Le président de l'Union pour la Nation Congolaise (UNC) et député national, Vital Kamerhe, a officiellement déposé, ce lundi 13 mai, sa candidature pour le poste de président de l'Assemblée nationale. Ce choix intervient à l’issue des résultats des primaires du présidium de l’Union sacrée de la Nation qui avait jeté son dévolu sur cette candidature unique.
Dans un communiqué officiel portant finalisation du ticket du bureau de l’Assemblée Nationale pour le compte de la majorité, l’Union sacrée de la nation a dévoilé la liste de candidats de la majorité devant constituer le bureau définitif de la Chambre basse du Parlement. Parmi les personnes retenues figurent Vital Kamerhe au poste de président du bureau définitif, Jean-Claude Tshilumbayi : 1er Vice-président; Christophe Mboso N'kodia Pwanga : 2e vice-président, Serge Bahati : questeur et Caroline Bemba : questeur adjoint.
Ce communiqué a fait couler beaucoup d’encre au sein de la même majorité présidentielle. Un groupe de députés se nommant « Républicains » évalué à une centaine, a rejeté cette proposition du ticket de l’Union sacrée. Ces élus reprochent au présidium le clientélisme, le népotisme, le tribalisme, … dans le choix des candidats aux différents postes du bureau définitif de l’Assemblée nationale. Ils accusent ledit présidium de ne pas tenir compte de l'équilibre géopolitique.
Ils rappellent, par ailleurs, que la composition du bureau définitif de l’Assemblée nationale doit respecter les prescrits de la constitution et du règlement intérieur sur le principe de la représentation équitable des provinces avant de réitérer les engagements du Chef de l’Etat. Le 2ème mandat de Tshisekedi sera consacré à la lutte contre les antivaleurs tout en reconnaissant le principe de solidarité dans l’attribution des responsabilités.
Le samedi 18 mai à partir de 11 heures est prévue l’élection et l’installation officielle du bureau définitif. La mise en place de ce bureau définitif est la dernière mission du bureau provisoire que conduit Christophe Mboso N'kodia Pwanga.
Si goûter au pouvoir est une bonne chose, tenir ou continuer d'exister après ça n'est pas facile. Le MPR, le PPRD et le PALU en donnent l'illustration. Quid demain de l'UDPS?
Le Mouvement populaire de la révolution de Joseph Désiré Mobutu n'a pas pu tenir longtemps lorsque le Maréchal du Zaïre a quitté le pouvoir en 1997. En digne héritier politique, le fils du défunt président, Nzanga Mobutu, a tenté de perpétuer l'idéologie de son géniteur, mais sans succès. Pas même Catherine Nzuzi Wa Mbombo n'a pu...
Toute chose ayant un début et une fin, le mobutisme a pratiquement tiré sa révérence.
D'autre part, il a fallu qu'Antoine Gizenga Fundji goûte au pouvoir comme premier ministre pour que son parti commence son processus de désintégration. Aujourd'hui, sans avoir accédé à la magistrature suprême, le Parti Lumumbiste Unifié (PALU) n'est plus resté debout. Il continue au contraire à se déchirer...
Que dire brièvement de l'Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo (AFDL)? Comme mouvement de libération prédateur, ce "conglomérat d'aventuriers" a disparu comme un feu de paille quelque temps après l'accession de Laurent Désiré Kabila au pouvoir, ses parrains rwandais ayant démontré qu'ils n'étaient là que pour piller le Congo au profitde Kigali.
Quant au Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD), ce dernier est carrément en train de vivre ses derniers instants avant la disparition. Depuis son départ du pouvoir, Joseph Kabila, pourtant autorité morale de cette formation politique, a opté pour l'idéologie "motus et bouche cousue". Muet, JKK a laissé la charge du PPRD sur les épaules de Ramazani Shadary et Ferdinand Kambere que l'on entend souvent sur les ondes de Top Congo FM. Emmanuel Shadary, connu comme "coup sûr coup", fait lui aussi un profil bas comme Joseph Kabila, au point que d'aucuns se demandent si réellement le PPRD continue à tenir régulièrement ses réunions... D'où la lancinante question qui taraude les esprits : comment fera Joseph Kabila pour remettre son parti sur le rail?
En réalité, c'est ce dernier parti qui devait être la première force politique d'opposition du pays. Hélas !
Que dire alors de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), parti historique du Sphinx? Certains observateurs se demandent si ce parti cher au lider maximo tiendra longtemps après le deuxième mandat du président Tshisekedi. Tristement, le constat est que les membres de l'UDPS qui accompagnent le Président de la République n'ont pas pu faire la différence. Nombreux auraient sombré dans des compromissions graves et des dossiers de détournement.
En effet, l'opinion est arrivé à la conclusion selon laquelle que ce soit l'époque de Mobutu, de Laurent Désiré Kabila, de Joseph Kabila ou de Félix Tshisekedi, les antivaleurs dont l'enrichissement sans cause, la corruption et le détournement sont un dénominateur commun. Ils ont tous pour caractéristiques : parlementaires qui se soucient seulement de leurs avantages, ministres qui détournent les deniers de l'Etat, magistrats qui se font corrompre...
Au regard de tous ces éléments, il y a lieu de s'interroger davantage de l'UDPS. Reviendra-t-elle dans l'opposition au terme des deux mandats de Fatshi? Avec quel discours? Continuera-t-elle à dénoncer la corruption? Ses militants feront-ils des marches de protestation comme par le passé? Qui osera donner le mot d'ordre pour une journée ville morte?
Pour rappel, après ses deux mandats, le président Tshisekedi deviendra lui aussi sénateur à vie.
« Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI, en sa qualité de structure d’appui autonome, plaide en faveur de la dissolution pure et simple et ce, par voie administrative, des tendances UDPS/TSHISEKEDI, UDPS/KIBASSA, UDPS/TSHIBALA, UDPS/MUBAKE qui fonctionnement illégalement au mépris de la loi portant organisation et fonctionnement des partis politiques en République Démocratique du Congo », déplore cette Structure, qui exige des mesures idoines pour la restauration, dans les plus brefs délais, de l’idéologie des pionniers du parti. Voici la déclaration :
Déclaration politique du Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI
Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI, Structure d’appui autonome du Parti, a examiné, au cours de sa réunion hebdomadaire de ce mercredi 08 Mai 2024, l’état chaotique dans lequel se trouve la Tendance UDSP/TSHISEKEDI actuellement au pouvoir, et rend public la Déclaration Politique dont la teneur ci-dessous :
1. Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI dénonce la violation flagrante de l’article 10 des Statuts de la Tendance UDPS/TSHISEKEDI qui a fixé, entre autres objectifs, « L’INSTAURATION DE LA BONNE GOUVERNANCE, LA LUTTE CONTRE LA CORRUPTION ET AUTRES ANTI-VALEURS » par son arrogante direction en exercice.
2. Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI constate, non sans amertume, que la bande à KABUND-KABUYA-PETER KAZADI et autres Combattants de la 25me heure de la génération spontanée qui a fait la main basse sur la Tendance UDPS/TSHISEKEDI, a trahi l’idéal noble de l’héroïque combat qui avait mobilisé et fondé les espoirs des millions de Congolais de voir se construire en République Démocratique du Congo, une grande démocratie et un véritable Etat de droit, gage d’un réel progrès social pour leur bien-être.
3. Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI constate fort malheureusement que la Tendance UDPS/TSHISEKEDI fait la honte du combat implacable de l’UDPS Originelle, lequel combat a été mené pendant plus de trois décennies.
4. Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI condamne, sans réserve, les actes répréhensibles dont les auteurs se recrutent parmi les membres de la Tendance UDPS/TSHISEKEDI notamment les vols, l’exclusion, la mauvaise gouvernance, la corruption, les détournements des deniers publics, le népotisme, l’égoïsme, le clientélisme, le gangstérisme politique et autres anti-valeurs coulés sous la répugnante formule de « TOSA OBIKA » mise en place un « petit parlementaire-debout » élevé, sans le mériter, au rang d’animateur principal de ladite tendance à cause de ses courbettes et salamalecs indignes d’un vrai militant d’un parti social-démocrate de l’Internationale Socialiste.
6. Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI, en sa qualité de structure d’appui autonome, plaide en faveur de la dissolution pure et simple et ce, par voie administrative, des tendances UDPS/TSHISEKEDI, UDPS/KIBASSA, UDPS/TSHIBALA, UDPS/MUBAKE qui fonctionnement illégalement au mépris de la loi portant organisation et fonctionnement des partis politiques en République Démocratique du Congo.
7. En conséquence, le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI demande enfin aux Quatre Fondateurs Historiques encore en vie de s’assumer en convoquant les assises de renaissance de l’UDPS Originelle.
Ensemble pour la République de Moïse Katumbi vient de nommer, par une Décision portant la signature du Secrétaire Général Dieudonné Bolengetenge, trois points focaux qui vont assurer la supervision des préparatifs de la Convention nationale du parti prévue très prochainement au Maï-Ndombe. Il s’agit de Patrick Nkumu Nkumambe, Jean-Baptiste Biongo et Rita Ebongo. Le premier, c’est lui le Coordonnateur tandis que les deux autres occupent respectivement les fonctions de Coordonnateur Adjoint chargé des questions politiques et de mobilisation et Coordonnateur Adjoint chargé de l'intendance et des relations avec les partenaires
Le Secrétaire Général
Décision N°031/ENSEMBLE/SG/DBB/05/2024 du 07 MAI 2024
Portant Désignation des points focaux des activités de ENSEMBLE POUR LA REPUBLIQUE dans le MAI-NDOMBE
Le Secrétaire Général de ENSEMBLE POUR LA REPUBLIQUE,
Vu la Constitution de la République Démocratique du Congo du 18 février 2006, telle que modifiée par la Loi n° 11/002 du 20 janvier 2011, spécialement en son article 6 ;
Vu la Loi N° 04/002 du 15 mars 2004 portant Organisation et Fonctionnement des partis politiques ; Vu l'Arrêté ministériel n°25/CAB/VPM/MININTERSECAC/GKM/028/2020 du 10 novembre 2020 portant enregistrement du parti politique ENSEMBLE POUR LA REPUBLIQUE ;
Vu les statuts de ENSEMBLE POUR LA REPUBLIQUE, spécialement en ses articles 35, 57 alinéas 1, 6 et 7 ;
Vu le procès-verbal du 18 décembre 2019 portant désignation du Président National de ENSEMBLE POUR LA REPUBLIQUE ;
Vu la décision n°002/ENSEMBLE/PN/MKC/2021 du 05 avril 2021 portant nomination d'un Secrétaire Général du parti ;
Vu la décision n°003/ENSEMBLE/PN/MKC/2021 du 23 avril 2021 portant nomination des Coordonnateurs provinciaux et Coordonnateurs provinciaux adjoints du parti ; Considérant la nécessité et l’urgence ;
Décide :
Article 1er : Sont désignés Points focaux des activités préparatoires de la Convention nationale de ENSEMBLE POUR LA REPUBLIQUE dans le MAI-NDOMBE, les personnes dont les noms suivent :
-Coordonnateur : Patrick NKUMU NKUMAMBE
- Coordonnateur Adjoint chargé des questions politiques et de mobilisation : Jean-Baptiste BIONGO MBOLUKE
- Coordonnateur Adjoint chargé de l'intendance et des relations avec les partenaires : Madame Rita EBONGO MBONONGE
Article 2 : Toutes les dispositions, antérieures et contraires à la présente décision, en ce qui concerne la Coordination provinciale du MAI-NDOMBE ainsi que ses animateurs, sont suspendues.
Article 3 : La présente décision entre en vigueur à la date de sa signature.
Le Président TSHISEKEDI a annoncé le 3 mai 2024 sa volonté de réviser la Constitution ou de doter le pays d’une autre Constitution, en ces termes : «Je mettrai en place une commission qui réfléchira sereinement sur comment nous doter d’une Constitution digne de notre pays».
Les choses que nous entendions, depuis 2021, au milieu des membres de l’UDPS et selon lesquelles on disait : « nous allons changer la Constitution pour donner au Président un autre mandat » commencent à se préciser ». L’opinion est en train d’être préparée petit à petit à accepter le fait accompli.
Devant la diaspora congolaise à Bruxelles la semaine passée, le Président TSHISEKEDI a franchi un nouveau pas en parlant de la commission qui réfléchira sur comment doter le pays d’une constitution « digne ? ».
Je rappelle au Président TSHISEKEDI que la Constitution actuelle est le résultat d’un processus long et douloureux qui a vu beaucoup de congolais mourir soit par la guerre soit par les troubles sociaux et politiques. Personne n’a le droit d’oublier tout ce parcours pour ses propres intérêts de conservation du pouvoir.
En Afrique, je n’ai pas encore vu un Président de la République qui a révisé ou changé la Constitution de manière désintéressée et uniquement pour l’intérêt du pays. Je doute que l’initiative que le Président a annoncée soit dans l’intérêt du pays. Sa gouvernance du pays ne me permet pas de croire le contraire.
Je rappelle au Président TSHISEKEDI que la Constitution actuelle est la base qui permet aux congolais d’accepter les institutions actuelles, malgré les conditions dans lesquelles les élections ont été organisées en 2023, d’une part, et de s’opposer à tout autre groupe qui veut prendre le pouvoir par la force, d’autre part. Briser ce symbole de stabilité du pays, c’est livrer le pays à l’inconnu.
Le régime du Président Kabila avait révisé la Constitution en 2011, mais il n’avait pas touché aux dispositions verrouillées. Toute tentative de toucher auxdites dispositions avait mobilisé les congolais contre le régime du Président Kabila.
Toute tentative de réviser la Constitution ou de changer la Constitution en modifiant notamment le mode d’élection du Président de la République, le nombre et la durée des mandats présidentiels rencontrera la même résistance. Pareille tentative affectera la légitimité du pouvoir du Président TSHISEKEDI et la stabilité du pays.
Même au sein de sa majorité actuelle au pouvoir, il y a des gens qui ne disent rien par esprit de conserver encore pour un temps les avantages que leur donne le pouvoir, mais ils ne sont pas prêts à accepter que le Président TSHISEKEDI fasse un troisième mandat ou qu’il puisse prolonger la durée de son mandat. Les gens qui ont lâché le Président Joseph KABILA au grand jour, sans scrupules, ils lâcheront aussi le Président TSHISEKEDI de la même façon.
Révisez toutes les autres dispositions de la Constitutions, mais abstenez-vous de toucher aux dispositions verrouillées.
Prenez vraiment en compte ce conseil qui est dur, surtout quand on a déjà touché aux délices du pouvoir, mais qui est juste et vrai.
« Quand un chef ne s’entoure que des gens qui lui disent ce qu’il aime, il doit savoir qu’il est entouré des traitres ».
L’ingénieur Hubert Mamba se lance dans la course pour le Gouvernorat de la ville-province de Kinshasa. Avec un ambitieux projet de société axé sur trois piliers majeurs, cet ingénieur expert en nouvelles technologies veut redorer le blason terni et donner à la RDC la capitale qu’elle mérite. Il met sur la table un projet de gouvernance quinquennal qui touche tous les secteurs de la vie sociale pour une ville plus rénovée et urbanisée où les conditions de vie sont plus que décentes. Devant la presse, des représentants de la société civile, de l’autorité coutumière et d’autres invités de marque à l’hôtel du fleuve vendredi 19 avril dernier, le candidat gouverneur numéro 20 a présenté son projet de gouvernance bien détaillé.
Celui-ci touche notamment, la sécurité, l’urbanisation de la ville de Kinshasa, les infrastructures, la problématique du recensement de la population, l’amélioration du cadre de vie et les conditions sociales etc. et se veut un programme de désenclavement de la ville capitale.
Bien plus, développer les infrastructures de base et voies de communication, assurer la sécurité de la population kinoise et leurs biens et contribuer à l’amélioration du cadre de vie et les conditions sociales des kinoises et des kinois. Tels sont, en clair, les premières visées de ce programme.
Dans le programme “Kinshasa Engenga”, Hubert Mamba prévoit, une fois élu, de protéger et promouvoir les valeurs humaines suivantes : la liberté, la justice, la vérité et la démocratie ; la liberté de religion, de culte et d'association ; la bonne gouvernance et le leadership responsable; l'amour du prochain et l'esprit de la solidarité et la tolérance; le patriotisme, l'intégrité, le respect des biens publics et privés ; le respect du caractère sacré de la vie et de la personne humaine; l’égalité des droits et des devoirs de tous les citoyens kinois devant la loi.
En tant que gouverneur élu, Hubert Mamba compte faire du développement socio-économique et de la bonne gouvernance son cheval de bataille. C'est ainsi qu’il s’engage à le faire par la sécurisation des personnes et de leurs biens; la disponibilité et l'efficacité des services publics ; l'accès facile aux services sociaux de base de qualité; l'éradication des tracasseries fiscales et administratives ; la création d'emplois en vue de l'éradication du chômage; garantir l'existence des institutions locales fortes et stables; la réhabilitation des voies de communication dans toutes les communes et la mise en place d'une administration publique locale efficace et efficiente, garantir à tout citoyen kinois le droit d'accéder dans des conditions d'égalité aux fonctions publiques locales.
Sur le plan de la construction des infrastructures de base et voies de communication, qui constitue son premier pilier, il prévoit quelques actions phares pour redresser ce secteur.
La construction et/ou la réhabilitation des infrastructures de base fiables et de bonne qualité est vitale pour le développement de l'activité économique d'une ville.
Désenclaver les communes rurales en mettant en place un plan provincial intégré de réhabilitation et de construction des infrastructures de transports et de communication dans une approche multimodale.
La stratégie retenue dans le Programme 2024-2028 au niveau de ce secteur s'appuie principalement sur les investissements importants et ciblés dans les différents sous-secteurs d’infrastructures : Voies Terrestres, Voies fluviales navigables, Voies ferroviaires.
Au deuxième pilier, il compte imprimer une administration publique locale efficace et numérisée.
Le dernier pilier, celui de l’amélioration du cadre de vie et des conditions sociales des kinois, Huber Mamba se fixe un objectif général qui vise à :
Améliorer le taux d'accès de la population kinoise aux services sociaux de base, en vue de consolider leur cadre de vie ; Accroître le niveau de protection sociale, afin d'améliorer les conditions sociales.
Pendant son règne, l’amélioration du cadre de vie des kinoises et des kinois va reposer sur un accès amélioré aux services sociaux de base, principalement à : équipées ; Une eau potable de bonne qualité, tant en milieu urbain que rural. Ici, il compte mobiliser les ressources nécessaires en vue de l'augmentation du nombre des centres opérationnels et du taux de desserte en eau potable à 85%, la construction d'infrastructures modernes de fourniture d'eau potable tant en milieu urbain qu'en milieu rural ; le développement des nouveaux systèmes de captage, de traitement, de stockage et de distribution des eaux de pluie.
Sur le plan de l’électricité en milieu rural, Hubert Mamba s'est fixé, dans le programme 2024-2028, l’objectif d'assurer une plus grande accessibilité de toutes les couches sociales de la population kinoise en énergie fiable et non polluante, à des prix abordables.
Des prestations des soins de santé de qualité, dans des hôpitaux modernes et bien un logement décent, dans un environnement assaini et aménagé selon les règles urbanistiques modernes ; Des espaces sportifs, touristiques et culturels bien aménagés, équipés et sécurisés pour le bonheur des kinoises et des kinois ; Une éducation primaire et secondaire de qualité dans des infrastructures modernes et avec des enseignants bien formés et bien rémunérés.
Assainissement du milieu pour une ville plus propre
Le principal objectif du programme du candidat gouverneur Hubert Mamba dans le sous-secteur de l’assainissement de l’environnement sera de : Interdire l’utilisation des sachets non biodégradables ; Mettre en place un plan provincial de lutte anti-érosive ;
Procéder à la destruction de tous les marchés pirates à travers la ville; Développer un programme d'éducation à l'hygiène et à l'assainissement ; Procéder à l'évacuation des épaves des véhicules et autres engins abandonnés sur la voie publique ; et périurbains ;
Construire les collecteurs primaires, secondaires et tertiaires dans les zones urbaines ; Mettre en place le réseau de collecte, de transport et de traitement des déchets en milieu urbain. A cet effet, nous allons installer et équiper les brigades communales d’assainissement; énergétiques ; Élaborer un plan global d'assainissement de la ville de Kinshasa, en étroite collaboration avec les organisations de la société civile, les ONG et les communautés locales de bases ; Adopter les modes de production moins polluants et plus économes en ressources ; Mettre en place des réseaux d'égouts, de latrines à fosse ventilée, des fosses septiques de toilettes publiques ;
Renforcer les capacités financières, opérationnelles et techniques des services en charge de l'assainissement du milieu.
Il a touché plusieurs autres sous-secteurs dont la mise en place de grandes réformes est impérative. Il s’agit par exemple du secteur de l’habitat, l’urbanisme et foncier, celui du transport en commun, de la santé pour tous, de l’enseignement primaire et secondaire, de la formation de la nouvelle citoyenneté, du sport, de la culture, du tourisme, lutte contre le banditisme et l’activisme routier, etc.
Zoom sur Hubert Mamba
Le Candidat Gouverneur Hubert Mamba est un congolais né à Kinshasa. Il est expert en gestion, pilotage, coordination et suivi-évaluation des projets de développement, Expert en gestion et suivi de contrats, y compris les contrats de partenariat public-privé (PPP), Expert en passation des marchés publics et gestion fiduciaire, Expert en économie politiques et projets internationaux de développement, Expert en gestion axée sur les résultats des entreprises du portefeuille de l'Etat, Expert en numérique et systèmes d'information, Expert en conception, installation, et maintenance des réseaux à fibres optiques, Excellentes capacités à exprimer les idées et les concepts oralement et par écrit d'une façon claire et concise.
La NSCC averti déjà que dans les 100 premiers jours du «Gouvernement Judith Suminwa» si la situation chaotique que traverse le pays ne connait pas le début de solution durable, au lieu d’être derrière son action, la NSCC sera en face.
La « Nouvelle Société Civile Congolaise », NSCC en sigle, salue la nomination de Madame Judith Swamina Tuluka comme première ministre, une première dans l’histoire politique de la RDC. Cependant cette nomination ne devrait pas occulter les défis majeurs auxquels fait face et assiste impuissamment le peuple congolais sur le plan sécuritaire, économique et sociale. Toutes les pistes de solutions proposées et exploitées à ce jour ne semblent rien apporter dans l’amélioration du quotidien des citoyens. Les congolais brulent d’impatience de voir votre programme apporter des solutions : 1. sur le plan sécuritaire, la RDC fait face dans sa partie orientale à l’agression barbare organisée par le Rwanda et l’Ouganda avec la complicité des certaines puissances étrangères et régionales (cas du Kenya et autres) qui semblent jouer à l’hypocrisie, mais ayant un agenda de la balkanisation et de pillage des ressources naturelles du pays. Près de 7 millions de déplacés internes sans assistance humanitaire régulière, plusieurs villages et des écoles brulés hypothéquant l’avenir des enfants comme si la RDC n’avait pas un Gouvernement ; 2. sur le plan de la gouvernance économique, le détournement de denier public devenu sport national accentué par la corruption et l’impunité organisée, caractérisent la gestion de la chose publique actuelle, une économie totalement extravertie, dépendant à 90% des importations sans aucune production locale fiable et cela dans tous les secteurs de la vie nationale ; 3. sur le plan social, les fonctionnaires de l’Etat ont perdus sensiblement le pouvoir d’achat avec des salaires de misère difficilement payable, l’accès aux soins de santé primaire, à l’éducation et à l’eau potable de qualité demeurent un sérieux problème. Que dire de l’état des routes de desserte agricole et celles de centres urbains ? 4. avec la levée de moratoire sur la peine de mort avec une justice malade à en croire le magistrat suprême lors d’une de ses interventions publiques, sans réforme en profondeur, la NSCC craint le règlement de compte, la corruption, monnayage et jugement fantaisiste, surtout beaucoup des victimes risquent de se faire enregistrées dans le rang des innocents.
Le Rassemblement des Alliés de Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, RAFATT en sigle, porte étendard du leadership éclairé de son Excellence Monsieur Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, Président de la République, Chef de l’Etat, suit attentivement l’évolution de la situation politique de notre Pays, marquée en ce moment, d’une part, par le communiqué sans date précise du Front Commun pour le Congo «FCC» et le communiqué de presse du 06 avril 2024 du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie « PPRD » en rapport avec la déclaration de l’Honorable Augustin KABUYA, Secrétaire Général de l’UDPS/TSHISEKEDI, à l’endroit de Monsieur Joseph KABILA KABANGE, Président de la République Honoraire et Sénateur à vie ainsi que, d’autre part, par le discours de Monsieur Paul KAGAME, Président du Rwanda, prononcé à l’occasion du 30ème anniversaire du génocide commis dans ce Pays. Sans qu’il ne soit nécessaire d’entrer dans les détails des communiqués et du discours sus évoqués, le Rassemblement des Alliés de Felix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO déclare ce qui suit :
1. Monsieur Joseph KABILA KABANGE est un ancien Président de la République de notre pays. A ce titre, il reste Sénateur à vie. Contrairement aux communiqués du FCC et celui du PPRD, le Président de la République Honoraire et Sénateur à vie, Monsieur Joseph KABILA KABANGE devrait être politiquement oublié et ne plus servir de béquille aux ambitions politiques de ses anciens compagnons mélancoliques du FCC et du PPRD.
2. Le réveil politique tant recherché par ses anciens camarades aujourd’hui désillusionnés et irrités notamment par l’organisation réussie et dans le délai Constitutionnel, des élections générales du 20 décembre 2023 est à l’antipode du silence frisquet et assourdissant de leur ancien maitre à penser, silence qui, du reste, n’intéresse en rien le Peuple Congolais. Pour le Rassemblement des Alliés de Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, le Sénateur à vie Joseph KABILA KABANGE ayant fait son temps n’a plus besoin de fanatiques, des militants et autres agités pour exalter son bilan. L’Histoire, du reste, s’en occupe déjà. Toutefois, le RAFATT s’étonne que la plume signataire de l’Accord du 23 mars 2009, ayant livré ainsi le Pays au régime de Kigali, soit la même qui a signé le communiqué de diversion du FCC.
3. S’agissant du discours du Président Rwandais Paul KAGAME, en rapport avec le génocide dont il cherche constamment et désespérément à se dédouaner et en imputer la responsabilité à la Communauté Internationale, le RAFATT tient, ici et maintenant, à rappeler que l’élément déclencheur du génocide Rwandais d’avril 1994, déploré à bon escient par tous, est l’ignoble assassinat par le Front Patriotique Rwandais « FPR » placé sous le commandement, jusqu’à ce jour, de Monsieur Paul KAGAME, des Présidents Juvénal HABYARIMANA du Rwanda, Cyprien NTARYAMIRA du Burundi et leurs compagnons d’infortune de Haut rang, sans oublier les membres de l’équipage Français de l’avion abattu.
4. Dans ce même ordre d’idées, le Rassemblement des Alliés de Felix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO fustige l’utilisation abusive par le pouvoir de KAGAME de la tragédie du génocide Rwandais comme un fonds de commerce politique et diplomatique exerçant une pression permanente sur la Communauté Internationale, en vue de lui permettre, en complicité avec certaines puissances occidentales, de piller systématiquement les ressources naturelles de la RDC, au travers de guerres d’agression à répétition ayant entrainé le génocide de plus de 10 millions de morts des congolais innocents dans l’insouciance et l’indifférence totale de la Communauté Internationale, malgré le rapport MAPING de l’ONU quant à ce.
5. En tout état de cause, le Rassemblement des Alliés de Felix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO encourage son Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, dans son combat acharné de dénicher tous les infiltrés et les traitres ainsi que d’autres corrompus nuisibles à la Nation Congolaise afin que ceux-ci soient nettoyés et purifiés de nos Forces Armées, des Services de Sécurité et de la classe politique congolaise dans leur noble lutte pour la sauvegarde de la paix, de la sécurité et de l’intégrité du Territoire National. « SALUS POPULI SUPREMA LEX ; LE SALUT DU PEUPLE EST LA LOI SUPREME »
Fait Kinshasa, le 11/04/2024
POUR LE RAFATT
Jean Pierre LISANGA BONGANGA
Coordonnateur Président National de la Convention Chrétienne pour la Démocratie
Le Rassemblement des Alliés de Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, RAFATT en sigle, porte étendard du leadership éclairé de son Excellence Monsieur Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, Président de la République, Chef de l’Etat, suit attentivement l’évolution de la situation politique de notre Pays, marquée en ce moment, d’une part, par le communiqué sans date précise du Front Commun pour le Congo «FCC» et le communiqué de presse du 06 avril 2024 du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie « PPRD » en rapport avec la déclaration de l’Honorable Augustin KABUYA, Secrétaire Général de l’UDPS/TSHISEKEDI, à l’endroit de Monsieur Joseph KABILA KABANGE, Président de la République Honoraire et Sénateur à vie ainsi que, d’autre part, par le discours de Monsieur Paul KAGAME, Président du Rwanda, prononcé à l’occasion du 30ème anniversaire du génocide commis dans ce Pays. Sans qu’il ne soit nécessaire d’entrer dans les détails des communiqués et du discours sus évoqués, le Rassemblement des Alliés de Felix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO déclare ce qui suit :
1. Monsieur Joseph KABILA KABANGE est un ancien Président de la République de notre pays. A ce titre, il reste Sénateur à vie. Contrairement aux communiqués du FCC et celui du PPRD, le Président de la République Honoraire et Sénateur à vie, Monsieur Joseph KABILA KABANGE devrait être politiquement oublié et ne plus servir de béquille aux ambitions politiques de ses anciens compagnons mélancoliques du FCC et du PPRD.
2. Le réveil politique tant recherché par ses anciens camarades aujourd’hui désillusionnés et irrités notamment par l’organisation réussie et dans le délai Constitutionnel, des élections générales du 20 décembre 2023 est à l’antipode du silence frisquet et assourdissant de leur ancien maitre à penser, silence qui, du reste, n’intéresse en rien le Peuple Congolais. Pour le Rassemblement des Alliés de Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, le Sénateur à vie Joseph KABILA KABANGE ayant fait son temps n’a plus besoin de fanatiques, des militants et autres agités pour exalter son bilan. L’Histoire, du reste, s’en occupe déjà. Toutefois, le RAFATT s’étonne que la plume signataire de l’Accord du 23 mars 2009, ayant livré ainsi le Pays au régime de Kigali, soit la même qui a signé le communiqué de diversion du FCC.
3. S’agissant du discours du Président Rwandais Paul KAGAME, en rapport avec le génocide dont il cherche constamment et désespérément à se dédouaner et en imputer la responsabilité à la Communauté Internationale, le RAFATT tient, ici et maintenant, à rappeler que l’élément déclencheur du génocide Rwandais d’avril 1994, déploré à bon escient par tous, est l’ignoble assassinat par le Front Patriotique Rwandais « FPR » placé sous le commandement, jusqu’à ce jour, de Monsieur Paul KAGAME, des Présidents Juvénal HABYARIMANA du Rwanda, Cyprien NTARYAMIRA du Burundi et leurs compagnons d’infortune de Haut rang, sans oublier les membres de l’équipage Français de l’avion abattu.
4. Dans ce même ordre d’idées, le Rassemblement des Alliés de Felix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO fustige l’utilisation abusive par le pouvoir de KAGAME de la tragédie du génocide Rwandais comme un fonds de commerce politique et diplomatique exerçant une pression permanente sur la Communauté Internationale, en vue de lui permettre, en complicité avec certaines puissances occidentales, de piller systématiquement les ressources naturelles de la RDC, au travers de guerres d’agression à répétition ayant entrainé le génocide de plus de 10 millions de morts des congolais innocents dans l’insouciance et l’indifférence totale de la Communauté Internationale, malgré le rapport MAPING de l’ONU quant à ce.
5. En tout état de cause, le Rassemblement des Alliés de Felix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO encourage son Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, dans son combat acharné de dénicher tous les infiltrés et les traitres ainsi que d’autres corrompus nuisibles à la Nation Congolaise afin que ceux-ci soient nettoyés et purifiés de nos Forces Armées, des Services de Sécurité et de la classe politique congolaise dans leur noble lutte pour la sauvegarde de la paix, de la sécurité et de l’intégrité du Territoire National. « SALUS POPULI SUPREMA LEX ; LE SALUT DU PEUPLE EST LA LOI SUPREME »
Fait Kinshasa, le 11/04/2024
POUR LE RAFATT
Jean Pierre LISANGA BONGANGA
Coordonnateur Président National de la Convention Chrétienne pour la Démocratie
La Dynamique Agissons et Bâtissons composée notamment, des regroupements ANB et AAD-A, dirigée par Jean-Michel Sama Lukonde Kyenge, Premier Ministre sortant, est la deuxième force politique avec 47 députés nationaux élus après l’UDPS et alliés. Ce samedi 13 avril, amorçant les consultations officielles avec les regroupements politiques issus de l’Union sacrée de la Nation, la Première Ministre, Judith Suminwa Tuluka a reçu la délégation conduite par Jean-Michel Sama Lukonde.
« Nous avons discuté de la formation du Gouvernement en mettant l’accent sur le format visant à réduire le train de vie des Institutions. Nous avons également abordé le profil des personnes destinées à diriger ce gouvernement. Selon les souhaits du Président de la République et les indications de la Première Ministre, il est essentiel d’avoir des individus expérimentés, intègres, et représentatifs d’autres catégories comme celles du genre et de la jeunesse », a déclaré Jean-Michel Sama Lukonde.
La Dynamique Agissons et Bâtissons est résolument engagée à œuvrer pour la mise en œuvre du programme électoral du Président de la République, Chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi. D’où le soutien indéfectible au travail que fait la Première Ministre pour que tout se déroule avec diligence et célérité.