C’est une figure à ne plus présenter. Elle, c’est Jeanine Mabunda, Présidente honoraire de l’Assemblée Nationale, qui s’affirme, aujourd’hui, comme une voix influente pour l’entrepreneuriat en Afrique. Dans sa tribune intitulée «Construire des politiques publiques efficaces au service de l’entrepreneuriat africain», elle livre une analyse lucide et des recommandations concrètes pour lever les obstacles qui freinent le développement du secteur privé sur le continent. Loin des discours habituels sur le potentiel inexploité de l’Afrique, Jeannine Mabunda adopte une perspective pragmatique.
Elle met en évidence un paradoxe : alors que les politiques publiques promeuvent depuis des années l’entrepreneuriat, les résultats restent insuffisants. En cause, selon elle, des stratégies mal adaptées aux réalités locales notamment, dans les zones rurales et les secteurs hors de la «nouvelle économie».
“Les jeunes entrepreneurs ne sont pas seulement l’avenir de la RDC, ils en sont déjà le présent. »
Jeanine Mabunda plaide pour un soutien étatique renforcé notamment, à travers des fonds souverains et des mécanismes de garantie, mais aussi par des incitations fiscales pour encourager le mentorat et la formation en entreprise. Elle insiste également sur l’importance d’un accompagnement sur le long terme, considérant qu’un projet entrepreneurial ne peut prospérer sans un écosystème stable et des financements structurés.
A travers des exemples tels que les initiatives agricoles en RDC ou les réussites sénégalaises en matière de création d’emploi, Mabunda démontre que des solutions existent. Elle invite les décideurs africains à s’inspirer de ces bonnes pratiques pour développer des politiques inclusives, capables de combler le fossé entre les centres urbains et les régions périphériques.
En conclusion, Jeanine Mabunda soulève aussi une question importante : comment la RDC, pays aux ressources inestimables, peut-elle transformer son potentiel en leadership entrepreneurial ?
À ses yeux, il s’agit moins d’une question de moyens que d’une vision stratégique. Le moins qu’on puisse dire c’est qu’avec un tel positionnement, Jeanine Mabunda s’impose comme une actrice clé du débat sur l’avenir économique de l’Afrique.
Biographie
Experte en affaires publiques au niveau régional, Jeanine Mabunda Lioko est plus connue comme présidente honoraire de l’Assemblée nationale de la RDC.
Elle possède une riche expérience mêlant secteurs public et privé, avec un solide ancrage économique. Ancienne banquière à la Banque centrale, elle a été ministre du Portefeuille, administratrice de la société minière internationale Randgold-Barrick, et s’illustre par son engagement en faveur des droits des femmes et la lutte contre les violences basées sur le genre (VBG). Elle est également présidente de la Fondation Briser Le Silence.
Dans le cadre du programme d’appui à la mise en œuvre de la réforme foncière pour la sécurisation des investissements verts, la gestion durable des forêts et la paix sociale en République démocratique du Congo, le ministère des affaires foncières a organisé, sous le haut patronage de Acacia Bandubola Mbongo, Ministre d’Etat, ministre des affaires foncières, un premier module, en trois sessions de formation des agents et cadres de l’administration foncière en outil du système d’informations foncières (SIF) en méthodes de collecte et traitement des données géospatiales à l’ère du numérique. Atelier qui a débuté le 5 novembre pour se clôturer le jeudi 21 novembre dernier à Kinshasa. Trois membres du gouvernement et un conseiller du Chef de l’Etat ainsi que d’autres personnalités ont pris part à cette cérémonie de clôture.
Ayant couvert les 17 circonscriptions foncières de Kinshasa, au moins 3 agents par circonscription ont été formés au cours de cet atelier pour une mise à niveau sur les outils du SIF. Le plan stratégique de renforcement de capacité défini à l’horizon 2032 veut faire de l’administration foncière un outil de cohésion sociale, de stabilité et de développement durable en RDC.
Prenant la parole, la ministre Acacia Bandubola rappelle sa vision inscrite dès la prise de son mandat à la tête de ce ministère, celle de situer au centre de son mandat des actions prioritaires de la politique foncière nationale qui vise à la mise en place d’un système d’informations foncières (SIF), numérisé à l’échelle de chaque circonscription foncière avec une centralisation des données au niveau national, la modernisation du cadre opérationnel à travers la construction et l’équipement des circonscriptions foncières, sans oublier le renforcement des capacités et l’amélioration des conditions de travail des agents des affaires foncières. Des objectifs qui se réalisent déjà au travers des actions concrètes sur terrain.
Acacia Bandubola n’a pas hésité de féliciter la Conaref car, dit-elle, ‘’la tenue de cette activité est passée par un travail remarquable réalisé en amont dans le cadre du programme d’appui à la réforme foncière avec l’aide des partenaires sous l’égide de CAFI, du Fonared, de l’ONU Habitat, que je remercie particulièrement pour leur appui au processus’’.
Les sages mots n’ont pas non plus manqué de la part de la ministre de tutelle aux récipiendaires en vue de les encourager à mettre en œuvre tout ce qui leur a été transmis tout au long de l’atelier de formation tout en leur rappelant la lourde responsabilité qui leur incombe déjà au sortir de cette formation en vue de l’atteinte des objectifs assignés.
« A vous les récipiendaires, cadres et responsables des services techniques et informatiques des circonscriptions foncières de la ville province de Kinshasa, j’avise que vous aurez la lourde responsabilité d’amorcer un itinéraire de renforcement des capacités sur la numérisation des services fonciers auprès de vos collègues aussi bien dans la capitale que dans les provinces. Le gouvernement mettra les moyens qu’il faut pour satisfaire cet impératif. Notre satisfaction sera grande de voir différents axes des programmes être menés jusqu’à leur terme. J’engage donc tous les cadres de l’administration foncière de la Conaref de ne ménager aucun effort pour l’atteinte des assignations contenues dans des missions 2024 – 2025 de manière à traduire par des actions concrètes et en résultat tangible les priorités du programme gouvernemental », a déclaré Acacia Bandubola.
Après ces mots de clôture de l’atelier de formation par la ministre Acacia, s’en est suivi l’étape de la remise des brevets aux récipiendaires, par elle ainsi que par les autres membres du gouvernement invités à cette cérémonie de clôture.
Une satisfaction émotionnelle de la part du secrétaire général aux affaires foncières qui trouve en cette formation un nouvel élan dans l’administration des affaires foncières.
« Je suis l’homme le plus heureux parce qu’en fait c’est moi qui suis le chef du pelletons. Nous avons fait un bon parcours, un bon voyage parce que ça fait de cela trois ans depuis que nous avons commencé et voilà que les actions concrètes deviennent de plus en plus visible. Nous sommes pratiquement sûrs et certains que nous avons posé le premier jalon pour commencer le système d’informations foncières (SIF) », a-t-il déclaré avec grande joie.
Même credo pour le représentant de l’ONU Habitat en RDC qui stipule :
‘’L’ONU Habitat a facilité le processus parce que le financement découle par l’aide d’intention signée par le Chef de l’Etat congolais, Félix Tshisekedi, avec la communauté des bailleurs portée par l’initiative des forêts d’Afrique centrale. Nous avons naturellement fait notre travail, celui d’accompagner le gouvernement. Ceci étant dit, il faut souligner que cette formation s’inscrit dans la dynamique de la modernisation de la fonction publique qui veut l’utilisation des nouvelles technologies pour faciliter la transparence dans la gestion foncière et surtout pour réduire les conflits fonciers.
Quant aux participants, la formation permettra à redorer l’image du secteur foncier et à améliorer sa gestion longtemps restée opaque depuis plusieurs années.
Pour la création de ce Conseil National de Médiation et de Cohésion Nationale, Marie-Josée Ifoku sollicite le soutien personnel et de la bonne volonté du Président de la République pour faire avancer la RDC et son peuple sur la voie de l’unité nationale, de la paix, de la justice, du développement intégral et de l’existence d’un Etat digne et respectable. Après avoir reconnu que « Mboka ekufa kala », il ne lui reste plus qu’à se mettre dans la perspective de sa renaissance.
Marie-Josée Ifoku Mputa Mpunga Doctrine politique : « Rupture du système de prédation par la Kombolisation pour la Renaissance de la RDC »
PROPOSITION DU PEUPLE POUR LA COHESION NATIONALE ET LA RENAISSANCE DE LA RDC
L'article 222 de la constitution ouvre, pour autant que de besoin, une opportunité de créer une institution d'appui à la démocratie pour suppléer à celles déjà en place, qui se révèle de plus en plus dans l'inadéquation face au contexte de la vie nationale et aux défis écrasants auxquels le pays fait face.
Cette institution permet, par la concertation de ses membres représentants le peuple, d'engager une dynamique intellectuelle et une réflexion audacieuse au sein de la classe politique et de la société civile congolaise, dans la cohésion des idées, en vue de faire une évaluation sur la gestion des dispositions constitutionnelles au regard des réalisations peu brillantes au-delà de nos 60 ans d'indépendance.
En effet, il y a un débat de société autour de la constitution et une remise en question de son adaptabilité au contexte socio culturel, politique, et économique dont une forte pression est ressentie sur la vie socio-politique, mettant en mal l'unité et la cohésion nationale.
A cet égard, il s'avère impérieux et nécessaire d'explorer les possibilités au travers l'article 222 de la constitution pour atterrir dans un processus de changement pour le Renaissance de la République pour un passage apaisé et réfléchi à la quatrième République.
Il faut d’abord exposer le vrai problème de fond pour proposer la démarche conforme à la Constitution en vigueur et consensuelle.
LE PROBLEME DE FOND
L’Etat congolais est le même, dans son essence, depuis l’Etat Indépendant du Congo créé le 1er juillet 1885 pour les intérêts personnels et particuliers de leurs créateurs, à l’exclusion de ceux des populations autochtones. De ce fait, le pouvoir de l’avoir, dans un contexte de colonisation économique et mentale très persistante, influence négativement la vie publique et le quotidien des congolais.
La guerre menée au peuple congolais dans son ensemble, abusivement appelée « guerre de l’Est », qui a commencé au lendemain de la colonisation avec des rébellions fabriquées, se situe dans ce contexte d’une guerre économique pour le contrôle des ressources naturelles et d’un système de prédation programmée et savamment organisée.
L’esprit de prédation, depuis l’indépendance, à la faveur de constitutions successives taillées sur la mesure des intérêts des groupes d’influences diverses, y compris étrangères, et d’une classe politique beaucoup plus à la recherche de l’intérêt personnel, n’a pas permis de construire :
une justice sociale, judiciaire et économique qui élève la nation congolaise ;
un système juridique respectant l’égalité en droit des citoyens pour ne pas avoir ceux que les textes mêmes favorisent d’avoir plus de privilèges que d’autres, pour corriger les disparités sociales et pour assurer une réelle sécurité de la propriété de l’Etat et de celle des citoyens et de leurs biens ;
un système de gouvernance fondé rigoureusement sur les valeurs morales de respect du bien commun, de la dignité de l’adversaire, de la vie humaine et de l’intérêt général ;
une économie nationale et puissante tenant compte des richesses naturelles, de la dimension et de la position stratégique en Afrique et dans le monde du pays.
L’Etat congolais est né avec un code génétique qui le prédispose à être structurellement faible, infiltré par des anti-patries dans tous les secteurs de la vie publique et en constante distraction l’empêchant de s’occuper des taches du développement économique. La politique spectacle offerte par les médias et réseaux sociaux est la révélation plausible d’un état d’esprit d’un peuple distrait, alors qu’il est menacé de disparition comme nation, de perte de ses terres, de balkanisation et de mener une vie infra-humaine.
Le système de prédation suscite la dictature vraie, comme celle de Leopold II, du colonisateur belge et de certains régimes venus après, ou une fausse démocratie dans laquelle le peuple ne contrôle rien, ne participe pas vraiment au choix de ses dirigeants, n’exerce aucune influence sur la justice rendue pourtant en son nom, n’est pas organisé pour travailler à son bonheur et n’exerce pas les prérogatives du souverain primaire. Il cherche à diviser la population par la propension du tribalisme, des différences sociales criantes, de la trahison et de la corruption comme mode de gestion et de contrôle de la situation. C’est un système dans lequel le devoir de redevabilité de la classe politique vis-à-vis du peuple qui l’a élu ou pour qui elle est sensée travailler est quasi-absent.
La soif de changement dans la qualité de vie et dans la relation “pouvoir – people” est profonde dans la population, ce qui a fait le succès de l’opposition à, une certaine époque et de la conférence nationale souveraine, et qui a fondé celle de la société civile en soutien de la démocratisation de la vie publique. Ce changement ne peut se concevoir que par une nouvelle manière de concevoir le pouvoir et de l’exercer et par une sérieuse préparation qui ne laisse pas les congolais tomber dans les erreurs graves de précipitations du passé, qui ont conduit à une indépendance biaisée en 1960 et à une démocratie de façade depuis 1990.
La conscience d’une responsabilité collective, dans laquelle chaque individu consciencieux et soucieux du bien-être collectif sait retrouver sa part, tarde à se mettre en place. Les congolais, par une crise de citoyenneté, perceptible à travers une certaine naïveté, un laisser-faire et un manque de contrôle citoyen des politiciens, sans diluer la responsabilité individuelle de certains acteurs politiques, socio-culturels et économiques dans la débâcle de notre société, jouent un rôle de premier ordre dans le système de prédation. Ce qui appelle une solution globale du peuple, qui se prend en charge, se donne une vision de son avenir et se détermine à être une nation unie, forte et prospère.
UNE PISTE SALUTAIRE DE SOLUTION
Depuis 2018, « la Rupture du système de prédation par la Kombolisation pour la Renaissance de la RDC » est la doctrine politique du parti Alliance des élites pour un Nouveau Congo », qui constitue la base idéologique pour les solutions aux questions existentielles des congolais. Il faut donc une Kombolisation, défini en 7 points, dont les 4 premiers sont :
le nettoyage personnel dans un élan de prise de conscience individuelle et collective pour nous débarrasser de nos tares, de nos pesanteurs négatives, de nos insuffisances et prétentions égoïstes, afin de créer une nouvelle classe de citoyens et politiciens exemplaires ;
le nettoyage autour de soi pour prêcher par l’exemple et nous débarrasser des règles et institutions inutiles qui nous ne nous aident pas à solutionner nos problèmes, lorsqu’elles nous bouffent de l’argent pour rien ;
le prolongement de soi pour intégrer dans la vie publique la dimension de l’amour du pays et du prochain avec ses corollaires, à savoir pardon et l’oubli de soi, afin que les congolais intériorisent la fraternité, la solidarité et la complémentarité comme des exigences de notre vivre ensemble ;
l’unité dans la diversité, que symbolise bien le balai africain avec des tiges de différentes tailles, vigueurs, robustes, mais qui concourent toutes à la même fonction de mettre la propreté, de constituer un bloc fort incassable et d’apprêter le chantier du nouveau Congo.
Le besoin de dépersonnalisation de la solution et d’équilibre entre le souci de changement qualitatif et durable et celui de respecter la Constitution en vigueur détermine d’emprunter la voie de création d’une institution d’appui à la démocratie, conformément à l’article 222, alinéa 3 de cette de cette dernière : « Toutefois, par une loi organique, le Parlement pourra, s’il échet, instituer d’autres institutions d’appui à la démocratie».
Une institution d’appui à la démocratie, à créer pour apporter les solutions au problème de fond exposé dans la première partie, aura l’avantage de réunir les congolais par groupes représentatifs de la société congolaise avec les objectifs de :
Rassembler toutes les forces congolaises, dans leurs diversités socio-culturelle, religieuse, intellectuelle, philosophique, politique, économique pour mettre fin à la guerre et instaurer les meilleures conditions de paix.
prévenir et régler les conflits d’ordre politique et sociaux d’intérêt national;
promouvoir, par diverses initiatives, la réconciliation et la cohésion nationales ;
organiser le forum national d’évaluation post-colonisation de la RDC,
participer à la désignation des animateurs publics clefs à titre consultatif ;
enregistrer les doléances des populations congolaises pour canaliser ou proposer une solution ;
assurer le processus d’un changement institutionnel apaisé en préparant l’avant-projet de ma Constitution de la 4ème République qui sera soumise au referendum dans les 3 ans à venir ;
assurer le processus de changement de la mentalité en faisant participer la population au changement de la loi fondamentale par des consultations et une campagne d’éducation civique;
fixer les conditions d’une transition entre les deux Républiques comme un temps de préparation nécessaire pour opérer un changement qualitatif, y compris en déterminant les modifications indispensables à apporter à la Constitution en vigueur.
Une institution d’appui à la démocratie, pouvant être appelée Conseil National de Médiation et de Cohésion Nationale, a besoin, pour sa création, du soutien personnel et de la bonne volonté du Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur TSHISEKEDI TSHILOMBO Félix-Antoine, que nous sollicitons pour faire avancer notre pays et notre peuple sur la voie de l’unité nationale, de la paix, de la justice, du développement intégral et de l’existence d’un Etat digne et respectable. Après avoir reconnu que « Mboka ekufa kala », il ne lui reste plus qu’à se mettre dans la perspective de sa RENAISSANCE.
Pour un tel projet de salut du peuple congolais, il y a lieu que les forces vives de la nation se mettent debout, s’organisent pour le faire aboutir. Sont donc interpellés à user de leur influence : les parlementaires (nationaux et provinciaux), les opposants, les Chefs coutumiers, la Diaspora, les différents acteurs de la société civile, les médias, les influenceurs des réseaux sociaux, les entrepreneurs, les étudiants et autres universitaires, …, bref, les congolaises et congolais.
Que Dieu bénisse la République Démocratique du Congo.
Après leur rencontre avec le Ministre du Portefeuille, Jean-Lucien Busa, le 9 octobre 2024, le Réseau des Femmes Mandataires était, cette fois-ci, reçu par Judith Suminwa Tuluka, Première Ministre et Cheffe du Gouvernement, le jeudi 7 novembre dernier, à l’Hôtel du Gouvernement. Au cours de cette rencontre, cette structure technique et professionnelle, constituée des femmes Présidentes de Conseils d’Administration, Directrices Générales, Directrices Générales adjointes et Administratrices du secteur public, un mémo a été remis à la Cheffe de l’Exécutif central.
Egalement, les femmes mandataires ont, durant cet échange, abordé plusieurs points notamment, les problèmes ayant trait aux réformes et à l’amélioration des conditions de travail en général.
Répondant à la presse à la sortie de l’audience leur accordée par la Première Ministre, Mme le Directeur Général Adjoint de l’OCC, Christelle Muabilu, Porte-parole du Réseau, a indiqué que l’objectif premier pour le Réseau était d’abord de rencontrer Madame Judith Suminwa, la Cheffe de l’Exécutif national.
Et pour ce premier contact, les femmes mandataires étaient ravies de la simplicité de Madame la Première ministre et surtout de sa disposition. Madame Christelle Muabilu a expliqué que l’échange avec la Première Ministre a tourné autour du fonctionnement des entreprises et établissements publics.
Le réseau des Femmes mandataires a informé la première Ministre des difficultés qu’elles rencontrent dans la gestion des entreprises. Elles ont ensuite suggéré des pistes des solutions face à certaines réalités et défis auxquels elles font face.
Selon la porte-parole, Madame Christelle Muabilu, la Première Ministre les avait écoutées attentivement et était très contente de cet échange. Elle les a encouragées et leur a donné certaines orientations. La Cheffe de l’Exécutif Central les a appelées au travail et à ne pas s’attarder sur les conflits.
Il sied de signaler que la délégation du Réseau des Femmes mandataires était conduite par Madame Sylvie Elenge, Directrice Générale de la RTNC.
Depuis la visite de l’épouse du Chef de l’Etat Félix Antoine Tshilombo Tshisekedi, dans la ville de Kolwezi, la polémique s’est enclenchée au sujet de Madame Gouverneure Fifi Masuka Saini. La cheffe de l’exécutif provincial de Lualaba serait victime d’une machination diabolique mise en marche par ses adversaires politiques, au motif qu’elle financerait le sénat, au compte de barrer la route au changement de la Constitution.
Faux ! Rétorque Josué Muyumba, Conseiller en Communication de Madame Gouverneure de la Province de Lualaba.
Vrai ou faux ! Fifi Masuka serait impliquée dans la démarche de faire ombrage au projet du changement de la Constitution ?
L’opinion nationale et internationale retiendra que la présence de Fifi Masuka à la tête de la Province de Lualaba donne de l’insomnie à certains, et fait la joie à d’autres.
Depuis, sa tête est mise à prix par ses détracteurs. Vont-ils réussir à évincer celle que tout Lualaba fonde espoir de la Renaissance de leur province ? Difficile à le dire.
Dans cet environnement de la polémique qui semble ternir son image, surgit son Conseiller en Communication pour rétablir la vérité sur les zones d’ombre.
Y-a-t-il tentative de nuisances à l'image de marque de Fifi MASUKA SAINI et à la Plateforme qui porte son nom au niveau de l'Assemblée Nationale ?
Josué Muyumba, son Conseiller en Communication est monté au créneau pour dénoncer ce qu'il qualifie de complot monté de toute pièce par les détracteurs de cette personnalité.
Pour Josué MUYUMBA, la Gouverneure du LUALABA est tout simplement victime de la mise en œuvre exceptionnelle de la vision TSHISEKEDI dans la Province cobaltifère. Et de poursuivre que Madame Fifi MASUKA SAINI n'entend pas céder au relâchement dans le processus de modernisation du LUALABA dans tous les secteurs.
Selon lui, Fifi MASUKA demeure une Gouverneure de référence et qui fait la fierté de la République Démocratique du Congo en général et du Lualaba en particulier.
Dans une vidéo nous parvenue à la Rédaction, Josué Muyumba précise en ces termes : « Cette structure n’existe pas à l’Assemblée nationale », a-t-il dit tout en évitant de se verser dans la polémique. Il l'a fait savoir au cours d'une interview accordée à la presse!
Il poursuit « Au Lualaba, la population de Lualaba n’a pas besoin de cette polémique, la population congolaise n’a pas non plus besoin de cette polémique ; la population est concentrée aux nombreuses réalisations infrastructurelles ; à la mise en œuvre considérable de la volonté politique du Chef de l’Etat Félix Antoine Tshilombo, dans la province de Lualaba », a-t-il fait savoir.
Pour Josué Muyumba, à ce jour, la Province de Lualaba est une province référence. « Dire aujourd’hui autre chose ce que le monde entier voit et tous les pays voient au Lualaba, c’est appartenir à une autre planète. Ce sont des défis depuis qu’elle est (Ndlr Fifi Masuka) aux affaires, depuis qu’elle est en politique, elle a vécu des ouragans qui ont été érigés dans son parcours », a-t-il souligné du fait qu’elle a une grande foi à son Dieu, loyale au Chef de l’Etat, elle est ingénieure dans la chose publique, elle est une référence des gouverneures en République Démocratique du Congo.
Par sa foi, a-t-il souligné qui a permis à ce qu’elle puisse vaincre les ouragans. Et si elle a vaincu cet ouragan dans sa famille politique, dans sa famille biologique, Josué Muyumba estime que c’est n’est pas non plus la tempête qu’elle peut avoir peur ni trembler, ni ne peut l’ébranler. « Elle continue à faire les choses, elle continue à construire et moderniser les écoles, elle continue à changer le quotidien de la population. Le Lualaba d’hier, ce n’est pas le Lualaba d’aujourd’hui parce qu’il y a une femme qui a la volonté, qui construit les choses qui font bouger même les cheveux des personnes chauves. Tout ce qui se fait, je peux dire que Masuka Saini a toujours été victime de sa gestion exceptionnelle, elle a toujours été victime de sa gestion orthodoxe, de sa loyauté envers le Chef de l’Eta Félix Antoine Tshilombo. C’est pourquoi même sa famille politique n’est pas épargnée parce que, les écritures disent que l’ennemi rode autour, l’ennemi peut exploiter n’importe qui, même dans votre propre famille biologique, mais l’essentiel est de le dénicher et de prendre les dispositions pour le neutraliser, pour le vaincre et poursuit sa marche. C’est ce que la Gouverneure Masuka poursuit avec fierté, avec courage, à transformer, à construire les infrastructures. Aujourd’hui, on peut parler du nouveau gouvernorat, beaucoup des cabinets ministériels qui évoluent dans les bureaux de location ».
Partant, Josué Muyumba annonce que d’ici quelque semaine, les cabinets ministériels auront leurs propres infrastructures en ce que Madame La Gouverneure Masuka a réussi à terminer beaucoup d’ouvrages. Ce que nombreux n’ont pas donné la chance, ni la crédibilité dans son projet ambitieux de transformer le Lualaba. Nombreux ont cru en une farce politique, a-t-il souligné. « Aujourd’hui, on peut voir plusieurs centaines d’ouvrages et les travaux ont touché à leur fin, notamment la Clinique moderne de Mwangeji, l’aéroport international de Kolwezi, la route provinciale, l’école d’excellence de Dilolo, les écoles n’en parlons pas : l’école Kangeya, le pont Ludia Lufupa, les travaux sont quasiment terminés. C’est une femme, si pendant l’intérim elle a fait de prouesses que tout le monde voit et tout le monde acclame, aujourd’hui, elle est gouverneure de province, elle fera toujours. C’est une province très convoitée et les ennemis se créent de partout. Ce ne sont pas ces situations qui peuvent l’empêcher à regarder à l’objectif comme le Chef de l’Etat lui avait dit : ne suivez pas les pierres qu’on jette sur vous », a-t-il conclu pour dire, Masuka avance, elle travaille dans la vision de son mentor, Félix Antoine Tshilombo Tshisekedi, et les jaloux vont se suicider.
Lualaba, province pilote, Lualaba la convoitise des provinces, Le Lualaba avance selon le rythme imposé par Marie Thérèse Fifi Masuka, pour les lualabaises et lualabais en ce qu’elle attire des investissements, les capitaix en faveur de la République Démocratique du Congo.
Digitalisation des services. Réhabilitation du réseau immobilier. Partenariat interministériel pour la carte de santé. Nouveaux mécanismes pour le suivi des recettes. Lutte acharnée contre la corruption et autres formes connues d’antivaleurs. A la Cadeco, le ciel est, visiblement, bleu. Depuis un bon moment, une dynamique forte y est installée, de façon remarquable, sous le leadership de Madame Juliette Mughole. Suivant la vision du Chef de l’Etat, telle que le Gouvernement l’a endossée, cette dame de fer a réussi à imposer, dans l’exercice de ses fonctions, un mode gestion efficace axée sur les résultats. Une prouesse qui, normalement, devrait susciter un soutien général. Flèches à fleuret moucheté D’après des sources dignes de foi, Juliette Mughole serait, en effet, dans les viseurs de certains laboratoires qui chercheraient, coûte que coûte, à maculer son bilan pour des raisons inavouées. Eliezer Ntambwe, Député national, élu de Lukanga, à Kinshasa, serait logé à la même enseigne par les défenseurs de Mme DG Mugole. Il lui est reproché, catégoriquement, de vouloir jeter au feu, par des affirmations jugées gratuites, à travers ses sorties médiatiques, les avancées significatives à mettre, pourtant, à l’actif du Comité de Gestion actuel de la Cadeco que pilote Madame la DG Mughole. ‘’On ne se décalque pas à la main au crayon sans se rassurer que l'on ait prévu une gomme à ses côtés. Une sortie médiatique doit s'abstenir de toute manipulation... Ne soyons pas prêts à vendre notre image pour des miettes en défendant les inciviques. Ce n'est pas en détruisant l'image de Madame le DG de CADECO dans les médias que l’on peut épargner les voleurs. Ils seront poursuivis dans leur dernier retranchement. Nos rafales sont vraiment installées et la gâchette ne tardera. Madame Juliette Mughole est une femme à la carapace invincible et qui ne peut jamais fléchir au propos mesquins. Sa propre chevelure ne l'intimide pas comme femme le jour de son mariage. Elle reste attachée aux valeurs africaines. Voilà la CADECO qu'elle imprime au bénéfice du Congo et des congolais… Il le faut pour ce pays où nombreux ont sombré dans la légèreté. Et, les agents de la CADECO en ont le témoignage. Juliette Mughole est préoccupée par la relance de la CADECO 1. La digitalisation de la Cadeco 2. La réhabilitation du réseau immobilier CADECO 3. La carte santé-Cadeco opérationnelle dans un partenariat interministériel. 4. La dotation du logiciel propre à la CADECO pour son informatisation, chose qui permettra le suivi des recettes de la source au trésor public. 5. La gestion collégiale signe de la bonne gouvernance où tous les organes sont associés à la prise des décisions. 6. L'ouverture du front contre les antivaleurs dans cette entreprise de l'Etat et le redressement du moral dans la gestion des finances publiques’’, martèlent les milieux proches de Mme le DG de la Cadeco. Les mêmes sources indiquent, clairement, que les de cette dame sont un fruit du patriotisme. La Pros.
Dans le cadre de l’appui à la vision du Chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, la Première Dame, Denise Nyakeru, a institué le programme « Excellentia », depuis 2019 en faveur des fils et filles congolais pour une éducation de qualité. Cette bourse «Excellentia » est un programme à la disposition des finalistes du secondaire ayant franchi le cap de 70% après le test de sélection. L’objectif est d’octroyer 1000 bourses locales et 100 bourses internationales pour 5 années d’études pendant 10 ans. Depuis 2019, 313 jeunes ont bénéficié de cette bourse dont 205 en RDC, 65 en France, 38 au Maroc et 5 aux USA. L’épouse du Chef de l’Etat, Denise Nyakeru, s’est rendue, vendredi 11 octobre dernier à l’UPN pour encourager les lauréats de l’année scolaire 2023-2024 au test de sélection pour la 6ème édition de la bourse Excellentia. Selon la liste établie par le ministère de l’Education nationale et de la nouvelle citoyenneté, 334 étaient inscrits au départ à raison de 197 filles soit, 59 % et 137 garçons soit, 41%. Seuls 315 ont été finalement retenus. Le programme « Excellentia » ne se limite pas qu’à offrir des bourses ; il accompagne également les lauréats pour leur insertion professionnelle. Il est un programme de promotion d’excellence scolaire qui vise à contribuer à la création d’une élite congolaise. Il sied de noter que la richesse d’une nation ne repose pas seulement sur les ressources naturelles dont elle regorge, mais aussi de la qualité de l’instruction de base. Car, une nation peut disposer de diverses potentialités, mais si elle n’a pas d’hommes et de femmes de qualité pour les mettre en valeur, elle ne demeurera que dans les ténèbres du sous-développement. L’éducation, en tant que facteur pour lutter contre la pauvreté mentale, ne peut constituer un frein pour ce même peuple. Bien au contraire, elle façonne le destin et balise l’avenir. Beni Butu
Le Ministre du Portefeuille, Jean Lucien Bussa Tongba, a rencontré ce matin 9 octobre 2024, le Réseau des Femmes Mandataires des entreprises et établissements publics de l’Etat dans la salle des réunions du Ministère du Portefeuille. Durant plus de 2h30’, tous les sujets ont été abordés. Le Directeur Général Adjoint de l’Office Congolais de Contrôle, Christelle Muabilu, rapporteur du réseau et porte-parole de circonstance, a rapporté à la presse la quintessence de cette rencontre. Madame Christelle Muabilu a expliqué que l’échange avec le Ministre du Portefeuille qui a en charge les entreprises du portefeuille de l’Etat, a tourné autour de l’évolution de toutes les réformes qui ont été entreprises pour l’amélioration des conditions de ces entreprises. C’était également une occasion pour les femmes mandataires des entreprises de l’Etat de lui faire part de leurs préoccupations et aussi de recevoir quelques orientations et voies de sagesse. Cette rencontre intervient après celle qui avait eu lieu quelques mois avant. La Pros.
(Par Sykvie M. Bayonne, membre des Arts Connect Africa, ACA)
Ces dernières années, l'afrobeat et d'autres genres musicaux africains sont devenus de plus en plus populaires dans le monde entier. Cette montée en puissance est en grande partie due aux contributions remarquables des artistes féminines. Non seulement elles ont façonné le son de l'afrobeat, mais elles ont également rehaussé le profil de la musique africaine à l'échelle mondiale. Cette analyse examine l'impact croissant des artistes féminines dans l'afrobeat, leurs contributions uniques, les obstacles qu'elles rencontrent et les changements positifs qu'elles apportent à l'industrie musicale.
Influence croissante des artistes féminines dans l'Afrobeat
Les musiciennes ont joué un rôle crucial dans l'évolution et la popularité de l'afrobeat. Des artistes comme Tiwa Savage, Yemi Alade, Tyla, Ayra Starr, Simi et Becca ont suivi les traces de Miriam Makeba, Angelique Kidjo et Marie Daulne (ZAP MAMA) en mélangeant des sons africains traditionnels avec des rythmes contemporains, ce qui a donné naissance à une musique qui résonne auprès des auditeurs du monde entier. Leur succès a ouvert la voie à une nouvelle génération d'artistes féminines qui innovent et repoussent les frontières du genre. Par example, Marie Daulne et Zap Mama ont eu une influence majeure sur la musique du monde.Ce groupe a su mettre en lumière les polyphonies africaines, les propulser sur la scène internationale et rendre ces harmonies accessibles à un public mondial. Composé de talents féminins exceptionnels, Zap Mama a également été un tremplin pour de nombreuses artistes qui ont ensuite brillé au sein de diverses formations internationales, diffusant le groove vocal africain. Sabine Kabongo, par exemple, a poursuivi sa carrière avec le Trilok Gurtu Trio, enrichissant encore davantage la scène des musiques du monde (ce n'est qu'un exemple parmi d'autres de cette influence).
En tant que « Reine de l'Afrobeats », Tiwa Savage, par exemple, a apporté des contributions révolutionnaires à l'industrie. Sa voix puissante et ses performances convaincantes lui ont valu une renommée internationale, ce qui lui a valu des collaborations avec des rappeurs de renom comme Remy Ma, avec l'album commun de Fat Joe intitulé « Plata o Plomo » actuellement en préparation.
Yemi Alade a captivé le public avec sa présence énergique sur scène et son style vocal unique, consolidant sa position de force majeure de l'Afrobeat. Elle a captivé l'attention des fans du monde entier avec sa chanson à succès « Johnny », mettant en valeur la diversité de la musique et de la culture africaines. Un large éventail de fans a été attiré par le genre par le son inventif et la voix profonde de Simi.
« Come and See My Moda », une collaboration dynamique entre l'artiste Ghanéen MzVee et la star Nigériane Yemi Alade, met en évidence le rôle puissant que jouent les femmes dans le façonnement de l'Afrobeat et de la musique mondiale. La chanson de 2018 célèbre la culture africaine et l'autonomisation des femmes, avec son titre qui se traduit par « Viens voir ma mère ». Le clip vidéo donne vie à la chanson avec une mode, une danse et des paysages africains vibrants. Cette collaboration met en valeur l'unité et l'innovation des artistes féminines du genre Afrobeats, mélangeant des sons traditionnels et modernes. "Come and See My Moda" a eu un écho mondial, établissant davantage MzVee et Yemi Alade comme des figures influentes qui stimulent la croissance du genre.
Becca, une pionnière de la musique Ghanéenne, a apporté une nouvelle tournure à l'Afrobeats en combinant des mélodies africaines classiques avec des rythmes modernes. Son chant passionné et ses mots pleins de sens élèvent et inspirent souvent les femmes, comme en témoignent ses chansons à succès "African Woman" et "Yes I Do". Les clips vidéo captivants de Becca et ses collaborations avec des artistes comme Tiwa Savage et Patoranking illustrent sa mission d'unifier la musique africaine. Son succès international à travers des performances et des chansons à succès a ouvert l'Afrobeats à un public mondial, brisant les barrières culturelles et promouvant la culture africaine sur la scène mondiale.
Créer des opportunités pour la prochaine génération de talents musicaux féminins
Une bonne façon de s'assurer que toutes ces pionnières continuent à apporter de la valeur et qu'il existe également un vivier d'autres artistes féminines capables d'entrer dans l'industrie et de maintenir les standards est de donner plus de pouvoir aux femmes professionnelles de l'industrie musicale. Les femmes professionnelles de l'industrie jouent un rôle crucial dans le mentorat et le soutien de la prochaine génération de femmes dans l'industrie de la musique. En servant de modèles et de mentors, elles fournissent des conseils et un soutien aux jeunes femmes qui aspirent à entrer dans l'industrie, à la fois en tant qu'artistes musicales et en tant que professionnelles de l'industrie musicale. Ce mentorat est essentiel pour aider les talents émergents à relever les défis de l'industrie musicale, de la compréhension des contrats à la construction d'une carrière durable. En outre, les femmes professionnelles militent souvent en faveur de politiques et d'initiatives qui favorisent l'égalité des sexes et créent des opportunités pour les femmes à tous les niveaux de l'industrie.
En outre, l'inclusion de femmes professionnelles apporte de nouvelles perspectives et idées. Les femmes occupant des postes de direction ont joué un rôle déterminant dans la promotion d'une représentation plus diversifiée dans l'industrie de la musique, en veillant à ce que différentes voix et histoires soient entendues. Cette diversité se reflète dans la musique produite, avec des artistes et des professionnelles féminines qui défendent de nouveaux genres, styles et récits qui trouvent un écho auprès d'un public plus large. La présence des femmes dans l'industrie encourage également la collaboration entre différents secteurs, favorisant un environnement créatif où une musique qui plaît à l'arène mondiale et qui apporte toujours de la valeur à l'Afrique et aux Africains peut être créée.
Conclusion
Les artistes féminines d'Afrobeats ont apporté des contributions indéniables à la scène musicale africaine. Grâce à leur talent, leur détermination et leur activisme, elles révolutionnent la scène musicale, la rendant plus dynamique et inclusive. Pour célébrer leurs réalisations, il est essentiel de continuer à autonomiser et à soutenir ces artistes, en créant et en créant une voie pour que davantage de femmes entrent dans l'industrie. Cela favorise une industrie musicale équitable qui reflète authentiquement la richesse et la variété
*Invitée comme paneliste à la 8ème édition de l’Expo Beton ouverte depuis le mardi 10 septembre 2024, au Centre Financier de Kinshasa, c’est ce jeudi 12 septembre 2024 que Mme Christelle Muabilu, a, dans sa peau de Directeur Général Adjoint de l’OCC, édifié l’assistance dans un exposé qui a porté sur : «Les respects des normes, gage d’une urbanisation dynamique». Madame Christelle Muabilu qui est une femme bien rodée dans les domaines de la communication et surtout habituée à la grande masse, a tenu son assistance en haleine.
D’entrée de jeu, le Directeur Général Adjoint de l’OCC, Madame Christelle Muabilu, révèle que l’urbanisation durable est un enjeu majeur dans le développement de tout pays et le développement de la RDC en dépend. C’est ainsi que le Chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi, en a fait son Cheval Bataille. Raison pour laquelle, cela nécessite une application stricte des normes afin de garantir la qualité, la sécurité et la durabilité des infrastructures.
L’OCC en tant qu’organisme évaluateur, est chargé de vérifier la conformité des produits et des services aux normes nationales, régionales, et internationales en assurant ainsi le contrôle des matériaux utilisés pour la construction tout en respectant les exigences requises telles que la qualité, la sécurité et la durabilité des infrastructures urbaines.
Parachevant son énoncé, Mme Christelle Muabilu a révélé à l’assistance, l’existence au sein de l’Office Congolais de Contrôle de plusieurs Département notamment : le Département Métrologie qui permet de faire l’étalonnage, Département Contrôle Technique, Département de Normalisation ainsi que le Département de l’Environnement. Tous ces départements permettent de faire une bonne expertise avant de construire.
En réponse à une question qui lui a été posée, Mme Christelle Muabilu, a indiqué que l’OCC évalue, analyse et certifie que les produits utilisés sont d’une bonne qualité pour les consommateurs.
Il y a lieu de noter que le Président du Panel, M. Yan Lerou a précisé que cet atelier revêt d’une grande envergure et porte deux objectifs majeurs qui s’articulent sur deux axes : - Améliorer la sécurité de la population et améliorer la compétitivité afin d’attirer les investisseurs.
Pour lui, ce Panel permettra de définir un cadre de réglementation, de faire voter des lois et de sortir des inspecteurs de conformité.