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Loi Tshiani: Symocel chez Rose Mutombo

Mme la ministre d'Etat, ministre de la Justice et Garde des Sceaux, Rose Mutombo Kiese, a reçu, le 5 avril 2023, une délégation de la Synergie des missions d'observation citoyenne des élections (Symocel) conduite par son coordonnateur national Patrick Ntambwe Ngoyi pour un plaidoyer pendant cette année électorale qui se pointe à l’horizon. Un plaidoyer que la Symocel a déjà mené auprès des responsables des partis politiques et des membres de la société civile de la République Démocratique du Congo. Cette synergie a saisi l’occasion pour s’enquérir en même temps de l’approche de la ministre d’Etat sur la proposition de la loi Tshiani.
«Nous sommes dans une année électorale, nous avons une panoplie d’autorités gouvernementales à rencontrer et tous ceux qui participent et contribuent dans le processus électoral. En ce qui concerne la Ministre d’Etat, Ministre de la Justice et Garde des Sceaux, la justice joue un très grand rôle dans le processus électoral notamment, dans le suivi du contentieux. C’est elle qui prévoit dans quelle mesure il faut veiller sur les différentes infractions ou autres qui peuvent se commettre lors du processus, ne donnent pas lieu à des interprétations dans le sens à avoir une répression contre les opposants notamment mais aussi il y a un déficit sur le plan des effectifs de magistrats qui doivent traiter les questions du contentieux », a fait remarquer Me Patrick Ntambwe Ngoyi.
Selon le coordonnateur de la Symocel, après le recrutement des magistrats, leur formation et affectation a pris beaucoup de temps. La Symocel a proposé dans la mesure du possible si ces magistrats pourraient être dans le lot des éléments qui constitueront leur formation et les questions de renforcement en matière électorale pour qu’ils soient utiles à ce processus.
La problématique de tension liée à la proposition de la loi Tshiani qui, certes, n’est pas encore arrivée en commission des lois au niveau du gouvernement mais la délégation de la Symocel voulait s’enquérir de l’approche de la ministre d’Etat parce qu’elle sent déjà qu’il donne lieu à plusieurs tensions dans une période pré-électorale. «Donc, nous avons été rassurés qu’il ne faudrait pas céder aux spéculations. Même si cette loi venait de passer au niveau de l’Assemblée nationale, au niveau de la commission des lois du gouvernement, ses membres veilleront à ce qu’elle puisse garantir la participation de tous les Congolais au même titre et en ayant le même droit dans ce processus électoral», a ajouté le coordonnateur de la Symocel.
«Nous avons ce risque puisque nous vivons déjà plusieurs tensions. L’insécurité elle-même dans le Katanga et à l’Est de la RDC, la situation qui y prévaut et pas loin de la ville de Kinshasa, à Kwamouth. Donc, ça fait autant de choses qui peuvent contribuer à une escalade de tensions dans cette période électorale », alerte Me Patrick Ntambwe.
La Symocel a adressé des courriers à toutes les autorités concernées par cette question électorale. « Ces autorités peuvent nous recevoir en fonction de leur disponibilité», a-t-il conclu.
JN

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Après la présentation et l’adoption de la charte, RDC : Christophe Mboso annonce la sortie officielle de l’Union sacrée

Cette annonce fracassante de la sortie officielle de l’Union sacrée de la nation a été faite ce mercredi 5 avril 2023, par Christophe Mboso N’kodia Pwanga, en marge de la cérémonie de la présentation et signature de la charte de cette structure politique qui entend travailler pour la réélection de Félix Tshisekedi Tshilombo à la tête de la RDC pour un second mandat. Sauf changement, la sortie officielle de l’USN est prévue pour samedi 22 avril prochain. Les leaders des partis politiques ont été appelés à mobiliser leurs bases pour ce grand évènement.
Devant les autres membres du présidium dont Vital Kamerhe, Sama Lukonde, Modeste Bahati, Augustin Kabuya et Jean-Pierre Bemba, Mboso N’kodia a signifié la nécessité de cette sortie officielle. «Dès que nous aurons signé la charte, nous allons nous mettre au travail, nous nous sommes retrouvés ici entre les camarades du présidium et les camarades chefs des partis politiques, il va falloir que nous sortions officiellement pour que le monde entier et le peuple congolais sache qu'il existe réellement dans les faits et dans les actes l'union sacrée qui nous conduira comme membre d'une plateforme politique et électorale aux élections. Et pour la sortie officielle, sauf force majeure nous estimons que nous pouvons nous produire officiellement le 22 avril », a-t-il déclaré. Et de renchérir : "Nous invitons les présidents des partis politiques de sensibiliser nos membres des partis politiques y compris les associations qui sont avec nous".
Toujours à l'occasion de la signature de la charte de cette plateforme politique construite autour de la candidature à la présidentielle de Félix Tshisekedi, prenant la parole, Augustin Kabuya, Membre du présidium de l’USN et Secrétaire général du parti présidentiel, a encouragé les membres de l'Union sacrée de la nation à l'unité et au dialogue. « Aujourd'hui, le monde entier nous regarde. La population nous fait confiance. Chaque œuvre humaine ne manque jamais d’imperfections. Nous n'avons pas dit que tous les problèmes sont réglés à travers notre charte. C'est aujourd'hui que les problèmes vont commencer. Faisons preuve de sagesse. Chaque fois qu’il y aura des petits problèmes entre nous, qu'on les gère avec sagesse au lieu de les sortir dans l'espace public. Soyons tolérants les uns envers les autres. Puisqu'il y aura des problèmes et nous avons l'expérience. S’il y a un grand nombre qui s'ajoute dans une organisation, c'est en ce moment que les problèmes commencent. Privilégions le dialogue entre nous, ayons l'esprit de pardon », a-t-il lâché. « Nous sommes des humains. Chacun de nous a ses qualités et ses faiblesses. Fournissons l'effort et supportons-nous mutuellement. Il n'y a pas de saints. Quand certains veulent rejoindre l'USN qu’on ne tienne pas le discours, lui c'est un tel...non. Le Chef de l'État a besoin de tout le monde pour ce pays et pour le développement du grand Congo », renchérit-il.
Il n’y a l’ombre d’aucun doute, l'Union sacrée de la nation va soutenir la candidature de l'actuel chef de l'État Félix Tshisekedi aux prochaines élections générales prévues en décembre 2023. Outre l'autorité suprême, cette organisation politique sera dirigée par un présidium composé de six personnes: Il s’agit de Jean-Michel Sama Lukonde, Jean-Pierre Bemba, Vital Kamerhe, Christophe Mboso N’kodia ; Modeste Bahati et enfin Augustin Kabuya.
Sur le plan politique, les adhérents s’engagent sans relâche à œuvrer pour l'unité des Congolaises et Congolais, dans un élan de justice et de vérité, en vue de renforcer la cohésion nationale, gage du développement intégral et de l’émergence de notre pays dans le concert des Nations; de promouvoir et consolider l'émergence d'un Etat de droit, républicain, laïc et social, pratiquant la bonne gouvernance, respectueux des valeurs démocratiques et du principe de la séparation des pouvoirs.
La charte de l’Union sacrée a 9 chapitres, précédée d’un préambule, elle est le résultat d’un examen minutieux de plusieurs séances de travail.
MB

Après la présentation et l’adoption de la charte, RDC : Christophe Mboso annonce la sortie officielle de l’Union sacrée
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Après les révélations du Sondage TargetVingt-six Provinces en RDC : l’Anapi propose une série de recommandations pour la réussite des réformes économiques !

*’’La publication des résultats de cette étude est, en effet, un événement important pour la RDC et pour tous les acteurs impliqués dans le développement économique du pays. Les recommandations formulées dans le cadre de cette étude pourront contribuer à améliorer le climat des affaires en RDC et à renforcer la compétitivité du pays sur la scène internationale. Les résultats de la présente étude pourront notamment, servir à enrichir le baromètre national sur le climat des affaires en cours de mise en œuvre au niveau de la Cellule Climat des Affaires de la Présidence de la République, et permettre une meilleure préparation des travaux de révision de la Feuille de route des réformes gouvernementales sur le climat des affaires en cours de préparation. Mais, pour relever les défis mis en évidence par cette étude, l’ANAPI recommande une série de mesures pour améliorer l'efficacité de la mise en œuvre des réformes en cours et renforcer le processus d’assainissement du climat des affaires en RDC. Parmi ces mesures : on peut citer la nécessité de renforcer le dialogue Public-Public et le Dialogue Public-Privé ; la poursuite des efforts d’amélioration des conditions sociales des agents publics chargés de la mise en œuvre des réformes ainsi que la lutte contre la corruption et autres crimes économiques ; la mise en place dans chaque Province d’un cadre institutionnel approprié (Cellule du climat des affaires) pris en charge par la Province et le renforcement des capacités des acteurs économiques pour mieux tirer profit des opportunités offertes par les réformes’’, indique le communiqué, ci-dessous, émanant de l’Anapi. ‘’Un classement final des provinces est établi à la fin de l’étude, suivant les scores cumulés de chaque province sur les cinq indicateurs retenus. Les faibles scores enregistrés s’expliquent notamment, par l’absence d’édits provinciaux à caractère économique dans la majorité des provinces. Seules les provinces de Kinshasa, de l’Equateur et de la Tshopo ont engrangé des points sur cet indicateur et obtenu un score supérieur ou égal à 50 sur 100 au classement général’’, précise le même communiqué.
LPM
Communiqué
Climat des affaires : l’ANAPI publie les résultats de l’étude qu’elle a commandée sur l’application des réformes dans les 26 provinces du pays
La République Démocratique du Congo s’est résolument engagée dans un vaste processus d’assainissement de son environnement des affaires, à travers la mise en œuvre des réformes touchant à tous les secteurs de la vie économique, avec comme objectifs de réduire, simplifier et rendre transparents les procédures, délais et coûts des opérations administratives.
Et dans le cadre de ses prérogatives institutionnelles, l’Agence Nationale pour la Promotion des Investissements (ANAPI), Conseiller technique du Gouvernement central et des Gouvernements provinciaux en matière de promotion des investissements et l’amélioration du climat des affaires, a commandé une étude pour évaluer l’effectivité de l’application des réformes initiées par les autorités du pays pour assainir l’environnement des affaires dans les 26 provinces que compte la RDC.
L’étude, menée par Target, un Cabinet de sondages et consulting basé à Kinshasa, portait essentiellement sur cinq indicateurs, à savoir : le démarrage d’activité économique, la fiscalité (impôt foncier et impôt sur le revenu locatif), le permis de construire, la mutation immobilière et la qualité d’administration et institution (centré le nombre d’Edit à caractère économique, hormis les Édits budgétaires, pris par les Assemblées provinciales entre 2017 et 2022).
L’objectif était d’évaluer l’impact des réformes par rapport aux objectifs visés sur chaque indicateur cité ci-haut, s’assurer du niveau de satisfaction exprimé par les bénéficiaires de ces réformes et enfin, de classer les provinces suivant les critères de performance dans la mise en œuvre des réformes.
La collecte des données dans le cadre de cette étude a été organisée du 20 octobre au 19 décembre 2022, essentiellement dans les chefs-lieux des 26 provinces du pays. Lors d’un Atelier organisé le mardi 7 février 2023 au Sultani River Hôtel à Kinshasa, le Cabinet Target a fait la restitution des résultats préliminaires de son étude aux délégués des Services sectoriels et des Provinces, parmi lesquels les Ministres provinciaux du Plan. Les différents délégués ont, à cette occasion, validé les résultats de l’étude.
Ainsi, les résultats définitifs de l'étude indiquent un niveau général d’application des réformes encore faible au niveau des provinces, doublé d’une nette disparité entre lesdites provinces s’agissant aussi bien de l’appropriation du processus de mise en œuvre des réformes initié au niveau central que de l’application desdites réformes sur terrain.
Un classement final des provinces est établi à la fin de l’étude, suivant les scores cumulés de chaque province sur les cinq indicateurs retenus.
Les faibles scores enregistrés s’expliquent notamment, par l’absence d’édits provinciaux à caractère économique dans la majorité des provinces. Seules les provinces de Kinshasa, de l’Equateur et de la Tshopo ont engrangé des points sur cet indicateur et obtenu un score supérieur ou égal à 50 sur 100 au classement général.
Parmi les principales difficultés identifiées, on peut citer le déficit de communication et de sensibilisation sur les reformes du climat des affaires, la lourdeur administrative, l’absence des édits à caractère économique qui touchent à l’environnement des affaires et la résistance aux réformes par l’administration publique qui se traduit par le non affichage des coûts et procédures des différentes opérations. Ces facteurs entravent la croissance des entreprises et limitent leur capacité à créer des emplois.
A titre d’illustration, l’indicateur « démarrage d’activité économique » qui mesure les efforts en termes de réduction des délais, coûts et procédures applicables à la création d’entreprise, les résultats de l’enquête montrent que pour les requérants qui se sont adressés au Guichet unique de création d’entreprise (GUCE), au Tribunat de Commerce et au Tribunal de Grande Instance afin d’obtenir les documents administratifs pour opérer, ont dû passer respectivement en moyenne 41, 40 et 80 jours.
Par ailleurs, dans la majorité des Provinces où le GUCE est installé, les créateurs d’entreprises déboursent entre 103$ et 293$ pour toutes les démarches de formalisation de leurs activités ; et en moyenne 289$ pour ceux qui débutent leurs démarches au niveau du TRICOM, et entre 78$ et 775$ pour ceux qui s’adressent au TGI.
S’agissant de l’indicateur fiscalité, seuls 11% des personnes interrogées ont connaissance des réformes sur la fiscalité. Mais parlant du sous-indicateur Impôt foncier, 61% des personnes interrogées affirment en avoir connaissance.
Pour l’indicateur mutation immobilière, les résultats de l’enquête montrent que la grande majorité des interviewés affiche un niveau de connaissance faible sur le taux des droits de mutation appliqué dans leurs Provinces respectives d’une part, et d’autre part, 77% des répondants déclarent avoir payé directement les frais administratifs pour une opération de mutation immobilière. Et s’agissant de l’indicateur permis de construire, 33% des personnes interrogées estiment avoir une connaissance suffisante des réformes sur le permis de construire.
Pour relever les défis mis en évidence par cette étude, l’ANAPI recommande une série de mesures pour améliorer l'efficacité de la mise en œuvre des réformes en cours et renforcer le processus d’assainissement du climat des affaires en RDC. Parmi ces mesures : on peut citer la nécessité de renforcer le dialogue Public-Public et le Dialogue Public-Privé ; la poursuite des efforts d’amélioration des conditions sociales des agents publics chargés de la mise en œuvre des réformes ainsi que la lutte contre la corruption et autres crimes économiques ; la mise en place dans chaque Province d’un cadre institutionnel approprié (Cellule du climat des affaires) pris en charge par la Province, et le renforcement des capacités des acteurs économiques pour mieux tirer profit des opportunités offertes par les réformes.
En somme, la publication des résultats de cette étude est un événement important pour la RDC et pour tous les acteurs impliqués dans le développement économique du pays. Les recommandations formulées dans le cadre de cette étude pourront contribuer à améliorer le climat des affaires en RDC et à renforcer la compétitivité du pays sur la scène internationale. Les résultats de la présente étude pourront notamment, servir à enrichir le baromètre national sur le climat des affaires en cours de mise en œuvre au niveau de la Cellule Climat des Affaires de la Présidence de la République, et permettre une meilleure préparation des travaux de révision de la Feuille de route des réformes gouvernementales sur le climat des affaires en cours de préparation.
Cellule de Communication
ANAPI

 

Après les révélations du Sondage TargetVingt-six Provinces en RDC : l’Anapi propose une série de recommandations pour la réussite des réformes économiques !
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Identification et enrôlement des électeurs : la CENI accorde une période de rattrapage de 10 jours dans l’aire opérationnelle 3

Dans le souci permanent de préserver le caractère inclusif des opérations d’identification et d’enrôlement des électeurs, la CENI a accordé une période de rattrapage de dix jours, s'étendant du 02 au 11 avril 2023, afin de permettre à toute congolaise et à tout congolais remplissant les conditions requises d'obtenir la carte d'électeur et de figurer sur la liste électorale.
Ci-dessous, le communiqué de presse de la CENI.
COMMUNIQUE DE PRESSE DE LA CENI
La Commission Électorale Nationale Indépendante(CENI) porte à la connaissance de l'opinion publique qu'il s'observe une grande affluence de requérants devant les Centres d'Inscription à la clôture des opérations d'identification et d'enrôlement des électeurs, prévue le 1er avril 2023, dans les 7 provinces et 2 pays de l'Aire Opérationnelle 3 (A03).
Dans le souci permanent de préserver le caractère inclusif des opérations en cours, la CENI accorde, à nouveau, une période de rattrapage de dix (10) jours, s'étendant du 02 au 11 avril 2023, afin de permettre à toute congolaise et à tout congolais remplissant les conditions requises d'obtenir la carte d'électeur et de figurer sur la liste électorale.
La CENI invite donc toute la population des provinces de l'Aire Opérationnelle 3 à saisir cette opportunité qui leur est offerte et de se rendre massivement dans les Centres d'Inscription de leurs lieux de résidence pour l'identification et l'enrôlement. Les provinces et les pays concernés sont les suivants : Bas-Uélé, Haut-Uélé, Ituri, Maniema, Nord Kivu, Sud Kivu, Tshopo, el Canada et les Etats- Unis d'Amérique.
S'agissant de 2 pays pilotes (Canada et États-Unis d'Amérique), les résidents sont invités à se rendre dans leurs ambassades respectives.
La CENI rappelle à l'opinion publique que l'accès aux Centres d'inscription, l'identification et l'enrôlement des électeurs sont totalement gratuits.
Fait à Kinshasa, le 30 MARS 2023
Pour le Rapporteur empêché
Paul MUHINDO MULEMBERI VAHUMAWA
Rapporteur Adjoint

Identification et enrôlement des électeurs : la CENI accorde une période de rattrapage de 10 jours dans l’aire opérationnelle 3
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Après l'agression brutale de Christian Bosembe à Paris, RDC : OLPA interpelle l'Ambassadeur de France à Kinshasa

Christian Bosembe, Président du CSAC
*Dans une correspondance adressée, le 4 avril 2023, au diplomate français avec ampliation au Vice-premier ministre des Affaires étrangères, au ministre de la Communication et Médias et au président du bureau du Conseil supérieur de l'audiovisuel et de la communication (CSAC), OLPA appelle à une étroite coopération entre autorités congolaises et les services étatiques de France afin de mettre hors d’état de nuire les assaillants de M. Christian Bosembe Lokando, président du CSAC victime d'atteinte à l'intégrité physique en plein Paris.
Ci-dessous, l’intégralité de la correspondance de l'OLPA
Kinshasa, le 4 avril 2023
N/Réf 307/CNB04/23
Transmis copie pour information :
A son Excellence Monsieur le Vice-premier ministre, Ministre des Affaires Etrangères
A son Excellence Monsieur le Ministre de la Communication et médias,
A Monsieur le Président du bureau du Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la Communication (CSAC) Tous à Kinshasa/Gombe
A son Excellence Monsieur l’Ambassadeur de France en République démocratique du Congo (RDC) à Kinshasa/Gombe
Excellence,
Objet : protestation
L’Observatoire de la Liberté de la Presse en Afrique (OLPA), organisation non gouvernementale de défense et de promotion de la liberté de presse basée à Kinshasa, vient par la présente auprès de votre auguste personnalité protester avec la dernière énergie contre l’agression brutale à Paris (France) de monsieur Christian Bosembe Lokando, président du bureau du Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication (CSAC).
Pour votre gouverne, ce représentant de l’instance publique de régulation des médias en RDC est en mission officielle dans votre pays (France). Curieusement et contre toute attente, M. Christian Bosembe Lokando a été attaqué, le 1er avril 2023, par une bande des marginaux se réclamant membres de l’opposition politique congolaise en exil communément appelée « combattants » qui l’ont rué plusieurs coups de poing l’accusant de travailler pour le régime de Kinshasa.
Aucun assaillant n’a été appréhendé par les forces de police françaises à la grande stupéfaction de l’opinion publique congolaise qui n’arrive pas à comprendre comment les auteurs d’une atteinte à l’intégrité physique (violation de droit humain) peuvent jouir d’une totale impunité dans un pays réputé dans la défense des valeurs démocratiques.
Au regard de ce qui précède et tout en condamnant cet acte scandaleux contre un officiel congolais, OLPA vous prie, Excellence, de bien vouloir coopérer franchement avec les autorités congolaises et d’autres services étatiques de votre pays afin de mettre hors d’état de nuire les assaillants de M. Christian Bosembe Lokando.
Veuillez agréer, Excellence, l’expression de notre considération distinguée.
Pour le comité exécutif de l’OLPA
Chancelle NSINGI BAMENGA
Secrétaire exécutive a.i
Tribune libre

 

Après l'agression brutale de Christian Bosembe à Paris, RDC : OLPA interpelle l'Ambassadeur de France à Kinshasa
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Un véritable front ouvert à l’Intégration Régionale , RDC : l’Ambassadeur Suédois chez Antipas Mbusa Nyamwisi !

*Antipas Mbusa Nyamwisi a annoncé hier, mardi 4 avril 2023, le Sommet des Chefs d’Etat de la Sous-Région des Grands Lacs qui se tiendra à Bujumbura, au Burundi, le 6 mai 2023, dans le cadre de mécanisme de suivi de l'accord d'Addis-Abeba. Il l’a dit ainsi en marge d’une audience qu’il a accordée à Henri Rasbrant, l’Ambassadeur Suédois en poste à Kinshasa.
La Suède s’engage pour la paix dans l’Est
Récit
*Il est le Premier Ambassadeur à fouler le Bureau du Ministre d’Etat en charge de l’Intégration régionale, Antipas Mbusa Nyamwisi. Le diplomate suédois HENRI Rasbrant accompagné de Cornelia Gardmark, 2ème Secrétaire d’Ambassade, sont venus présenter leurs civilités au ministre patron de l’intégration régionale.
Juste après, il a exhorté le Ministre d’Etat à jouer pleinement son rôle dans la résolution de la crise dans l’est du pays qui a déjà causé le déplacement de plus d’un million des personnes dont les femmes et les enfants.
Il a, ensuite, confirmé à Antipas Mbusa Nyamwisi qu’il partage le même souci en ce qui concerne la guerre dans l’est du pays d’où la Suède prône le dialogue pour atténuer l’impact de la guerre sur la population.
HENRI RASBRANT a encouragé, par ailleurs, le Ministre d'Etat à user de toute son influence pour ramener tous les groupes armés locaux dans le Programme de désarmement, Démobilisation, relèvement communautaire et stabilisation.
Le Ministre d’Etat a, au cours de cet entretien, rappelé toutes les initiatives prises par la RDC pour mettre fin à l'instabilité qui règne dans sa partie Est.
Il s'agit notamment, de l’Accord-cadre d’Addis-Abeba, les accords de Nairobi et de Luanda.
Mbusa-Tshisekedi : même vision, même combat…
Pour sa part, Mbusa Nyamwisi a rassuré son hôte de sa détermination, suivant la vision du Chef de l’Etat Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, et ses prérogatives de rechercher la paix dans la partie orientale du pays.
Les souffrances infligées à la population de l’Est ont trop duré, a-t-il déclaré, avant d’inviter tous les partenaires de la République à s’engager réellement et sincèrement pour que la paix revienne.
En route pour Bujumbura
L’occasion était, pour le Ministre d’Etat, d’annoncer le sommet des Chefs d’Etat de la Sous-Région des Grands Lacs qui se tiendra à Bujumbura, au Burundi, le 6 mai 2023, dans le cadre de mécanisme de suivi de l'accord d'Addis-Abeba.
LPM

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La Diaspora de l’Excellence interpelle , RDC : le Forum des Intellectuels Congolais à l’étranger condamne l’agression de Christian Bosembe à Paris !

*Le Forum des Intellectuels Congolais à l’Etranger, FICE en sigle, condamne l'agression du Président du Conseil Supérieur de l'audiovisuel et de la communication, M. Christian Bosembe à Paris en mission officielle par un groupe de personnes identifiées, selon la vidéo comme membres du “Bataillon Front Populaire - Nouvelle Energie”. Pour le FICE, ‘’cette agression est aussi une occasion, pour le gouvernement congolais, de doter les ambassades des moyens qui permettent l’accueil des officiels en mission de service et d’instruire les autorités congolaises de recourir aux services des Représentations Diplomatiques de la RDC à l’étranger pour leur séjour’’. ‘’Grâce à sa crédibilité, sa situation juridique légale dans différents pays, le FICE travaille toujours en étroite collaboration avec les services compétents pour assurer la sécurité de ses hôtes des secteurs public, privé et de la société civile. Les personnalités de ces secteurs peuvent compter sur notre collaboration, notre patriotisme et notre professionnalisme si elles ont besoin de notre assistance parce que “nous sommes la diaspora de l’excellence”, réaffirme, dans une lettre ouverte, depuis les Etats-Unis d’Amérique, M. Joël Ngoie Nshisso, Professeur et Docteur de son état et qui, en même temps, est le Président International de ce Forum des Intellectuels Congolais à l’étranger.
Lettre ouverte
Le FICE condamne l'agression Mr. Christian Bosembe à Paris
Le FICE condamne l'agression du président du Conseil de l'audiovisuel et de la communication M. Christian Bosembe à Paris en mission officielle par un groupe de personnes identifiées selon la vidéo comme membres du “Bataillon Front Populaire - Nouvelle Energie”.
Selon la vidéo qui circule dans les médias sociaux sur cette attaque, le FICE regrette la violence extrême imposée à M. Christian Bosembe, sans égard à sa vie et à ses libertés individuelles.
La diaspora congolaise dans son ensemble est, pourtant, pacifique, courtoise et respectueuse des autorités et personnalités congolaises en mission officielle ou en visite privée à travers le monde.
A cet effet, FICE déconseille une généralisation abusive de la diaspora congolaise dont la majorité n’approuve pas les actes inciviques tels que cette agression.
Le FICE demande aux autorités congolaises et consulaires de travailler avec les services de l’ordre de la France pour retrouver les coupables afin qu’ils répondent de leurs actes selon la justice de ce pays.
Il désapprouve, d’autre part, la tendance à la vengeance et la culpabilisation de la victime exprimée par certains compatriotes dans leurs propos sur cette affaire.
Grâce à sa crédibilité, sa situation juridique légale dans différents pays, le FICE travaille toujours en étroite collaboration avec les services compétents pour assurer la sécurité de ses hôtes des secteurs public, privé et de la société civile. Les personnalités de ces secteurs peuvent compter sur notre collaboration, notre patriotisme et notre professionnalisme si elles ont besoin de notre assistance parce que “nous sommes la diaspora de l’excellence”.
Cette agression est aussi une occasion, pour le gouvernement congolais, de doter les ambassades des moyens qui permettent l’accueil des officiels en mission de service et d’instruire les autorités congolaises de recourir aux services des Représentations Diplomatiques de la RDC à l’étranger pour leur séjour.
Prof. Dr. Ngoie Joël Nshisso
Président International
https://www.ficeclub.com
+1-704-910-7185
CC : -Ministre de la Communication
-Conseil Supérieur de l’audiovisuel et de la communication

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