Cette localité créée en 1945, il y a 79 ans, est le chef-lieu d'un de 6 secteurs du territoire de Madimba dans le Kongo central, située à 100 km de Kinshasa et 20 km de Kisantu.
Retenons que Fabrice Lusinde, Directeur Général de la SNEL S.A, a tenu sa promesse, conformément à la vision de Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, Président de la République Démocratique du Congo.
Une 2ème vidéo réalisée par l'école de Palo Alto afin de célébrer cette grande victoire flotte sur la toile, illustre, si besoin est encore, la matérialisation des efforts engagés.
Décrétée depuis le 30 aout dernier sur tout le territoire de Lubao, la grève sèche des enseignants de Lubao se poursuit. A travers un Mémorandum au Chef de l’Etat, ils soutiennent ce mouvement avant de prier les enseignants au respect scrupuleux de cette décision commune jusqu’à ce que le Gouvernement réponde favorablement à leurs revendications.
République Démocratique du Congo
SYNDICAT DES ENSEIGNANTS DU CONGO
« SYECO »
SECTION DE LUBAO
MEMORANDUM DES ENSEIGNANTS DU TERRITOIRE DE LUBAO ADRESSE AU CHEF DE L’ETAT DE LA RDC
Nous, Syndicat des enseignants du Congo « SYECO » et personnel de l’éducation, en notre qualité des professionnels de la craie blanche, nous trouvant dans la section de Lubao, Secrétariat provincial de Lomami, réunis en assemblée générale du 18 septembre 2024, dans la salle polyvalente KIBUNGIE BASONGIE, un seul point a constitué l’ossature à savoir : évaluation de la grève sèche décrétée depuis le 30 aout 2024 sur l’ensemble du territoire de Lubao.
Après analyse minutieuse, avions saisi cette opportunité pendant notre marche pacifique de ce jour pour soutenir la grève sèche décrétée par le SYECO Lubao en conformité avec le SYECO National.
Soutenons infailliblement la grève sèche et avions marché pacifiquement pour :
Le fait que le Gouvernement de la RDC n’a totalement pas réservé une suite satisfaisante à l’aspiration des enseignants sur différents points débattus lors de la commission paritaire de BIBWA dont :
Octroi d’un salaire minimum de 500 dollars soit 1.500.000 Fc.
Mécanisation des enseignants N.U et N.P.
Retraite honorable des enseignants.
Primes spécifiques et d’itinérance allouées aux Inspecteurs.
Suppression de zones salariales.
Mise en place de mutuelle de santé pour les enseignants.
Création des Cantines scolaires.
Par ce Mémorandum, nous soutenons énergiquement la grève sèche sur toute l’étendue du territoire de Lubao et prions les enseignants au respect scrupuleux de cette décision commune jusqu’à ce que le Gouvernement réponde favorablement à nos revendications, nous vous prions de rester chez vous à la maison.
Aux parents d’élèves veuillez garder vos enfants à la maison car la période est critique.
Aux gestionnaires peureux et intimidateurs, nous vous mettons en garde et à la disposition du procureur de la République qui nous lit en copie en ce moment afin de vous punir de vos actes de vandalisme.
Demandons à cette occasion, à Son Excellence Monsieur le Président de la République Démocratique du Congo, Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, en tant que garant de la Nation congolaise, qui a pu pour la toute première fois, matérialiser la gratuité de l’enseignement, à s’impliquer personnellement pour des solutions palpables relatives aux revendications des enseignants surtout que souvent, il privilège le peuple en concrétisant son principe « Le Peuple d’abord » :
Tel que stipulé au cours du cinquième conseil des ministres exigeant un salaire équitable à tout fonctionnaire de l’Etat, tout en leur exhortant d’effectuer un travail d’arrache-pied pour une rentrée scolaire apaisée 2024-2025, lors du 6ème conseil des ministres qui est resté dans l’histoire.
Rappelons au Gouvernement congolais ce qui suit :
La mémoire de stockage des promesses faites par le Gouvernement Central est déjà pleine, les enseignants du territoire de Lubao boycottent la reprise du chemin de l’école jusqu’à ce que le dernier N.U et N.P sera payé car les enseignants du territoire de Lubao sont longtemps marginalisés et renvoyés aux calendes grecques.
La société nationale d'électricité Direction régionale de Kinshasa Nord informe son aimable clientèle de la commune de Barumbu, quartier Funa 1, Kasaï, Bichaku Chaku et Libulu.
Que suite à l'incident survenue sur la cellule de disjoncteur 20kV départ Kabinda ce vendredi 20/09/2024 il s'observe des perturbations en fourniture de l'électricité dans certaines avenues et cabines privées.
Par conséquent Snel SA rassure sa clientèle du rétablissement de l'énergie électrique après l'intervention de ses services
Contacts : 0817005664, 0817005670
La Direction Régionale de Distribution de Kinshasa
Après le périple de Matadi et Lufu dans le Kongo Central, aujourd’hui, c’est le tour de Beach Ngobila. Le Ministre du Commerce Extérieur, Julien Paluku a été l’hôte du Directeur Général de l’Office Congolais de Contrôle (OCC), le Dr Etienne Tshimanga Mutombo, et son Directeur Général Adjoint, Madame Christelle Muabilu à l’Agence Provinciale de Kinshasa au Beach Ngobila.
D’entrée de jeu, le Ministre du Commerce Extérieur, a révélé que sa visite consiste à s’imprégner, des conditions de travail de l’Office Congolais de Contrôle (OCC) ainsi que celles des autres services d’ordre opérationnels tels que :
Office National de Transport (ONATRA),
Service d’Hygiène,
La Direction Générale des Douanes et Assises (DGDA).
Notons que chaque service, a expliqué à tour de rôle, les difficultés rencontrées dans l’exercice de leurs missions.
Dans le souci de promouvoir le Commerce Extérieur, le Ministre Julien Paluku accompagné du Directeur Général de l’OCC, le Dr Etienne Tshimanga Mutombo et Madame Christelle Muabilu, Directeur Général Adjoint, ont ensemble effectué une visite dans le port de Beach Ngobila, en vue de palper du doigt les conditions de travail. C’est dans cette optique, qu’il a envisagé l’idée du partenariat public et privé, pour trouver des solutions ad hoc aux difficultés rencontrées à l’importation et l’exportation.
Dans son intervention, le Ministre du Commerce Extérieur a expliqué que le Port de Beach Ngobila nécessite une restructuration profonde. Il souligne que le manque d’entrepôt et de la Chaine de froid pose problème dans le contrôle de la qualité des marchandises.
Les conditions dans lesquelles le travail s’effectue interpellent le Gouvernement, à apporter des réponses immédiates, d’où il lance un appel aux différents services d’ordre opérationnel, DGDA, OCC, ONATRA et le Service d’Hygiène de travailler en synergie, pour trouver des solutions à cette situation afin de construire un écosystème économique qui ferait de la RDC un grand géant au cœur de l’Afrique.
*Il s’agit d’une autre prouesse réalisée dans le cadre de l’accès des sous-traitants congolais aux marchés grâce à l’accompagnement de l’Autorité de régulation de la Sous-traitance dans le secteur privé dont la direction générale est déterminée à matérialiser la vision du chef de l’Etat Félix Tshisekedi dans le développement de la vraie classe moyenne congolaise.
Au total, Vingt-deux entreprises sous-traitantes viennent d’accéder aux marchés de différentes sortes au sein de l’entreprise KAMOA située dans la province du Lualaba et filiale de la grande firme IVANOE MINE. Il s’agit entre autres des marchés de fourniture des réactifs sulfuriques, de l’acide, de pose des tuyaux dans la mine souterraine, de jardinage et autres.
Au cours de la cérémonie organisée pour la circonstance, Madame Annabelle OOSTHUIZEN administratrice à la société KAMOA COPPER a donné l’importance de l’intégration des entrepreneurs locaux dans la chaîne de valeur de cette société ainsi que les efforts fournis par KAMOA pour être un modèle dans la sous-traitance congolaise
« Le domaine dans lequel les sociétés minières ont la possibilité de croître dans ce pays c’est la chaîne d’approvisionnement. Les contrats que nous signons aujourd’hui sont des contrats d’une durée de trois ans. Je suis content de signer ce contrat aujourd’hui avec ces entrepreneurs que je connais qui vont participer au destin d’une mine qui a une durée de vie de 42. Et même vos enfants pourront en bénéficier », a-t-elle déclaré.
De son côté, Miguel Kashal Katemb, le Directeur Général de l’ARSP présent à cette signature des contrats entre la société KAMOA COPPER SA avec les entreprises sous-traitantes, a salué l’implication personnelle du Chef de l’Etat Félix Antoine TSHISEKEDI qui a permis aux sous-traitants congolais de participer, pour la première fois, dans les travaux d’excavation d’une mine
« Il ne suffit pas d’avoir un contrat mais il faut aussi le maintenir. Je l’ai dit à TFM. Autrefois les entreprises étrangères n’acceptaient pas que les entreprises sous-traitantes participent aux activités d’excavation car l’excavation c’est même ça la production. Mais aujourd’hui, les entreprises minières font confiance aux sous-traitants congolais grâce aux efforts du chef de l’Etat. Il faut garder la confiance et la maintenir le plus longtemps possible. Que Dieu bénisse ces entrepreneurs », a-t-il conclu.
Voici la liste d’entreprises ayant signé les marchés et les montants correspondants aux marchés gagnés.
KAMOA COPPER SA: CONTRACT SIGNING CEREMONIES WITH ARSP
Contract
Signing
Ci-dessous, les dates de signature, le nom du sous-traitant, l’objet du marché et le montant :
22-Aug-24 Mukondoli Engineering & Logistics Sarl Maintenance of Fire Extinguishers: $
163,922
22-Aug-24 Eagle Global Sarl Supply of Chemical Reagents: $
13.154 400
22-Aug-24 Taky Corp 1 SASU
Ore Transport Services: $
13,608,000
Total Value of Contracts awarded: August 2024: $
69,478,849
Total Value of Contracts awarded in July & August 2024 :
75,074,532
Pour les entrepreneurs bénéficiaires de ces contrats avec l’entreprise KAMOA , il s’agit-là d’un grand pas vers la matérialisation du Chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo consistant, au bout de cette bataille, à créer des millionnaires congolais.
(Le chanteur camerounais Petit Pays, le ‘‘Roi de Makossa’’)
C’est confirmé ! Petit Pays est déjà à Kinshasa, Capitale de la République Démocratique du Congo. Le célèbre chanteur camerounais a été face aux journalistes congolais jeudi au cours d’un échange avec la presse. Il a saisi l’occasion de fixer l’opinion nationale et internationale sur les raisons de son déplacement au pays de la Rumba, patrimoine culturel immatériel de l’humanité.
« Nous sommes à Kinshasa pour donner un concert ce samedi 21 septembre 2024, à Sipe Houo Plazza, dans la commune de Bandalungwa », a déclaré Petit Pays au micro du journaliste Djo Akeks.
Il faut souligner que la star camerounaise n’est pas venue seule au pays de Fally Ipupa. Il est accompagné des musiciens de son groupe ‘‘ Sans Visa’’ qui sont prêts pour affronter le public Kinois sur scène.
Selon les organisateurs, Petit Pays sera honoré par la présence de quelques grands noms de la Rumba congolaise qui sont invités à son spectacle. « Nyoka Longo, Werrason, Innoss B, DJ Amaoula, Sarah Lula et Bébé Isaac seront parmi les invités de Petit Pays, ce samedi à Bandalungwa », renseigne-t-on.
Il sied de rappeler que Petit Pays est l’un des rares artistes camerounais qui a réussi à se produire plusieurs fois à Kinshasa.
Non seulement, sa musique est très admirée par les mélomanes Kinois mais il est aussi parvenu à tisser des bonnes relations avec ses collègues musiciens congolais.
Lors des échanges avec la presse, la star camerounaise a fait savoir qu’il envisage de se rendre à la Nécropole Entre ciel et terre de Kinshasa pour s’incliner à la tombe de la légende Tshala Muana décédée il y a deux ans. « J’avais de bonnes relations avec cette chanteuse congolaise d’heureuse mémoire », a-t-il indiqué.
Rappelons également que Petit Pays reviendra encore à Kinshasa au mois de décembre de cette année pour une autre production.
De son vrai nom Claude Alexandre Moundi, Petit Pays surnommé ‘‘Rabbi’’ et ‘‘King of Makossa’’, est considéré comme l’artiste musicien le plus populaire du Cameroun. A 38 ans de carrière glorieuse, celui que les fans appellent affectueusement ‘‘Turbo d’Afrique’’, est l’un des chanteurs le plus récompensés dans l’histoire de la musique camerounaise.
Chanteur, auteur-compositeur, Petit Pays chante en français, en Douala et en pidgin. Le zouk et le makossa sont ses styles de prédilection.
Le Prix littéraire ‘‘Zamenga’’ édition 2023 a été décerné à l’écrivaine Hananie Nsenda dans le cadre de la clôture de la Grande Rentrée Littéraire de Kinshasa. Pour cette 6ème édition, un diplôme de mérite, un chèque et un trophée ont été remis à la lauréate par Cécile Djunga, directrice du Centre Wallonie Bruxelles, institution organisatrice belge en République démocratique du Congo.
«Ils étaient plus de 200 candidats lors du lancement dudit prix en novembre 2023, Hananie Nsenda est déclarée lauréate sur les 10 candidats que nous retenons aujourd’hui. Car sa littérature est subjective, et il y avait quelque chose d’objectif dans son écriture», a déclaré Richard Ali, directeur de la bibliothèque Wallonie Bruxelles.
Et d’ajouter : « Hananie Nsenda remplace l’écrivain Bonheur Mutumba, avec son ouvrage ‘‘Béatrice et Clara, la psychothérapie d’un cœur brisé ».
Pour Richard Ali, le jury était impartial dans la mesure où il ne pouvait reconnaître les candidats qu’au moyen d’un code numéroté pour donner les cotes après délibération.
Mme Hananie Nsenda a, pour sa part, remercié les organisateurs, avant d’expliquer les mobiles de son inspiration, en ces termes, « pour écrire cette nouvelle, je me suis inspirée de la femme que je suis, de ce que je pourrais être et de ce que je peux être dans le futur ».
Pour cette 6ᵉ édition, le thème du concours était « Les femmes ». Les écrivains étaient invités à l’exploiter en écrivant leur texte à soumettre aux organisateurs du Prix littéraire Zamenga.
Lancé en 2016, ce concours qui porte le nom de l’un des écrivains congolais le plus populaire Zamenga Batukezanga, vise à promouvoir les jeunes auteurs de moins de 40 ans et le secteur littéraire en République Démocratique du Congo.
Le Prix littéraire ‘‘Zamenga’’ édition 2023 a été décerné à l’écrivaine Hananie Nsenda dans le cadre de la clôture de la Grande Rentrée Littéraire de Kinshasa. Pour cette 6ème édition, un diplôme de mérite, un chèque et un trophée ont été remis à la lauréate par Cécile Djunga, directrice du Centre Wallonie Bruxelles, institution organisatrice belge en République démocratique du Congo.
«Ils étaient plus de 200 candidats lors du lancement dudit prix en novembre 2023, Hananie Nsenda est déclarée lauréate sur les 10 candidats que nous retenons aujourd’hui. Car sa littérature est subjective, et il y avait quelque chose d’objectif dans son écriture», a déclaré Richard Ali, directeur de la bibliothèque Wallonie Bruxelles.
Et d’ajouter : « Hananie Nsenda remplace l’écrivain Bonheur Mutumba, avec son ouvrage ‘‘Béatrice et Clara, la psychothérapie d’un cœur brisé ».
Pour Richard Ali, le jury était impartial dans la mesure où il ne pouvait reconnaître les candidats qu’au moyen d’un code numéroté pour donner les cotes après délibération.
Mme Hananie Nsenda a, pour sa part, remercié les organisateurs, avant d’expliquer les mobiles de son inspiration, en ces termes, « pour écrire cette nouvelle, je me suis inspirée de la femme que je suis, de ce que je pourrais être et de ce que je peux être dans le futur ».
Pour cette 6ᵉ édition, le thème du concours était « Les femmes ». Les écrivains étaient invités à l’exploiter en écrivant leur texte à soumettre aux organisateurs du Prix littéraire Zamenga.
Lancé en 2016, ce concours qui porte le nom de l’un des écrivains congolais le plus populaire Zamenga Batukezanga, vise à promouvoir les jeunes auteurs de moins de 40 ans et le secteur littéraire en République Démocratique du Congo.
(La chanteuse Faya Tess reçue par le Président Dénis Sassou dans son fief à Oyo au Congo-Brazza)
Offrir une musique potable aux mélomanes responsables dans une ambiance selecte au rythme de la Rumba originelle a été toujours le socle et le fondamental de la carrière de la chanteuse Faya Tess. Cette légende féminine de la musique congolaise a toujours donné les meilleurs d’elle pour satisfaire le public qui se déplace pour l’écouter et l'entendre sur une scène de spectacle.
Selon les dernières informations à notre possession, cette Diva de la Rumba congolaise est attendue ce 21 septembre 2024 en la salle Marguerite à Arnas dans la banlieue Lyonnaise en France pour une soirée inédite. « Votre détente a été toujours ma priorité chers amis. Je vous invite à profiter de votre moment détente et relaxation avant de vous replonger à nouveau aux occupations habituelles. Rendez-vous à la soirée de gala du 21 Septembre à Lyon.», dixit Faya Tess.
Juste après cet événement, celle qu’on appelle affectueusement la ‘‘Sirène d’eau douce’’ est attendue à bras ouvert et avec impatience le 23 novembre prochain à Washington DC pour une autre soirée VIP dans un grand hôtel de la capitale américaine.
Rappelons que la semaine dernière, la chanteuse congolaise a été invitée samedi à Oyo, ville située à 400 kilomètres de Brazzaville, pour agrémenter la célébration du 25ème anniversaire du couple Ninelle Sassou, fille du président de la République du Congo, Denis Sassou N’guesso.
« Tout s'est déroulé en privé dans la ville d’Oyo, fief du président Sassou congolais où il lui arrive de passer un temps de repos. Ceci explique la présence du chef de l'Etat aux côtés de sa fille pour cet heureux moment. En effet, Faya Tess était pratiquement le cadeau de cet anniversaire », confirment nos sources basées au Congo-Brazza.
Et d’ajouter : « C'est elle qui était élue pour agrémenter la soirée strictement privée où n'ont pris part que les amis proches, membres de famille et certains hauts dignitaires du pays. Parmi ces hauts dignitaires : Mr Alexis Vincent Gomes qui était également le témoin de ce mariage»
Nos fins limiers ont révélé que la Diva de la Rumba Congolaise, Faya Tess a honoré l’heureux couple Hugues Ngouélondélé et son épouse Ninelle Sassou.
« Le chef de l’Etat, Denis Sassou a été très content d’écouter encore la voix nostalgique de la chanteuse, à cette occasion. Faya a entonné en exclusivité une chanson spéciale dédiée en l’honneur du couple».
Une légende vivante qui fait la fierté des femmes de la Rumba
Évidemment, cette grande Dame de la Rumba tient bon le flambeau comme ambassadrice de la culture et fait la fierté des femmes artistes. Elle continue à défendre et représente valablement la RDC là où il faut. Le sérieux, le charisme et le savoir-faire artistique ont fait que Faya Tess soit régulièrement conviée pour agrémenter les soirées privées exceptionnelles de certains hauts dignitaires et chefs d'Etat. Il n’est pas important de dévoiler le nombre de vols qu'elle prend pour ce faire. Jusqu’à preuve du contraire, Faya Tess reste encore et toujours un exemple à suivre surtout au moment où nos jeunes artistes féminines pensent qu'il faut passer la charrue avant le bœuf pour réussir.
Toujours humble, Faya Tessest très présente sur la scène internationale grâce à ses compositions personnelles et aussi au répertoire des classiques des musiques congolaises léguées par les pères géniteurs de la Rumba.
Le Centre culturel Wallonie Bruxelles de Kinshasa a effectué du 12 au 14 septembre 2024, sa grande rentrée littéraire. Objectif : promouvoir la littérature congolaise pour la hisser sur non seulement des hauteurs, mais aussi et surtout, propulser les écrivains congolais vers une littérature congolaise authentique.
Tenant compte de la réalité de la guerre dans la région des Grands Lacs, le livre « le Congo et les Grands lacs : la paix tout de suite, comment et pourquoi ? » de l’Ecrivain Didier Mumengi, part d’un constat selon lequel, aucune nation dans le monde ne s’est développée avec des jérémiades avant d’enchaîner : « Il nous est demandé, en tant qu’Etat, pour trouver solution à ce qui se passe à l’Est du pays, d’éteindre le feu de la guerre et fumer le calumet de la paix».
L’auteur a, par ailleurs, indiqué que lorsque les hommes s’affrontent pendant la guerre, cela témoigne à suffisance que leurs cerveaux ont échoué. Et pourtant, a-t-il noté, tous les problèmes de l’humanité sont faciles à résoudre.
En outre, cet ancien Ministre de la Communication a démontré que partout où le gouvernement a raison, on ne verra jamais la population avec les armes, d’autant plus que la raison permet de trouver la piste des solutions. ‘’Ce qui se passe à l’Est du pays, est une guerre de la cyclicité marquée par une période d’accalmie donnant l’impression à une solution précaire et quelques heures ou quelques jours, ça repart avec effusion du sang.
Cependant, il fait savoir que ce qui cause la cyclicité est le fait que la guerre est devenue le gagne-pain pour certains qui veulent s’éterniser dans le piège de la gloutonnerie, tendant à créer des situations de manière à éterniser cette guerre. La région des Grands lacs mérite encore une assise pour le partenariat de paix afin de permettre son décollage.
D’après l’auteur, il est important de militer pour le partenariat des Grands lacs et le vivre ensemble axé sur le développement socio- culturel, politique et économique visant l’interculturalité. Et de conclure : ‘’Si la guerre a été le gagne-pain, il doit alors cesser et faire de la paix, le pain à gagner ’’.
En collaboration avec l’Administration des Droits d’Auteurs au Congo (ADACO), la structure pour le développement du capital humain en RDC Nkelo Bantu a organisé, samedi 14 septembre 2024, à Silikin Village, une conférence sur ‘’la situation de la gestion collective des droits d’auteurs et des droits voisins’’. Au cours de ces échanges, la commission des droits d’auteurs du Ministère de la Culture a procédé à la présentation des projets d’innovation et des réformes de ce secteur, ainsi qu’à l’état des lieux de la gestion collective des droits d’auteurs en République Démocratique du Congo.
Cet atelier s’est inscrit dans un contexte où la gestion des droits d’auteurs revêt une importance capitale pour les entreprises créatrices. Les différentes parties prenantes s’y sont réunies non seulement pour faire l’état des lieux actuel, mais aussi pour envisager des réformes structurelles nécessaires à la dynamisation de ce secteur essentiel.
Il a offert une plateforme de dialogue entre les différentes parties prenantes : auteurs, artistes, producteurs, afin d’identifier les lacunes existantes et d’explorer les opportunités d’amélioration telles que la libéralisation du secteur, le renforcement des capacités des créateurs et la lutte contre le piratage, qui sont cruciales pour garantir la protection des droits des artistes.
Augustin Bufale, Représentant de l’Unesco à ces échanges, a soulevé l’inquiétude de cette structure des Nations Unies chargée de la protection du patrimoine culturel mondial, suite à l’avènement des nouvelles technologies d’information et de communication.
Pour lui, la question des gestions des DA dans un contexte numérique et de transplantation culturelle, voudrait que l’on prenne en compte la gestion de ces droits sur les produits numériques et le commerce digital.
Selon lui, il est difficile aujourd’hui de penser, par exemple, comment les artistes peuvent avoir un retour sur les productions musicales qui sont partagées sur les plateformes digitales et dont on ne peut pas contrôler. Il y a un manque de règlementation sur ce domaine, ce qui fait que la loi de 1986 paraît aujourd’hui obsolète parce qu’elle est limitée, non seulement dans le temps mais aussi, par rapport aux supports et aux enjeux actuels.
‘’Notre rôle c’est d’accompagner cette réflexion et surtout d’apporter l’éclairage sur ce qui se fait à l’étranger mais également questionner les vrais enjeux, notamment avec l’intelligence artificielle qui après son avènement, on a du mal à reconnaître un produit dont on n’a pas sa vraie identité’’, a-t-il lâché. Par ailleurs, il préconise l’instauration des mesures techniques de protection et d’information, qui permettent à l’auteur de contrôler l’écoulement de son œuvre.
D’après l’UNESCO, les industries de création culturelle génèrent en Afrique environ 58 milliards de dollars par an.
Etat des lieux
Les droits d’auteurs en RDC ont été règlementés pour la première fois à l’époque coloniale, par le décret de 1948, qui ne prenait en compte que l’aspect musical. Après l’accession à l’indépendance, il a été créé une société des auteurs du Congo, qui ne fera pas long feu à cause du manque de préparation des congolais pour gérer une telle structure.
‘’La société de gestion collective des droits d’auteurs n’a pas bien fonctionné à causes des problèmes d’ordres juridiques. La société des droits d’auteurs a précédé la Loi. On a fonctionné comme sous forme de monopole, or le monopole a un grand inconvénient qui est l’abus de la position dominante et des pratiques discriminatoires. Il y a également des problèmes techniques. Partout dans le monde, les systèmes de gestion sont informatisés et nous, nous ne l’avons pas’’, a déclaré Maître Nganzi.
Pour remédier à tout cela, il faudrait une réforme de la Loi ; informatiser le système de gestion ; renforcer la coopération notamment avec l’UNESCO et la CISAC, qui est la confédération des sociétés des droits d’auteurs et compositeurs. Nouer aussi des liens avec l’Organisation Mondiale des Propriétés Intellectuelles (OMPI), qui travaille avec les Etats ; la sensibilisation et formation des artistes.
Nkelo Bantu est une initiative œuvrant pour le développement du capital humain en RDC. Elle se consacre à la mise en lumière des défis auxquels sont confrontés les acteurs du travail et la création d’opportunités pour tous Nkelo Bantu vise à favoriser une culture d’excellence et d’équité dans les milieux professionnels, en veillant à ce que chaque individu puisse réaliser son plein potentiel.
*Une compilation musicale en style gospel intitulée " Temps d'adoration et louange " composée des classiques chrétiens de la République démocratique du Congo (RDC) a été lancée ce jeudi 12 septembre 2024, sur les plateformes numériques de téléchargement, a-t-on appris de la chanteuse congolaise Naomie Bansimba, une des productrices du projet, au cours d’un entretien avec La Prospérité.
« Temps d’adoration et louange’’ est un projet des classiques du gospel congolais que nous avons interprété et enregistré en live avec le pasteur-chantre Dîme de Jésus. Ce sont des chansons populaires que nous avons essayé de retravailler avec une nouvelle couleur artistique portée par nos voix pour la gloire du Christ », a-t-elle déclaré.
Et d’ajouter : « l’œuvre est déjà disponible sur les différentes plateformes de téléchargement (...). On y retrouve une sélection des meilleures compositions de la musique gospel en RDC telles que ‘‘Eyebana’’ du frère Fiston Mbuyi ; ‘‘Reste-là’’ de la sœur Rhéma Loseke ; ‘‘Yaya’’ du Pasteur Dîme de Jésus ; ‘‘Nkolo Yesu’’ de maman Micheline Shabani ainsi qu’une chanson de la sœur Sandra Mbuyi…».
Très belle voix, la jeune cantatrice de la musique chrétienne en RDC a souligné que cette aubade musicalecomprend des cantiques d’adoration, de Rumba et de louange.
En ce qui concerne la question sur les droits d’interprétation et de paternité des chansons, elle a signifié qu’elle ne pose aucun problème. « Ce projetRecording live’’consiste à interpréter et diffuser les œuvres des autres chantres.L’interprétation participe plutôt à la popularité de l'artiste », a fait savoir la sœur Naomie Bansimba.
Et d’ajouter : « Il est de coutume d'interpréter les chansons d'un artiste sans demander l'autorisation, sauf si l'artiste refuse par une annonce officielle que ces chants ne peuvent être interprétés moyennant (…) ».
« J’invite le peuple de Dieu de s’abonner, d’écouter et de partager massivement cette version live des chansons que nous vous proposons. Demandez aussi aux proches de faire pareil ; Merci beaucoup pour votre soutien. Que Dieu vous bénisse », a lancé cette étoile montante du Gospel congolais aux fans de la musique chrétienne.
Il faut retenir que la sœur Naomie Bansimba se prépare aussi pour lancer son prochain disque dont les travaux d’enregistrement évoluent très bien.
« Nous sommes en train de travailler pour d’autres projets au niveau du studio. D’ici le mois d’octobre, les enfants de Dieu vont nous découvrir à travers nos propres compositions. Le live ‘‘Temps d'adoration et de louange’’ n’a été réalisé que pour nous permettre d’avoir une visibilité sur le terrain », a-t-elle conclu.
*Très déterminé pour sa carrière musicale, le chanteur congolais Ferrari Mbuyi Principauté a réussi son premier passage sur le podium du Village Chez Ntemba au Centre-Ville de Kinshasa où plusieurs autres musiciens ont échoué. Cet ancien choriste du groupe Wenge El Paris s’est bien défendu grâce à son spectacle et surtout à la qualité des chansons qui se trouvent dans ‘‘ Passation de pourvoir’’, son tout premier album en solo.
Le Leader du groupe La Principauté a fait de son mieux pour satisfaire les nombreux mélomanes qui se sont déplacés pour le soutenir. C’était une meilleure occasion pour Férrari Mbuyi de présenter officiellement en live à ses fans le répertoire des tubes contenus dans son fleuron artistique qui se comportent très bien sur le marché des disques sur Internet. Une ambiance magnifique a caractérisé la soirée au Village chez Ntemba marquée par un bon spectacle exhibé par ses musiciens mais aussi par les danseuses de l’orchestre. Dans l’ensemble, ils ont présenté un travail impressionnant qui a mis le public en haleine. Très percutant, son générique d’animation avec la danse ''Pete Pete’’ a créé l’apothéose dans l’assistance.
Il faut noter que ‘‘Passation du pouvoir’’ est disponible dans toutes les plateformes de téléchargement des musiques. Cet album a été travaillé dans les meilleures conditions sur le plan artistique et contient un message important sur le plan thématique.
Composé de 8 chansons, ‘‘Passation de pouvoir’’ cette compilation musicale a été travaillée avec le concours des musiciens de son groupe mais aussi, la participation et des deux anciens chefs d’orchestre Wenge El Paris.
« J’ai aussi fait un featuring avec le Nkumu Manda chante dans la chanson ‘‘Yawe’’ et un autre avec le chanteur Depitcho Savanet dans le titre ‘‘Papa na bana’’ », a précisé Ferrari Principauté.
Pour le patron de la Principauté, ‘‘Passation du pouvoir’’ est un disque de confirmation pour sa carrière solo dans l’univers de la Rumba congolaise, patrimoine culturel immatériel de l’Unesco.
« Des belles paroles dans les chansons sont accompagnées d’une musique au style Rumba Odemba que nous proposons aux amoureux de la bonne musique. Nous avons également exploité d'autres genres musicaux, tels que ‘‘agwaya’’ de bangala ; ‘‘mutwashi’’ du Kasaï et le folklore ‘‘mbala’’ du Grand Bandundu. Cette diversité constitue une richesse à partir des sonorités traditionnelles et modernes», a-t-il révélé dans une interview à la Prospérité.
En termes de message, explique le chanteur, il faut comprendre que la musique congolaise connaît aujourd’hui une forme de passation de pouvoir. « Il y a des musiciens en voie de disparition qui ont cédé leur place aux autres talents. C’est une réalité qu’on doit accepter par tous en toute sportivité», a-t-il dit, justifiant ainsi le message clé de son album.
Et de poursuivre : « (…) Les données ont changé dans la musique congolaise. Les artistes sortant ont laissé la place à Ferrari Mbuyi. Donc mon heure a sonné. Je vous confirme ma prise de pouvoir dans la sphère de la Rumba à travers la sortie de mon album ».
Avec sa voix imposante au timbre de King Kester Emeneya, le jeune Ferrari Principauté a évolué aux dans Wenge El Paris chez Marie –Paul Roi Pelé avant de quitter et d’aller faire son propre chemin.