La cérémonie de la journée nationale de l’arbre célébrée le 05 décembre de chaque année en RDC sera organisé dans le cadre des activités du projet de Renforcement des capacités des OSC pour faciliter l'accès à la terre et pour réaliser un développement durable et égal, RECAPTER en sigle.
Le projet de Renforcement des capacités des OSC pour faciliter l'accès à la terre et pour réaliser un développement durable et égal, RECAPTER en sigle, qu’exécutent les Caritas-Développement Kalemie – Kirungu, Kilwa – Kasenga, Kongolo et Lubumbashi, en partenariat avec la CONAPAC et les autorités locales, s’associe à la célébration de la Journée nationale de l’Arbre.
Cette célébration se fait le 05 décembre de chaque année. Le thème choisi pour l'année 2024 est « Forêts et innovation : De nouvelles solutions pour un monde meilleur ».
L’activité va se dérouler dans les sites de mise en œuvre du Projet RECAPTER, choisis par les Caritas Développement Kalemie – Kirungu, Kilwa – Kasenga, Kongolo et Lubumbashi en partenariat avec la CONAPAC et les autorités locales.
Elle a pour objectif de promouvoir la préservation et la gestion durable de la forêt en République Démocratique du Congo par la sensibilisation sur l’importance de l’arbre.
Les participants seront entre autres : les autorités politico-administratives, les Chefs coutumiers/chefs des entités territoriales décentralisées, les Organisations des producteurs agricoles et leurs faitières ; les Médias, les organisations de la société civile, les Chefs des confessions religieuses, les élèves et les Autorités scolaires.
Au cours de cette célébration, les participants à la cérémonie dans les différents territoires cibles du RECAPTER vont s’approprier du thème proposé de la journée nationale d’arbres, y compris les multiples bienfaits de l’arbre sur la santé de l’homme, le rôle économique, notamment.
Ils vont se rassurer du nombre d’arbres plantés en 2024. Les participants vont également planter 100 arbres fruitiers et à vertus multiples dans chacun de territoire cible du RECAPTER, soit 1.000 arbres.
Pour rappel, ce projet est mis en œuvre dans les Provinces de Tanganyika, Haut-Katanga, Lualaba, Haut-Lomami, avec un financement reçu de l’Union Européenne (UE) et de la Coopération Autrichienne, à travers le Consortium Caritas Autriche, Caritas Congo ASBL, Université de Lubumbashi – Faculté des Sciences Agronomiques et la Confédération Nationale des Producteurs Agricoles du Congo (CONAPAC).
La société nationale d’électricité, SNEL SA continue, sans relâche, sa campagne d’assainissement du réseau électrique dans la ville province de Kinshasa lancée il y a quelques semaines.
Des résultats escomptés s’observent dans certains coins et recoins dans les 24 communes.
C’est, à cet effet, que les équipes de la Direction de distribution de Kinshasa, DDK, ont procédé, ce mercredi 4 décembre à la Sécurisation de l’alimentation du Centre Lindonge par l’implantation de la liaison de secours entre les cabines Yolo Médicale et Centre Lindonge d’une longueur de 1120m.
Cette sécurisation permettra à tout ce quartier où se situe le centre catholique Lindonge, résidence officielle de l’archevêque de Kinshasa de bénéficier de la stabilité en fourniture d’électricité.
Des poches noires domptées
Les équipes de la SNEL déployées dans plusieurs quartiers à problème ont réussi à normaliser la fourniture d’électricité.
C’est le cas, ce même mercredi de la remise :
1. Du départ de 20 KV à Kabinda avec les 2 tronçons entre les cabines Celtel Tabora et Yorgueh, ainsi qu’entre Hôtel Béatrice et Picasso ;
2. Du départ 20 KV vers l’Ambassade de France, tronçon déshumidifié entre les cabines Kalonji et Élite Résidence ;
3. Du départ de l’Ambassade de France avec la mise sous tension du tronçon réparé entre la cabine Estagri et le poste hôtel des monnaies (centre financier)
4. Du départ poste ciné Belle Vue- Kingabwa 4 ;
5. Du départ Virunga - Righini 2. La Direction Kin-Sud confirme une nouvelle liaison qui vient mettre fin au délestage observé au Boulevard Université – Ngaba 18.
Autant d’efforts fournis par les équipes de la SNEL en étroite collaboration avec la hiérarchie pour soulager, tant soit peu, sa clientèle surtout en cette fin d’année.
Depuis l’arrivée des équipements pour la modernisation du port à conteneurs de l’ONATRA et l’ouverture d’un guichet répondant aux normes internationales pour les clients, la société Matadi Corridor Terminaux à Conteneurs (MCTC) dissipe, petit à petit, le doute qui plane sur la population de Matadi qui pensait, à tort, que ce contrat de concession n’était qu’une aventure. « Le fait pour MCTC d’avoir loué momentanément quelques matériels, n’est pas un acte de faiblesse, mais une activité qui se justifie dans la mesure où ses équipements qui sont déjà au quai, doivent être déchargés, installés, avant que le fournisseur n’envoie une équipe d’ingénieurs qui va former les personnes appelées à utiliser les machines », notent des sources proches du dossier.
L’ONATRA jadis considéré comme « Bilanga ya papa », dans la mesure où papa pouvait aller au port et y sortir avec quelque chose pour nourrir sa famille, est en train de se transformer grâce au contrat de concession signé par le Gouvernement de la République et la société MCTC. Là où nombreux ont cru que ce projet ne se réaliserait pas, aujourd’hui les actes ne donnent lieu d’aucun doute sur la volonté de MCTC de moderniser le port à conteneurs de l’ONATRA.
C’est dans ce sens qu’un bateau a accosté depuis la semaine dernière, avec à son bord des équipements de la dernière génération, pour accélérer non seulement le rythme du travail, mais aussi servir la clientèle. « Concernant les travaux, ceux-ci vont se porter sur une durée d’à peu-prêt deux ans. Nous sommes d’abord dans une phase de préparation, c’est-à-dire que nous avons mandaté une société spécialisée dans les travaux relatifs aux terminaux et cette société sera responsable de la réfection durant ces deux ans », a précisé M. Jacques Creutz, Directeur Financier de MCTC.
Et de souligner que la concession reprend la modernisation, l’équipement et l’exploitation du Terminal. Ces travaux vont permettre d’une part, de commencer les travaux sur le Terminal, mais aussi d’opérer concomitamment. Au nombre des engins de cette première cargaison perçus au port, figurent des autogrues, des fourguettes de 16 à 5 tonnes, des tracteurs et remorques portuaires, des machines de manutention des conteneurs et bien d’autres.
« Dès lors que la moitié du Terminal sera refaite au bout d’un an, nous allons inverser les opérations avec les travaux, opérer sur la partie refaite avec la nouvelle structure et nous pourrons continuer les travaux sur la 2ème partie », insiste-t-il.
De passage au port à conteneurs de l’ONATRA, les travaux ont effectivement commencé, avec la clôture de tout l’espace concédé à MCTC, soit les quais 5, 6 et 7 tel que stipule la lettre d’instruction du VPM transport et le BLU signé en novembre dernier par Martin Lukusa.
Voilà qui vient couper court à cette polémique selon laquelle, MCTC serait en train d’exploiter le port à conteneurs de l’ONATRA en lieu de place des travaux de modernisation. Logiquement, MCTC ne pouvait pas préjudicier les clients, par le simple fait que le port à conteneurs doit être fermé suite aux travaux. C’est dans ce sens même qu’un guichet moderne a été mis en place, dans l’immeuble AMI CONGO, pour mettre en confort les clients qui viennent pour accomplir les formalités.
Le choix de la localisation de ce guichet n’est pas du tout anodin. Son positionnement proche du port lui permet de se rapprocher des opérations et de proposer à ses clients une solution de mobilité plus satisfaisante. Bref, MCTC a choisi de rester dans le quartier où opèrent les agents maritimes et les transitaires.
Ainsi, pour permettre à MCTC de réaliser la mission lui confiée par le Gouvernement, celle de moderniser le port à conteneurs de l’ONATRA, en exécution des instructions du Président de la République, cette société de droit congolais mérite l’accompagnement et le soutien de tout le monde.
Maintenant que l’Etat congolais sera actionnaire de MCTC, l’information devra être bien donnée à la base qui doit savoir que plus de 3.000 emplois seront créés durant tout le développement du projet pour les Matadiens et une certaine d’agents de l’ONATRA vont être transférés à MCTC.
« C’est le moment d’enlever cette méfiance dans la tête de certains agents de l’ONATRA, qui pensent à tort que MCTC est venu leur ravir le bifteck, pendant qu’il ne vise que le bonheur, mieux le développement de ce port afin de le hisser au même niveau que d’autres ports du monde », concluent des sources proches du dossier.
Une tragédie s’est déroulée à Goma, Chef-lieu de la province du Nord-Kivu, où un conducteur de moto tricycle a trouvé la mort dans les eaux du la Kivu aux environs de midi. Cet évènement a eu lieu vendredi 29 novembre 2024, au port public de Goma, communément appelé Bisengimana.
Selon Pacifique Hamuli, témoin de l’évènement, tout a commencé lorsque la moto tricycle, chargée de marchandises, quittait le port. Puis, le tricycle a eu un accrochage avec une jeep de la police. Rapidement, un agent de la police est intervenu pour un contrôle de routine. Ce dernier va arrêter le motard, avant de saisir son engin, pour des raisons non évoquées. Cependant, ne maîtrisant pas la conduite de la moto tricycle, l’agent a perdu le contrôle de l’engin, précipitant ainsi la moto et son conducteur dans le lac Kivu.
Dans un acte désespéré, l’agent de l’ordre a réussi à sauter de la moto avant qu’elle ne plonge dans les eaux profondes du lac. Malheureusement, le motard n’a pas eu cette chance et s’est noyé avec son engin. Les témoins de la scène, choqués, ont immédiatement alerté les autorités locales et les services de secours, mais il était déjà trop tard pour sauver la victime.
Cet incident tragique a suscité une vive émotion et une indignation parmi les habitants de Goma. Jules Ngeleza, président du Conseil communal des jeunes à Goma, a exprimé son indignation face à cet évènement. Il a souligné que des démarches étaient en cours pour retrouver le corps de la victime, bien que les recherches soient compliquées par la présence de gaz sous l’eau dans la zone du port.
Il a également condamné fermement le comportement de certains policiers, accusés d’excéder parfois dans l’usage de la violence, bafouant ainsi leur déontologie et les principes de la dignité humaine.
‘’Cela ne devrait pas se passer ainsi dans notre ville. La violence des forces de l’ordre à l’encontre de citoyens innocents est inadmissible’’, a-t-il déclaré.
Cette tragédie est survenue dans un contexte déjà tendu à Goma, où la violence policière et les abus continuent d’alimenter les préoccupations de la population. Le même jour, le Tribunal militaire de la garnison de Goma avait ouvert une audience publique contre un militaire accusé d’avoir tiré sur un motard et sa cliente au même port public, quelques semaines auparavant. Les images choquantes de la victime gisant au sol et du militaire armé, en état d’ivresse, ont circulé massivement sur les réseaux sociaux, provoquant un choc au sein de la population locale.
Face à la récurrence des tels faits, les gomatraciens appellent à une révision urgente des méthodes de maintien de l’ordre et à un respect plus strict des droits humains par les autorités.
Eu égard aux limites apparentes de l’actuelle Constitution en vigueur en RD. Congo, ‘’entravant parfois la mise en œuvre effective des réformes nécessaires pour répondre aux aspirations du peuple congolais’’, la « Génération Fasthi Asbl », apporte son soutien à la thèse de son changement intégral tel que proposé par Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, Président de la République, lors de ses tournées à l’Est du pays (Lubumbashi, Kalemie, Isiro).
Pour cette structure, cette démarche témoigne de votre volonté de répondre aux défis actuels tout en consolidant les fondements de notre Etat. « Cette démarche va constituer une première occasion dans l’histoire de notre pays, afin que notre nation ait une constitution écrite entièrement au Congo et surtout par des congolais. C'est-à-dire, une constitution élaborée par un parlement légitime, soumise par voie référendaire à un peuple éveillé, conscient et soucieux de son avenir et existence comme peuple, et enfin promulguée par un Président de la République légitimement élu par ce même peuple », lit-on dans leur Mémorandum adressé au Chef de l’Etat.
Dans la foulée, cette Asbl récuse toute déclaration immonde ‘’de certains politiciens crasseux, travailleurs de l’Occident, qui n’ont qu’une seule mission, celle de perpétuer le règne dominateur de groupe minoritaire impériales dans notre pays’’. Pour eux, de cette manière, ces acteurs politiques ‘’instrumentalisent les paisibles citoyens congolais contre cette magnifique initiative dont les résultats escomptés concernent le développement et l’émergence de notre pays. Plutôt, la protection des intérêts de leurs maîtres impérialistes’’.
En conclusion de leur Mémo, ils préconisent à Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, à qui ils ont réitéré leur soutien indéfectible, de demeurer droit dans sa politique de reconquérir l’intégrité territoriale de notre pays et de redorer l’honneur de son peuple et lui promettent de jouer l’avant-garde contre les groupes de mafieux. Et ce, en appelant les Congolais à ne pas céder aux mauvaises campagnes des impérialistes par leurs pions locaux, ne jurant qu’à lui ôter son développement et sa paix, ainsi que sa dignité.
John Ngoyi
République Démocratique du Congo
ASSOCIATION SANS BUT LUCRATIF
GENERATION FATSHI
N°F.92/34.667
SECRETARIAT GENERAL
N/Réf:004/SG/GF/EBJ/11/2024
Transmis Copie pour Information :
A l’Honorable Président de l’Assemblée National
à Kinshasa Lingwala
A l’Honorable Président du SENAT
à Kinshasa Lingwala.
A Son Excellence Madame la Premier Ministre de la République Démocratique du Congo
à Kinshasa-Gombe
A l’Attention de Son Excellence, Monsieur le Président de la République Démocratique du Congo et Chef de l’Etat
(Avec l’expression de mes hommages le plus déférents).
Au Palais de la Nation-Gombe/RD Congo
Concerne : Mémorandum de la GENERATION FATSHI ASBL adressé à Son Excellence Monsieur le Président de la République Démocratique du Congo, en témoignage de notre soutien et accompagnement à votre ferme volonté de doter notre pays d’une loi fondamentale « Constitution » qui tiendra compte des réalités congolaises.
Excellence Monsieur le Président de la République,
Nous avons l’insigne honneur de vous présenter nos compliments et de vous adresser le présent mémorandum dont l’objet est repris en apostille et vous en souhaitons bonne réception.
Excellence Monsieur le Président de la République et Chef de l’Etat, en devoir de mémoire, il vous souviendra que lors de l’accession de notre pays, la République Démocratique du Congo à souveraineté nationale et internationale en 1960, le pays a été gouverné avec la loi fondamentale du 19 mai 1960 que nous ont légué ceux qui nous avaient colonisés, à savoir les colons belges, ce qui signifie, une loi qui ne tenait pas compte de nos réalités, car rédigée à l’étranger, par des étrangers et nous avait été imposé.
Dans la même logique, l’opinion congolaise doit savoir que le référendum populaire du 10 juillet 1964, qui a engendré la constitution du 1 août 1964 dire de Luluabourg ; l’adoption de la constitution du 04 juin 1967 dire Constitution révolutionnaire, le nouveau projet de Constitution fédérale du 6 octobre 1996 ; la Constitution de la transition du 1er avril 2003 et enfin celui du 18 février 2006, la constitution de la IIIème République, tous n’ont été qu’une calamité pour notre pays et un instrument d’asservissement de notre peuple.
Excellence Monsieur le Président de la République, dans cette période cruciale de notre histoire, nous GENERATION Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO ; « GENERATION FATSHI ASBL » en sigle, structure qui depuis sa création en 2018 soutient votre vision politique sous toutes ses formes et accompagne la pérennisation de vos actions sur toute l’étendu du territoire national, vous adressons notre soutien indéfectible pour les réformes constitutionnelles que vous voulez engager. Nous sommes conscients de l’importance de cette action noble que vous comptez mené pour l’intérêt primo de notre pays et saluons votre courage et votre vision à long terme pour la République Démocratique du Congo, qui vient d’entamer sa troisième période charnière après son indépendance.
Comme nous l’avons si bien dit dans les lignes précédentes, la Constitution actuelle, bien que fondement de notre jeune démocratie, présente certaines limites qui entravent parfois la mise en œuvre effective des réformes nécessaires pour répondre aux aspirations du peuple congolais. Ainsi, le changement constitutionnel que vous proposez s’inscrit dans une dynamique de modernisation et de renouveau, essentielle pour garantir la stabilité institutionnelle et le progrès de notre nation. Cette démarche témoigne de votre volonté de répondre aux défis actuels tout en consolidant les fondements de notre Etat. Dans ce contexte, nous vous rassurons de notre accompagnement sans condition pour une réflexion nationale que vous allez initier en vue de son éventuel changement.
Cette démarche va constituer une première occasion dans l’histoire de notre pays, afin que notre nation ait une constitution écrite entièrement au Congo et surtout par des congolais. C'est-à-dire, une constitution élaborée par un parlement légitime, soumise par voie référendaire à un peuple éveillé, conscient et soucieux de son avenir et existence comme peuple, et enfin promulguée par un Président de la République légitimement élu par ce même peuple. Ainsi, nous honorerons la mémoire de l’un de nos pères fondateurs à savoir Patrice Emery Lumumba qui lors d’une de ses allocutions avait sit : « l’histoire du Congo sera écrite au Congo et par les Congolais.
Excellence Monsieur le Président de la République, des enjeux et des débats qui peuvent surgir autour de cette réforme, nous en avons perception, mais nous croyons fermement qu’elle est nécessaire pour assurer un avenir prospère et inclusif. Et nous sommes convaincus que sous votre leadership éclairé, la RD Congo va écrire sa nouvelle page d’histoire. Notre structure, GENERATION FATSHI ASBL, s’engage à mobiliser nos membres à travers toute l’étendue du territoire national et à sensibiliser les populations en faveur d’une réforme constitutionnelle porteuse d’espoir. Que cette réforme soit un levier pour renforcer les institutions, garantir la justice sociale et bâtir une société plus équitable pour tous.
La GENERATION FATSHI ASBL, récuse toute déclaration immonde de certains politiciens crasseux, travailleurs de l’Occident, qui n’ont qu’une seule mission, celle de perpétuer le règne dominateur de groupe minoritaire impériales dans notre pays. De cette manière, ils instrumentalisent les paisibles citoyens congolais contre cette magnifique initiative dont les résultats escomptés concernent le développement et l’émergence de notre pays. Plutôt, la protection des intérêts de leurs maîtres impérialistes.
Au prix de notre souveraineté, la GENERATION FATSHI ASBL, vous encourage à demeurer droit dans votre politique de reconquérir l’intégrité territoriale de notre pays et de redorer l’honneur de son peuple. Et vous promet de jouer l’avant-garde contre ces groupes de mafieux et appelle les Congolais à ne pas céder aux mauvaises campagnes des impérialistes par leurs marionnettes, qui ne jurent qu’à lui voler son développement et sa paix, ainsi que sa dignité.
Nous réaffirmons notre soutien à vos actions et notre foi en un avenir radieux pour la RD Congo sous votre gouvernance.
Veuillez agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de nos sentiments patriotiques de très haute considération et de nos salutations distinguées.
Face au réchauffement climatique qui est déjà une réalité en République Démocratique du Congo et dans beaucoup de pays du monde, ce jeudi 28 novembre 2024 à l’Est du pays une grande lutte contre l'usage des énergies fossiles se mène au pays par certains environnementalistes et organisations dans le but d'encourager les dirigeants Congolais d'investir dans les énergies renouvelables. Une manière de pallier tant bien que mal aux effets néfastes du réchauffement climatique sur la vie de l'homme.
C'est le cas du jeune leader Justin Mutabesha et les organisations réunies au consortium food and power qui ne ménagent aucun effort malgré tous les risques afin que l'être humain se sente libre et aisé de vivre sur la planète terre.
Le monde entier subit une mutation sur le plan environnemental et les effets du réchauffement climatique commencent à se faire sentir, l'Afrique et la RDC ne sont pas épargnées, cela malgré la tenue des différentes COP qui sont une occasion de voir comment remédier à ce fléau planétaire, les communautés locales en payent le plus grand prix.
En République démocratique du Congo, 90% de la population congolaise utilise le moyen plus traditionnel (les bois des chauffages et les charbons des bois) comme source d'énergie pour la cuisson et la préparation de la nourriture.
Cette pratique traditionnelle expose les femmes et les enfants a plusieurs maladies dans les ménages et constitue une forte pression sur les forêts en RDC et les parcs nationaux sont victimes pourtant la RDC est pris comme pays solution suite à sa forêt.
Se souciant de ce grand fléau et se dirigeant vers une source d'énergie renouvelable et propre en RDC, l'AJVDC et d'autres organisations réunies en consortium ( Food and Power DRC) mettent en place des groupes des jeunes et femmes pour la fabrication des foyers améliorés et des briquettes écologiques à base des déchets ménagers, aussi dans le cadre de la création d'emplois verts et l''entrepreneuriat Vert, une solution dans la lutte contre la pauvreté dans les communautés locales.
‘‘Avec l'accompagnement de Global Green Fund, 350.org Afrique, Africa vuka et d'autres partenaires, nous nous verrons arriver à notre objectif majeur: la promotion, la production, la diffusion des foyers améliorés, les énergies solaires et création des centrales hydrologiques comme source fiable d'énergie renouvelable.
La RDC dispose des ressources naturelles mais fort malheureusement sa population vit une pauvreté énergétique, ce qui n'est pas normal’’, regrette le jeune environnementaliste Justin Mutabesha et membre de la coalition.
A l'en croire, les conséquences du réchauffement climatique n'épargnent personne, toutes les couches de la population sont concernées, c'est pour cela il est plus qu'impérieux de se servir des énergies renouvelables, qui est sa lutte et qu'il qualifie de noble car il n'est pas le seul mais il y a plusieurs organisations qui militent comme lui.
Pour lui, la fabrication des foyers améliorés et des briquettes écologiques est une voie vers la transition énergétique pour les communautés locales en RDC, l'accès à l'énergie Propre pour toutes les communautés locales commence par un système plus efficace de la cuisson.
Ce dernier précise qu'après plusieurs années de la campagne fossile free DRC, fossile free Virunga l'heure est à l'énergie propre et que tous ceux qui veulent réduire les effets du réchauffement climatique devront se joindre à cette campagne.
A Kalemie, dans le Tanganyika, le Président Félix Tshisekedi a inauguré, ce jeudi, le bâtiment administratif de l’Agence autonome de la Banque Centrale du Congo (BCC) à Kalemie, dans la province du Tanganyika. Le Chef de l’État a visité cet ouvrage de 2000 mètres carrés qui abrite non seulement les services de la banque, mais aussi des appartements pour ses hôtes de marque.
«L’œuvre que vous inaugurez aujourd’hui s'inscrit dans votre noble vision visant l’amélioration des conditions de travail et de la qualité de vie du peuple congolais », a déclaré Marie-France Malangu Kabedi, Gouverneure de la BCC, en s’adressant au Président de la République. Elle a indiqué que cette bâtisse a été acquise par la BCC sur fonds propres.
Mme Malangu a révélé que l’idée de cette construction est née à la suite du désengagement, en 2016, de la Banque commerciale du Congo qui avait laissé la ville de Kalemie sans service bancaire. Elle a précisé qu’il s’agit d’«une politique de grands travaux lancée par la BCC pour la réhabilitation et la construction de ses immeubles sur tout le territoire national».
La BCC en tant qu’entreprise, autorité de régulation et de supervision du système financier congolais, et comme institut d’émission de la monnaie nationale (le franc congolais), compte 1 710 agents et cadres au siège à Kinshasa et à l’Hôtel de monnaie, dans les entités provinciales réparties dans les directions provinciales et dans les agences autonomes, y compris celle de Kalemie.
Après le succès de son concert à Paris et au Docks Bruxsel de Belgique, l’artiste musicien Héritier Watanabe s’apprête à enflammer Kinshasa. Ces deux concerts en Europe, ont confirmé sa grandeur dr l’artiste de la musique congolaise à l’international.
Affectueusement appelé Goga, Héritier Watanabe va privilégier des concerts VIP le 30 novembre 2024 à l’hôtel Hilton à Gombe. Après Rotana, l’hôtel du Fleuve, au Showbuzz et le Pullman, cet ancien sociétaire de Wenge Musica Maison Mère promet une soirée de haute facture. Le prix de billets est fixé à 200 $ Us.
Wata et son orchestre, la Team Wata, prévoient un spectacle mêlant virtuosité musicale à une mise en scène bien arrangée s’inscrivant dans la continuité des concerts de Paris et de Bruxelles.
Quant au deuxième concert qui est prévu ici à Kinshasa, le 7 décembre 2024 au stade Vélodrome de Kintambo, sa commune natale, cet artiste veut en faire un moment de communion avec ses fans, ‘’ les spritas’’, et en même temps une célébration de la richesse de la musique congolaise en Afrique. Et pour agrémenter cela, le 1er d’entre tous les spritas, donne un dress code tout blanc, qui a été décrété, symbolisant la paix, la fraternité et la solidarité entre l’artiste et le public qui viendra à cet événement.
Ces deux concerts marquent une tournée sous le signe de l’excellence et une étape clé dans la carrière de celui qu’on a surnommé « Moto na Tembe »…
Ainsi donc, les amateurs de musiques congolaises et les fervents fans de la Team Wata auront deux occasions uniques de découvrir, ou redécouvrir, l’artiste au sommet.
Pendant son séjour au Maroc, la Première Ministre Judith Suminwa Tuluka, a, à travers ses services, apporté une assistance humanitaire aux déplacés de la ville de Bunia et de ses environs, et ce, quelques jours après son passage dans cette partie du pays. Composés de 21 000 kilogrammes de haricots et de 37 500 kilogrammes de farine de maïs, ces vivres ont été officiellement remis au Gouverneur de la province de l’Ituri, le Lieutenant-Général Johnny Luboya Nkashama, mercredi 27 novembre 2024, par la délégation envoyée par la Cheffe du Gouvernement.
Lors de la cérémonie de remise, Louise Wanitho, cheffe de division provinciale des Affaires humanitaires et Solidarité nationale, a exprimé sa gratitude envers la Première ministre. Elle a souligné que les besoins restent criants dans tous les sites de déplacés de la province.
‘’Nous appelons à davantage de solidarité nationale et internationale pour répondre à cette situation d’urgence’’, a-t-elle déclaré.
Pour sa part, le Lieutenant-Général Johnny Luboya Nkashama, a salué ce geste de solidarité. Il a rappelé que le principal objectif reste le retour des populations déplacées dans leurs villages.
‘’Les Ituriens ne sont pas des mendiants, ce sont des travailleurs. Ils veulent rentrer chez eux. Avec l’appui du Chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi, nous redoublons d’efforts pour restaurer la sécurité et créer des zones de retour », a-t-il affirmé.
Malgré cette aide, des besoins humanitaires persistent, les soucis des déplacés demeurent immenses notamment, dans les territoires d’Irumu, de Mambasa et de Djugu. La province de l’Ituri continue de faire face à une crise humanitaire exacerbée par l’insécurité, nécessitant un appui soutenu des acteurs nationaux et internationaux.
Une polémique secoue les églises à Kinshasa sur la bénédiction nuptiale. Certains pasteurs refusent de bénir des mariages où la femme est enceinte, estimant que le couple a enfreint les principes religieux. Une position qui suscite des réactions variées parmi les Kinois.
Pour de nombreux habitants, la priorité devrait être accordée aux coutumes. A cet effet, les rites traditionnels congolais constituent la véritable base du mariage. La dot est l’étape la plus importante de toutes les deux autres cérémonies du mariage.
«Pour moi, le mariage doit d’abord respecter la coutume. On ne peut pas parler du mariage sans cela. Après, on peut envisager le mariage civil et religieux. Si vous n’avez pas beaucoup d’argent, vous pouvez vous limiter au coutumier, et le reste du processus suivra plus tard », affirme madame Annie, l’interviewée.
D’autres critiquent vivement l’attitude des pasteurs qui refusent de bénir un mariage sous prétexte d’une grossesse prénuptiale. Pour Erick Lwamba, cela contredit les principes du pardon prêchés par eux.
«Nous sommes tous des pécheurs. On peut se relever et demander pardon à Dieu. Les pasteurs nous enseignent le pardon. Pourquoi ne peuvent-ils pas bénir un mariage où le couple a déjà exprimé les regrets ? Ils devraient revoir leur position et donner la chance à ceux-là qui vont se présenter avec la grossesse prénuptiale », a déclaré Lwamba.
Un autre pasteur donne son point de vue et explique que ce refus de bénir certains mariages vise à éviter que d’autres ne prennent ce chemin. Il serait mieux d’aller jusqu’à la fin de la procédure ou de la marche pour éviter de tomber dans ce refus.
«Bénir un mariage dans ces circonstances, c’est cautionner la désobéissance. La Bible autorise les relations sexuelles uniquement dans le cadre du mariage», précise-t-il.
Cependant, il dénonce une pratique courante chez certains de ses collègues qui exigent des sommes exorbitantes avant d’accorder la bénédiction nuptiale.
« Ces demandes d’argent surchargent un jeune couple déjà confronté à de nombreux défis financiers. Cela pousse certains à chercher d’autres églises, plus souples sur la question de la grossesse ou de l’argent », conclut-il.
Entre respect des traditions, pardon chrétien et exigences religieuses, le débat sur la bénédiction des mariages en cas de grossesse prénuptiale continue de diviser les églises de Kinshasa.
Une matinée en deuil dans la commune de Mont-Ngafula ce jeudi 28 novembre 2024 sur la RN 1, précisément à l’entrée Matadi-Mayo. Face à un afflux de la population empruntant cette voie urbano-rurale, un camion en provenance du Kongo Central a fini sa course sur des paisibles citoyens faisant donc 7 morts et 7 blessés selon les dernières nouvelles livrées par l’autorité municipale, Plamedi Mbiyavanga.
Interrogé par la Radio Okapi à ce sujet, le Bourgmestre Plamedi Mbiyavanga déclare que la cause de ce drame serait un problème de freinage.
«Un véhicule a connu une panne de frein entre 6h30 et 7 heures et est venu ramasser les paisibles citoyens à l’entrée de l’avenue 3ème République à Matadi Mayo, tuant 7 personnes et blessant 7 autres. Les corps des victimes ont été acheminés à la morgue de l’Hôpital général de Kinshasa pendant que les blessés sont pris en charge dans un centre de santé de proximité. Le véhicule est venu du Kongo Central», a-t-il déclaré.
Un événement douloureux qui attriste toute la population environnante.
Pour prévenir ce genre de désastre dans sa municipalité, Plamedi Mbiyavanga prend des mesures drastiques en instruisant la Police de Circulation Routière exerçant dans cette partie de la Capitale de veiller sur la distanciation des citoyens sur la chaussée. Celles-là valent aussi pour les citoyens.
«Nous avons instruit les policiers et les PCR, parce que parmi eux se trouve une victime blessée sur la tête, aux citoyens d’être aussi vigilants aux arrêts de bus, être loin de la chaussée pour bien remarquer ce qui se passe dans leur environnement. Aux policiers, d’éviter que les gens passent aussi sur la grande route. Aux propriétaires des véhicules de toujours engager des chauffeurs expérimentés et qui méritent une formation reconnue par la loi», a ainsi martelé l’autorité municipale.
Des instructions qui méritent d’être observées par toutes les parties impliquées dans la circulation sur la voirie urbaine, surtout les grandes artères de la ville.
« Nous sommes fiers d'annoncer que l'Agence Nationale de Promotion des Investissements de la RDC (ANAPI) a remporté le prix de la Meilleure Agence de Promotion des Investissements en Afrique dans la catégorie Contribution au Développement Durable. Ce prix récompense les agences ayant facilité des projets significatifs en matière d’objectifs de développement durable (ODD), tels que définis par les Nations Unies. En effet, sur un total de 2082 projets agréés aux avantages du Code des Investissements contribuant à l’atteinte des Objectifs de Développement Durable, quatre projets ont été sélectionnés par le jury mis en place par le Prof. Bruno Tshibangu Kabaji, Directeur Général ad intérim de l’ANAPI », annonce, dans une note officielle, le Service de Communication de cette entreprise du Portefeuille de l’Etat. Cette reconnaissance mondiale s’est déroulée lors des assises de la 28ème Conférence Internationale sur l’Investissement à Riyad, en Arabie Saoudite, du 25 au 27 novembre 2024.
Le Sacre
Sous le thème « Tirer parti de la transformation digitale et de la croissance durable - Maximiser les opportunités d'investissement », cet événement est une occasion unique de promouvoir les initiatives actuelles et futures des agences de promotion des investissements.
La délégation congolaise est conduite par le Directeur Général de l’ANAPI, le Prof. Bruno Tshibangu Kabaji, accompagné de l’Administrateur du conseil d’administration, Monsieur Médard Kankolongo ; de Monsieur André Lobo Kwete, Conseiller du Vice-Premier Ministre, Ministre du Plan, en charge du climat des affaires ; ainsi que du Directeur du Climat des Affaires de l’ANAPI, Monsieur Michel Maswapi Kipundo.
En effet, les différents projets portés par le DG Tshibangu ont été soumis dans les catégories contribution au développement durable et l’excellence dans la facilitation de l’investissement.
En marge de cela, l’ANAPI a été primée dans la catégorie contribution au développement durable pour avoir facilité la réalisation du projet de la société de droit congolais dénommée « RAXIO DATA CENTER DRC SAS », une initiative ambitieuse qui vise à établir un centre de données de classe mondiale de niveau Tier III à Kinshasa. Ce projet répond à la demande croissante pour un stockage de données sécurisé et fiable, tout en soutenant les entreprises locales dans des secteurs clés comme la finance, les télécommunications et les services publics.
« Dans le contexte actuel où l’accent est mis sur la durabilité, ce projet illustre notre engagement envers les objectifs de développement durable, en particulier les Objectifs 8 et 9 ayant respectivement traits sur le travail décent et la croissance économique ainsi que sur l’accès aux technologies de l’information. Le développement de cette infrastructure attire des investissements dans le secteur numérique et favorise l’émergence de startups et de PME, essentielles pour la création d’emplois. C'est un honneur pour nous de contribuer au développement durable en Afrique et de jouer un rôle clé dans l'essor numérique de la RDC », souligne le Service de Communication de l’ANAPI.
Ce jury était constitué des experts de renommée mondiale ci-après :
- James Zhan, Chair, Executive Board of World Investment Conference, WAIPA
- Matthew Stephenson, Head, Investment and Services World Economic Forum
- Dr. Stefan Kratzsch, Sustainable Investments and Responsible Business Unit United Nations Industrial Development Organization
- Githa Roelans, Head, Multilateral Enterprises and Responsible Business Conduct Unit, International Labor Organization
- Escipión J. Oliveira-Gómez, Director, Division of Enterprises Competitiveness and Institutions, International Trade Centre
- Ivan Anton Nimac, Global Lead for Investment Policy and Promotion, Prosperity Vice Presidency, The World Bank
Un Forum Mondial Crucial
Cette conférence, organisée par l’Association Internationale des Agences de Promotion des Investissements (WAIPA) et INVEST SAUDI, rassemble des dirigeants d’agences de promotion des investissements, des chefs d’entreprise, des investisseurs potentiels ainsi que des personnalités politiques et scientifiques. Elle constitue une plateforme essentielle pour discuter des défis économiques et sociaux qui influencent les flux d’investissement à l’échelle mondiale.
Avec la participation de plus de 100 pays, cette 28e édition de la World Investment Conférence met en lumière l’importance croissante de l’investissement durable et de l’innovation technologique dans la facilitation des investissements à l’échelle mondiale.
Profitant de cette opportunité, l’ANAPI vient de mettre à la disposition des participants les opportunités d’investissement qu’offre la RDC dans divers secteurs d’activités notamment dans les secteurs agricole, pêche, élevage, tourisme, mines, énergie et industrie.
Les WAIPA Investment Excellence Awards
En marge de ladite conférence, la première édition des WAIPA Investment Excellence Awards sera lancée. Cet événement vise à récompenser les meilleures agences de promotion des investissements dans trois catégories clés.
Notamment, la contribution au développement durable : Récompense l’agence qui a facilité un projet ayant un impact significatif sur les objectifs de développement durable définis par les Nations Unies.
Ensuite, l’excellence dans la facilitation de l’investissement : Met en avant la qualité et l’efficacité de l’accompagnement fourni par l’agence pour la réalisation de projets
Et enfin, l’utilisation des nouvelles technologies de l’information et de la communication : Prime l’agence ayant atteint un niveau élevé de digitalisation dans le soutien aux projets d’investissement.
Les activités hebdomadaires de la Société Nationale d’Electricité S.A (SNEL S.A) pour la semaine du 18 au 24 novembre 2024 mettent en lumière les efforts et la volonté considérables de la société à améliorer la fourniture en énergie électrique de la ville de Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo ainsi que tous les territoires à travers le pays.
Des travaux d’assainissement
Un nettoyage des infrastructures a été opéré pour renforcer la capacité énergétique de la ville de Kinshasa.
Du Forum Makutano
Lors de sa 10ème édition tenue du 13 au 15 novembre dernier à Kinshasa, Fabrice Lusinde, Directeur Général de la SNEL a proposé un schéma à trois phases pour le développement du Grand Inga.
Un plan stratégique
Le Conseil d’administration de la SNEL, dans le cadre de sa mission liée à la définition des orientations stratégiques, travaille sur un plan visant notamment l’amélioration de la desserte en électricité, l’amélioration de la gouvernance et de la performance de la société. Le Conseil l’a fait remarquer au cours d’une réunion avec la délégation syndicale de cette entreprise publique. Cette délégation, par le biais de son président, a apprécié les articulations à court, moyen et long terme de ce plan stratégique qui selon lui, seront rendues publiques dans un proche avenir.
De la remise en service
Plus de 30 cabines SNEL ont été remises en service à Gombe après les travaux de la relance du premier tronçon du départ Kabinda.
Quid des interventions variées ?
Le remplacement et la normalisation des réseaux électriques dans plusieurs quartiers de la ville de Kinshasa, y compris la sous-station de Kinsuka et le site de l’hôpital Maman Yemo, ont été effectives.
Il s’est agi, à titre illustratif, entre autres des travaux de remplacement du conducteur 30kV coupé sur le portique extérieur de la sous station Kinsuka.
Après reconditionnement, ils ont procédé au remplacement du transformateur 100KVA – 6,6/0, 4kV dans la cabine du site de l’hôpital Maman Yemo.
Les mêmes efforts ont été conjugués au niveau de la commune urbano-rurale de Maluku (nord-est de la ville), par la remise en service de la sous-station cité 2 Maluku ainsi que son départ du feeder 18 après travaux de rééquipement complet de ce dernier par les équipes de la SNEL.
Les postes Haute tension de Liminga et Funa ont repris l’exploitation après les travaux d’intervention au sectionneurs barres 220kv, par les techniciens ainsi que les différentes sous stations Limete, Lemba, UPN, Kingabwa, Masina, Sendwe et CDA.
Ces efforts montrent l’engagement de la SNEL à améliorer le service pour ses abonnés.