A quelques 9 mois des élections en République démocratique du Congo, le parti présidentiel, l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) vient de fixer les règles du jeu sur les conditions de participation de ses candidats à ces joutes électorales. Toute facilité de payer pour chaque postulant la caution est exclue. Cette décision se trouve éclaircie dans une circulaire signée lundi 20 mars par son secrétaire général, Augustin Kabuya, invitant les candidats à payer chacun sa caution du reste non-remboursable.
Et d’ajouter : “Après le retrait et le remplissage de la fiche de candidature, son dépôt à la Commission Electorale Permanente est subordonné au versement de la caution fixée en francs congolais et non remboursable”.
De ce fait, pour la députation nationale la caution est fixée à 550.000 FC, députation provinciale : 250.000 FC et l’élection municipale et communale : 45.000 FC.
Il sied de préciser que le montant de la caution n’est pas encore fixé par la CENI en attendant l’examen et adoption par le parlement de la loi sur la répartition des sièges.
Par ailleurs, le président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Denis Kadima qui vient de séjourner en France et en Belgique a eu à procéder à l’évaluation du déroulement du processus d’identification et d’enrôlement des Congolais résidant dans ces pays avant sa clôture le 21 mars 2023.
En conclusion, la CENI rassure que le 20 décembre 2023, il y aura élection. Et d’indiquer : «Nous avons un calendrier et si vous le consultez, vous aller voir que nous sommes à jour, les choses évoluent telle que prévues et nous sommes optimistes».
Emma Muntu
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L’Honorable Laurent Batumona est l’Autorité Morale de la nouvelle plateforme électorale dénommée ‘’Alliance et Action de l’Etat de droit’’. Plus de cinquante forces politiques, des dignitaires et des personnalités ont procédé, mardi 21 mars 2023, dans la matinée, à la signature de la Charte pour la réélection de Félix Tshisekedi Tshilombo au poste de Président de la République pour un deuxième mandat. Les personnalités politiques et dignitaires de la République s’accoudent sur leur longue expérience pour apporter de l’eau au moulin de Félix Tshisekedi dans sa volonté politique de revêtir la RDC de sa plus belle robe de progrès.
L’objectif, c’est la réélection de Tshisekedi Tshilombo pour lui permettre de parachever les actions sociales et de développement qu’il a déjà entamées depuis son premier mandat, soit de 2018 à 2023. Car, l’épanouissement de la population dépend du programme du développement du Pays à travers les 145 territoires que les signataires de la charte tiennent mordicus à son aboutissement pour l’intérêt de tous. Le document de ladite Charte souligne les principales missions assignées aux signataires. C’est, entre autres, l’obtention d’une majorité à l’Assemblée Nationale et au Sénat afin de donner une réponse aux problèmes de développement.
La mise en place de cette plateforme électorale dénommée ‘’Alliance et Action pour l’Etat de Droit’’ en République Démocratique du Congo tombe à point nommé selon le superviseur Laurent Batumona. Ceci, pour élaborer des stratégies électorales qui visent à la réélection de Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo à l’élection présidentielle de 2023.
La signature de cette Charte constitue, dit-il, une nouvelle étape dans le processus de développement à la base que le Président de la République a entamé depuis qu’il est au pouvoir. Après de laborieuses discussions, plus de Cinquante partis politiques, des personnalités, dignitaires de la République et du genre se sont convenus à apposer leur signature pour offrir à Félix Tshisekedi une majorité confortable au Parlement.
Toutes les parties concernées par cette Charte devront dès à présent s’entretenir collectivement autour de l’Honorable Laurent Batumona, qui supervise ‘’l’Alliance et Action pour l’Etat de Droit’’ afin de monter des stratégies électorales pour parvenir à atteindre le but qu’ils se sont fixés.
En outre, la Charte s’arrange pour avoir une écrasante majorité au sein de l’Assemblée nationale, au Sénat et avoir une mainmise sur les provinces.
Les signataires se sont convenus à se serrer les coudes dans l’amitié comme un seul homme, s’investir pour la cohésion nationale, en s’inspirant de la vision du Président Félix Tshisekedi.
A la différence de l’Union Sacré de la Nation qui œuvrait pour la promotion des actions du Président Fatshi, l’Alliance et Action pour l’Etat de Droit se charge d’une mission électorale. Plusieurs leaders de taille dans l’agora politique de la RDC sont un renfort de poids au sein d’AE pour mettre en place des stratégies efficaces en vue de la réélection de Félix Tshisekedi. Les figures de proue tel l’ancien gouverneur de la Banque Centrale du Congo, Jean-Claude Masangu, Mbelenge, Jean-Marie Elesse, Lambert Mende, Jean-Marie Bomboko, Madame Kitembo, Madame Ngalula et autres ont posé pour une photo de famille.
La Pros.
Le Congrès national africain, formation politique du héros Sud-africain Nelson Mandela et l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) décident de convoler en justes nonces. En effet, depuis quelques jours, une forte délégation des représentants de l’ANC séjourne à Kinshasa, pour passer à la phase de matérialisation de ce pacte. Ils ont été reçus par Augustin Kabuya, secrétaire général du parti au pouvoir, avec qui, ils ont longuement échangé.
Déjà, les deux formations politiques au pouvoir, respectivement l’ANC en Afrique du Sud et l’UDPS en République démocratique du Congo ont ouvert, depuis ce lundi 20 mars 2023, un atelier de trois jours dénommé ‘’école mixte UDPS-ANC’’ à Kinshasa, soit du 20 au 23 mars, dont l’objectif se révèle le partage des expériences vécues sur le plan politique.
La délégation Sud-africaine est conduite par M. David Makhura, membre du Conseil exécutif de l'ANC et Gouverneur Honoraire de la province de GAUTENG, en Afrique du Sud. Dans la délégation, se trouve aussi Mme BATHABILE DLAMINI, Membre du Conseil Exécutif de l'ANC et présidente honoraire de la ligue des femmes, mais aussi les experts des élections et campagne et le chargé des Affaires Internationales, tous membres de l'ANC.
A leur arrivée à Kinshasa, le secrétaire général de l’UDPS les a fait visiter quelques endroits mémorables de la capitale congolaise dont la place Echangeurs de Limete, à la tombe du héros national Patrice Emery Lumumba ainsi qu’au mausolée du Dr Etienne Tshisekedi Wa Mulumba, fondateur du parti au pouvoir. Augustin Kabuya a retracé à ses hôtes quelques des moments épineux qu’a passé l’UDPS durant les 37 ans de lutte dans l’opposition. « Notre histoire est vraiment complexe, explique-t-il. Nous avons connu plusieurs zones de turbulences avant d'arriver au pouvoir. Les régimes dictatoriaux qui se sont succédés avant nous, nous ont causé beaucoup de tort. Entre 2011 et 2016, nos sièges ont été régulièrement saccagés et incendiés.
Particulièrement le 19 et le 20 septembre 2016, nos militants ont été brûlés vifs ici à la permanence simplement puisqu'ils réclamaient la convocation du Corps électoral dans le délai constitutionnel, tandis que plusieurs de nos membres ont été exécutés sommairement, enterrés dans des fosses communes et mis dans des sacs pour être jetés dans les rivières. Certains ont, par ailleurs, fait l'objet de la ségrégation dans les milieux professionnels à cause de leurs origines et appartenances politiques à l'UDPS. Et, ne pouvant pas travailler dans ces conditions, la plupart d'entre eux s'étaient vus dans l'obligation de changer leurs origines pour conserver leurs jobs ou avoir des promotions (...) », a-t-il relaté.
Enfin, le numéro 1 du parti au pouvoir a conclu que « Malgré les atrocités que nous avons traversées, nous avons tout de même copié le modèle de la politique de pardon appliquée en Afrique du Sud par Nelson Mandela. Car, notre histoire tragique décrite succinctement ci-haut ne pouvait pas, en réalité, nous permettre de nous asseoir avec nos supplicier. Si donc nous devions revenir au passé, plusieurs ferons la prison ».
Fidel Songo
Pour contribuer à la cohésion nationale et au leadership du Président de la RDC, Félix-Tshisekedi dans la conduite de l’action du développement du pays, André-Alain Atundu Liongo, Président national du parti politique convention pour la démocratie et la république, CDR en sigle, a annoncé son adhésion à l’Union sacrée de la nation. C’était au cours d’une conférence de presse tenue dans l’enceinte du cercle de Kinshasa, le 20 mars dernier.
Devant les chevaliers de la plume et du micro, Alain Atundu a exprimé tout haut son désir de rejoindre la famille politique du Chef de l’Etat Félix-Antoine Tshisekedi, afin d’offrir ses services. « L’évolution de l’Etat détermine le comportement de l’homme politique en fonction des dispositions constitutionnelles de gouvernance et de sa perception individuelle de l’intérêt majeur et structurel des populations. Le développement du pays et l’épanouissement de nos populations établissent que leur intérêt majeur et bien compris réside dans le programme du développement pays à partir de 145 territoires. Une version économique et managériale de la décentralisation politique. Cette conviction profonde m’amené aujourd’hui à opter à œuvrer avec le Chef de l’Etat dans ce cadre et partant à intégrer la mouvance présidentielle à travers la structure qu’il a mise en place : l’Union sacrée de la Nation », a-t-il déclaré, avant toutefois de préciser que la cohésion nationale et la synergie d’action de tous les acteurs politiques s’imposent comme condition sine qua non pour la survie de l’Etat et pour que la voix de la République Démocratique du Congo soit discordance dans une belle production symphonique grâce à une coexistence plurielle et démocratique telle que reconnue par la Constitution.
A l’en croire, le développement du pays et l’épanouissement des populations sont conditionnés par la paix. Il a affirmé qu’il va œuvrer sous l’éminente direction du Chef de l’Etat, pour l’effectivité de son leadership par la conquête des territoires congolais occupés par les agresseurs.
Cet ancien cadre du PPRD a justifié sa décision par sa volonté de travailler aux côtés du Président Tshisekedi pour la cohésion nationale. « Je suis convaincu de travailler avec le Chef de l’Etat pour la Cohésion nationale et l’opinion sera bientôt fixée sur notre adhésion à un regroupement politique de l’Union sacrée », a-t-il déclaré.
Ronsard Malumalu, Elise Assumani et Sarah Tamfumu
*Le leadership de la femme est au centre de débats qui se déroulent actuellement dans le cadre de la journée internationale des femmes 2023 sur le thème : « Pour un monde digital inclusif : innovation et technologies pour l’égalité des sexes ». La Dynamique Virginie Lifoa Liembe (DVL) fait entendre sa voix inspirante aux femmes de la commune de Kimbanseke, district de la Tshangu sur le bien de l’adhésion de sa fondation au MSC. Avec sa ténacité et sa capacité de mobilisation. Elle draine derrière le Mouvement de Solidarité pour le Changement (MSC), des milliers des femmes pour soutenir la vision salutaire de son Autorité Morale, Laurent Batumona. Selon elle, l’Honorable Laurent Batumona incarne la conviction et le travail de terrain pour le social qu’il considère comme priorité des priorités. ‘’ Si la DVL a porté son dévolu sur le MSC, de l’honorable Laurent Batumona, la raison est que ce Parti politique au-delà de son idéologie place l’Homme au centre de son action ; ce Mouvement ainsi que son Président brillent dans le pragmatisme’’.
Les femmes de la Tshangu regroupées au sein de la Dynamique Virginie Lifoa se sont appropriées la vision de la Coordonnatrice de la DVL. Cette vision consiste à adhérer au Mouvement de Solidarité pour le Changement, en sigle MSC, de l’Honorable Laurent Batumona. A l’occasion de la cérémonie d’adhésion, qui coïncide avec le mois de la Femme, la Coordonnatrice de la Dynamique Virginie Lifoa avait sensibilisé les femmes de Kimbanseke et décideurs sur leurs droits et l’égalité pour un monde digital inclusif avec l’innovation sur le changement technologique et l’éducation à l’ère du numérique pour réaliser l’autonomisation des femmes et des filles.
En Présence de l’Autorité Morale du MSC, Laurent Batumona, la Coordinatrice de la Dynamique Virginie LIFOA a expliqué que la DVL est une Fondation d’utilité publique qui a son fief à Kimbanseke, dans le District de la Tshangu. Fixant l’opinion sur sa décision d’adhérer au MSC elle explique : ‘’La signification profonde de l’adhésion de la DVL n’est autre que de le partage des valeurs qui nous lient’’. Nous avons un dénominateur commun : l’amélioration du social de nos communautés par le biais d’une approche holistique, a-t-elle souligné. Conjointement, les deux structures mèneront des actions concrètes d’utilité publique sur terrain à travers la mutualisation des forces et des intelligences. ‘’Le District de Tshangu, a-t-elle poursuivi, a toujours été relégué au second plan. Que des promesses sur promesse ce qui n’est pas le cas avec Laurent Batumona. ‘’Si la DVL a porté son dévolu sur le MSC, la raison est que ce Parti politique au-delà de son idéologie place l’Homme au centre de son action ; le MSC ainsi que son Président brillent dans le pragmatisme.
Diriger selon des principes féministes, c’est redéfinir les concepts de valeur et de succès, bâtir une communauté et nouer des relations, et, au final, remédier aux causes de la mise en place de normes sociales qui ne peuvent pas entraver le progrès des femmes et des filles.
Elle a insisté sur le besoin d’un leadership féministe transformateur pour relever les défis sans précédent que connaît la population de Kimbanseke. « Cette transformation ne sera possible que si nous changeons notre manière de prendre des décisions, de communiquer avec nos téléphones et à travers l’inclusion et la participation, notamment des femmes défavorisées et de celles qui sont souvent sans voix. » Selon elle, un leader féministe reconnaît que toutes les femmes et tous les hommes méritent, à chances égales, de poursuivre une vie qui épanouie et de mettre en place des structures visant à aider les autres, à réaliser leur potentiel et à provoquer un véritable changement », a soutenu la Coordinatrice de DVL.
Faire entendre les voix des femmes afin d’améliorer leur situation
La cérémonie d’adhésion de DVL au MSC constitue en effet pour beaucoup de femmes une opportunité d’échanger sur les questions de société et surtout d’examiner le pas franchi avec le Parti cher de l’Honorable le Mouvement de Solidarité pour le Changement dans le domaine de la promotion des femmes et autres. Il s’agit aussi d’analyser les atouts et les obstacles afin de les contourner, pour aboutir à l’émergence effective de la femme dans la commune de Kimbanseke. La cérémonie a permis également de se prononcer en particulier sur le soutien des actions du Président de la République dans le processus électoral de 2023. Pour la Coordinatrice de la DVL, Virginie Lifoa Liembe a fait un plaidoyer pour améliorer les conditions socio-économiques pour la Tshangu. Elle a attiré l’attention sur la participation des femmes congolaises au destin commun de la RDC.
Présent à la cérémonie, l’Autorité Morale du MSC Laurent Batumona a délivré un message aux femmes de la DVL. Il a insisté sur le soutien à 100% de la candidature de Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo pour lui accorder un deuxième mandat. L’Honorable Laurent Batumona a, ensuite, salué les femmes de la Tshangu pour « les actes de courage et de détermination qu’elles accomplissent au quotidien, notamment en matière de recherche de la paix, de réconciliation nationale et surtout de cohésion sociale ». Il a invité la plus haute autorité provinciale de Kinshasa à accorder davantage l’attention à l’amélioration du sort des femmes en réhabilitant les infrastructures routières, et de services tels la Regideso et la Snel. Une manière d’inviter les plus hautes autorités du pays à mettre en place des politiques favorables à l’épanouissement des femmes.
La Pros.
La Force du changement (FDC), parti politique cher à Noël Tshiani, a battu le pavé le 17 mars dernier pour demander à l’Assemblée nationale d’aligner, pour débat et vote, la Loi Tshiani, au cours de cette session de mars 2023. Cette loi portée par le député national Nsingi Pululu, a pour but de protéger la République Démocratique du Congo contre les infiltrations au sommet de l’Etat et dans certaines fonctions de souveraineté nationale, d’après son initiateur, Noël Tshiani.
«A la suite de la marche de souveraineté que nous avons organisée ce 17 mars pour demander à l’Assemblée nationale d’aligner, pour débat et vote pendant cette session, la proposition de la loi Tshiani. C’est pour informer la communauté tant nationale qu’internationale que nous sommes pour la souveraineté nationale, l’intégrité territoriale, l’unité nationale, le développement économique et social, dire non au tribalisme, au racisme et à la balkanisation planifiée de notre très cher et beau Pays. Le peuple congolais en un seul, vous adresse le mémorandum que je vous prie de trouver en annexe à la présente», soutient celui que l’on surnomme de père et de mère, au sommaire de son initiative.
Poursuivant sa démarche, le professeur Tshiani a lancé un appel interpellateur au nom du peuple congolais sur les personnes malveillantes qui ne cessent de convoiter les richesses de la RD. Congo. «Nous, peuple congolais, soucieux de la sécurité et de la protection de l’ensemble du territoire congolais où l’idée de la Balkanisation demeure un projet par ceux qui ne cessent de convoiter son immense richesse, sa grandeur d’un pays continent et ses diverses cultures (…), nous demandons aux pays étrangers et leurs groupes de lobbyistes de ne pas s’immiscer dans les affaires intérieures de la République Démocratique du Congo en cherchant à nous imposer des dirigeants qui seraient à leur solde et travailleraient contre les intérêts supérieurs du peuple souverain. Disons non au tribalisme, au racisme, à la xénophobe et la balkanisation planifiée», peut-on lire encore.
D’après lui : « Nous sommes pour la coopération gagnant-gagnant avec tous les pays étrangers et toutes les institutions internationales bilatérale et multilatérale qui veulent sincèrement participer à nos efforts de développement pour le bénéfice de nos populations appauvries et clochardisées depuis des décennies ».
Pour finir, ce dernier a convié les honorables députés nationaux et sénateurs à prendre leurs responsabilités en tant que représentants légitimes du peuple souverain pour sauver le pays contre ces infiltrations, « mobilisons-nous tous pour défendre la terre de nos ancêtres en protégeant la souveraineté nationale et l’intégrité territoriale de la République Démocratique du Congo », insiste-t-il.
Israël Boma
‘’La RDC rattrapera ainsi, en une décennie, son retard de six dernières décennies dans le domaine des infrastructures de base, en affectant à cette rubrique 20% de ses rentrées fiscales de la période (2024-2035)’’, affirme-t-il. ‘’Le coût global de la construction et du développement de la RDC de notre projet s’inscrit dans un plan global de 30 ans. Le budget de la première décennie comprend le coût du plan décennal de la construction et celui des réformes qui l’accompagnent. Les diverses sources de financement du plan et des réformes (y compris externes) font partie du projet de notre offre. Ladite offre, en cours d’élaboration au contact avec les forces sociales, sera déclinée et exposée au fur et à mesure’’, annonce-t-il.
‘’Selon les calculs et les premières hypothèses retenues dans notre offre politique, en cours d’élaboration, la décennie prochaine (2024-2035) sera celle de la libération et du réveil du Géant Congo, sous réserve de l’application des réformes essentielles que nous préconisons. Ayant franchi son seuil de souveraineté budgétaire de 10 milliards $US en ressources propres, l’Etat Congolais présente des perspectives de réalisation au courant des années prochaines, de deux fois plus de ressources budgétaires en une décennie, soit 165 milliards $US, comparées à celles de six dernières décennies de notre indépendance, soit 82 milliards $US (1961-2020)’’, précise-t-il.
A l’en croire, ‘’la RDC rattrapera ainsi, en une décennie, son retard de six dernières décennies dans le domaine des infrastructures de base, en affectant à cette rubrique 20% de ses rentrées fiscales de la période (2024-2035).
‘’Notre prospective, en partant des données actuelles du cadrage macroéconomique 2023 du Gouvernement, repose sur une double hypothèse, peu ambitieuse dans un premier temps, d’un taux de croissance annuel moyen de 7% pour la période et d’une pression fiscale de 17,5% sur le PIB’’.
Le coût global de la construction et du développement de la RDC de notre projet s’inscrit dans un plan global de 30 ans’’, renchérit-il.
LPM
Annonce du projet d’offre politique d’Adolphe Muzito et du Nouvel Elan
ELECTIONS 2023
DOC. 1
Selon les calculs et les premières hypothèses retenues dans notre offre politique, en cours d’élaboration, la décennie prochaine (2024-2035) sera celle de la libération et du réveil du Géant Congo, sous réserve de l’application des réformes essentielles que nous préconisons. Ayant franchi son seuil de souveraineté budgétaire de 10 milliards $US en ressources propres, l’Etat Congolais présente des perspectives de réalisation au courant des années prochaines, de deux fois plus de ressources budgétaires en une décennie, soit 165 milliards $US, comparées à celles de six dernières décennies de notre indépendance, soit 82 milliards $US (1961-2020).
La RDC rattrapera ainsi, en une décennie, son retard de six dernières décennies dans le domaine des infrastructures de base, en affectant à cette rubrique 20% de ses rentrées fiscales de la période (2024-2035).
Notre prospective, en partant des données actuelles du cadrage macroéconomique 2023 du Gouvernement, repose sur une double hypothèse, peu ambitieuse dans un premier temps, d’un taux de croissance annuel moyen de 7% pour la période et d’une pression fiscale de 17,5% sur le PIB.
Le coût global de la construction et du développement de la RDC de notre projet s’inscrit dans un plan global de 30 ans.
Le budget de la première décennie comprend le coût du plan décennal de la construction et celui des réformes qui l’accompagnent.
Les diverses sources de financement du plan et des réformes (y compris externes) font partie du projet de notre offre. Ladite offre, en cours d’élaboration au contact avec les forces sociales, sera déclinée et exposée au fur et à mesure.
Fait à Kinshasa, le 20 mars 2023
Pour le Nouvel Elan,
Adolphe MUZITO
*Ancien Député National, Ancien Vice-Ministre des Affaires Etrangères et actuel Vice- Président du Regroupement Politique Le Centre, Yves Kisombe passe, ici, à l’analyse, l’action de l’actuel Gouvernement placé sous la férule de Jean-Michel Sama Lukonde Kyenge, depuis plus de deux ans.
L’Honorable Laurent Batumona a célébré la Journée internationale de la Femme avec les mamans de Kinsuka, dans la commune de Mont-Ngafula. A l’initiative de l’Asbl La Génération Jean-Pierre Muanda, cette Journée a pris une nouvelle dimension avec le Mouvement de Solidarité pour le Changement. Les femmes qui vendaient à même le sol leurs marchandises ont été honorées par l’Honorable Laurent Batumona qui leur a offert un marché avec des étalages construit sur fonds propres du MSC à travers la Génération Jean-Pierre Muanda. Après avoir communié avec ces mamans de Kinsuka, son cortège s’est ébranlé vers le Camp Luka où il a assisté à une cérémonie d’adhésion populaire à laquelle Monique Sekana Mbombo a acheté sa carte de Membre du MSC à mille dollars américains.
Le Mouvement de Solidarité pour le Changement met l’accent tout particulier sur la promotion et la croissance en faveur des femmes, pour faire de cette commémoration, un point de ralliement et de soutien en faveur des droits et la participation des femmes à la vie politique et économique, a clarifié l’Honorable Batumona.
S’inspirant du thème retenu cette année par la RDC, à savoir : ‹‹ Education Numérique Egalitaire pour la Paix et l’autonomisation des femmes et filles en RDC ››, il a recommandé aux mamans de Kinsuka de réfléchir sur les conditions de vente et les performances de Jean-Pierre Muanda qui déploie les efforts dans le cadre de la vision sociale du MSC en vue de construire un marché qui permet aujourd’hui de vendre proprement en mieux communiquant avec les autres.
‘’L’inauguration de ce petit marché moderne, initié par le dignitaire de Mbudi ; Jean-Pierre Muanda, attend la validation de l’Autorité provinciale de la Ville province de Kinshasa pour qu’il soit ouvert au public’’.
Dans leurs doléances, les femmes de Kinsuka ont demandé à l’Autorité Morale du MSC d’être leur porte-parole auprès du Président de la République, Félix Antoine Tshilombo, en ce qui concerne la modernisation de la route de caravane qui relie Mbudi, Kinsuka et Lutendele qui désengorge la route de Matadi afin de leur permettre la mobilité.
Elles n’ont pas oublié, non plus, de plaider pour l’électrification, l’insécurité avec les kulunas et les menaces des érosions.
L’Honorable Laurent Batumona a insisté sur l’importance de la promesse du Président Félix concernant les infrastructures routières. C’est chose faite ici à Mbudi.
‘’Un aspect à prendre en compte dans tous les aspects de la consolidation de la paix, du programme social dont l’épanouissement de tous sera le fruit d’un engagement du personnel du Chef de l’Etat, collectif des hommes et des femmes, vivant en société, pour construire la RDC’’. C’est à niveau qu’il a rappelé, par ailleurs, les échéances électorales où il recommande à soutenir Fatshi pour son deuxième mandat pour parachever, c’est qu’il a commencé de faire.
Camp Luka Monique Sekana Mbombo achète sa carte du MSC à Mille dollars
‘’Je suis très heureuse d’appartenir au Mouvement de Solidarité pour le Changement. Un parti dont le leader est connu d’un homme visionnaire et sincère, Laurent Batumona ’’, a témoigné Mme Monique Sekana.
Cet acte a permis une adhésion populaire de près de sept cent nouveaux adhérents au MSC. Ceci prouve qu’on accorde une grande importance au MSC.
‘’Nous nous engageons désormais à accompagner l’Honorable Batumona dans sa vision de faire du sociale la ‘’priorité des priorités’’. Devant une foule nombreuse, l’Histoire retiendra que le MSC demande aux femmes congolaises de prendre leur place dans la société. ‘’Le MSC a lancé une campagne d’armement patriotique ou nous appelons les jeunes filles et garçons à s’enrôler dans l’armée pour que demain, ils deviennent des hauts gradés’’, a-t-il conclu.
La Pros.
Le Leader du parti Nouvel Elan poursuit son itinérance dans le Grand Bandundu. Plus rien, ni les intempéries, ni les yeux rougis de ses détracteurs visibles et invisibles, n’a su l’arrêter en si bon chemin. Après Bulungu, Gungu, Kikwit, Idiofa, Adolphe Muzito, Mfumumpa pour les intimes, séjourne, depuis mercredi 15 mars 2023, à Bandundu-ville, chef-lieu de la province du Kwilu. A son arrivée, il a été accueilli par une foule en liesse que nul ne pouvait dénombrer à vue d’œil.
Une entrée triomphale pour ce Leader politique et l’un des pionniers de Lamuka qui foulait là, pour une énième fois, le sol de Banning-ville, après ses multiples descentes initiées dans le Grand Bandundu, pour calmer les esprits durant la triste période du supposé conflit Teke-Yaka, à Kwamouth précisément. Devant la population venue à sa rencontre, le Géniteur du Nouvel Elan a indiqué que sa présence dans cette partie du pays répond à un besoin essentiel de mettre en place une offre politique inspirée du vécu quotidien du peuple congolais. Il a fait part à son auditoire de son ambition de porter les aspirations du souverain primaire lors des joutes électorales qui se pointent à l’horizon. Cela étant, il a appelé toutes les couches sociales de la population à ne pas hésiter à prendre, dès ce week-end même, à l’Université populaire, sa tribune d’expression libre, canal par lequel il entend ramasser les avis et suggestions de la base pour mettre en place un projet de société tiré du concret.
«Avant de mettre en place mon offre politique, je voudrais recueillir les avis et suggestions des populations, toutes catégories confondues. Enseignants, Chefs de terre et notables, société civile dans sa diversité, les syndicats des travailleurs. Pour puiser les meilleures stratégies que je vais inclure dans mon programme… Comme vous le savez, par le passé, des politiciens ont formulé des promesses sans avoir des éléments concrets de terrain. C’est pourquoi, avant de diriger ce pays, avant les élections, je dois avoir un programme. J’estime que je dois avoir des éléments qui puissent correspondre à vos besoins», a lancé le Premier ministre honoraire devant des milliers de congolais.
La Pros.