(Mission permanente de Mme Juliette Mbambu Mughole)
*La traçabilité de ses recettes qui implique la montée de sa production est un travail de titan qu'effectue l'équipe de la Direction Générale sous le commandement de la DG Juliette Mbambu Mughole.
La modernisation de la CADECO passe par l'amélioration de ses locaux mais aussi, des conditions de travail.
Aujourd’hui, la Cadeco retrouve sa place d'honneur par ce génie à sa tête.
Son intégration dans le système moderne de gestion de banque par son informatisation en lui dotant de son propre logiciel qui la place, visiblement, en pole position face à la concurrence.
Bientôt, cette institution financière à capital 100 % congolais sera lancée dans une caste de belle image pour une vraie indépendance économique.
Tout cela pour un Congo retrouvé grâce à la vision de son Excellence Monsieur le Président de la République, Félix Tshisekedi, qui met en avant la lutte contre la pauvreté. La Cadeco à vous et pour vous une banque de proximité !
Sécurité et assainissement, désasphyxie de l’économie locale, nouveau management public respectueux des lois et décentralisé, transparence garantie par la digitalisation dans la gestion des deniers publics, desserte pérenne d’eau et d’électricité, implantation des incubateurs dans chacune commune et solutions de proximité à la population… Tels sont les piliers majeurs alignés par Mamie Mujanyi, challenger au poste de Gouverneur de la Ville-Province de Kinshasa, dans son offre politique. Son idéal : donner des solutions idoines aux maux qui rongent la Capitale et ses administrés. In extenso, lisez la quintessence de son offre politique.
*Mamie Mujanyi, mieux connue sous le nom de Freebox, est une femme de leadership et Présidente du Mouvement des Femmes Entrepreneures (MIFDA)
Déclaration Politique de Mamie Mujanyi
Je voudrais imprimer un leadership économique à la ville capitale de la RDC amplement caractérisée par une pauvreté évitable.
Pour avoir alimenté une économie asymétrique dans le Grand Bandundu et le Kongo Central, et pour avoir consacré une économie d’importation, nous avons tué l’économie de la Province.
Nous sommes pris en étau par ces deux provinces qui se sont appauvries et l’Angola qui nous considère comme un déversoir. Ma stratégie est de structurer l’économie informelle et générer des petites et moyennes entreprises et industries.
Nous allons lancer un nouveau management public respectueux des lois, c’est à dire décentralisé. Nous installerons dès la prise des fonctions, une académie de renforcement des compétences afin de générer 24 bourgmestres, leaders de chaque commune et qui travaillera avec les Kinois pour une économie locale prospère et créatrice d’emplois.
Kinshasa fonctionnera pour le Kinois et sera amplement digitalisé afin de renforcer la transparence dans la gestion de la chose Kinoise. Nos enfants ne quitteront pas leur commune à la recherche de bonnes écoles ailleurs. Nous structurerons des solutions de proximité. La même chose pour la santé.
Chaque commune aura un incubateur, centre d’innovation pour capter l’économie locale. Nous allons travailler avec la SNEL et la Régideso pour garantir la disponibilité et la qualité de leurs fournitures en diversifiant les sources et les techniques.
L’intelligence peut trouver des solutions à tout. Pour une fois, la ville sera absolument à l’écoute des citoyens et pour cela, nous organiserons des concours de propreté, de sécurité, de qualité d’enseignement, de soins de santé mais surtout la joie de vivre dans une commune.
« Kinshasa économique » est une transformation qui oppose le moins cher à la qualité au bon prix mais des citoyens qui travaillent et gagnent des moyens pour payer.
La saleté et l’insécurité sont la conséquence de la pauvreté chronique. Nous allons briser cette chaîne pour passer vers la prospérité construite par le génie des kinois.
Nous mettrons une gouvernance respectueuse des institutions de l’Etat: les députés provinciaux seront mis à contribution et dans de bonnes conditions de travail. Les députés nationaux et les sénateurs de Kinshasa feront partie des partenaires.
Le Président a dit qu’il ne faudra pas commettre les erreurs du passé. Nous anticipons,
Notre plus grande sentinelle, ce sera le Kinois à qui nous rendrons compte en permanence grâce au choix d’une gouvernance ouverte.
Les femmes mandataires des entreprises publiques récemment nommées par le président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo viennent de réaffirmer leur soutien au chef de l’Etat, au lendemain de sa brillante réélection à la suite de l'élection présidentielle du 20 décembre 2023. Ces femmes de fer se disent, à cet effet, déterminées à l’accompagner utilement durant son deuxième quinquennat en cours depuis le samedi 20 janvier 2024, jour de sa prestation de serment au stade de martyrs, devant la communauté nationale et les partenaires internationaux venus nombreux en marge de cette importante cérémonie.
Elles l’ont dit au cours d’une rencontre tenue ce vendredi 25 janvier 2024 à Kinshasa, capitale de la RD Congo. C'était, à tout dire, l'occasion pour ce groupe de femmes mandataires de soulever certaines préoccupations qu’elles rencontrent dans leurs entreprises et établissements publics respectifs mais aussi l'ultime occasion de proposer des pistes de solution en vue de l'amélioration de leur travail au service de l'intérêt supérieur. Ce cadre d’échange et de réflexion relève de l'initiative de Madame le Directeur Général de la RTNC Sylvie Elenge qui, dans son mot introductif, a insisté sur le fait qu'il s'agit d'un cadre informel et, par ricochet, chacune d’elles devra apporter des inputs pour l’amélioration du secteur public de façon générale.
À en croire Madame le Directeur Général Adjoint de l’Office Congolais de contrôle Christelle Muabilu, porte-parole de circonstance, cette rencontre a revêtu plusieurs significations à la fois. "Il s'agit juste d'un groupe de femmes mandataires qui avaient été nommées par le président de la République. L'objectif de notre rencontre était premièrement un contact physique. Deuxièmement nous féliciter, parce que depuis que nous avons été nommées, nous ne nous sommes jamais vues; bien-sûr que la plupart d'entre nous se connaissent. Et troisièmement l'échange des vœux. Quatrièmement c'était pour échanger sur des questions stratégiques en ce qui concerne l'accomplissement de nos tâches, dans les différentes entreprises respectives. C'était une première rencontre, il y en aura encore. Nous avons élaboré un calendrier pour les différentes rencontres qui viendront, parce que nous devons nous rencontrer pour échanger - réfléchir, pour au-moins améliorer notre secteur en tant que femmes, réfléchir comment apporter notre plus au président de la République dans le secteur d'activités qui sont les entreprises publiques. Je suis très heureuse d'avoir rencontré des femmes fortes. En tout cas, ç'a été une journée bien enrichie. Parce que chacune de nous a une expérience particulière ", a relevé la première femme de l'OCC.
Il faut signaler que ces femmes mandataires ont saisi cette occasion pour remercier le Couple présidentiel pour les efforts dans la participation de la femme congolaise en général, et les jeunes, en particulier, aux instances de prise des décisions. Force est de citer nommément les femmes mandataires qui ont pris part active à cette première réunion. Il s'agit de Madame Gisèle Mbwansiem Mbiung, Dga aux lignes maritimes congolaises, Madame Djena Bassalia Nlandu Dga au fonds pour la promotion de l'industrie, Madame Pontshi LOBO Mamitsho, Dga à la société Congo Airways, Madame Rwakabuba Maguy, PCA ANADEC, Madame Zamunda Mukanda, Dga au FONHAB, Madame Muabilu Christelle, Dga à l'OCC, Madame Elenge Sylvie, DG à la RTNC, Madame Tshibonge Sandra, DG à la SCPT, Madame Mutund Barbara Kanam, DG au FPC, Madame Garuka Gukara Hélène, Dga au FOGEC, Madame Kilolo Bunda Deogracias, administrateur au FOGEC.
«Le potentiel environnemental que regorge la RD-Congo notamment, la forêt nous donne en même temps la possibilité d’être responsable de ce secteur. Nous allons protéger nos forêts, c’est vrai, parce que nous avons besoin de l’oxygène mais nous avons aussi besoin du pain, c’est-à-dire, lier le pain et l’oxygène. La protection des forêts n’empêche pas la gestion durable. La plus importante, c’est la durabilité et la responsabilité que nous avons à gérer ces ressources».
Tels sont les propos de Madame Eve Bazaïba Masudi, Ministre d’Etat, Ministre de l’Environnement et Développement Durable, prononcés au cours de la cérémoniale de clôture des Etats Généraux des Forêts, intervenue le mardi 23 janvier 2024, au Centre Catholique Nganda.
Pour la Patronne de l’Environnement et Développement Durable, c’est la première fois que le pays va se doter d’un document d’une politique forestière nationale. « Nous en avons la possibilité de consentir des sacrifices, pour répondre à l’appel de l’humanité qui demande l’implication de tout le monde pour sauver cette humanité à travers la protection de ces ressources tout en sachant que nous vivons dans la forêt et de la forêt », a-t-elle précisé.
Et de renchérir : « Il est donc réaliste pour les Congolais de réfléchir pour une bonne politique forestière qui va, à la fois, protéger les Congolais, les propriétaires de ces forêts ainsi que l’humanité toute entière.
Pendant cinq (5) jours, soit du 18 au 23 Janvier 2023, les parties prenantes venues de quatre couches linguistiques de la République Démocratique du Congo, les représentants des organisations internationales du secteur forestier, les experts et Directeurs chefs des services du Ministère de l’Environnement et Développement durable ainsi que tous les acteurs du développement du domaine forestier ont profité de cette opportunité pour faire le point sur l’évolution du contexte politique, socioéconomique et environnemental du secteur forestier.
Car, notent les participants, les forêts de la RDC doivent désormais être perçues non seulement comme solution à la crise climatique mondiale mais aussi et surtout, comme un levier pour l’éradication de la pauvreté, partant des collectivités forestières, dans une perspective de développement durable.
A en croire Madame la Ministre d’Etat en charge de l’Environnement et Développement Durable, Eve Bazaïba, la tenue de ces Etats Généraux des Forêts répond à l’une des recommandations de la Conférence Nationale Souveraine de 1991. Depuis des décennies, aucun de tous les gouvernements qui se sont succédé au pays, n’a daigné organiser de telles assises. Il fallait attendre l’avènement du Chef de l’Etat Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo pour rendre effectif ce grand forum qui a débattu plusieurs thématiques avec des recommandations s’y rapportant.
Les objectifs assignés à ces assises sont multiples et variés. Il s’agit entre autres, de lever des options fondamentales susceptibles d’insuffler une nouvelle dynamique dans le secteur forestier dont la contribution au budget national reste encore faible ; fournir les informations relatives aux écosystèmes forestiers, notamment aux données de productions forestières : contribuer à la réalisation d’un diagnostic complet de l’état des lieux de la gestion des forêts ; élaborer une vision prospective (politique forestière nationale) de gestion durable. Celle-ci devrait servir entre autres, à la révision du Code forestier ainsi qu’à l’élaboration des plans et stratégies du secteur etc.
Résolutions ou recommandations
Dans le domaine de la gouvernance forestière :
Face aux attirances des forêts congolaises qui drainent une pluralité d’acteurs nationaux et internationaux aux perceptions et aux intérêts divergents, les participants ont préconisé l’élaboration et la mise en application d’une politique forestière nationale et la réforme du Code forestier qui prendra en compte plusieurs autres aspects qui se sont imposés avec le temps ; lever le moratoire sur l’octroi des nouvelles concessions forestières et annuler les actes illégaux pris par les personnalités non compétentes dans le secteur etc.
Pour ce qui est de l’exploitation forestière :
Les participants recommandent l’actualisation du cadre légal et règlementaire ainsi que la redynamisation du système de contrôle forestier et l’opérationnalisation du cadre de concertation entre les parties prenantes.
En ce qui concerne la conservation forestière, il est recommandé le renforcement des cadres légaux et réglementaires favorable à l’augmentation des superficies des zones de conservation selon les différents modèles, avec pour objectif de couvrir jusqu’à 30% (CDB) de l’étendue du territoire national.
Transversalité des activités du secteur forestier :
Il va falloir redynamiser la collaboration entre les parties prenantes à différents niveaux, promouvoir le savoir endogène, la recherche scientifique, moteurs des innovations et de la créativité.
La légalité, transparence, traçabilité du bois
Il est recommandé d’appliquer de manière effective, efficace et rationnelle les dispositions légales dans le secteur forestier, l’harmonisation des textes légaux et réglementaires pour une bonne application sur terrain.
Fiscalité et parafiscalité forestière
Les parties prenantes ont recommandé d’assainir la fiscalité et la parafiscalité en adoptant de façon concertée avec les acteurs majeurs, des mesures équilibrées et incitatives pour la sauvegarde et le développement du secteur forestier de la RDC, et de régler les conflits de compétences inter institutionnelles.
Le Réseau des Femmes Leaders pour l’Accès à la Parole (RFLAP), coordonné par Grâce Israëlla Kangundu Ngyke, appelle tous les candidats à une attitude responsable. Cette structure invite particulièrement les femmes candidates de toutes les tendances politiques et de tous les niveaux du scrutin à garder un état d’esprit serein quels que soient les résultats publiés par la Centrale électorale.
A en croire Grâce Ngyke, la RDC doit vivre au-delà de tous les évènements. Son organisation considère que les candidats qui ne sont pas classés en ordre utiles d’après les résultats provisoires ne sont pas des candidats malheureux. Car, dit-il, «Ils ont contribué à l’avancement de notre démocratie».
Dans ce même esprit, le RFLAP pense qu’ils doivent recourir à la justice pour régler les contentieux électoraux. En tant qu’acteurs politiques majeurs, ils doivent s’abstenir de toute diffusion de massages de haine et de division avant, pendant et après la publication des résultats, a souligné la structure.
Pour clore, le RFLAP rassure les femmes candidates de son accompagnement jusqu’à la fin du processus électoral. Pour celles qui seront élues, Grâce Ngyke les invite à plus de responsabilité.
Après la confirmation officielle de la victoire écrasante du Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, par la Cour constitutionnelle, Mme Madeleine Nikomba Sabangu, Gouverneur de la province de la Tshopo, comme tous les Congolais qui aiment leur pays, a adressé ses sincères félicitations au Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo pour sa brillante réélection.
Avec un sentiment de joie et d’allégresse, Madeleine Nikomba a fait savoir que cette brillante victoire remportée par le Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, candidat à sa propre succession, est un message fort. Elle a, en outre, précisé que cette réélection est l’indicateur de la qualité du travail qu’il a abattu durant son premier quinquennat.
Elle a, pour ce faire, souligné que sa province figure parmi les provinces qui ont voté massivement pour le Président de la République, Félix Tshisekedi. D’après elle, la population de la province de la Tshopo s’est prononcée massivement pour le Président de la République.
Concernant le deuxième mandat du Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, cette dame dont les idées constituent son miroir de vie, a indiqué ce qui suit : « La population de la Tshopo espère que le Président de la République, Félix Tshisekedi va, au cours de son nouveau mandat, réhabiliter la route nationale n°4, et va construire des hôpitaux ».
« Nous espérons que, cette fois-ci, la province de la Tshopo sera inclue dans la vision du Président de la République, Félix Tshisekedi », a-t-elle souligné.
Nous, femmes candidates, toutes tendances politiques confondues aux élections législatives provinciales et municipales, réunies au sein du Réseau des Femmes Leaders pour l’Accès à la Parole (RFLAP) :
-Saluons avec satisfaction, la tenue du quatrième cycle électoral en République Démocratique du Congo, le 20 décembre 2023, dans le strict respect du délai constitutionnel,
-Reconnaissons les avancées notables dans la nouvelle loi électorale et pour la promotion des candidatures des femmes ;
-Nous soutenons ces acquis et encourageons le prochain Président de la République élu à l’issue de scrutin électoral de continuer à les renforcer.
Cela dit, nous, femmes candidates, dénonçons des cas d'irrégularités constatées et vécues au cours de ce processus électoral 2023.
En effet, nous avons été témoins de cas de violations de la loi électorale, notamment des fraudes, des intimidations, des violences et des discriminations à l'encontre des femmes candidates.
Avant le scrutin :
De L’article 10 et 22 de la Ioi n°22/029 du 29 juin 2022 modifiant et complétant la loi N°06/006 du 09 mars 2006 portant organisation des élections présidentielles, législatives, provinciales, urbaines, municipales et locales telle que modifiée par la loi N°11/003 du 25 juin 2011, la loi n°15/001 du 12 février 2°15 et la loi du n°17/013 du 24 décembre 2017 ;
Le non affichage du fichier électoral dans les centres de vote, par exemple l’école Mama Boboto dans la commune de Masina ; à l’Institut technique mécanique dans la commune de Ngaliema au quartier Météo ;
A l’institut Nyombi, circonscription de Budgala dans la province du Sud-Ubangi ….
Refus des accréditations des témoins des candidates dans la majorité des centres de vote ;
Lancement précoce de la campagne électorale ;
Le discours politique virulents de certains candidats ;
La vente de duplicata des cartes d’électeurs ;
Pendant le scrutin ;
La violation des articles 38, 39, 40 et 41 relatif à la présence des témoins dans les bureaux de vote ;
L’ouverture tardive des bureaux de vote ;
Le retard de déploiement des matériels de vote;
Le dysfonctionnement des machines de vote dans les BV ;
La découverte des dispositifs de vote aux domiciles de certains candidats ;
La fermeture anticipée de certains bureaux en faveurs de certains candidats,
Monnayage des voix des électeurs par certains candidats en complicité avec des agents de la CENI et de la police ;
Intolérance et intimidation des militants de certains partis politiques à l’encontre des candidates et leurs électeurs ;
Discrimination et marginalisation des personnes vulnérables ;
Après le scrutin :
Non accès des témoins lors du dépouillement des bulletins de vote ;
Non remise des procès-verbaux aux témoins ;
Vandalisation des machines de vote et des résultats publiés dans les bureaux de vote en présence des agents de l’ordre et de la CENI ;
Agression des agents de la CENI et de quelques observateurs des différentes MOE ;
Prolongation des jours de vote sur toute l’étendue de la République dans le respect du délai Constitutionnel;
Ces pratiques illégales vécues pendant le processus électoral de 2023 risquent de renforcer des inégalités de genre et de défavoriser la représentation des femmes candidates conformément au principe de parité consacré dans l’article 14 de la Constitution et l’article 13 de la loi électorale.
En outre, ces irrégularités pourraient également porter atteinte à la démocratie et à l'État de droit en RDC.
Sur ce, nous appelons :
La Commission électorale Indépendante Nationale :
Garantir la transparence et l’intégrité du processus de dépouillement et de proclamation des résultats des élections législatives, provinciales et municipales ;
De prendre toutes les mesures nécessaires pour garantir la transparence, l'intégrité et l'équité du processus électoral ;
assurer la protection des voix des femmes candidates ;
initier d’urgence une poursuite judiciaire afin d’enquêter sur les cas d’irrégularités évoqués ci-dessus ;
Sanctionner
Au Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Intérieur, de la Sécurité et des affaires coutumières ;
Prendre des mesures nécessaires pour enquêter sur les cas d’irrégularités signalés par les femmes candidates ;
Punir les auteurs de ces pratiques illégales, notamment les fraudes, les intimidations, les violences physiques à l’encontre des femmes candidates ;
Enfin, Nous femmes candidates, sommes déterminées à poursuivre notre engagement pour la promotion de la participation et de la représentation politique des femmes en RDC et nous appelons toutes les femmes à se joindre à nous dans cette lutte pour l'égalité des sexes et la démocratie.
Ensemble, nous pouvons faire la différence.
Fait à Kinshasa, le 29 décembre 2023
Coalition des Femmes Candidates aux élections 2023
Dans un pays où tout le monde s’occupe proprement de soi ou de sa famille, il est souvent rare de trouver ceux qui consacrent leur vie ou leur temps pour les autres. Mais les Français nous dirent que toute règle comporte une exception. A cause de cette règle d’exception, nous présentons aujourd’hui une femme, congolaise-américaine, dont le cœur ne sait qu’aimer et la main toujours tendue et qui œuvre pour les autres. Betty Mbombo nous confirme que c’est une mission que le Seigneur lui a mis au cœur et qu’elle a commencé depuis 1999. Cette mission lui mène à servir des mets chauds et succulents aux ‘’Sans-logis’’ qui trouvent refuge au centre-ville de Raleigh et des réfugiés africains et des autres coins du monde qui atterrissent à Raleigh à travers différentes sous-organisations de l’ONU. C’est à cause de cette mission que Betty Mbombo s’est mise à cœur que nous l’avions suivie hier, samedi 16 décembre sur le parking de Cedar Point Appartement où elle s’était mise à distribuer, principalement des habits, capuchons, mentaux et bien d’autres habits maintenant que le froid d’hiver commence à se sentir.
Très bon cœur qui ne sait que servir, Betty avait aussi fait la cuisson des beignets et du poulet que ses protégés ingurgitaient sur place même. Curieux, l’Inquisiteur voulait savoir d’où elle trouve des fonds nécessaires pour se procurer des biens qu’elle distribue ou des mets qu’elle prépare pour les ‘’Sanslogis.’’ « Deux églises me viennent particulièrement en aide : ‘’Fountain of Church Fellowship’’ et ‘’Calvary Presbyterian Church.’’ Ces deux églises m’offrent ce qu’elles peuvent en termes de finances. C’est avec cet argent, y compris de mes propres économies que je m’arrive à me procurer des biens ou 4 nourrir mes amis, des ‘’sans-logis’’ au centre-ville. Avec l’expérience sur le parking de Cedar Point, nous avions rencontrés des réfugiés qui sont originaires d’Afrique mais aussi du continent asiatique. Très peu d’entre eux parlent encore l’anglais tandis que les réfugiés africains sont, dans l’ensemble originaires de la République Démocratique du Congo mais réfugiés depuis des années au Burundi.
Amuri Bulongo et Mulololo Mulume sont des réfugiés congolais nés à Kalemi mais grandis à Goma. Avec la guerre, ils se sont enfuis au Burundi où ils ont vécu dans un camp de réfugiés depuis l’an 2008 jusqu’au l’an 2023 lorsqu’ils ont atterris ici à Raleigh. Les deux parlent Swahili, un peu de Lingala mais aussi le Français. Très sympathiques, ils nous ont ouvert leurs cœurs. Amuri nous dit que la vie aux USA n’est pas facile bien que ce soit largement mieux qu’au Burundi. « Ici aux USA, je travaille dans une usine d’où nous égorgeons pas moins de 1.000 poulets par jour. Je ne suis pas habitué au froids et mes mains commencent à me créer des problèmes. Je cherche quelqu’un qui peut m’aider à trouver un autre travail. Je dispose de mon Driver-Licence, une petite voiture et mon permis de travail. » « C’est la femme avec laquelle que je travaille chez les ‘’Sans-logis’’ qui m’avais informée qu’il existait un grand nombre des Réfugiés au Cedar Point. Je suis venue les retrouver tandis que d’autres sont éparpillés dans d’autres locations. Beaucoup de ces femmes ne savent pas encore comment prendre soin d’elles-mêmes. Nous les introduisons aux classes sur l’hygiène élémentaire : déodorant, lotions, comment brosser les dents, l’usage de la dentifrice et surtout les soins des parties intimes. » Betty M. Mbombo dispose une organisation bien structure appelée ‘’Compassion for Africa Ministries.’’ Sa page électronique (Website) compassionvoice.org fourni d’amples informations sur le fonctionnement et les activités de sa passion. Mulololo nous confie les mêmes doléances. Les deux nous confient qu’ils accepteront bien des habits et/ou toute autre aide de la part de toute personne de bonne volonté. « Avant nous bénéficions bien des Food-stamps et soins médicaux. Mais tous ces avantages ont pris fin. Nous nous débrouillons seuls. C’est pourquoi nous sommes bien réceptifs de l’aide sociale que nous fournit Mama Betty » nous a confié Amuri. Ce dernier peut être atteint au 919-561-8103.
Nous lançons donc un appel ici aux Congolais qui disposent des habits de toute sorte qu’ils veulent bien s’en débarrasser de bien contacter Mama Betty Mwembya Mbombo au 919-949-5006 ou Salomon Valaka au 919-257-888 qui transmettra.
Nous sommes très reconnaissants de l’aide reçue. Nous voulons servir les autres. Betty M. Mbombo nous confie et Marie-Josée concours que les deux se sont rencontrées quand MarieJosée avait encore 5 ans. « L’amour exprimée, la chaleur des amitiés et le cœur chaleureux de ‘’Mama Betty’’ me pousse à servir les autres de la même manière j’étais servie » nous confie la jeune fille. Réfugiée originaire de la RDC, Marie-Josée est aujourd’hui étudiante à Wake Tech. (Child Education) et Arizona State University où elle étudie Neuro Science et Philosophie. José Sachez a fait la connaissance de Betty M. Mbombo à travers la même voie. Il est ressortissant de Venezuela qu’il avait quitté étant très petit. Reconnaissant de l’aide reçue, « je veux bien aider les autres à mon tour », il nous a confié. « C’est la femme avec laquelle que je travaille chez les ‘’Sans-logis’’ qui m’avais informée qu’il existait un grand nombre des Réfugiés au Cedar Point. Je suis venue les retrouver tandis que d’autres sont éparpillés dans d’autres locations. Beaucoup de ces femmes ne savent pas encore comment prendre soin d’elles-mêmes. Nous les introduisons aux classes sur l’hygiène élémentaire : déodorant, lotions, comment brosser les dents, l’usage de la dentifrice et surtout les soins des parties intimes. » Betty M. Mbombo dispose une organisation bien structure appelée ‘’Compassion for Africa Ministries.’’ Sa page électronique (Website) compassionvoice.org fourni d’amples informations sur le fonctionnement et les activités de sa passion. Mulololo nous confie les mêmes doléances. Les deux nous confient qu’ils accepteront bien des habits et/ou toute autre aide de la part de toute personne de bonne volonté. « Avant nous bénéficions bien des Food-stamps et soins médicaux. Mais tous ces avantages ont pris fin. Nous nous débrouillons seuls. C’est pourquoi nous sommes bien réceptifs de l’aide sociale que nous fournit Mama Betty » nous a confié Amuri. Ce dernier peut être atteint au 919-561-8103. Nous lançons donc un appel ici aux Congolais qui disposent des habits de toute sorte qu’ils veulent bien s’en débarrasser de bien contacter Mama Betty Mwembya Mbombo au 919-949-5006 ou Salomon Valaka au 919-257-888 qui transmettra. Nous sommes très reconnaissantsde l’aide reçue. Nous voulons servir les autres. Betty M. Mbombo nous confie et Marie-Josée concours que les deux se sont rencontrées quand Marie-Josée avait encore 5 ans. « L’amour exprimée, la chaleur des amitiés et le cœur chaleureux de ‘’Mama Betty’’ me pousse à servir les autres de la même manière j’étais servie » nous confie la jeune fille. Réfugiée originaire de la RDC, Marie-Josée est aujourd’hui étudiante à Wake Tech. (Child Education) et Arizona State University où elle étudie Neuro Science et Philosophie. José Sachez a fait la connaissance de Betty M. Mbombo à travers la même voie. Il est ressortissant de Venezuela qu’il avait quitté étant très petit. Reconnaissant de l’aide reçue, « je veux bien aider les autres à mon tour », il nous a confié. Elle est à la recherche des Grants qu’elle n’a pas encore reçus. ‘’Mais cela m’empêche pas de travailler avec des moyens de fortune en attendant les jours meilleurs’’, comme la journée d’hier l’a prouvé. ‘’Je remercie le Seigneur de savoir que je suis à mesure de venir en aide à ceux qui sont plus démunis que moi.’
« … Nous avons mené campagne pour que nos frères et sœurs osent présenter leurs candidatures aux autres postes [à la députation nationale, à la députation provinciale et aux conseils communaux]. Ceci rejoint d’ailleurs le Synode précité qui dit que les chrétiens doivent s’engager en politique, parce que le monde a besoin de témoins. Les chrétiens ne doivent pas rester les bras croisés pour penser que la politique n’est pas leur affaire. Le synode invite les chrétiens à s’engager dans le milieu politique comme des gens qui veulent servir le bien commun et font la différence, qui apportent la lumière du Saint-Esprit dans ce milieu qui a aussi besoin d’être évangélisé. »
Ces mots du Berger de la Communauté Famille Chrétienne (CFC) et Président de CAP 25, le Frère Léon Botolo, ont été adressés à Monseigneur Edouard Isango lors de la cérémonie de renouvellement des vœux et de la présentation des candidates et candidats Députés nationaux, Députés provinciaux et Conseillers municipaux – Membres de la CFC. Autorité morale du parti Congo Innovation Sociale (CIS), madame Claude Dipo Esabe qui porte le N°675 pour la députation nationale à la Funa et le N°122 pour la députation provinciale à Kalamu, avait pris activement part à ladite cérémonie, célébration eucharistique.
«Nous sommes tous frappés par le nombre impressionnant des candidats à tous les postes. Mais, cela ne nous fait pas peur. Nous avons décidé de cheminer dans la foi. Avec l’assurance que notre Dieu peut faire des miracles et surprendre. », a renchéri Léon Botolo. Proche collaborateur du Cardinal Fridolin Ambongo, l’évêque Edouard Isango a béni collectivement tous les candidats présents à cette messe. Ceux-ci lui ont pris en charge les cadeaux officiels et ont remis à ce prince de l’Eglise catholique des cadeaux bien ciblés qui répondent à un besoin réel de la vie quotidienne. Sous la pluie, des réjouissances communautaires ont clos cette manifestation.
Une semaine auparavant, la candidate Claude Dipo Esabe, les cadres et militants de CIS, de blanc vêtus, avaient pris d’assaut la paroisse Saint Joseph de Matonge dans la commune de Kalamu. Toujours dans le cadre du lancement de la campagne électorale, une messe avait été dite par l’Abbé Curé Gerald Luzoladio. Celui-ci avait conscientisé les participants à cette célébration eucharistique par rapport aux défis de cette société, de cette nation. L’officiant du jour avait martelé sur le rôle d’un parti politique, en l’occurrence, Congo Innovation Sociale appelé à incarner les valeurs chrétiennes en vue de la transformation de ce grand Congo.
Quant au Secrétaire Général de CIS, Stéphane Yuma Kalema, il avait adressé ses remerciements au Curé de Saint Joseph. « Avec Dieu nous innovons », scandaient en cœur les membres de CIS venus nombreux. Cette campagne électorale a donc débuté dans la prière. Il sied de rappeler que l’autorité morale Claude Dipo Esabe alias « Fille aînée de Fatshi Béton » est une fervente chrétienne catholique. Femme de cœur, femme battante, elle a décidé d’offrir gratuitement la nourriture à ses compatriotes à travers ce qu’on appelle « Restaurant du cœur » dans les 7 communes de la Funa : Kalamu, Kasa-Vubu, Ngiri-Ngiri, Bandalungwa, Selembao, Bumbu et Makala.
Et le jour officiel du lancement de la campagne, CIS qui aligne plus de 300 candidats aux prochaines législatives, de même que tous les autres partis et regroupements de l’Union Sacrée sont allés apporter leur soutien indéfectible à leur champion, le candidat N°20 Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo dit « Fatshi Béton » à la présidentielle du 20 décembre 2023. Ce jour-là, le mythique stade des Martyrs de la Pentecôte était archicomble. Tous ces militants et sympathisants n’attendent qu’une seule chose : la victoire éclatante !
Madame Odette Nkulu Shabanza, Secrétaire Générale du RDT, Rassemblement des Démocrates Tshisekedistes, a été, dimanche 19 novembre, avec sa base, parmi ceux qui ont rehaussé de leurs présences, au Stade des Martyrs, le lancement par le Chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi, de la campagne électorale dont elle est partie prenante.
Candidate numéro 547 dans la circonscription de Ngaliema où elle a postulé, la Secrétaire Générale du RDT, parti sous l’autorité morale de Sylvain Mutombo, Ministre honoraire de la Défense, se dit déterminée de faire de la combinaison entre son numéro et celui du Chef de l’Etat en exercice une combinaison gagnante.
En termes clairs, Madame Odette Nkulu ne jure que par le positionnement à la première place, lors de la proclamation des résultats, du numéro 20 que porte Félix-Antoine Tshisekedi, qu’elle reconnait être son seul candidat naturel.
La prospective élue de Ngaliema où elle a un ancrage hors pair, vu son entregent, voit en Félix Tshisekedi le seul candidat à la présidentielle capable de mener le peuple congolais vers son destin. Elle en veut pour synthèse des arguments, l’ensemble des œuvres qu’il a déjà réalisées jusqu’ici, surtout celles sur le plan des infrastructures.
‘’Ses œuvres témoignent que c’est bien lui le choix du peuple’’, a-t-elle souligné, claire, précise et concise.
Au sujet des travaux en cours, comme par exemple ceux relatifs à la reconstruction de la Foire Internationale de Kinshasa, la candidate du Rassemblement des Démocrates Tshisekedistes se dit confiante en la volonté politique de Félix-Antoine Tshisekedi de finir, coûte que coûte, par mener à bon port tout ce qu’il a commencé.
Pour ceux qui ne veulent pas croire, elle les prie de bien vouloir baser leur espoir politique en cet homme, qu’est Félix-Antoine Tshisekedi, qu’elle définit comme étant le seul en mesure de mener le peuple congolais vers le changement tant attendu.
Madame Odette croit en la préoccupation de Félix-Antoine Tshisekedi qui consiste pour lui à placer en permanence l’homme congolais au centre de l’intérêt général.
La Secrétaire Générale du RDT se dit stable dans son choix d’être derrière le Chef de l’Etat en exercice et, en même temps, favorable au changement que prône ce dernier pour une République Démocratique du Congo à la fois forte, riche et prospère.
Il y a lieu de constater à ce niveau que ce numéro 20 que ‘’porte’’ Félix-Antoine Tshisekedi est le plus visible de tous. C’est selon qu’il est le seul à correspondre à celui du jour du mois de décembre auquel auront lieu les tant attendus scrutins.
Honorable Elysée Munembwe Tamukumwe, Autorité Morale du Parti Politique « Actions Alternatives pour la Renaissance du Congo (AARC) ».
Le Comité restreint Provincial du Parti, Interfédération du Tanganyika.
Le Président Interfédéral du Parti, Camarade IOCHI MIKALANO Papy présidant la matinée politique.
*Le 20 décembre 2023 est une date qui sera gravée dans les annales de la RD. Congo, notre pays en rapport avec les enjeux politiques de l’heure. Une date à laquelle les congolais majeurs seront appelés à relever le défi lors des élections tant municipales, urbaines, provinciales, nationales que Présidentielle.
Une date aussi qui marquera dans l’histoire nationale, les premières élections municipales depuis la publication de notre constitution en 2006 qui, jusque – là, n’étaient pas encore organisées à ce niveau, voici 17 ans.
Au Tanganyika, la population s’attend à un nouveau souffle dans tous les secteurs de la vie nationale. Vent de changement, bien sûr, appelé « Elections de décembre 2023 ».
La ville de Kalemie vibre actuellement au rythme des enjeux politiques de l’heure. Un réchauffement des Partis Politiques est constaté çà et là à travers les cellules disséminées dans les quartiers de la ville.
Toutefois, nous parlons du Tanganyika, les autres Partis Politiques se déclarent n’être pas parties prenantes au processus des élections de décembre 2023.
C’est le cas ici du Parti Politique « Actions Alternatives pour la Renaissance du Congo, (AARC), Parti cher à l’honorable Madame Elysée MUNEMBWE TAMUKUMWE.
Au cours d’une matinée politique organisée au siège du Parti, Interfédération du Tanganyika, sis sur l’avenue Lumumba, le Représentant Provincial dudit Parti, l’Interfédéral IOCHI MIKALANO Papy, dans le cadre de la redynamisation du Parti, a invité les militantes et militants à la conscience et à l’observance des recommandations du Parti.
L’homme à taille moyenne, souvent costumé et aux jeux de rigueur, IOCHI Papy est sorti du silence par rapport aux enjeux politiques de l’heure.
«Notre Parti Politique AARC n’est pas partie prenante au processus électoral de décembre 2023 du fait que la CENI de KADIMA vide certaines dispositions de la Loi organique de ladite structure. La non consensuelle de la loi électorale, de la Cour Constitutionnelle inféodée, de l’insécurité à l’Est du Pays. Le peuple Congolais est un peuple uni. Pourquoi, organiser les élections aussi longtemps que l’Est de la République est encore occupé par les terroristes du M23 malgré les efforts consentis par les auto-défenses communément appelés les WAZALENDO. Au cours de cette matinée politique, l’homme politique s’est demandé pourquoi faire le privilège de vote à la population d’une partie du Pays et abandonner les autres à leur triste sort ? Nous resterons toujours résistants à ce régime tyrannique.
Avant de clôturer cette matinée, l’interfédéral de l’AARC Tanganyika a félicité ses militantes et militants qui n’ont pas fait les transhumances et les a appelés à la lutte contre l’ostracisme politique car, le Congo nous appartient tous’’, a – t – il déclaré, dans son speech devant ses camarades du Parti.
Il sied de signaler que « Action Alternatives pour la Renaissance du Congo (AARC) est un Parti Politique de l’Honorable Madame Elysée MUNEMBWE TAMUKUMWE. Cette Autorité Morale a été successivement Député Provinciale, Nationale (Questeur à l’Assemblée Nationale) élue de la Circonscription électorale de WALIKALE au Nord – Kivu aussi ancien Vice – Premier Ministre, Ministre du Plan du Gouvernement ILUNGA ILUNKAMBA. Et à ce jour, elle est Député Nationale à la Chambre basse du Parlement.
Son Parti Politique AARC est représenté dans la Province du Tanganyika par M. IOCHI MIKALANO Papy, Rapporteur du Front Commun pour le Congo (FCC) de Joseph KABILA KABANGE. Il est aussi ancien Conseiller au Ministère Provincial de la Fonction Publique / Tanganyika.
Dans le cadre des élections législatives nationales auxquelles elle se porte Candidate dans la circonscription du Mont-Amba, pour le compte de l’UVT, Union pour la défense des Valeurs Tshisekedistes, Madame Lydie-Patricia Lukeba a été, samedi 14 octobre, au quartier Kawele, qu’elle a pris pour quartier pilote parmi ceux de sa circonscription électorale frappés de pauvreté. L’idée pour cette ineffaçable colistière de Félix-Antoine Tshisekedi était de se faire une idée de ce que devra être le sens de ses fonctions de représentation de sa base et de légifération en ‘’leur’’ faveur au sein de l’Assemblée nationale.
Le quartier Kawele, pour ceux qui ne le connaissent pas, est un coin de terre de la Ville-province de Kinshasa, faisant partie intégrante de la Commune écologique de Limete et situé tout au long de la voie ferrée en parallèle avec la route des Poids Lourds, en face de la zone industrielle qui va de la STUC Jusqu’à B.A.T. C’est un quartier avec ceci de particulier que ses habitations, du moins dans l’ensemble, sont faites pêle-mêle, à base d’objets de récupération de toutes sortes et non raccordées en eau ni en électricité. C’est sans compter, selon ce que nous avons vu de nos propres yeux en tant que journaliste d’exploration, l’absence en son sein des installations sanitaires qui fait de ses rues des toilettes publiques, surtout tout au long des rails, avec des effluves qui vous remplissent vos fosses nasales jusqu’à déborder.
Madame Lydie Lukeba y a été à la date et pour des raisons sus-évoquées. Après avoir vu de ses propres yeux l’état des lieux dans lequel vivent ces congolais et parlé avec eux seule à seuls, la potentielle co-occupante de la Chambre basse du Parlement a pris bonne note et a promis de faire de cette situation, une fois élue députée nationale, de la matière à discussion au sein de l’Assemblée nationale.
A mieux l’entendre, c’est pour que soient votées des lois en faveur de la modernisation de ce coin jusqu’ici abandonné à son triste sort.
Foi sur ses propos, il en sera de même pour le cas d’autres coins de son district qui se retrouvent, toutes proportions gardées, dans la même situation : Pakadjuma, Mososo, Ngaba, Riflard, La Source, Mbanza Lemba, Lemba Imbu…
Après avoir pris conscience de la situation qui prévaut chez eux grâce à la causerie qu’ils ont eue avec leur hôte, ces électeurs congolais ont fini par se rendre compte qu’un député, ce ne sont pas des polos, encore moins des pagnes.
Mais plutôt, faut-il s’en rappeler, représenter sa base, légiférer en ‘’leur’’ faveur et contrôler, pour la cause de l’intérêt général, la gestion de ceux qui sont au gouvernement et dans les entreprises publiques de l’Etat.
Voilà ce qui a constitué l’objet principal de la causerie entre Madame Lydie Lukeba et les gens de sa base de Kawele.
Ces derniers se sont estimés heureux d’avoir été jugés dignes de recevoir la visite d’une dame de haute distinction avec laquelle ils ont eu à parler des choses ayant trait à leur développement.
Madame Lydie a, en vue, d’autres descentes similaires à travers d’autres coins de sa circonscription durant tout le temps de propagande leur imparti par la loi électorale. Saint-Germain Ebengo
Surprise parmi la foule qui a été, samedi 7 octobre dernier, soutenir le dépôt de candidature du Chef de l’Etat en exercice, Félix-Antoine Tshisekedi, Madame Lydie-Patricia Lukeba, femme à lunettes vue claire et Présidente provinciale au sein de l’Union pour les Valeurs Tshisekedistes, à l’heure actuelle, candidate aux législatives nationales, circonscription du Mont-Amba, a accepté volontiers de se livrer au micro de La Prospérité qui voulait savoir la raison de sa présence dans cette foule des électeurs dont le vote, à lire leurs expressions faciales, a l’air de ne plus être un secret.
‘’Nous sommes là aujourd’hui, nous Union Sacrée de la Nation, accompagner notre candidat à la présidentielle, Félix-Antoine Tshisekedi, qui est venu déposer sa candidature en perspective de son deuxième mandat, et pour en même temps prendre le monde international en témoin sur ce que sera le résultat du vote ’’.
Dans son adresse à l’intention d’autres électeurs congolais qui continuent à regarder vers le mauvais côté de l’histoire, la potentielle élue du Mont-Amba prie ces derniers de bien vouloir se ramener à la raison et de voter utile.
‘’Nous sommes à trois pas des élections et le jour où vous allez vous retrouver dans l’isoloir, devant l’urne, ne réfléchissez pas deux fois’’, parole de Lydie Lukeba qui se dit avoir pour unique candidat à la présidentielle : Félix-Antoine Tshisekedi.
Madame le Président provincial de l’UVT se dit raisonnable dans son option de laisser au Chef d’Etat en exercice son deuxième mandat afin qu’il puisse mieux faire arriver à bon port, pour le mieux-être de toute la population congolaise, ce qui lui reste à faire.