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Auteur des quatre ouvrages et co-auteur du livre L’Enseignement s’interroge…Pascal KABAMB'a et Victor Wakwenda inondent le marché Congolais !


Victor WAKWENDA, co-auteur et Pascal KABAMB'a, auteur

Guillaume Karogo, Directeur Chef de service des programmes scolaires portant ces ouvrages sur les fonts baptismaux L'auteur, Inspecteur KABAMB'a TSHIBANG Pascal, présente quatre ouvrages lors d'une cérémonie de vernissage des ouvrages.
Une avancée majeure dans le domaine de l'enseignement et de la santé en RDC.
Samedi 30 septembre 2023, une cérémonie de vernissage des ouvrages a eu lieu, marquant la présentation de nouvelles réalisations dans le domaine des ouvrages. L'inspecteur KABAMB'a TSHIBANG Pascal, auteur principal, et son co-auteur WAKWENDA BUKASA Victor ont présenté quatre ouvrages lors de cette occasion mémorable.
La cérémonie a débuté par une prière d'ouverture prononcée par Monsieur le Curé de la Paroisse Saint Cyprien, suivie de l'hymne national. Thodd NYARUBASA a ensuite prononcé un mot de circonstance, exprimant sa gratitude envers tous les participants. Il a souligné que cette présentation d'ouvrages marquait la naissance d'une nouvelle ère dans le domaine de l'ouvrage et que quatre ouvrages allaient être présentés lors de cette cérémonie.
L’Inspecteur KABAMB'a TSHIBANG Pascal, qui compte plus de 50 ans d'expérience dans l'enseignement, a été présenté en tant qu'auteur principal des ouvrages. Originaire de la Province de Lomami, il a travaillé dans différentes institutions de l'enseignement au cours de sa carrière.
Son co-auteur, WAKWENDA BUKASA Victor, également doté d'une expérience de plus de 50 ans dans l'enseignement, a participé à l'écriture de l'ouvrage intitulé "L'enseignement s'interroge".
L'ouvrage "L'ENSEIGNEMENT S'INTERROGE ! Cas du Congo ex-Zaïre" offre, quant à lui, une analyse approfondie de l'état de l'enseignement en RDC, mettant en évidence les problems, tels que les déperditions scolaires massives, les difficultés rencontrées par les étudiants lors des examens nationaux et les pratiques d'antivaleurs généralisées. Les auteurs, en tant qu'inspecteurs du Ministère de l'Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, ont cherché à expliquer ces problèmes et à proposer des solutions réalistes.
Ce livre est, en effet, une méditation et une alerte pour les parents, les acteurs pédagogiques, les planificateurs et les décideurs en matière d'enseignement et d'éducation en RDC.
La collection "NOUS MANGEONS MAL !" met l'accent tout particulier sur l'importance de la santé et de l'éducation à la santé dès le plus jeune âge. Elle aborde divers aspects de la santé, allant de l'alimentation aux changements climatiques, en passant par les états psychologiques.
L'initiateur de cette collection encourage les lecteurs à remettre en question leurs habitudes alimentaires et de consommation, en mettant à leur disposition les acquis scientifiques et les connaissances des spécialistes de la santé. Cette collection vise à sensibiliser les adultes à l'importance d'une alimentation saine et à promouvoir un changement de mentalité.
La cérémonie de vernissage a été l'occasion, pour les invites, de poser des questions aux auteurs des ouvrages. Guillaume Karogo, Directeur Chef de service des programmes scolaires au Ministère de l'Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, a procédé au vernissage des ouvrages, marquant ainsi leur officialisation.
La cérémonie de vernissage des ouvrages a été, enfin, marquée par la présentation de nouvelles réalisations majeures dans le domaine de l'enseignement et de la santé en RDC. Les ouvrages présentés par l'inspecteur KABAMB'a TSHIBANG Pascal et son co-auteur WAKWENDA BUKASA Victor offrent des perspectives intéressantes sur les défis rencontrés par le système éducatif congolais et promeuvent une meilleure hygiène de vie grâce à une alimentation équilibrée. Ces ouvrages constituent une sorte de bréviaire pour tous les curieux et chercheurs du monde entier. Ils sont disponibles et accessibiles à tous sur le marché.
Célestin Lubo

 

Auteur des quatre ouvrages et co-auteur du livre L’Enseignement s’interroge…Pascal KABAMB'a et Victor Wakwenda inondent le marché Congolais !
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Projet ‘’un hectare pour un étudiant’’ : Patrick Onoya présente des partenaires techniques !


Après l’acquisition de plus de mille hectares à Songololo, dans la province du Kongo Central, pour le démarrage de son projet philanthropique ‘’Un hectare pour un étudiant’’, Patrick Onoya passe à la vitesse supérieure. Le samedi 30 septembre dernier, le lobbyiste et expert en investissement a présenté, devant les étudiants de l’Université de Kinshasa et le corps académique de cette Alma mater, quelques partenaires techniques pour la réalisation de ce projet. «Projet un hectare pour un étudiant : en quoi cela consiste et comment y remédier ? », était le thème retenu au cours de ce colloque.
Sur place, l’initiateur dudit projet, Patrick Onoya Ntambwe, a souligné que le projet Un hectare pour un étudiant est dans la phase décisive. Celle de la réalisation proprement dite et des partenariats. Sur le champ, le lobbyiste a présenté les canaux pour atteindre le projet. Un site internet ‘’ www.unhectare-etudiant.com ’’ et une application mobile ‘’Mon Hectare’’.
Poursuivant son intervention, Patrick Onoya a donné en grandes lignes, les raisons qui l’ont poussé à faire un échange dynamique avec les universitaires d’une autre faculté. « Il était plutôt question de s’armer des techniciens donc des agronomes; capables d’accompagner le projet dans sa phase pilote. Car, à Songololo, nous voulons cultiver 1.000 hectares de manioc pour entrer dans la dynamique du ministère de l’industrie en ce qui concerne notamment la fabrication ou la production des pains au travers la farine de manioc panifiable », a-t-il déclaré.
De plus, à l’en croire, cette conférence a été tenue dans le but de « s’assurer que nous avons les partenaires techniques qui conviennent car ici c’est la sommité en matière d’agronomie en RDC. Et nous sommes en train d’espérer que le projet un Hectare pour un étudiant va pouvoir avoir l’accompagnement qui convient ».
Après l’obtention récemment de plus de cent milles hectares des terres à Songololo, Patrick Onoya a précisé que la première campagne de ce projet sera lancée à partir du mois de décembre 2023.
Fidel Songo

 

Projet ‘’un hectare pour un étudiant’’ : Patrick Onoya présente des partenaires techniques !
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Jean-Lucien Bussa : ‘‘La RDC a intérêt à capitaliser de sorte à tirer les meilleures parties de la ZLECAf’’


Jean-Lucien Bussa face à la presse



En sa qualité de Ministre du Commerce Extérieur, Jean-Lucien Bussa Tongba a participé à la 1ère réunion de la Coordination du Comité National de mise en œuvre de la Zone de Libre-Echange Continentale Africaine en RDC (CN-ZLECAf), projet pour lequel il s’était mobilisé, il y a quelques années, pour son adoption au Parlement congolais par le truchement d’un face-à-face avec la représentation nationale. En effet, cette réunion s’est déroulée le jeudi 28 septembre 2023, à l'Immeuble du Gouvernement, et présidée par le Premier Ministre Sama Lukonde qui a formulé ses félicitations pour la tenue effective de cette rencontre, qui marque une phase décisive dans le démarrage des activités de la ZLECAF en RDC.
Défis énormes
Au sortir de cette importante séance de travail, face à la presse, Jean-Lucien Bussa a révélé que des défis des politiques macroéconomiques robustes, infrastructurels, de connectivité à l’intérieur du pays et les pays limitrophes se posent à la RDC.
«On peut retenir deux choses, principalement la première, c'est le lancement officiel de l'opérationnalisation du Comité National de suivi de la Zone de Libre-Echange Continentale Africaine. Il s'est agi, pour le Premier Ministre, de nous donner des orientations très claires sur la manière dont nous devons nous y mettre afin que la Zone de Libre-Echange Continentale Africaine soit l'occasion par laquelle la République démocratique du Congo tire son économie vers le haut en améliorant ses échanges, mais aussi en améliorant le volume des investissements. On a relevé beaucoup d'enjeux par rapport à la mise en œuvre de la Zone de Libre-Echange Continentale Africaine, l'enjeu le plus important, c'est que le revenu des Africains peut s'accroître lorsque la Zone de Libre-Échange Continentale Africaine est mise en œuvre de manière efficace. La pauvreté peut être réduite. Le coût des investissements peut aussi être réduit. Pour le prix des biens et services, l'enjeu est tel qu'aucun pays ne peut se permettre de pouvoir se rétracter. Et la République démocratique du Congo, qui occupe une position stratégique au cœur de l'Afrique, a intérêt à pouvoir capitaliser de sorte à tirer les meilleures parties de Zone de Libre-Échange Continentale Africaine », a-t-il affirmé.
Mot du Premier Ministre
En sa qualité de Président de cette importante commission nationale, le Premier Ministre Jean-Michel Sama Lukonde a rappelé, d’entrée de jeu, la nécessité de ce rendez-vous marquant l’opérationnalisation des projets de la ZLECAf en RDC.
« Ce jour, je vous ai conviés à prendre part à ce grand rendez-vous officiel au cours duquel j'ai résolu de rendre opérationnel le comité national de mise en œuvre de la Zone de Libre-Echange Continentale Africaine en République démocratique du Congo, CN-ZLECAF en sigle. Comme d'aucuns le savent, l'objectif principal de la Zone de Libre-Echange Continentale Africaine, ZLECAF, est de créer un marché unique des biens et services pour faciliter la libre circulation des personnes et des investisseurs ainsi que de jeter les bases d'une union douanière continentale. Le rapport de la Banque Mondiale 2020 sur les effets économiques et distributionnels représente une véritable occasion de stimuler la croissance, de réduire la pauvreté et d'élargir l'inclusion économique dans les pays africains. En développant le commerce intra-africain, en abaissant le coût des échanges et en rationalisant les procédures aux frontières, la mise en œuvre effective de la ZLECAF aidera les pays africains à renforcer leur résilience face à de futurs chocs économiques et à mettre en place les réformes de fond nécessaires pour stimuler la croissance à long terme », a déclaré Jean-Michel Sama Lukonde.
En effet, le Chef du Gouvernement a souligné que la mise en œuvre efficace de la ZLECAF dans un pays fait, par ailleurs, appel à une participation stratégique et coordonnée des parties prenantes.
«Grâce à ce décor, vous noterez avec moi que la Zone de Libre-Échange Continentale Africaine est une réelle opportunité. Sa mise en œuvre efficace dans un pays fait, par ailleurs, appel à une participation stratégique et coordonnée des parties prenantes. Dans son organisation et son fonctionnement, le CN-ZLECAF s'est plié à l'exigence de prendre en compte toutes les parties prenantes concernées, en l'occurrence le secteur public, le secteur productif, le secteur lié au développement des infrastructures et du secteur financier, le secteur privé, la société civile, le monde scientifique et les partenaires au développement. Il a pour mission d'assurer la coordination stratégique et le suivi-évaluation de la mise en œuvre de la Zone de Libre-Échange Continentale Africaine (ZLECAF) en République démocratique du Congo. Les ressources du CN-ZLECAF émargent aux budgets du ministère du Commerce extérieur. Elles proviennent aussi des contributions des partenaires au développement », a-t-il fait remarquer.
Aussi, a-t-il salué la mobilisation des membres de la coordination de la mise en œuvre de la ZLECAF.
« Votre présence à cette 1ʳᵉ réunion de la coordination du CN-ZLECAF, en qualité des membres de la coordination du CN-ZLECAF, justifie de votre engagement pour une mise en œuvre effective et cohérente de la ZLECAF au sein de la République. Je vous en félicite. Ainsi, je rends opérationnel, ce jour, le Comité de mise en œuvre de la Zone de Libre-Échange Continentale Africaine en République démocratique du Congo, CN-ZLECAF en sigle et vous invite, chacun dans sa sphère des compétences, à vous approprier cet outil de mise en œuvre de la ZLECAF en RDC », a conclu le Premier Ministre.
La Pros.

 

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Paul Nsapu: ‘‘La femme mérite honneur et respect, parce qu'elle est un être humain d'abord’’

Paul Nsapu Mukulu, Président de la Commission Nationale des Droits de l'Homme (CNDH), est intervenu, vendredi 29 septembre dernier, à la campagne de sensibilisation des femmes et jeunes filles à leurs droits en République Démocratique du Congo (RDC). Une initiative de la Fondation Chris Ngal, en collaboration avec la section Genre de la Mission des Nations Unies pour la stabilisation au Congo (MONUSCO), la Société Civile ainsi que de la CNDH dans le cadre du projet « Zéro violation des droits des femmes à l'horizon 2050 », qui va s'étendre dans des écoles, des universités, des centres des femmes pour former le Réseau des femmes et jeunes filles défenseures de leurs droits.
Observation objective
A cette rencontre, Paul Nsapu a souligné le principe instituant l’accès aux droits fondamentaux par les femmes et les jeunes filles, au même titre que tous les autres citoyens. « En effet, parmi les principes qui sont à la base des droits de l'homme figurent aussi l'égalité et de non-discriminatoire. Il est donc clair qu'en vertu du droit international des droits de l'homme, et du droit de l'homme, toutes les femmes, jeunes filles y comprises doivent jouir pleinement de leurs droits fondamentaux au même titre que les autres citoyens », a-t-il déclaré.
Et d'ajouter : « Force est de constater que les femmes restent victimes des violations graves des droits de l'homme en raison des us et coutumes rétrogrades, des attitudes et pratiques qui reposent sur des idées préconçues de la supériorité ou de l'infériorité en fonction du sexe d'une personne, qui se traduit par l'adage: la femme est un être faible ».
Appui des textes
Dans son intervention, le Président de la CNDH a établi le pont avec les instruments internationaux et régionaux qui reconnaissent les droits de la femme. Il s'agit notamment de la Convention sur l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes, le protocole à la Charte africaine des droits de l'homme et des peuples relatifs aux droits des femmes en Afrique.
« En RDC, le nouveau code de la famille révisé en 2016, apporte des avancées significatives sur le plan de l'égalité entre l'homme et la femme dans le domaine de la vie sociale. Je cite les articles 444, 445, 448, 451, etc. », a-t-il indiqué.
Vœu de la CNDH
Pour Paul Nsapu, le respect de la femme est un droit dont on ne peut lui priver.
« La femme mérite honneur et respect, parce qu'elle est un être humain d'abord. Dans ce contexte lié au respect de la race humaine, la parité vaut son pesant d'or. Le vœu de la CNDH-RDC qui milite pour la promotion et la protection des droits de la femme est de voir ce forum examiner notamment comment l'ODD 5 peut être mis en œuvre par l'Etat congolais pour garantir les droits des femmes et des jeunes filles, comprendre et identifier les lacunes et les obstacles dans la mise en œuvre des droits reconnus aux femmes et aux jeunes filles par les instruments internationaux, régionaux et nationaux », a-t-il conclu.
La Pros.

Paul Nsapu: ‘‘La femme mérite honneur et respect, parce qu'elle est un être humain d'abord’’
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Vers les élections 2023, RDC: les Confessions Religieuses saluent les initiatives de la CENI

 

*Les Chefs des confessions religieuses ont exprimé leur reconnaissance envers la Commission Clectorale Nationale Indépendante, CENI en sigle, pour les avoir associés aux cadres de concertation organisés avec les différentes parties prenantes du processus électoral en cours en RD. Congo.
Dans un communiqué publié après une plénière extraordinaire, les Chefs des Confessions Religieuses ont salué l'initiative de la CENI consistant à organiser plusieurs cadres de concertation avec les partis politiques, les organisations de la société civile, les médias, les femmes, les jeunes, les personnes vivant avec handicap, les peuples autochtones et pygmées. Ils ont souligné que ces rencontres favorisent l'appropriation du processus électoral par toutes les parties prenantes et renforcent la confiance.
Ils félicitent également toutes les parties prenantes pour leur participation active et leur invite à promouvoir le sens de la responsabilité et l'amour de la patrie afin que chaque partie prenante soit, dans la mesure de son rôle, artisan de ces élections que nous voulons tous démocratiques, transparentes, inclusives, crédibles et apaisées.
Les Chefs des Confessions Religieuses encouragent, par ailleurs, la publication, par la CENI, des listes définitives des candidats députés nationaux par circonscription électorale, une preuve de plus qui rassure les Congolais sur la tenue des élections en décembre 2023.
Ils fustigent, cependant, le nombre particulièrement élevé des candidatures aux législatives nationales, provinciales et communales qui, à leur avis, pourrait poser des défis en termes de transparence et de crédibilité du processus électoral.
Ils exhortent, néanmoins, les candidats, les partis et regroupements politiques à prendre des décisions utiles pour avoir des témoins avertis dans les bureaux de vote afin de garantir la transparence et le sens de fair-play électoral en cas d'échec.
Enfin, les chefs des Confessions Religieuses exhortent le gouvernement à continuer à financer les opérations électorales à temps, afin de permettre à la CENI de bien accomplir sa mission d'organiser des bonnes élections en RRC dans le délai constitutionnel.
Célestin Lubo

Vers les élections 2023, RDC: les Confessions Religieuses saluent les initiatives de la CENI
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Stanis Bujakera : l’ODEP exige sa libération !


Dans le cadre de la campagre #FreeStanis, l'Observatoire de la Dépense Publique (ODEP) et l'Association Africaine de Défense des Droits de l'Homme (ASADHO) vous invitent à la Conférence de presse qu'ils organisent lundi 2 octobre 2023 pour exiger la libération du journaliste Stanis Bujakera.
Stanis Bujakera est accusé de « faux en écriture, falsification des sceaux de l’Etat », « propagation de faux bruits », et « transmission de messages erronés et contraires à la loi ». Il risque jusqu’à 10 années de prison, plus encore si les peines sont cumulées en raison d’une disposition du nouveau code du numérique.
Il est mis en cause pour un article de Jeune Afrique qu’il n’a pas signé.
Heure : 10h00’
Lieu : Service de documentation et d'Etudes (SDE), Ministère de la Justice, Kinshasa ; Avenue Mbuji-Mayi.
Référence : Supermarché S&K à côté du siège de la CNSS (Boulevard du 30 juin

Stanis Bujakera : l’ODEP exige sa libération !
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Maryse Guilbeault nommée ambassadrice du Canada en RDC


Maryse Guilbeault, ambassadrice du Canada en RDC
*Le gouvernement canadien a annoncé la nomination de Maryse Guilbeault comme nouvelle ambassadrice du Canada en République démocratique du Congo (RDC). Diplomate aguerrie, elle prend la relève de Benoît-Pierre Laramée après avoir occupé des postes de responsabilité dans différentes ambassades du Canada en Amérique latine. Cette nomination intervient dans un contexte de renforcement des relations bilatérales entre le Canada et la RDC.
Maryse Guilbeault est une diplomate chevronnée qui a passé près de trente ans au service d'Affaires étrangères et Commerce extérieur Canada. Elle s'est spécialisée dans les relations avec l'Amérique latine, où elle a occupé plusieurs postes à l'administration centrale et dans différentes ambassades du Canada. Sa nomination en tant qu'ambassadrice du Canada en RDC vient renforcer les liens déjà existants entre les deux pays.
La RDC est un partenaire stratégique pour le Canada en Afrique centrale. Les deux pays coopèrent dans de nombreux domaines, tels que la sécurité, le développement économique, la promotion des droits de la personne, la lutte contre les changements climatiques, la santé et l'éducation. La nomination de Maryse Guilbeault devrait permettre de consolider cette coopération en renforçant les liens diplomatiques entre les deux pays.
Les relations entre le Canada et la RDC ont connu une certaine tension ces dernières années en raison des allégations de corruption et de violations des droits de l'homme qui ont éclaboussé le régime de l'ancien président Joseph Kabila. Toutefois, le gouvernement de Félix Tshisekedi a entrepris des réformes pour améliorer la gouvernance et la transparence en République démocratique du Congo.
Dans ce contexte, l'arrivée de Maryse Guilbeault en tant qu'ambassadrice du Canada en RDC est perçue comme un signe de confiance dans les réformes entreprises par le gouvernement congolais. Son expérience en matière de diplomatie et de gestion des relations bilatérales devrait permettre de renforcer la coopération entre les deux pays dans les années à venir.
Maryse Guilbeault a travaillé pendant quatre ans comme ambassadrice du Canada au Salvador, où elle a contribué à améliorer les relations entre les deux pays.
Avant cela, elle a occupé différents postes à l'administration centrale d'Affaires étrangères et Commerce extérieur Canada notamment, dans les domaines des ressources humaines et des relations avec l'Amérique latine.
La nouvelle ambassadrice du Canada en RDC a également travaillé dans plusieurs ambassades du Canada en Amérique latine, notamment au Chili, au Pérou et au Guatemala. Elle a une solide expérience en matière de diplomatie et de gestion des relations bilatérales, ce qui devrait faciliter son travail en République démocratique du Congo.
La nomination de Maryse Guilbeault, en tant qu'ambassadrice du Canada en RDC est une excellente nouvelle pour les relations bilatérales entre les deux pays.
Elle devrait être en mesure de consolider la coopération entre le Canada et la RDC, en travaillant notamment à renforcer les liens diplomatiques entre les deux pays.
Sa nomination est un signe de confiance dans les réformes entreprises par le gouvernement congolais, et devrait permettre de construire un partenariat stratégique plus solide entre le Canada et la RDC dans les années à venir.
Célestin Lubo

 

 

Maryse Guilbeault nommée ambassadrice du Canada en RDC
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Présumée annexion d’une partie du groupement Busanza par l’Ouganda ; Honorable Juvenal Munubo adresse une question orale à Christophe Lutundula

Suite aux préoccupations croissantes exprimées par la population locale concernant l'occupation présumée de leur terre par l'Ouganda, le député national Juvenal Munubo a déposé, le jeudi 28 septembre 2023, une question orale avec débat au ministre des affaires étrangères et francophonie, Christophe Lutundula. A cette occasion, le concerné devra s’expliquer sur les récentes allégations d’annexion d’une partie du groupement Busanza, dans le Rutshuru par l’Ouganda.
A en croire cet élu du peuple, plusieurs sources locales en territoire de Rutshuru, province du Nord-Kivu, font état de l’annexion d’une partie du Groupement Busanza par l’Ouganda, pays voisin.
Juvenal Munobo a laissé entendre que la situation s'est aggravée après que des témoins oculaires ont signalé que des délégations ougandaises avaient commencé à placer de nouvelles bornes frontalières dans la région, dépassant de plusieurs kilomètres la frontière congolaise, annexant ainsi une partie du territoire de Busanza.
Il a affirmé, cependant, que devant ces allégations, la population qui vit déjà sous l’emprise de la rébellion du M23 est prise de panique. Il pense également que ces affirmations ont suscité des inquiétudes quant à la souveraineté nationale et à l'intégrité territoriale de la RDC.
C’est dans ce qui justifie, en clair, la question orale avec débat adressée au ministre des Affaires étrangères afin que ce dernier s’explique sur les récentes allégations d’annexion d’une partie de territoire de la région de Busanza et ainsi éclairer les lanternes.
Le Député a, par la même occasion, exhorté le gouvernement congolais à enquêter d’urgence sur cette situation et à s’assurer que les limites frontalières soient rétablies conformément au droit international.
Par ailleurs, les membres du mouvement citoyen Lucha ont également exprimé leur préoccupation, mettant en garde contre les conséquences potentielles de cette situation sur la souveraineté de la RDC. Ils ont appelé le peuple congolais à se mobiliser pour protéger leur patrie en danger.
Nelly Somba

 

Présumée annexion d’une partie du groupement Busanza par l’Ouganda ; Honorable Juvenal Munubo adresse une question orale à Christophe Lutundula
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