Décédé au Maroc, le 27 juillet 2024, le Mwami Kabare Rugemaninzi II N'Nabushi a été inhumé ce dimanche 11 août 2024, dans son village. Avant cela, sa communauté et la République Démocratique du Congo lui ont rendu un hommage mérité lors d'une messe d'action dite en sa mémoire à Kabare.
Plusieurs personnalités y ont pris part dont le Vice-Ministre des affaires coutumières, Mwami Ndeze Jean- Baptiste, qui a salué la mémoire du Mwami Kabare II et en a profité pour relancer un appel à la cohésion nationale des Chefs coutumiers autour du Chef de l’Etat.
Il a également présenté les messages de compassion du Chef de l'Etat, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo et celui du Gouvernement au nom de la Première Ministre, Judith Suminwa Tuluka, à la famille ainsi éplorée.
Le Vice-Ministre Ndeze a décrit le défunt Mwami Désiré Kabare II, comme un artisan du dialogue intercommunautaire et un homme épris de paix.
Ainsi, a-t-il souhaité qu’après la mort de ce dernier, que la succession se déroule dans le respect des règles, en s’appuyant sur le fait qu’il fut, toute sa vie durant, un homme non conflictuel.
La Société Nationale d'Electricité, Direction Régionale de Distribution Kinshasa Nord, informe le client Marsavco, dans la commune de la Gombe que suite à la panne survenue sur le départ Moyenne tension dénommé J12, il s'observe une interruption en fourniture du Courant électrique dans la concession Marsavco Usine.
Toutefois, SNEL rassure du rétablissement de l'énergie électrique le plus rapidement possible et présente ses excuses pour le désagrément causé.
Contacts : 08170056 64, 0817005670
La Direction Régionale de Distribution de Kinshasa Nord.
Aujourd'hui la liturgie de la Parole nous invite à nous reconnaître les protégés de Dieu à travers l'image du potier.
Se reconnaître entre les mains du Seigneur c'est opter pour ne plus s'inquiéter ni avoir peur de rien, toujours se mettre à la providence de Dieu qui est le Maître d'œuvres et l'Architecte de notre vie. Devant toutes les difficultés, Dieu protège, prends soins avec tendresse et caresse. Dans les mains de Dieu, chacun est plus précieux. Par son amour, Il nous choisit au milieu des multitudes. Il faut donc juste Lui faire confiance, s'appuyer sur Lui et Il ne nous abandonnera jamais. Que Dieu soit notre force et notre seul secours afin de tenir notre marche sans que rien ne nous ébranle mais en demeurant fidèles et confiants à sa protection dans la Lumière et dans la Vérité.
Dans le souci d’accompagner la vision du Chef de l’Etat Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, l’actuel Gouverneur de la Ville- Province de Kinshasa, Daniel Bumba, a placé son mandat sous le signe de la transformation radicale de la Capitale de la République Démocratique du Congo. A travers son programme ‘’ Kin Ezo bonga’’, il a identifié les 8 défis majeurs à relever pour revêtir la capitale congolaise de sa plus belle robe, afin qu’elle retrouve son surnom d’antan : ‘’Kinshasa la belle’’.
En prenant cette belle initiative dans son programme d’actions 2024-2028, Daniel Bumba veut apporter des solutions idoines pour la réussite de cette nouvelle formule du développement durable d’une ville de 9.965 Km² de superficie et qui compte plus de 15 millions d’habitants.
« La problématique du développement de la Ville de Kinshasa requiert ainsi une attention particulière et urgente au regard de la gravité des problèmes qui s’y posent», a indiqué l’autorité urbaine, dans le but de faire de son leitmotiv « Kinshasa Ezo Bonga » un succès.
En outre, le premier citoyen de la ville, ensemble avec son équipe, a bien trouvé des pistes de solution pour résoudre les problèmes auxquels font face les kinois, entre autres, l’insalubrité, le chômage, la pénurie d’eau, le manque d’électricité, le banditisme urbain communément appelé ‘’phénomène Kuluna’’, la dollarisation, la hausse de prix au marché… Sur cette base, il a identifié 8 enjeux majeurs pour faire face à ces nombreux défis qui bloquent la République Démocratique du Congo en général et la Ville-Province de Kinshasa, en particulier.
Il s’agit de l’accès aux services sociaux de base, à savoir l’eau potable, le logement décent, l’électricité, l’éducation, la santé et l’assainissement ; la création d’emplois pour lutter contre le chômage et ses conséquences, notamment le vol, le banditisme et la criminalité ; la construction des infrastructures modernes et durables ; la maitrise de la croissance démographique et de l’exode rural pour une meilleure planification du développent de la ville ; la mobilité urbaine ; la salubrité et le traitement des déchets urbains ; l’extension et l’aménagement de la ville en respectant les normes y relatives et, enfin, l’approvisionnement en produits alimentaires de première nécessité.
En définitive, cette équipe doit mobiliser toutes les ressources nécessaires pour résoudre les problèmes majeurs de la ville de Kinshasa, qui depuis un certain temps, sont devenus le quotidien de la population. C’est un challenge à relever pour l’équipe Daniel Bumba en vue de transformer Kinshasa en une ville moderne, salubre et sécurisée.
L’identité interculturelle à travers la mode et le textile, en République Démocratique du Congo a été au centre de la troisième édition de la conférence du festival ‘‘Kinshasa Mboka ya Masano’’ (KMM) au Musée National pour trouver des solutions valorisant la culture congolaise.
«L’identité interculturelle, demeure un combat des stylistes engagés pour trouver ensemble des solutions qui peuvent permettre au secteur de la mode d’éclore en vue de valoriser la culture congolaise en interne comme en externe», a déclaré Mme Lydia Nsambayi, initiatrice de ce festival qui réunit les chercheurs et les artistes de la mode.
«Cette conférence doctorale et scientifique revêt une importance capitale car elle nous offre l’opportunité de réunir les meilleurs esprits scientifiques, universitaires, et une expertise autour des enjeux et défis de notre ville de Kinshasa, cette cité dynamique et bouillonnante, qui ne cesse de nous émerveiller par sa vitalité et sa richesse culturelle», a-t-elle fait savoir.
Les réalités de Kinshasa ont été évoquées lors de cette conférence dans le but d’envisager des pistes concrètes pour son épanouissement, et imaginer la construction plus verte, de cette ville plus inclusive et plus prospère à travers la mode.
Au cours de ces assises l’entrepreneuriat et la communication étaient au cœur de ce moment interactif où l’esprit critique et la culture du débat ont été les moteurs du partage des connaissances.
Selon M. Bercky Kitumu, Prof. à l’Université des sciences de l’information et de la communication (UNISIC), le premier produit à vendre auprès du public c’est l’entrepreneur de la mode.
«Le but pour les professionnels de la mode est de savoir comment communiquer pour vendre et non sensibiliser la population pour qu’elle change leur mode vestimentaire. Le combat devrait être celui d’une communication marketing, comment arriver réellement à faire vendre nos vêtements. Pour ce faire, trois étapes de la communication doivent être en corrélation notamment l’étape cognitive, affective et conative », a-t-il dit
Toujours dans le cadre de la communication marketing, Aline Kimputu a, par ailleurs, ajouté qu’on choisit les canaux de transmission du message selon sa cible. Pour elle, il est donc important d’identifier sa cible au préalable pour communiquer efficacement avec un message qui est à la fois clair, cohérent et intact.
Deux stylistes des ateliers de confection des vêtements à Kinshasa à savoir, Mady Mbwaya, créatrice de la marque Mwinda et Noëlla Budjamabe Mosaka, initiatrice de Maison Moseka ont pris part à cette conférence pour partager leur expérience. Le défilé de mode a marqué la fin de cette conférence.
(Le Président de l’assemblée nationale, Vital Kamerhe et le DG du FPC Barbara Kanam)
La mise en application de la loi sur la réglementation du secteur de la publicité en République démocratique du Congo a été au centre de l’audience accordée au Directeur général du Fonds de Promotion Culturelle (FCP), Mme Barbara Kanam par le Président de l’Assemblée nationale, Vital Kamerhe, dans son cabinet du Palais du peuple, à Kinshasa.
«Nous avons approché l'autorité législative pour solliciter son implication en faveur d'une loi coercitive afin de réglementer la Publicité en RDC et contraindre par cette prescription, les opérateurs œuvrant dans le secteur, à s'acquitter de leurs obligations vis-à-vis de l'État à travers le Fonds de Promotion Culturelle », a déclaré le DG Kanam Barbara au sortir de l’audience.
Et d’ajouter : « cette démarche vise à financer de mieux en mieux le secteur culturel en RDC».
Profitant de l’occasion, Barbara Kanam a également évoqué la question de l’exécution de la dotation initiale au FPC conformément à l’article 5 de la loi 08/009 du 07 juillet 2018 portant dispositions générales applicables aux établissements publics. « Au cours de nos échanges, j’ai aussi sollicité une fois de plus l’implication de l’autorité budgétaire d’accompagner le FPC dans sa lutte pour l’exécution réelle de l’article 5 de la loi 08/009 du 07 juillet 2018 portant dispositions générales applicables aux établissements publics qui accorde au FPC le privilège d’être bénéficiaire d’une dotation initiale", a soutenu le Directeur Général du FPC.
Et de poursuivre : "Nous avons toujours attendu de l’Etat cette dotation qui constitue un avantage à notre établissement pour mieux s’organiser et répondre efficacement aux attentes des artistes et opérateurs culturels".
Très déterminée à travailler pour le bien-être des créateurs des œuvres de l’esprit, Barbara Kanam ne se repose pas sur ses oreillers. Jour et nuit, elle se bat bec et ongles pour répondre à ses attributions de promouvoir la culture congolaise dans toute sa dimension.
Avant de rencontrer le Président de la chambre basse du Parlement, le Directeur général du FPC a échangé avec Barnabé Muakadi, Directeur Général de la Direction Générale des Impôts (DGI). Leur entretien a tourné autour de la fiabilisation du répertoire des redevables du FPC suivant le modèle de la DGI dont la performance dans la collecte des impôts à travers le pays a été saluée par la majorité de congolais, confirment nos fins limiers.
Ils t'ont enterré, mais ta descendance est déterminée à immortaliser ton nom à travers nos écrits. Ton sacrifice, fait au nom de la cause noble qu'est la liberté d'expression, nous convainc, cher Franck, que tu es un véritable martyr de la liberté de la presse.
Ton courage et ton engagement, même face aux dangers les plus sombres, continuent d'inspirer ceux qui, comme toi, croient en un monde où la vérité et la justice doivent triompher.
En écrivant ces lignes, nous ne faisons pas que célébrer ta mémoire ; nous portons haut ton flambeau, jurant de poursuivre ton combat pour un journalisme libre et intègre.
Ta voix résonne encore dans nos cœurs et ton esprit demeure une source de force inépuisable.
Tu as payé le prix ultime pour que les générations futures puissent jouir d'un droit fondamental, et pour cela, nous te serons éternellement reconnaissants.
Repose en paix, cher père.
Ta mission sacrée ne s'éteindra jamais.
Nous continuerons à marcher sur tes traces, avec la ferme conviction que, grâce à toi, le monde sera un jour meilleur et vivra la vraie liberté d'expression.
*A partir de ce 1er août 2024, “Un plus à la pensée universelle” du journaliste Maghene Deba arrive dans les rayons des magasins de livres à Kinshasa et, puis, très bientôt, dans plusieurs autres villes de la RD. Congo. Avant la fin de l’année 2024, Maghene Deba prévoit d’organiser un Book Tour à travers les onze provinces de la RD Congo selon la configuration d’avant 2016 et prendre part aux cafés littéraires à Kinshasa pour y parler de son ouvrage.
Après de premiers accords entre l’auteur et cinq libraires dans la capitale congolaise - Tom William’s Lapidus, Maison du Savoir, Librairie de la Halle, Librairie Livres des Grands Lacs et Librairie de Rotana Hôtel, ces derniers pourront, désormais, distribuer ce premier livre auto-édité de l’auteur.
Juin 2024, il avait d’abord fait l’annonce de la parution de son livre sur ses comptes sociaux officiels et, depuis plusieurs jours maintenant, ce recueil de proverbes, maximes, pensées et réflexions se vend sur commande-livraison au pays et à l’étranger.
“Un plus à la pensée universelle” est un volume de 85 pages en deux parties : les proverbes, au nombre de 130, composent la première partie tandis que la seconde se compose des maximes, pensées et réflexions, au nombre de 60.
Cette nomenclature a évolué au cours de la quinzaine d’années que la rédaction a duré, de 2008 à 2024.
Car, initialement, il s’agissait uniquement d’un livre des proverbes, c’est-à-dire, des énoncés relativement courts farcis de philosophie avec une explication à côté, pour chacune d’elles.
Mais, n’ayant pas réussi à trouver une formulation concise et bien sentie pour chacune de ses idées, l’auteur a ajouté une seconde catégorie qui regroupe alors les maximes, les pensées et réflexions.
Ici, il s’agit des idées plus ou moins détaillées, une fois pour toutes. Ainsi, quand on lit le proverbe : “Ceux qui portent des cicatrices ont vaincu leurs plaies”, à côté, il y a l’explication : “Tous les combats de la vie laissent des marques visibles ou invisibles.
Mais, chaque marque révèle une épreuve à laquelle on n’a pas succombé” tandis qu’il n’y a aucune explication qui accompagne la maxime : “Chaque fois que vous faites l’impasse sur les conséquences/implications futures de vos actes, vous faites l’impasse sur la vie de vos enfants ou celle des leurs”.
Avant la fin de l’année 2024, Maghene Deba prévoit d’organiser un Book Tour à travers les onze provinces de la RD Congo selon la configuration d’avant 2016 et prendre part aux cafés littéraires à Kinshasa pour y parler de son ouvrage.
Qui est Maghene Deba ?
(Auteur) Maghene Deba est un journaliste indépendant et consultant en relations publiques basé à Kinshasa.
Il a notamment, collaboré ou collabore encore avec SciDev.net, VOA Afrique, CGTN Français.
Depuis 2020, il a écrit et réalisé quatre documentaires sous la bannière de sa maison de production, Maghene Médias SARLU, créée cette année-là et qui est orientée vers la production des documentaires.
Dans le but de promouvoir l’art et la culture congolais, Fy One way prod organise un méga festival en partenariat avec l’artiste musicien Ferré Gola dit « jésus des nuances », du vendredi 2 au dimanche 3 août 2024 au stade Tata Raphaël de Kinshasa. Annonce faite par M. Olivier Gene, directeur de Fy One way prod, lors d’une conférence de presse tenue le samedi 13 juillet dernier.
50 ans après qu’il a accueilli le combat du siècle opposant Mohamed Ali à George Foreman pour le titre de champion du monde poids lourd de boxe, le stade Tata Raphaël de la Capitale congolaise va abriter durant trois jours, la première édition de la solennité de Festi Gola initié par Fy One way production, en collaboration avec le musicien Hervé Gola, allias Ferre Gola. Le directeur de cette maison de production a fait savoir à l’opinion que, cet événement ne vise pas la promotion de l’artiste, mais plutôt de la culture congolaise.
‘’ Ferré Gola organise avec nous et nous aide. On fait un festival avec lui. Ce n’est pas un concert de Ferré Gola. On est pas centré sur lui, on n’est centré sur la culture’’, précisé Olivier Gene.
Cette initiative rentre dans le cadre de la découverte et de l’élévation des talents congolais cachés. Sur ce, cette cérémonie se veut la grande première pour une nation à vocation culturelle de haute qualité de l’histoire de la RDC. Elle comportera 70 emplacements sectionnés en 5 bandes consacrées chacune à une thématique littéraire et poésie, arts visuel et graphique, gastronomie congolaise, rumba congolaise, et la danse traditionnelle.
Fan de la culture congolaise, Fy One way production s’engage à propulser l’art congolais ainsi que ses artisans, dans le souci de l’exporter comme une richesse dans les coins et recoins de l’horizon. C’est ainsi que, l’accès à cette dernière sera libre pour faciliter à tout amoureux de l’art et de la culture d’y prendre part, et les organisateurs ont mis en place les stratégies efficaces pour la réussite de cette première édition tant sur le plan sécuritaire qu’organisationnel. Il sied de signaler également que plusieurs artistes de marques prendront part à ce festival.