Malko Bujiriri, Jeune leader et porteur d’opinionNous, Leader de l’opinion congolaise et jeune cadre du Congo, soutenons à 100% la candidature de l’Honorable Serge BAHATI au poste de la Questure de l’Assemblée Nationale de notre pays pour plusieurs raisons, parmi lesquelles nous citons :
1) Serge BAHATI est parmi les jeunes congolais qui ont brisé la peur et a pris le courage depuis des années à travailler avec la Communauté à KABARE jusqu’à ce faire élire comme Député national, meilleur élu de la circonscription de KABARE avec plus de 15.000 voix
2) Se référant à la volonté du Chef de l’Etat, celui de vouloir le rajeunissement de la classe politique congolaise, nous pensons et faisons appel à tous les jeunes congolais de soutenir la candidature de l’Honorable Serge BAHATI, qui jetant un coup d’œil sur le ticket gagnant de l’Union Sacrée est le seul jeune parmi les 7 membres du bureau.
3) L’Honorable Serge BAHATI est un jeune compétent, expérimenté et animé par le souci du changement.
Avec son parcours scolaire et académique, son savoir-faire et savoir-être que tous les jeunes témoignent aujourd’hui, une fois au bureau de l’Assemblée Nationale, il sera une motivation pour toute la jeunesse congolaise.
4) Loin de penser que Serge BAHATI est le fruit du favoritisme ou népotisme ; clientélisme de la part de son père ; Serge BAHATI est un cadre de l’AFDC qui se bat, qui cotise, qui a milité, qui a mouillé le maillot les années durant pour l’intérêt de sa famille politique et de ses camarades ; et donc, il mérite de bénéficier des opportunités comme tout autre camarade du parti sans discrimination « évitons de minimiser les efforts des autres
5) Enfin, Nous soutenons la vision du Chef de l’Etat pour le rajeunissement de la classe politique et souhaitons que d’autres jeunes à l’instar de Serge BAHATI se retrouvent au Gouvernement prochain.
Au terme d’une visite dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC), un Haut responsable de l’UNICEF a souligné lundi les préoccupations croissantes concernant la protection des droits des enfants et la protection des civils et a appelé à une action urgente pour renforcer les solutions diplomatiques et à long terme.
Le Directeur général adjoint du Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF) pour l'action humanitaire et les opérations d'approvisionnement, Ted Chaiban, a conclu une visite de cinq jours dans l'est de la RDC où il a rencontré les autorités et a été le témoin direct de l'impact dévastateur de l'escalade du conflit sur les populations vulnérables, en particulier les femmes et les enfants, a indiqué l’UNICEF dans un communiqué de presse.
Des millions de déplacés
« L'ampleur du conflit dans l'est du pays a atteint de nouveaux sommets, déplaçant des millions de personnes et créant la pire crise humanitaire dans le pays depuis 2003 », a déclaré Ted Chaiban. « Les enfants sont tués, mutilés, enlevés et recrutés par les groupes armés, les violations graves vérifiées étant les plus nombreuses jamais enregistrées ; leurs droits à l'éducation et à une enfance sûre ont été anéantis ».
Le haut responsable de l'UNICEF a visité les sites de personnes déplacées de Bulengo et de Lushagala, à la périphérie de Goma, capitale de la province du Nord-Kivu, où vivent plus de 36.500 familles. « L'intensification des combats au cours des derniers mois a aggravé la situation déjà précaire des enfants et des familles dans les camps », a-t-il souligné.
Il a également rencontré des familles déplacées à Minova, dans la province du Sud-Kivu, où l'accès est de plus en plus restreint et où l'afflux récent de plus de 250.000 personnes fuyant les conflits a ajouté une pression immense sur des communautés d'accueil déjà vulnérables.
Acheminement de l'aide humanitaire
« La seule façon de réduire ces souffrances est de redoubler les efforts des acteurs régionaux et de la communauté internationale pour négocier une solution politique au conflit, y compris le processus de Luanda, le dialogue de Nairobi et d'autres efforts diplomatiques », a souligné Ted Chaiban. « La détérioration de la situation sécuritaire dans les provinces du Nord et du Sud-Kivu et de l'Ituri a un impact significatif sur l'acheminement de l'aide humanitaire ».
« Nous condamnons fermement les bombardements de la semaine dernière sur trois sites pour personnes déplacées dans les quartiers de Lac-vert, Lushagala et Mugunga près de Goma, qui ont entraîné la perte tragique de 35 vies et fait plus de 20 blessés, principalement des femmes et des enfants », a-t-il ajouté.
L'UNICEF demande instamment à toutes les parties de maintenir les installations, les armes et les opérations militaires à l'écart des zones civiles.
L'agence onusienne réaffirme la nécessité d'accorder une place centrale à la protection dans cette crise. « L'UNICEF reste déterminé à faire en sorte que le droit de chaque enfant à la santé, à l'éducation et à la protection soit respecté », a réitéré le Directeur général adjoint de l'UNICEF.
Deux jeunes garçons transportent de l'aide alimentaire à vélo à Beni, au Nord-Kivu, en RDC.
Pour des communautés plus résilientes
Avec la baisse des fonds humanitaires, les interventions humanitaires menées par l'UNICEF se concentrent sur les plus vulnérables.
« Répondre à l'ensemble des besoins et apporter des solutions durables ne peut se faire que si le gouvernement prend la responsabilité principale de fournir des services de base dans ces contextes difficiles, avec notre soutien collectif », a dit Ted Chaiban. « Le soutien aux systèmes gouvernementaux pour que les communautés soient plus résilientes est le seul moyen de réduire les besoins humanitaires ».
Il a souligné l'importance d'un financement flexible comme l'un des principaux catalyseurs. L'UNICEF travaille en étroite collaboration avec le Programme alimentaire mondial (PAM), l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et d'autres agences pour améliorer la résilience et la cohésion sociale, en liant les interventions humanitaires au développement et à la paix.
Ted Chaiban a visité des réseaux d'eau dans le territoire de Rutshuru, dans le Nord-Kivu, montrant que les solutions durables sont la façon dont on peut et doit travailler, même dans les zones de conflit et les camps de personnes déplacées, comme l'extension du réseau d'eau de Goma à Kanyaruchinya.
Il a rappelé que le monde a besoin d'un Congo pacifique et productif qui, avec sa forêt tropicale et ses minéraux verts, est essentiel à la lutte contre le changement climatique mondial. « La République démocratique du Congo est trop importante pour échouer. Nous avons besoin de paix et de sécurité pour que les personnes déplacées puissent rentrer chez elles, cultiver leurs champs et ramener leurs enfants à l'école », a-t-il conclu.
La Sénatrice Anne Muguje alerte la Classe politique et dénonce, avec la dernière énergie, un complot visant son invalidation à la Cour Constitutionnelle. Prenant l’opinion publique à témoin, elle accuse, en effet, Rose Mutombo Kiese, la Ministre d’Etat sortante en charge de la Justice, de vouloir arracher frauduleusement son siège qu’elle a pourtant mérité, en toute transparence, lors de l’élection du 29 avril 2024, au niveau de l’Assemblée provinciale de Kinshasa, où elle avait été valablement élue avec 4 voix. D’après des sources concordantes, la Ministre Rose Mutombo aurait du mal à digérer sa défaite et serait déterminée, comme jamais auparavant, à s’appuyer son influence ainsi que ses nombreux contacts professionnels, en tant que membre du Gouvernement de la République sortant, pour venir à bout de sa démarche, avant la validation des mandats des Sénateurs qui, par ailleurs, ont débuté hier, mardi 14 mai 2024, en bonne et due forme, la session extraordinaire inaugurale, dans le cadre de la quatrième législature.
Pourquoi l’acharnement contre Anne Mbuguje ?
« A travers une requête sans preuves déposée à la Cour Constitutionnelle, Rose Mutombo prétend que Anne Mbuguje, qui a recouvré sa nationalité congolaise d’origine en février 2024, l’Attestation signée de la main de Rose Mutombo faisant foi, aurait voyagé le 10 mai dernier avec un passeport belge, prétendant ainsi qu’elle détiendrait encore la nationalité belge et qu’elle aurait brigué le mandat de sénateur en violation de la loi. Devant la Cour Constitutionnelle, la Ministre d’Etat n’a pas pu brandir bi fournir la moindre pièce obtenue de la DGM tendant à corroborer ses allégations mais le Ministère public a entrepris de lui prêter main forte en demandant à la Cour de déclarer fondée et recevable sa requête, contre les droits de la Sénatrice Muguje. Ancienne magistrale au Conseil d’Etat, Rose Mutombo est mieux placée pour ne pas oublier que la charge de la preuve incombe au demandeur», précisent des canaux proches de ce dossier, dans les couloirs de la Haute Cour.
Aussitôt revenu à Kinshasa, après un bref séjour en Europe où il a accompagné le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, dans une bataille diplomatique de tous les enjeux, Patrick Muyaya Katembwe, Ministre de la Communication et médias, s’est prêté à un exercice de redevabilité, lundi 13 mai 2024, sur les ondes de la Radio Okapi, dans le cadre de l’émission Parole aux Auditeurs. Cette sortie médiatique était pour lui l’occasion indiquée pour faire toute la lumière sur la stratégie mise en place au niveau du Gouvernement de la République, dont il est le Porte-parole, dans l’optique d’apporter des solutions aux problèmes des congolais. En premier lieu, le Ministre Muyaya est revenu sur la crise sécuritaire qui caractérise la partie Est du territoire national à la suite de l’agression imposée par le Rwanda, qui opère, en permanence, sous la couverture du M23. Il a condamné cette forme de guerre injuste et a rassuré sur la détermination du Commandant suprême, le Président Tshisekedi, à tout mettre en œuvre pour imposer la paix. Pour Patrick Muyaya, la RD. Congo ne cédera aucun centimètre de son sol peu importe la nature de la menace contre sa souveraineté et son intégrité territoriale.
Halte à l’agression du Rwanda !
« (…), je ne souhaite plus que vous puissiez parler du M23 parce que ce groupe n’existe pas en réalité. Ce qui existe c’est l’armée rwandaise qui opère sous couvert du M23. Cela a été plusieurs fois démontré, cela doit être bien clair. Vous savez, je suis Radio Okapi depuis plus de vingt ans. Justement, il y a un travail qui est en cours pour pouvoir restaurer la paix dans cette partie du territoire. Il y a eu des progrès, mais il y a eu beaucoup de régression parce que lorsque vous regardez cette nouvelle agression rwandaise qui se fait sur fond d’une guerre économique. On va parler de l’occupation de Rubaya. Cela vous donne une indication de véritables motivations. Le Président de la République l’a dit et redit plusieurs fois et le Gouvernement y travaille au quotidien pour pouvoir apporter des remèdes aux différents problèmes que cela soulève. Il faut dire qu’il y a le problème principal qui est lié à l’agression. Mais, il y a aussi des problèmes corollaires. Par exemple, la situation humanitaire, les conséquences sur la scolarité des enfants et bien d’autres d’ailleurs. Pour chaque point, le Gouvernement travaille à apporter des solutions. Bien évidemment, les solutions que nous apportons à l’instant ne seront jamais suffisantes pour les populations qui sont déplacées parce qu’ils ne sont pas dans leurs milieux ordinaires où ils peuvent vaquer à leurs occupations quotidiennes. Ça c’était dans la partie Nord-Kivu tout au moins dans la partie qui concerne l’agression rwandaise », a-t-il souligné, dans sa communication.
Plusieurs fronts pour vaincre la guerre
Restant dans le même volet de la problématique, le Porte-parole du Gouvernement a indiqué que les Forces armées de la République démocratique du Congo restent engagées, sur le front militaire, à défendre efficacement le pays au prix de leur sang, parallèlement aux efforts en cours d’accomplissement sur le plan diplomatique notamment. « Pour ce qui concerne les ADF, c’est un autre type de problème parce qu’il s’agit des groupes terroristes… Nous les combattons en mutualisant nos forces avec l’Ouganda. Nous faisons des progrès, mais lorsque vous combattez un mouvement aussi tentaculaire qui existe depuis des années, chaque moindre silence donne l’impression qu’on n’a pas de progrès, mais en réalité, nous en avons beaucoup eu. Il y a une ou deux semaines, le Chef d’Etat-major congolais a rencontré son homologue ougandais pour faire le point de l’évolution de la situation… Ici, je vous dis que nous faisons face à une agression. C’est un pays étranger qui a décidé de faire la guerre dans l’Est de la République démocratique du Congo. Les problèmes, nous sommes en train de les régler. Mais, pour y parvenir, il y a plusieurs phases. Il y a évidemment la phase la plus importante, qui a un coup important, c’est la phase militaire. Il ne faut pas oublier que nous n’évoluons pas comme une entité isolée. Nous évoluons dans une Communauté de Nations. Nous sommes engagés dans des Processus. La première condition généralement dans les Processus, on vous dit que c’est un cessez-le-feu pour voir comment nous pourrons discuter et avancer sur un certain nombre de sujets. Parallèlement à cela, nous ne baissons pas les bras pour ce qui concerne les efforts, notamment pour la montée en puissance des Forces armées de la République démocratique du Congo. Ça prend du temps, mais c’est un processus qui est en cours. Il y a des progrès qui ont été faits sur terrain, à Bitonga par exemple, où on a anéanti quelques colonnes des officiers rwandais qui circulaient dans cette partie. Ça prend du temps, mais nous pensons que nous sommes dans la voie qui va nous conduire à sa solution. Et, nous ne restons pas que sur le front militaire. Nous avons également le front diplomatique. Nous avons pensé qu’il faut activer le front judiciaire parce qu’il n’y aura jamais de garantie de non répétition. Nous avons le front économique. Vous avez vu la mise en demeure que nous avons adressée contre APPLE qui concerne à la fois le volet judiciaire, le volet économique et le volet médiatique. Evidemment, nous avons la question médiatique qui fait qu’aujourd’hui, tous les congolais sont conscients, ils savent qui est l’adversaire. Pour le reste, c’est un chantier sur lequel nous travaillons au quotidien. Nous espérons que dans un avenir proche, nous pourrons trouver des solutions. Il ne faut pas oublier que c’est un problème qui existe depuis une vingtaine d’années et que la solution à trouver ne pouvait pas se faire malheureusement sur un coup de bâton magique », a ajouté l’homme du changement de narratif.
Vers de nouveaux horizons sous l’impulsion du Président Félix Tshisekedi
Pour M. Patrick Muyaya, le passage du Président Tshisekedi à la tête de la RD. Congo a consacré un envol important du pays vers son développement. Il est convaincu que durant ce nouveau quinquennat, du reste placé sous le signe de la consolidation des acquis, le Chef de l’Etat engagera des réformes courageuses et travaillera davantage à améliorer, par un leadership exemplaire, les conditions de vie de ses milliers de compatriotes disséminés à travers l’étendue du territoire national. « Ça fait beaucoup d’années que dans ce pays, on n’a pas réglé des problèmes de fond. Je vais vous rappeler quatre actions qui peuvent vous rappeler que nous avons fait mieux que quiconque avant nous. Regardez l’action de la gratuité de l’enseignement. On n’en parle dans la Constitution depuis 2006 et on l’a appliquée qu’en 2019. Aujourd’hui, combien d’enfants sont retournés à l’école ? Deuxième exemple, le Programme de Développement Local de 145 Territoires. Aujourd’hui, on est à plus de 900 édifices livrés qui sont des écoles, bâtiments d’administration et hôpitaux. Je peux encore prendre l’exemple de la mise en place de la Couverture Santé Universelle. Permettre à tous les congolais d’avoir accès à des soins de santé à bas prix et des soins de qualité… Il s’agit des répondes de fond que nous apportons. La vérité c’est que pendant des longues années, beaucoup de gens n’ont pas regardé le pays dans le véritable état dans lequel il était. Ici, nous sommes dans une phase de refondation en ce qui concerne la Police, en ce qui concerne l’armée, en ce qui concerne le système éducatif, en ce qui concerne l’Administration publique. Avant de prétendre que nous avons échoué, il faut regarder le point de départ… Depuis que nous sommes aux responsabilités, nuit et jour, nous donnons notre meilleur pour améliorer l’existant », a rappelé, de manière déterminante, le Ministre de la Communication et médias, Patrick Muyaya Katembwe.
Prof. Dr Vital Kamerhe Lwa Kanyiginyi Nkingi, Président de l’Assemblée Nationale
Dr Jean-Claude Tshilumbayi, Premier Vice-Président de l’Assemblée Nationale
Christophe Mboso N’kodia Pwanga, Deuxième Vice-Président de l’Assemblée Nationale
*‘’Il est inacceptable qu’une Province, une tribu ou un espace provincial occupe deux postes au sein du Bureau Définitif alors que tant d’autres sont absents’’, soutiennent, mordicus, les Députés Nationaux Républicains, dans une Déclaration tranchante parvenue hier, tard dans la soirée, à La Prospérité.
Constat
Selon eux, en effet, la composition de ce Bureau définitif doit, en principe, respecter, à la fois, la Constitution et le Règlement Intérieur de l’Assemblée Nationale qui édictent le principe sacro-saint d’inclusivité et de représentation équitable des Provinces de la RD. Congo dans la mise en place de nouvelles institutions. D’où, se fondant sur sur ce même principe, les Députés Nationaux Républicains rappellent qu’en vertu des engagements auxquels le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, a librement souscrit, le jour de son investiture, le 20 janvier 2024 au Stade de Martyrs de la Pentecôte, ce nouveau mandat sera consacré à la lutte contre les antivaleurs et, même, à la correction des erreurs du passé.
Cette option, à elle toute seule, place les Députés Nationaux Républicains dans l’impossible d’avaler n’importe quelles couleuvres, fussent-elles les tares et autres vibrions liés notamment, aux pratiques ataviques ainsi qu’aux mentalités du clientélisme politique, du népotisme ou du despotisme.
Où est Félix Tshisekedi ?
Voilà pourquoi, tout en demandant à l’Autorité de Référence de l’Union Sacrée de rejeter la Composition proposée par le Présidium et d’exiger la Représentation équitable des Provinces, le respect du poids politique et, surtout, de refuser toute tentative de consacrer l’émergence exponentielle d’une nouvelle caste dictactoriale, les Députés Nationaux Républicains, promettent de ne jamais voter pour des candidatures ayant dérogé au respect de ces principes d’équilibre géopolitique et de poids polititique.
Ici encore, le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, est appelé à trancher, s’il faut espérer l’embéllie au sein de l’Union Sacrée, sa propre méga structure politique née des cendres de la putréfaction de l’alliance entre le CACH et le FCC de Joseph Kabila Kabange.
Ils le disent si bien, dans la déclaration reprise, ci-dessous, en fac-similé.
*L’actuelle Constitution résulte d’un compromis politique entre des factions qui, autrefois, étaient engagées dans des conflits armés. Puis, cette même Constitution en vigueur depuis 2026 a été conçue et interprétée sous le prisme d’une expertise non seulement étrangère mais également, coloniale. Et comme si cela ne suffisait pas, l’actuelle Constitution souffre d’un florilège de malformations congénitales qui, si souvent, sont à la base des lacunes importantes sur le plan économique et social en raison du fait qu’elle préconise des mesures vagues ou peu ambitieuses. D’ailleurs, elle manque de mécanismes robustes pour assurer la protection des citoyens face aux abus de l’Etat.
Pour toutes ces raisons, y compris pour tant d’autres raisons liées notamment, aux réformes structurelles envisagées à l’aune de ce nouveau mandat Présidentiel, Jo M. Sekimonyo, de sa propre initiative, a écrit un projet de révision constitutionnelle dont il a transmis une copie en date du 13 mai 2024 à Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, le Président de la République, Chef de l’Etat.
Ainsi, sollicite-t-il de ce dernier un accompagnement sans nul doute soutenu pour l’aboutissement heureux de ce projet dont la portée est, à ses yeux, déterminante pour l’avenir de la RD. Congo.
Dans les faits, Jo M. Sekimonyo rappelle, en effet, qu’en reconnaissant la nécessité d’un gouvernement réactif et inclusif, le Président Félix Tshisekedi a déjà entendu les appels citoyens et, même, répondu, lui-même, en faveur de cette révision constitutionnelle qui permettrait de corriger, à coup sûr, les failles de la Constitution de 2006.
A son avis, cette correction complète offre l’opportunité de garantir que notre Constitution reflète véritablement les valeurs d’inclusivité, de justice et de progrès nécessaires à la transformation sociale ainsi qu’à l’essor économique de la RD. Congo.
Il précise, toutefois, qu’il ne serait pas question, lors de cet exercice, de changer, par exemple, les dispositions concernant le nombre, ni la durée du mandat présidentiel.
Par contre, cette proposition de révision constitutionnelle intègre les réformes essentielles visant à relever les défis majeurs sur le plan économique et social, tout en protégeant les droits fondamentaux et les intérêts vitaux de tous les citoyens congolais.
Pour atteindre cet objectif, il entend, enfin, soumettre ce projet de révision constitutionnelle au Constituant, après avoir, évidemment, récolté le nombre des signatures exigé comme préalable à cet exercice, à la fois, patriotique et démocratique.
Prof. Dr Vital Kamerhe Lwa Kanyiginyi Nkingi à deux doigts de la Présidence de l’Assemblée Nationale
*A l'Assemblée nationale, les choses sérieuses ont commencé le lundi 13 mai 2024, jour choisi par presque tous les candidats, pour déposer leurs dossiers de candidature aux différents postes du bureau définitif de la chambre basse du Parlement congolais.
Vainqueur des primaires de l'USN -Union sacrée de la Nation- pour le perchoir, Vital Kamerhe, sans surprise, a remis son dossier le même lundi. Il est le seul candidat en lice pour le perchoir, confirmant ainsi qu'il est bel et bien « le choix du Président de la République », pour prendre la direction de l’Assemblée Nationale.
A la tête d'une plateforme politique baptisée PCR -Pacte pour un Congo retrouvé-, qui revendique plus de 100 députés nationaux, Vital Kamerhe est ainsi bien parti pour retrouver le perchoir, 15 ans après l'avoir quitté. Sa candidature, estiment de nombreux observateurs de la scène politique congolaise, clos le débat : le leader de l'UNC est bien «la personne en qui le Président Tshisekedi a placé sa confiance, pour diriger l'Assemblée nationale ».
Kamerhe, ont-ils enchaîné, devient ainsi le symbole du resserrement des liens entre l'UDPS -Union pour la démocratie et le progrès social- et l’UNC -Union pour la nation congolaise-. Ces deux partis, depuis novembre 2018, ont levé l'option de faire route ensemble, pour le rayonnement de la RDC, par l'application d'une politique qui met au centre le peuple.
Le mariage UDPS-UNC, symbolisé par les deux figures de proue de ces formations politiques, Félix Tshisekedi et Vital Kamerhe, a traversé de fortes zones de turbulence lors des cinq dernières années, sans céder aux sirènes de divorce qui, sans cesse, ont guetté cette relation dont la seule détermination a toujours été de voler au secours du peuple congolais.
Ce combat, Vital Kamerhe entend le poursuivre dans ses futures responsabilités de président de l'Assemblée nationale. Il l'a dit quelques instants après avoir officialisé sa candidature.
«Je remercie aussi le Président de la République, qui est la Haute autorité de l'Union sacrée. Le peuple congolais sera correctement représenté dans cette salle, et sa voix, ses désidératas, ses cris de détresse seront relayés par les honorables députés. Ça sera un véritable temple de la démocratie», a-t-il déclaré devant la presse, non sans annoncer les couleurs quant à ses priorités : la pacification de l'Est du pays et l'éradication de la pauvreté qui gangrène la majorité des Congolais.
Et, Kamerhe peut compter sur le Dr. Jean-Claude Tshilumbayi, également candidat unique au poste de 1er vice-président du bureau définitif de la chambre basse. Intellectuel de haut point, doté d'un sens élevé d'analyse de situation et de solution aux problèmes, ce professeur des universités se présente tel un réel atout pour Vital Kamerhe, si non un partenaire pour accomplir cette mission qui va permettre au Président Félix Tshisekedi d'offrir aux Congolais plus d'emploi et plus de sécurité, et un social amélioré.
Kamerhe-Tshilumbayi, ce sera, désormais, la symbolique de la parfaite harmonie entre l’UNC et l’UDPS, qui va faire mentir ceux qui ont accusé faussement l'ancien vice-Premier ministre en charge de l'Economie de rouler pour son propre compte.
Par ailleurs, les postes brigués par Kamerhe et Tshilumbayi sont les seuls à traduire le respect du ticket connu de l'Union sacrée de la nation. Pour d'autres sièges dans le bureau définitif de l'Assemblée nationale, certains députés USN ont choisi d'aller à l'encontre de la ligne tracée par le présidium. C'est le cas, notamment, d'Antipas Mbusa Nyamwisi, ministre sortant de la Coopération régionale, qui a remis, lundi, sa candidature au poste de deuxième vice-président, concurrençant, par conséquent, celle de Christophe Mboso, officiellement candidat USN à cette fonction.
A la questure, contre toute attente, le député national Dhédhé Mupasa dépose sa candidature pour défier son collègue Serge Bahati, qui a été aligné par l'Union sacrée de la Nation.
Au poste de questeur adjoint, Roger Ron Bimwala a choisi d'affronter Caroline Bemba Bamanisa, sœur biologique de Jean-Pierre Bemba, Vice-Premier Ministre en charge de la Défense, listée aussi dans le ticket USN.
Dans les rangs de l'opposition, la guerre est ouverte entre Ensemble pour la République de Moïse Katumbi et la DYPRO -Dynamique progressiste- de Constant Mutamba. Ce dernier a postulé au poste de rapporteur adjoint de l'Assemblée nationale, pendant que le camp Katumbi revendique cette fonction exclusivement réservée à l'Opposition. Les Katumbistes ont aligné Dominique Munongo. Ils ont aussi mis en garde Constant Mutamba, reproché de prendre la politique comme une « blague».
Les candidatures déposées, la lutte est désormais ouverte pour tous les postes... sauf probablement pour la Présidence et la première Vice-Présidence de l’Assemblée Nationale.
La Ministre de la Formation Professionnelle et Métiers, Antoinette kipulu Kabenga, a présidé ce samedi 11 Mai 2024 à la concession des régies des travaux de l'Onatra à Limete la cérémonie de clôture des formations qualifiantes organisées par le Cadre de Récupération et d’Encadrement pour l'Epanouissement Intégral des Jeunes, Centre d'Autonomisation la Grâce avec l'appui du Fonds des Nations Unies pour la Population UNFPA et l'Ambassade de la Norvège en RDC.
Plus de 200 jeunes filles non scolarisées ont bénéficié de ces formations axées sur la Coupe et Couture, l'esthétique et la Coiffure voire l'informatique et l'alphabétisation.
La cérémonie qui a drainé du monde a été marquée par des discours, des témoignages poignants de quelques filles autrefois livrées à la prostitution, des démonstrations d'aptitudes ainsi que des danses folkloriques.
L'occasion pour la coordonatrice nationale de CREEJ de dévoiler à tous les tristes réalités vécues par les femmes à pakadjuma, quartier devenu célèbre du fait d'avoir érigée la prostitution comme source principale de revenus de ses ressortissantes peu importe l'âge.
Elle a évoqué d'autres fléaux notamment la drogue et la déperdition scolaire.
Elle a enfin plaidé pour un accompagnement soutenu de ces jeunes car une fois délaissés, ils deviennent des véritables bombes à retardement pour la société.
Prenant la parole, la Représentante de l'UNFPA a rappelé les efforts consentis par son organisation afin de mettre fin aux violences basées sur le genre, à la mortalité maternelle tout en assurant la promotion de la santé de la reproduction.
De son côté, la représentante de la Ministre du Genre, Famille et Enfant a encouragé ces jeunes filles à aller de l'avanr et à ne jamais baisser les bras pour ne pas replonger dans la prostitution.
Pour sa part, la Ministre de la Formation Professionnelle et Métiers, Antoinette kipulu Kabenga, a loué l'initiative de former cette catégorie marginalisée de la population.
Ce qui est une contribution significative susceptible d'aider à la matérialisation de la vision du chef de l'etat, celle de former les hommes et des femmes dans differents métiers dans l'optique de constituer enfin une classe moyenne en RDC. .
Extrait
Notons que la Ministre Antoinette kipulu Kabenga, impressionnée par le travail abattu sur le terrain par le Centre la Grâce récemment agréé par le Ministère de tutelle, en a profité pour lui doter de 10 ordinateurs, 20 machines à coudre ainsi que 4 bourses pour le Maroc accordées aux meilleures lauréates.
Motif de joie pour la promotrice ainsi que toutes les apprenantes du centre.
La manifestation s'est clôturée par la remise des cadeaux à la ministre ainsi qu'aux autres invités de marque.
Il s'agit des fruits de l'exercice de leurs nouveaux métiers.
Une visite des salles de formation s'en est suivie.
Prof. Dr. Vital Kamerhe Lwa Kanyiginyi, Président de l’Assemblée Nationale
Prof. Dr. Isaac Jean-Claude Tshilumbayi Musawu, Premier Vice-Président de l’Assemblée Nationale
Christophe Mboso N’kodia Pwanga, Deuxième Vice-Président de l’Assemblée Nationale
*Alors que les uns et les autres au sein de la classe politique congolaise se perdaient en conjectures sur la composition du nouveau Bureau définitif de l’Assemblée Nationale, le Présidium de l’Union Sacrée, sous la férule de M. Augustin Kabuya, a levé, désormais, ses ultimes options ce week-end sur les noms des personnalités appelées à y assumer d’importantes fonctions. L’Opposition dont le poste de Rapporteur Adjoint reste vacant, n’aura qu’à choisir, à son tour, son candidat à présenter, lors des scrutins prévus, le 18 mai prochain.
Ainsi donc, selon un Procès-Verbal flottant sur la toile au sujet d’une réunion qui aurait eu lieu au numéro 3 de l’avenue Révolution, au Quartier GB, dans la municipalité de la Gombe, les Honorables Christophe Mboso N’kodia Pwanga, Jean-Pierre Bemba Gombo, Jean Michel Sama Lukonde, Modeste Bahati Lukwebo, Augustin Kabuya et, Vital Kamerhe, auraient, enfin, accordé leurs violons autour du ticket, ci-après :
Bureau Définitif de l’Assemblée Nationale
Président de l’Assemblée Nationale : Prof. Dr. Vital Kamerhe Lwa Kanyiginyi
1er Vice-Président : Prof. Dr. Isaac Jean-Claude Tshilumbayi Musawu
Si aucun grain de sable de dernière minute n’arrive à faire gresiller la machine, visiblement, avancée, telle sera, finalement, la nouvelle configuration du Bureau Définitif de l’Assemblée Nationale de la législature, 2023-2028, que pourrait, présenter l’Union Sacrée, conformément au calendrier publié par Mboso, le Président du Bureau Provisoire, fixant le début du dépôt des candidatures, dès ce lundi 13 mai 2024 et les scrutins interviendront, le lundi 18 mai prochain.
*Au cours d’une séance de travail organisé par le Ministre de l’Entrepreneuriat, des Petites et Moyennes Entreprises, M. Désiré N’zinga, le DG de l’ARSP Miguel Kashal Katemb et le Président National de la FEC Robert Malumba Kalombo ont décidé de mettre un terme à leurs divergences sur la recommandation des sous-traitants pour l’exécution des marchés au sein des entreprises principales de différents secteurs. Cette résolution a été prise après la réunion tripartite tenue à l’initiative du gouvernement.
Au-delà du règlement du différend, le Ministre de l'Entrepreneuriat, des Petites et moyennes entreprises, M. Désiré M’Zinga Birihanzi a réuni les deux structures en vue de procéder à l'évaluation de leur niveau de collaboration.
"Il y avait des divergences entre nos structures l'ARSP et la FEC et les experts de nos institutions ont travaillé et nous ont amené les résultats qui ont été acceptés par tous. Après le travail, nous avons enterré la hache de guerre", a dit le Président de la FEC qui est résolument tourné vers l’avenir
De son côté, le DG de l’ARSP a évoqué l’urgence pour son établissement public ainsi que ses partenaires dont la FEC de travailler pour la réalisation de la vision du Chef de l’Etat Félix Tshisekedi.
"Notre pays a connu des problèmes graves avec son économie et le Président de la République est en train de corriger ces erreurs et actuellement, nous voyons l'intérêt du pays et nous allons atteindre les attentes de la population congolaise selon la vision du Chef de l'Etat, et le Président de la République s'investit pour l'entrepreneuriat et le développement de la chaîne de valeur congolaise, la FEC et l'ARSP sont liés afin de relever ce défi dans la matérialisation du Chef de l'Etat", a déclaré, pour sa part, le DG de l’ARSP, M. Miguel KASHAL Katemb.
Sous la médiation du Ministre de l’Entrepreneuriat qui dit être disposé à travailler pour la paix entre la FEC et l’ARSP, les deux parties sont, désormais, d’accord pour mener à bon port la vision du Chef de l'Etat, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, consistant à faire émerger des millionnaires congolais en travaillant, la main dans la main.