*‘’J'appelle donc le Président Félix Tshisekedi à s’impliquer, non pas en sa qualité actuelle de candidat à la réélection mais, en tant que garant du bon fonctionnement des institutions, pour que le Conseil d'Etat tranche avant l'échéance de validation des candidatures présidentielles expire. Et le Conseil d'Etat doit être tenu responsable et reconnaître les erreurs commises en laissant passer le temps et faire le nécessaire pour que je puisse jouir de mes droits de candidat à la présidentielle cette année’’, déclare, dans une Tribune, Sekimonyo Jo M. au sujet de sa candidature dont l’affaire est encore pendante devant le Conseil d’Etat.
‘’On dit que la justice élève la nation. J'ai dit que la justice est ce qui justifie l'existence d'une nation en tant que ciment social et politique chargé de créer une notion de certitude pour le commerce. Ce faisant, la citoyenneté devient une expérience agréable pour tous. Concernant la bataille nant le Conseil d'Etat, il n'y a aucune raison de paniquer. Toute âme saine qui pourrait digérer et comprendre la manœuvre de mon équipe, je suis dans le bon. Même si la CENI crie à la fin du match et à la victoire, elle devra se plier à l’arrêt de la Cour. Pis encore pour le Conseil d’Etat, le nœud est devenu encore plus complexe et plus serré au niveau du cou. Si le Conseil d’Etat s’était prononcé dans le délai de 48 heures, que ce soit mercredi ou jeudi, et s’était rangée pour un mauvais motif du côté de la CENI, mon équipe aurait eu suffisamment de temps pour s'ajuster et mettre en œuvre rapidement le plan B. Là encore, je ne nierais pas avoir vécu à plusieurs reprises certaines bévues de la part des acteurs paranoïaques dans leur quête de protection du système ou du pouvoir en place par tous les moyens nécessaires. Au-delà de son héritage et de la crédibilité qu’il recherche pour le cycle électoral actuel, c’est une question de pertinence.
’’, Explique-t-il, dans sa tribune reprise, ci-dessous.
Tribune
Plaidoyer pour un Etat de Droit, l’implication de Félix Tshisekedi sollicitée…
*On me reproche souvent de faire de la politique à l’américaine en RDC. Cela pourrait être vu ainsi parce que ma démarche et mes stratégies pour faire de la démocratie congolaise, une démocratie sont étroitement liées à des positions idéologiques au lieu d'être ancrées sur ce qui est établi comme une réalité humiliante ou pour plaire à une soi-disant autorité morale.
Il n’est donc pas surprenant que j’aie choisi pour rester cohérent avec ma position idéologique qui met en avant, mon combat pour le droit des citoyens ordinaires à participer à notre démocratie, non seulement en tant qu’électeurs mais, surtout, en tant que candidats.
Sur la base de ce principe, il y a une bataille au Conseil d'Etat avec l'Etat et la CENI au sujet de ma candidature à l'élection présidentielle de cette année.
En raison d'un « trébuchement » administratif imprévu au Conseil d'Etat, au lieu du vendredi 29 septembre 2023, l'audience sur la requête en référé-liberté ROR 697 s'est tenue le lundi 2 octobre 2023. Le juge a insisté pour que nous déposions la note de plaidoirie dans les 24 heures afin qu'il puisse à son tour statuer 48 heures plus tard, le mercredi ou jeudi, le délai requis pour une requête en référé-liberté.
Ce qui a été fait. Je l'ai déposé le mardi 3 octobre 2023.
Cela a laissé une large marge de manœuvre au Conseil d'Etat avant que la CENI ne clôture l'accueil des candidats à l'élection présidentielle, le dimanche 8 octobre 2023 à 15 heures.
Malheureusement, pour une raison que je ne peux ni expliquer, ni justifier, le même juge qui semblait soucieux de rendre son jugement dans les 48 heures, a laissé le temps s'écouler.
Pendant ce temps !
Il n’y a pas longtemps que j'ai été approché par un homme frêle qui m'a avoué qu'il mourait de faim. Comme je n'ai pas d'habitude d'argent liquide sur moi, j'ai demandé à un des mes collègues de lui donner ce qu'il avait. Ensuite, j'ai curieusement demandé à l'homme pour qui il voterait à la prochaine élection présidentielle, il m'a répondu, le président Tshisekedi. J'ai alors demandé pourquoi, il a répondu à cause de son « social », programme social ce que je suppose. Et cette ironie peut démontrer, à la fois, la naïveté ou le désarroi du peuple congolais, pour la plupart pauvre et quotidiennement humilié socialement et économiquement mais, beaucoup plus combien les accrochages entre acteurs politiques sont hors de propos.
Nous subissons aujourd'hui les conséquences du débat que j'ai initié l'année dernière à la Cour constitutionnelle sur les lois électorales, sur lesquelles cette Cour refuse de se prononcer et a été largement ignorée par l'opinion publique.
D'une part, parce que le recours à la caution au lieu des pétitions comme je le préconisais, au niveau des élections législatives, les Congolais sont appelés à trier des grosses poubelles.
Et, il ne devrait être surprenant que des personnes, soi-disant autorités morales, qui ont pu aligner et payer la caution pour leurs candidats et qui ont rempli les conditions de recevabilité de leurs listes soient à la tête des institutions publiques et des ministres.
On peut aussi se pleurnicher qu'il n'y ait qu'une seule femme sur la liste actuelle de 24 candidats à la présidentielle. C’est également à cause de la notion de caution. Je suis plus que certain qu'en utilisant les pétitions, le nombre et la qualité des femmes à l'élection présidentielle seraient bien meilleurs.
Malgré cela, ce qui est plus inquiétant, c'est que les candidats commencent déjà à aboyer les uns contre les autres au lieu de présenter leur menu et de s'affronter sur les questions qui tiennent à cœur au peuple congolais.
Comment briser l’humiliation sociale, politique et surtout économique que subit les congolais depuis plus d’un siècle ?
Je crois sincèrement que c’est parce que sur le plan idéologique, qu’il soit social, politique ou économique, il n’y a aucune différence entre eux.
Ils proposent tous aux Congolais de faire mieux ce qui s'est avéré faux depuis l'indépendance de notre nation.
Etat de droit
On dit que la justice élève la nation. J'ai dit que la justice est ce qui justifie l'existence d'une nation en tant que ciment social et politique chargé de créer une notion de certitude pour le commerce. Ce faisant, la citoyenneté devient une expérience agréable pour tous.
Concernant la bataille nant le Conseil d'Etat, il n'y a aucune raison de paniquer. Toute âme saine qui pourrait digérer et comprendre la manœuvre de mon équipe, je suis dans le bon. Même si la CENI crie fin du match et victoire, elle devra se plier à l’arrêt de la Cour.
Pis encore pour le Conseil d’Etat, le nœud est devenu encore plus complexe et plus serré au niveau du cou.
Si le Conseil d’Etat s’était prononcé dans le délai de 48 heures, que ce soit mercredi ou jeudi, et s’était rangée pour un mauvais motif du côté de la CENI, mon équipe aurait eu suffisamment de temps pour s'ajuster et mettre en œuvre rapidement le plan B.
Là encore, je ne nierais pas avoir vécu à plusieurs reprises certaines bévues de la part d’acteurs paranoïaques dans leur quête de protection du système ou du pouvoir en place par tous les moyens nécessaires.
J'appelle donc le président Félix Tshisekedi à s’impliquer, non pas en sa qualité actuelle de candidat à la réélection mais, en tant que garant du bon fonctionnement des institutions, pour que le Conseil d'Etat tranche avant l'échéance de validation des candidatures présidentielles expire. Et le Conseil d'Etat doit être tenu responsable et reconnaître les erreurs commises en laissant passer le temps et faire le nécessaire pour que je puisse jouir de mes droits de candidat à la présidentielle cette année.
Au-delà de son héritage et de la crédibilité qu’il recherche pour le cycle électoral actuel, c’est une question de pertinence.
Des grandes actions à impactes visibles et rénovatrices ont été posées durant son mandat à la tête du ministère de la Culture. Au cours du briefing presse animé d’hier, jeudi 12 octobre 2023 avec son collègue de la communication et médias, porte-parole du Gouvernement Patrick Muyaya, la ministre de la culture, arts et patrimoines, Catherine Katungu, a dévoilé sa politique culturelle circonscrite en quatre grands axes phares qui résument son action.
La ministre de la culture est revenue sur des réalisations faites en faveur de son ministère et celle en cours d’action. Elle a cité, entre autres, la promotion Artistique et culturelle ; la question relative aux droits d’auteurs et droits voisins ; les infrastructures culturelles, faisant allusion ici au centre culturel et artistique de l’Afrique centrale sur le Boulevard Triomphal ‘’dont l’ouvrage sera livré incessamment’’.
Hormis les centres culturels de Mwenga et Butembo qui sont en instance d’exécution, la ministre a mentionné la construction de 12 autres infrastructures culturelles dans le cadre du programme de développement de 145 Territoires.
Dans le cadre de son action, Catherine Furaha a évoqué la question relative à la promotion des valeurs citoyennes et républicaines à travers son ministère, des sites historiques et archéologiques avec la valorisation des lieux de mémoire, des sites historiques et archéologiques, donnant l’exemple de Nsiamfumu, qui est déclaré et reconnu premier site des esclaves. Elle a également fait mention du projet d’érection du mémorial ‘’Papa SIMON KIMBANGU’’, dont des fouilles archéologiques ont été menées à Kasongo, Kabambare et Nyangwe en vue de documenter pour un classement au patrimoine mondial.
«Une formation appropriée sur les inventaires du patrimoine a été initié par mon ministère du 14 mars au 04 avril 2022 et a produit 30 stagiaires en collaboration avec ICOMOS pour explorer d’autres sites tels que le complexe culturel WAGENIA, Massif de Lovo et la protection de différents sites notamment ISHANGO, la Ville sainte Nkamba au Kongo Central. Dans le cadre de la protection des biens culturels en cas de conflit armé, j’ai organisé en collaboration avec l’UNESCO et la MONUSCO du 26 au 28 juillet, l’atelier régional à l’attention du personnel militaire féminin africain», a expliqué la ministre.
Dans son élan, Mme la ministre est revenue sur la décision de la mise en place des industries culturelles créatives par l’économie culturelle et l’intégration du Numérique dans le secteur. Elle a indiqué, à ce propos, qu’une ordonnance du Chef de l’Etat a été prise en faveur de l’INACO pour la numérisation des archives nationales. La ministre n’exclut pas la question de l’actualisation de l’arsenal juridique et du cadre règlementaire du Ministère de la Culture, Arts et Patrimoines dont des avancées très significatives ont été présentées.
Catherine Furaha a, par ailleurs, passé en revue quelques points marquant l’implication du Chef de l’Etat pendant son règne à la tête de l’Union Africaine notamment, l’inscription de la Rumba Congolaise au patrimoine immatériel culturel de l’humanité par l’UNESCO. Elle a cité : «L’Achat de la Maison de la culture africaine et des afro descendants comme lieu de mémoire, d’histoire et d’identité; la ratification par la RDC de la Charte de la renaissance culturelle africaine comme instrument d’appropriation de nos racines civilisationnelles et millénaires ; la tenue réussie des neuvièmes jeux de la francophonie confirme davantage la puissance culturelle et linguistique de la RDC, dans les girons des nations francophones ».
Sur le plan diplomatique, Mme la ministre de la culture a rappelé une série de contacts et missions effectuées dans le cadre de la coopération culturelle ; lesquels m’ont permis de voyager, visiter et rencontrer des personnalités, des somités culturelles tant au niveau national qu’international dont son voyage à Rome pour le G20, de Mondiacult à Mexico, la conférence sur le 50ème anniversaire de la convention sur le patrimoine mondial que j’ai présidé à Yaounde, le G-77 plus la Chine à la Havane etc.
‘’En ma qualité de Garant du fonctionnement régulier des institutions de la République et de la continuité de l’Etat, j’ai examiné en toute responsabilité l’ensemble des recommandations formulées dans les trois commissions de la Table ronde. Après avoir échangé avec les responsables des institutions de l’Etat et entendu le Conseil Supérieur de la Défense, j’ai pris la ferme résolution de conduire, « sans atermoiements funestes, mais sans précipitation inconsidérée », les populations des provinces de l’Ituri et du Nord-Kivu vers un allégement progressif et graduel du régime de restriction de l’état de siège avec les meilleures garanties de poursuite du maintien d’une pression maximale sur les ennemis de la paix. C’est pourquoi, prenant la juste mesure de l’impérieuse nécessité d’un retour sécurisé de nos populations à une vie civile et citoyenne normales, d’une part ; et des avancées enregistrées au cours de la gouvernance sous l’état de siège, d’autre part, notamment, l’amélioration de la situation sécuritaire dans certaines zones des deux provinces concernées; j’ai opté, en toute responsabilité, pour la mise en œuvre d’un dispositif transitoire graduel au terme duquel cette situation exceptionnelle devra connaître sa fin. L’évolution de l’état de siège dans les provinces de l’Ituri et du Nord-Kivu Kinshasa /RD Congo. S’inspirant des tendances dégagées des travaux de la Table ronde, ce dispositif transitoire consistera au rétablissement de l’autorité civile dans les entités territoriales décentralisées et déconcentrées qui sont déjà sécurisées et sous contrôle des Forces Armées de la République Démocratique du Congo. Ce qui implique la levée des restrictions des libertés constitutionnelles de tous les citoyens et, plus particulièrement, la libre circulation des personnes et de leurs biens, tout en mettant fin au couvre-feu ; la liberté d’association, de manifestation pacifique et de réunion dans le strict respect des conditions légales’’, a déclaré Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo hier, jeudi 12 octobre 2023, sur les antennes de la Rtnc au sujet de l’état de siège institué, il y a quelques années, dans les Provinces du Nord-Kivu et en Ituri.
Message à la nation de son excellence monsieur Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, président de la république démocratique du Congo, Chef de l’Etat, sur l’évolution de l’état de siège dans les provinces de l’Ituri et du Nord-Kivu
Mes très chers compatriotes,
Le 03 mai 2021, face aux menaces graves pesant sur l’intégrité de notre territoire et à l’insécurité récurrente vécue par nos populations de l’Est du pays depuis trois décennies, je proclamais l’état de siège dans les Provinces de l’Ituri et du Nord Kivu. En effet, conformément à mes prérogatives consacrées par les articles 69, 85, 144 et 145 de la Constitution, je recourais à ce dispositif exceptionnel de gouvernance afin de répondre, de la manière la plus appropriée et la plus adaptée, à cette situation ; en ce particulièrement, dans la nature des actions à entreprendre dans ces zones opérationnelles où les ennemis de la paix devaient de toute urgence être affrontés et l’autorité de l’État, restaurée.
A situation exceptionnelle, mesure exceptionnelle. Il demeurait limpide que la mise en œuvre de ce dispositif s’accompagnerait d’un régime restrictif des libertés publiques, non sans incidence sur le mode de vie habituel de nos populations, immédiatement sensibilisées à consentir à d’importants sacrifices en guise de soutien patriotique à cette lutte pour la survie de notre Nation.
C’est pourquoi, deux années et quatre mois après l’entrée en vigueur de ce régime d’exception aux conséquences tout aussi exceptionnelles sur le quotidien des populations sur terrain, et à la suite de plusieurs rencontres avec les sénateurs, les députés nationaux et les députés provinciaux issus des deux provinces, ainsi que des rapports de missions d’évaluation effectuées par le Premier ministre, j’apercevais clairement le besoin d’une réflexion approfondie impliquant tous les acteurs concernés sur la question en vue d’obtenir les recommandations les mieux indiquées au sujet de la situation juridico-politique rencontrée dans ces deux provinces. Cette réflexion, devait toutefois avoir lieu tout en veillant à préserver les avancées significatives socioéconomiques, politiques et sécuritaires acquises par la gouvernance militaire de l’état de siège. Face à la prolongation de cette situation exceptionnelle et soucieux de prendre en compte les aspirations profondes du plus grand nombre de forces vives de la partie Est de notre pays, j’ai donc instruit le Premier ministre d’organiser et de convoquer une Table ronde politique sur l’évaluation de l’état de siège dans les Provinces de l’Ituri et du Nord-Kivu.
Organisée du 14 au 16 août 2023, à Kinshasa. 3 Cette Table ronde, que j’ai voulu inclusive, a connu en plus de la participation des élus nationaux et provinciaux issus des provinces concernées, des délégués des institutions nationales, la participation active des forces vives d’autres provinces de la République, ce qui témoigne de l’élan de la solidarité affiché par les congolaises et congolais de tous bords, derrière cette cause nationale. Mes très chers compatriotes ;
Mus d’un sens élevé de patriotisme et de responsabilité, les différents participants ont travaillé d’arrache-pied durant les trois journées allouées à cette Table ronde pour proposer une option concertée en vue de pacifier définitivement les provinces de l’Ituri et du Nord-Kivu, et ce, au regard de l’évolution du contexte sécuritaire, politique, économique et social. C’est ici le lieu de saluer l’engagement et le dévouement de tous les participants qui ont abattu un travail de qualité pour la cause nationale afin que les conclusions permettent aux Institutions de donner une orientation nouvelle à cette mesure exceptionnelle. Mes très chers compatriotes,
En ma qualité de Garant du fonctionnement régulier des institutions de la République et de la continuité de l’Etat, j’ai examiné en toute responsabilité l’ensemble des recommandations formulées dans les trois commissions de la Table ronde.
Après avoir échangé avec les responsables des institutions de l’État et entendu le Conseil Supérieur de la Défense, j’ai pris la ferme résolution de conduire, « sans atermoiements funestes, mais sans précipitation inconsidérée », les populations des provinces de l’Ituri et du Nord-Kivu vers un allégement progressif et graduel du régime de restriction de l’état de siège avec les meilleures garanties de poursuite du maintien d’une pression maximale sur les ennemis de la paix.
C’est pourquoi, prenant la juste mesure de l’impérieuse nécessité d’un retour sécurisé de nos populations à une vie civile et citoyenne normales, d’une part ; et des avancées enregistrées au cours de la gouvernance sous l’état de siège, d’autre part, notamment, l’amélioration de la situation sécuritaire dans certaines zones des deux provinces concernées; j’ai opté, en toute responsabilité, pour la mise en œuvre d’un dispositif transitoire graduel au terme duquel cette situation exceptionnelle devra connaître sa fin.
- L’évolution de l’état de siège dans les provinces de l’Ituri et du Nord-Kivu Kinshasa / RD Congo
- S’inspirant des tendances dégagées des travaux de la Table ronde, ce dispositif transitoire consistera au rétablissement de l’autorité civile dans les entités territoriales décentralisées et déconcentrées qui sont déjà sécurisées et sous contrôle des Forces Armées de la République Démocratique du Congo.
Ce qui implique la levée des restrictions des libertés constitutionnelles de tous les citoyens et, plus particulièrement :
• La libre circulation des personnes et de leurs biens en mettant fin au couvre-feu ;
• La liberté d’association, de manifestation pacifique et de réunion dans le strict respect des conditions légales.
Ceci est d’autant plus important que les différents acteurs engagés au processus électoral ont droit à y participer pleinement et sans entrave aucune. Dans le même ordre d’idée, j’engage le Gouvernement central à régler, sans délai, les arriérés d’émoluments des animateurs des institutions provinciales mises en veilleuse par l’état de siège, tel que cela leur est garanti par l’Ordonnance n° 21/016 du 3 mai 2021 portant mesures d’application de l’état de siège. Il va sans dire qu’en plus de leurs compétences matérielles, les juridictions civiles, du reste, compétentes pour gérer les contentieux électoraux, recouvrent le plein exercice de leurs compétences répressives à l’exception de quelques préventions liées à la sureté nationale qui relèveront des juridictions militaires.
Mes très chers compatriotes,
Après l’état d’urgence sanitaire, les mesures de ce dispositif transitoire et graduel de l’état de siège nous conduisent dans une nouvelle expérience constitutionnelle de gestion des situations d’exception.
Elles marquent notre détermination à défendre jusqu’à la dernière énergie, notre intégrité territoriale, notre souveraineté et notre dignité comme peuple.
En effet, nous sommes un peuple qui a su démontrer, tout au long de son Histoire, une capacité de résilience hors du commun face à l’adversité, pour défendre les idéaux de paix, de justice, de dignité et d’unité.
J’invite la population des provinces de l’Ituri et du Nord-Kivu à accompagner et à soutenir les autorités civiles et militaires dans l’accomplissement des mesures de ce nouveau dispositif en vue de garantir l’avènement d’une paix durable sur toute l’étendue de notre pays.
Que Dieu bénisse la République Démocratique du Congo.
La journée du dimanche 24 septembre dernier a été marquée par une rencontre spéciale réunissant une série de créateurs de contenus Facebook congolais, sous le label "Du virtuel au réel", à l'espace Amaryllis, dans le quartier Macampagne situé dans la commune de Ngaliema. Il a été question d'un rendez-vous à l'initiative de Kratos Beat, beatmaker - beatboxer et créateur de contenus digitaux, Jonathan Balutukisi, Community manager et expert en digital appelé couramment Jo Bams, ainsi que plusieurs autres acteurs du digital, dans l'optique de permettre à toute cette communauté congolaise virtuelle de pouvoir avoir une rencontre physique et connecter dans la vraie vie.
Une centaine de personnes a répondu présent à cette activité qui, du reste, s'est déroulée dans une atmosphère conviviale, assaisonnée des jeux - karaokés - moments d'échanges - moments photos - ainsi que plusieurs autres divertissements. Plusieurs exposants de stands étaient également présents, parmi lesquels l'on a pu repérer des stands Tecno et plusieurs autres opérateurs locaux. Il a, ainsi, été question d'un après-midi dominical assez électrique qui n'aurait pas laissé ses participants indifférents.
Plusieurs participants n'ont pas hésité de relayer certaines séquences du déroulement de cette rencontre sur leurs profils réseaux sociaux, et aussi certains absents n'ont pas hésité de saluer même de loin cette initiative, à l'instar de Simon Rwasha, Chargé de Communication pour le compte de Canal+ RDC, qui s'est retrouvé en mission à l'est du pays.
Ce programme a révélé un besoin qui sommeillait dans le cœur de plusieurs : celui d'avoir un cadre ou des opportunités de déconnecter du monde virtuel afin de connecter dans le monde réel comme à l'ancienne.
A quand la prochaine rencontre "Du virtuel au réel" ? La question se pose et peut-être qu'elle ne tardera plus à trouver une réponse.
Le Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, a participé, le mercredi 4 octobre 2023, à Kolwezi, à la cérémonie de la clôture de la 7e édition d’expo-béton. Celle-ci était placée sous le thème ‘’le développement des villes’’.
Plusieurs autres personnalités ont pris part à cette cérémonie notamment, la distingué Première dame de la République, Denise Nyakeru, le Premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, le Vice-Premier ministre, ministre de l’économie, Vital Kamerhe, les honorables députés nationaux et provinciaux, sénateurs, Mme le gouverneur de la province du Lualaba, le Président de l’Asbl Expo-béton, les représentants des entreprises publiques et privées, les représentants des organismes et institutions internationaux, etc.
Pour Mme Antoinette Kipulu Kabenga, la ministre de la formation professionnelle et métiers, la formation professionnelle et métiers est une haute exigence pour travailler dans le but de former toute la population désœuvrée et d’en faire la classe moyenne dont la RD-Congo a besoin pour son développement intégral.
Elle a également précisé que le développement des villes, en tant que thématique principale de ces assises, a permis de dégager un consensus sur les priorités de la communauté en termes des bâtiments et travaux publics, afin de promouvoir la création des connaissances, aptitudes et compétences pour améliorer l’employabilité, l’adaptabilité, la transition verte et écologique de toute construction.
Elle a en outre expliqué que ce forum constitue un plaidoyer de la nation entière pour accorder à l’apprentissage des métiers et formation professionnelle, une place prépondérante et une attention sans cesse soutenue au niveau national et international.
«Permettez-moi de rappeler un témoignage de cette attention, Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, en date du 11 février 2022, lors de la 40ème réunion du Conseil de ministres, sous votre haute impulsion, le gouvernement avait adopté le programme d’urgence intégré de développement communautaire « PUIDC », pour lequel la valorisation des métiers prévoit leur insertion au sein du répertoire opérationnel des métiers (ROM), ainsi que la création des centres de développement des métiers, CDM.
Cependant, à la suite de cette adoption, des Recommandations ont été encore formulées au cours d’une réunion tenue le 26 mai 2022 par la cellule d’appui au programme d’urgence intégré de développement communautaire de la Présidence de la République, axée sur le chômage et le sous-emploi, comme facteurs principaux de la vulnérabilité et de l’extrême pauvreté de la population en âge actif dont les jeunes et les femmes», a-t-elle rappelé.
Et de poursuivre : «Cette réunion sera suivie par un Atelier organisé par le ministère de la formation professionnelle et métiers, qui avaient réuni du 24 au 28 août 2022, près de 50 experts délégués par 25 ministères organisant la formation professionnelle, ainsi que d’autres institutions publiques et privées.
En ressortira d’autres recommandations sur l’application de l’Ordonnance n°022/003 du 07 Janvier 2022 fixant les attributions des ministères, plus précisément dans le cadre des missions dévolues au ministère de la formation professionnelle et métiers, pour continuer le processus d’élaboration du répertoire opérationnel des métiers (ROM), débouchant sur le répertoire des métiers innovants (RMI) et la création des chambres des métiers, en adéquation avec les axes 51 et 52 du programme d’actions du gouvernement 2021-2023 ».
La ministre de la formation professionnelle et métiers a rappelé que la continuité de cette mise en œuvre et de l’exercice des missions spécifiques attribuées par cette Ordonnance, le ministère a obtenu le soutien et l’appui du Gouvernement de la République, afin d’ériger un cadre légal de création et de fonctionnement de la chambre nationale des arts et métiers , ainsi que de ses représentations provinciales, avec une vocation interministérielle et transversale, pour une activité principale, à savoir : le recensement et l’identification des métiers, en vue de les formaliser, de former les promoteurs des métiers et de Les orienter vers La création d’entreprises.
De plus, elle a fait savoir que grâce à la synergie de la cohésion gouvernementale, le projet de décret sur la création et le fonctionnement de la chambre nationale des arts et métiers qui a été adopté récemment à la commission socioculturelle permanente du gouvernement, est présentement dans le circuit administratif au niveau de la commission loi du gouvernement.
Enfin, Antoinette Kipulu a donné l’importance de la promulgation de ce projet de décret qui sera de renforcer le rôle de la formation professionnelle et des métiers dans les efforts de développement socioéconomique du Congo.
«Grâce à la création de la chambre nationale des arts et métiers par décret, le ministère de la formation professionnelle et métiers c’est assigner plusieurs objectifs dont celui de promouvoir ‘’l’esprit entrepreneurial’’, dans le but de chasser la pauvreté et le Chômage, avec le concours de la cité de métiers dont vous êtes, Monsieur le Président de La République, le porteur politique », a-t-elle fait savoir.
Hénoc Akano
Après sa brillante participation sans succès en 2018
Présidentielle 2023 : Marie-José Ifoku revient à la charge !
Après sa brillante participation sans succès à la présidentielle de 2018, Marie-José Ifoku a déposé son dossier de candidature à la présidentielle, le jeudi 5 octobre, à la Commission Electorale Nationale Indépendante.
Forte de sa première expérience intervenue, il y a de cela 5 ans, comme ci-haut indiqué, cette élue à la tête de l’Alliance des Elites pour un Nouveau Congo, AENC, a cette fois-ci accepté d’aller à cette tant attendue bataille électorale avec une énergie renouvelée et moulue dans sa ferme volonté de se voir au sommet de la magistrature suprême congolaise afin, pour elle, de faire partir la République Démocratique du Congo sur de nouvelles bases.
Marie-José Ifoku a donc fait le choix de revenir à la charge en vue de ne pas prétendre avoir échoué pour avoir tout simplement abandonné son combat. C’est avec un nouvel insigne du pouvoir, changement de paradigme exige, que M-J Ifoku compte s’installer au pouvoir. Il s’agit du balai, symbole de la propreté tant publique que privée et avec lequel elle se dit être venue nettoyer le pays de toutes les bavures qui le maintient jusqu’ici dans la saleté des mentalités à la base de toutes les dépravations qui ont élu domicile en République Démocratique du Congo.
Unique femme jusqu’ici parmi les prétendants au fauteuil présidentiel du Palais de la Nation, Marie-José Ifoku promet, une fois y assise, de faire de la République Démocratique du Congo un pays libéré du système des prédations socio-financières qui, à l’en croire, s’est aujourd’hui érigé en un mode de gestion au quotidien avec une participation passive de la majorité des citoyens congolais dans la complicité active de la classe dirigeante. La ‘’Mère de la Nation’’, faut-il ainsi la surnommer, est donc venue mettre fin à cette pratique qui n’a que trop duré.
Il faut donc souligner que la candidature de Marie-José Ifoko à la présidentielle congolaise vient susciter à la fois un vif intérêt et un indéniable espoir parmi ceux qui ont toujours rêvé voir un jour une femme à la tête du pays. C’est selon que, à les en croire : ‘’l’homme est un tout qui n’a jusqu’à présent rien fait et duquel il ne faut même pas attendre qu’il puisse encore faire ne fût-ce que quelque chose’’.
*Dans l'auditorium prestigieux du centre des conférences internationales d'Alger, Capitale de l’Algérie, Pius Muabilu, Ministre d'Etat congolais en charge de l'Urbanisme et Habitat, a participé activement au débat relatif à la transformation de Shelter-Afrique en une véritable banque panafricaine de développement urbain et du financement de l'immobilier sur le continent. En effet, il a formulé des observations claires, s'agissant de l'adoption du statut amendé de cette institution panafricaine qui devient officiellement une Banque de Développement Urbain, en tant que telle.
Le Warrior Pius Muabilu Mbayu Mukala a notamment soutenu la thèse de l'élection et la révocation du Directeur général de Shelter-Afrique par les États-membres en lieu et place du Conseil d'administration. Le patron des villes de la RD Congo a exhorté les participants à cette Assemblée générale extraordinaire à ne pas s'éloigner de l'esprit des pères fondateurs de Shelter-Afrique quant à la solidarité entre pays membres actionnaires, selon que d'aucuns sont de la catégorie A, d'autres B et d'autres encore se trouvant dans la catégorie C en rapport avec le part social de chaque pays.
Le ministre d'Etat Pius Muabilu est donc d'avis que Shelter-Afrique qui devient dorénavant une banque panafricaine de développement urbain devant financer les projets d'habitat en Afrique est appelé à jouer aujourd'hui mieux que hier, un rôle de taille pour doter aux nombreux pays des logements abordables et adéquats.
Bien avant le débat général, il faut souligner le premier ministre Algérien Aïmene Benabderrahmane a pris parole devant l'auguste assemblée pour souhaiter aux uns et aux autres la bienvenue à Alger, mais aussi a-t-il, au nom de son Gouvernement loué l'expérience de son pays en matière d'autosuffisance dans le domaine de construction des logements sociaux.
Pour lui, l'expérience Algérienne doit inspirer plusieurs autres Etats membres préoccupés par l'impérieuse nécessité d'administrer une cure de jouvence à la crise du logement.
Il estime qu'il est important que Shelter Afrique ait un siège viable et permanent, condition sine qua non pour la stabilité de cette institution bancaire. «Sauf en cas de force majeure, les Etats membres peuvent délocaliser le siège de cette institution bancaire », a-t-il affirmé.
Les Députés Nationaux se sont retrouvés, cet après-midi du lundi 9 octobre 2023, au cours d’une plénière dirigée par le Professeur André Mbata Betukumesu Mangu, 1er vice-président de l'Assemblée Nationale. Elle était essentiellement consacrée au projet de loi relatif aux Bureaux d'information sur le crédit (BIC). Présenté par la Vice-ministre des Finances, O’Neige N'sele Mimpa, le projet vient ainsi parachever les réformes entamées dans le secteur des finances publiques.
« Nous savons que l'accès aux crédits est une composante essentielle du développement économique et de la création d'emplois, en raison de la corrélation qui existe entre le développement des systèmes financiers et la croissance économique, il est aussi important de souligner que l'octroi de crédit était basé essentiellement sur la connaissance que le prêteur a de l'emprunteur. Au premier niveau, cette connaissance couvre les exigences d'identification du demandeur du crédit. Cette identification est devenue une étape importante dans l'établissement de la relation tant dans l'intérêt du prêteur que dans l'intérêt du système bancaire dans son ensemble, au regard des normes en matière de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme Au deuxième niveau, la connaissance de l'emprunteur, de sa capacité à rembourser les crédits empruntés. La capacité de remboursement est fonction de plusieurs éléments dont l'historique d'anciens crédits, les crédits en force ou de l'existence de tout élément, actuel ou futur, susceptible d'influencer positivement ou négativement la capacité financière de l'emprunteur telle qu'une garantie. Il est question pour le prêteur de se prémunir contre le risque de défaut de remboursement et, en la liquidation des biens, contre le risque d'insolvabilité du débiteur. C'est dans ce cadre le ministère des Finances et la Banque Centrale du Congo ont travaillé sur le projet de loi relatif aux Bureaux d'information sur le crédit, qui participe à la réduction de l'asymétrie d'informations entre le prêteur et l'emprunteur en vue de pallier le rationnement de crédit , le long délai de traitement de demande de crédit, les intérêts exorbitants, le surendettement asphyxiant et le ratio de portefeuille à risque élevé », a déclaré la Vice-ministre des Finances.
Les Bureaux d'information sur le crédit (BIC) sont donc une société commerciale agréée par la Banque Centrale du Congo, laquelle effectue à titre professionnel habituel la collecte, la compilation, le stockage, le traitement des données et d'informations aussi des sources publiques et des fournisseurs, la diffusion des données et la mise à disposition à des utilisateurs des rapports de solvabilité ainsi que d'autres services à ajouter, conformément à un accord signé entre les parties.
« Ce projet de loi a pour objet de fixer les modalités de constitution, d'agrément, d'administration, d'exercice d'activités, de contrôle et de supervision des Bureaux d'information sur le crédit en République Démocratique du Congo, et ce conformément à l'article 202 point 36 (a) de la Constitution du 18 février 2006 telle modifiée à ce jour », a ajouté O’Neige N’Sele.
Dans le débat général sur ce projet de loi, les députés nationaux ont fait observer que cette matière relève de la réglementation. C'est pour ainsi dire que le gouvernement peut agir de manière réglementaire sur cette matière.
Au finish, la Vice-ministre des Finances a sollicité et obtenu 72 heures pour rencontrer les préoccupations de la représentation nationale.
(Avec la Cellule de communication de l’Assemblée Nationale)
Les professionnels des médias et activistes des droits Humains invités à soutenir les actions menées par le groupe de plaidoyer
*Le comité de Pilotage du groupe de Plaidoyer Justice pour Franck NGYKE KANGUNDU et Hélène Mpaka, avait tenu le jeudi 6 octobre dernier à Kinshasa, la première réunion de prise de contact avec les leaders des associations professionnelles des médias.
Reconnaissance des journalistes assassinés : Les professionnels des médias et activistes des droits Humains invités à soutenir les actions menées par le groupe de plaidoyer.
Au cours de cette réunion, un appel a été lancé à l’endroit des professionnels des médias et des activistes des droits Humains afin de soutenir les actions menées par le groupe de Plaidoyer Justice pour Franck NGYKE KANGUNDU et Hélène Mpaka. Le groupe de Plaidoyer « Justice pour Franck NGYKE KANGUNDU » mène une campagne de sensibilisation à l’occasion de la célébration de la journée internationale de la fin de l’impunité pour des crimes commis contre des journalistes.
Selon l’Editeur responsable du journal la Référence Plus, co-initiateur dudit projet, M. André Ipakala Abeiyi Mobiko, cette campagne vise à rappeler l’importance de la liberté de la presse et à obtenir la reconnaissance des journalistes assassinés en République Démocratique du Congo au rang des Martyrs de la liberté de la presse. « Nous invitons toute la corporation à nous rejoindre dans le plaidoyer pour la reconnaissance des journalistes assassinés en RDC au rang des martyrs de la liberté de la presse », a fait cet appel Grâce Israëlla KANGUNDU Ngyke, fille biologique du défunt Franck Ngyke Kangundu.
De son côté, le secrétaire général de l’UNPC a fait savoir qu’il était temps de rappeler le sacrifice de ceux qui ont donné leur vie pour la liberté d’expression et la démocratie.
« Nous plaidons auprès de Son Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat et Magistrat suprême, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo d’élever au rang des Martyrs de la liberté de la presse tous ces journalistes assassinés en RDC », un appel lancé par les membres du comité de pilotage.
Ces derniers plaident à ce que les sacrifices des confrères assassinés ne soient pas classé dans les oubliettes de l’histoire de la République. Faisant à l’état de droit prôné par le Chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, le comité de pilotage du groupe de Plaidoyer Justice pour Franck NGYKE KANGUNDU crois que la liberté de la presse est essentielle pour une société démocratique. Ainsi, un appel a été lancé à tous les professionnels des médias et les activistes des droits de l’homme pour leurs voix continuent de résonner.
Au cours d’un briefing-presse tenu hier, lundi 9 octobre 2023, et diffusé en direct sur les antennes de la chaîne nationale, Patrick Muyaya et le Docteur Samuel Roger Kamba, respectivement Ministre de la Communication et Médias, Porte-parole du Gouvernement et Ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention, ont étalé la stratégie du Gouvernement de la République autour de la mise en œuvre de la Couverture Santé Universelle, l’un des piliers au centre de l’action du Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo. D’une pierre deux coups, les deux membres du Gouvernement ont brossé les origines de création de cette mesure internationale et ses implications dans la pratique. Modérant cet échange avec la presse, le Porte-parole du Gouvernement a d’abord salué la vision qui place l'homme au centre de l'action à travers notamment, l’éducation et surtout la santé. «En résumant sa vision, le Président de la République a parlé de l’homme qui était au centre de son action. Et ceci veut dire principalement deux choses à savoir l’éducation et la santé. Pour ceux qui étaient avec nous au Haut-Katanga et au Lualaba, le Président de la République est revenu sur la notion de couverture de santé universelle. Ce soir, nous voulons faire un focus sur ce sujet que nous entendons de partout, mais peut-être pas comprises par plusieurs », a introduit Patrick Muyaya. Avant de rajouter : « Couverture Santé Universelle pour nous Gouvernement, c'est de permettre à chaque congolais d'avoir accès aux soins de santé de qualité et à bas prix». Implication du Chef de l’Etat Prenant la parole, le Docteur Samuel Roger Kamba a expliqué le choix de la Couverture Santé Universelle et son incidence sur le développement de la population. Le Ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention a fait savoir qu'à travers la Couverture Santé Universelle, les soins sont accessibles et de qualité et couvrent tout le monde. D'où, il ne faut pas en profiter pour se ruiner volontairement afin d'y accéder. «Je rappelle que le Président de la République l'a fait d'emblée dès qu'il a commencé son mandat. Je me rappelle dans son premier discours, il a parlé de la Couverture Maladie Universelle et la Couverture Santé Universelle. Le Président de la République n'est pas venu se rendre compte qu'il y a un problème, il a préparé dès le départ la réponse à cette question très importante de la santé. Deuxième chose, quand on dit comment ça va, on parle de la santé. Donc la santé doit être un droit pour tout le monde. Si un droit dépend des moyens financiers qu'on dispose, c'est devenu un privilège. Ce que le Chef de l'Etat veut, c'est que la santé ne soit plus un privilège, ça doit être un droit », a-t-il souligné. Le Docteur Samuel Roger Kamba a, dans la foulée, précisé que la Couverture Santé Universelle n'est pas un choix que le gouvernement a fait, mais plutôt une obligation. « On ne peut pas se développer sans la Couverture Santé Universelle », a-t-il souligné. Pourquoi commencer par la gratuité de la maternité ? Le Ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention a, en outre, révélé le choix de commencer avec la phase de la gratuité de la maternité. « La RDC a une espérance de vie inférieure à la moyenne des pays africains. Quand un congolais nait, on sait qu'il vivra moins longtemps que les autres africains. Ce sont les nouveau-nés qui meurent particulièrement tôt et les mamans qui accouchent. Sur 100.000 mamans qui accouchent, 480 décèdent en RDC. Et tous les 35 nouveau-nés qui arrivent, il y a un qui décède. C'est un gros problème de santé publique. Comme ça impacte l'espérance de vie, le Président de la République a décidé qu'on commence par-là et qui impacte notre développement, c'est la catégorie mère-enfant », a-t-il expliqué. Et à lui de renchérir : « Le Congo n’est pas différent d’autres pays. On se rend compte que dans les pays où on a rendu les services de soins de grande qualité à la mère et à l’enfant, ils ont également eu l’occasion de l’éduquer. Ainsi, la mère contrôle mieux sa maternité. C’est donc l’inverse qui se produit. Le nombre des naissances est mieux contrôlé grâce à cela. Les avoir sous la main est beaucoup mieux que de les laisser faire ». Que disait Félix Tshisekedi ? «Le développement, c’est aussi la santé. Là aussi, nous avons une politique de santé universelle qui consiste à ce que tous les Congolais, de quelques conditions sociales qu’ils soient, aient accès aux soins de santé et les meilleurs qu’ils puissent y avoir dans notre pays. Aujourd’hui, nous avons commencé avec la catégorie la plus vulnérable, à savoir la catégorie mère-enfant, en rendant les accouchements gratuits. Mais pas seulement les accouchements, mais y compris les consultations prénatales et postnatales. Au cours de ces consultations, nous faisons aussi du planning familial pour doser les naissances et accompagner les mères. C’est donc devenue une réalité qui va s’étendre sur d’autres secteurs de la médecine », déclarait Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, Président de la République, au sortir du siège de la Centrale électorale pour le dépôt de sa candidature à la présidentielle. La Pros.
Le 10 octobre 2023 marque le 78e anniversaire de la fondation du Parti du travail de Corée (PTC). Le 13 octobre 1945 au soir, les représentants de toutes les couches sociales de la ville de Pyongyang ont offert un banquet en l’honneur du grand Leader Kim Il Sung qui avait libéré le pays de la domination militaire du Japon et fondé le Parti. Arrivé dans la salle de banquet, Kim Il Sung a échangé des saluts avec les participants en serrant la main à chacun d’eux. La salle a débordé de la joie d’avoir accueilli le Soleil de la nation, le patriote sans égal. Le grand Leader a prononcé le discours : « Edifions dans l’union une Corée nouvelle et démocratique ». Dans le discours, il a déclaré que le peuple entier attaché au pays et à la nation doit s’engager, uni, dans l’édification d’une Corée nouvelle. Et de poursuivre : Chers auditeurs, Le 10 courant, nous, les communistes coréens, avons mis sur pied le Comité d’organisation central du Parti communiste de Corée du Nord et proclamé la création de ce parti devant le monde entier. Le Parti communiste est la troupe militante et l’avant-garde de la classe ouvrière, car il défend ses intérêts ainsi que ceux des autres masses laborieuses et lutte pour édifier un Etat démocratique indépendant. Nous, les communistes, n’avons d’autre but que de combattre pour les intérêts et le bonheur authentiques des masses laborieuses. Il ne peut pas en être autrement. Lors de son récent congrès constitutif, le Parti communiste s’est fixé comme ligne politique fondamentale pour le stade actuel de créer une république populaire démocratique et de transformer ainsi notre pays en Etat démocratique indépendant, riche et puissant, et a défini les tâches immédiates qui s’imposent. Il absorbera activement dans ses rangs les éléments d’avant-garde qui, parmi les ouvriers et les paysans, luttent avec abnégation pour édifier un Etat démocratique indépendant, et accroîtra constamment ses effectifs. Je vous prie de consacrer toutes vos forces et toute votre ardeur à lutter pour l’édification d’un Etat démocratique indépendant, riche et puissant. Toujours parmi le peuple Ces plus de dix dernières années, Kim Jong Un, Secrétaire général du PTC, est toujours allé vers les masses populaires pour accomplir des réalisations prodigieuses en s’appuyant sur leur force. Il prend l’amélioration des conditions de vie matérielle et cultuelle du peuple pour principe suprême des activités du Parti. Grâce à son abnégation, ont vu le jour, partout dans le pays, des cités magnifiques, usines, hôpitaux, centres de vie culturelle et récréative, etc. Le peuple coréen anticipe son avenir radieux, convaincu qu’il ne remportera que la victoire malgré de multiples difficultés, tant qu’il y a la direction du Parti. La Corée, pays charmant La RPD de Corée abrite nombre de sites pittoresques, y compris les monts Kumgang largement connus dans le monde. Son peuple est gentil et laborieux. Ainsi, ceux qui l’ont visitée la considèrent comme pays charmant. Et ce n’est pas tout. Dans la capitale Pyongyang se sont érigées des cités splendides et des constructions monumentales. Après leur visite en 2015, des architectes italiens et serbes ont fait paraître un livre dans lequel ils ont écrit : « Pyongyang, c’est la ville-modèle parfaite. La beauté propre aux bâtiments coréens est introuvable dans le monde. » Depuis, Pyongyang a changé beaucoup. Ont été construits la cité Mirae des scientifiques au bord du fleuve Taedong ayant une excellente valeur plastique et artistique, la cité Ryomyong avec l’immeuble de 70 étages et d’autres de nombreux étages, la cité de Songhwa, le quartier résidentiel en terrasses au bord de la rivière Pothong, 10 000 logements de la 1re étape du secteur de Hwasong, etc. Surtout, le Palais de la science et de la technique, le parc aquatique de Munsu et le parc de loisirs du Peuple de Rungna font l’admiration de tous. Il est de notoriété publique que le prix de logement au centre de la capitale est exorbitant dans d’autres pays du monde. Pourtant, en RPDC, l’Etat construit des logements à ses frais et les distribue aux ouvriers et employés à titre gratuit. 10 000 logements de la 2e étape du secteur de Hwasong, les immeubles d’habitation de la nouvelle cité dans le secteur de Sopho, de la ville minière du secteur de Komdok et des logements ruraux en construction seront distribués à titre gratuit aux travailleurs ordinaires. Les parcs aquatiques de Rungna et de Munsu, le club d’équitation de Mirim, la zone de villégiature des sources thermales de Yangdok, la station de ski de Masikryong et le Palais de la science et de la technique, bâtiment représentant la structure d’un atome, servent les gens ordinaires. En Corée, il y a nombre de centres d’éducation extrascolaire. Surtout, au Palais des enfants de Mangyongdae, plus de 5 000 élèves reçoivent chaque jour, sans payer un sou, des leçons concernant la science, l’art, le sport, etc. auprès des enseignants compétents et font pleinement preuve de leurs talents. Les monts Myohyang, Ryong-ak et d’autres monts célèbres, ainsi que des sites pittoresques, dont Songdowon, abritent des colonies de vacances. La Corée compte plus de 210 palais et maisons des enfants et colonies de vacances. Les parents ignorent les dépenses pour élever leurs enfants. D’ailleurs, l’Etat répond entièrement de la vie du peuple et a préparé le potentiel de défense nationale d’ordre mondial pour une sauvegarde sûre de la sécurité du pays et du peuple. Les ouvriers et paysans ordinaires élus députés des organes du pouvoir de tous les échelons participent à la politique nationale. Tout cela est dû à la direction du Parti du travail de Corée. Lors du VIIIe Congrès du Parti du travail de Corée et d’autres réunions du Parti importantes, le Secrétaire général Kim Jong Un a exposé un grandiose projet de transformation du pays en un paradis, dans un proche avenir, dit-on. Dans le cadre de la réalisation de son dessein, le peuple coréen accélère la construction de 50 000 logements dans la capitale et travaille à appliquer un nouveau programme de l’édification rurale. Le monde entier imagine un avenir radieux de la Corée.
Le mouvement des femmes ambitieuses en RDC, MFA en sigle, a célébré le vendredi 29 septembre 2023 sa sortie officielle au centre culturel boboto. Cette structure regroupant des femmes politiques venues de différents coins du pays, se veut un cadre qui contribue à la croissance et a l’amélioration de taux de participation des femmes à des instances de prise de décisions. Dans son intervention, madame la coordonnatrice de MFA, Antoinette Lokomba Mboyo, a souligné que le mouvement des femmes ambitieuses en RDC, vise l’accompagnement, l’encadrement et la coordination des efforts pour la promotion de droit de la femme, d’une part, et de lutter contre toutes violences faite à la femme, d’une part. «En effet, la rencontre de ce jour s’inscrit dans un processus visant à consolider les liens entre les femmes de toutes tendances politiques, en vue de relever le défi commun qui est celui de l’amélioration et de la participation des femmes dans les instances de prise de décision en RDC. D’aucuns ignorent que la RDC est un pays potentiellement riche. Il a besoin d’une gouvernance participative pour son prélèvement qui passe par l’apport de ses filles et fils que nous sommes. Ce le sens à donner à la présente initiative qui consiste à promouvoir le droit de la femme sans aucune discrimination», a déclaré Antoinette Lokomba. L’essence de MFA «Le projet de mettre en place une structure composée des femmes politiques est parti d’un constant et d’un souci. Le constat selon lequel la femme qui a représenté 52% de l’électorat lors des élections de 2018, demeure avec un taux aussi faible de 28%... A ce jour, la République démocratique du Congo, notre pays, vient de fêter sa 35ème année au sein de la convention pour l’élimination de toute le forme et spéculation à l’égard de la femme, sa 20ème année depuis qu’elle a adopté la résolution 13.25, sa 6ème année depuis l’adoption de la loi sur la parité entre homme et femme et enfin sa 7ème année depuis l’adoption de la constitution du 18 février 2006», a-t-elle ajouté. Eunice Maleka
*Les 25 et 26 septembre, les gouvernements des États-Unis et de la RDC, en partenariat avec le Centre pour la stratégie sur les minéraux critiques de SAFE, ont organisé un atelier à Kinshasa pour soutenir les efforts de la RDC visant à développer une chaîne de valeur dans le secteur des batteries pour véhicules électriques (VE) et connecter le Conseil des batteries de la RDC avec l’expertise des États-Unis et du secteur privé. L'atelier a promu l'objectif de garantir que les minéraux essentiels sont produits, traités et recyclés en RDC afin que le peuple congolais puisse réaliser le plein potentiel de développement économique de ses ressources minérales. L'événement a réuni des représentants du secteur privé, de la société civile et du monde universitaire, ainsi que des responsables des gouvernements américain et congolais, dont le ministre des Finances Nicholas Kazadi, qui a réfléchi aux opportunités offertes à la RDC de passer du statut de producteur de matières premières à celui de pays industriel. Les participants ont identifié les défis et les obstacles au développement du secteur des batteries pour véhicules électriques et ont partagé les meilleures pratiques pour établir des chaînes de valeur durables pour l'extraction, le raffinage, la fabrication et l'exportation des ressources naturelles. Une chaîne d’approvisionnement en batteries électriques en RDC et en Zambie créera des opportunités d’investissement ouvert et transparent et permettra de conserver une plus grande partie de la valeur ajoutée du secteur en Afrique. Dans ses remarques à la clôture de l'atelier, le chef de mission adjoint par intérim de l'ambassade américaine, Mich Coker, a souligné la nécessité d'une transition énergétique juste qui donne la priorité à l'engagement des communautés locales et à la garantie des normes environnementales les plus élevées et de la bonne gouvernance, et il a souligné l'engagement des États-Unis à travailler avec la RDC pour faire progresser ses objectifs de lutte contre la corruption. L'atelier, financé conjointement par le Conseil des batteries de la RDC et le Bureau des ressources énergétiques du Département d'État américain, fait suite au protocole d'accord (MOU) entre les États-Unis, la RDC et la Zambie annoncé lors du Sommet des dirigeants États-UnisAfrique en décembre 2022. Demande mondiale de cobalt devrait augmenter considérablement dans les décennies à venir pour répondre à la demande de batteries pour véhicules électriques. La RDC produit 70 % du cobalt mondial et est le premier producteur africain de cuivre, deux éléments cruciaux pour la transition énergétique propre afin de contribuer à réduire les émissions de carbone et de soutenir la réponse mondiale à la crise climatique.
*Après que la CENI aura publié la liste des candidats à l’élection présidentielle, la période de la campagne électorale va s’ouvrir. Ainsi, les candidats et leurs équipes seront appelés à se déployer sur l’ensemble d’un vaste pays comme la RDC qui, depuis 2018, compte 25 Provinces subdivisées en 145 territoires et 34 villes. La ville-province de Kinshasa n'est pas divisée en territoires mais en 24 communes urbaines. Le parcourir du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest n’est pas du tout chose aisée. Il faudra aux candidats de gros moyens matériels et financiers pour affronter les enjeux de la campagne électorale. Ils devront endurer de l’hostilité de la part des gens qui ne leur sont pas favorables, et pouvoir y faire face. Ils connaitront donc des hauts et des bas sur le plan émotionnel, chaque jour, durant la période fixée par la CENI.
Mais, étant donné l’étendue du pays, les candidats présidentiables pourront recourir à l’accompagnement des hommes politiques appartenant à des regroupements qui les soutiennent. Tel est le cas du Chef de l’Etat Félix Tshisekedi dont la candidature à l’élection présidentielle de décembre 2023 est portée par les partis membres de l’Union sacrée de la nation, ainsi que d’autres regroupements politiques qui ont vu le jour dans notre pays. Car, battre la campagne, c’est comme marcher dans un labyrinthe. Si l’on prend un mauvais virage au début, tout ce qui suit sera également erroné. Face à cette évidence, l’institut de sondage Le peuple d’abord a déployé ses agents dans toutes les provinces pour tenter de connaître les personnalités politiques capables de mieux mener la campagne en faveur de la réélection de Félix Tshisekedi en décembre prochain. Ci-dessous, nous publions les résultats pour les grands ensembles politico-administratifs de notre pays. ESPACE GRAND EQUATEUR 1. Michel Bongongo Ikoli Ndombo: 78% Cet homme politique a été sénateur représentant l’Équateur, membre du Mouvement de libération du Congo –MLC- et de l’Union des forces du changement-UFC. Il a exercé successivement les fonctions de vice-président de l’Assemblée régionale de 1985 à 1989 et son président de 1989 à 1990; ministre d’État en charge du Budget de 2014 à 2016, de la Fonction publique, et ministre intérimaire de la Défense nationale, Anciens combattants et Réinsertion. Il est actuellement président national du parti politique «Actions pour le bien-être des Communautés de la RDC» -ABC-RDC. Professeur ordinaire à la Faculté des sciences sociales, administratives et politiques de l’Université pédagogique nationale, il est détenteur d’un diplôme de docteur en philosophie à l’Université catholique de Louvain en Belgique, licencié en philosophie de l’Université Saint Joseph à Beyrouth au Liban. De 1986 à 1990, il a travaillé au Conseil national de sécurité-cabinet du Conseiller spécial du chef de l’Etat en matière de sécurité, et de 1994 à 1997, il a été Chef de la Maison civile du chef de l’Etat. Michel Bongongo jouit d’une bonne audience dans le Grand Equateur grâce à son sens d’écoute, son abord facile, sa sagesse et son esprit de responsabilité. Il est donc en mesure de rallier de grandes foules à la candidature de Félix Tshisekedi dont il apprécie la vision qui place le peuple au centre de toute action. 2. Jean-Pierre Bemba Gombo: 73% Pour avoir lutté, les armes à la main, contre la volonté de Laurent-Désiré Kabila d’anéantir la province de l’Equateur dont est issu le président Mobutu, Jean-Pierre Bemba Gombo est incontestablement l’homme le plus populaire dans cet espace politico-administratif. Les populations l’adulent et sont prêtes à le suivre dans tous les ordres qu’il pourrait donner. Ainsi, déjà en 2022, Jean-Pierre Bemba avait entrepris une tournée dans le Grand Equateur afin de mobiliser pour la réélection du Chef de l’Etat à la présidentielle de 2023. Drainant de nombreuses foules à chacune de ses descentes, il avait facilement prêché à Gbadolite, Gemena, Lisala, Boende, Mbandaka, Mongala, etc. Bemba fut considéré comme le fils d’Etienne Tshisekedi, voilà pourquoi il lui avait rendu visite par deux fois à la CPI où il était incarcéré. L’on comprend dès lors qu’il se jette dans la bataille pour soutenir la candidature de Félix Tshisekedi dont le bilan du premier mandat, a-t-il déclaré haut et fort, est largement positif. Le président national du MLC a occupé les fonctions de vice-président de la République pendant le régime 1+4. 3. Mossaï Temongonde Sanguma: 60% Il est pasteur de la Communauté évangélique de l’Ubangi-Mongala, membre de l’Église du Christ au Congo, professeur d’université et homme politique. Le 15 mars 2019, il a été élu sénateur pour la province du Sud-Ubangi. Il est depuis le 2 mars 2021, le deuxième vice-président du bureau du Sénat. En 2003, il obtient un doctorat en philosophie des études interculturelles (Missiologie-School of World Mission). Depuis 2003, Mossaï Sanguma est professeur de Science de la Mission, Oecuménisme et Science des religions à l’Université protestante au Congo, et à la Faculté de théologie évangélique de Bangui –FATEB- en Centrafrique de 2004 à 2007. Ce pasteur ne passe jamais inaperçu auprès des populations grâce à ses multiples œuvres philanthropiques. Il contribue également à des travaux de réhabilitation et construction des routes dans son fief électoral, voire même dans la province de la Mongala. Compte tenu de son audience, il peut facilement mobiliser pour la réélection de Félix Tshisekedi auprès de ses ouailles et des membres d’autres communautés. 4. Pierre Yula Omombo: 58% Editeur responsable du groupe de presse Le Libre Débat comprenant un magazine en quadrichromie et un hebdomadaire, il analyse depuis de nombreuses années la situation de la RDC dans tous les domaines. La pertinence de ses idées lui a fait connaître non seulement de l’ancien et l’actuel président de la République, mais également des décideurs aussi bien politiques qu’économiques. Dans la province de la Tshuapa dont il est originaire, il est apprécié par les populations, surtout les jeunes, pour de multiples plaidoyers qu’il n’a jamais cessé de mener auprès des instances tant nationales que provinciales en rapport avec des projets socioéconomiques élaborés en vue du développement de cette entité politico-administrative, et le bien-être des populations. 5. Aimé Molendo Sakombi: 55% Fils de l’inoubliable Dominique Sakombi Inongo, Aimé Sakombi Molendo, a annoncé sa candidature à la députation nationale pour le siège de Lisala ville. Déterminé à assurer le deuxième mandat au président de la République, le ministre des Affaires foncières a aussi mobilisé la base de l’UNC à voter massivement Félix Tshisekedi à l’élection présidentielle de 2023. Pendant son séjour et à toutes les rencontres qu’il a eues avec les représentants des différentes couches sociales, il n’a cessé de lancer: Mongala pour Félix Tshisekedi en 2023. Depuis le début de cette année 2023, le ministre s’est énormément investi de plusieurs manières afin de vitaliser efficacement l’UNC dans la Mongala, notamment en dotant les bureaux de ses 3 territoires d’un siège digne du parti, à savoir Lisala, Bumba et Bongandanga. KONGO CENTRAL 1. Atou Matubwana: 70%, Généralement présenté comme l’homme le plus populaire du Kongo central, l’ancien gouverneur demeure fermement attaché au chef de l’Etat Félix Tshisekedi qu’il considère comme son maître et lui le bon élève. Ainsi, dans le cadre de son parti politique Ingeta, membre du regroupement AAAP, il mène un travail énorme apprécié de tout le monde. Atou Matubuana continue à prouver à l’opinion nationale que l’on peut aussi compter sur lui pour toute action en faveur du président de la République. Totalement impliqué dans la vision du chef de l’Etat, cet acteur politique ne jure que par sa réélection à la tête de la RDC en décembre 2023. Pour cela, il mobilise l’électorat du Kongo Central partout où il passe. 2. Fabrice Puela: 68% Le ministre des droits humains avait déjà plébiscité au Kongo-Central précisément à Matadi, Félix Tshisekedi comme candidat naturel de son parti politique «Congo Nova» à la présidentielle de 2023. A ce sujet, il avait fait savoir aux populations de Matadi que le gouvernement Sama Lukonde est en train de travailler sur plusieurs plans dont son ministère des droits humains où, à travers la justice transitionnelle, il a fait adopter plusieurs lois à l’Assemblée nationale qui ont conduit à la consultation nationale pour la réparation des victimes de crimes graves avec l’accompagnement de la première Dame, Denise Nyakeru. En outre, le ministre des Droits humains avait justifié son choix de Félix Tshisekedi par le fait que son parti Congo Nova partage avec l’UDPS non seulement la même vision celle du «peuple d’abord», mais également la même idéologie politique. 3. Nefertiti Ngudianza: 61%,5 Elle avait brigué, en 2022, le poste de gouverneur de la province du Kongo central. N’ayant pas été élue, la sénatrice Néfertiti Ngudianza Bayokisa Kisulu, a continué à marquer sa présence dans toutes les activités politiques de cette partie du pays. Licenciée en droit de l’Université de Kinshasa, elle entame sa carrière professionnelle en 1999 après avoir passé dans un cabinet d’expertise pendant 6 mois à Kinshasa. Très écoutée, elle est capable de mener une véritable campagne électorale, à la manière du pays de l’Oncle Sam où elle a grandi, pour la réélection de Félix Tshisekedi en décembre 2023. 4. Guy Bandu: 58% Le gouverneur du Kongo Central, membre de l’union sacrée, avait regroupé dans une salle de la ville portuaire de Matadi plusieurs personnalités politiques locales pour vulgariser la charte de l’Union sacrée, après son adoption le 5 avril 2023 à Kinshasa par les partis membres. Guy Bandu a exprimé son souhait de voir tout le monde se mobiliser pour faire réélire Félix Tshisekedi au Kongo Central. Conscient de cette situation, l’autorité provinciale mobilise déjà toutes les couches sociales afin de marquer l’histoire en assurant pour la première fois une large victoire au président de la République. GRAND KASAI 1. She Okitundu: 80% Le parti social-démocrate vert s’est récemment prononcé en faveur de la candidature de Félix Tshisekedi à l’élection présidentielle de décembre 2023. L’annonce a été faite à la clôture de sa première convention tenue du 5 au 7 septembre dernier à Kinshasa. A l’issue de ces travaux, les membres ont exprimé «la nécessité d’avoir un leadership éclairé au sommet de l’Etat », afin de relever efficacement les multiples défis que connait la RDC. Signalons que She Okitundu avait été directeur de cabinet et ministre des Affaires étrangères de l’ex-président Joseph Kabila. En tant membre de la l’ex-Majorité présidentielle, il avait été co-fondateur du parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie. En cette qualité, il avait été élu en 2019 sénateur du Sankuru. 2. Denis Kambayi 78% Le sénateur Dénis Kambayi est président international de la synergie des notables et associations du Grand Kasaï. Lors de son séjour à Mbuji-Mayi, il a procédé à l’installation du comité local de sa structure et encouragé les Kasaïens, toutes tendances confondues, à se lever pour soutenir le deuxième mandat du président Tshisekedi en 2023. Et de lancer: « En dépit de nos appartenances politiques, nous devons accompagner le chef de l’Etat parce que nous avons besoin qu’il puisse faire le deuxième mandat, ce qui n’a pas été fait depuis plus de 60 ans. L’ancien gouverneur du Kasaï central a déjà mené la même campagne au Kongo central, Kinshasa, Kwango, Kwilu, Kasaï (Tshikapa), Kasaï central (Kananga). Après Kasaï oriental (Mbuji-Mayi), Dénis Kambayi entend mettre le cap sur Lomami, Sankuru, avant de « projeter une grande descente dans l’espace du grand Kivu ou le grand Katanga, le grand Équateur ou le grand Oriental. 3. Lambert Mende Omalanga: 64% Celui qui fut plusieurs fois ministre, dont celui de la Communication et Médias de 2008 à 2012, puis de 2014 à 2019, est le président national du parti politique Convention des Congolais Unis-CCU. Originaire de Lodja dans le district de Sankuru, il a fait des études de droit à l’Université nationale du Zaïre (campus de Kinshasa), mais ne les finit pas. Il part ensuite en Belgique, où il décroche une licence en criminologie de l’Université libre de Bruxelles (ULB). En 2005, Mende a été élu député national de la circonscription de Lodja comme membre du RCD/K-ML. Il fut le Rapporteur du Sénat pendant la transition (2003 à 2007), et vice-Premier ministre, ministre des Transports et Communications. Nommé ministre des Hydrocarbures dans le gouvernement Gizenga en février 2007, il n’a pas hésité à révoquer une partie de la licence qui avait été attribuée à Heritage Oil et Tullow Oil, deux sociétés qui veulent exploiter des gisements autour de lac Albert. Début 2019, il n’a pas réussi à se faire élire gouverneur de la province du Sankuru. Celui qui avait été traité par un défunt artiste-musicien congolais de « l’homme au verbe facile», est capable de parler, de mobiliser et de convaincre l’électorat en faveur de Félix Tshisekedi. 4. Nicolas Kazadi: 56% Le ministre des Finances est le membre du gouvernement Sama Lukonde le plus performant et le mieux apprécié des Congolais. Avant lui, les finances publiques ne se sont jamais si bien portées. Avec des réserves de change dépassant plusieurs milliards de dollars, le ministre a redonné de l’air à une économie balbutiante. S’appuyant sur l’excellent travail de l’Inspection générale des finances, l’argentier national se pose comme le régulateur, bien plus qu’un simple gestionnaire, des finances publiques. Il a hérité d’un plan de trésorerie peu reluisant, qui présentait la RDC comme un État, financièrement, au bord du gouffre. Aujourd’hui, les institutions de Bretton Woods sont d’avis que la RDC a réussi sa marche vers la résilience. Grâce au savoir-faire de Nicolas Kazadi, le FMI qui avait tourné le dos à la RDC suite à la gabegie financière, a renoué avec notre pays et s’est engagé à financer pour trois ans le programme économique du gouvernement. Il en est de même de la Banque mondiale avec un décaissement de 3 milliards de dollars échelonnés sur 18 mois en faveur de la RDC. Ces performances plaident évidemment en faveur du chef de l’Etat Félix Tshisekedi. GRAND KIVU 1. Aimé Boji: 72% Depuis son arrivée au ministère du Budget, Aimé Boji Sangara se fait remarquer par sa surveillance accrue de la qualité des dépenses publiques, et à leur stricte conformité aux instructions relatives à leur exécution. Cette orthodoxie dans la gestion des Finances publiques a permis le retour de la stabilité de la situation économique, ainsi que la mobilisation des recettes publiques observées actuellement en RDC. Tout le monde salue le renforcement par ce ministre de la gouvernance budgétaire, et sa rigueur pour ce qui est des dépenses et recettes de l’État. En outre, il est félicité pour sa volonté d’améliorer le cadre et des structures de l’administration du Budget. Enfin, dans le cadre de la vision portée par le chef de l’Etat, ce technocrate pose des actes socioéconomiques au profit de sa communauté, tout en l’encourageant à soutenir Félix Tshisekedi pour un second mandat à la tête du pays. 2. Honorable Singoma Mwanza 70% Le président du Caucus des élus du Nord-Kivu contribue énormément au retour de la paix dans la partie est du pays. C’est dans ce cadre qu’il prend part à toutes les initiatives du gouvernement visant la fin de la guerre, la démobilisation des rebelles, et le retour des déplacés dans leurs communautés respectives. Membre du regroupement politique AAB, l’élu du Nyirangongo souhaite vivement que la dynamique qui s’est mise en place permette rapidement de traiter la situation difficile que vit la population congolaise en général, et celle du Kivu en particulier. A cet effet, il soutient fermement le Premier ministre pour bien concrétiser la vision du chef de l’État. 3. Honorable Olive Mudekereza: 68% Le député national Olive Mudekereza encourage fortement la reprise effective des activités agricoles dans le Sud-Kivu. Il estime qu’après les guerres qui endeuillent les populations, l’agriculture sera la principale activité qui permettra aux déplacés de lutter contre la faim et de constituer des réserves. Pour cette raison, il se rend à des intervalles réguliers dans le territoire de Walungu avec des étudiants de l’Institut supérieur de développement rural –ISDR/Bukavu, les experts agricoles et autres jeunes entrepreneurs du milieu; ce dans l’objectif de vulgariser les nouvelles techniques agricoles. Sur place, le député national a profité de son champ pour partager son expérience d’entrepreneur avec ces étudiants et chercheurs. Pour lui, l’objectif est de voir ces étudiants accueillir des nouvelles connaissances sur l’agribusiness. Il sied de noter que l’émergence de nouveaux entrepreneurs congolais est un des volets de la vision du chef de l’Etat, Félix Tshisekedi. 4. Théo Ngwabidje: 57% Le gouverneur du Sud-Kivu a demandé à la population de sa province, de renouveler sa confiance au président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi. Dans ses propos, il a salué le processus électoral en cours, ce dans l’objectif de faire le bon choix lors des élections générales de décembre 2023. A son avis, il faudrait élire des dirigeants qui peuvent réellement être au service du peuple, ceux qui mettent les intérêts de la population au centre de leurs préoccupations. Le gouverneur, haut cadre du parti présidentiel, estime qu’il serait sage pour le peuple de renouveler sa pleine confiance à “Fatshi Béton” afin qu’il continue sur la même lancée du développement. MANIEMA 1. Justin Kalumba: 75% Le ministre des classes moyennes, petites et moyennes entreprises et artisanats, avait mis un accent particulier sur la publication des listes des candidats gagnants au concours des plans d'affaires –COPA-, une première initiative en RDC chargée de subventionner les petites et moyennes entreprises. Ce concours est un projet qui avait rassemblé plus de 1000 candidatures, mais auquel uniquement près de 500 candidatures pertinentes avaient été retenues, réparties dans différentes villes de Kinshasa, Matadi, Lubumbashi et Goma. Notons que l’émergence de la classe moyenne dans notre pays est la volonté maintes fois exprimée par le président de la République. 2. Honorable Tunda 66% Le député national Prosper Tunda Kasongo, a procédé à l’installation de son parti membre de l’Union Sacrée à Goma, il a aussi sensibilisé et galvanisé ses militants et de centaines de nouveaux membres. ‘’Le Congo doit rester un et indivisible’’, a insisté l’honorable Tunda en véritable patriote devant de centaines de militants. Lors de cette activité, l’honorable a insisté sur l’apport du peuple dans la consolidation de la démocratie, socle de l’émergence de la RDC. Il a exhorté ses partisans, et à travers eux toute la population du Nord-Kivu, à un soutien sans faille aux FARDC et au chef de l’Etat Félix Tshisekedi. GRAND KATANGA 1. Sama Lukonde: 80% Le regroupement politique « Agissons et Bâtissons » -AB- dont il est l’autorité morale, a tenu une réunion stratégique le jeudi 28 septembre 2023 à Kinshasa. Cet événement qui a réuni les présidents des différents partis membres de cette famille politique, avait pour but de mettre en place des stratégies en vue d’aller aux élections de décembre prochain, de la plus belle manière. Dans son allocution, Sama Lukonde, en sa qualité d’autorité morale de ce regroupement, a réaffirmé le soutien et l'engagement de la coalition à accompagner Félix Tshisekedi pour sa réélection à la présidentielle du 20 décembre. 2. Fifi Masuka : 76% Au cours d’un point de presse, Marie-Louise Epoli, haut cadre du Front des indépendants pour la démocratie chrétienne –FIDEC-, a affirmé que le parti de Fifi Masuka soutient la candidature de Félix Tshisekedi aux élections présidentielles de 2023. De même, madame Epoli a précisé que le parti de la femme forte du Lualaba alignera des candidats aux élections législatives nationales et provinciales, ainsi qu’aux élections locales pour y rafler la majorité. 3. Jacques Kyabula: 75% Le gouverneur du Haut-Katanga a lancé plusieurs chantiers d’infrastructures routières. Il s’agit des actions visant la reconstruction de cette entité politico-administrative. Il y a quelques semaines, l’autorité provinciale a dit avoir mis de l’accent sur la qualité des infrastructures routières. Ainsi, à Likasi comme à Lubumbashi où la plupart des routes datent de l’époque coloniale, le chef de l’Exécutif provincial a construit des routes ou avenues plus agrandies. Les matériaux utilisés, selon les ingénieurs, sont plus durables. Ces ouvrages sont munis de canalisation et de systèmes d’éclairage public. Dans le secteur alimentaire, le gouverneur a réalisé une bonne récolte des graines de maïs au cours de l’année culturale 2021-2022. Pour cela, il a organisé une visite de suivi de l’opération de remboursement des sacs de maïs pour les fermiers ayant bénéficié des intrants agricoles. Après avoir visité les dépôts de stock de maïs, il a annoncé l’instauration d’une journée dédiée aux agriculteurs. Ces sacs de maïs entreposés dans l’enceinte du Gouvernorat, seront transférés vers la minoterie pour la farine de maïs made in Haut- Katanga. Voilà donc une personnalité politique qui matérialise à merveille la vision de Félix Tshisekedi pour qui il est disposé à se mobiliser en vue de sa réélection en décembre 2023. 4. Danny Banza: 68% L’ambassadeur itinérant Dany Banza apparait incontestablement comme l’un des leaders incontestés de l’espace Grand Katanga. Alors que les enjeux électoraux de 2023 se dessinent clairement à l’horizon, Dany Banza Maloba qui a retrouvé enfin les insignes et les couleurs de son parti Avenir du Congo –ACO- à la suite de la mise à jour, par le Secrétariat général du Ministère de l’Intérieur en charge des partis politiques autorisés à fonctionner en République Démocratique du Congo, peut à présent se mobiliser dans la sérénité, dans le cadre de l’Union sacrée de la nation, avec pour objectif final de faire réélire Félix Tshisekedi aux élections présidentielles de 2023. 5. Serge Khonde: 65% L’ancien ministre des sports et loisirs est originaire du territoire de Sakania, dans le Haut-Katanga. Ayant repris son siège de député national, il ne manque jamais de rassurer les fils et filles de ce territoire de l’implication du gouvernement dans la modernisation de cette partie du pays dans le cadre du programme des 145 territoires initié par le chef de l’État. Pour ce faire, il échange souvent avec des jeunes, des vieux, des femmes, des associations socio-culturelles pour leur expliquer l’attention que porte le chef de l’Etat sur les problèmes ayant trait à ce territoire, tout en leur demandant de tout faire pour lui accorder un second mandat à la tête du pays. KINSHASA: 1. Ngobila Mbaka: 82% L’Alliance des Congolais progressistes –ACP- de Gentiny Ngobila Mbaka s'est engagé à soutenir la candidature du président de la République Félix Tshisekedi à l'élection présidentielle de décembre 2023. C'est ce qui ressort du congrès extraordinaire du parti organisé mercredi 6 septembre à Béatrice Hôtel de Kinshasa/Gombe. A cette occasion, le parti de Gentiny Ngobila a désigné Félix Tshisekedi comme son candidat président. L’autorité morale du parti, a expliqué les raisons de son choix. Selon lui, le progressisme qui est l'identité de l'ACP, cadre avec la vision socio-démocrate du chef de l'État Félix Tshisekedi. Ce dernier a, depuis son accession au pouvoir, initié des réformes importantes qui ont impacté la vie sociale des Congolais. Il a entamé des réformes qui ont permis de quadrupler le budget national en quatre ans, susceptible de financer le programme des 145 territoires ainsi que la construction et la rénovation des infrastructures de base. L'ACP juge positif le bilan du président et lui exprime son soutien et sa loyauté. Le parti a pris l'engagement ferme et irrévocable de tout mettre en œuvre pour faire triompher le président Félix Tshisekedi lors de l'élection présidentielle qui pointe à l'horizon. 2. Henriette Wamu: 80% Députée nationale, Autorité morale de l’Alliance pour le progrès du Congo –APC-, parti allié de l’UDPS, Henriette Wamu, candidate aux législatives nationales dans le district de Funa à Kinshasa, a réaffirmé son total soutien au candidat de l’UDPS à la présidentielle de décembre 2023. « J’afirme avec force et conviction que mon parti est allié à I’UDPS. Et c’est dans cette logique que j’apporte personnellement un soutien enraciné au candidat Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo. J’en profite pour vous dire que I’APC mon parti croit fermement aux valeurs politiques pour lesquelles, feu Étienne Tshisekedi a donné le meilleur de lui-même durant sa vie», a-t-elle déclaré. 3. Patrick Muyaya: 72% La délégation du parti politique Bloc des Bâtisseurs du Congo –BBLOC- conduite par son président national, Jimmy Mukendi Tshimanga, a dernièrement échangé avec le ministre de la Communication et médias Patrick Muyaya, sur des questions liées au processus électoral. Pour les cadres de ce parti membre de l'Union sacrée, cet échange avec le porte-parole du gouvernement avait pour premier objectif de s’informer à la source du bilan du président de la République Félix Tshisekedi. Il était aussi question d’avoir une connaissance globale de ce qu’a mené le chef de l’État auprès des militants, sa base et la population afin de mieux battre campagne pour la victoire de Félix Tshisekedi à la présidentielle de 2023. Pour sa part, le ministre Patrick Muyaya a loué la démarche menée par la délégation de ce parti politique. Il a fait voir aux membres de BBLOC les différentes pistes qui mèneront à bon port les actions concrètes de sensibilisation et de vulgarisation pendant la campagne électorale du président de la République. 4. Samuel Mbemba: 65%, Les travaux visant le désengagement du quartier Camp Luka par la construction de plusieurs routes et ponts ont pris une vitesse de croisière, et seront entièrement achevés dans quelques mois au grand bonheur de la population de cette contrée qui a tant souffert. Si le gouvernement a financé ce projet, l’on reconnaît néanmoins à Maître Samuel Mbemba Kabuya Tanda le mérite d’avoir plaidé la cause de cette entité qui non seulement l’a voté massivement lors des élections de 2018, mais aussi l’a vu naître. 5. Patcho Panda: 60% L’AGAPE compte parmi les partis politiques qui se mobilisent pour la réélection de Félix Tshisekedi à la présidence de la République en 2023, Pour cette raison, le président de cette formation politique, Patcho Panda, a présidé une réunion stratégique à laquelle les présidents provinciaux de l’AGAPE ont tous pris part. Objectif: le réarmement moral des membres en vue de bien affronter les échéances électorales qui pointent à l’horizon. Le président national a saisi cette occasion pour expliquer clairement les raisons qui ont motivé la création de ce parti ayant l’ambition de bouger le microcosme politique congolais. Il a demandé à tous les membres de s’engager comme un seul homme pour accompagner le chef de l’État dans son élan de libérer totalement notre pays. GRANDE ORIENTALE: 1. Carole Agito: 80%, Après la désignation et l'investiture du président Félix Tshisekedi comme unique candidat de l'Union sacrée de la nation à la présidentielle de décembre 2023, au terme du premier congrès de cette méga plateforme, la sénatrice Carole Agito Amela a sonné la cloche de la victoire de sa haute Autorité politique avec un résultat sans précédent dans la Grande Orientale, en général, et le Bas-Uélé en particulier. Aujourd'hui, il ne fait l'ombre d'aucun doute que Carole Agito se présente comme l'architecte de la victoire de Fatshi en 2023 dans le Bas-Uélé pour notamment son engagement depuis 4 ans à soutenir l'éducation de la jeunesse en payant les frais de participation à l'examen d'État de tous les finalistes de sa province avec un effectif annuel qui varie entre 3.500 et 4.000 candidats, en ce compris les autodidactes, à financer et promouvoir la formation de la femme et de la jeune fille pour son autonomisation à travers la fondation Carole Agito qui a construit des centres de formation à Buta sur le site de son siège national, ses différentes œuvres au profit de la population dans le secteur de la santé, des infrastructures de base, etc. 2. Baseane Naanga: 70% Dans la province du Haut-Uélé, Christophe Baseane Nangaa a prôné l’unité autour de la vision du chef de l’État, Félix Tshisekedi à qui il dit devoir son bilan politique à la tête du Haut-Uélé. En sa qualité du chef de fil de l’Union sacrée de la nation dans sa juridiction, il n’a pas trahi sa philosophie politique: le pragmatisme en octroyant une Land Cruiser à Bouzo Zamani qu’il a, dans l’entre-temps désigné comme son Directeur de campagne pour les prochaines élections législatives où il compte se présenter à la députation nationale et provinciale. Pour lui, non seulement l’actuel locataire du Palais de la Nation doit rempiler, mais en plus il faudra remporter la majorité des sièges dans les différentes chambres parlementaires pour lui permettre de poursuivre son œuvre salvatrice du développement du pays. 3. Constant Lomata: 67% « Action pour la Bonne Gouvernance et l’émergence (ABGE) », parti politique de Constant Lomata Kongoli, gouverneur honoraire de la province de la Tshopo, se place en ordre de choix au sein de la plateforme politique Alliance des acteurs attachés au peuple –AAAP. Ce regroupement politique soutient la vision du chef de l’Etat Félix Tshisekedi et sa réélection en décembre 2023. 4. Emile Bongeli: 65% Le professeur Emile Bongeli a formulé des propositions pour que l’Union sacrée mise en place par le chef de l’Etat ne retombe pas dans les erreurs du passé de la politique congolaise. «Nous ne devrions pas réfléchir en termes de celui-ci a autant de députés nous lui donnons autant de postes. Si nous allons dans ce sens-là, ça ne sera pas quelque chose de nouveau, parce que le Congo n'a connu que ça. Il faut plutôt identifier les personnes compétentes capables de changer les choses», a expliqué l'ancien ministre de l'information. Le professeur Bongeli invite les décideurs à se «remettre en question» et à réfléchir sur le développement du pays. 5. Thomas Lubanga: 62% Le parti politique de Thomas Lubanga, l'Union des Patriotes Congolais –UPC- adhère à la vision de l'Union sacrée de la nation initiée par Félix Tshisekedi. L'UPC encourage donc le chef de l’Etat à poursuivre son combat pour sauver la nation du "naufrage inéluctable dans lequel il est en train de sombrer". L'UPC se dit prête à mobiliser sa base en Ituri et partout en RDC afin de soutenir les réformes entrevues par Félix Tshisekedi à travers l'Union Sacrée. GRAND BANDUNDU: 1. Abdon Etina: 78% L’Autorité morale de l’Alliance des paysans, ouvriers et de la classe moyenne -APOCM- se mobilise pour la réélection de Félix Tshisekedi en 2023. Ce choix est justifié par sa conviction et sa détermination à voir l’actuel président de la République être reconduit à ce poste. C’est cela qui explique ses appels incessants à l’endroit de la jeunesse et, ensuite à toute la population congolaise à se mobiliser et à s’enrôler pour soutenir la candidature de Félix Tshisekedi de manière à le reconduire pour un second mandat. Le discours de ce parti qui se défini comme étant celui de proximité et du peuple par le peuple ou pour le peuple, séduit les Congolais de l’Est à l’0uest. 2. Christophe Mboso: 73% Dans une réunion tenue le vendredi 29 septembre au sein de l’Union sacrée de la nation, le président de l’Assemblée nationale a réaffirmé avec conviction le rôle central des députés nationaux dans la campagne pour la réélection du président Félix Tshisekedi pour un second mandat. Selon lui le numéro un de la Chambre basse du parlement, les parlementaires seront les “acteurs majeurs” qui “œuvreront sur le terrain”, couvrant l’ensemble de la République avec une “connaissance approfondie des réalités locales”. Christophe Mboso a souligné que les députés nationaux jouent un “rôle essentiel” en tant que représentants du peuple, étant présents dans tous les coins du pays. Leur proximité avec les citoyens leur confère une compréhension précise des “enjeux locaux” et une capacité à mobiliser les électeurs en faveur de la réélection de Félix Tshisekedi. 3. Ritha Bola: 55% A quelques mois seulement des élections présidentielles en RDC, les femmes gouverneures se donnent fermement un défi à relever dans leurs provinces respectives, celui de la réélection du président Félix Tshisekedi. C’est le cas de Rita Bola, gouverneure du Maï-Ndombe et Madeleine Nikomba, à la Tshopo. Dans un point de presse conjoint animé à Kisangani, les deux personnalités n’ont pas manqué de réitérer leur soutien indéfectibles à l’actuel pouvoir qui a fait confiance à cinq gouverneures femmes en RDC. Pour Rita Bola, aussi présidente du Caucus des femmes gouverneures, ces dernières font la fierté du chef de l’État dans leurs entités respectives. Dès lors, des stratégies sont déjà en place afin que le caucus travaille durement pour sa réélection à la tête du pays. Le Peuple d’abord