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L’UNC et le couple Vital Kamerhe réconfortés, Félix Tshisekedi a rendu un dernier hommage à l'Honorable John Ntumba !

Le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, accompagné de la Première Dame, Denise Nyakeru Tshisekedi, s'est incliné devant la dépouille mortelle du ministre honoraire John Ntumba et il a déposé une gerbe de fleurs au bas du cercueil, ce Samedi 15 avril 2023.
Le couple présidentiel a, en outre, consolé la veuve et les enfants de l'illustre disparu.
Le Député John Ntumba Panupakole avait pris part à toutes les tractations politiques avant la création de la plateforme Cap pour le changement et ce, depuis l'étape de Nairobi jusqu'à apposer sa signature au nom du Président national de l'UNC sur la charte de l'Union Sacrée de la Nation.

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En 100 premiers jours, les chiffres parlent, ARSP : Miguel Kashal Katemb double les recettes !

*Les cent premiers jours de la nouvelle équipe conduite par le directeur général de l’Autorité de Régulation de la Sous-traitance dans le Secteur privé ARSP ont été marqués par plusieurs actions de grande envergure qui ont eu une grande portée tant sur le plan de fonctionnement de l’entreprise que sur le plan organisationnel, tout en faisant déjà transparaître une grande lueur d’espoir pour l’avenir de ce jeune établissement public dirigé pour la première fois par un entrepreneur expérimenté dont les mérites de gestion sont reconnues et vantés par plusieurs opérateurs économiques de renom, tels que Robert Friedland patron d’IVANOE MINES et Georges Arthur Forrest patron du Groupe Entreprise Générale Malta Forrest.
Stratégie

En 100 premiers jours, les chiffres parlent, ARSP : Miguel Kashal Katemb double les recettes !
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Ni perturbé, ni troublé, Présidentielle 2023 : Adolphe Muzito confirme sa candidature !

Adolphe Muzito a ouvertement clarifié sa position, vendredi 14 avril 2023, sur les ondes de la Radio France internationale (RFI), sur les élections de décembre prochain, telles que prévues par la Commission électorale nationale indépendante (CENI). En des mots bien taillés, ce leader politique a confirmé qu’il sera bel et bien candidat à la présidentielle.
Autrement dit, il se lancera dans la course, en chair et en os, pour tenter de damer le pion à Félix Tshisekedi, l’actuel Président de la République. Il a aussi indiqué que son parti politique, Nouvel Elan, va aligner des candidats à tous les autres niveaux. A l’occasion, l’ancien Premier ministre a exigé le strict respect du délai constitutionnel. Il a insisté que la situation sécuritaire préoccupante dans l’Est du pays ne doit nullement servir de prétexte au pouvoir en place pour s’offrir un glissement. Adolphe Muzito a passé au crible la situation d’insécurité qui prévaut actuellement dans l’Est.
Il a rappelé sa proposition face à cette situation, laquelle consiste à mener la guerre contre le Rwanda pour la restauration d’une paix durable dans cette partie du pays. «Il serait préférable de chasser le Rwanda du sol congolais», a-t-il souligné.

Ni perturbé, ni troublé, Présidentielle 2023 : Adolphe Muzito confirme sa candidature !
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Modèle de croissance économique fondé sur la création des effets de levier, RDC : Patrick Onoya recommande l’investissement par substitution aux importations

Sur invitation du doyen de la faculté des sciences économiques de l’Université de Kinshasa, Patrick Onoya, chercheur, lobbyiste et stratège en investissement, a tenu, vendredi 14 avril 2023, une conférence-débat au cours de laquelle les idées se sont tournées sur le thème : ‘’ Vers l’application d’un modèle de croissance basé sur la création des effets de levier’’. Un colloque qui a connu la participation de plusieurs personnalités de la sphère estudiantine et autres invités de marque.
Dans son intervention au cours de ce cadre d’échanges, le professeur Onoya a défendu son modèle économique circonscrit en 3 (trois) leviers, considéré par lui comme salvateur et pivot de l’économie congolaise, fruit de ses recherches personnelles. Il s’agit là de la financiarisation de l’économie qui, selon lui, revient à la notion de développement des marchés financiers en République démocratique du Congo, pour répondre aux besoins d’investissement, au besoin de financement de l’outil productif, pour développer la production locale.
Le deuxième levier, c’est ‘’la promotion de la production locale’’. Ici, P. Onoya conseille l’Etat congolais de faire asseoir sa philosophie de croissance économique dans la propulsion du secteur privé, ainsi pour aussi créer le plus de millionnaires congolais possibles : ‘’ passer de l’étape de faire à celle de faire faire’’. Le troisième levier et le dernier est ‘’le protectionnisme économique’’, qu’il explique par l’implication aussi importante de l’Etat, qui doit faciliter le secteur privé local avec quelques mesures d’exonérations douanières, pour sauver des milliards de dollars que le pays perd chaque année rien que dans l’importation.
«Chaque année, la RDC importe pratiquement 90% de ses biens de consommation qui représentent 2 milliards de dollars par mois, soit 24 milliards de dollars par an. C’est trop, et pour cela, il est important que les chercheurs dans le domaine de l’économie puissent se lever pour apporter des solutions à ce problème épineux. Et pour cela, nous nous sommes naturellement basé, dans notre présentation sur quelques fondamentaux de la macroéconomie notamment et les équations macro-économiques pour déboucher vers les leviers que nous avons proposés », a signifié Patrick Onoya.
Pour sauver l’économie congolaise, le lobbyiste estime que son schéma est très important, sinon indispensable, aux vues du stade actuel où se trouve la RDC, qui peut arriver à doubler son PIB en seulement une année grâce au modèle d’Onoya. « Cela est important, parce que tout cela se fait sur fond d’une stratégie d’industrialisation par substitution aux importations, et nous avons fait une simulation pour dire que si nous arrivons à baisser les importations de 25 %, cela pourra avoir un impact de doubler le produit intérieur brut de la RDC qui actuellement est à 55 milliards, pourra aller vers 100 milliards si on tient compte du multiplicateur de K Inès qui peut nous amener à le faire », a-t-il précisé.
Besoin impérieux des structures financières
Pratiquement, Patrick Onoya recommande au gouvernement congolais de créer des cadres de discussion pour ce type de question en vue d’accroitre l’économie nationale, à l’exemple du Nigéria et de bien d’autres nations. « Il existe déjà un comité de conjoncture économique, nous proposons qu’il puisse exister aussi un un comité de structure économique, parce que les questions auxquelles nous avons réfléchis sont des questions structurelles, et la RD. Congo a des problèmes structurelles, telles que le manque d’un bon développement des marchés financiers qui font que nous demandions trop haut au marché interbancaire qui fondamentalement existe pour résoudre les problèmes de liquidités des entreprises, mais la RDC a besoin des structures financières qui peuvent répondre aux besoins d’investissement sur l’outil de production », a-t-il achevé.
Fidel Songo

Modèle de croissance économique fondé sur la création des effets de levier, RDC : Patrick Onoya recommande l’investissement par substitution aux importations
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