut magistrat congolais, même s’il est bien habillé, je vois automatiquement la présence de la corruption. Les enfants de magistrats congolais doivent avoir honte d’être nés des parents corrompus.
C’est pourquoi nous devons soutenir le combat que mène le gouvernement congolais dans la lutte contre la corruption et le détournement.
L’excellence Constant Mutamba est un des adeptes de la Dynamique Impunité Zéro voilà pourquoi tout ce qu’il fait aujourd’hui au ministère de la justice moi je le faisais dans la Dynamique Impunité Zéro.
Il a cette grâce de mener ce combat à ma place au sein des institutions. C’est pourquoi, il mérite mon soutien.
En plus, aujourd’hui je suis haut cadre du Parti AREP, je suis obligé de suivre la logique de mon Parti voilà pourquoi je ne fais plus trop des commentaires sur certaines questions mais j’admire ce combat en ma qualité de pionnier de la lutte contre la corruption et l’impunité en RDC.
Pour matérialiser et surtout, consolider l’implantation du parti à travers toutes les communes de la ville-province de Kinshasa, le «Mouvement des Démocrates Congolais», MDCO, parti cher à Gabriel Mokia, a organisé, samedi 31 août dernier au siège du parti situé au numéro 1, avenue des Forces Armées dans la commune de la Gombe, une réunion stratégique. Par l’entremise de son Secrétaire général en charge de la mobilisation et de l’implantation, Serge Bisoke Bakimo Nkasa Emambo, ce rendez-vous a constitué un moment pour la hiérarchie dudit parti de communier avec ses représentants, de l’interfédéral à la cellule et ce, avec leurs comités respectifs.
Après un constat de la part des autorités du parti d’une adhésion opportuniste des membres à tous les niveaux, il a fallu, selon le Secrétaire général Serge Bisoke, insuffler un vent nouveau au parti pour que les nouveaux venus soient de gens convaincus par la vision du président Mokia, en suivant sa constance ainsi que sa valeur politique.
«Nous avons voulu avoir des gens qui adhère au parti par conviction parce que nous avions besoin de ceux qui croient à la vision du président Mokia et qui marchent dans sa constance et ses valeurs. Car, le président Mokia est un homme constant et bourré de convictions. La sollicitation dont il a été victime tout au long du régime passé afin d’occuper des postes de gestion de la chose publique ne l’ont pas séduit. Il a décliné toutes les offres qui lui étaient présentées par conviction comme Feu Etienne Tshisekedi d’heureuse mémoire. Voilà pourquoi, nous avons compris qu’il a fallu remplacer tous ceux qui n’incarnaient pas les valeurs précitées en redynamisant ce parti pour que ceux que nous allons installer aux différents postes ici à Kinshasa particulièrement, soient ceux qui sont convaincus par la constance politique et la vision du président Mokia ».
Et de justifier qu’il est l’un des rares leaders politiques en RDC à n’avoir pas trempé dans les antivaleurs. Il a plutôt gagné sa vie en tant qu’homme d’affaires influant dans ce pays. Ces valeurs doivent donc être transmises à la base à travers le message d’encouragement lui adressé en ce jour. « Nous sommes, a-t-il poursuivi, heureux aujourd’hui que ceux qui adhérent au parti sont des personnes qui viennent par conviction parce qu’elles croient à notre président ».
A la question des perspectives d’avenir partant de l’objectif de tout politique consistant en la conquête du pouvoir, le Secrétaire général dudit parti s’est s’exprimé en ces termes : «Nous avons une perspective vers les élections de 2028, celle d’aligner des candidats à tous les niveaux et cela sur toute l’étendue du territoire national. Etant membre d’un regroupement politique, le MDCO va l’accompagner à travers les candidats qu’il va aligner par un recrutement ciblé. L’objectif est d’arracher 50 sièges à la Chambre basse du Parlement outre les sénateurs, députés provinciaux et conseillers municipaux ».
Une politique assez ambitieuse mais qui pourrait nécessiter des mécanismes d’appoint afin de parvenir à atteindre des objectifs assignés de la part du Secrétaire général chargé de la mobilisation et de l’implantation du parti. D’où, selon lui, le recrutement bien ciblé des oiseaux rares qui, le moment venu, vont non seulement jouer le rôle d’implanter le parti, car il en est bien convaincu, mais vont surtout recruter davantage et faire asseoir le parti. Ainsi, le MDCO pourrait être un parti de masse pour faire élire son président national Gabriel Mokia.
Le Directeur Général de l’Autorité de Régulation de la sous-traitance dans le Secteur Privé (ARSP), Miguel Katemb Kashal, a encouragé le partenariat entre les entrepreneurs chinois et congolais pour le développement de la chaîne de valeur en République Démocratique du Congo.
Il s’exprimait ainsi, le mardi 3 septembre 2024, au cours du Forum économique RDC-Chine à Beijing en République populaire de Chine.
Intervenant dans un des panels, le patron de la sous-traitance congolaise a rassuré de l’accompagnement de l’Etat congolais et de la volonté ferme du Chef de l’Etat Félix Tshisekedi dans un partenariat gagnant-gagnant dans le secteur de la sous-traitance.
«Une fois que vous vous associez aux nationaux, vous bénéficiez de l’accompagnement de l’Etat congolais. Je tiens d’ailleurs à féliciter certaines sociétés chinoises qui s’associent aux nationaux et qui bénéficient déjà de l’accompagnement de l’État à travers l’ARSP. », a-t-il indiqué.
Et d’ajouter : « L’objectif du Président de la République c’est aussi le développement des PME, car les PME développent la nation. Et l’objectif à long terme, c’est le partenariat entre les nationaux et les partenaires chinois dans le secteur minier. Aussi, que l’argent issu de ce partenariat doit être diversifié et être transféré dans le secteur non minier afin de pouvoir développer d’autres secteurs. La RDC est vraiment ouverte pour ce partenariat, le Chef de l’Etat tient à ce que ce partenariat soit gagnant-gagnant ».
Il y a de rappeler que Félix Tshisekedi, le Chef de l’Etat congolais, est accompagné d’une forte délégation composée des Ministres, des Gouverneurs des Provinces, des mandataires des entreprises publiques, qui séjournent en République populaire de Chine dans le cadre de la neuvième édition du Forum sur la coopération Chine-Afrique (FOCAC).
Au total, 54 Etats africains et 46 Chefs d’État du continent ont spécialement effectué le déplacement pour Beijing où est désormais inscrit un nouveau chapitre de l’amitié entre les peuples chinois et africains.
Mgr Fulgence Muteba Mugalu, Archevêque de Lubumbashi et Président de la CENCO
‘‘Les forces de l’ordre et de sécurité, censées protéger la population, se ressaisissent et ne soient pas ses propres bourreaux. La CENCO également les instances judiciaires compétentes d’engager résolument des poursuites judiciaires à l’endroit des auteurs d’actes de violations des droits humains sur l’ensemble du territoire national et de les déférer devant leurs juges naturels’’, soutiennent les Evêques, dans une nouvelle déclaration contre la banalisation de la vie en RD. Congo.
‘’En parcourant le territoire national pour annoncer la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ, nous constatons que le Peuple congolais est meurtri d’une plaie profonde, partout c’est la désolation : les victimes des violences armées, les affamés, etc. (Jr 14, 17-18). Notre amertume est d’autant plus grande en constatant que cette série d’événements malheureux est suivie d’une léthargie affichée dans les enquêtes par les autorités politico administratives et militaires qui frise l’abandon du Peuple à lui-même. Mais, tous ces phénomènes sont, malheureusement, la pointe de l’iceberg qui cache un drame plus profond : la négligence coupable, la légèreté et la corruption dans le système judiciaire, le non-respect de la vie humaine et, surtout, de la mauvaise gouvernance’’, déplorent-ils.
La Pros.
République Démocratique du Congo
Conférence Episcopale Nationale du Congo
Présidence
La vie humaine est sacrée
DECLARATION DES EVEQUES MEMBRES DE LA CENCO CONTRE LA BANALISATION DE LA VIE EN RD CONGO
PREAMBULE
1.Nous, Cardinal, Archevêques et Evêques membres de la Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO), en vertu de notre charge pastorale, ne nous tairons jamais tant que le Peuple congolais ne jouira pas pleinement du droit à la vie et du respect de sa dignité.
2. En effet, au moment où la Nation est préoccupée par la guerre à l’Est et les affres du phénomène « Mobondo » à l’Ouest, il est saugrenu que l’on assiste aux massacres de civils et au carnage à la Prison Centrale de Makala à Kinshasa.
CONSTATS
3. Il est plus que déplorable de devoir compter chaque jour des morts de suite des attaques et bavures des Forces de l’ordre et de sécurité d’une part, et de la négligence de services de l’Etat d’autre part. Il y a un an, le 30 août 2023, c’était le massacre de plus d’une cinquantaine de personnes, dites « Wazalendo », adeptes d’une secte, à Goma, par la Garde républicaine ; récemment, le 15 août 2024, la Nation congolaise a été endeuillée par le massacre crapuleux d’une dizaine de jeunes du mouvement religieux Mbidi à Kilwa, par certains éléments des Forces Armées de la RD Congo et de la Police Nationale Congolaise ; le 18 août 2024, nous avons déploré la mort de 25 personnes doublée de la disparition de 160 autres dans le naufrage d’une Baleinière sur la Rivière Lukeni, dans le Maï-Ndombe, ce suite à la négligence des services de l’Etat commis à la régulation de la navigation dans nos lacs et rivières.
4. Alors que la Nation est encore dans l’attente de la lumière sur les événements malheureux susmentionnés et tant d’autres survenus à travers le pays, notamment dans les provinces de l’Est, spécifiquement dans le Nord-Kivu et en Ituri, et à l’Ouest dans le Territoire de Kwamouth ; au moment même où la Nation était censée rendre des hommages dignes, à Goma, à nos 200 frères et sœurs morts suite au déplacement forcé par le fait de guerre, les nouvelles provenant de la Prison centrale de Makala, ce lundi 02 septembre 2024, faisant état de plus d’une centaine de morts dont un bon nombre par balles, de plusieurs blessés et des cas de viols parmi ses pensionnaires, obligent la CENCO à réitérer sa désapprobation de la banalisation de la vie humaine en RD Congo. Nous condamnons sans ambages ces ignobles atteintes à la dignité de la personne humaine.
5. Nous joignons nos voix à celles de Leurs Excellences Nos Seigneurs les Evêques membres de la CENCO qui, en vertu de leurs charges pastorales, n’ont pas caché leur indignation, et dénonçons avec eux les tueries perpétrées dans leurs milieux. A nos chers Evêques et à toutes les populations de leurs diocèses respectifs avec qui ils partagent les joies et les misères, nous exprimons notre grande compassion. Aussi, nous saisissons cette occasion pour présenter nos condoléances chrétiennes à toutes les familles qui ont perdu les leurs dans ces massacres et à tous ceux qui sont touchés par ces drames iniques et rassurons de nos prières tous les blessés, qu’ils recouvrent force et santé par la grâce du Seigneur.
6. En parcourant le territoire national pour annoncer la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ, nous constatons que le Peuple congolais est meurtri d’une plaie profonde, partout c’est la désolation : les victimes des violences armées, les affamés, etc. (Jr 14, 17-18). Notre amertume est d’autant plus grande en constatant que cette série d’événements malheureux est suivie d’une léthargie affichée dans les enquêtes par les autorités politico administratives et militaires qui frise l’abandon du Peuple à lui-même.
7. Ces phénomènes sont malheureusement la pointe de l’iceberg qui cache un drame plus profond : la négligence coupable, la légèreté et la corruption dans le système judiciaire, le non-respect de la vie humaine, la mauvaise gouvernance, etc.
EXHORTATION
8. La vie humaine, don de Dieu, est sacrée. La dignité de tout homme (y compris le prisonnier), créé à l’image de Dieu et à sa ressemblance (cf. Gn 1, 26-27), doit être promue et respectée. Nous exhortons la Justice congolaise au respect des droits des justiciables et des procédures qui réglementent les arrestations. Ceci pourrait en plus participer au processus de désengorgement des prisons mené par le Gouvernement et éviter des incarcérations clandestines. Nous invitons ainsi le Gouvernement à honorer ses propres engagements, surtout pour ce qui est de la construction de nouvelles prisons.
9. Les faits évoqués, ci-dessus, et tant d’autres qui sont dénoncés constamment par les Organisations de la Société civile ternissent l’image de marque de la RD Congo. Cela étant, il importe que les forces de l’ordre et de sécurité, censées protéger la population, se ressaisissent et ne soient pas ses propres bourreaux.
10. La CENCO invite, en outre, les instances judiciaires compétentes d’engager résolument des poursuites judiciaires à l’endroit des auteurs d’actes de violations des droits humains sur l’ensemble du territoire national et de les déférer devant leurs juges naturels.
11. Nous exhortons tous les fidèles catholiques, ainsi que les hommes et femmes de bonne volonté, où qu’ils soient, de promouvoir la culture de la non-violence et du respect de la vie humaine ainsi qu’à l’observation d’une citoyenneté responsable, en veillant à l’unité et à la cohésion sociale, en vue de la restauration d’une paix durable en RD Congo.
12. Que par l’intercession de la Sainte Vierge Marie, Notre Dame du Congo et Reine de la Paix, Dieu protège la RD Congo.
Me Samuel Mbemba Kabuya, le Vice-Ministre de la Justice et Contentieux International, a procédé, ce mercredi 04 septembre, au lancement de la série de remise des fournitures scolaires aux orphelins de différentes écoles de sa circonscription électorale, Lukunga.
Le go a été donné au Lycée Tolendisa de Camp Luka où le Vice-Ministre Samuel Mbemba Kabuya a fait sa descente cet après-midi.
Devant 146 élèves, il a souligné l'importance de ce geste qui s’inscrit dans la vision de Félix Antoine Tshisekedi, Président de la République, en ce qui concerne, particulièrement, la gratuité de l’enseignement et l’initiation à la nouvelle citoyenneté.
Fort de son expérience personnelle, Samuel Mbemba Kabuya, Vice-Ministre de la Justice et Contentieux International, a saisi cette occasion pour prodiguer conseils aux élèves, se basant de sa règle d'or, les 3 secrets de la réussite dans la vie.
Il a souligné, par ailleurs, que 5.000 orphelins sont concernés par cette campagne qui sans doute redonne sourire
Il sied de noter que cette opération de remise des fournitures va s'étendre dans plusieurs écoles, les deux prochaines semaines de ce mois de septembre.
*Poudre blanche répandue à plusieurs endroits (tables, chaises, claviers des ordinateurs, ventilateurs, sous le tapis ainsi que dans des documents). Liquide suspect déversé au réfrigérateur. Intoxication des toilettes par un produit dégageant un gaz piquant.
A ce jour, plusieurs membres du Cabinet de Constant Mutamba, Ministre d’Etat, Ministre de la Justice, qui sont entrés en contact avec son bureau ont été diagnostiqués positifs à l’empoisonnement et sont, désormais, pris en charge pour des soins appropriés.
A lire attentivement le communiqué n°032 émanant du Cabinet du Ministre d’Etat, Ministre de la Justice, et daté de ce mercredi 4 septembre 2024, la Police Scientifique, après des investigations, est parvenue à la conclusion que son Bureau ainsi que son Antichambre ont fait l’objet d’un empoisonnement.