Dépôt des candidatures à l’Assemblée Nationale, Les Bâtisseurs du Congo de Jacques Djoli en ordre de bataille

A l’esplanade du Palais du peuple de Kinshasa, une foule immense s’était présentée ce lundi 13 mai 2024 sous le label de différents regroupements et partis politiques. Des  foules à la solde des candidats à l’élection du Bureau de l’Assemblée Nationale étaient massées le long de l’avenue des huileries arborant l’effigie de leurs leaders.

Dans une clameur publique, les Bâtisseurs du Congo ont fait une entrée fracassante avec des tambours, chantant à l’honneur de l’honorable Jacques Djoli. Des encouragements pour pousser leur leader d’aller de l’avant. On pouvait lire sur les calicots portés par ces Bâtisseurs « Rien et alors rien ne peut te faire peur, car tu es la destinée  de l’Eternel, le choix du peuple».

Le président fédéral de Funa, Freddie Michel Kanga, a démontré, pour la circonstance, que la vision politique de Jacques Djoli pour les Bâtisseurs du Congo, est  que cette constitution de 2006  puisse être  adaptée par rapport à la réalité actuelle. La RD Congo n’est plus un Etat normal, elle doit être refondée. D’où, la nécessité d’un Congo moderne.

Le fédéral Freddie Michel Kanga a souhaité la refondation du Congo par l’entremise de son président national Jacques Djoli qui veut le poste de Rapporteur de l’Assemblée Nationale. A la dernière législature, ce leader des Bâtisseurs a fait preuve d’une gestion orthodoxe à l’Assemblée Nationale car n’étant pas issu d’une génération spontanée. Par contre, il prouve ses capacités en tant que professeur ordinaire des universités en République démocratique du Congo.

Freddie Michel Kanga demande à tout Congolais et député qui aspirent au changement de ce pays de revoir la loi fondamentale à son article 51 pour comprendre la nécessité de la revisiter. Le président fédéral demande aux députés de faire un choix judicieux, de voter l’homme qu’il faut à la place qu’il faut sans tenir compte des affinités politiques, tribales et surtout lutter contre le népotisme, a-t-il conclu.

Michel Okaso