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Fally Ipupa n’a pas supprimé ses photos avec Emmanuel Macron sur ses réseaux sociaux

La super star Fally Ipupa a posté le 28 février dernier sur les réseaux sociaux les photos prises avec Emmanuel Macron lors d’une rencontre à Paris quelques jours avant la tournée africaine du Président français. Les internautes en République démocratique du Congo affirment que la vedette de la rumba congolaise a supprimé ces photos pour éviter toute polémique qu’elles ont créée sur la toile. L’artiste n’a cependant pas enlevé les publications.
Citation: ´´ acculé par les internautes pour s’être affiché avec le président Français, l’artiste musicien Fally Ipupa aurait supprimé les photos de ses comptes réseaux sociaux ´´

Faits
Après avoir parcouru les comptes réseaux sociaux de Fally Ipupa , nous avons constaté que ses publications n’ont pas été supprimées, elles sont bel et bien là . Notamment sur Twitter et Facebook.
Contexte
L’artiste est au centre des polémiques après s’être affiché au côté du président français Emmanuel Macron. Macron est considéré par certains congolais comme allié du Rwanda, plusieurs mouvements des jeunes activistes ont manifesté contre sa visite à Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo.
Evodie Koyeni

Fally Ipupa n’a pas supprimé ses photos avec Emmanuel Macron sur ses réseaux sociaux
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«Où sont passés les professeurs des universités de la RDC ?»

Une nation ne peut pas avancer sans la contribution des hommes et des femmes dont le travail est de réfléchir et proposer des solutions non partisannes aux problèmes qui se posent à la société humaine.
Les professeurs des universités devraient être dans ce lot des hommes et femmes dont la charge n’est pas seulement d’enseigner, mais aussi d’éclairer et de montrer au reste de la société la voie qu’il faut suivre en cas de situation confuse.
Aujourd’hui, l’Assemblée Nationale a inscrit dans son calendrier proposition de loi communément appelée ‘la loi Tshiani’. Une loi qui suscite des débats dans tous les milieux en République Démocratique du Congo.
Les uns, la soutiennent alors que les autres la rejettent. Dans ce débat, quel que soit le groupe qui parle, on sent plus de la pression que de la science.
Je pense qu’avant d’être politique, le débat devrait être scientifique. Ceux qui ont la science et l’expérience suffisante pour aider la société à comprendre ce débat, sont les professeurs de nos universités.
AUCUNE UNIVERSITE DU Congo n’a organisé une conférence sur la question pour éclairer l’opinion ou partager la science.
Quelques professeurs de Kinshasa, de Lubumbashi ou de Bukavu qui ont échangé avec moi sur cette préoccupation disent s’abstenir au risque d’être mis dans l’un ou l’autre des camps qui se battent.
J’ai trouvé cette attitude irresponsable, car dans la déclaration de Kampala sur la liberté intellectuelle et la responsabilité sociale, les professeurs des universités africaines ont pris l’engagement de dispenser le savoir en toute liberté, mais aussi de participer aux combats sociaux des peuples africains.
Ceci montre que nous avons de moins en moins des professeurs engagés pour la science au Congo. Beaucoup se taisent pour préserver leur confort politique, professionnel, matériel ou financier. Et quand ils osent parler, ce n’est pas pour défendre la science ou pour éclairer la société en toute impartialité, mais pour soutenir les hommes politiques qui sont au pouvoir ou qui sont dans l’opposition.
La loi Tshiani peut-être une occasion pour sécuriser le pays ou pour le détruire. Mais combien de congolais la comprennent ? Comment vont-ils la comprendre si ceux qui ont de distribuer la science ne l’expliquent pas de manière honnête et impartiale ?
Le fait que les universitaires se taisent alors qu’ils peuvent aider notre peuple à comprendre cette loi et ses enjeux, loin de toute passion qui caractérise les débats actuels, est une démission grave.
L’intérêt croissant des professeurs congolais pour la politique est un danger pour la science. Chacun prend des positions totalement alignées sur son engagement politique que sur la science.
Au vu de tout ça, nos universités sont aussi responsables du chaos qui s’installe au Congo chaque jour.
Je formule le vœu de voir les professeurs de nos universités être de véritables lampes au seing d’une société qui s’enfonce chaque jour dans la médiocrité.
Fait à Kinshasa, le 10 avril 2023
Me Jean Claude Katende

 

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Processus de paix de Nairobi : La RDC se prépare à accueillir le 4ème round des pourparlers

On en sait un peu plus désormais de prochains pourparlers en République démocratique du Congo dans le cadre de Nairobi IV. Le Haut représentant du Président de la République, Serge Tshibangu, est intervenu sur la radio onusienne pour mieux fixer les esprits. Il a confirmé, à cet effet, que les préparatifs de ce quatrième round de Nairobi se déroulent normalement. Il se tiendra successivement dans les villes de Goma, Beni, Uvira, Bukavu et Bunia.
«Nous sommes en plein préparatif de Nairobi IV. Nous avions eu des sessions de travail au Kenya, du 17 au 20 mars passé, où toutes les parties étaient représentées. Nous avions la partie congolaise, la partie kenyane, le représentant de l’EAC, le représentant du président en exercice de l’EAC ainsi que la MONUSCO. Nous avons eu quatre jours de discussions pour préparer Nairobi IV», a expliqué ce Haut représentant du Chef de l’Etat.
Et de poursuivre, il était question de couvrir les points tels que le contenu même de Nairobi IV, la forme de travail, la manière d’aborder les groupes armés sur base des engagements pris à Nairobi. Ce, avant d’ajouter : « Nous avions aussi discuté de la logistique et du financement, bref de tous les aspects. Aujourd’hui, nous sommes en pleine exécution des préparatifs. Dans les jours qui suivent, nous allons vous informer de la date exacte».
Le Haut représentant de Félix Tshisekedi est revenu également sur la question de l’intégration ou pas du M23 au processus de Nairobi. Sans détours, il a soutenu : «J’aimerais apporter deux précisions : la première, nous ne sommes pas en train de négocier avec le M23. La deuxième précision, ce qu’il faudra se souvenir que tout a été bien défini par le communiqué de Luanda du 23 novembre 2022. Ce communiqué stipulait le cessez-le-feu immédiat et sans condition du M23, leur retrait des positions et localités occupées jusqu’au Mont Sabinyo pour leur cantonnement et leur désarmement pour entrer dans le processus qui s’en suivra».
Et de lâcher que le tout dépendra du constat fait sur terrain par le mécanisme Ad hoc et les FARDC avant de préciser : «Nous attendons le mécanisme de vérification ad hoc qui va faire la restitution de ce qu’il aura vu sur terrain, vérifier que le M23 s’est réellement retiré vers le Mont Sabinyo. Là il y aura l’identification. Parce que ceux qui vont être cantonnés ne peuvent être que des Congolais. Les Rwandais qui font partie du M23 doivent retourner chez eux».
Emissaire de Tshisekedi auprès de Mnangabwa
Félix Tshisekedi a dépêché vendredi 7 avril dernier, Serge Tshibangu auprès de son homologue zimbabwéen Emerson Mnangagwa. Il était porteur d’une correspondance du Chef de l’Etat en rapport avec l’amélioration de la coopération entre Kinshasa et Harare.
Le Haut représentant du Chef de l’Etat a indiqué, à cet effet, que la RDC envisageait des liens encore plus forts avec le Zimbabwe dans le sens de relancer et de renforcer les liens entre les deux peuples du Zimbabwe et de la RDC».
Emma Muntu

 

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Problématique de la desserte de l’électricité, Assemblée nationale : le DG Fabrice Lusinde de la SNEL SA attendu aujourd’hui pour rencontrer les préoccupations des élus

Il va devoir se présenter une fois de plus devant la représentation nationale. Cette fois-là, il sera question pour lui de rencontrer les préoccupations des députés nationaux qui veulent comprendre la problématique de la desserte de l’électricité en Rdc. A l’issue de la plénière de ce lundi 10 avril 2023 dans la salle des Congrès du Palais du peuple, le Directeur général de la Société nationale d’électricité (SNEL SA), Fabrice Lusinde, a sollicité et obtenu un délai de 48 heures pour rencontrer les préoccupations des élus. C’est donc aujourd’hui qu’il va tenter de convaincre les Honorables Députés.
De 78 demandes de parole adressées au bureau de l’Assemblée nationale, 51 députés se sont relayés au prétoire vendredi dernier pour poser des questions de fond sur la problématique de la desserte de l’électricité dans le pays.
Dans la poursuite de ce débat, parmi la vingtaine d’intervenants, un député a voulu savoir pourquoi, lorsqu'il y a un match de football, il y a toujours coupure d’électricité chez le petit peuple. Avant de constater qu’après avoir exercé pendant 7 ans comme Directeur général adjoint de cette entreprise publique, M. Fabrice Lusinde est incapable de relever le défi. « Le DG Lusinde n'a aucun chronogramme, malgré le chapelet de bonnes intentions. Le texte présenté par le DG ne suffit pas, la population a besoin de résultat », a poursuivi un autre député.
Lors de la plénière du vendredi, certains élus du peuple avaient déploré la mauvaise utilisation de différents contrats conclus par la SNEL SA. De leur côté, les députés FCC crient à l’acharnement. « Trop de contrôle tue le contrôle », ont-ils déclaré en substance. Pour le député Matadi Nenga, à la place de produit de l’électricité, la SNEL propose des groupes électrogènes. Alors que la Mauritanie produit 45% de l'électricité, l’Ouganda 42% et le Congo Brazzaville 42%, la SNEL SA ne produit que 19%. Le député Célestin Mbuyu a posé la question de savoir à quel niveau la SNEL compte accompagner le Programme de développement local de 145 territoires (PDL-145 T). Le député national GaelBussaObambule a laissé entendre que le manque d’accès à l’électricité est identifié comme l’une des entraves structurelles au développement socio-économique de la RDC. Il était revenu sur les conséquences néfastes de manque d’électricité stable et de bonne qualité.
Lundi dernier, après ce tour de tables, le DG Fabrice Lusinde a sollicité et obtenu de la plénière un délai de 48 heures pour répondre à toutes les préoccupations soulevées par la représentation nationale. Dans l’entretemps, le rapporteur de la Chambre basse du parlement, le député Joseph LembiLibula annonce, via un communiqué de presse la tenue, ce mardi 11 avril 2023 à 12 heures dans la salle des Congrès, d’une plénière. Avec comme ordre du jour, deux matières, à savoir : examen et adoption de la proposition de loi portant principes fondamentaux relatifs à l'élevage ; examen et adoption du rapport relatif à la proposition de loi portant création, organisation et fonctionnement de l'Ordre national des géologues.
MB

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En prélude des préparatifs des élections 2013, Kalemie : Ensemble pour la République en première conférence Provinciale

Christian Mwando en pleine séance de réarmement moral et idéologiqu*Sous le leadership du Président National et Autorité morale du Parti politique ‘‘ Ensemble pour la République’’, M. Moïse Katumbi Chapwe, la ville de Kalemie, Chef-lieu de la province du Tanganyika, a abrité du lundi 3 au vendredi 7 avril 2023, la première conférence provinciale de l’Ensemble pour la République.
C’est la première du genre à être organisée au Pays depuis la création du Parti en novembre 2020.
Ces assises ont réuni plusieurs centaines des militants qui ont pris d’assaut les installations de la Coordination provinciale sise sur l’avenue Lumumba dans la commune de la Lukuga pendant 5 jours durant.
Cette rencontre avait pour objectif « l’évaluation des activités du Parti, la formation idéologique et communication politique ainsi que les préparatifs des élections de décembre 2023.
A l’ouverture, le Coordonnateur Provincial, l’Honorable Alex Kayembe Katempa a, dans son mot de bienvenue, salué et félicité les invités parmi lesquels les Présidents fédéraux de tous les 6 térritoires de la Province du Tanganyika pour leur participation massive qui traduit et fait preuve du patriotisme et de leur loyauté à l’idéologie du Président National du Parti. Et de poursuivre que ces genres des rencontres se multiplieront sur l’ensemble de la Province.
Aussitôt après les interventions des uns et des autres cadres du Parti tels que l’Honorable Alexis Kayembe Katempa, député provincial élu de la Ville de Kalemie ; l’Honorable Esther Kisimba Lubulu, Députée provinciale élu du territoire de Kalemie ; l’Honorable Jean Manda Kasambala, Député national élu du territoire de Moba à Tanganyika et le Maître Bernard Ngoy, respectivement, Coordonnateur provincial, Coordonnatrice adjointe en charge de la logistique et finances, Haut-Cadre du Parti et Président Fédéral Ville de Kalemie au sein d’Ensemble pour la République et Avocat au Barreau du Tanganyika, les Présidents Fédéraux des territoires ont à leur tour, présenté les activités de leurs fédérations territoriales.
A la fin de cette rencontre, les militants du Parti ont témoigné leur soutien indéfectible à leur autorité morale, Moïse Katumbi Chapwe.
La clôture de la conférence est intervenue le vendredi 7 avril 2023 par l’Honorable Christian Mwando Nsimba Kabulo, Haut-Cadre et Haut-Représentant du Président National au sein du Parti, arrivé le même jour à Kalemie en provenance de Lubumbashi pour cette circonstance aussi accompagné la dépouille mortelle d’un artiste musicien de Kalemie qui, dans son mot de clôture a invité les militants à constance politique et à la vigilance contre la machination Tshiani.
Jonas Kulungwe

En prélude des préparatifs des élections 2013, Kalemie : Ensemble pour la République en première conférence Provinciale
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