C’en est complètement fini. Les rideaux sont tombés. La Cour Constitutionnelle a tranché. Et, désormais, les carottes sont cuites. Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, Président de la République, Chef de l’Etat, Commandant Suprême des Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) et de la Police Nationale Congolaise (PNC), succède à lui-même à la tête de la RD. Congo. Proclamé provisoirement vainqueur de la Présidentielle 2023, avec 73,34% de voix, par la Commission électorale nationale indépendante (CENI), il a été confirmé comme tel, de façon définitive, hier mardi 9 janvier 2024, par la Haute Cour, avec une côte revue à la hausse, soit 73,47%, au terme d’une audience publique et solennelle consacrée aux contentieux des résultats publiés par la Centrale électorale.
Au cours de cette même audience, la Cour a déclaré recevable mais non-fondée la requête de Théodore Ngoy. Dieudonné Kamuleta, Président de la Haute Cour, a indiqué qu’il va notifier, conformément aux dispositions constitutionnellement prévues, les Présidents des deux Chambres du Parlement, le Premier ministre et le Bureau de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) et au vainqueur de la Présidentielle, Félix Tshisekedi, lui-même, avant de mettre le cap, une fois pour toutes, sur la publication au Journal Officiel et au Bulletin des Arrêts de la Cour.
«La Cour Constitutionnelle, siégeant conformément aux dispositions des articles 71 et 161 alinéa 2 de la Constitution, et faisant application des articles 80, 110 et 111 de la Loi organique n°013/026 du 15 octobre 2013 portant organisation et fonctionnement de la Cour Constitutionnelle, 74 alinéa 1 et 4, 74 bis et 114 de la Loi n°06/006 du 09 mars 2006 portant organisation des élections présidentielle, législatives provinciales, urbaines, municipales et locales, tels que modifiés et complétés à ce jour, le Ministère public entendu, proclame élu à la majorité des suffrages exprimés Président de la République démocratique du Congo, Monsieur Tshisekedi Tshilombo Félix-Antoine, dit qu’il n’y a pas lieu à paiement des frais d’instance, dit que le présent arrêt sera signifié au Président de la République, au Président de l’Assemblée nationale, au Président du Sénat et au Premier ministre et à la Commission électorale nationale indépendante ; dit en outre qu’il sera publié au Journal Officiel de la République démocratique du Congo ainsi qu’au bulletin des arrêts de la Cour», a explicité le Professeur Kamuleta.
Il convient, cependant, de souligner que grâce à cette victoire, Félix Tshisekedi s’offre ainsi l’occasion de prêcher pas les actes après son premier mandat exercé sur fond des crises multiformes. Allusion faite au divorce FCC-CASH, à la crise sanitaire due à la pandémie à Coronavirus, à l’agression rwandaise dans la partie orientale de la République démocratique du Congo et, même, à la guerre russo-ukrainienne et ses corollaires. Cette fois-ci, le Peuple Congolais sera un peu plus exigeant comme il ne l’a jamais été. Fini les discours, fini les paroles et, même, la recréation. C’est l’heure du travail qui a réellement sonné. C’est maintenant ou jamais !
Feu Etienne Tshisekedi wa Mulumba aux côtés de Maman Marthe Kasalu, son épouse
Isidore Kwandja Ngembo, Politologue & Analystes des Politiques Publiques
*Vingt-neuf ans jour pour jour depuis que des milliers de chrétiens congolais bravaient la peur de la terrifiante dictature de Joseph-Désiré Mobutu, alors président du Zaïre de 1965 à 1997, actuellement la République démocratique du Congo. Je me rappelle encore comme si c’était hier et j’aimerais ici témoigner d’un événement que j’ai personnellement vécu ce jour-là, dans ma chair et mon sang, et que pour rien au monde je n’oublierais.
Ce dimanche 16 février 1992, j’avais commencé ma journée par la prière et une action de grâce à l’Église presbytérienne de Yolo Sud, dans la commune de Kalamu, à Kinshasa. L’officiant de ce dimanche était le pasteur responsable de la paroisse, le Révérend docteur Kasonga wa Kasonga. À l’époque, il était également notre Secrétaire général académique aux Facultés protestantes au Congo, actuellement Université protestante au Congo (UPC). Une prédication éloquente et d’un enseignement puissant de ne pas avoir peur et de demander la grâce du courage de l’Esprit Saint.
« Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, je ne crains aucun mal, car tu es avec moi : Ta houlette et ton bâton me rassurent. » Psaume 23:4.
Aussitôt la prière de dimanche terminée, un mot d’ordre avait été donné pour aller marcher pacifiquement, pour exiger la fin de la dictature dans notre pays. En demandant la réouverture immédiate de la Conférence nationale souveraine qui avait été fermée unilatéralement par le premier ministre de l’époque, Jean Nguza Karl-I-Bond et son ministre de l’Intérieur, Mandungu Bula Nyati, avaient fermé « avec force ».
Tous les Chrétiens protestants et catholiques des Eglises environnantes, nous prenions l’itinéraire de l’avenue de l’université pour faire jonction avec les autres marcheurs sur la place de la Victoire (Rond-point Victoire, communément appelé Matonge, le grand carrefour de la ville de Kinshasa.
Arrivés au Rond-point Bongolo, nous sommes stoppés par les militaires de la garde présidentielle de Monsieur Mobutu, qui nous ont lancé le gaz lacrymogène pour nous disperser, mais sans succès. Le mot d’ordre de pasteurs protestants et prêtres catholiques qui nous accompagnaient était très clair : « agenouillez-vous et priez le Seigneur ».
Nous avons franchi cette barrière, non sans perdre une des nôtre qui tomba d’une balle perdue. Arrivés proche du bureau de la Commune de Kalamu, là nous n’étions pas en mesure de franchir cette barrière qui, selon les dires de certains, c’étaient des militaires angolais de Jonas Savimbi qui n’avaient pitié pour personne et tiraient à balle réelle.
C’est là, à cet endroit précisément, que j’ai failli y laisser ma peau. J’ai inhalé une quantité importante de gaz lacrymogène et je commençais à suffoquer et à transpirer excessivement. Dieu merci, un inconnu est venue à mon secours, m’a arrosé sa bouteille d’eau et j’ai retrouvé mes esprits.
J’ai tenu absolument à raconter les évènements horribles et inoubliables du 16 février 1992, pour rappeler aux autorités politiques issues du combat pour la démocratie en République démocratique du Congo, de ne jamais oublier la mémoire de martyrs chrétiens tombés ce jour-là, de rescapés qui vivent avec les séquelles de ce traumatisme, ainsi que de toutes les victimes de la démocratie congolaise, que le sang de ces innocents et autres anonymes n’avait pas coulé pour rien.
Il est du devoir des autorités politiques d’ériger un mémorial pour les martyrs des chrétiens du 16 février 1992. Cela serait la meilleure chose à faire pour honorer leur mémoire et pour se souvenir du prix à payer pour la Liberté et la Démocratie.
Dans la droite ligne de la mise en œuvre du PDL145 du Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, Jules Mukumbi se démarque. Pour preuve, la commune de Matete sera dotée bientôt de toilettes publiques. Un investissement local qui répond à une demande de sa population, explique Jules Mukumbi Mukawa, le bourgmestre de Matete. Les sanitaires publics permettent, selon lui, un meilleur assainissement de l’environnement et une réponse au sempiternel problème d'hygiène. Jules Mukumbi explique que l’incapacité à trouver ou à utiliser des toilettes à l’extérieur de chez soi peut avoir des conséquences sur la santé notamment, sur la vessie, les intestins ou encore les reins de la population de sa juridiction. Sur le pas de Félix Tshisekedi, Mukumbi Mukawa salue la réélection Fatshi Béton pour le nouveau mandat. Il estime qu’il faut travailler pour le bien-être de la population de Matete.
Dans son nouveau plan d’aménagement, le bourgmestre de la commune de Matete Jules Mukumbi va doter bientôt sa municipalité de toilettes publiques. Les pourparlers seraient très avancés avec l’entreprise de construction. Les travaux proprement dits devraient commencer dans les tous prochains jours. Ces infrastructures sanitaires modernes répondront aux normes nationales de l’hygiène et seront opérationnelles fin juin 2024, rapporte-t-il, avant d’indiquer que ce projet sanitaire vient s’ajouter à celui élaboré par la commune qui consistait à fournir des vivres aux fonctionnaires de la commune de Matete pour la première fois à l’occasion des festivités de fin d’année 2023.
Ces infrastructures sanitaires seront aménagées, d’abord aux environs du marché et, ensuite, dans les coins des quartiers populaires de cette municipalité.
Après la lutte contre l’insalubrité qui fait son bonhomme de chemin dans cette municipale de Matete, assortie de l’anéantissement du phénomène kulunas, la construction de toilettes publiques qui débutera vers le mois de juin aura un impact important dans son combat pour l’assainissement de l’environnement.
Les travaux vont bientôt débuter
Il y a, d’une part, un bloc de toilettes publiques à construire avec accès aux personnes à mobilité réduite. Il faut noter qu’il y a quelques jours, Jules Mukumbi Mukawa avait prouvé que la commune de Matete est capable de faire plus, avec un peu de bonne volonté, avec des fonds propres sans recourir à d’autres moyens de financement. Avec son leadership visionnaire, de proximité, il a mis en place un mécanisme de canalisation des recettes journalières de la commune qui constitue toute une économie. Il est parvenu avec ce mécanisme à réunir un capital qui lui a permis de faire face à son projet de festoyer avec ses administrés où des cartons de poulet et des sacs de riz ont été distribués à chaque fonctionnaire. D'autre part, ces toilettes publiques ne seront pas gratuites. Ils seront mis à la disposition de la territoriale communale pour la maintenance.
Pourquoi installer des sanitaires publics dans la commune de Matete ?
Selon Jules Mukumbi : ‘’Nous ne parlons que très peu des sanitaires publics, même si nous les utilisons tous. Mais, non seulement les sanitaires publics répondent à nos besoins vitaux lorsque nous sortons, mais ils sont également le site de nombreux processus et comportements sociaux. Le manque d’attention accordée aux sanitaires publics signifie que nous savons très peu de choses sur la manière dont ils répondent aux besoins locaux et à l’activité sociale. En revanche, nous savons que le manque de sanitaires publics peut entrainer l’isolement social et créer des difficultés au quotidien pour les personnes présentant des problèmes d’incontinence comme lors des courses ou pendant le travail ’’.
Répondre au besoin de la population
Sur un plan purement physique, de nombreuses personnes présentent des problèmes de contrôle de la vessie ou des intestins. Cela signifie que beaucoup de ces personnes ne peuvent pas quitter leur maison en toute confiance s’ils ne savent pas où trouver des sanitaires disponibles. Pour le bourgmestre, toutes ces personnes qui ont besoin de planifier leurs activités ou leurs horaires en fonction de leurs besoins en matière de toilette utilisent fréquemment les sanitaires publics. Cela concerne les personnes âgées, les parents d’enfants en bas âge, les salariés dont le travail implique d’être régulièrement sur les routes, agents commerciaux ou encore les personnes vivant avec handicap.
Après avoir lancé officiellement le premier numéro du magazine ‘’Lumière des Nations’’ au mois d’octobre de l’année 2023, l’équipe du magazine Lumière des Nations, dirigée par Madame Dorcas Tshamala Kayembe, a procédé, le vendredi 29 décembre dernier, dans l’enceinte de l’hôtel Paradis M, situé sur 24 novembre en face de l’Académie des Beaux-arts et ISAU, à la présentation officielle de la deuxième édition du magazine Lumière des Nations. Une cérémonie exceptionnelle qui a donné l’occasion a plusieurs participants d’échanger autour du thème ‘’influencer dans divers domaines de la vie pour impacter les générations présentes et futures’’.
Pour l’essentiel, le Directeur de publication de ce magazine bimestriel, Nive Yubu Ntabey a indiqué que le présent magazine a été créé pour aborder toutes les questions liées au développement de la RD. Congo et ailleurs, dans les secteurs de l’éducation, l’économie, l’entrepreneuriat, la religion, la culture, la santé, le social, etc.
Il a également fait savoir que ce deuxième numéro du magazine Lumière des Nations est essentiellement basé sur le thème ‘’influencer dans divers domaines de la vie pour impacter les générations présentes et futures’’.
Il a, sur ce, expliqué que cette revue compte au total sept rubriques, entre autres : la rubrique édito, la rubrique portrait, la rubrique dossier, la rubrique impact, la rubrique zoom, la rubrique littérature et enfin, la rubrique histoire.
Au cours de la conférence-débat, Monsieur Kazadi Ntumba, l’un des intervenants ayant pris la parole à cette table ronde, a, avant tout, expliqué les phases ou les processus de l’influence - ainsi que sa méthodologie.
Ce retraité de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS), en toute assurance, a indiqué que pour impacter, l’homme a besoin des modèles. Il a, par conséquent, révélé que le Congo, est un pays qui manque des modèles.
Loin de tous les animateurs de l’industrie du show-business, pour lui, un modèle, c’est quelqu’un qui impacte positivement la société, ramène les jeunes à se démarquer de leurs habitudes.
Cela défie tout fléau de personnes qui ont une morale médiocre, et qui, de facto, ne méritent pas d’accéder aux fonctions publiques, de gérer la Nation.
Il a montré la méthodologie au moyen duquel la jeunesse peut arriver à stopper cette pathologie afin d’influencer positivement son milieu de vie. Une méthodologie qui s’appuie sur la prise de conscience, l’objectivité, la discipline, le principe, l’exploration, la détermination.
“Vous devez vous mettre debout : ne laissez pas les autres faire des histoires qui ne sont pas correctes et refusez d’aller dans les activités qui vous impactent négativement. Il faut aller dans les conférences pour apprendre quelque chose de nouveau”, a-t-il souligné.
Il a également indiqué que le ‘’Congo est à construire’’ et pour le construire, il est nécessaire de travailler. “Mes chers amis, mettez-vous debout, ne suivez pas les anciennes pistes, ne venez pas nous dire que les vieux ne nous ont pas dit. Les vieux ont fait ce qu’il pouvait faire…”, a conclu M. Kazadi Ntumba.
L’archevêque métropolitain de Kinshasa, Cardinal Fridolin Ambongo Besungu, a affirmé, jeudi 4 janvier 2024, que les élections ne se sont pas bien passées. Il a, en effet, promis de reprendre ce dossier en mains pour recommencer là où ça n’a pas marché.
Il a lancé ce message lors de la cérémonie d’échange des vœux de la nouvelle année 2024 qu’il a présidée à la cathédrale de Notre Dame du Congo.
Dans son adresse, le prélat catholique de Kinshasa, a exprimé sa tristesse au niveau de certaines commissions qui n’arrivent pas à élire les responsables de façon démocratique.
De ce fait, il a promis de rappeler prochainement les principes et les critères des élections afin que ces critères soient clairs pour tout le monde. Il a indiqué que ces critères constituent la base des élections.
Avant de remercier les nouveaux administrateurs diocésains de différentes commissions qui ont été nommés pour un mandat de 3 ans, le cardinal Fridolin Ambongo a indiqué que l’année 2023, a été marquée par des événements de grande portée notamment, la visite de Sa sainteté le pape François, l’ordination épiscopale des évêques auxiliaires de Kinshasa Edouard Tsimba Ngoma et Edouard Isango et enfin, l’ordination de Mgr Léonard Kakudju Muzinga de Basankusu.
Il a également fait savoir que l’année 2023 n’a pas seulement connu des événements de joie, mais elle a aussi connu des événements brusques et douloureux comme la publication de la déclaration de « Fluducia supplicas ».
Pour lui, cette publication a soulevé différentes interrogations dans la communauté. « Beaucoup de fidèles se sont sentis blessés dans leur foi avec cette publication qui, malheureusement, a porté la signature de Sa sainteté le pape François. Et ce choc, nous ne l’avons pas seulement ressenti à Kinshasa, mais à travers toute l’Afrique, il y a eu même de réactions parfois même violentes », a-t-il conclu.
Les Congolais commémorent, le 4 janvier de chaque année, la mémoire des Martyrs de l'Indépendance et tous ceux qui sont morts injustement dans notre pays, dont notamment les Martyrs chrétiens du 16 février 1992, les Congolais victimes collatérales du génocide rwandais de 1994 et surtout une dizaine de millions de Congolais victimes de crimes de guerre, de crimes contre l’humanité et de génocide latent commis par le Rwanda pendant trois décennies.
Nous avons le devoir d’ériger un Mémorial pour tous nos Martyrs.
Ce serait la meilleure chose à faire pour honorer leur mémoire et pour se souvenir du prix à payer pour la Paix, la Liberté et la Démocratie.
Des chiffres en explosion. Des résultats palpables. Des avancées significatives. Plus qu’auparavant, la Société Nationale d’Electricité (SNEL S.A) aura brillé par la performance et l’excellence tout au long de l’exercice 2023. A cet effet, remplissant son devoir de redevabilité, elle expose le bilan de ses réalisations sur le plan opérationnel, financier et social. Conduite des mains de fer par son Directeur Général, Fabrice Lusinde, cette entreprise du portefeuille entrevoit relever de nombreux défis en vue de desservir la population et tenir ses engagements envers la République.
Sur le plan opérationnel
En 2023, la SNEL a assuré l’électrification des grands événements à l’instar de la visite du Pape François 1er, des IXès Jeux de la Francophonie, de la campagne électorale, des élections 2023 et du légendaire Centre Bosolo de la CENI.
A côté, elle a garanti le maintien et la stabilisation de la desserte des réseaux urbains notamment, le boom immobilier à Kinshasa et dans l'hinterland minier, avec une croissance de la demande plus rapide que l'offre (production d'électricité) - problématique du délestage - reconstitution des stocks MCL (contrats signés) - redynamisation de l'exploitation et du monitoring.
Dans ce même chapitre, il est à mentionner la reprise ou le renforcement du service public de l'électricité à Kabeya Kamwanga, Boya, Miabi, Gemena, Lisala, Kindu, Kenge, Inongo, Muanda, Kisangani (Tshopo1 et réseau), Kolwezi (Sous-station Tunnel, ext. de la ville), Bukavu, Kinshasa (poste de Kinsuka, ext. réseaux urbains Ouest et Est + ZES Maluku et N'Djili Brasserie).
Dans le volet service à la Clientèle, la distribution du « Cash power » dans les villes de Bukavu et Goma, puis l’installation du Projet pilote « SNEL & Moi », et le paiement et la digitalisation de la gestion réseau au quartier Genève de Kisantu.
Aussi, la maintenance et stabilisation du réseau de transport malgré le vandalisme des lignes redynamisation des Comités ad hoc de Maintenance FRIPT, Nseke et simplification des procédures.
Elle a enchaîné avec la poursuite et le lancement de nouveaux projets infrastructures & Partenariats.
Dans sa phase production, au parc Ouest, la SNEL a couvert la zone Inga2 par la réhabilitation G25 (Kamoa) ; la réhabilitation G24, G23, G26 (CCBC BB) ; la levée des réserves G28 (FRIPT), travaux subaquatiques et dragage à Inga (FRIPT). A Zongo2, toutes les turbines en exploitation. Tandis qu’à Zongo1, le bouclage financement réhabilitation (SIDIC et MMG).
Au parc Sud, à Nseke toutes les turbines en exploitation. A Bendera, la réhabilitation G1 et construction du G3 (FPI). A Kilubi, le reconditionnement groupe. A la Tshopo1, la remise en service G3 et reconditionnement G1 (Enabel).
Au parc thermique, la SNEL a procédé à l’installation et mise en service de nouveaux groupes dans 6 provinces notamment, les villes de Moanda, Gemena, Lisala, Buta, Kindu, Kenge et Inongo.
Dans son volet transport, au Kongo central la ligne Zongo2-Kinsuka, le poste OEBK Matadi (MGT), l’électrification Zamba 1er & Malanga (PPC Barnet) ainsi que le projet régional Boucle de l'Amitié (Inga-Boma-Muanda-Cabinda-Pointe Noire) ont été assurés.
A Kinshasa, le poste de Kinsuka (EXIMBANK), poste Utexco 2ème tranche, le poste de Maluku 3ème tranche ZES Maluku (BAD), l’électrification N'Djili Brasserie (ANSER) ont été pris en charge.
Au Kasaï Oriental, les lignes Bipemba-Kabeya Kamwanga et Bipemba-Kalala wa Nkata ont été desservies.
Dans la province du Lualaba, la ligne Samukinda-Kolwezi, la sous-station Tunnel de Kolwezi, L21 (Fungurume-Kisanfu), la L41-42 (Panda-Fungurume), Station de Conversion de Kolwezi ont été pris en charge.
Dans la province du Haut Katanga, le poste NRK Kasapa, Poste de Kasumbalesa (Elsewedy), Poste de Goma (KfW) ont été desservis.
Au Tanganyika pour le poste Lukunga, au Nord Ubangi pour la ligne Mobayi Mbongo-Gbadolite (Banque mondiale) et Poste de Bambou en électrification, ainsi qu’au Sud-Kivu pour ligne Bujumbura-Uvira et l’électrification Katogota-Luvungi (ANSER) : aucune d’eux n’ont échappé aux viseurs de la SNEL S.A.
Pour boucler la boucle, la SNEL a assuré la distribution réhabilitation et/ou extension des réseaux urbains à savoir : Gbadolite (Banque mondiale), Kisangani (Frivao), Mbuji-Mayi, Bukavu, Kalemie, Kinshasa -Camp Luka et poches noires, Inongo, Kenge, Muanda, Buta, Mbandaka, Gemena, Zongo, Lisala.
Il y a eu des nouveaux clients raccordés, des compteurs installés et de cabines de décharge installées
Sur le plan financier
A l’actif de la SNEL, il y a lieu de citer le respect des échéances fiscales et paiement régulier de la TVA, des taxes, impôts-IBP (y compris créance DGDA), de la contribution au budget de l'Etat avec mérites des félicitations de la Commission Economie et Financière de l’Assemblée Nationale.
L’allocation des salaires et avantages, des cotisations syndicales, du paiement des décomptes finals, des prestataires et fournisseurs, des échéances BEI, Eximbank, SINELAC, Bailleurs Miniers (non recours aux moratoires), banques locales (+ réduction du volume des emprunts) et apurement des autres créances... arriérés CEC : 32.602.900,49$ au 04/11/22 ramenés à 4.277.679$ au 05/01/24.
Ainsi que la transmission dans les délais des Etats Financiers 2022 aux Greffes Tricom et Cour des Comptes et du Budget 2024 au Ministère d’Etat au Portefeuille depuis le 29 novembre 2023.
Sur le plan social
En termes de pouvoir d’achat, il s’observe le rattrapage du pouvoir d'achat entre mars 2023 et février 2024, l’application du 3ème palier du SMIG et le paiement des salaires le 20 du mois, paiement du 13ème mois en novembre 2023 et remise du colis de fin d'année le 15 décembre 2023.
Sur la question du dialogue social, il se dégage la révision de la Convention collective : restauration des avantages sociaux, la tenue des élections syndicales et des 2 réunions annuelles avril et octobre, et la régularisation du paiement des arriérés des cotisations syndicales et paiement à temps.
Sur l’effectif, carrières et retraites, il se dénombre les réalisations suivantes :
- Promotion à titre exceptionnel de 688 agents classifiés ;
- Régularisation (engagement) de 111 journaliers de la Production et du Transport dans les centrales et postes ;
- Régularisation et paiement des décomptes finals en attente ;
- Paiement dans les délais des décomptes finals ;
- Réouverture du dossier des cadres supérieurs pour faire droit aux agents (à clôturer en 2024) ;
- Régularisation des intérims prolongés aux postes définitivement vacants (à finaliser au plutôt) ;
- Régularisation de la situation du personnel mis à disposition du DRH.
L’institut de sondage « Les Points » a publié ce dimanche un sondage sur les personnalités ayant considérablement contribué à la réélection de Félix Tshisekedi à la magistrature suprême.
Parmi ces personnalités, Jean-Pierre Bemba, Vital Kamerhe et Miguel Kashal Katemb forment le trio des meilleurs des meilleurs, selon ce sondage qui les attribue respectivement 68%, 65% et 64% des opinions recueillies entre le 26 décembre 2023 et le 5 janvier dernier.
Ci-après, le résultat global de ce sondage.
Ceux qui ont œuvré à la victoire de Fatshi 20
La bataille, à l’occasion de la Présidentielle du 20 décembre dernier, a été rude, amplement disputée entre Félix-Antoine Tshisekedi, candidat à sa propre succession, et Moïse Katumbi, transfuge de l’Union sacrée de la Nation (USN) et président national de l’Ensemble pour la République.
Les deux personnalités, présentées comme principaux challengers alors qu’au total 26 candidats étaient alignés sur le startingblocks, ont fait fortunes diverses lors de la campagne électorale.
Porté par l’Union sacrée de la Nation et ses leaders emblématiques, dont Jean-Pierre Bemba et Vital Kamerhe, Félix Tshisekedi a réussi à couvrir l’ensemble du territoire national et à maintenir sa présence dans les coins et recoins du pays grâce au déploiement des leaders, haut-cadres et autres personnalités de l’USN. Tous, dressés comme un seul homme, ont prêché Tshisekedi à leurs bases, disséminées à travers les 145 territoires et les villes du pays.
Considéré dans l’opinion comme le principal adversaire du président sortant, Moïse Katumbi, en dépit d’importants moyens déboursés pour la campagne afin de s’offrir des avions et autres équipements, n’a pas réussi à se rendre dans toutes les 26 provinces du pays.
Contrairement à son adversaire politique qui a fait toutes les provinces et animé plus de 50 meetings en un mois de campagne électorale.
Moïse Katumbi n’a pas non plus été aidé par son entourage, dépourvu d’encrage sur le plan national. De quoi favoriser l’acceptation du message de contre campagne promu par le camp rival, tentant de démontrer et de convaincre que Katumbi est un « étranger » et qu’il est le « candidat des étrangers ».
Entouré des personnalités, qui avaient plus à gagner qu’à offrir en termes d’aura, Katumbi, au comptage des voix après le scrutin, a été battu à plate couture par Félix-Antoine Tshisekedi, qui a recueilli plus de 70% des suffrages exprimés.
Cette victoire, encore provisoire, Félix-Antoine Tshisekedi la doit à certains de ses lieutenants dont les uns ont eu une portée nationale, et les autres locales (dans leur fief exclusivement).
L’Institut « Les Points » a diligenté une série d’enquêtes par sondage par vague de provinces (ancienne configuration des 11 provinces) du 26 décembre 2023 au 05 janvier 2024. A l’issue de ces enquêtes où la population a été demandée de citer plus ou moins trois personnes qui ont, selon elle, battu campagne pour le candidat Président n°20, Félix-Antoine Tshisekedi.
Sans être exhaustif, dans les rangs des leaders, après stratification des données récoltées sur le terrain et le redressement fait en fonction du leadership tant au niveau national que local, il ressort de ces enquêtes que
– Jean-Pierre Bemba occupe la 1ère place de top 5 au niveau national avec 68%. Le patron du MLC, également vice-Premier ministre en charge de la Défense, Bemba a été très remuant durant la campagne, enchaînant, concomitamment avec Félix-Antoine Tshisekedi, des meetings à travers le pays pour appeler à voter en faveur du n°20 au détriment du n°3, présenté comme « le candidat des étrangers, du Rwanda qui agresse le pays via les M23 ». Bemba a mobilisé à Kinshasa, dans le Grand Équateur, son bastion, ainsi que dans l’espace Oriental.
– Il est suivi de Vital Kamerhe, deuxième avec 65 %. L’autorité morale de l’UNC a eu l’ingénieuse idée de précéder la caravane électorale de Félix-Antoine Tshisekedi dans certains coins du pays, notamment dans le Bandundu, la Grande Orientale et le Kivu. Sa mission : baliser la voie pour Félix-Antoine Tshisekedi et tenir prête la population pour les joutes électorales en leur expliquant ses enjeux et les avantages de voter en faveur du Président Tshisekedi. Bien que sa popularité a chuté dans son Bukavu natal, le leader de l’UNC était au four et au moulin pour la victoire de Félix-Antoine Tshisekedi.
– Le DG de l’ARSP Miguel Kashal occupe la troisième place de notre sondage avec 64% d’opinions favorables. Le numéro 1 de la sous-traitance a travaillé tout au long du dernier trimestre de l’année 2023 sur la mobilisation des jeunes en général et des entrepreneurs en particulier autour de la politique gouvernementale dans le domaine de la sous-traitance en partant de Kinshasa la capitale où il a sensibilisé les entrepreneurs des secteurs des nouvelles technologies, du domaine brassicole, de l’aviation civile et du secteur de la construction.
Ce travail immense s’est poursuivi jusque dans les provinces avec comme objectif principal l’émergence de la vraie classe moyenne congolaise. Ceci lui a valu une adhésion de la population congolaise à son action, une population qui voit en lui une personnalité clé dans l’entourage du Chef de l’Etat Félix-Antoine Tshisekedi et dont le rôle a été déterminant dans sa réélection le 20 décembre dernier.
La vulgarisation des textes réglementaires sur la sous-traitance effectuée dans les entreprises de la capitale s’est poursuivie également jusqu’à l’Université de Kinshasa où une grande matinée scientifique a été organisée pour promouvoir la culture de l’entrepreneuriat. Une vulgarisation de la Loi sur la sous-traitance suivie d’un appui aux entrepreneurs.
A Goma au Nord-Kivu, dans le cadre de la vulgarisation de la Loi sur la sous-traitance, le DG de l’ARSP, M. Miguel Kashal, a tenu tout un meeting populaire en marge de l’inauguration du bureau de cet établissement public avec comme message la vision du Chef de l’Etat Félix-Antoine Tshisekedi dans le domaine de l’entrepreneuriat, message qui a recueilli une large adhésion populaire.
Outre ce meeting, le DG de l’ARSP a également animé une matinée scientifique à l’Université de Goma où il a exhorté les étudiants à acquérir des connaissances pour devenir des créateurs d’emplois.
Tout comme à Kikwit dans la province du Kwilu, la vulgarisation de la Loi portant règles applicables à la sous-traitance et ses mesures d’application, a également eu lieu dans la province du Kasaï Oriental, précisément à Mbuji-Mayi. Si, à Kikwit, la sensibilisation des entrepreneurs a été suivie de la visite des entrepreneurs dont ceux du secteur de la panification auxquels l’ARSP a promis un accompagnement afin d’augmenter la production et acquérir des marchés de livraison, à Mbuji-Mayi, le DG de l’ARSP est allé encourager les entrepreneurs congolais qui travaillent dans le domaine des infrastructures dont certains grâce au partenariat public-privé ont effectué la construction de l’hôpital de la MUYA, une infrastructure démontrant l’expertise congolaise de pointe.
Ces actions de proximité ont permis à la population de croire en la volonté du président de changer le quotidien des entrepreneurs congolais et de leurs travailleurs. Une vulgarisation de la Loi sur la sous-traitance qui ouvre la porte à la mise en œuvre de plusieurs réformes.
Convaincre la jeunesse à apporter un soutien au chef de l’Etat pour sa réélection a été l’action qui a mis le DG de l’ARSP au-devant de la scène politique durant la campagne électorale notamment à Kasumbalesa (au Stade SODIMICO) et sur le terrain Mutoshi à Kolwezi.
L’objectif de ces journées de vulgarisation à grande échelle de la Loi sur la sous-traitance a été essentiellement de baliser le chemin pour le Chef de l’Etat afin d’assurer la mise en œuvre des réformes en matière de sous-traitance au cours du second mandat. Si au cours du premier mandat du Chef de l’Etat Félix-Antoine Tshisekedi, des bases solides ont été jetées pour notamment restaurer l’ARSP dans son rôle de garant des marchés dans le secteur privé et d’arbitrage des conflits nés de l’exécution des contrats de la sous-traitance, de contrôle dans les différents secteurs de l’économie nationale et surtout dans le secteur minier du grand Katanga, le second mandat sera consacré à la consolidation des réformes déjà entamées dont l’affirmation du rôle des entrepreneurs congolais dans l’exécution des marchés conclus avec les entreprises principales.
C’est le message principal donné par le DG de l’ARSP Miguel Kashal à travers toutes les villes où il est passé et qui a séduit la population congolaise venue dans les meetings et qui a décidé de donner le deuxième mandat au Chef de l’Etat Félix Tshisekedi, lui renouvelant ainsi la confiance.
– Augustin Kabuya occupe la 4ème place avec 58%. Le patron de l’UDPS a beaucoup œuvré pour la réélection de Fatshi. Il a parcouru plusieurs provinces pour mobiliser les populations à voter massivement celui qui était candidat n°20, Félix-Antoine Tshisekedi.
Accompagné des autres cadres de l’UDPS, le SG Kabuya a été, durant la pré-campagne et la campagne proprement dite, dans plusieurs fronts, entre autres à Kinshasa, Bandundu-ville, Haut-Katanga et Grand Equateur.
– Enfin, Pius Muabilu se positionne à la 5ème place avec 54%. Fort de son parti, qui jouit d’une assise largement nationale, Muabilu a mobilisé pour Tshisekedi dans le Kasaï, à Kinshasa, et ailleurs. A Kinshasa, il s’est notamment signalé avec des géants panneaux avec un seul message électoral : « Votez Fatshi 20 ».
La deuxième catégorie est constituée des lieutenants du candidat numéro 20 qui ont battu campagne au niveau provincial. Toutefois, dans cette catégorie, il faut souligner que le nom et l’effigie du présidant sortant, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, ont beaucoup pesé sur son propre choix et les leaders locaux n’ont pas eu des peines à le vendre dans l’opinion.
C’est le cas d’Eve Bazaïba dans la Grande Orientale ; Antoine Ghonda Mangalibi dans le Kongo Central ; Michel Bongongo dans l’Équateur, Laurent Batumona et Henriette Wamu à Kinshasa et la liste n’est pas exhaustive (voir graphique 2).
Les membres du Conseil d’Administration, de la Direction Générale et du Personnel du Cadastre Minier (CAMI) adressent leurs vives et chaleureuses félicitations à Votre Excellence pour votre brillante réélection à la Magistrature Suprême.
Votre victoire avec un score inédit de 73,34% démontre l’adhésion massive du peuple congolais à votre vision pour l’émergence de la République Démocratique du Congo et la consolidation des acquis.
Le CAMI, porte d’entrée du secteur minier, s’engage résolument à optimiser la gestion du domaine minier national par l’assainissement, la gestion transparente et la promotion du secteur, en parfaite harmonie avec votre ambition pour le plus grand bien du peuple congolais, lequel vous a renouvelé toute sa confiance.
Pleins succès à Votre Excellence tout au long de votre second mandat !
Communiqué de presse du Mpcr en rapport avec l’assassinat de l’un des ses cadres à Lubumbashi/Haut-Katanga et les menaces de mort dont est victime son Président National
C’est avec amertume que la Direction Nationale du MPCR dénonce avec la dernière énergie l’homicide volontaire de l’un des ses membres, en la personne de Monsieur TSHIKANDA MUTOMBO Dieu Merci, Président Sectionnaire Adjoint du MPCR/Commune de Kenya, Ville de Lubumbashi/Province du Haut Katanga, brûlé vif dans la commune annexe, quartier Kasungami, à cause de ses convictions politiques et de son soutien au Candidat Moïse KATUMBI CHAPWE.
Nous nous insurgeons contre cet acte affreux survenu la nuit du 29 au 30 Décembre 2023 et ce, dans un pays qui se dit démocratique. Certes, il est vrai qu’il existe des clivages politiques au milieu de nous, cela ne fait pas de nous des ennemis, mais plutôt des adversaires politiques, car ça constitue le fondement de la démocratie. Aller jusqu’à brûler un Cadre de notre Parti vif devient horrible, cet acte atteint le paroxysme de la méchanceté.
Nous sommes appelés à sauvegarder les valeurs républicaines et démocratiques, étant donné qu’après ces élections on va continuer à vivre ensemble et poursuivre le chemin de la reconstruction de notre pays qui requiert l’implication de tous.
Le MPCR demande aux autorités compétentes de diligenter une enquête judiciaire sévère en vue de dénicher les auteurs de ce meurtre et leur infliger des sanctions dignes de leur comportement.
A l’occasion de ce douloureux événement, le MPCR présente ses sincères condoléances à la famille de l’illustre disparu, en particulier, à toute la Fédération du MPCR/Haut Katanga, en général, pour ce décès inopiné.
Comme toute la Fédération du Haut Katanga, nous sommes en deuil et gardons une pensée pieuse en mémoire de ce Combattant de la liberté, de la démocratie et des droits de l’homme, notre chers Camarade Dieu Merci TSHIKANDA « Dieume », qui vient de tomber dans le champ de bataille arme en mains pour l’établissement d’un Etat de droit en République Démocratique du Congo.
Nous lui souhaitons bon vent dans son dernier voyage de l’éternité. La conscience collective de notre formation politique garde de lui l’image souvenir d’une Elite.
Le Bureau Politique du MPCR condamne fermement les menaces de mort dont est victime son Président National, l’Honorable VUEMBA LUZAMBA Jean Claude depuis l’annonce de son soutien à Moïse KATUMBI et tient à informer l’opinion tant nationale qu’internationale que son Président était victime des menaces de mort à Muanda pendant la campagne électorale du candidat n°3 et à Kasangulu, où les pièges ont été tendus en vue de l’empêcher de faire sa campagne électorale.
Ces genres des traitements rétrécit l’espace démocratique dans notre pays et empêche notre jeune démocratie acquise au prix de plus de douze millions des compatriotes d’aller de l’avant.
C’est pourquoi, nous invitons le peuple congolais à ouvrir l’œil et le bon pour la continuité du processus de démocratisation de la RDC.