Le camp des déplacés de Mugunga a été bombardé par l’Armée Rwandaise fauchant la vie de 35 civils. Le ministre de la Communication et des médias, Patrick Muyaya, est arrivé mardi 14 mai dernier dans la soirée dans la ville martyre de Goma pour participer à la cérémonie d’hommage et d’inhumation programmée mercredi 15 mai par le Gouverneur militaire du Nord-Kivu, le Général-major Peter Cirimwani.
«Nous voulons que ça soit un évènement qui nous rappelle la nécessité d’être unis face à l’agression », a déclaré le porte-parole du gouvernement. Le Ministre Patrick Muyaya est le troisième membre du gouvernement à descendre à Goma pour prendre part à cette cérémonie d’inhumation. Il a été précédé par les ministres des Droits humains et celui des Actions humanitaires et affaires sociales.
«Je me devais de faire le déplacement comme membre du gouvernement pour venir témoigner de l’appui du gouvernement et de la compassion pour toutes les familles éplorées», a-t-il insisté devant la presse, à l’aéroport de Goma, après avoir été reçu par le Gouverneur.
Il a révélé par ailleurs qu’un mémorial est en train d’être construit à Kibati pour honorer ces victimes. Ce mémorial sera, d’après les autorités congolaises dédié à toutes les victimes de la guerre du M23, soutenue par le régime de Paul Kagamé. Il a aussi rappelé l’objectif de rassurer la population que le gouvernement prend déjà des dispositions, notamment avec les Forces Armées pour voir comment, non seulement contenir l’aventure des agresseurs, mais aussi en finir avec ces agressions rwandaises.
«Aujourd'hui, nous pleurons nos morts. Autant que les larmes coulent de nos yeux, autant que nous subissons un déchirement intérieur, autant que le Président de la République et nous tous ici présents, ressentons dans notre être profond votre souffrance. Que ce deuil réveille en nous une dynamique de solidarité nationale. Soyez plus que rassurés que vous n'êtes pas seuls dans cette dure épreuve troublante et éprouvante. Il est plus que certain que la barbarie et les actes criminels perpétrés par Paul Kagame ne resteront pas impunis », a souligné Modeste Mutinga.
Les trente-cinq victimes de ces bombardements seront inhumées localement au cimetière des blancs. Un site d’environ 3 hectares des anciens combattants blancs et noirs tombés sur champ de bataille lors de la deuxième guerre mondiale Il a été réhabilité pour l’inhumation des victimes du vendredi 3 mai dernier.
Si l’histoire nous était contée, les Tanganyikais se souviendraient de ce qui s'était passé dans des années antérieures. Même l’inondation de 1964, l’année à laquelle le Premier Camp des cheminots de la Compagnie des Chemins de Fer des Grands Lacs, CFL en sigle, a été déplacé de la plage du Lac Tanganyika, un ancien site, pour être construit à Kaseke, le Lac Tanganyika n'avait pas atteint ce niveau de débordement.
La montée du niveau des eaux du Lac Tanganyika et de la Rivière Lukuga, perturbe la vie quotidienne des Kalemiards et paralyse les activités tant économiques qu’administratives de la ville.
Le Boulevard Lumumba, l'unique artère principal reliant la ville à ses 3 Communes, est entrecoupé par l’inondation à des différents endroits, rendant le transport en commun en vieillesse à telle enseigne que le prix de parcours soit revu à la hausse.
Le tronçon qui va du bâtiment « Blessing Tower » communément appelé « Lubungo » abritant la Banque « FINCA » au marché des Réfugiés à la jonction avec la Rue Kalemie, est submergé. Les usagers du boulevard et de la Rue Kalemie sont obligés de se déplacer par pirogue non pas pour pêcher du poisson, mais pour atteindre le centre-ville ou le Bloc Dav et ce, vice-versa. A cet endroit submergé, la population signale la présence des crocodiles.
Le même boulevard et inondé également par les eaux du Lac au niveau du Centre-Ville à partir de la BRASSIMBA jusqu'au niveau du Cercle des cheminots de la SNCC. Toutes les Institutions situées de part et d'autre de cet endroit sont inondés.
Pour ceux qui connaissent la ville, C’est le cas de la BRASSIMBA ; du siège de la Direction Provinciale de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS) ex INSS ; du Bureau de la SONAS ; des Bureaux et des Shop AIRTEL et ORANGE ; des Chalets des agents de la SNCC; de la Banque Afriland First Bank, et des bâtiments administratifs de l’Office Congolais de Contrôle (OCC) et de la Société Nationale d’Electricité (SNEL) et autres magasins, dépôts pharmaceutiques sont envahis et d’autres parmi eux sont fermés suite à l'avancée des eaux du Lac.
Les installations de la Société Nation des Chemins de Fer du Congo, Direction de la Région des Grands Lacs (SNCC - DRGL) dont son Port International sont sérieusement menacés. Les caves des dépôts des locomotives sont devenues des piscines pour les poissons. La Régie des Voies Fluviales (RVF) et les Commissariats Maritimes sont inondés.
Les habitants des blocs Kamkolobondo et ceux de Dav sont en quête des habitations ; les Etablissements Scolaires situés le long du Lac, sont engloutis par les eaux.
Les Ecoles détruites et les Bureaux menacés par l'avancée du Lac sont délocalisés. Les petits Ports COOMTB et JSK sont inondés.
A l'Etat actuel de choses, le bilan de dégâts causés par cette inondation ne serait que provisoire par le fait que le Lac et la Rivière Lukuga continuent leur avancée et leur agitation même à l'absence de pluies.
Le déplacement par véhicule, taxis, bajaj ou taxis-moto, est devenu un casse-tête à la suite de l’inondation du boulevard.
L’INONDATION EN IMAGES
Dans la ville, les avis sont partagés par rapport à la montée du niveau des eaux du Lac.
Pour sa part, La Prospérité a rencontré, dans la ville de Kalemie, un des Experts en la matière, l’Ingénieur Alfred NKULU, Expert en Infrastructures et Constructeur de formation, avec qui il s’est entretenu autour de l’inondation dans la ville de Kalemie.
Au cours de notre entretien à bâton rompu, M. Alfred NKULU a déclaré à La Prospérité que l’inondation est un fait naturel, néanmoins certaines d’entre elles sont provoquées par l’homme. C’est – à – dire, elles sont principalement liées aux conditions climatiques qui sont modifiées par le travail de l’homme sur base de la technologie et autres interventions inadaptées. Ce sont ces conditions - là qui sont à la base de l’inondation qui pousse les eaux au débordement.
M. Alfred Nkulu, Expert en Infrastructures
A titre exemplatif, prenons le cas du Lac Tanganyika et de la Rivière Lukuga. La Construction sur les flancs des collines qui surplombent la ville finit par créer les érosions, lesquelles finissent leur course dans le Lac, d’où l’ensablement du Lac.
L’Expert en Infrastructures ne s’est pas arrêté jusque – là, il a aussi parlé du non-respect de normes d’aménagement de Territoire et celles de l’Urbanisme, car il y a des sites appropriés à la régulation de l’écosystème que personne ne peut y habiter.
S’agissant des pistes de solution, l’Ingénieur Constructeur, M. Alfred NKULU en sa qualité d’Expert en Infrastructures a également déclaré que, je cite :
L’Etat est appelé à interdire les constructions archaïques qui obstruent le bon drainage dans la ville et qui contribuent à l’ensablement du Lac ;
Il est aussi appelé à mettre sur pied un Plan d’aménagement du Territoire pour faire face à la forte démographie constatée actuellement ;
Le respect des normes urbanistiques dont dépendent les équipements y relatifs notamment, les collecteurs du réseau et drainage d’eau ainsi que de déversoirs auxquels ils se rattachent.
La construction d’une digue de protection pour faire face aux éventuelles crues périodiques du Lac Tanganyika ;
Le dragage systématique du Lac Tanganyika ainsi que de la Rivière Lukuga son principal exutoire.
Dans le cadre d’un concours organisé chaque année par le génie en herbe sous le patronage de M. Mestouyellah Yubu, il s’est tenu, lundi 20 mai au Centre Wallonie Bruxelles, la finale sous le thème «Intellectuel Quiz : question réponse». Le duel a opposé les élèves du collège jésuite Bonsomi à ceux du collège Frère Alingba. Une finale disputée en présence de plusieurs autorités scolaires et des enseignants venus pour accompagner leurs élèves.
Les deux écoles habituées à la finale, cette fois- ci, se sont retrouvées dans une situation où chacune veut être au-dessus de l’autre. Un match à multiple rebondissements par la qualité des prestataires. Chaque élève cherchant à défendre l’honneur de son école.
Malgré cela, il y a eu un vainqueur qui a remporté comme en 2022. Il s’agit du collège Bonsomi qui a vaincu avec 160 points devant le collège Frère Alingba qui n’a eu que 90 points.
Bonsomi, cette école située dans la partie Est de la ville-province de Kinshasa, est un véritable trésor caché par la qualité de sa formation qui se confirme par ses nombreux élèves talentueux.
Le coordonnateur Mestouyellah Yubu, en voyant l’éclosion de ces talents des élèves du collège jésuite de Bonsomi n’est pas resté indiffèrent. Il a demandé aux autorités d’apporter leur soutien indéfectible à ces élèves qui incarnent un avenir radieux pour la RDC.
Le Professeur Emérite Jean Kambayi Bwatshia parmi les grands intervenants
Après une première expérience vécue en 2023 à l’occasion du trentième (30è) anniversaire de sa création, l’Université Officielle de Mbuji-Mayi (UOM) organise, du 23 au 25 mai 2024, son deuxième colloque International. Cette grande croisade internationale autour de la science aura lieu dans la salle de l’hôtel Métropole, à Mbuji-Mayi au Kasaï oriental.
Pour cette deuxième édition, le thème suivant est retenu : « Kambayi Bwatshia et les questions sociales Congolaises. Examens critiques et relectures contextuelles ».
Le Professeur Emérite Jean Kambayi Bwatshia à l’affiche parmi les intervenants
Ce colloque qui va s’étaler sur trois jours sera magnifié par la présence de plusieurs conférenciers de la République Démocratique du Congo (RDC) et d’ailleurs. Ces derniers vont réfléchir sur des questions sociales, abordées et exploitées par le Professeur Emérite Jean Kambayi Bwatshia.
En effet, de l’approche thématique et stratégique de ces deux colloques se veulent complémentaires, parce qu’ils sont deux moments pionniers qui cherchent à poser les bases de l’une des traditions qui instituent et constituent l’université comme espace consacré à l’étude approfondie, au débat contradictoire et au partage de connaissances.
Il sied de noter que le premier colloque international organisé par l’Université Officielle de Mbuji-Mayi s’était tenu du 22 au 24 juin 2023.
Pour cette première expérience, le thème suivant était retenu : « Monseigneur Tharcisse Tshibangu et l’Université congolaise : les défis d’un héritage».
Christopher Ngoyi, Coordonnateur Général de la SCRDC.
Dans un point de presse poignant tenu ce lundi 20 mai, la Société Civile de la RDC, par le truchement de son Coordonnateur Général Christopher Ngoyi, a condamné avec fermeté la récente tentative de putsch qui a secoué le pays. Des hommes armés ont attaqué le palais de la nation et la résidence du Vice-premier Ministre de l'Economie, Vital Kamerhe, plongeant le peuple congolais dans la stupeur.
Fidèle aux principes démocratiques inscrits dans la Constitution, la Société Civile a rappelé qu'au terme de l'article 64, dans son alinéa 2 de la constitution : « Toute tentative de renversement du régime constitutionnel constitue une infraction imprescriptible contre la nation et l’Etat. Elle est punie conformément à la loi ».
Criant haro, la Société Civile de la RDC exige que les auteurs et co-auteurs de cette entreprise macabre soient publiquement jugés et condamnés conformément aux lois de la République.
Saluant le courage et le professionnalisme des forces de défense et de sécurité pour avoir neutralisé les assaillants, la Société Civile appelle le peuple congolais à rester vigilant et uni autour de son Président et des institutions démocratiques.
En ces temps troublés, la RDC, terre de diversité et d'espoir, a plus que jamais besoin de l'unité de tous ses citoyens pour préserver la paix et la démocratie.
La Caritas international Belgique et ses partenaires de mise en œuvre, la Caritas Congo Asbl et le Service diocésain de la Diaconie ont procédé à la distribution des articles ménagers essentiels (AME) et du cash aux 271 ménages des retournés et familles hôtes vulnérables à Dumi village et Molokai, dans la ville province de Kinshasa. Cette distribution s’est déroulée du 02 au 03 mai 2024 au complexe scolaire de l’EP.Dumi et Institut Dumi en présence de Chef du quartier, Chef du Groupement, Commandant des Opérations et de l’infirmier titulaire de centre de santé Dumi.
Cette assistance s'est inscrite dans le cadre de réponse multisectorielle humanitaire auprès des ménages et communautés vulnérables, touchés par les crises soudaines liées aux conflits en RDC, financé par l’Union Européenne DG-ECHO.
Chaque ménage a reçu un Kit AME composé de deux marmites, une couverture, deux assiettes, une bassine, un petit sceau, un bidon d’eau de 20 litres, trois barres de savon. A cela s'ajoute une somme d’argent remis aux bénéficiaires selon la taille du ménage soit 150.000 FC pour la première catégorie, 220.000FC pour la deuxième catégorie et 300.000 FC pour la troisième catégorie enfin de satisfaire leurs besoins de base.
Après leur retour, la population de Dumi village et Molokai vivent dans des conditions difficiles suite au déplacement qu’ils ont effectué lors des attaques de Mobondo. Plusieurs de familles avaient abandonné leurs maisons et biens. Ils n’ont rien trouvé car leur biens ont été soit volés soit incendiés. Dans le milieu, il n’existe aucun marché ; les écoles fermées et à peine les Centres de Santé commencent à être visités avec une moyenne d’au moins deux malades par jour. L’accès dans cette zone est bon et sécurisé pour le moment, a indiqué Mr Tristan BONYENGA, Chargé de redevabilité au sein de Caritas Congo Asbl.
Il a précisé que cette assistance a été d’une importance vitale pour les retournés de Dumi du fait qu’elle vienne de soulager tant soit peu la souffrance des populations retournées. Il sied de noter que l’assistance a concerné que 10% de la population au niveau de Dumi village et Molokai, ainsi que ses environs.
Les critères de sélections des bénéficiaires à cette assistance étaient d’être un retourné au village depuis au moins 3 mois, avoir une famille complète (père, mère et enfants). A la rigueur, la famille qui ne comprenait que le père et la mère était aussi éligible. Des enfants en âge de scolarité sont très rares dans la contrée. On y voit que papa, maman et tous petits enfants, a-t-il fait savoir Mr Tristan.
En cette journée spéciale, je tiens à vous adresser mes vœux les plus sincères pour votre anniversaire. Devenir DG d'AfricaNews a été une étape marquante de votre carrière, et je suis honoré d'avoir eu l'opportunité de vous connaître et de bénéficier de votre bienveillance et encadrement .
Grâce à votre accueil chaleureux et à votre générosité, j'ai pu maîtriser les rouages du métier. Je vous en suis éternellement reconnaissant. Que cette nouvelle année de vie soit aussi rayonnante et enrichissante que vous l'êtes, pleine de joie, de succès et de bonheur.
À l'instar de la pluie nourrissant les plantes, que votre anniversaire soit le prélude à de grandes réussites dans tous vos projets, sous la bénédiction du Tout-Puissant.
Joyeux anniversaire AKM et que Dieu vous garde toujours.
A l'occasion de la journée internationale des Musées, célébrée 18 mai, une série d’activités a été organisée au Musée National de la RDC à Kinshasa. Au programme de cette journée, il s’est tenue une conférence sous le thème : « Musée, Education et Recherche ». Les intervenants ont souligné l'importance des musées dans la transmission du savoir, la promotion de la culture congolaise et la préservation du patrimoine voire la conservation des Archives. Cette conférence a connu la participation de certains membres du Gouvernement, du Directeur Général de l'Institut des Musées nationaux du Congo (IMNC) et tant d’autres invités.
En effet, quelques panelistes ont exposé sur les différentes thématiques ayant trait au thème principal. Cette journée a été l'occasion pour eux de partager leurs expériences et leurs réflexions sur la place des musées dans la société congolaise. Les échanges ont été riches et constructifs, mettant en lumière l'importance des musées en tant que lieux de transmission du savoir et de préservation du patrimoine culturel.
Pour sa part, le DG l'Institut des Musées nationaux du Congo (IMNC) a rappelé que le 18 mai est une journée internationale des Musées, décrétée par l’ICOM, qui est le Conseil international des Musées.
Puis, il a signalé que tous les professionnels des Musées célèbrent cette date sur base du thème international que l’ICOM propose, à titre d’exemple pour l’année 2024, cette journée a été placée sous le signe de : « Musée, Education et Recherche ».
Concluants ses propos, il a indiqué que cette célébration commence toujours par quelques journées portes ouvertes pour permettre aux communs de mortel de découvrir le musée, de comprendre son importance en tant qu’un centre culturel, un lieu d’éducation où se passe la recherche dans le domaine culturel.
Il sied, par ailleurs, de souligner qu’à travers cette journée internationale des Musées, la RDC a ainsi réaffirmé son attachement à la promotion de la culture et de l'histoire au truchement de ses musées implantés dans les différentes provinces du pays.
Les Agents et Cadres de la Société Nationale d’Electricité (SNEL), sont victimes d’un détournement de fonds de plusieurs millions de dollars américains, depuis 1999 à ce jour. Une mutuelle privée, une création des travailleurs, dénommée Caisse de Pension et Rentabilité Complémentaire, CPRC en sigle, est au banc des accusés. Elle prélevait jusqu’au mois d’avril dernier 6% au salaire de chaque agent en plus de 3% de la quotité traditionnelle que verse la Snel. Ce qui fait que chaque mois, 9% étaient encaissé par la CPRC. L’objectif de cette mutuelle au départ était d’améliorer les conditions de vies des Agents retraités à vivre en dignité pendant leur retraite et aussi de les épargner à la vie de clochard. Où est parti cette bagatelle somme d’argent de 1998 à nos jours ? Les agents de la Snel ont pris le taureau par le corne et invitent le Procureur Général de la République près la Cour de cassation et l’Inspection Générale des Finances à se saisir du dossier pour poursuivre les coupables.
Détournements et malversations - Au commencement était « la CPRC va changer la vie des travailleurs pendant leur retraite», et les agents n’ont pas tardé à tomber sous le charme des prouesses et des performances dans tous les domaines de cette « caisse bénie ». Devant la presse, à travers leur Avocat conseil, Me Hervé Issay Bompoto affirme que cette caisse a servi aux petits oignons de tous les hauts cadres qui sont passés à la tête de cette entreprise de l’Etat.
Selon les soutiens objectifs des agents de la Snel, cette assertion se vérifie chaque jour que Dieu a fait. Les agents qui sont en retraite touche plus ou moins 20.000 FC, lui qui cotisait près de 700.000 FC. La CPRC, disent les agents, ne fait non plus d’économie en publiant des rapports qui rassurent que leur Caisse fera d’eux après la retraite les agents le plus confortable dans leur vie de retraité.
S’il est indéniable sur le plan social que la caisse CPRC a fait des avancées, il n’en demeure pas moins que l’envers de la médaille est moins reluisant, explique-t-on à la presse le jeudi 16 mai 2024. Le quotidien des retraités rime toujours avec la cherté de la vie et la paupérisation omniprésente.
L’actualité ces derniers temps, bruit avec les cris des agents de la Snel qui épingle un certain nombre de structures de cette entreprise de l’Etat, des hauts cadres des directions qui sont impliqués dans la gestion des fonds des agents, précisément à l’évaporation dans la nature de l’argent du contribuable de la Snel.
L’année dernière, une présomption de détournement de fonds à hauteur d’un peu plus de 40 millions de dollars a été sans tracabilité. Les agents ont saisi la justice sur RC. 126.934 du Tribunal de Grande Instance de Kinshasa Gombe pour véritablement savoir de quoi il retourne!
Ainsi, aux belles performances miroitées aux agents et aux prouesses économiques que réalise la CPRC, il faudra désormais adjoindre, une autre prouesse, celle des malversations et des détournements de l’argent des agents qui espèrent vivre un meilleur à la fin de leur carrière.
La récurrence de ces détournements et autres malversations, à interroger plus d’un agent de la Snel qui du reste victime d’une arnaque depuis la signature du fameux contrat avec la Snel à travers cette mutuelle privée, sans personnalité juridique et c’est de manière frauduleuse qu’elle fonctionne. Les agents dénoncent par ailleurs que les statuts qui régissent la CPRC datent de 2021 alors que l’Arrêté ministériel portant agrément de cette structure date du 15 Février 2019.
Ils étaient de toute évidence poussés à signer un contrat non de manière libre plutôt par une adhésion non consensuelle. L’épaisse fumée qui a enveloppé cette affaire a été dissipée pour la première fois par l’Ambassadeur André-Alain Atundu Liongo alors Président du Conseil d’Administration qui interdisait le fonctionnement et surtout ne voyait pas l’opportunité de cette caisse.
Et comme si cela ne suffisait pas, le Directeur de la Gestion du Personnel ai et le Directeur du Département des Ressources Humaines a, par le biais d’un communiqué, signé conjointement la suspension à titre conservatoire des retenues des agents pour le compte de la CPRC.
Où est l’argent de retenue des agents de la Snel ? C’est la question qui taraude les esprits. Voilà pourquoi, les agents invitent le Procureur Général de la République près la cour de cassation et l’Inspection générale de Finances à se saisir du dossier parce qu’il est vraiment temps que soit mis un terme à l’impunité dont semblent bénéficier, tous ceux qui jusque-là sont accusés de détournement de l’argent des agents de la SNEL par la CPRC.
Ils réclament le remboursement de leurs quotités des salaires perçues frauduleusement à leurs comptes depuis la signature de leurs contrats jusqu’à ce jour.
Pour eux, la CPRC doit subir la rigueur de la loi après un procès, et être obligée de rendre ce qu’elle a frauduleusement soustrait aux agents, qui « ne voit même plus le diable pour tirer sa queue ». Ne pas le faire est une prime à l’impunité, qui est inacceptable. Le jour est arrivé où l’ivraie sera séparée du vrai.
Ira Beauté Plus, un nouveau-né dans l'univers de la beauté.
Ce nouveau salon mixte qui offre différents services de beauté, vient ajouter une touche spéciale par la technicité de son personnel.
Initiative de la journaliste Rtga, Irène Musune, l'Ongd Ira Beauté Plus vient promouvoir l'entreprenariat des jeunes filles et garçons passionnés dans ce métier. Le lancement des activités a eu lieu samedi 11 mai 2024, à travers une cérémonie inaugurale à la cité mama Mobutu à Mont-Ngafula, siège du salon.
Lancé le samedi 11 mai 2024 à Kinshasa, capitale congolaise. Ira Beauté Plus, comme l'indique le label, vient s'imposer dans l'univers de la beauté, en y apportant une touche particulière, un style élégant grâce à la technicité de son personnel.
Ce salon mixte à vocation de développement en faveur de la jeunesse congolaise est l'œuvre de la journaliste Rtga Irène MUSUNE KAPENGA MUYA, sa patronna.
Son inauguration hors pair, sous le MC de la journaliste Rtga Christelle Kasongo, s'est déroulée dans une ambiance festive et inédite en présence de plusieurs invités. Collègues de service, membres de l'association Tribune des Femmes des Médias TFM, famille, amis et connaissances.
C'est sous les applaudissements frénétiques de la foule qu'a débarqué la patronne de Ira Beauté Plus.
Première étape, la prière pour rendre grâce à Dieu.
Irène MUSUNE accompagné de son bien aimé l'administrateur Amélia MUYA un homme genré qui la soutient dans sa vision, a procédé par la suite à la coupure du ruban symbolique qui marque le lancement des activités, arrosé du vin sabré pour la circonstance.
Il s'en est suivi une visite d'exploration à l'intérieur du salon qui sent la classe, un salon qui répond aux exigences de la beauté.
Des moments pleins d'enthousiasme !
La responsable du salon, Irène MUSUNE se félicite pour son premier né, dans le monde du business, de l'entreprenariat, au service de la jeunesse.
La number one de Ira Beauté Plus nourrit les ambitions de l'implanter dans d'autres coins de la capitale dans l'avenir, et même à travers le pays.
" Mon premier sentiment c'est d'abord celui de rendre grâce à Dieu, le père Eternel, le Dieu tout puissant, qui m'a fait grâce de monter une affaire et de me plonger dans le monde de l'entreprenariat, et spécialement dans la filière beauté, je ne sais donc pas comment exprimer ma joie parce que là, j'ai le sentiment d'une douleur d'enfantement qui donne finalement naissance à un nouveau né. Et donc, Ira Beauté Plus est ce nouveau né dans le monde cosmopolite dominé par la mode, et ses corollaires. Nous rejoignons tous ceux là qui œuvre dans ce secteur qui promeut le bien être, sur le plan physique, anatomique, esthétique, capillaire etc.
La mode, la beauté devient un business incontournable, une dynamique mondiale, j'encourage les jeunes à oser d'entreprendre dans ce secteur, à se former.
Pour ma part, la passion dans ce métier a débuté depuis ma tendre enfance, je ne suis pas passée par des instituts de beauté, mais j'ai l'art de la beauté dans le sang. Ceux qui me connaissent savent ce que je dis.
Ira Beauté qui j'ajoute parmi tant d'autres, apporte une touche particulière par sa technicité. La beauté rime avec l'état d'âme. Pour avoir la finition, un résultat parfait ça dépend aussi de l'état d'esprit qui anime la coiffeuse ou la cliente qui doit faire le travail avec un cœur disposé, et plein de joie et d'amour. Je crois que les résultats en dépendent pour arriver au relooking à cette métamorphose aujourd'hui. Ira Beauté Plus entreprise à vocation de développement, et donc une Ongd qui au-delà de l'investissement, veut rendre service aux autres. C.-à-d. encourager les jeunes filles et garçons à mettre en jeu leur talent, et aussi entreprendre pour arriver à s'autosuffir. Nous offrons donc de l'emploi au-delà du bien être que procure l'art de la beauté, du bien être. C'est ça le sens de cet investissement.
Venez vous faire beau et belle chez Ira Beauté Plus, vous ne serez pas déçu." A déclaré la propriétaire du salon madame Irène MUSUNE.
Pour sa part, la coiffeuse doyenne qui compte une expérience solide de plus de 20 ans dans le domaine de la beauté, rappelle la nécessité de former la jeunesse pour une meilleure relève.
" Avec Ira Beauté Plus, nous allons encore mettre plus de sauce, augmenter le niveau du travail, car nous avons besoin de former les jeunes filles à s'affirmer dans le travail, c'est en même temps une Ongd qui va les former pour maîtriser davantage les B.A. BA du métier et donner les meilleurs d'eux pour satisfaire la clientèle.
C'est ainsi qu'ils seront utiles pour le pays. Nous sommes là ouverts à toutes les catégories de personnes, et cherchons à promouvoir l'emploi au profit des jeunes filles et garçons qui ne maîtrisent rien.
Oui, plus de 20 ans dans le métier à rude concurrence aujourd'hui, à travers la planète. Ce métier exige la maîtrise de soi, face à différents types de clients que nous rencontrons. Savoir calmer le stress et autres émotions, rassurer le client pour qu'il se sente bien dans sa peau.
Les activités sont lancées, les portes de Ira Beauté Plus sont désormais ouvertes au grand public, ce salon mixte offre ses services aux hommes et femmes désireux de se faire beau et belle.
Ira Beauté Plus : l'excellence, la classe et le professionnalisme à la portée de tous !