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Elections 2023, l’élue de la N’sele s’est acquittée de son devoir civique, MSC : l’Honorable Frida Munshy mieux outillée pour donner un deuxième mandat à Félix Tshisekedi

L’Honorable Frida Munshy est en ordre de bataille pour les élections 2023. Elle mobilise pour un deuxième mandat de Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo. Lors de son enrôlement pour l’obtention de sa carte d’électeur et d’identification dans la commune de la N’sele, son fief électoral, elle a apporté un message important aux potentiels électeurs du Mouvement de Solidarité pour le Changement (MSC), de Laurent Batumona, le Conquérant, en particulier, et à la population de manière générale. Elle vise la participation accrue des femmes dans les institutions, à travers les élections de 2023. Avec l’obtention de sa carte d’électeur et la foule impacte qui l’a accompagné, composée des Associations et personnalités, l’Honorable Frida Munshy s’est dite mieux outillée pour faire face aux défis qui les attendent sur l’échiquier politique congolais. Par ailleurs, elle a salué les efforts de l’Honorable Laurent Batumona qui ne cesse d’encourager la participation massive de la femme aux prochaines élections.
C’est du moins son point de vue. « Loin d’être un simple acte pour remplir un devoir civique, cette démarche est une prise de consciente sur le rôle de la femme du MSC de voter pour être dans les instances de prises de décisions. Nous sommes engagés à relever les défis de l’atteinte des objectifs du Mouvement de Solidarité pour le Changement. A partir de ce moment nous, femmes politiques du MSC, nous nous engageons à participer pleinement dans tous les aspects du processus électoral et des organes politiques, à savoir : poser nos candidatures à des postes politiques et participer de façon significative dans tous les aspects des sphères civiques et politiques », a-t-elle exprimé.
L’engouement et l’effervescence ont enregistré la même densité dès son arrivée jusqu’au centre d’enrôlement. A l’intérieur de la salle, Frida Munshyest passée par toutes les étapes pour obtenir sa nouvelle carte d’électeur. La joie s’est dessinée sur son visage, elle a désormais la pièce de décision sur l’avenir de son pays.
Répondant à une question d’un journaliste qui voulait savoir pourquoi Frida Munshy s’est enrôlée à l’école Belone de Bibua. Cette dernière a répondu en ce terme : « La charité bien ordonnée commence par soi-même, Tshangu c’est mon fief, j’ai grandi à Tshangu, c’est ici que j’exerce mes activités pour soutenir mes compatriotes. J’ai décidé de m’enrôler dans cette commune pour donner l’exemple aux autres’’.
En effet, c’est le samedi 25 février à la mi-journée, que l’impatience ne cessait de monter depuis des semaines à Tshangu où la population attendait pour voir celle que l’on appelle maman sociale. Quand le coup de sifflet a confirmé l’arrivée de l’Honorable Frida Munshy à Bibua, c’est tout Tshangu qui s’est mobilisé comme un seul pour l’accueillir et l’accompagner au centre d’enrôlement pour l’obtention de sa carte d’enrôlement et d’identification pour la bataille de la conquête du pouvoir. Cet exercice citoyen s’est achevé avec la présentation de la carte d’électeur pour les élections de 2023 par lequel Frida Munshya reconnu la voie qui va conduire au deuxième mandat de Félix Tshisekedi.
La femme du social a encore dévoilé son cœur généreux, sa communion fraternelle en se plongeant dans la marée humaine qui l’attendait pour une marche de plus de 5 kms jusqu’au partage d’un peu de limonade.
Frida Munshy a témoigné sa grandeur et sa popularité à Tshangu.
La Pros.

 

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Ciel politique brumeux, RDC : le FCC exige la suspension immédiate du processus électoral !

*‘’Au regard de toutes ces irrégularités, le FCC estime que le processus électoral en cours est totalement corrompu. Par conséquent, il exige sa suspension immédiate. Le FCC a rappelé que la Constitution de la RDC stipule clairement que chaque congolais ayant atteint l'âge requis, a le droit de participer aux élections et de choisir ses dirigeants.

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Pressions et sanctions sévères contre le RwandaRDC : Tshisekedi invite Macron à passer aux actes !

Il était houleux. Au-delà de la traditionnelle conférence de presse, c’est fut là, en direct sur les antennes de la Radiotélévision Nationale Congolaise, un véritable débat contradictoire entre Félix Tshisekedi, Président de la RD. Congo, et Emmanuel Macron, Président Français, dans le cadre de son premier séjour en terre congolaise.

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Situation sécuritaire en RDC : Martin Fayulu réitère son opposition à la présence des forces de l’EAC à l’Est

Le Coordonnateur de la plateforme Lamuka et président de l’ECIDé, Martin Fayulu, qui était devant la presse, ce jeudi 2 mars 2023, est revenu sur l’épineuse question de la sécurité dans la partie orientale de la République démocratique du Congo. Le ‘’ président élu’’ s’oppose farouchement à la présence des troupes de l’EAC sur le sol congolais et appelle, à cet effet, à une marche de résistance le 11 mars prochain à Kinshasa et sur toute l’étendue du pays.
Dans son allocution devant la presse, l’ancien candidat président de la RDC accuse le régime en place d’être à la base de ce qui se passe à l’Est du pays. Il confirme qu’au ‘’regard du comportement de ceux qui dirigent le pays par défi, ce qui se passe en RDC

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Elections et alternance politique en RDC : 500 nouveaux Députés Nationaux à élire, 2023 : le Peuple au pouvoir

*L’objectif est d’assainir et renouveler entièrement la classe politique congolaise.La Plateforme Patriotique PEUPLE SOUVERAIN (P3S) voudrait réunir 500 candidatures de députés nationaux et les financer à raison de 30.000 dollars chacune. Soit un total de 15 millions de dollars pour les campagnes sur terrain dans chaque circonscription.A cela s’ajoutera un budget de 3 millions de dollars pour une campagne commune coordonnée par le Bureau Politique de la plateforme.

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Elections 2023 : Silence de Kabila, boycott ou aveu du non-retour !

L’ancien Chef de l’Etat et Sénateur à vie Joseph Kabila continue de faire durer le suspense quant à sa participation ou non aux prochaines élections prévues en décembre de l’année en cours. «Shina Rambo», comme l’appellent affectueusement ses adulateurs et sympathisants, reste campé sur son élan de silence ne laissant aucun indice révélateur sur sa position au processus électoral mené par le bureau Kadima.
Depuis son départ de la magistrature suprême, l’homme de Kingakati a décidé de rester indifférent et/ou silencieux aux questions touchant à la vie nationale.
Alors que le processus électoral se poursuit, personne jusqu’ici ne sait si le quatrième président de la République Démocratique du Congo s’est fait enrôler. Peut-être discrètement qui sait ? Sinon aucun signal de radar n’a été fait par ses proches sur son probable enrôlement en prévision de joutes électorales qui pointent à l’horizon. Un tableau qui présage sa mise à l’écart de la scène politico-congolaise pour des raisons que personne ne saurait expliquer à ce stade.
De temps en temps, c’est plutôt son épouse, Olive Lembe qui critique sévèrement la gestion du pays telle qu’imprimée par le successeur de son époux.
Ceci, laissant entendre qu’elle réagirait sous couvert de ce dernier qui a pris l’option de s’effacer du microcosme politique congolais soutiennent certains observateurs avertis.
Pendant ce temps, certains caciques du PPRD, son parti politique, ne jurent que par sa candidature à la présidentielle sanctionnée de son élection pour sortir le pays du gouffre dans lequel il s’enfonce.
Cependant, le régime en place, par l’entremise de ses ténors, reste confiant quant au non-retour de Joseph Kabila au palais de la nation, indiquant qu’aucune raison ne peut redonner à la majorité des « congolais » cette envie de remettre l’ancien président aux affaires. Le débat divise également les juristes Pro Tshisekedi et Pro Kabila sur une disposition constitutionnelle pouvant autoriser l’autorité morale de l’ancien parti présidentiel de se représenter aux prochains scrutins. S’appuyant sur la constitution, certains cadres de l’UDPS, actuelle mouvance présidentielle affirment que le débat a clairement été tranché sur cette question, Joseph Kabila pour avoir épuisé ses deux mandats est, et restera sénateur à vie.
Une position que réfutent les hommes en toge qui défendent la cause du successeur de Mzee Laurent Désiré Kabila.
A les en croire, aucune disposition constitutionnelle n’empêche non plus à Joseph Kabila d’envisager son come-back au sommet de l’Etat. Les textes sont restés muets sur cette question. Ce qui n’est pas interdit par loi est permis, réagissent-ils.
Une chose est sûre que ces divergences de points de vue sur une probable candidature de Joseph Kabila sont loin de se terminer. Seul le temps en sait quelque chose sur ce qui se tramerait dans la tête de l’unique ancien président de la République en vie sur ses ambitions politiques après la débâcle inattendue de 2019.
La démarche du PPRD et du FCC, respectivement son parti et plateforme politique allant dans le sens de ne pas prendre part aux échéances électorales sous le bureau Kadima, pour des raisons de planification d’un hold-up électoral en faveur de Félix Tshisekedi semble ne pas être suffisant pour en savoir un peu plus sur ce qui taraude l’esprit de «JKK» quant à son avenir politique en RDC, soutiennent certains chroniqueurs politiques.
Ces derniers décryptent plutôt un silence énigmatique du moment où le processus électoral, précisément l’enrôlement des potentiels candidats et électeurs n’est pas arrivé à terme. L’homme, qui reste imprévisible pourra resurgir pour déjouer les attentes de ceux qui ne le voient plus revenir et se dresser comme challenger de taille face à Tshisekedi.
Seule la cour constitutionnelle, dans ce cas, sera habilitée à interpréter les dispositions de la loi fondamentale sur son éligibilité ou non aux prochains scrutins.
Junior Gradel Ika

 

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UDPS : Augustin Kabuya étend jusqu’à 145, le nombre des fédérations du parti à travers le pays

La décision a été rendue publique par le service de communication du parti, à l’issue d’un colloque tenu en début de la semaine à Kinshasa. Le parti comptait, jusqu’à cette décision, 68 fédérations sur toute l’étendue du pays. Selon Simon Adrien Kalenga, secrétaire national en charge de la communication et médias de ce parti présidentiel, la décision intervient comme une nouvelle politique de proximité avec la base, comme il a été décidé dernièrement au cours des assises de Kisantu.
«Vous comprendrez que, la présente configuration est réalisée dans le souci d’entretenir une bonne gestion des élections parce que nos fédérations doivent avoisiner les circonscriptions électorales. Ainsi donc, pour une bonne gestion de nos candidats dans chaque circonscription électorale, le parti a décidé que cette responsabilité revienne à une fédération. C’est donc là un aménagement technique et politique dans le but de préparer le parti à ses responsabilités futures », a fixé le secrétaire national en charge de la Communication et Médias et porte-parole de l’UDPS.
Par ailleurs, les assises de Kisantu ont concédé à Augustin Kabuya, secrétaire général de l’UDPS le plein pouvoir de décider en tant que président du parti. C’est ainsi que l’Union pour la démocratie et le progrès social passe de 68 fédérations à 145 fédérations en raison de 145 territoires que compte le pays. En plus de cela, précise-t-on, chaque ville va comporter une, deux ou plusieurs fédérations selon sa taille ou son étendue. C’est le cas, ‘’par exemple, de Lubumbashi qui avait au départ une seule fédération mais qui se retrouve au jour d’aujourd’hui avec 3 fédérations’’.
« Notre parti comportait environ 68 fédérations intérieures. Mais pour besoins d’organisation et de préparation du parti aux échéances politiques électorales qui arrivent, il a été convenu, à la fin de l’atelier de réflexion de Kisantu, d’améliorer la cartographie de nos fédérations de manière à les rapprocher davantage de la base du parti. Ce qui fait que certaines fédérations qui étaient des grandes étendues ont été ramenées à des proportions plus réduites dans le sens que chaque subdivision territoriale corresponde désormais à une fédération » a signifié le porte-parole du parti, avant d’ajouter :
« Et comme vous le savez, l’administration de notre pays compte 145 territoires. Ce qui convient à dire que le nombre de nos fédérations passent ainsi de 68 à 145. À cela, il faut aussi ajouter les villes. Car, il y a des villes qui, jadis, n’étaient pas des fédérations mais qui les sont maintenant. C’est-à-dire qu’au nombre des territoires, il faut ajouter des villes »
Nomination des présidents fédéraux
Par la même occasion, l’on a procédé à la lecture des arrêtés nommant les nouveaux membres des comités fédéraux dans certaines fédérations, notamment dans les territoires et villes de : Kongo Central, Sud Ubangi, Maï-Ndombe, Haut Katanga, Tshopo, Haut Uélé, Bas Uélé, Haut Lomami, Ituri et Kwango. Sinon, la deuxième vague de nomination aura lieu d’ici peu, a précisé porte-parole.
Fidel Songo

UDPS : Augustin Kabuya étend jusqu’à 145, le nombre des fédérations du parti à travers le pays
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Processus électoral , RDC : Olengankoy appelle à la tripartite CNSA-GOUVERNEMENT-CENI

De fil en aiguille, Denis Kadima semble gagner le pari de la tenue des élections en République démocratique du Congo dans le délai constitutionnel, soit au 20 décembre prochain. A en croire la rapporteur de la Ceni, le nombre d’enrôlés est estimé à plus ou moins 25 millions, soit plus de 51% des personnes attendues. Le nombre d’enrôlés hommes est, quant à lui, estimé à plus de 13 millions et celui des femmes à plus ou moins 12 millions. Ce nombre prend en compte les trois aires opérationnelles. A noter que l’enrôlement a été prolongé de 15 jours dans l’aire opérationnelle 2 qui comprend l’espace Grand Katanga et l’espace Grand Kasaï, la Belgique, l’Afrique du Sud et la France.
Quant à l’aire opérationnelle 3 qui comprend l’espace grand Kivu, la Grande orientale, les États-Unis et le Canada, les opérations ont été lancées il y a peu et se déroulent plutôt bien, assure la Ceni. Toutefois, il y a trois territoires du Nord-Kivu où la CENI ne s’est pas encore déployée suite à l’insécurité causée par le M23.
Ce tableau élogieux peint par la Centrale électorale, contraste avec ce regain de pessimisme affiché par le Conseil national de suivi de l’Accord et du processus électoral (CNSA), cette autre institution citoyenne d’appui à la démocratie. Le communiqué du 28 février du CNSA publié à l’issue de sa session hebdomadaire, fait état du regret de Joseph Olenghankoy qui note des violations flagrantes des lois liées au processus électoral. Ce, depuis la publication du calendrier électoral par la CENI.
En sa qualité de président de cette institution citoyenne, Olenghankoy pense que le processus électoral vire vers le chaos si tous les partenaires ne se retrouvent pas autour d’une table pour s’accorder sur l’essentiel. Pour lui, la découverte des kits d’enrôlement, des cartes d’électeurs et des fiches d’enrôlement vierges auprès des privés font partie des incidents, d’après l’institution, qui créent une inquiétude sur la crédibilité du processus.
A cela s’ajoutent : “le dysfonctionnement de certains centres d’inscription et l’existence de centres d’inscription fictifs, ainsi que les violences physiques orchestrées par des milices des partis politiques de tous bords observées dans certains centres d’inscription des électeurs”.
En vue de corriger le processus, le CNSA recommande au gouvernement la reprise de la tenue des tripartites CNSA- Gouvernement-CENI conformément à l’article 6 point 2 de la loi organique nº18/023 du 13 novembre 2018 portant institution, organisation et fonctionnement du CNSA.
La disposition stipule que le CNSA doit réaliser des évaluations régulières du processus électoral au moins une fois tous les deux mois avec la CENI et le gouvernement. La même législation, a-t-on déclaré, donne le pouvoir au CNSA de communiquer la vérité sur le processus électoral.
D’après la correspondance qui porte la signature de Joseph Olenghankoy, l’objectif est d’assurer la transparence du processus électoral au risque de servir de germe à une guerre civile.
Diomi Ndongala aussi
Président de la Démocratie chrétienne (DC), Eugène Diomi Ndongala pense aussi à sa manière que “les élections ne sont pas une fin en soi… un citoyen avec un pistolet pointé à la tête ne peut pas faire des choix démocratiques”. Il propose de mettre en place un gouvernement de combat, entièrement dédié à la reconquête territoriale.
Et d’insister : “Ce n’est plus question de réaménager l’actuel exécutif. Il faut des hommes crédibles, guidés par un chef de gouvernement proactif. Ces nouveaux ministres doivent être capables d’insuffler à nos troupes la conviction qu’on peut gagner”.
«Ou carrément, soutient ce leader Ne-Kongo, si nous ne voulons pas ou n’arrivons pas à combattre, c’est la négociation, comme les députés du Nord-Kivu viennent de demander, dans une lettre ouverte au Président de la République”.
Curieusement, les voix s’élèvent pour s’opposer aux élections au moment où le processus a atteint sa vitesse de croisière. L’option du dialogue évoquée par certains opérateurs politiques, a été rejetée par la majorité de la classe politique. La RDC est appelée à respecter ce troisième cycle électoral pour permettre au système de s’incruster à jamais dans les mœurs politiques congolaises.
Emma Muntu

 

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Insécurité à l’Est de la RDC , Lutu Mabangu Junior : « Quand on ne soutient pas le Chef de l’Etat, on l'affaiblit, on affaiblit le pays et l'armée »

Lors de son passage, le week-end dernier, dans l'émission Forum des Médias sur les antennes de la RTNC2, M. Junior Lutu Mabangu, conseiller de Mme Chantal Mulop en charge de la jeunesse, lutte contre les violences faites à la femme et la jeune fille et lutte contre la traite des êtres humains n'a pas donné sa langue au chat au sujet du Président Rwandais, Paul Kagame, et de la situation sécuritaire criante dans la partie Est de la RDC.
« Le Congo n'existe plus, c'est le drame, c'est-à-dire, on est dans les émotions.

Insécurité à l’Est de la RDC , Lutu Mabangu Junior : « Quand on ne soutient pas le Chef de l’Etat, on l'affaiblit, on affaiblit le pays et l'armée »
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