All Stories

Nouveau Passeport Biométrique Congolais, Canada : lancement officiel des opérations d’enrôlement

Dans une correspondance officielle publiée depuis Ottawa au Canada, l’Ambassade de la République Démocratique du Congo annonce le début des opérations d’enrôlement pour l’obtention du Nouveau Passeport Congolais pour tous les compatriotes vivant dans ce pays, ce à partir de demain jeudi 17 juillet 2025. La procédure à suivre est indiquée sur le Site-Web (www.passeport.gouv.cd) du Ministère des Affaires Etrangères.

COMMUNIQUE

L’Ambassade de la République Démocratique du Congo au Canada porte à la connaissance de tous les Congolais que les opérations d’enrôlement pour le Nouveau Passeport Biométrique Congolais débutent ce jeudi 17 juillet 2025 suivant la procédure indiquée sur le Site-Web (www.passeport.gouv.cd) du Ministère des Affaires Etrangères, de la Coopération Internationale et Francophonie.

L’Ambassade précise que toutes les mesures appropriées sont prises pour un service adéquat.

Nouveau Passeport Biométrique Congolais, Canada : lancement officiel des opérations d’enrôlement
Ecrire un commentaire (0 Commentaires)

Nouveau Passeport Biométrique Congolais, Canada : lancement officiel des opérations d’enrôlement

Dans une correspondance officielle publiée depuis Ottawa au Canada, l’Ambassade de la République Démocratique du Congo annonce le début des opérations d’enrôlement pour l’obtention du Nouveau Passeport Congolais pour tous les compatriotes vivant dans ce pays, ce à partir de demain jeudi 17 juillet 2025. La procédure à suivre est indiquée sur le Site-Web (www.passeport.gouv.cd) du Ministère des Affaires Etrangères.

COMMUNIQUE

L’Ambassade de la République Démocratique du Congo au Canada porte à la connaissance de tous les Congolais que les opérations d’enrôlement pour le Nouveau Passeport Biométrique Congolais débutent ce jeudi 17 juillet 2025 suivant la procédure indiquée sur le Site-Web (www.passeport.gouv.cd) du Ministère des Affaires Etrangères, de la Coopération Internationale et Francophonie.

L’Ambassade précise que toutes les mesures appropriées sont prises pour un service adéquat

Nouveau Passeport Biométrique Congolais, Canada : lancement officiel des opérations d’enrôlement
Ecrire un commentaire (0 Commentaires)

Renforcement des capacités des DEP des administrations publiques dans l’exercice de leur rôle au sein des Groupes des Résultats du CCDD 2025-2029

Kinshasa le 14 juillet 2025 — Une session de formation de cinq jours a été organisée à l’intention des Directeurs d’Études et de Planification (DEP) des différents ministères du Gouvernement central pour renforcer leurs capacités afin de mener à bien leurs rôles en tant que membres des groupes d’effets du CCDD. L’activité s’est tenue du 7 au 11 juillet 2025 dans la salle de conférence de la MONUSCO à Kinshasa.

Cette formation a réuni 62 participants, dont 9 femmes et 3 personnes en situation de handicap, toutes et tous directrices et directeurs au sein des administrations sectorielles occupant des fonctions de planification stratégique et d’analyse au sein des ministères sectoriels. L’objectif principal était de renforcer les capacités techniques et stratégiques des Directeurs et Directrices d’Études et de Planification pour une meilleure performance dans l’élaboration, la gestion et l’évaluation des politiques publiques, en lien avec la mise en œuvre du Cadre de Coopération

La cérémonie d’ouverture a été présidée par Monsieur Daniel Epembe Mosango, Secrétaire général au Plan et de la Coordination de l’aide au développement, représentant le Vice-Premier Ministre, Ministre du plan et de la Coordination de l’aide au développement, aux côtés de Monsieur Bruno Lemarquis, Coordonnateur résident du Système des Nations Unies en RDC et de Monsieur Célestin Kapongo Tshikaya, Secrétaire général à la Coopération internationale. Ce pilotage conjoint témoigne de l’engagement commun à améliorer la performance de l’administration publique congolaise pour l’atteinte des résultats du cadre de coopération pour le développement durable 2025-2029.

 « En renforçant les capacités de nos directeurs d’études et de planification, nous construisons les fondations d’une administration moderne, efficace et plus proche des citoyens », a déclaré le Secrétaire général au plan et à la coordination de l’aide au développement.

L’accompagnement technique a été assuré par des experts nationaux qui ont animé des modules clés visant à :

  • Améliorer la compréhension du Droit Administratif et de son application dans le cadre de leurs fonctions.
  • Approfondir les connaissances sur les principes fondamentaux du Droit Public en lien avec les missions et les valeurs des Nations Unies.
  • Maîtriser les principes, outils et méthodologies de la Gestion Axée sur les Résultats (GAR) dans le contexte de la planification et de l’évaluation des politiques publiques.

Cet atelier de 5 jours a été marqué par divers travaux pratiques, des mises en situation et des études de cas, tirées de contextes institutionnels réels. Les participants et les participantes ont exprimé leur satisfaction, Madame Nguwa Tshimbo Natasha, DEP au ministère de formation professionnelle a déclaré au nom de tous les DEP :

« Nous venons d’être renforcés en compétence pour améliorer notre savoir-faire dans la gestion axée sur les résultats et notre savoir-être dans notre responsabilité administrative, éthique et déontologique. Ce renforcement des capacités nous permettra également d’œuvrer efficacement à la mise en œuvre du cadre de coopération pour le développement durable (CCDD), en notre qualité des membres du groupe des résultats mais aussi dans la gestion quotidienne de nos Directions respectives. »

Cette session s’inscrit dans le cadre des efforts coordonnés entre le Gouvernement congolais et le système des Nations Unies, pour améliorer la qualité de la planification et de l’action publique en RDC, tout en sollicitant l’intégration des principes d’équité, d’efficacité et d’inclusion.

Renforcement des capacités des DEP des administrations publiques dans l’exercice de leur rôle au sein des Groupes des Résultats du CCDD 2025-2029
Ecrire un commentaire (0 Commentaires)

RDC : l’Institut Ebuteli lance un plaidoyer pour le renforcement de la crédibilité et de l’efficacité de la CNDH

Un atelier s'est ouvert le mardi 15 juillet 2025, à Kinshasa, mettant en lumière le rôle, les défis et l'avenir de la Commission Nationale des Droits de l'Homme de la République Démocratique du Congo (CNDH-RDC). Organisé par l'influent institut de recherche congolais "Ebuteli", ce forum public a servi de plateforme pour une discussion approfondie sur cette institution clé du processus démocratique du pays.

Au cœur des échanges, la question sur comment renforcer la CNDH-RDC pour qu'elle puisse pleinement jouer son rôle de gardienne des droits fondamentaux. L’initiative d'Ebuteli, qui s'inscrit dans une série de réflexions sur les institutions électorales, a réuni des acteurs de la Société civile, des représentants institutionnels et des partenaires pour un diagnostic sans complaisance.

"Le but est de favoriser une discussion ouverte sur les dynamiques actuelles entourant la CNDH, au-delà du contexte électoral", a déclaré Ange Makadi, chercheuse et responsable de la communication à Ebuteli, lors de l'ouverture des travaux. Elle a souligné l'importance de "promouvoir un dialogue inclusif et transparent" pour débattre des forces mais aussi des faiblesses de la commission.

Représentant le président de la CNDH en mission, son directeur de cabinet, René Kabala, a rappelé le mandat fondamental de l'institution. "Cette institution, à l'occurrence la CNDH, est un mécanisme mis en place par la loi organique n°13/011 du 21 mars 2013, qui s'assigne comme objectif d'aider les pouvoirs publics à assumer correctement leurs obligations constitutionnelles en la matière", a-t-il précisé. Il a insisté sur son statut d'organe "technique, consultatif, indépendant, pluraliste, doté de la personnalité juridique et émergeant au budget de l'État".

Cependant, malgré ce cadre légal ambitieux, la réalité sur le terrain est complexe. La CNDH est confrontée à des défis majeurs qui entravent sa mission. Cette fragilité a été au centre de l'intervention de Trésor Kibangula, directeur du pilier politique d'Ebuteli.

Avec une clarté percutante, Trésor Kibangula a exposé les difficultés auxquelles la commission fait face, notamment "dans la documentation des violations des droits de l'homme". Ce constat, largement partagé, appelle à une action résolue pour transformer l'institution en un rempart crédible contre l'injustice.

Pour ce faire, une série de réformes a été mise sur la table. Mr Kibangula a plaidé pour une refonte du mode de désignation de ses dirigeants, suggérant notamment l'instauration d'auditions publiques pour garantir la transparence et la compétence des membres choisis. Une autre proposition phare, et un défi récurrent pour l'institution, est la nécessité de lui "donner les moyens adéquats". Sans ressources financières et logistiques suffisantes, la capacité de la CNDH à enquêter sur l'ensemble du territoire et à fonctionner en toute indépendance reste un vœu pieux.

Ce forum met en lumière une conviction selon laquelle, la vitalité de la démocratie congolaise est intimement liée à la force de ses institutions d'appui, et la CNDH en est une pierre angulaire. Les discussions initiées par Ebuteli sont un appel à l'action pour que la promesse d'une commission indépendante et efficace devienne une réalité tangible pour tous les citoyens congolais.

Nathan Mundele

 

 

RDC : l’Institut Ebuteli lance un plaidoyer pour le renforcement de la crédibilité et de l’efficacité de la CNDH
Ecrire un commentaire (0 Commentaires)

ESU : vers un doctorat rigoureux et crédible, la Ministre Marie-Thérèse Sombo fixe le cap

La Ministre de l’ESU, Prof Dr Marie-Thérèse Sombo, a lancé ce lundi 14 juillet au sein de l’Institut National des Arts, les travaux de la ‘‘Commission doctorale’’, instance stratégique chargée de poser les fondements d’un avenir plus rigoureux, plus structuré et plus crédible pour la formation doctorale en République Démocratique du Congo. Ces réformes initiées au sein de l’Enseignement Supérieur et Universitaire visent à améliorer principalement la qualité de l’éducation et les conditions de travail du personnel, en vue d’atteindre la vision du Grand Chancelier des universités et instituts supérieurs, SE Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, celle de doter notre pays d’un système éducatif performant, inclusif et équitable.

Cette commission instituée par Marie-Thérèse Sombo pour sauver l’excellence doctorale en RDC doit rendre son rapport final dans un très bref délai en vue de remettre de l’ordre dans le sous-secteur de l’ESU :

« Lors de la clôture de l’atelier sur l’organisation et le fonctionnement des Ecoles doctorales qui s’est tenue ici à Kinshasa, du 10 au 12 mars 2025, j’avais mis en exergue le seul souci qui préoccupe la communauté universitaire de la RDC, à savoir : la formation des cadres scientifiques de haut niveau pour assurer la relève académique et promouvoir la recherche scientifique.

J’avais également rappelé, les insuffisances et les abus qui sont constatés depuis lors dans l’organisation et le fonctionnement des formations doctorales. Il en est de même des critiques dont font l’objet nos établissements à cause de divers dysfonctionnements au niveau de la gestion du troisième cycle » a-t-elle martelé dans son allocution.

Formation doctorale : la Ministre sonne la fin du désordre

Cette commission prend tout son sens afin de :

1. Mettre fin à la prolifération incontrôlée des écoles doctorales est une priorité absolue. La formation doctorale ne saurait être un champ de foire, encore moins un espace de légèreté scientifique. Elle doit être le sanctuaire de l’excellence, de l’éthique académique et de la recherche avancée. Je suis sûr des capacités de nos apprenants mais ils doivent passer par le feu de l’or pour qu’ils soient purs en sortant du Fournaux

2. Edicter des règles claires, transparentes et contraignantes pour toute création d’une école doctorale. Ces règles devront reposer sur des critères objectifs, notamment les ressources humaines qualifiées, les infrastructures, les partenariats scientifiques et les dispositifs de gouvernance ;

3. Une liste nationale des établissements autorisées à organiser des écoles doctorales sera établie avec l’appui technique de l’ANAQ-ESU. Cette liste sera évolutive, mais ne tolérera aucune complaisance. Les établissements non éligibles ne pourront plus se prévaloir de cette offre;

4. Renforcer la formation continue de nos encadreurs. On ne forme pas des docteurs avec des savoirs dépassés ou approximatifs. Les encadreurs eux-mêmes doivent être soumis à des mises à jour régulières de leurs compétences scientifiques et pédagogiques

5. Evaluer régulièrement les écoles doctorales sur base de référentiels clairs. Celles qui ne répondront pas aux normes établies seront purement et simplement fermées, dans un esprit de responsabilité et de sauvegarde de la qualité ;

6. Rendre compétitives nos écoles doctorales à l’échelle continentale et mondiale. Cela passe par des collaborations internationales, des publications de haut niveau, des programmes innovants et un accompagnement institutionnel fort.

La Pros.

 

 

ESU : vers un doctorat rigoureux et crédible, la Ministre Marie-Thérèse Sombo fixe le cap
Ecrire un commentaire (0 Commentaires)

50ème session de l'APF, Jean-Michel Sama Lukonde : mission accomplie à Paris !

Lancée depuis le 9 juillet 2025, à Paris, la 50ème session de l'Assemblée parlementaire francophone (APF), a pris fin dimanche 13 juillet. Au terme de ces travaux, le Président du Sénat qui était à la tête d'une délégation des Sénateurs et des cadres de l'administration de la Chambre haute de la République démocratique du Congo se dit satisfait du bon déroulement de cette 50ème session qui a permis à la délégation congolaise d'obtenir  l'adoption par l'APF une résolution sur la situation sécuritaire dans l'Est de la République démocratique du Congo et le soutien de l'accord de paix signé à Washington le 27 juin 2025 entre la RDC et le Rwanda.

Se confiant à la presse au terme ces assises de haute portée diplomatique, Sama Lukonde n'a pas manqué de saluer les acquis obtenus au cours de cette 50ème session de l'APF notamment un accord de coopération signé avec son homologue du Sénat français. Un accord qui porte sur le partage d'expériences ainsi que sur la formation. Le speaker de la chambre haute du Parlement s'est également réjoui du soutien manifeste de l'APF à la situation sécuritaire dramatique que traverse l'Est de la RDC. Il resume cette session en ces termes :

"Nous avons présenté nos travaux comme cela avait été prévu, et nous avons été accueillis avec les honneurs, au plus haut niveau. En effet, le Président de la République française, Emmanuel Macron, a reçu les Présidents de nos Assemblées et du Parlement. Ce fut une occasion précieuse de transmettre les messages de respect et de fraternité de la République Démocratique du Congo à l’endroit de la République française.

Nos travaux ont débuté avec une participation active aux différentes commissions, accompagné des sénateurs de notre délégation et soutenu par notre administration. Nous avons pris part aux débats autour de plusieurs thématiques importantes, notamment politiques, économiques et sociales. Dans le cadre de cette session, nous avons eu l’opportunité de signer un protocole d’accord avec le Sénat français. Je tiens à rappeler qu’à la suite de la visite du Sénat français en RDC, le 25 mars dernier, nous avions convenu de nous retrouver à l’occasion de cette session de l’APF pour concrétiser cette signature. Cet accord, désormais formalisé, porte notamment sur le partage d’expériences ainsi que sur la formation. Bien entendu, toutes les questions de coopération demeurent liées, en particulier dans les domaines de la défense et de la sécurité, qui sont aujourd’hui au cœur des préoccupations mondiales. Depuis le début de nos travaux samedi, nous avons pu faire entendre la voix de la République Démocratique du Congo au sein de cette assemblée, notamment en ce qui concerne les attentes vis-à-vis de l’APF, en matière de soutien à la situation sécuritaire dramatique que traverse l’Est de notre pays, mais aussi sur le plan humanitaire, et en appui à l’ensemble des processus de paix auxquels nous participons. Je fais ici référence, entre autres, à l’accord de paix signé aux États-Unis, le 27 juin dernier, ainsi qu’aux différents efforts déployés tant sur le continent africain que dans d’autres régions du monde. Nous avons soumis une résolution demandant que l’APF accompagne la République Démocratique du Congo dans tous les processus de paix. Cette résolution a été saluée par l’ensemble des participants et rappelée lors de sa présentation par le Président de l’Assemblée nationale, afin qu’elle reste inscrite dans les annales de l’organisation. Elle marque notre volonté de continuer à bénéficier de ce soutien attendu depuis longtemps".

Signalons par ailleurs que Sama Lukonde se dit convaincu que la RDC reste pleinement engagée dans le soutien à l’APF et dans la poursuite des questions qui tiennent le pays à cœur. Car la République Démocratique du Congo, est aujourd’hui le plus grand pays francophone du monde, a-t-il indiqué.

La Pros.

50ème session de l'APF, Jean-Michel Sama Lukonde : mission accomplie à Paris !
Ecrire un commentaire (0 Commentaires)
Image

Download Our Mobile App

Image
Image