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Lutte contre l’insécurité alimentaire, RDC : la Coagrico sollicite un appui financier pour ses activités de haute portée sociale !

A Kinshasa, la Coopérative des Agriculteurs du Congo (Coagrico), une structure connue pour ses nombreuses activités dans le domaine agricole, veut apporter son expertise en matière de lutte contre la famine en RD. Congo. Dieudonné Musulu, Coordonnateur national de cette Coopérative, a appelé, samedi 6 juillet 2024, le Gouvernement, au travers le Ministère de l’Agriculture, à saisir cette main tendue, le plus vite que possible, pour accélérer la revanche tant vantée du sol sur le sous-sol en RDC, conformément à la vision du Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.

Le Coordonnateur Musulu a exprimé cet engagement en marge du lancement des journées portes-ouvertes au niveau du site de Coagrico basé à Mont-Ngafula, non loin de Kimwenza-gare. Il a sollicité, cependant, un appui financier conséquent, de la part des autorités congolaises, des bailleurs de fonds et autres mécènes patentés pour permettre à la Coopérative des Agriculteurs du Congo de répandre ses activités et combattre l’insécurité alimentaire sur l’ensemble du territoire national. Il a parlé, concrètement, de près de 33 millions de dollars américains en termes d’enveloppe globale devant couvrir toutes les initiatives envisagées. Mais, dans un premier temps, à l’en croire, la structure espère en la bonne foi des partenaires qui pourraient l’aider à atteindre ses objectifs immédiats. Comme, à titre indicatif, se doter des outils de travail adéquats, disposer des engins modernes au niveau des sites de Kinshasa, étendre et diversifier les activités au niveau de l’ensemble du pays.

« La coopérative a été créée dans l’objectif d’aider le Gouvernement, premièrement, à remettre notre pays sur le bon chemin du développement économique, social et durable. Deuxièmement, nous l’avons créée pour aider notre Gouvernement à diminuer le taux de chômage parce que nous voulons recruter au moins mille jeunes par provinces. Le troisième objectif est celui de lutter contre la famine. Nous voulons, ensemble avec les structures œuvrant dans le secteur agricole, créer un Congo sans famine », a-t-il indiqué, exclusivement, à La Prospérité, sur place, au site A de la Coopérative.

Appel pressant au Gouvernement et à tous les partenaires

A en croire Dieudonné Musulu, la Coagrico manque des sites propres pour exercer ses activités en dépit de ses multiples appels lancés aux partenaires internationaux et au Gouvernement.

«On n’a pas de fonds. Nous sommes en train de louer. Nous avons négocié avec nos bailleurs pour cinq ans. On n’a pas de partenaires qui peuvent nous aider à avoir des sites propres. Nous demandons aux partenaires financiers de venir nous assister pour que nous puissions atteindre nos objectifs. Nous avons lancé un appel au FAO, au PAM, à l’Enabel, aux hommes d’affaires, les gens qui ont des moyens dans notre pays pour qu’ils viennent soutenir la Coopérative pour que nous puissions atteindre les objectifs», a-t-il soutenu, affirmant, au passage, la détermination de son équipe à offrir des produits de qualité à la population.

«Comme organisation, nous avons des sites. Ici, à Kinshasa, nous avons quatre sites en location. En provinces, nous avons également des sites. Nous sommes à Mont-Ngafula, au niveau de Takizala, après Kimwenza-gare. Au niveau de chaque site, nous avons des activités précises. Au site A, nous produisons des légumes-feuilles et des légumes-fruits. Chaque mois, nous produisons au moins deux tonnes de produits alimentaires par hectare. Comme ici, nous avons 7 hectares au site A, nous produisons chaque mois, 14 tonnes de produits alimentaires. Nous travaillons ainsi pour lutter contre la famine dans notre pays… Concernant les journées portes-ouvertes, nous avons deux objectifs. Nous avons remarqué que les congolais ne savent pas la valeur de l’agriculture dans notre pays. Les gens ont une conception erronée de ce secteur. C’est difficile pour un pays de se développer sans l’agriculture. Nous voulons sensibiliser les congolais à travailler la terre pour un Congo sans famine. Nous avons organisé cette activité pour appeler les autorités du pays à visiter ce site qu’elles comprennent l’importance de l’agriculture », a souligné Dieudonné Musulu, qui appelle le nouveau Ministre de l’Agriculture à visiter, lui-même, les plantations de la Coopérative, à Kimwenza-gare, pour se faire, personnellement, une idée concrète de la portée de cette nouvelle bataille contre l’insécurité alimentaire en RD. Congo.

GM

Lutte contre l’insécurité alimentaire, RDC : la Coagrico sollicite un appui financier pour ses activités de haute portée sociale !
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MALHEUR AUX MAGISTRATS INJUSTES 

(Esaie 10,1-4)

Malheur à ceux qui prononcent des ordonnances iniques, et à ceux qui transcrivent des arrêts injustes, pour refuser justice aux pauvres, et ravir leur droit aux malheureux de mon peuple, pour faire des veuves leur proie, et des orphelins leur butin !

Que ferez vous au jour du châtiment et de la ruine qui du lointain fondra sur vous ? Vers qui fuirez-vous, pour avoir du secours, et où laisserez vous votre gloire ? 

Les uns seront courbés parmi les captifs, les autres tomberont parmi les morts. Malgré tout cela, sa colère ne s'apaise point et sa main est encore étendue. "

Esaie 55,11

Ainsi en est il de ma parole, qui sort de ma bouche : elle ne retourne point à moi sans effet, sans avoir exécuté ma volonté et accompli mes desseins."

Pensé du jour et méditons avec foi pour la bénédiction de notre nation. Dieu est l'auteur de la justice. La justice doit élever une nation. Toute autorité vient de Dieu, une autorité doit respecter ses paroles car il incarne la vérité, et la vérité est le nom authentique de Dieu. 

Malheur aux magistrats injustes qui prononcent des arrêts et jugements en échange de l'argent pour condamner injustement des pauvres, ravir des maisons aux veuves et aux orphelins. Malheur à vous. Dieu l'auteur de la justice vous réserve la ruine et la mort. Votre petite gloire d'avoir de l'argent souillé par la corruption pour avoir des jeeps, des villas et des vestes seront bientôt en ruine. Des maisons des veuves et des orphelins que vous êtes entrain de leur ravir via vos jugements avec des billets verts dans vos poches t'apporteront que ruine et malheur. Malheur à vous, fuyez la colère divine, Dieu de justice, viendra rétablir une bonne justice sur la terre, l'enfer est votre villa éternel. 

Malheur aux églises qui souilleront le nom de Dieu pour corrompre les agents du ministère de la justice afin d'échapper au contrôle de ceux qui n'ont pas de personnalité juridique. Le nom de Dieu est souillé par vos comportements iniques. Vous êtes comme des magistrats injustes. Ceux qui n'ont pas de personnalité juridique doivent savoir que le respect de l'autorité est un principe de Dieu, un principe sacré. On ne peut pas négocier avec l'ordre établi par l'autorité pour la réglementation de la société. Malheur aux magistrats et chefs des églises qui souilleront la nation par la CORRUPTION. Malheur aux autorités qui ne seront pas à mesure de respecter leur engagement et décision. La ruine est proche dans les maisons des magistrats injustes. Malheur, malheur, malheur et malheureux à vous !

Boswa Isekombe Sylvere 

Educateur des masses populaires

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Retraçant l'histoire coloniale du Congo, Kinshasa : la pièce théâtrale ‘’Congo Jazz band’’ présentée au public !

Les amoureux de l’art dramatique ont passé des moments émouvants et d’immense découverte, à l’Institut français de Kinshasa, à la Gombe, à l’occasion de la présentation de Congo Jazz band, une pièce de théâtre qui retrace profondément l’histoire coloniale de la RD. Congo. L’Ambassadeur de la République française en poste à Kinshasa a, personnellement, participé à cette présentation qui s’est déroulée sous une atmosphère détendue.

Œuvre du dramaturge français d'origine algérienne Mohamed Kacimi, Congo jazz band est une véritable merveille qui se veut pédagogique. Elle revisite l’histoire de la RDC, en tant que propriété privée du Roi des Belges, avant 1908, jusqu’à remonter à l’assassinat de Patrice Emery Lumumba, au lendemain de l’indépendance du pays.

Lors de la cérémonie de présentation, il a été démontré par le metteur en scène congolais David-Minor Ilunga et sa troupe théâtrale « théâtre du fleuve », le rôle que peut jouer la musique particulièrement la rumba et le jazz dans la mémoire africaine. Il s'agit notamment comme moyen de résistance culturelle et de préservation de celle-ci.

« C’était passionnant et émouvant ! », telle est l'une de réaction entendue, émanant d’un jeune spectateur à la fin du spectacle. Sur place, enfants, parents, activistes culturels ont manifesté un réel enthousiasme pour cette pièce déjà présentée en France où elle a été aussi écrite, il y a 5 ans.

Un silence absolu ponctué de fous rires a caractérisé l’activité, mais aussi des discussions entre public les acteurs. Une première étape du travail qui intéresse et amène à se poser des questions, alors qu'il ne s'agit pas encore du spectacle proprement dit.

David-Minor Ilunga, le metteur en scène de la pièce, a expliqué que l'intégralité du travail sera présentée entre les mois de septembre et octobre à Kinshasa. Mais, dans l’entre-temps, le travail va se poursuivre entre juillet et août au centre Wallonie Bruxelles.

« Moi personnellement, j’ai toujours eu envie de raconter l'histoire de mon pays. C'est ce qui m'intéresse de plus en plus dans ma démarche artistique. Le seul problème est que, parfois, on a toujours pas de conditions à la fois psychologiques et physiques d'écrire sa propre histoire, c'est toujours bien quand quelqu'un d'autre s'en empare, et donc c'est qui m'a intéressé dans cette pièce c'est de voir Mohamed s'en emparer et parler de ce qui nous concerne, et qu'effectivement plusieurs ne connaissent pas », a déclaré David Minor Ilunga.

Donc, a-t-il renchéri, on pallie un peu à un déficit historique, pas parce que les congolais n’ont pas mais parce que beaucoup ne lisent pas, combien de personnes ont lu par exemple, le livre du professeur Ndaywel Isidore.

«Pour le citoyen lambda, c'est toujours important de lui apporter les connaissances qu'il n'avait pas », a-t-il conclu.

Pour sa part, l'auteur de la pièce théâtrale Mohamed Kacimi, est revenu sur les motivations réelles du choix porté sur l’histoire de la RD. Congo pour réaliser son œuvre, lui qui, pourtant, n’est pas congolais.

« J’ai écrit ce texte parce que je pense que c'est important que la colonisation soit au centre du débat de la jeunesse », a t-il déclaré. Selon lui, en tout cas, l'histoire coloniale au Congo est la plus intéressante qui puisse exister en Afrique.

Christian Musungayi

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Soutien des églises de réveil à la démarche de Constant Mutamba : L’Archevêque Ejiba Yamapia à la manœuvre

En marge d’un arrêté ministériel relatif à l’assainissement des églises de réveil du Congo, l’Archevêque et Représentant Ejiba Yamapia a, au cours d’une conférence tenue ce lundi 1er juillet 2024 au Cepas, soutenu la décision prise par le ministre de la Justice, Constant Mutamba.

Le partenariat entre cette corporation des églises en RDC et l’Etat congolais vise à mettre fin aux antivaleurs dans ce secteur. Pour l’Archevêque Ejiba : « Les églises de réveil sont tenues de soutenir le ministre de la Justice afin de l’aider à réussir là où ses prédécesseurs ont échoué».

Conformément à l’article 37 de la Constitution, l’Etat garantit la liberté d’association. Pour ce, a-t-il renchéri, le pouvoir public collabore avec les associations qui contribuent au développement social, économique, intellectuel, moral et spirituel des populations ainsi qu’à l’éducation des citoyennes et des citoyens.

Cette collaboration peut revêtir la forme d’une subvention. En tant que partenaire social de l’Etat, les églises de réveil du Congo qui existent depuis 2008, ont mis en place un système éducatif qui a permis d’avoir une coordination nationale des églises conventionnées avec plusieurs écoles opérationnelles, a-t-il rappelé avant d’ajouter que cette coordination gère une centaine d’établissements des cycles complets de la maternelle jusqu’au secondaire en passant par le cycle primaire, sans oublier que les enseignants et les personnels administratifs sont pris en charge par l’Etat congolais.

Les églises de réveil du Congo ont un engagement socio-pastoral à travers leurs objectifs statutaires dont notamment, son implication dans la dynamique sociale qui consiste à mettre l’homme au centre de son action. Créé à l’image de Dieu, l’homme satisfait par des besoins physiologiques non négligeables s’explique, après satisfaction, sa raison de croire et d’espérer.

Les églises de réveil du Congo font promouvoir le bien-être de l’homme. C’est dans ce même ordre d’idées qu’un département de santé avait été mis en place avec près de 130 centres de santé autonomes sur toute l’étendue du territoire national. Entretemps, au travers son département, il a mis en œuvre des projets sur la communication, sur le changement des comportements dans la lutte contre VIH/SIDA

Toujours dans leur engagement socio- pastoral, ces églises œuvrent depuis 2003 au sein de la plateforme des confessions religieuses. S’agissant de l’observation électorale, elles avaient conduit une mission depuis des années où elles sont déployées comme observateurs sur toute l’étendue de la RD. Congo. Dotées d’une expertise diversifiée, ces églises opèrent dans divers secteurs vitaux de la République : Médecin, Juriste, économiste, sociologue, expert en leadership etc.

C’est l’occasion pour les église de réveil d’appeler le gouvernement à ne pas les regarder seulement sous le prisme des prophéties, de délivrance mais aussi d’une institution ecclésiastique comme une pépinière des cadres capables de bien gérer la chose publique.

Michel Okaso

Soutien des églises de réveil à la démarche de Constant Mutamba : L’Archevêque Ejiba Yamapia à la manœuvre
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Une fille biologique de Papa Wemba : Orphée Shungu embrasse la musique avec ‘‘Ma scène’’ son premier single !

(La chanteuse Orphée Shungu Wembadio)

La chanteuse Orphée Shungu Wembadio, fille de Papa Wemba, Roi de la Rumba Congolaise, vient de sortir ce 27 juin 2024, sur le marché des musiques son tout premier single intitulé ‘‘Ma scène’’ pour se lancer officiellement dans la carrière musicale, a-t-on appris jeudi d’un communiqué.

«Orphée Shungu entame sa carrière musicale professionnelle à partir de ce jeudi 27 juin 2024 avec un single intitulé “Ma scène”. Cette œuvre de haute qualité artistique est disponible dans toutes les plateformes digitales de vente de musique. Ce premier single est une déclaration d’amour qu’Orphée fait à la musique. C’est elle qui l’a sauvée, consolée et édifiée dans ses moments de doute. Et depuis sa tendre enfance, elle savait que c’était l’endroit où comme son père, elle allait se sentir vivante, mais la vie et ses aléas les ont éloignés », confirme la même source.

Sur le plan artistique, ‘‘Ma scène’’ est une chanson Rn’b aux accents Pop et Soul à travers laquelle la jeune chanteuse célèbre ses retrouvailles avec l’art des sons.  « Alors laissez-vous emporter par cette mélodie et ce texte qui vous rappelleront peut-être à vous aussi qui vous êtes vraiment ce qui vous rend heureux dans cette vie. La chanteuse est déterminée à réussir et s’apprête à conquérir le milieu avec un style unique, fusionnant habilement R&B, pop, néo-soul et afro-beat », a indiqué le communiqué

Et d’ajouter : « son premier fleuron artistique permet aux mélomanes de découvrir  sa véritable voix et voie. C’est-à-dire son timbre vocal et aussi son destin ».

Pour le communiqué, les compositions d’Orphée Shungu ne se contentent pas de divertir  mais elles racontent des histoires.

« Ses chansons touchent des thèmes universels tels que l’amour, l’acceptation de soi et les épreuves nécessaires pour s’épanouir. L’artiste incarne une renaissance libératrice, une femme courageuse, pleine d’espoir et d’envie, prête à partager son récit avec le monde à travers son art ».

Par ailleurs, le communiqué a également rappelé les ambitions d’une artiste engagée et prête à conquérir les cœurs et les esprits avec son authenticité et son histoire captivante. « Restez à l’écoute, car son ascension musicale promet d’être aussi exceptionnelle que son parcours hors du commun », a-t-on conclu.

Musique dans les veines !

Née le 14 septembre en Bretagne en France, Orphée Shungu Wembadio a vite développé sa passion dans l’art depuis sa tendre enfance dans la maison familiale. Son père, Papa Wemba sans le vouloir l’a initié indirectement à travers ses mélodies et lui a offert sa première scène à l’Olympia de Paris à l’âge de 6 ans.

Au-delà de son père biologique, elle a été également inspirée par d’autres grandes stars planétaires de la musique telles qu’Alicia Keys, Stevie Wonder et Etta James. A 12 ans, elle plonge dès son plus jeune âge dans l’univers envoûtant de la musique. La  jeune chanteuse façonne son adolescence au rythme de ces légendes et cultive secrètement le rêve de suivre leurs pas. Armée de son baccalauréat, elle s’envole vers Bordeaux pour poursuivre des études en communication, où elle y décroche son master.

Cependant, son destin est chamboulé lorsque son père meurt subitement sur scène, le 24 avril 2016 durant le Festival des musiques urbaines d’Anoumabo (FEMUA) à Abidjan, en Côte d’Ivoire. C’est à son enterrement à Kinshasa (Congo RDC) que ses yeux s’ouvrent sur son histoire et son identité profonde.

Son retour en France a provoqué un déclic pour s’engager de plein pied dans la musique jusqu’à éditer son premier single « Ma scène » qui confirme un destin devin.

Talenteuse et optimiste, Orphée Shungu compte évidemment du soutien des fanatiques de son défunt père et de l’orchestre Viva-la- Musica. Grâce à sa voix captivante et ses potentialités artistiques, la fille biologique de Jules Shungu Wembadio et Marie Rose Luzolo Amazone croit à faire une carrière émergente pour plaire aux amoureux de la bonne musique et aussi pour défendre le nom de son père qui restera une légende de la Rumba congolaise.

Jordache Diala

Une fille biologique de Papa Wemba : Orphée Shungu embrasse la musique avec ‘‘Ma scène’’ son premier single !
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Ecrire pour changer votre environnement, écrire pour instruire votre société, écrire pour sortir votre génération de l'atrocité…

 Ecrire pour changer votre environnement, écrire pour instruire votre société, écrire pour sortir votre génération de l'atrocité et des manipulations identitaires, écrire pour libérer les esprits en captivité, écrire pour promouvoir une société de créativité économique et politique, écrire pour une société des femmes et des hommes debout en Afrique.

Ecrire pour la mobilisation sociale et changement positif des mentalités individuelles et collectives en RDC.
Ecrire pour participer à la consolidation de la paix et de la cohésion sociale en Afrique et dans la région des grands lacs en particulier.
Ecrire pour le genre Positif, écrire pour une jeunesse critique et pragmatique.
Ecrire pour la bonne gouvernance et la promotion du management institutionnel à résultat durable dans les pays africains.
Ecrire pour le développement intégral dans la région des grands lacs et en RDC en particulier.
Voilà le combat littéraire des écrivains engagés.
Mapenzi Manyebwa

Ecrire pour changer votre environnement, écrire pour instruire votre société, écrire pour sortir votre génération de l'atrocité…
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RDC : Abbé Emmanuel Bashiki nommé Coordinateur national des écoles conventionnées catholiques !

Abbé Emmanuel Bashiki, prêtre du Diocèse de Kongolo, est nommé Coordinateur national des écoles conventionnées catholiques en RDC. L’annonce a été faite par la Conférence épiscopale nationale du Congo, au terme de la session de son comité permanent, qui s’est tenu tout dernièrement.

«Considérant les faits et les évènements marquants, nous avons dégagé quelques défis pastoraux. Nous avons reçu de nos douze commissions le rapport d’activités de l’année pastorale 2023-2024 ainsi que quelques dossiers pour lesquels des décisions ont été sollicitées auprès de notre Assemblée. Après examen des rapports des dossiers, nous avons décidé de transmettre pour approbation à l’Assemblée plénière des dossiers, entre autres, le guide pour la pastorale sur les réseaux sociaux. Le schéma de restructuration des organes de la Cenco, agence crédit carbone, l’électrification rurale et péri-urbaine, site de traitement des déchets et guides de célébration de la journée internationale des ressources naturelles, prise en charge et affiliation de nos grands séminaires. Nous avons examiné et approuvé le rapport financier audité du Secrétariat général de la Cenco, de la Commission épiscopale pour l’éducation chrétienne, de la Commission Justice et paix, de la Commission épiscopale Caritas & Développement ainsi que de l’Université Catholique du Congo et avons donné quitus à ces structures», a-t-il indiqué, dans son rapport final. Pour ce prince de l’église universelle, cette cession aura été stratégique pour de nouvelles orientations visant la bonne marche des institutions ecclésiales.

«Le Comité permanent a aussi reçu le rapport et information d’autres structures centrales de l’église locale et des œuvres sociales ainsi qu’éducatives notamment, du Secrétariat général de la Cenco, de l’Université catholique du Congo, des œuvres pontificales missionnaires… Nous avons aussi saisi l’occasion de cette session du comité permanent pour tenir l’Assemblée générale des actionnaires de l’IMF, IFOD. Ce qui nous a permis de prendre des dispositions utiles et nécessaires à la bonne marche de cette institution», a-t-il renseigné, dans son compte rendu, lu devant la presse.

La Pros.

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Mgr Fulgence Muteba : voici le nouveau Président de la Cenco !

La Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco) dispose, depuis hier, jeudi 27 juin 2024, d’un nouveau Président. Il s’agit de Monseigneur Fulgence Muteba, l’Archevêque métropolitain de Lubumbashi. Il succède, officiellement, à Monseigneur Marcel Utembi, Archevêque de Kisangani, qui aura passé, exactement, huit ans à la tête de la plus haute institution de l’Eglise catholique en RD. Congo. Ordonné prêtre en 1990, Monseigneur Fulgence Muteba est détenteur d’un diplôme en théologie pastorale de l’Université de Montréal, au Canada. Il a longuement passé du temps à enseigner la théologie à l’Université de Lubumbashi et, en même temps, à l’Université catholique du Congo, à Kinshasa. Au niveau de la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco), avant son ascension, il a notamment occupé le poste de secrétaire de la Commission épiscopale pour la doctrine de la foi, puis celui de secrétaire général, quelques temps avant l’avènement de Monseigneur Donatien Nshole. Dans ses nouvelles fonctions à la Cenco, il va bénéficier de l’accompagnement de Mgr Etienne Ung’Eyowun, Evêque de Bondo, et de Mgr Jean-Bertin Nadonye, Evêque de Lolo. Ils ont été nommés respectivement premier et deuxième vice-président.

La Pros.

 

Mgr Fulgence Muteba : voici le nouveau Président de la Cenco !
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MESSAGE DE VŒUX DE LA SOCIETE NATIONALE D’ASSURANCES A SON EXCELLENCE MONSIEUR LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE, CHEF DE L’ETAT, A L’OCCASION DU 64EME ANNIVERSAIRE DE L’INDEPENDANCE DE LA REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO

 

EXCELLENCE MONSIEUR LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE, CHEF DE L’ETAT

(Avec l’expression de nos hommages les plus déférents).

A l’occasion de la commémoration du 64ème anniversaire de l’accession de notre pays à la souveraineté nationale et internationale, le Conseil d’Administration, la Direction Générale et Tout le Personnel de la Société Nationale d’Assurances « Sonas sa » éprouvent un réel plaisir de présenter à votre auguste personnalité, les vœux de bonheur, de prospérité et de paix.

Ces vœux s’adressent également aux Honorables Présidents du Sénat et de l’Assemblée Nationale, aux Sénateurs et Députés, à Son Excellence Madame la Première Ministre ainsi qu’aux membres du gouvernement.

Ainsi, le Conseil d’Administration et l’ensemble du personnel de la SONAS SA profitent de cette opportunité pour vous témoigner leur soutien moral et spirituel dans les actions que vous menez sans relâche afin de restaurer une paix durable à l’Est de notre pays, victime d’une agression sauvage et intentionnelle de la part du Rwanda.

Notre soutien va aussi à nos vaillants FARDC dont nous gardons une pensée pieuse à ceux qui sont tombés au front sans oublier nos frères et sœurs de l’Est victime de cette barbarie.

Tout en continuant d’implorer la grâce de l’Eternel afin qu’il daigne vous accorder plus de sagesse dans l’exercice de vos hautes fonctions, agréer, Excellence Monsieur le Président de la République, l’expression de notre très haute considération.

KABONGO MOBA Clément Désiré

Directeur Général

 

Dr. KUMABWENI IWASA Jean Robert

Président du Conseil d’Administration

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